Experts prove the geochemical origin of part of the CO2 emissions in semiarid climates

– Experts prove the geochemical origin of part of the CO2 emissions in semiarid climates

– CO2 level is not only connected with vegetation in these ecosystems, but also with the humidity rate and emissions of geochemical origin which become more pronounced in dry seasons.

– The study can be relevant for the negotiation of greenhouse gas emissions and biodiversity conservation.

– The results of this research line have been published in the international journals Photosynthetica and Agricultural and Forest Meteorology.

Granada, Spain – The implementation of the Kyoto Protocol has raised, among other pressing matters, the need of getting to know the annual levels of carbon in different earth’s ecosystems. Scientists connected with the CEAMA-Andalusian Centre for the Environment (University of Granada-Andalusian Council) are studying these levels in semiarid Mediterranean scrubland, situated in Eastern Andalusia, whose results are comparable to wide regions of the world.

These researchers have analysed for the first time the CO2 level in carbonated semiarid systems. The interest of the work lies in the knowledge of the CO2 production processes and their absorption and in the conservation of one of the richest ecosystems of Spain.

One of the most recent studied on the subject is the doctoral thesis “CO2 interchanges between atmosphere and karst ecosystems: Applicability of the commonly applied techniques”, read by Penélope Serrano Ortiz and led by Doctors Andrew S. Kowalski and Lucas Alados Arboledas.

The work, supported by the “Carbon and water balance in Mediterranean thicket ecosystems in Andalusia: Effect of the climatic change” project, has permitted to quantify and identify the processes involved in carbon annual balance in a semiarid carbonated substrate ecosystem, situated in Sierra de Gádor (Almeria). After three years of observation of this ecosystem (2004-2006), through the use of the most advanced techniques, have permitted to estimate the annual carbon balance. The carbon balance of this type of ecosystem has been checked for the first time, revealing that it acts as a CO2 drain which assimilates approximately 25 g C m-2 a year (between 10 and 20 times lower than arable land and tree ecosystems respectively).

Extreme climate

What is the meaning of this in an area characterized by a scrubland vegetation and a dry climate? Up to now, when it came to devise measures to prevent climatic change, they used to value tree ecosystems especially; that is the origin of the emphasis made in the reforestation and forestation of neglected agricultural land. But little attention had been paid to other ecosystems, such as the thicket ecosystem object of this study, which represents more than half the forest area of Andalusia (where a great part of the biological diversity of the Mediterranean ecosystems gathers together).

In that respect, besides defining the CO2 assimilation capacity of the studied thicket area, Serrano’s thesis has proved how rain distribution conditions the functional nature of the studied ecosystem and how the duration of the drought period and, therefore, the water content, determinates the duration of the CO2 geochemical emissions, through soil ventilation.

It proves that CO2 production is not only related to vegetation, but also to geochemical emissions which increase in dry seasons.

“The hypothesis formulated in this work -says Serrano- is that the emissions are a consequence of a ventilation phenomenon of the carbonated system’s macro-pores, which appear to be connected with wind speed. In this line, certain studies on degasification phenomenon in caves and turbulent CO2 interchanges with the atmosphere, carried out by Sergio Sánchez Moral and Soledad Cuezva Robleño (Spanish Museum of Natural Sciences, CSIC) in the Altamira Cave, endorse the theory of the existence of CO2 geochemical flows in ecosystems situated in karst substrate”.

Politics and ecology

CO2 is one of the main greenhouse gases which contributes to the rise of earth’s temperature. Serrano Ortiz’s study is the first one focused on carbonated semiarid ecosystems and has proved that they act as CO2 drains, due to the action of the thickets, and as CO2 geochemical generators in dry periods (especially worrying if we reach the temperature rise predicted by climatic change models).

His work provides data of C (carbon) flows in key ecosystems for biodiversity conservation, as well as for the negotiations related to CO2 emissions.

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Des experts démontrent l’origine géochimique d’une partie des émissions de CO2 dans des climats semi-arides

– Des experts démontrent l’origine géochimique d’une partie des émissions de CO2 dans des climats semi-arides Photo annexe : Tour de mesure des échanges de CO2 entre l’écosystème et l’atmosphère à travers la technique “eddy covariance”).
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L’entrée en vigueur du Protocole de Kyoto a abordé, parmi d’autres urgences, le besoin de connaître les bilans annuels de carbone dans divers écosystèmes terrestres. Des scientifiques de CEAMA-Centre Andalou de l’environnement (Université de Grenade-Gouvernement Automne d’Andalousie) étudient ces bilans dans des zones semi-désertiques de matorral méditerranéen, situés en Andalousie Orientale, mais dont les résultats sont extrapolables à d’autres régions du monde.

Ces chercheurs analysent pour la première fois le bilan de CO2 dans les systèmes semi-arides carbonatés. L’intérêt de ce travail réside dans la connaissance des processus de production de CO2 et de son absorption ainsi que dans la conservation d’un des écosystèmes les plus riches de l’Espagne.

Parmi les récentes études sur le thème, se trouve la thèse de doctorat « Echanges de CO2 entre l’atmosphère et les écosystèmes karstiques : applicabilité des techniques communément appliquées », lu par Penélope Serrano Ortiz et dirigée par les docteurs Andrew S. Kowalski et Lucas Alados Arboledas.

Le travail, soutenu par le projet « Bilan du carbone et de l’eau dans les écosystèmes de matorral méditerranéen en Andalousie : l’effet du changement climatique », a permis de quantifier et d’identifier les processus qui interviennent dans le bilan annuel de carbone dans un écosystème semi-aride de substrat carbonaté, situé dans la Sierra de Gádor (Almería). Trois années d’observation de cet écosystème (2004 – 2006), à travers l’usage des techniques les plus avancées (photo annexe), ont permis d’évaluer son bilan annuel de carbone. On a vérifié pour la première fois le bilan du carbone de ce type d’écosystème, en révélant qu’il réagit comme puisard de CO2 et qu’il assimile un peu près 25 g C m-2 par an (10 à 20 fois plus bas que les écosystèmes des terres de culture et d’arbres, respectivement).

Climat extrême
Qu’est-ce que cela peut signifier pour une zone caractérisée par une végétation de matorral et un climat très sec? Jusqu’à maintenant, on a évalué spécialement les écosystèmes arborés au moment de concevoir des mesures pour prévenir le changement climatique; de là l’accent mis sur la reforestation et le boisement des terres agricoles abandonnées. Mais, on a dédié peu d’attention à d’autres, comme celui du matorral maintenant étudié, qui représente plus de la moitié de la superficie forestière d’Andalousie (où se concentre la grande partie de la diversité biologique des écosystèmes méditerranéens).

En ce sens, en plus de définir la capacité d’assimilation de CO2 de la zone de matorral étudiée, la thèse de Serrano a démontré comment la distribution des pluies conditionne la fonctionnalité de l’écosystème étudié et comment la durée de la période de sécheresse et, par conséquent le contenu de l’eau, détermine la durée des émissions de CO2 de provenance géochimique, par ventilation du sol.

Ainsi est démontré que la production de CO2 n’est pas seulement liée à la végétation, sinon aussi à des émissions d’origine géochimique qui s’intensifient durant les périodes de sécheresse.

« L’hypothèse que nous formulons dans ce travail – signale Serrano – est que ces émissions sont la conséquence des phénomènes de ventilation des macropores du système carbonaté, qui paraissent être en relation avec la vélocité du vent. Dans cette ligne, des études des phénomènes de dégazage des grottes et des échanges turbulentes de CO2 avec l’atmosphère, réalisés par Sergio Sánchez Moral et Soledad Cuezva Robleño (Musée National des Sciences Naturelles (CSIC) dans la Grotte de Altamira (Cueva de Altamira, Santander), avalisent la théorie d’existence des flux de CO2 de provenance géochimique dans des écosystèmes localisés sur substrat karstique ».

Politique et écologie
Le CO2 est un des principaux gaz à effet de serre qui contribue dans l’augmentation de la température terrestre. L’étude de Serrano Ortiz est la première qui s’est centrée à connaître les écosystèmes semi-arides carbonatés, et a démontré qu’ils réagissent comme des puisards de CO2, par l’action du matorral, et comme émetteurs de CO2, d’origine géochimique durant les époques de sécheresse (spécialement préoccupant si la hausse des températures que prédisent les modèles de changement climatique est atteinte).

Le travail fournit donc, des données de flux de C (carbone) dans des écosystèmes clés pour la conservation de la biodiversité, ainsi que pour les négociations relatives aux émissions de CO2.

Coordonnées :
Dr. Penélope Serrano Ortiz. Département de Physique Appliquée. Université de Grenade. Tél. (+34) 958 24 29 28. Courriel : Penélope@ugr.es
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L’identification faciale facile

– L’identification faciale facile

Une chercheuse espagnole a mis au point un système de reconstruction faciale qui permet didentifier rapidement des personnes décédées.

Lorena Valencia Caballero, du Laboratoire dAnthropologie Physique de lUniversité de Grenade, a constitué ce qui est officiellement présenté comme la base de données anthropométriques « la plus complète qui existe dans le monde ». Elle a analysé et intégré les caractéristiques faciales de 33 cadavres, combinées à celle de 154 personnes, bien vivantes celles-là.

Comme lexplique le communiqué de lUniversité, « le système (…) permet dobtenir linformation osseuse ainsi que celle du tissu mou du visage de lindividu » et de procéder ensuite sur ordinateur la reconstruction faciale en trois dimensions du sujet étudié. Une technique qui permettra donc aux médecins légistes de gagner un temps considérable dans leur travail danalyse.

Si Lorena Valencia Caballera reconnaît que des systèmes similaires sont en cours de développement, notamment aux Etats-Unis avec le FBI, elle précise quil nexiste « aucune base de données similaire pour identifier des individus appartenant au phénotype méditerranéen ». Le laboratoire est en quête maintenant dun partenaire pour réaliser les développements informatiques nécessaires.
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Un composé extrait des olives inhibe la croissance des cellules cancéreuses et empêche leur formation

– Un composé extrait des olives inhibe la croissance des cellules cancéreuses et empêche leur formation

Un groupe de recherche de l’université de Grenade a découvert que l’acide maslinique, naturellement présent dans la feuille et l’épicarpe des olives et extrait de l’alpeorujo (pulpe olive écrasée), a la capacité d’empêcher le cancer aussi bien que l’apoptose de réglementation dans des processus cancérogènes.

L’acide de Maslinic est un inhibiteur de protéase qui a la capacité de réguler la croissance cellulaire. Il est utile pour le traitement du cancer car il permet de contrôler les processus d’hyperplasie et d’hypertrophie typique de cette maladie. Ces travaux ont été menés à bien par le doctorant Fernando Jesús Reyes Zurita, et dirigé par le professeur José Antonio Lupiáñez Cara, du département de biochimie et de biologie moléculaire I. selon eux, l’acide maslinique possède trois avantages : À la différence d’autres produits anti-cancérogènes, fortement cytotoxiques, l’acide maslinique est un composé naturel et, en conséquence, moins toxique. En outre, il est sélectif, car il agit seulement sur les cellules cancérogènes, dont le pH est plus acide que les cellules saines. D’autre part il a une action préventive car il empêche les cellules ayant un fort potentiel carcinogène de se transformer en cellules cancéreuses.

Pour tous les types de cancer

De plus, le groupe de recherche de professeur Lupiáñez Cara a analysé l’effet de l’acide maslinique dans le traitement du cancer du colon, il peut être utilisé dans différents types de tumeurs. Pour le moment, leurs travaux de recherches ont été développés sur des lignes de colon carcinome et des souris transgéniques, mais ils n’ont pas écarté la possibilité de les appliquer aux humains à l’avenir. L’acide maslinique est un terpène pentacyclique qui, en plus d’être anti-cancérogène, a des effets anti-inflammatoires et antioxydants et peut être trouvé dans des concentrations élevées dans les cires de peaux d’olives. Actuellement, la seule usine de cette substance à un niveau semi-industriel dans le monde entier est à la faculté des sciences de l’université de Grenade.
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Experts prove the geochemical origin of part of the CO2 emissions in semiarid climates

– Experts prove the geochemical origin of part of the CO2 emissions in semiarid climates.

The implementation of the Kyoto Protocol has raised, among other pressing matters, the need of getting to know the annual levels of carbon in different earth’s ecosystems. Scientists connected with the CEAMA-Andalusian Centre for the Environment (University of Granada-Andalusian Council) are studying these levels in semiarid Mediterranean scrubland, situated in Eastern Andalusia, whose results are comparable to wide regions of the world.

These researchers have analysed for the first time the CO2 level in carbonated semiarid systems. The interest of the work lies in the knowledge of the CO2 production processes and their absorption and in the conservation of one of the richest ecosystems of Spain.

One of the most recent studied on the subject is the doctoral thesis “CO2 interchanges between atmosphere and karst ecosystems: Applicability of the commonly applied techniques”, read by Penélope Serrano Ortiz and led by Doctors Andrew S. Kowalski and Lucas Alados Arboledas.

The work, supported by the “Carbon and water balance in Mediterranean thicket ecosystems in Andalusia: Effect of the climatic change” project, has permitted to quantify and identify the processes involved in carbon annual balance in a semiarid carbonated substrate ecosystem, situated in Sierra de Gádor (Almeria). After three years of observation of this ecosystem (2004-2006), through the use of the most advanced techniques (attached photo), have permitted to estimate the annual carbon balance. The carbon balance of this type of ecosystem has been checked for the first time, revealing that it acts as a CO2 drain which assimilates approximately 25 g C m-2 a year (between 10 and 20 times lower than arable land and tree ecosystems respectively).

Extreme climate

What is the meaning of this in an area characterized by a scrubland vegetation and a dry climate Up to now, when it came to devise measures to prevent climatic change, they used to value tree ecosystems especially; that is the origin of the emphasis made in the reforestation and forestation of neglected agricultural land. But little attention had been paid to other ecosystems, such as the thicket ecosystem object of this study, which represents more than half the forest area of Andalusia (where a great part of the biological diversity of the Mediterranean ecosystems gathers together).

In that respect, besides defining the CO2 assimilation capacity of the studied thicket area, Serrano’s thesis has proved how rain distribution conditions the functional nature of the studied ecosystem and how the duration of the drought period and, therefore, the water content, determinates the duration of the CO2 geochemical emissions, through soil ventilation.

It proves that CO2 production is not only related to vegetation, but also to geochemical emissions which increase in dry seasons.

“The hypothesis formulated in this work -says Serrano- is that the emissions are a consequence of a ventilation phenomenon of the carbonated system’s macro-pores, which appear to be connected with wind speed. In this line, certain studies on degasification phenomenon in caves and turbulent CO2 interchanges with the atmosphere, carried out by Sergio Sánchez Moral and Soledad Cuezva Robleño (Spanish Museum of Natural Sciences, CSIC) in the Altamira Cave, endorse the theory of the existence of CO2 geochemical flows in ecosystems situated in karst substrate”.

Politics and ecology

CO2 is one of the main greenhouse gases which contributes to the rise of earth’s temperature. Serrano Ortiz’s study is the first one focused on carbonated semiarid ecosystems and has proved that they act as CO2 drains, due to the action of the thickets, and as CO2 geochemical generators in dry periods (especially worrying if we reach the temperature rise predicted by climatic change models). His work provides data of C (carbon) flows in key ecosystems for biodiversity conservation, as well as for the negotiations related to CO2 emissions.
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Casi tres mil viviendas de la capital están cerradas y más de mil no tienen contador

– Casi tres mil viviendas de la capital están cerradas y más de mil no tienen contador

El Ayuntamiento ha encargado a la Universidad un estudio de la situación de las viviendas en Granada para elaborar un plan.

Casi tres mil viviendas de la capital no consumen agua, lo que significa que están cerradas, y más de 1.200 ni siquiera disponen de contador. Los datos, facilitados por la empresa municipal de aguas, Emasagra, a la Universidad de Granada, son sólo una pista que permitirá desvelar cuál es la situación real de la vivienda en Granada. Y es que el Ayuntamiento ha encargado mediante un convenio al Instituto de Desarrollo Regional y el Centro de Investigación y Documentación Científica de la UGR, una investigación para determinar el número de viviendas desocupadas que hay en la capital. El estudio tiene como objetivo final elaborar un plan municipal de vivienda por parte del Ayuntamiento que se adapte a las necesidades de la ciudad. Queremos tener datos reales en base a un estudio serio que nos permitan conocer cuáles serán las necesidades futuras de la ciudad en materia de vivienda, explicó la concejal de Urbanismo del Ayuntamiento de Granada, Isabel Nieto.

Para facilitarle al máximo el trabajo a los grupos de investigación el servicio de informática del Ayuntamiento ha sacado todos los datos de la ciudad relativos a la población. El catastro y el Instituto Nacional de Estadística serán las fuentes fundamentales con las que trabajen los grupos de la Universidad. En Granada, según los datos que aporta el Impuesto de Bienes Inmuebles (IBI) hay 126.095 viviendas pero, según Emasagra hay 124.821, lo que supone que más de mil casas no tienen contador de agua.

El estudio nos va a permitir localizar por distritos y por calles dónde se ubican los pisos vacíos, declaró la concejal de Urbanismo, quien asegura que el estudio será una herramienta indispensable que servirá de base al Plan General de Ordenación Urbana (PGOU) para determinar cuáles deben ser las futuras zonas de crecimiento en los próximos diez años.

El Ayuntamiento cree que en seis meses tendrá en sus manos un avance importante del estudio con el que poder ir trabajo. El análisis también tendrá en cuenta al Área Metropolitana para comprender el fenómeno migratorio que predomina en los últimos años en la capital, y es que la ciudad está perdiendo cada vez más población ante la imposibilidad de los ciudadanos de acceder a una vivienda.
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Granada será una de las cuatro sedes del Instituto Español de Matemáticas

– Granada será una de las cuatro sedes del Instituto Español de Matemáticas

El centro científico se ubicará en un edificio de unos 2.000 metros cuadrados que acogerá entre 40 y 50 investigadores estables y atraerá inversiones públicas

Granada será una de las cuatro sedes del Instituto Español de Matemáticas (IEMath) del Ministerio de Educación y Ciencia, anunció ayer el secretario de Política Científica y Tecnológica, Francisco José Marcellán. La apertura del centro supondrá una fuerte inversión económica -el presupuesto del IEMath para este año es de 2,5 millones de euros-, un respaldo a las investigaciones de este área y la atracción de científicos a la ciudad para trabajar o participar en actividades puntuales.

Marcellán, que ayer presentó en la Facultad de Ciencias el Plan Nacional de Investigación, explicó que, con el desarrollo del IEMath, Granada «va a beneficiarse de una financiación asignada desde el Estado en cooperación con las comunidades autónomas para el desarrollo de políticas de investigación en el área de Matemáticas, que van a complementar las que hacen los departamentos de Matemáticas de la UGR». Agregó que la creación del centro «facilitará la incorporación de investigadores, sobre todo postdoctorales, a tareas de investigación, en cooperación con los departamentos universitarios pero en una sede específica».

El instituto tendrá instalaciones en Madrid, Barcelona, Santiago de Compostela y Granada, ciudades que han vencido a las candidaturas de Sevilla, Valencia y Zaragoza.

El secretario de Política Científica aseguró que la UGR es «una de las universidades españolas punteras en investigación» y, en concreto en Matemáticas, está «entre las cinco primeras»

Bien colocada

Las cuatro ciudades elegidas competirán ahora por convertirse en sede central del IEMath. El catedrático de Geometría y Topología de la UGR Antonio Ros, que ha coordinado el equipo de matemáticos que respaldó la propuesta institucional, aseguró que, si se manejan «criterios científicos», Granada está «bien colocada» para aspirar a ese puesto.

Ros explicó a IDEAL que la Universidad dispone de «varias opciones» para ubicar el IEMath en un plazo de pocos meses. El edificio tendría que disponer de entre 1.800 y 2.000 metros cuadrados para acoger los despachos del personal estable -entre 40 y 50 investigadores- y espacios disponibles para los científicos que acudan a actividades puntuales.

Señaló que el objetivo del proyecto es, por un lado, atraer a Granada a los mejores matemáticos del mundo para impartir seminarios y cursos o asistir a congresos y, por otro, ofrecer una salida estable a los jóvenes investigadores en el difícil periodo entre la lectura de la tesis y la incorporación a un puesto de trabajo estable.

El catedrático explicó que este tipo de instituto tiene mucha tradición en Estados Unidos y Europa, pero en España representa una novedad que ilusiona «a todos los matemáticos».
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La UGR identifica más de 1.200 grupos religiosos no católicos

– La UGR identifica más de 1.200 grupos religiosos no católicos.

El objetivo principal de este estudio, en el que han participado varios antropólogos, es dibujar un mapa de todas las agrupaciones existentes en la comunidad autónoma

La Universidad de Granada ha censado más de 1.200 grupos religiosos no católicos en toda Andalucía en un estudio mediante el que pretende trazar un mapa de todas las organizaciones en la región.
DANI R. MOYA. GRANADA Un grupo de antropólogos encabezado por Rafael Briones Gómez, profesor titular e investigador de la Universidad de Granada (UGR), ha censado en Andalucía más de 1.200 grupos religiosos no católicos. Este estudio, enmarcado en un proyecto firmado entre la institución académica y la Fundación Pluralismo y Convivencia, tiene como propósito principal dibujar un mapa actual de los grupos religiosos existentes en Andalucía, analizando sus características, sus actividades y su implantación e integración social.

En este trabajo, han participado diferentes antropólogos entre los que destacan Óscar Salguero, investigador de la UGR y director del estudio en Andalucía oriental, y Sol Tarrés, directora de la zona occidental y profesora de la Universidad de Huelva. Tarrés destacó la importancia de la religión como elemento transversal e integrador del individuo. La religión, creas o no creas, está ahí, señaló la investigadora, quien añadió: ¿Cuánta gente que se declara atea o agnóstica asiste en primera fila a la Semana Santa?.

La Fundación Pluralismo y Convivencia es una fundación del sector público estatal, creada por acuerdo de Consejo de Ministros de 15 de octubre de 2004, a propuesta del Ministerio de Justicia. Su objeto es contribuir a la ejecución de programas y proyectos de carácter cultural, educativo y de integración social de las confesiones religiosas minoritarias que hayan celebrado acuerdo de cooperación con el Estado o con notorio arraigo en España, así como el fomento del pleno ejercicio de la libertad religiosa.
El trabajo de los investigadores en Andalucía supone una continuación a los ya elaborados en otras comunidades autónomas, buscando, entre otras cosas, el conocimiento de los grupos así como la actualización del Registro de Entidades Religiosas del Ministerio de Justicia, ya que existen muchos más grupos de los que hay registrados y otros tantos que figuran en el mismo aunque han desaparecido en la práctica, señaló Tarrés. En total, el equipo dirigido por Rafael Briones ha censado más de 1.200 grupos religiosos no católicos, lo cual da una idea de la variedad existente en Andalucía.

El concepto de religión que estos antropólogos manejan es, según explicó Sol Tarrés, más amplio que el utilizado por los juristas. En este sentido, como religiones mayoritarias los antropólogos destacan las que ya poseen el acuerdo de cooperación, como son los católicos, cristianos evangélicos y protestantes, musulmanes y, aunque son minoritarios, los judíos. El siguiente paso lo constituyen aquellos grupos religiosos que ya poseen declaración de notorio arraigo, lo que les permitirá firmar acuerdos o convenios de cooperación con el Estado en el futuro, que se resumen en los testigos de Jehová, los mormones y, muy recientemente, los budistas. A partir de aquí, existen numerosos grupos que van desde los cienciólogos o los bahaí hasta los heterodoxos, como la Iglesia Universal del Reino de Dios, o los Rosacruces, un grupo no religioso en sentido estricto que, sin embargo, está inscrito como entidad religiosa.

Para Sol Tarrés, la transversalidad de la religión en numerosos aspectos de la vida hace que este estudio se plantee como una herramienta importante, especialmente en el ámbito sociopolítico. La libertad religiosa es un derecho fundamental del individuo, sostuvo la antropóloga, y el hecho de estar en un país aconfesional no significa que la religión esté fuera de la vida pública. En este sentido, los datos aportados por esta investigación puede ayudar a tratar realidades que, por ejemplo, los ayuntamientos no saben cómo atajar. Puede ser el caso del derecho o no a tener un cementerio judío o musulmán, o a ceder espacio para construir mezquitas o sinagogas. Para resolver esto primero tenemos que saber lo que hay y actuar en consecuencia, afirmó Tarrés.
Por otro lado, este grupo de antropólogos también considera como esencial el análisis de la religión como elemento de integración social de los distintos colectivos. En esta línea, los investigadores se plantean cuestiones como si los inmigrantes extranjeros se integran o, por el contrario, se aíslan socialmente a través de sus lugares de culto y de reunión (mezquitas, iglesias y otras formas de congregarse), o si en la educación intercultural es importante o no tratar el aspecto religioso.
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El Ministerio de Sanidad y las comunidades autónomas evalúan la Estrategia de Salud Mental del Sistema Nacional de Salud con el Grupo de expertos del Consejo de Europa

– El Ministerio de Sanidad y las comunidades autónomas evalúan la Estrategia de Salud Mental del Sistema Nacional de Salud con el Grupo de expertos del Consejo de Europa

El encuentro ha servido para analizar el momento en que se encuentra la Estrategia de Salud Mental, cuya evaluación comenzará a finales de este año, y para conocer la labor llevada a cabo por el Grupo de expertos del Consejo de Europa en la defensa de los derechos del enfermo mental

El Ministerio de Sanidad y Consumo ha acogido una reunión conjunta del Comité de Seguimiento y Evaluación de la Estrategia de Salud Mental del Sistema Nacional de Salud, integrado por representantes del Ministerio, las comunidades autónomas, las sociedades científicas y las asociaciones de pacientes; y del grupo de trabajo del Comité de Expertos en Salud Mental del Consejo de Europa.

La Estrategia de Salud Mental se enmarca dentro del Plan de Calidad para el Sistema Nacional de Salud elaborado por el Ministerio de Sanidad y Consumo. Este documento establece una serie de objetivos que deben desarrollar las CCAA y el Ministerio para mejorar la calidad y equidad de la Salud Mental en aspectos de prevención, promoción y atención dentro del Modelo Comunitario de Atención.

El objeto de la reunión que se ha celebrado ha sido doble. Por un lado, analizar el momento en que se encuentra la Estrategia de Salud Mental cuya evaluación comenzará a finales de este año y, por otro, conocer la labor llevada a cabo por el Grupo de expertos del Consejo de Europa en la defensa de los derechos del enfermo mental.

En dicho acto se ha presentado el informe Libertades fundamentales, derechos básicos y atención al enfermo mental, elaborado por expertos de la Universidad de Granada por encargo de la Dirección General de la Agencia de Calidad del SNS del Ministerio de Sanidad y Consumo. Este documento se basa en la revisión sistemática de documentos pertinentes del Consejo de Europa, de organismos relacionados (ECHR, CPT, CHR), de la OMS, de la Unión Europea, de organizaciones profesionales y de la literatura científica.

El informe será un documento de referencia para el Consejo de Europa y para los profesionales, ciudadanos y comunidad científica en general.

Otros temas tratados en la reunión del Comité de Seguimiento y Evaluación de la Estrategia de Salud Mental del SNS han sido la situación de la salud mental en las instituciones penitenciarias en España, una información exhaustiva sobre los comités y grupos de trabajo internacionales en los que participa España relativos a salud mental (OMS, OCDE, UE) y la presentación del Análisis de la variabilidad en Salud Mental en España.
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Una aplicación española permitirá a los turistas personalizar sus visitas según sus gustos

– Una aplicación española permitirá a los turistas personalizar sus visitas según sus gustos

Un grupo de ingenieros de la Universidad de Granada ha desarrollado un software informático, denominado SAMAP, que ofrece a los turistas una visita personalizada según sus gustos. El sistema es abierto y facilitará su integración en sitios web.

* La venta de viajes por internet facturó en España 5.200 millones de euros en 2007
* Las empresas nacionales facturan más de la mitad del comercio electrónico en España
* El 88% de los internautas españoles han comprado en la red alguna vez

Gracias a este proyecto y a través de un ordenador, un móvil o una PDA, el usuario podrá definir sus necesidades, preferencias artísticas, culturales y gastronómicas, su ritmo de vida y horarios preferidos, además de indicar si tiene o no movilidad restringida y cuál es su capacidad de gasto, según informaron los autores del trabajo.

Luis Castillo Vidal, ingeniero informático de la Universidad y uno de los autores del estudio, señaló que para diseñar los planes de visita personalizados se han utilizado técnicas de inteligencia artificial, que dota a los ordenadores de habilidades para resolver problemas que, en principio, sólo los humanos podrían solucionar. La tecnología utilizada, añadió el investigador, es de naturaleza abierta e interoperable, por lo que la hace muy adecuada para su integración en sistemas ya existentes, como los portales web.

Los usuarios deberán disponer de un acceso a internet, bien desde un ordenador o a través de un teléfono móvil o una PDA, para poder dirigirse a una web en la que definir sus gustos y necesidades. El software contrasta estos requisitos personales con la información de una base de datos turística, y ofrece al cliente un plan de visita a medida excluyendo todos aquellos detalles que no le interesan.

El sistema está disponible en lo que se denomina Arquitectura Orientada a Servicios (SOA), un diseño de software que permite la interoperabilidad entre diversas plataformas de manera eficiente y flexible a los cambios.

En el proyecto SAMAP, financiado íntegramente por el Ministerio de Educación y Ciencia, han participado investigadores de las universidades de Granada, Politécnica de Valencia, UNED (Universidad Nacional de Educación a Distancia), Carlos III de Madrid y del Instituto de Investigación en Inteligencia Artificial (IIIA) del CSIC.

Castillo indicó que la tecnología desarrollada en la elaboración del prototipo ha comenzado a transferirse a una spin-off de la Universidad de Granada denominada IActive Intelligent Solutions para su posible comercialización.
El nuevo sistema adaptativo centrado en el usuario para planificar visitas turísticas, como lo definen sus creadores, constituye un paso adelante en la tendencia actual de automatización de las actividades turísticas, como lo son ya el pago en línea de billetes de transporte y alojamientos, o el uso de audio-guías en las visitas a los monumentos.
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La capital cuenta con un total de 126.095 viviendas, 2.868 de ellas sin consumo de agua registrado

– La capital cuenta con un total de 126.095 viviendas, 2.868 de ellas sin consumo de agua registrado

La capital granadina cuenta con un total de 126.095 viviendas, según los datos del Catastro, hechos públicos hoy por la delegada de Urbanismo del Ayuntamiento, Isabel Nieto, quien precisó que 2.868 de ellas no tienen consumo de agua registrado en Emasagra.

Ese número baja si se compara con los datos que posee la empresa municipal de aguas, ya que ésta contabiliza 124.821, un descenso que podría ser debido, según explicó la edil, a que las restantes no tengan contador.

Son datos que serán analizados a partir de ahora por un grupo de expertos universitarios, en base a un acuerdo que ha firmado el Consistorio de la capital con el Instituto de Desarrollo Regional de la Universidad de Granada (UGR) para la elaboración de un estudio sobre el desarrollo poblacional y la necesidad de vivienda en Granada.

El objetivo del estudio es, según explicó Nieto en rueda de prensa, la elaboración de un plan municipal de vivienda y el diseño de una política para aplicar en la capital la Ley Andaluza de Vivienda. Así, se hará además una estimación de las necesidades futuras y, para ello, se cuenta ya con la colaboración del servicio de informática del Ayuntamiento, que ha recopilado los datos de vivienda del INE, del padrón municipal, del Catastro o de Emasagra.

Estará finalizado en un plazo estimado de seis meses, según apuntó Nieto, quien explicó que se busca asimismo una base y argumentación del nuevo Plan General de Ordenación Urbana (PGOU), para aplicar una política que dé la vuelta al aumento de la emigración de granadinos al área metropolitana en detrimento de la capital.

Según explicó la delegada, el estudio estará así avalado por una institución seria e independiente como es la UGR. El Centro de Investigación y Documentación Científica, encargado del estudio, se creó, según mantuvo Nieto, para el desarrollo local y regional en el aspecto económico, social y humano. Desde él, profesores de distintos departamentos trabajan en las áreas de la problemática territorial, planificación urbanística, medioambiente o sociología.

El sistema está disponible en lo que se denomina Arquitectura Orientada a Servicios (SOA), un diseño de software que permite la interoperabilidad entre diversas plataformas de manera eficiente y flexible a los cambios.

En el proyecto SAMAP, financiado íntegramente por el Ministerio de Educación y Ciencia, han participado investigadores de las universidades de Granada, Politécnica de Valencia, UNED (Universidad Nacional de Educación a Distancia), Carlos III de Madrid y del Instituto de Investigación en Inteligencia Artificial (IIIA) del CSIC.

Castillo indicó que la tecnología desarrollada en la elaboración del prototipo ha comenzado a transferirse a una spin-off de la Universidad de Granada denominada IActive Intelligent Solutions para su posible comercialización.
El nuevo sistema adaptativo centrado en el usuario para planificar visitas turísticas, como lo definen sus creadores, constituye un paso adelante en la tendencia actual de automatización de las actividades turísticas, como lo son ya el pago en línea de billetes de transporte y alojamientos, o el uso de audio-guías en las visitas a los monumentos.
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Venenos para salvar vidas

– Venenos para salvar vidas

TOMAR morfina, según la cantidad que ingiera el individuo, puede convertirse en una eficaz solución para acabar con un fuerte dolor o en una nefasta experiencia que provoque una crisis respiratoria en el paciente. En la naturaleza, en estado salvaje, se encuentran muchas de estas plantas de doble filo con las que uno puede salvar la vida o perderla, simplemente en función de la dosis que se consuma. Sobre esto versó ayer la conferencia de la farmacóloga Concepción Navarro Moll, Usos terapéuticos de los venenos, en el Parque de las Ciencias de Granada, donde se celebra el IX Curso de Actualidad Científica hasta el 9 de abril.

La planta de la dormidera -cuyas flores varían del blanco al rosado y del rojo al púrpura, pero nunca son de color amarillo- tiene esa doble función, medicinal o tóxica. En concreto, de sus cápsulas poco maduras se extrae un jugo lechoso o látex que al contacto con el aire forma una costra oscura que es el opio, del cual se extrae la morfina y la heroína.

«El cáñamo indiano, el tetra-hidro-canabinol, también tiene esas dos vertientes: puede provocar una psicosis en altas cantidades, pero un uso adecuado ayuda a mitigar las náuseas y vómitos de la quimioterapia y abre el apetito en otros trastorno; además se emplea en el tratamiento de ciertos tumores cancerosos», explicó la experta, quien estimó en un 25% el total de medicamentos actuales cuyo origen es vegetal. Aún menor es el origen animal, ya que la mayoría se obtiene por síntesis en el laboratorio.

Descartados

Tan tóxicas son algunas plantas que con el tiempo se ha descartado su uso terapéutico. «El acónito -una planta vivaz que muere entrado el otoño, renaciendo ya en la primavera- se usaba en el tratamiento de neuralgias, pero su toxicidad es tal que se abandonó su uso médico», añadió Concepción Navarro. Náuseas intensas, vómitos, diarrea, espasmos musculares, pulso débil, hipotensión arterial, taquicardia, arritmia e incluso la muerte por fallo cardiovascular son los efectos indeseados de estas flores azules con tintes violáceos.

La estricnina -que por accidente consumió el Rolling Stone Keith Richards mezclada con su dosis habitual de drogas varias- procede de la nuez vómica y si se superan los 25 miligramos puede producir la muerte por asfixia debido a la contractura de los músculos torácicos. «Este veneno se usaba hasta hace un tiempo como estimulante medular, pero los estragos que puede causar son tales que ya no se utiliza», apostilló la catedrática.

El célebre nombre de Agatha Christie también está ligado a una planta altamente peligrosa, la digital, de la que se extrae la digoxina, una sustancia eficaz para las dolencias cardiacas, pero que en altas dosis provoca precisamente paros cardiacos. Muchos personajes de la novelista sufrieron los efectos de este veneno que hoy en día se sigue usando con fines medicinales.

El tejo, uno de los árboles más longevos del mundo, siempre ha sido una planta «maldita». Contiene un veneno que puede matar a un caballo en cinco minutos. «Sin embargo, hace 25 años el Instituto Nacional del Cáncer de EE UU hizo un rastreo en distintas especies botánicas y descubrió que en la corteza de este árbol se encuentra el taxol, una sustancia anticancerosa que se aplica eficazmente contra los tumores de mama, ovarios y pulmones», abundó Concepción Navarro.

La belladona, los curares, el podófilo, que bien empleaban los indios norteamericanos, y el cólchico, única molécula activa contra el proceso inflamatorio de la gota, fueron otros ejemplos que mencionó la experta.

«En los ensayos clínicos buscamos las aplicaciones terapéuticas de las sustancias, y una vez que se ha visto su resultado se establece su utilización en función de las dosis que son manejables para ese uso. Uno de los aspectos que cuesta más dinero a la investigación es el estudio toxicológico de un nuevo producto que pueda tener aplicaciones terapéuticas. Es costosísimo, pero obligatoriamente se debe hacer», añadió esta estudiosa de la farmacología de productos naturales.

Más actividades

Ayer, el Parque de las Ciencias acogió otra conferencia bajo el título de Mecanismos de acción de los venenos. Aspectos Fisiológicos y bioquímicos, a cargo de Antonio Pla, del Departamento de Medicina Legal y Toxicología de la Universidad de Granada.

Habrá que esperar al 1 de abril para volver a descubrir nuevos aspectos del mundo de los venenos y las sustancias tóxicas en la naturaleza en unas jornadas que versarán sobre alimentación. Toxinas y Alimentación. Venenos Naturales en los alimentos correrá a cargo de Ana María Cameán Fernández, del departamento de Bioquímica, Bromatología, Toxicología y Medicina Legal de la Universidad de Sevilla; y Los venenos muy cerca. Venenos en la vida cotidiana. Los biocidas será expuesta por Antonio Hernández Jerez, del departamento de Medicina Legal y Toxicología de la Universidad de Granada.
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