Il est démontré que l’application d’une technique d’acuponcture à des femmes enceintes réduit le nombre de césariennes

Des scientifiques espagnols démontrent que l’application de la moxibustion, une technique millénaire d’acuponcture chinoise à des femmes enceintes dont le fœtus se trouve dans une position non-céphalique, contribue à ce que celui-ci se place en position céphalique, évitant ainsi le recours à la césarienne.

La moxibustion, déclarée par l’UNESCO Patrimoine Culturel Immatériel de l’Humanité, se réalise avec une plante connue comme armoise qui s’applique avec de la chaleur dans le corps du patient.

Les chercheurs affirment que si l’on incorporait cette technique dans le Système Sanitaire Public d’Andalousie (SSPA), on éviterait environ 581 césariennes par an, ce qui supposerait une épargne de 2,3 millions d’euros pour le trésor public.

Des scientifiques espagnols ont vérifié que l’application de moxibustion, une technique millénaire d’acuponcture chinoise, à des femmes enceintes entre 33 et 35 semaines de grossesse peut aider à réduire jusqu’à 25% le nombre de césariennes. Cette recherche, pionnière au niveau mondial, a démontré que le recours à cette technique chez des femmes dont le fœtus se trouve dans une position non-céphalique contribue à ce que celui-ci se place en position céphalique, évitant ainsi le recours à la césarienne.

La moxibustion, une technique thérapeutique déclarée en 2010 par l’UNESCO Patrimoine Culturel Immatériel de l’Humanité, se réalise avec une plante connue comme armoise (Artemisa Vulgaris), ou herbe de Saint-Jean, à laquelle on donne la forme d’un cigare dénommé moxa et qui s’applique avec de la chaleur dans le corps du patient.

Cette recherche a été publiée dans la revue Acupuncture Medicine, de la British Medical Acupuncture Society (BMAS), éditée par le prestigieux groupe d’édition  British Medical Journal (BMJ). Son auteure principale est la chercheuse du Département d’Économie Appliquée de l’Université de Grenade, Leticia García Mochón, et ont également collaboré l’École Andalouse de Santé Publique, les centres sanitaires San Andrés Torcal (Malaga) et Doña Mercedes (Dos Hermanas, Séville), l’Institut de Santé Carlos III et l’Agence Sanitaire Costa del Sol (Marbella, Malaga).

Sur le point d’acuponcture Vessie 67

L’objectif de cette étude était d’analyser le rapport coût-effectivité de l’utilisation de la technique de moxibustion afin de corriger la position foetale podalique, et de diminuer ainsi le nombre de césariennes réalisées en fin de grossesse. Pour cela, les auteurs ont élaboré un modèle déterministe d’analyse de décision qui compare le pourcentage d’accouchements avec fœtus en position céphalique et le coût du traitement d’application de chaleur moyennant la combustion d’Armoise Vulgaris (moxibustion) sur le point d’acuponcture Vessie 67 (BL67) à des femmes enceintes avec fœtus en position non-céphalique entre 33 et 35 semaines de grossesse.

Les résultats montrent que la moxibustion évite 8,92% d’accouchements avec fœtus en position non-céphalique en comparaison au traitement conventionnel, ce qui suppose une épargne de 107 euros par accouchement, dû principalement au coût des césariennes évitées. La métanalyse réalisée montre un RR de version de présentation fœtale non céphalique au terme de l’accouchement de 0,35 IC95% (0,16-0,76).

D’autre part, les différentes analyses de sensibilité montrent que la moxibustion peut éviter entre 8% et 25% des césariennes. « Recueillant des données de l’Ensemble Minimal Basique de Données d’Hospitalisation (CMBD) de 2013, si l’on incorpore cette technique au Système Sanitaire Public d’Andalousie (SSPA), on pourrait éviter quelque 581 césariennes par an, ce qui supposerait une épargne de 2,3 millions d’euros par an », signale Leticia García Mochón.

Par ailleurs, un résultat inattendu de cette étude a été l’incidence majeure de césariennes en présentation céphalique chez le groupe moxibustion (19%) que chez celui de contrôle (13,3%). « Nous n’avons aucune explication à ce fait, mais cela peut être un exemple de ‘cécité induite par la théorie’, étant donné la difficulté d’intégrer des techniques d’acuponcture dans le paradigme standard de la médecine occidentale », remarque la chercheuse.

 

Référence bibliographique :
Cost effectiveness of using moxibustion to correct non-vertex presentation
Leticia García-Mochón, José J. Martín Martín, José Manuel Aranda-Regules, Francisco Rivas-Ruiz & Jorge Vas
Acupunct Med. 2015; 0:1–6. doi:10.1136/acupmed-2014-010696

 

1. La chercheuse UGR Leticia Garcia MOCHON .

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2 et 3. Matériau utilisé pour la moxibustion et le patient subissant cette technique ( PHOTOS : Wikimedia et Jaap Buijs / Flickr )

 

Contact :
-Leticia García Mochón : Étudiante du Programme de Doctorat de la Faculté des Sciences Économiques et de l’Entreprise de l’Université de Grenade. Portable : 649 515 687; courriel : leticia.garcia.easp@juntadeandalucia.es ; twitter: @lgmochon
-José J. Martín Martín : Maître de Conférences du Département d’Économie Appliquée de l’Université de Grenade. Courriel : jmartin@ugr.es; portable : 677842143

Contact : 

-Leticia García Mochón : Étudiante du Programme de Doctorat de la Faculté des Sciences Économiques et de l’Entreprise de l’Université de Grenade. courriel : leticia.garcia.easp@juntadeandalucia.es ; twitter: @lgmochon

-José J. Martín Martín : Maître de Conférences du Département d’Économie Appliquée de l’Université de Grenade. Courriel : jmartin@ugr.es; 


Acupuncture technique reduces need for caesarean sections

Spanish scientists find that applying moxibustion–an ancient Chinese acupuncture technique–reduces the number of caesarean sections. Moxibustion helps move the fetus from a non-vertex to the vertex position

 Moxibustion–declared an Intangible Cultural Heritage of Humanity by UNESCO–uses the plant Artemisia, which is applied with heat to the patient’s body 

Researchers say that in the southern Spanish region of Andalusia this could mean 581 caesarean sections fewer per year–saving the public health system an annual €2.3 million (some $2.6m)

 Spanish scientists have found that applying moxibustion, an ancient Chinese acupuncture technique, to pregnant women at 33-35 weeks’ gestation, could help reduce the number of caesarean sections by up to 25%. This worldwide pioneering research has shown that using this technique in women presenting in a non-vertex position helps move the fetus to the vertex position, thus avoiding the need to perform caesarean sections.

Moxibustion is a therapeutic technique that was declared an Intangible Cultural Heritage of Humanity by UNESCO in 2010. It involves a plant known as common wormwood or mugwort (Artemisia vulgaris) which, in a cigar-shaped form, is applied with heat to the patient’s body.

The research has been reported in the British Medical Acupuncture Society’s Acupuncture Medicine, published by the prestigious British Medical Journal publishing group. The lead author is Leticia Garcia-Mochón–a researcher in the University of Granada’s Department of Applied Economics. Her co-authors come from the Andalusian School of Public Health (Escuela Andaluza de Salud Pública), health centers in Málaga (San Andrés Torcal) and the town of Dos Hermanas in Seville province (Doña Mercedes), the Carlos III Institute of Health, and the Costa del Sol Health Agency (Marbella, Málaga).

Acupuncture point BL67

The aim of the study was to analyze the cost-effectiveness of using the technique of moxibustion to correct breech position presentation and thus reduce the number of caesarean sections performed at term. The authors developed a deterministic model of decision analysis that compares the percentage of births with vertex fetus and the cost of applying heat treatment by combustion of Artemisia vulgaris (moxibustion) at the acupuncture point termed Bladder 67 (BL67) in pregnant women with a non-vertex fetus at 33-35 weeks’ gestation.

The results show that moxibustion avoids 8.92% of non-vertex position births when compared with conventional treatment. This represents a saving of €107 ($120) per delivery, mainly due to the number of cesarean sections avoided. Meta-analysis shows a relative risk of non-vertex presentation at term of 0.35 (95% CI, 0.16-0.76).

Moreover, sensitivity analyses show moxibustion can prevent 8%-25% of caesarean sections. «With hospitalization data from the Minimum Basic Data Set for 2013, if this technique was adopted by Andalusian Public Healthcare System (Sistema Sanitario Público Andaluz), around 581 caesarean sections could be avoided each year, saving an annual €2.3 million ($2.6m), «said Leticia Garcia-Mochón.

One unexpected result was the higher incidence of caesarean sections in vertex presentation in the moxibustion group (19%) when compared to the control group (13.3%).»We cannot explain this, but it could be an example of «theory-induced blindness», given the difficulty of integrating acupuncture techniques into the standard paradigm of Western medicine, «says García-Mochón.

Reference:
Cost effectiveness of using moxibustion to correct non-vertex presentation
Leticia García-Mochón, José J. Martín, José Manuel Aranda-Regules, Francisco Rivas-Ruiz and Jorge Vas
Acupunct Med. 2015; 0:1–6. doi:10.1136/acupmed-2014-010696

 

 

1. The UGR researcher Leticia Garcia Mochón .

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2 and 3. Material used for moxibustion and patient undergoing this technique ( PHOTOS: WIKIMEDIA and Jaap Buijs / Flickr)

Contact details:

Leticia García-Mochón
PhD student/Research Fellow Doctoral Program in Economics Faculty of Economics and Business Sciences University of Granada
E-mail address: leticia.garcia.easp@juntadeandalucia.es
Twitter: @lgmochon

José J. Martín
Tenured lecturer Department of Applied Economics University of Granada
E-mail address: jmartin@ugr.es
Cellphone: +34 677 842 143


Apport de nouvelles données sur l’alimentation humaine à l’Âge du Bronze et sur l’arrivée de nouvelles cultures à la Péninsule Ibérique

Des chercheurs des universités de Grenade, Saint-Jacques-de-Compostelle et Reading (Royaume-Uni) étudient les restes osseux humains de la nécropole de Cova do Santo, située dans la vallée de la rivière Sil, dans la province d’Ourense.

Les restes trouvés révèlent que les individus avaient une alimentation à base de végétaux avec peu de présence de viande et de poisson.

Une recherche menée à bien par les universités de Grenade, Saint-Jacques-de-Compostelle et Reading (Royaume-Uni) a apporté de nouvelles données sur l’alimentation humaine à l’Âge du Bronze et sur l’arrivée de nouvelles cultures à la Péninsule Ibérique pendant cette période.

Ce travail, publié dans la revue Journal of Archaeological Science, a étudié les restes osseux humains de la nécropole de Cova do Santo, située dans la vallée de la rivière Sil, dans la province d’Ourense.

Il s’agit d’une grotte dans laquelle furent retrouvés 14 individus des deux sexes et des enfants. Étant donné l’instabilité de la cavité, les chercheurs ne purent passer que quelques heures dans son intérieur, raison pour laquelle ils recueillirent les restes qu’il y avait à la superficie.

L’analyse d’isotopes stables dans le collagène osseux des restes trouvés révèle que les individus de Cova do Santo avaient une alimentation à base de végétaux avec peu de présence de viande et de poisson, bien que le site se trouve près de la rivière Sil.

« Il n’existe pas de différences importantes entre les individus quant à l’alimentation, ce qui indique que l’accès à celle-ci put être similaire indépendamment du sexe et de l’âge », explique la chercheuse Olalla López Costas, auteure principale de ce travail.

Les chercheurs n’ont pas trouvé dans cette nécropole de signes de consommation de millet ou de maïs, de sorte que l’on ne peut pas confirmer la présence desdites cultures dans la diète, du moins dans le Nord-Ouest de la Péninsule. « Nous avons réalisé une comparaison avec d’autres sites étudiés, et nous croyons qu’il y a suffisamment d’indices pour penser que les cultures d’été ont pu effectivement être utilisées dans le centre de la Péninsule avant qu’on ne croyait », souligne López Costas.

Cultures d’été

Ces cultures, appelées d’été ou de printemps, dont les meilleurs représentants sont le millet et le maïs, « ont un meilleur rendement en peu de temps, ce qui a probablement aidé les gens à être plus sédentaires et à ce que l’excès de production influe dans la hiérarchisation de la société. »

Cependant, on ne sait pas avec certitude quand elles furent introduites dans la diète péninsulaire. Jusqu’à il y a peu de temps, on considérait que cela se produisit à la fin de l’Âge du Bronze, mais de récentes trouvailles de graines dans des sites archéologiques paraissent indiquer que cela put arriver avant.

Les enterrements préhistoriques en grotte sont relativement fréquents dans le Nord et dans l’Ouest de la Péninsule, bien que peu de sites aient fait l’objet de travaux d’anthropologie physique comme celui-ci. Ce site semble être le plus grand de la préhistoire du Nord-Ouest péninsulaire quant au nombre d’enterrements, et les restes ont été datés entre 1800 et 1600 av. J.-C.

Images adjointes :

1. Une des fissures de la grotte où on observe l’accumulation de plusieurs restes humains, dont le crâne d’un enfant.

sol grute

2. Vision du sol de la grotte avec deux fémurs humains.

groupe

3. Groupe de paléo-diète et de paléo-climat de l’Université de Reading (Royaume-Uni). Avec une blouse blanche, Olalla López Costas et, à sa droite, l’autre auteure de l’article, Gundula Müldner.

Référence bibliographique :
Diet and lifestyle in Bronze Age Northwest Spain: the collective burial of Cova do Santo
Olalla López-Costas, Gundula Müldner, Antonio Martínez Cortizas
Journal of Archaeological Science 55 (2015) 209-218
http://dx.doi.org/10.1016/j.jas.2015.01.009

Contact : Olalla López Costas : Laboratoire d’Anthropologie Physique du Département de Médecine Légale, de Toxicologie et d’Anthropologie Physique, Faculté de Médecine de l’Université de Grenade.

Groupe Earth System Sciences, Département de Géographie, Université de Saint-Jacques-de-Compostelle. Courriel : olallalc@gmail.com


Ideal

Pág. 5: BUENOS DÍAS. MELCHOR SÁIZ PARDO: CIEN EURITOS POR DORMIR

Pág. 20: Opinión: Miguel Giménez Yanguas, un orgullo para los ingenieros industriales

Pág. 57: Agenda:

– Conferencias:

‘Desde la ilusión de un niño a la motivación de un gran docente’

– Música:

Concierto de piano

– Exposiciones:

‘La Escuela, el Colegio y el Cuerpo de Ingenieros de Caminos, Canales y Puertos’

‘La sátira no está reñida con la ética’

‘Elegía sin verso’

‘Hijos de la tierra»

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Pág. 11: La Alhambra nombrará hoy al nuevo director en un pleno extraordinario

Pág. 14: Un estudio revela el cambio en el tamaño del cráneo y la cara del ser humano

Pág. 18: Comienza ‘Campus inclusivos de verano. Campus sin límites’

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El congreso “La lengua y literatura rusas en el espacio de la cultura mundial” reunirá en Granada a 2000 especialistas

La vicepresidenta del Gobierno de Rusia, Olga Golodets, y el ministro de Educación y Ciencia, Dmitri Livanov, acudirán a la inauguración el 15 de septiembre de 2015

Dos mil especialistas de más de 70 países se darán cita en Granada en el congreso “La lengua y literatura rusas en el espacio de la cultura mundial” que se inaugurará en el Palacio de Congresos con la participación de la vicepresidenta del Gobierno de Rusia, Olga Golodets, y el ministro de Educación y Ciencia de Rusia, Dmitri Livanov.

El XIII Congreso de la Asociación Internacional de Profesores de Lengua y Literatura Rusas (MAPRYAL) “La lengua y la literatura rusas en el espacio de la cultura mundial” se celebrará en Granada del 15 al 20 de septiembre, organizado por la Asociación internacional de profesores de lengua y literatura rusas (MAPRYAL) y la Universidad de Granada. Es la primera vez que para este congreso se selecciona una ciudad española, y la segunda ocasión en que esta convención tiene lugar en un país de Europa Occidental, en toda su historia. Será, pues, la segunda vez que este congreso se celebre en Europa. El primero fue en Alemania, en la ciudad de Regensburgo, en 1994.

La enseñanza de ruso en Granada ha cumplido ya medio siglo, razón esta que ha sido determinante para la elección de la ciudad como sede del congreso que, entre otros colectivos, reunirá en Granada a los enseñantes de ruso de toda la comunidad hispana.

La UGR fue elegida en 2011 en Shangai (China) sede del XIII Congreso de MAPRYAL. Los congresos de esta asociación, que son los de mayor prestigio en el ámbito de la rusística mundial, se celebran cada cuatro años. MAPRYAL, órgano principal de decisión del destino de la lengua rusa en el mundo, fue fundada como una organización pública no gubernamental en una conferencia inaugural en París (7-9 de septiembre de 1967), por iniciativa de académicos de varios países. En 1975, la UNESCO le concedió carácter consultivo.

La apertura del encuentro tendrá lugar en el Palacio de Congresos y Exposiciones de Granada, el martes, 15 de septiembre del 2015, a las 10 de la mañana. Ese mismo día a las 16.30 h se inaugurará en Granada un monumento al gran poeta nacional ruso A. S. Pushkin.

Actividades culturales

El congreso traerá también a Granada diversas actividades culturales, como conciertos, exposiciones, encuentros y conferencias. Asimismo, en la Asamblea General de MAPRYAL, que se celebrará el día 18 de septiembre de 2015 en Granada, se darán cita todas las asociaciones de profesores de lengua rusa del mundo. En esta asamblea serán elegidos los cargos que determinarán el futuro de MAPRYAL y de la enseñanza del ruso en el mundo para los próximos cuatro años.

Descargue el programa en Word.

http://elrusoenespana.com/es
http://www.mapryal.org/

Contacto: Profesor Rafael Guzmán Tirado. Catedrático del Departamento de Filología Griega y Eslava. Vicepresidente de MAPRYAL. Universidad de Granada. Tel.: 958 246393. Móvil: 685814197. Correo electrónico: rguzman@ugr.es http://www.ugr.es/~rguzman/

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Págs. 6-7: La ciudad pone en pie los cimientos para construir la Granada de 2020

Págs. 12-13: Sebastián Pérez: «Estar con medio partido en contra y sin mayoría será complicado para Entrena»

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Pág. 2: La Semana. EL DATO. 253 Universidad

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«A ciertas temperaturas cuesta mucho trabajo dormir»

Págs. 12-13: Gregorio Cámara Villar: «Lo que está planteando Mas es la ruptura de la convivencia y el enfrentamiento. Eso es muy antidemocrático»

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– Exposiciones:

‘La Escuela, el Colegio y el Cuerpo de Ingenieros de Caminos, Canales y Puertos’

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Una investigación sobre leucemia recibe 30.000 euros de una fundación

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Pág. 48: Aportan nuevos datos sobre las células madre pluripotentes

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Pág. 12: Italia, Francia y Alemania son los países preferidos de los alumnos de la UGR

Nuevo plan estratégico internacional

Un estudio confirma que los corredores de maratón pierden la noción del tiempo

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La salud de tu bebé, ¿en riesgo por la epidural?

78879 Un estudio advierte que esta anestesia posee ciertos efectos adversos para la madre y para el hijo 

Redacción. Madrid
La anestesia epidural se considera un gran adelanto para aliviar a la mujer, en la medida de lo posible, los dolores del parto. Sin embargo, un estudio llevado a cabo por científicos de la Universidad de Granada (UGR) advierte de que esta sustancia puede afectar a la salud del bebé. Concretamente, dice que los pequeños nacidos bajo su efecto presentan un ligero descenso en el índice del test de Apgar, un examen rápido que se realiza al neonato para valorar su estado de salud general.
el estudio indica que los bebés nacidos con epidural presentan un ligero descenso en el índice del test de Apgar Para llevar a cabo este trabajo, los investigadores analizaron a una población formada por 2.609 niños nacidos entre 2010 y 2013 en el Hospital San Juan de la Cruz de Úbeda (Jaén). Los resultados, publicados en la revista Midwifery, revelaron además que los bebés nacidos con epidural necesitaron reanimación en un mayor porcentaje, requirieron en mayor medida ser admitidos en la Unidad de Cuidados Intensivos (UCI) neonatales e iniciaron en menor medida la lactancia materna de manera precoz.
«La anestesia epidural es una de las diferentes alternativas utilizadas para aliviar el dolor en el parto. Actualmente es la estrategia mejor valorada por su eficacia, por lo que su uso se ha extendido de forma importante en los países desarrollados», ha explicado la autora principal del estudio y catedrática del Departamento de Enfermería de la UGR, Concepción Ruiz Rodríguez.

Sin embargo, junto a las múltiples ventajas atribuidas a la analgesia epidural, «también se han descrito una serie de efectos adversos, tanto sobre la madre como sobre el niño. En este último caso, son atribuidos al efecto farmacológico directo, debido a la transferencia placentaria del fármaco administrado por vía materna, o a un efecto indirecto secundario, como consecuencia de los cambios fisiológicos que el fármaco produce en la madre, como son los cambios hormonales», ha señalado la experta.

No obstante, estos datos son contradictorios y están en discusión entre los profesionales sanitarios. Por ello, los autores del trabajo se plantearon la conveniencia de estudiar el efecto de la epidural sobre distintos parámetros en el recién nacido.

Los datos obtenidos «demuestran que la analgesia epidural posee ciertos efectos adversos sobre el recién nacido, en los que es necesario profundizar», ha dicho Ruiz Rodríguez. Por ello, «consideramos importante que tanto los profesionales sanitarios (obstretas y matronas) como las madres conozcan y tengan presentes dichos riesgos a la hora de tomar una decisión sobre su administración».

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Un estudio advierte de los efectos negativos de la anestesia epidural sobre los recién nacidos

78879 GRANADA.- Los bebés nacidos bajo el efecto de anestesia epidural presentan un ligero descenso en el índice del test de Apgar (un examen rápido que se realiza al recién nacido para valorar su estado de salud general), tanto al minuto como a los cinco minutos del nacimiento.

Además, los bebés nacidos con epidural necesitaron reanimación en un mayor porcentaje, requirieron en mayor medida ser admitidos en la Unidad de Cuidados Intensivos (UCI) neonatales e iniciaron en menor medida la lactancia materna de manera precoz.

Estas son algunas de las conclusiones de un artículo publicado en la revista Midwifery por científicos de la Universidad de Granada, que han realizado un estudio retrospectivo de la asociación existente entre el uso de la analgesia epidural y distintos parámetros en el recién nacido.

Para llevar a cabo este trabajo, los investigadores analizaron una población formada por un total de 2609 niños nacidos entre los años 2010 y 2013 en el Hospital «San Juan de la Cruz» de Úbeda (Jaén).

Los efectos adversos de la epidural
Como explica la autora principal del estudio, la catedrática de universidad del departamento de Enfermería de la Universidad de Granada Concepción Ruiz Rodríguez, «la anestesia epidural es una de las diferentes alternativas utilizadas para aliviar el dolor en el parto. Actualmente es la estrategia mejor valorada por su eficacia, por lo que su uso se ha extendido de forma importante en los países desarrollados».

Sin embargo, junto a las múltiples ventajas atribuidas a la analgesia epidural «también se han descrito una serie de efectos adversos, tanto sobre la madre como sobre el niño. Los efectos adversos descritos sobre el niño son atribuidos al efecto farmacológico directo, debido a la transferencia placentaria del fármaco administrado por vía materna, o a un efecto indirecto secundario, como consecuencia de los cambios fisiológicos que el fármaco produce en la madre, como son los cambios hormonales», explica la experta de la UGR.

No obstante, los datos son contradictorios y están en discusión por los profesionales sanitarios. Por ello, los autores de este trabajo se plantearon la conveniencia de estudiar el efecto de la analgesia epidural sobre distintos parámetros en el recién nacido.

Los datos obtenidos por los investigadores «demuestran que la analgesia epidural posee ciertos efectos adversos sobre el recién nacido, en los que es necesario profundizar», señala Ruiz Rodríguez.

«Por ello, consideramos que es importante que tanto los profesionales sanitarios (obstetras y matronas) como las madres conozcan y tengan presentes dichos riesgos a la hora de tomar una decisión sobre su administración», concluye la investigadora de la UGR.

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