“El lector –señalan los autores-- se beneficiará también de la exposición de un detallado proyecto de evaluación así como los resultados del mismo por objetivos. Las recomendaciones hechas en la segunda parte de la obra ofrecen una estructura que puede ser utilizada como ejemplo de un informe final de evaluación”.
Agenda cultural de la UGR para el VIERNES, 12 de FEBRERO de 2016
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Inauguración: Jueves, 11 de febrero, a las 19h.
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Lugar: Fundación Euroárabe (calle San Jerónimo, 27. Granada)
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Horario: De 9 a 14h., de lunes a jueves. Viernes horario de mañana.
Abierto el plazo para inscribirse en el curso Isak Cineantropometría
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Número de plazas: 24.
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Duración: 150 horas.
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Lugar de realización: Instituto de Nutrición y Tecnología de los Alimentos y el Centro de Investigación Biomédica de la Universidad de Granada.
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Organiza: Fundación General Universidad de Granada-Empresa, Instituto de Nutrición y Tecnología de los Alimentos.
Declaración de la Comisión Institucional “Granada Capital Europea de la Cultura 2031”
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D. José Torres Hurtado, Excmo. Alcalde del Ayuntamiento de Granada
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Dª. Sandra García Martín, Delegada del Gobierno de la Junta de Andalucía en Granada
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D. José Entrena Ávila, Excmo. Presidente de la Diputación de Granada
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Dª. Pilar Aranda Ramírez, Excma. Rectora Magnífica de la Universidad de Granada
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D. José Carrasco Gabaldón, Teniente General Jefe del MADOC
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D. Juan Manuel García Montero, Tercer Tte. Alcalde del Área de Cultura y Deportes del Ayuntamiento de Granada y Portavoz del Grupo Municipal Popular
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D. Francisco Cuenca Rodríguez, Portavoz del Grupo Municipal Socialista
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D. Manuel Olivares Huertas, Grupo Municipal Ciudadanos
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D. Francisco Puentedura Anllo, Portavoz del Grupo Municipal IUAS-GPG
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Dª. Marta Gutiérrez Blasco, Portavoz del Grupo Municipal Vamos Granada
Scientists prove that the brains of patients with schizophrenia vary depending on the type of schizophrenia
An international team, made up of researchers from the University of Granada, Washington University in St. Louis, and the University of South Florida, has linked the symptoms of schizophrenia with the anatomical characteristics of the brain, by employing magnetic resonance imaging (MRI). Their research, published in the academic journal NeuroImage, could herald a significant step forward in the diagnosis and treatment of schizophrenia. In a major breakthrough, scientists have successfully linked the symptoms of the illness with the brain’s anatomical features, using sophisticated brain-imaging techniques.
By analyzing the brain’s anatomy, the scientists have demonstrated the existence of distinctive subgroups among patients diagnosed with schizophrenia, who suffer from different symptoms.
In order to carry out the study, the researchers employed a magnetic resonance imaging (MRI) technique called «diffusion tensor imaging» on 36 healthy subjects and 47 schizophrenic subjects.
The testsconducted on the schizophrenic subjects revealed that they had variousabnormalities in certain parts of their corpus callosum, a bundle of neuralfibers that connects the right and left cerebral hemispheres and is consideredessential for effective interhemispheric communication.
Anomalies in the corpus callosum
When theresearchers detected anomalies in the brain’s entire corpus callosum, theydiscovered that certain characteristic features revealed in the brain scanscoincided with specific schizophrenic symptoms. For instance, patients withspecific features in a particular part of the corpus callosum exhibited strangeand disorganized behaviour.
In othersubjects, the irregularities observed in a different part of this brainstructure were associated with disorganized thought and speech, and negativesymptoms such as a lack of emotion. Other anomalies in the brain’s corpuscallosum were associated with hallucinations.
In 2014,the same research group proved that schizophrenia is not a single illness.Rather, they demonstrated the existence of eight genetically distinctdisorders, each of which has its own set of symptoms. Javier Arnedo and IgorZwir, researchers from the University of Granada’s Department of ComputerTechnology and Artificial Intelligence, discovered that different sets of geneswere strongly linked with different clinical symptoms.
Schizophrenia is not a single illness
As Igor Zwir points out: «The current study provides further evidence that schizophrenia is a heterogeneous group of disorders, as opposed to a single illness, as was previously thought to be case.»
The researchers believe that, in the future, analyzing how specific gene networks are linked to specific brain features and individual symptoms, will be of fundamental importance and will help to ensure that treatments are adapted effectively to each patient’s specific disorder. Currently, treatments for schizophrenia tend to be generic, regardless of the symptoms exhibited by each individual patient.
In order to conduct the analysis of both the gene groups and brain scans, the researchers developed a new, complex analysis of the relationships between different types of data and recommendations concerning new data. The system is similar to that used by companies such as Netflix in order to determine the films they wish to broadcast.
Professor Zwir explains: «To conduct the research, we did not begin by studying individuals who had certain schizophrenic symptoms in order to determine whether they had the corresponding brain anomalies. Instead, we first analyzed the data, and that’s how we discovered these patterns. This type of information, combined with data on the genetics of schizophrenia, will someday be of vital importance in helping doctors treat the disorders in a more precise and effective way.»
Bibliography:
Decomposition of brain diffusion imagingdata uncovers latent schizophrenias with distinct patterns of white matteranisotropy
JavierArnedo, Daniel Mamah, David A. Baranger, Michael P. Harms, Deanna M. Barch,Dragan M. Svrakic, Gabriel A. de Erausquin, C. Robert Cloninger , Igor Zwir
NeuroImage120 (2015) 43-54
http://dx.doi.org/10.1016/j.neuroimage.2015.06.083
Contact:
IgorZwir
Departmentof Computer Technology and Artificial Intelligence
Universityof Granada
Phone:+34 958 240 468
WashingtonUniversity in St. Louis
Phone:+1 314 362 7014
Email:igor@decsai.ugr.es
Une étude démontre que les piétons se sentent plus sûrs dans les rues éclairées avec de la lumière blanche
Cette recherche de l’Université de Grenade, publiée dans la revue Safety Science, a analysé la perception de sécurité et de bienêtre qu’ont les piétons lorsqu’ils circulent dans des rues avec des types et des niveaux déterminés d’éclairage. 275 piétons de Grenade ont participé à celle-ci.
Le travail démontre que les piétons manifestent une réactivité très supérieure face à des questions déterminées d’un test quand les niveaux d’éclairage sont plus élevés et/ou la lumière est de couleur « jaune-sodium », malgré que la sécurité perçue soit majeure quand la lumière est blanche.
Les piétons se sentent plus sûrs dans les rues qui sont éclairées avec des lumières blanches que dans celles où l’on utilise des lumières jaunâtres, techniquement dénommées « jaune-sodium », même si les premières sont plus polluantes dans certains aspects. Une des possibles raisons est que cette lumière permet d’identifier plus facilement les visages des personnes.
C’est ce qui s’ensuit d’une étude multidisciplinaire réalisée par des scientifiques de l’Université de Grenade, membres des départements d’Ingénierie Civile et de Psychologie Sociale, qui ont analysé, entre autres variantes, la perception de sécurité et de bienêtre que ressentent les piétons lorsqu’ils circulent dans des rues avec des types et des niveaux déterminés d’illumination.
À ce travail ont participé 275 piétons de Grenade, auxquels on a appliqué un questionnaire après avoir parcouru les rues pendant un horaire où l’allumage public fonctionnait pour que leurs réponses ne se voient pas conditionnées par des souvenirs ou autres impressions étrangères à l’objet de l’étude.
Ce travail suggère de plus que les lumières à contenu élevé en longueurs d’onde bleues (comme certaines employées dans l’éclairage public avec lumière blanche) produisent une inhibition majeure de mélatonine, « l’hormone du sommeil », ce qui avait déjà été vérifié dans des études de laboratoire par des groupes du monde entier et que, pour la première fois, les chercheurs ont ratifié pour l’éclairage public dans des conditions réelles de circulation, à partir des réponses subjectives des piétons.
Cependant, les auteurs du travail avertissent que la quantification de paramètres physiologiques comme l’inhibition de mélatonine ou la sécrétion de cortisol, tous deux très en rapport avec l’éclairage, « est un sujet qui doit être abordé par d’autres types de spécialistes et qu’il ne s’agit en aucun cas de l’objectif de ce travail, qui se centre sur les perceptions des piétons et leur corrélation avec des paramètres quantitatifs des installations d’éclairage ».
Étude dans des conditions réelles
Les résultats de ces enquêtes ont été croisés avec des mesures quantitatives des principaux paramètres concernés dans l’éclairage public. L’analyse de l’ensemble des données et leurs interactions ont démontré quelques hypothèses qui, à cette date, avaient seulement pu être vérifiées en laboratoire sous de strictes conditions expérimentales, tandis que cette étude s’est réalisée dans des conditions réelles.
Entre autres résultats, les chercheurs ont vérifié que la réactivité des piétons face à des questions subjectives de toutes sortes est, dans tous les cas, majeure lorsque les niveaux d’éclairage sont plus élevés.
« Ce résultat, s’il est évident avec quelques-unes des questions du questionnaire, s’avère avec d’autres du moins paradoxal et suppose un appel à la réflexion au moment d’élaborer de nouvelles normes sur l’éclairage public », explique Antonio Manuel Peña García, professeur du Département d’Ingénierie Civile de l’Université de Grenade et principal auteur du travail.
Éclairage et délinquance
Jusqu’à la date, la plupart des travaux sur éclairage public, aussi bien de recherche que professionnels, se sont centrés sur des aspects objectifs et quantitatifs, c’est-à-dire, dessins d’installations plus économiques et efficaces, accomplissement de la norme applicable, nouvelles technologies, etc.
D’une autre perspective moins technique, on a également travaillé à l’évaluation des effets de l’éclairage sur la sécurité des personnes et des biens, objectif principal de l’éclairagisme.
« En ce sens, la controverse entre différents auteurs et philosophies de l’éclairage urbain a été telle que, à ce jour, il n’existe pas d’accord unanime sur si les niveaux d’éclairage plus élevés augment la sécurité de nos rues ou si, au contraire, ils la réduisent car même les délinquants potentiels semblent avoir besoin de niveaux d’éclairage minimums au moment de choisir leurs victimes », souligne Peña.
Entre partisans et détracteurs de niveaux d’éclairage plus élevés afin d’augmenter la sécurité urbaine, « on a à peine prêté attention à un concept très important : la sécurité perçue par les propres usagers des installations d’éclairage public ».
Outre le professeur Peña García, ont également participé à cette recherche Mª Del Carmen Aguilar Luzón, professeure du Département de Psychologie Sociale de l’UGR et experte en Psychologie Environnementale, et Antonio Hurtado González, ingénieur industriel de la Mairie de Grenade et membre du groupe de recherche « Éclairagisme pour la Sécurité et la Durabilité », que dirige Antonio Peña.
Référence bibliographique :
Impact of public lighting on pedestrians’ perception of safety and well-being. A. Peña-García, A. Hurtado, M.C. Aguilar-Luzón. Safety Science. Volume 78, October 2015, Pages 142-148
Contact :
Antonio Manuel Peña García. Département d’Ingénierie Civile de l’UGR. Groupe de Recherche « Éclairagisme pour la Sécurité et la Durabilité » (RNM-913). Tél. : 958 249 435 ; courriel : pgarcia@ugr.es
El Rectorado de la UGR acoge la reunión de la Comisión Institucional “Granada Capital Europea de la Cultura 2031”
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ASUNTO: Rueda de prensa, Comisión Institucional “Granada Capital Europea de la Cultura 2031”.
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DÍA: jueves, 11 de febrero.
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HORA: 10 horas.
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LUGAR: Salón de Rectores. Hospital Real.
Una nueva técnica no invasiva permite detectar si un niño es celíaco con una simple punción en el dedo