El proyecto “Comorbid Condidionts in ADHD” (CoCA), financiado por la Unión Europea, estudiará los mecanismos biológicos del TDAH y de sus comorbilidades psiquiátricas y somáticas más frecuentes, como la ansiedad, la depresión y la obesidad, entre otras
CoCA conseguirá proporcionar esta información mediante un estudio epidemiológico que incluirá diferentes bases de datos y por primera vez se calcularán los costes económicos asociados a sus comorbilidades. A través de los diferentes enfoques planteados en el proyecto, se espera aumentar la conciencia de la población por este trastorno, reducir el estigma asociado y potenciar los enfoques de intervención y prevención.
Inscripción del 29 de abril al 2 de mayo
Contacto: Gabinete Psicopedagógico. Hospital Real s/n. Tlf: 958 246388 // 248501. Correo: gpp2@ugr.es
Delegados de REPSOL visitan dependencias de la UGR
Los delegados de Repsol han podido constatar las fortalezas académicas, científicas e instrumentales de laUGR puestas al servicio de los estudios de máster y doctorado y los grupos asociados a los programas de postgrado en Ciencias de la Tierra.
Los delegados de REPSOL reciben explicaciones sobre técnicas de investigación geológica en el CIC, los laboratorios de los Dptos. de Estratigrafía y Paleontología, Geodinámica, y Mineralogía y Petrología de la UGR y del Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra (UGR-CSIC).
Más de 500 títulos de la Unión de Editoriales Universitarias Españolas (UNE) se exponen en la FLG
Con la colaboración de estudiantes y profesores del Grado Medio de Aprovechamiento y Conservación del Medio Natural que han realizado sus prácticas dentro del espacio protegido de Sierra Nevada
El proyecto MEMOLA, coordinado por la Universidad de Granada, en colaboración con el Instituto “Emilio Muñoz” de Cogollos Vega, la Comunidad de Regantes de Lanteira, el Parque Nacional y Parque Natural de Sierra Nevada y el Ayuntamiento de Lanteira han recuperado una acequia de careo de 2,9 km situada a más de 2000 m en el municipio de Lanteira (Granada). Dentro del proyecto MEMOLA, la actividad ha sido coordinada, la empresa Arqueoandalusí Arqueología y Patrimonio S.L., uno de los socios del consorcio.
Des chercheurs de l’Université de Grenade (Espagne) prouvent qu’associer des images et des musiques qui sont agréables au patient permet de réduire son niveau de stress, ses pulsations, de diminuer sa fréquence respiratoire et sa pression artérielle.
Leur travail, auquel ont participé 180 patients de Grenade, est publié dans la revue « Journal of Advanced Nursing ».
Une étude réalisée au sein du Département d’Infirmerie de l’Université de Grenade prouve que le fait de projeter aux patients des photographies et de leur faire écouter de la musique avant une opération chirurgicale permet de réduire leur stress préopératoire.
Ce travail, publié par la revue Journal of Advanced Nursing fit participer 180 sujets qui allaient subir une opération au sein de l’Unité d’Otorhinolaryngologie de l’Hôpital Virgen de las Nieves de Grenade. Chez tous ces sujets, les scientifiques de l’UGR ont pu mesurer les variables suivantes: état de stress, pulsations, fréquence respiratoire et pression artérielle.
Comme l’explique José Luis Gómez Urquiza, chercheur au sein de l’UGR et auteur principal de ce travail, « une opération chirurgicale représente en général pour les gens une menace et une perte de contrôle de la situation. À cause de cela, le moment d’attente avant l’opération peut être désagréable et un stress préopératoire peut apparaître ».
Ainsi, « il dépend des professionnels de santé de chercher une façon de détendre le patient, et l’une des options est de détourner son attention ou ses pensées grâce à différentes interventions. Dans notre cas, nous cherchons à obtenir cet effet en projetant des photographies avec de la musique, un stratagème efficace, étant donné les résultats».
Trois groupes de patients
Les chercheurs de l’UGR ont divisé l’échantillon en trois groupes de 60 patients: le premier fut exposé à des photographies de la ville et de la province de Grenade, le second fut exposé à des photographies et à de la musique relaxante, et le troisième servait de groupe de contrôle.
Les résultats ont montré qu’après l’intervention, le groupe auquel on avait projeté les photographies présentait des niveaux plus bas pour toutes les variables analysées mais que les différences avec le groupe de contrôle n’étaient pas significatives. Cependant, le groupe exposé à la fois aux photographies et à la musique présentait, lui, des différences significatives avec le groupe de contrôle.
Les chercheurs ont conclu qu’une projection de photographies associée à de la musique était plus efficace pour réduire le stress préopératoire qu’une intervention normale ou qu’une seule projection de photographies.
Gómez Urquiza remarque qu’aujourd’hui, grâce à Internet et à la musique en streaming, « nous disposons d’un large éventail de possibilités pour choisir des photographies et des chansons selon les goûts des patients. Cela nous permet de créer différentes listes de musiques et de collecter des photographies parmi lesquelles le patient pourra choisir en fonction de ses goûts. Cela détournera son attention vers des perspectives qui n’ont rien à voir avec la chirurgie, ce qui peut favoriser une diminution du stress préopératoire ».
Bibliographie:
A randomized controlled trial of the effect of a photographic display with and without music on pre-operative anxiety
Jose L. Gómez-Urquiza, César Hueso-Montoro, Josefa Urquiza-Olmo, Rocío Ibarrondo-Crespo, Emilio González-Jiménez and Jacqueline Schmidt-Riovalle
Journal of Advanced Nursing
DOI: 10.1111/jan.12937.
Contact:
José Luis Gómez Urquiza
Departamento de Enfermería de la Universidad de Granada
Téléphone: (+34)958241000 – 26195
Adresse mail: jlgurquiza@ugr.es
Ce traitement, conçu conjointement par des scientifiques de l’Université de Grenade (Espagne) et l’Hôpital Virgen de las Nieves de Grenade, permet de réduire les dépenses sanitaires en diminuant le nombre de patients nécessitant être admis à l’hôpital.
Des chercheurs de l’Université de Grenade et l’Hôpital Universitaire Virgen de las Nieves de Grenade ont prouvé qu’un traitement de physiothérapie d’une durée de 7 à 10 jours améliorait sensiblement la qualité de vie des patients souffrant d’une Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). De plus, cette thérapie permet de réduire les dépenses sanitaires en diminuant le nombre de patients nécessitant être admis à l’hôpital.
La BPCO est actuellement un problème sanitaire de premier ordre qui touche plus d’1,5 million de personnes en Espagne. Au niveau européen, on s’attend à ce que le nombre de morts dues aux BPCO augmentent et passent de 270 000 en 2005 à 338 000 en 2030.
On comprend au vu de ces chiffres que cette maladie fasse l’objet d’une grande quantité de publications scientifiques à objectif thérapeutique cherchant des moyens de réduire son impact.
C’est dans ce contexte qu’à vu le jour le projet PULMOACTIVE mené par le groupe de recherche CTS-009 du département de Physiothérapie de l’UGR, co-financé par la Fondation Salud y Progreso, Boehringer Ingelheim et l’entreprise Oximesa. Le travail de recherche présenté dans cet article est développé au sein de ce projet.
Au cours de cette étude, un groupe formé de 49 patients atteints de BPCO, admis à l’hôpital Virgen de las Nieves de Grenade, souffrant d’une forme grave de cette maladie à cause de leur obésité, ont reçu un traitement physiothérapeutique lors de leur hospitalisation due à une aggravation de leurs symptômes.
Les chercheurs ont donc prouvé qu’une courte intervention (entre 7 et 10 jours) peut réduire les conséquences d’une hospitalisation et améliorer les capacités physiques de patients atteints de BPCO afin qu’ils soient plus à même de se ré-adapter à leur vie quotidienne. Les exercices sont surtout dirigés sur les membres inférieurs. Ce sont des exercices de musculation avec des bandes élastiques, du pédalage, des flexions et des équilibres sur un pied.
Ce travail fut publié dans la prestigieuse revue COPD : Journal of Chronic Obstructive Pulmonary et fut présenté récemment lors du Congrès Européen de Pneumologie (ERS 2015) à Amsterdam, aux Pays-Bas.
Bibliographie:
Results of a Multimodal Program During Hospitalization in Obese COPD Exacerbated Patients
Torres-Sanchez I, Valenza MC, Saez-Roca G, Cabrera-Martos I, Lopez-Torres I, Rodriguez-Torres J.
COPD : Journal of Chronic Obstructive Pulmonary Disease. 13 Fev. 2016 (1) : 19-25.
doi: 10.3109/15412555.2015.1043428. Epub
L’article complet est disponible en suivant ce lien:
http://www.tandfonline.com/doi/abs/10.3109/15412555.2015.1043428?journalCode=icop20
Contact:
Marie Carmen Valenza
Departamento de Fisioterapia de la Universidad de Granada
Téléphone: (+34)958248035
Adresse mail: cvalenza@ugr.es
Cette avancée scientifique, à laquelle sont parvenus des chercheurs de l’UGR et du CSIC est d’une grande importance pour le monde de l’anthropologie biologique et a des retombées, entre autres, sur la paléoanthropologie, la paléodémographie, les sciences médico-légales ou l’orthodontie.
Les scientifiques ont découvert que les différences aidant à distinguer une mâchoire d’homme d’une mâchoire de femme ne sont pas les mêmes si le sujet est de type méso-facial, dolicho-facial ou brachy-facial (les trois types de profils anthropométriques). Il est donc nécessaire d’étudier le type facial vertical d’un sujet avant de déterminer son sexe.
Des scientifiques de l’Université de Grenade (Espagne) et du Musée Espagnol de Sciences Naturelles (sous la direction du Conseil Supérieur Espagnol de la Recherche Scientifique – CSIC) ont appliqué une technique plus précise que celle actuellement utilisée afin d’analyser les différences de forme et de taille de la mâchoire liées au sexe. Cette technique sera utile au moment de déterminer si une mâchoire appartient à un homme ou à une femme.
Leur étude, publiée par la revue scientifique « Journal of Comparative Human Biology » parfait la technique actuellement utilisée pour déterminer si une mâchoire est féminine ou masculine. Elle est d’une grande importance pour le monde de l’anthropologie biologique et a des retombées, entre autres, sur la paléoanthropologie, la paléodémographie, les sciences médico-légales ou l’orthodontie.
Les scientifiques ont découvert que les différences aidant à distinguer une mâchoire d’homme d’une mâchoire de femme ne sont pas les mêmes si le sujet est de type méso-facial, dolicho-facial ou brachy-facial (les trois types de profils anthropométriques). Il est donc nécessaire d’étudier le type facial vertical d’un sujet avant de déterminer son sexe.
Comme l’explique José Antonio Alarcón Pérez, du Département de Stomatologie de l’Université de Grenade, auteur principal de cette étude, « les mâchoires des sujets de type dolicho-facial et brachy-facial présentent des modèles spécifiques de dimorphisme sexuel. Ces différences pourraient s’expliquer par des besoins physiologiques divergeant et à la différence de taille de cavité nasale existant entre les hommes et les femmes. En effet, les hommes dépensent plus d’énergie au quotidien, ils ont besoin d’une plus grande consommation d’air pour respirer et leur composition corporelle est différente de celle des femmes ».
Étude réalisée sur 187 mâchoires.
L’étude de l’UGR et du CSIC analyse comment le sexe génère des différences dans la taille et la forme de la mâchoire, en fonction du type facial vertical et sagittal. Les sujets de type vertical peuvent être de type méso-facial ou dolicho-facial. Ceux de type sagittal peuvent être de Classe I squelettique (rapport maxillo-mandibulaire normal), de Classe II squelettique (rétrognathie mandibulaire ou prognathisme maxillaire) et de Classe III squelettique (prognathisme mandibulaire versus rétrognathie maxillaire).
Pour conduire cette étude, ses auteurs ont analysé les mâchoires de 187 sujets adultes habitant à Grenade (92 hommes et 95 femmes) grâce à des téléradiographies latérales de leurs crânes. La forme et la taille des mâchoires ont été étudiées grâce à des techniques spécifiques de morphométrie géométrique.
Des différences statistiquement significatives sont apparues entre les hommes et les femmes au niveau de la taille et de la forme de leurs mâchoires. Ce dimorphisme sexuel se manifeste clairement chez tous les sujets analysés, aussi bien chez ceux de type vertical que chez ceux de types sagittal. La mâchoire des hommes est plus grande dans chacun des sous-groupes.
Bibliographie:
Variation of mandibular sexual dimorphism across human facial patterns.
J.A. Alarcón, M. Bastir, A. Rosas, HOMO – Journal of Comparative Human Biology (2016)
http://dx.doi.org/10.1016/j.jchb.2015.11.004
Contact:
José Antonio Alarcón Pérez
Departamento de Estomatología de la Universidad de Granada
Téléphone: (+34)958 243 794
Adresse mail: jalarcon@ugr.es
The scientific breakthrough, carried out by researchers at UGR and the Spanish National Research Council (CSIC), is of great significance to the field of biological anthropology. It also has further implications for paleoanthropology, paleodemographics, forensic science and orthodontics, among other disciplines.
The scientists discovered that the differences that help to distinguish between the jaw bone of a male and that of a female are different if the subject has a meso-, dolico- or braqui-facial pattern (the three types of anthropometric profiles). As a result, before determining the gender of skeletal remains, it is necessary to establish the vertical facial pattern.
Scientists at the University of Granada and the National Museum of Natural Science (of the CSIC) have applied a new, more accurate technique in order to analyze the differences in mandible size and shape which are linked to gender. The new technique will be useful when determining whether a bone comes from a man or a woman.
Their study, published in the Journal of Comparative Human Biology, perfects the technique currently used to identify the gender that a jaw bone comes from. The results are of great importance to the field of biological anthropology and have further implications for paleoanthropology, paleodemographics, forensic science and orthodontics, among other disciplines.
The scientists discovered that the differences that help to distinguish between the jaw bone of a male and that of a female are different if the subject has a meso-, dolico- or braqui-facial pattern (the three types of anthropometric profiles). As a result, before determining the gender of skeletal remains, it is necessary to establish the vertical facial pattern.
The head author of the study, José Antonio Alarcón Pérez of the Department of Stomotology at the University of Granada, explains that “the dolico and braqui-facial subjects present specific patterns of sexual dimorphism in the mandible. These differences could be attributed to the different physiological demands and the difference in the size of the nasal cavity between women and men. Men present higher daily energy expenditures, higher air intake from breathing and differences in body composition compared to women.”
A study of 187 jaw bones
The UGR and CSIC study analyzed how the differences linked to gender in the size and shape of the jaw bone varied in function of the vertical and sagittal patterns of the face. Vertical patterns are classified as meso-, braqui- and dolico-facial; sagittal patterns are classified as Class I (normal maxillomandibular relationship), Class II (mandibular retrognathism versus maxillary prognathism) and Class III (mandibular prognathism versus maxillary retrognathism).
In carrying out their study, the authors analyzed the jaw bones of 187 adult subjects (92 men and 95 women) from Granada using lateral teleradiography of the cranium. The size and shape of the jaw bones were studied using specific geometric morphometric techniques.
They found statistically significant differences in the size and shape of the bones between men and women. This sexual dimorphism can be clearly observed in all the patterns, both vertical and sagittal, that were analyzed. The male jaw bone is bigger across all subgroups.
Bibliographical References:
Variation of mandibular sexual dimorphism across human facial patterns.
J.A. Alarcón, M. Bastir, A. Rosas, HOMO Journal of Comparative Human Biology (2016)
http://dx.doi.org/10.1016/j.jchb.2015.11.004
Contact Info:
José Antonio Alarcón Pérez
Department of Stomatology at the University of Granada
Telephone: (0034) 958 243 794
E-mail: jalarcon@ugr.es
