Les entreprises technologiques ayant des femmes dans leurs équipes de haute direction sont plus innovatrices

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C’est ce qui découle d’une recherche réalisée par deux professeures de l’Université de Grenade, membres du Département d’Organisation d’Entreprises, qui ont fait connaître ce travail le Jour International de la Femme, qui se célèbrera demain, 8 mars

Elles ont analysé un échantillonnage de 205 petites et moyennes entreprises (PME) technologiques espagnoles

Les entreprises technologiques qui comptent avec un nombre équilibré d’hommes et de femmes dans leurs équipes de haute direction atteignent une innovation majeure aussi bien dans le produit qu’elles fabriquent que lors du processus de fabrication du même.

C’est ce qui découle d’une recherche réalisée par deux professeures de l’Université de Grenade, membres du Département d’Organisation d’Entreprises, qui ont fait connaître ce travail le Jour International de la Femme, qui se célèbrera demain, 8 mars.

Cette recherche analyse l’influence des capacités directives dans les résultats d’innovation des PME à base technologique, et le rôle que joue dans ce rapport la diversité générique dans l’équipe de haute direction.

Pour la mener à bien, les chercheuses ont analysé un échantillonnage de 205 petites et moyennes entreprises (PME) technologiques espagnoles et ont également réalisé une analyse de régression hiérarchique (une analyse statistique afin d’estimer les rapports entre les variables étudiées). Les résultats confirment que les capacités directives affectent positivement aussi bien l’innovation du produit que son processus.

De plus, «La diversité de genre dans l’équipe de haute direction modère positivement ce rapport, de sorte que l’influence des capacités directives sur l’innovation de produit et son processus, respectivement, est plus élevée lorsque les équipes de direction sont plus équilibrées génériquement», explique Jenny María Ruiz Jiménez, une des auteures de ce travail.

Cette recherche contribue à une meilleure compréhension des facteurs qui expliquent comment les capacités directives se traduisent en de meilleurs succès organisationnels et justifie la nécessité d’analyser plus amplement le rôle des équipes de haute direction et leur composition, surtout dans le contexte des PME technologiques.

De plus, elle aborde une question de pleine actualité comme l’est le rôle que joue la femme dans la haute direction des entreprises. «Même si les femmes ont peu à peu assumé un leadership plus élevé dans les domaines politiques et sociaux, dans le domaine de l’entreprise elles continuent d’occuper des positions minoritaires et secondaires, et de façon plus accusée dans les secteurs technologiques», signale María del Mar Fuentes Fuentes, professeure au Département d’Organisation d’Entreprises de l’Université de Grenade.

Cette étude contribue à l’apport de nouvelles évidences sur les toujours rares travaux ayant analysé l’effet de la diversité générique des équipes de haute direction dans l’innovation et l’inexistante recherche dans le domaine particulier des PME technologiques.

Référence bibliographique:

Ruiz-Jiménez Jenny María, Fuentes-Fuentes María del Mar (2016). Management capabilities, innovation, and gender diversity in the top management team: An empirical analysis in technology-based SMEs. BRQ Business Research Quarterly, Volume 19, Issue 2, Pages 107-121.

Contact:

Jenny María Ruiz Jiménez

Département d’Organisation d’Entreprises de l’Université de Grenade

Tél.: (+34) 958 241 000, ext. 20544

Portable: (+34) 605 083 510

Courriel: jmruizzj@ugr.es

 

 


“Las estructuras y las dinámicas políticas”, conferencia de Antonio Peláez Rovira

Dentro del ciclo “El reino nazarí de Granada: nuevas perspectivas de la investigación”, tendrá lugar en el Salón de Caballeros XXIV de La Madraza, el lunes 6 de marzo de 2017, a las 19.30 h

“Las estructuras y las dinámicas políticas” es el título de la conferencia que impartirá Antonio Peláez Rovira (Universidad de Granada), el lunes, 6 de marzo de 2017, a las 19.30 horas, en el Salón de Caballeros XXIV de La Madraza, dentro del ciclo “El reino nazarí de Granada: nuevas perspectivas de la investigación”, que organizan conjuntamente las cátedras “Antonio Domínguez Ortiz” y “Emilio García Gómez”, de La Madraza. Centro de Cultura Contemporánea, Vicerrectorado de Extensión Universitaria de la Universidad de Granada.

Todas las conferencias de este ciclo, con entrada libre, hasta completar el aforo, tendrán lugar en el Salón de Caballeros XXIV de La Madraza, a las 19.30 horas, a excepción de la del 18 de abril de 2017, que se celebrará a la misma hora en el Gabinete de Teatro de La Madraza.

Ciclo:

“El reino nazarí de Granada: nuevas perspectivas de la investigación” (del 9 de febrero al 8 de mayo de 2017).

Programa:

Jueves, 9 de febrero

(Salón de Caballeros XXIV de La Madraza).

“La Arqueología en la reconstrucción histórica del reino nazarí de Granada”, por Alberto García Porras (Universidad de Granada).

Lunes, 6 de marzo

(Salón de Caballeros XXIV de La Madraza).

“Las estructuras y las dinámicas políticas”, por Antonio Peláez Rovira (Universidad de Granada).

Lunes, 13 de marzo

(Salón de Caballeros XXIV de La Madraza).

“Muhammad I y los orígenes del Reino Nazarí: nuevas claves y reflexiones”, por Bárbara Boloix Gallardo (Universidad de Granada).

Lunes, 20 de marzo

(Salón de Caballeros XXIV de La Madraza).

“Derecho islámico, familias y documentos”, por Amalia Zomeño Rodríguez (Centro de Ciencias Sociales y Humanas, CSIC, Madrid).

Miércoles, 29 de marzo

(Salón de Caballeros XXIV de La Madraza).

“Granada en el occidente mediterráneo bajomedieval”, por Roser Salicrú i Lluch (Institución Milá y Fontanals, CSIC, Barcelona).

Lunes, 3 de abril

(Salón de Caballeros XXIV de La Madraza).

“La población y los componentes étnicos”, por Bilal Sarr Marroco (Universidad de Granada).

Martes, 4 de abril

(Salón de Caballeros XXIV de La Madraza).

“Las actividades económicas”, por Adela Fábregas García (Universidad de Granada).

Martes, 18 de abril

(Gabinete de Teatro de La Madraza).

“Ibn-al-Jatib, en la brecha entre las dos orillas del occidente islámico”, por Laila M. Jreis Navarro (Universidad de Granada).

Lunes, 24 de abril

(Salón de Caballeros XXIV de La Madraza).

“La Alhambra: avances y desafíos”, por María Elena Díez Jorge (Universidad de Granada).

Miércoles, 26 de abril

(Salón de Caballeros XXIV de La Madraza).

“Vida y política: biografías e historia de la dinastía nazarí (siglos XIII-XV)”, por Francisco Vidal Castro (Universidad de Jaén).

Jueves, 4 de mayo

(Salón de Caballeros XXIV de La Madraza).

“El emirato y sus vecinos norteafricanos”, por María Dolores Rodríguez Gómez (Universidad de Granada).

Lunes, 8 de mayo

(Salón de Caballeros XXIV de La Madraza).

“El pensamiento estético y el contexto cultural”, por José Miguel Puerta Vílchez (Universidad de Granada).

http://sl.ugr.es/09yQ