La moitié des patients atteints de trouble bipolaire souffre une incapacité au travail, en société ou en famille

C’est ce qui s’ensuit d’un travail réalisé à l’Université de Grenade et qui a fait l’objet d’un prix récent lors de la IV Rencontre Hispano-Portugaise d’Adhérence thérapeutique célébrée à Oporto (Portugal). Cette recherche a analysé les facteurs associés à une incapacité majeure au travail, en société ou en famille à partir d’un échantillonnage de 108 patients présentant un diagnostic de trouble bipolaire

50% des patients atteints de trouble bipolaire souffrent une incapacité au travail, en société ou en famille, et environ 20% présentent une incapacité à ces trois niveaux.

C’est ce qui découle d’un article scientifique publié récemment dans la prestigieuse revue « Psychiatry Research » par le docteur Luis Gutiérrez Rojas, membre du Groupe de Recherche en Psychiatrie et Neurosciences de l’Université de Grenade, que dirige le professeur Manuel Gurpegui Fernández de Legaria. Ce travail analyse les facteurs associés à une majeure capacité au travail, en société et en famille à partir d’un échantillonnage de 108 patients atteints de trouble bipolaire.

Cette recherche a révélé que l’incapacité pour le travail (c’est-à-dire, la difficulté de travailler y de réaliser un travail normal) chez ces patients est en rapport avec la haute récurrence d’épisodes maniaques, avec le fait d’avoir été hospitalisé plus de trois fois dans un centre psychiatrique (épisodes à haute intensité), et de souffrir une symptomatologie dépressive unie à un profil culturel bas. La dépendance de la nicotine (haute addiction au tabac) peut augmenter le handicap au travail du patient avec trouble bipolaire plus que les symptômes proprement dépressifs.

Appui social

M. Gutiérrez Rojas affirme que l’incapacité au niveau social (difficulté d’établir des rapports hors de la famille et de s’intégrer socialement) chez ces patients s’associe à un plus grand nombre d’hospitalisations et d’épisodes dépressifs, et à des symptômes actifs de dépression. « Avoir un fort appui social s’associe à un handicap social mineur chez ces patients », souligne l’auteur de ce travail.

En dernier lieu, l’incapacité familiale (difficulté des rapports du patient avec d’autres membres de la famille) s’associe aux hospitalisations, aux épisodes maniaques, à la symptomatologie dépressive et à une ponctuation plus élevée à l’échelle CAGE (qui mesure l’abus de l’alcool).

Le chercheur de l’UGR ajoute que, si nous voulons éviter que le patient de trouble bipolaire présente une incapacité, « nous devons éviter celle-ci en agissant promptement pour que ces épisodes dépressifs et maniaques fassent l’objet d’un traitement dès les premiers symptômes et ne donnent pas lieu à une hospitalisation. »

M. Gutiérrez Rojas signale que la dépendance du tabac, en plus des graves séquelles physiques, est associée à un pronostique plus grave de la maladie bipolaire. En même temps, l’appui social doit être amélioré, « et augmenté chez les patients qui en sont dépourvus. Par exemple, avec l’actuelle loi de dépendance le patient peut essayer d’obtenir un appui à domicile (au lieu d’une aide financière) ou bien contacter avec des groupes de patients à la recherche d’éducation et d’appui. »

L’abus de l’alcool est spécialement conflictuel au niveau familial. Il s’agit de la substance addictive la plus usuelle en rapport avec cette maladie. « Explorer et détecter cette consommation chez ces patients est spécialement important si nous voulons améliorer leurs rapports avec la famille. »

Les résultats de ce travail ont été présentés récemment lors de la IV Rencontre Hispano-Portugaise d’Adhérence thérapeutique célébrée à Oporto (Portugal), où il a reçu le troisième prix de recherche.

Contact : Luis Gutiérrez Rojas. Groupe de Recherche en Psychiatrie et Neurosciences de l’Université de Grenade. Courriel : gutierrezrojasl@hotmail.com


Half the patients with bipolar disorder suffers work, social or family disabilities

Such was the conclusion obtained in a study conducted at the University of Granada that was recently awarded a prize in the IV Spain-Portugal Meeting on Therapeutical Adherence held in Oporto (Portugal). This research study analyzed the factors associated to higher work, social and family disabilities in a sample of 108 patients suffering from bipolar disorder.

According to the study, 50% of patients suffering from bipolar disorder suffers some type of work, social and family disability, and approximately 20% present some disorder at the three levels.

This was the conclusion drawn in a cientific article recently published in the prestigious journal Psychiatry Research, prepared by Dr. Luis Gutiérrez Rojas, a member of the Research Group of Psychiatry Research and Neuroscience of the University of Granada coordinated by professor Manuel Gurpegui Fernández de Legaria. This study analyzed the factors associated to serious work, social and family disabilities in a sample of 108 patients suffering from bipolar disorder.

This research revealed that work disability –that is, difficulty to perform normal job duties– in these patients was associated to high recurrence of maniac episodes, as well as to recurrent psychiatric hospitalization –high-intensity episodes–, depression and low educational levels. Furthermore, nicotinic dependency –strong addiction to tobacco– can be more disabling in patients with bipolar disorder than depression.

Social Support

Gutiérrez Rojas states that social disability –difficulty to establish relations out of the family and to achieve social integration– in these patients is associated to higher hospitalization rates, episodes of depression and active depression symptoms. “Receiving social support is associated to lower social disability in these patients” –the author states.

Lastly, family disabilities –difficulty to have good relations with family members– was found to be associated to hospitalization, maniac episodes, symptoms of depression and to higher scores in the CAGE scale, which measures addiction to alcohol.

The University of Granada researcher adds that, to avoid disability in patients with bipolar disorder “recurrence of depressive and maniac episodes must be avoided, and physicians should treat these episodes promptly to avoid hospitalization”.

Gutiérrez Rojas states that dependency to tobacco –appart from serious physical sequels– is associated to a worse bipolar disorder prognosis. Simultaneously, social support should be improved or sought for patients deprived of it. For instance, home assistance –instead of financial support– can be sought within the framework of the Spanish Law of Dependency. Patients can also be advised to attent patient meetings in search of information and support”.

Alcoholism is specially conflictive at family level, and alcohol is the most abused substance in patients with bipolar disorder. “Detecting alcohol abuse in patients is specially important to improve family relations”.

The results obtained in this study were recently presented in the IV Portugal-Spain Meeting for Therapeutical Adherence held in Oporto, Portugal, where it was awarded the third research prize.

Contact: Luis Gutiérrez Rojas. Research Group in Psychiatry and Neuroscience of the University of Granada. E-mail address: gutierrezrojasl@hotmail.com


Resultado exitoso de una terapia para la enfermedad de Parkinson

La inyección del gen de la enzima de la descarboxilasa del ácido glutámico (GAD) directamente en el cerebro es un método seguro que puede mejorar significativamente la función motriz en enfermos de Parkinson que no responden a los tratamientos convencionales.

Eso es lo que indican los resultados de un estudio publicado en la última edición de de internet de la revista médica «The Lancet» y que pone de relieve el potencial de ese tipo de terapias para aliviar los síntomas de otros trastornos del cerebro.

A pesar de los resultados prometedores de otros estudios de terapia génica, hasta ahora ninguno se había visto confirmado en pruebas posteriores al azar y en «doble ciego» (método en el que ni los sujetos de la prueba ni los administradores saben si están en el grupo de control o en el experimental).

En los enfermos de Parkinson se da una fuerte disminución de los niveles del neurotransmisor GABA (responsable de la coordinación del movimiento) en la zona del cerebro conocida como núcleo subtalámico, lo cual da lugar a una falta de control de movimientos y temblores, entre otras cosas.

TRATAMIENTO

Los científicos han desarrollado ahora una terapia de transferencia de genes capaz de aumentar la producción de GABA y restablecer la función motriz insertando un gen GAD (descarboxilasa del ácido glutámico) en el núcleo subtalámico utilizando un virus como vector (adenoviral).

Un equipo dirigido por Andrew Feigin, del Instituto Feinstein de Investigaciones Médicas de Nueva York, diseñó ese estudio para poder comparar los resultados ese método de terapia génica en 22 pacientes con los de otro grupo de 23 enfermos a los que sólo se administró un placebo.

Todos los pacientes sobrevivieron a la intervención y sufrieron sólo algunos ligeros efectos secundarios como náuseas o dolores de cabeza.

En cambio se observaron importantes mejoras en sus síntomas motores. Seis meses después de sufrir la intervención, en el grupo sometido a la terapia génica se dio una mejora del 23,1 por ciento en la escala unificada de valoración de la enfermedad de Parkinson frente a sólo un 12,7 por ciento en el grupo de placebo.

MEJORA DE OTROS SINTOMAS

Y lo que es más interesante, los pacientes del primer grupo manifestaron también mejoría en otras pruebas clínicas de sus principales síntomas motores, especialmente en los resistentes a los fármacos en fase avanzada de la enfermedad.

Michael Hutchinson, de la Escuela de Medicina de la Universidad de Nueva York, reconoce que se trata de un estudio positivo y «meticuloso», pero agrega que quedan preguntas por responder como la de cuánto durará el efecto o qué consecuencias a largo plazo puede tener la introducción de virus en el cerebro.

«¿Ofrece esa nueva técnica ventajas sobre la estimulación cerebral profunda que parece proporcionar el doble de mejoría clínica?», se pregunta también el investigador.

PREVENCION

Otra novedad científica muy importante sobre esta patología radica en que un estudio científico español de la Universidad de Granada ha demostrado que el consumo de melatonina, una molécula natural sintetizada por prácticamente la totalidad de los seres vivos, puede ayudar a prevenir la aparición del Parkinson, al ser un potente agente antioxidante y antiinflamatorio.

La investigación ha confirmado además que otras sustancias análogas a la melatonina también tienen un importante papel protector frente al daño oxidativo e inflamatorio y en la recuperación de la actividad del complejo I, cuya inhibición es un evento fisiopatológico fundamental en el desarrollo del Parkinson, según se informó en la Universidad de Granada.

El hallazgo puede tener una consecuencia importante para el diseño de nuevos fármacos que ayuden a prevenir la dolencia, según los responsables del estudio.

En la enfermedad de Parkinson hay una reducción del 40% en la actividad del complejo I de la cadena de transporte electrónico en la sustancia negra de estos pacientes, con una pérdida de entre el 70 y el 80% de las neuronas localizadas en este tejido antes de que aparezcan los primeros síntomas.

En los ratones tratados para este estudio, la actividad del complejo I se reduce en un 65 % en la sustancia negra, y el tratamiento con melatonina o sus análogos estructurales contrarrestan esta disminución, normalizando la función mitocondrial.

Parte de los resultados del trabajo han sido publicados en las revistas científicas «Journal of Neuroscience Research» y «European Journal of Medicinal Chemistry».

LUTEINA

En otro orden, científicos australianos buscan desarrollar una especie de «píldora de la felicidad» para que las personas de la tercera edad se sientan más activos y puedan disfrutar del ejercicio físico.

Investigadores del Centro de Investigación de Fisiología Nutricional de la Universidad de Australia del Sur en la ciudad de Adelaida investigan si ciertos suplementos nutritivos pueden generar un aumento de la actividad física en la tercera y conseguir que ejercitarse sea más placentero.

El jefe del equipo de expertos, Jon Buckey, indicó que han tomado como punto de partida un estudio realizado en Japón con ratas, que demostró que en estos animales se produce un aumento espontáneo de la actividad física tras consumir leche con luteína.

La luteína es un antioxidante que se encuentra en algunas verduras de hojas verdes como las espinacas, frutas y la yema del huevo, entre otros alimentos, y se comercializa en suplementos vitamínicos.

Buckley, especialista en nutrición, manifestó que la sustancia facilita la realización de ejercicio físico, y así el nuevo fármaco beneficiaría a las personas de avanzada edad que deseen «estar más activos o posiblemente hacer que la experiencia del ejercicio físico sea más placentera».

Actualmente, los científicos australianos ensayan el medicamento con un grupo de voluntarios de entre 60 y 80 años.

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La UE destaca el compromiso medioambiental de Granada

El órgano responsable medioambiental del proyecto `Informes Cities´, dependiente de la Unión Europea, ha remitido al Ayuntamiento un informe de evaluación sobre el cumplimiento de los objetivos ambientales de la Agenda 21 Local; un documento que manifiesta el alto grado de compromiso municipal en pro del desarrollo sostenible en la capital.

El órgano responsable medioambiental del proyecto ‘Informes Cities´, dependiente de la Unión Europea, ha remitido al Ayuntamiento un informe de evaluación sobre el cumplimiento de los objetivos ambientales de la Agenda 21 Local; un documento que manifiesta el alto grado de compromiso municipal en pro del desarrollo sostenible en la capital.

La elaboración de este informe se basa en unos cuestionarios enviados a los 26 integrantes de la comisión municipal para la sostenibilidad y lucha contra el cambio climático, en la que están representados entre otros, el defensor del ciudadano, el gabinete de calidad ambiental de la Universidad de granada, el presidente de la Federación Provincial de Asociaciones de Vecinos, o el presidente del Consejo Social. También integran esta comisión técnicos de distintas áreas y servicios municipales, así como el departamento de Ingeniería civil de la UGR, y la fundación Granada Educa, entre otros.

Según las conclusiones del Informe, la autoridad local «está bastante comprometida con el desarrollo sostenible», «facilita recursos para su ejecución», y «está aplicando el plan de acción propuesto en gran medida».
En materia de actividades de concienciación, concluye el documento que » son muy diversas y se utilizan en gran medida». Destaca por último el documento que «la aplicación del proceso ha conducido a numerosas e importantes actividades nuevas para el desarrollo sostenible».

Según las conclusiones del Informe, la autoridad local «está bastante comprometida con el desarrollo sostenible», «facilita recursos para su ejecución», y «está aplicando el plan de acción propuesto en gran medida».
En materia de actividades de concienciación, concluye el documento que » son muy diversas y se utilizan en gran medida». Destaca por último el documento que «la aplicación del proceso ha conducido a numerosas e importantes actividades nuevas para el desarrollo sostenible».

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Resultados de un estudio sobre hábitos de movilidad entre la comunidad de la Universidad de Granada

La comunidad universitaria está concienciada sobre hábitos de movilidad sostenible, aunque aún queda un camino por recorrer, se desprende de las conclusiones del estudio de movilidad de la comunidad universitaria realizado por la Universidad de Granada durante el curso académico 2009-2010, dentro del programa ICARO de prácticas para estudiantes universitarios, y que ha sido dado a conocer recientemente.

Para llevar a cabo el estudio se realizaron un total de 1157 encuestas, de las que el 49,18% (569 encuestas) fueron contestadas por hombres y el resto, el 50,82% (588 encuestas), fueron mujeres.

En las conclusiones del estudio, se observa que en relación con el conjunto total, los que usan el transporte privado en la comunidad universitaria no son una mayoría con respecto a los que utilizan una alternativa menos contaminante con la utilización del vehículo privado. Resultaban un 32% frente al 68% restante que utilizan el transporte público, caminan o se mueven en bicicleta.

No existe una diferencia muy grande entre los distintos sexos en cuanto al tipo de movilidad, únicamente que los de sexo masculino se sirven más de la motocicleta o de la bicicleta, mientras que el sexo femenino camina más o utiliza más el transporte público.

Sin embargo, donde si se presentan algunas diferencias es en el caso de estudiar los distintos tipos de movilidad dependiendo de si son alumno, personal docente e investigador o personal de administración y servicios. Hay una frecuencia mayor en el caso de los alumnos en el uso de transportes menos agresivos con el medio ambiente. Son éstos los que más acuden a su centro caminando, en bici o en transporte público.

El colectivo de personal de docencia e investigación es el que predomina en el uso del coche acompañado, mientras que los que más utilizan el coche a título unipersonal resulta el personal de administración y servicios.

Como es evidente a los campus integrados en el centro de la ciudad son a los que más se acude andando. Es al Campus de la Cartuja al que más se acercan en transporte público, debido seguramente a su complejidad orográfica y al tener que atravesar parte de la ciudad para acceder a éste.

En cuestión del tiempo empleado para acudir al centro de trabajo o de estudio se ha podido estudiar que los medios más rápidos son la bicicleta, la motocicleta y el caminar, mientras que en los que más se tardan son el transporte público y el uso del coche. Es a los campus del centro de la ciudad a los que se tarda menos, también porque los que acuden a éstos tienen su residencia ubicadas más cerca de éstos, excepto para el caso de Servicios Centrales, que a éstos suelen tardar entre 15 y 30 minutos, ya que las residencias se reparten casi por igual por los tres ámbitos, centro, barrios periféricos y en los pueblos del área metropolitana.

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La mitad de los pacientes con trastorno bipolar sufre alguna discapacidad laboral, social o familiar

  • Así se desprende de un trabajo realizado en la Universidad de Granada, que ha sido premiado recientemente en el IV Encuentro Hispano-luso de Adherencia Terapéutica celebrado en Oporto (Portugal)
  • Esta investigación ha analizado los factores asociados a una mayor discapacidad laboral, social y familiar en una muestra de 108 pacientes diagnosticados de trastorno bipolar

El 50% de los pacientes que sufren trastorno bipolar sufren algún tipo de discapacidad laboral, social y familiar, y el 20% aproximadamente presentan discapacidad en estos 3 niveles.

Así se desprende de un artículo científico publicado recientemente en la prestigiosa revista “Psychiatry Research” por el doctor Luis Gutiérrez Rojas, miembro del Grupo de Investigación en Psiquiatría y Neurociencias de la Universidad de Granada, que dirige el catedrático Manuel Gurpegui Fernández de Legaria. Este trabajo ha analizado los factores asociados a una mayor discapacidad laboral, social y familiar en una muestra de 108 pacientes diagnosticados de trastorno bipolar.

Esta investigación ha revelado que la discapacidad a nivel laboral (es decir, la dificultad para poder trabajar y desempeñar un trabajo normalizado) en estos pacientes está relacionada con la alta recurrencia (mayor número) de episodios maniacos, sufrir tres o más hospitalizaciones psiquiátricas (episodios de gran intensidad), sufrir sintomatología depresiva y tener un bajo nivel educacional. La dependencia nicotínica (alta adicción al tabaco) puede ser más discapacitante para los pacientes con trastorno bipolar laboralmente que los síntomas depresivos.

Apoyo social

Gutiérrez Rojas afirma que la discapacidad a nivel social (dificultad para establecer relaciones fuera de la familia e integrarse socialmente) en estos pacientes se asocia a sufrir un mayor número de hospitalizaciones y episodios depresivos y tener síntomas activos de depresión. “Tener un gran apoyo social se asocia a una menor discapacidad social en estos pacientes”, destaca el autor de este trabajo.

En último lugar, la discapacidad familiar (dificultad para tener buenas relaciones entre el paciente y otros miembros de su familia) se asoció a las hospitalizaciones, los episodios maniacos y la sintomatología depresiva y con una mayor puntuación en la escala CAGE (que mide el abuso de alcohol).

El investigador de la UGR apostilla que, si queremos evitar la discapacidad en los pacientes con trastorno bipolar, “tenemos que evitar la recurrencia de la misma (evitando los episodios depresivos y maniacos) y actuar con prontitud para que los episodios se traten desde el primer momento y no desemboquen en una hospitalización”.

Gutiérrez Rojas señala que la dependencia al tabaco, además de serias secuelas a nivel físico, está asociada a un peor pronóstico de la enfermedad bipolar. Al mismo tiempo, el apoyo social debe ser mejorado, “e incrementarse en aquellos pacientes que no lo tienen. Por ejemplo, con la actual ley de dependencia puede intentarse buscar ayuda a domicilio (en vez de una ayuda económica) o aconsejando al paciente que acudan a grupos de pacientes para buscar educación y apoyo”.

El abuso de alcohol es especialmente conflictivo a nivel familiar y es la sustancia adictiva más usada en esta enfermedad. “Explorar y detectar dicho consumo en estos pacientes es especialmente importante si queremos mejorar sus relaciones familiares”.

Los resultados de este trabajo han sido presentados recientemente en el IV Encuentro Hispano-luso de Adherencia Terapéutica celebrado en Oporto (Portugal), donde fue galardonado con el tercer premio de investigación.

 

En la imagen, Luis Gutiérrez (izquierda) recoge su premio en el IV Encuentro Hispano-luso de Adherencia Terapéutica.

Contacto: Luis Gutiérrez Rojas. Grupo de Investigación en Psiquiatría y Neurociencias de la Universidad de Granada. Correo electrónico: gutierrezrojasl@hotmail.com


El Pueblo de Ceuta

Pág. 13: Concluyen las charlas de presentación de las titulaciones de Magisterio

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Un problema de peso

Pura coincidencia. Las fotos del niño chino obeso Lu Zhihao dieron la vuelta al mundo el mismo día que la Comisión de Sanidad del Congreso de los Diputados aprobaba la Ley de Alimentación y Nutrición, que prohíbe la venta de ‘chuches’ y productos de bollería en los centros escolares españoles. El pasado miércoles se hacía público el caso de Lu, que nada tiene que ver con los malos hábitos alimentarios, sino con un raro gen -descubierto en 1997 por científicos de la Universidad de Cambridge- que le impide controlar su extremada voracidad. Su caso es aislado, aunque lo padecen algunos niños más en el mundo, entre ellos dos primos paquistaníes. Y tiene remedio, al poder controlarse con la administración de una hormona.
Mucho más complicado resulta hallar soluciones que atajen el imparable ascenso de la obesidad infantil causado por la comida basura y la falta de ejercicio físico. La cifra escandaliza: más del 30% de los menores de 18 años padece obesidad mórbida y sobrepeso, según las encuestas que maneja la Agencia Española de Seguridad Alimentaria. A nutricionistas y endocrinos se les puso la carne de gallina cuando, la semana pasada, escucharon el dato de boca del presidente del organismo, Roberto Sabrido. «Es alarmante, no esperábamos una tasa tan alta», responde rotundo el director del Instituto de Nutrición y Tecnología de los Alimentos (Inyta) de la Universidad de Granada, Emilio Martínez de Victoria. Eso coloca a España como segundo país de la Unión Europea, por detrás de Malta, en número de niños obesos.
Las razones, por harto sabidas, no prescriben. Al contrario, más bien ruedan como una bola de nieve. El efecto global de los productos fabricados por las industrias agroalimentarias, desde una hamburguesa a una pizza y de un bollo preñado de chocolate a un ‘snack’ o gusanito, ha cambiado la forma de comer en el mundo. Los altos contenidos en grasas y carbohidratos se alían con el sedentarismo de la televisión, las consolas y las redes sociales. Los niños no se mueven.
Así, nos encontramos con que en un país como China, de gente menuda y delgadita (al menos ese es el cliché que guardamos en la retina), el índice de obesidad ha crecido del 14% al 27% en treinta años. Para Martínez de Victoria, también catedrático de Fisiología, la conclusión es clara: «Los chinos ya comen lo mismo que los norteamericanos o los europeos». Una consecuencia nefasta de la globalización. Las grasas y azúcares no conocen fronteras ni distinguen entre países industrializados o en vías de desarrollo, porque en los subdesarrollados, como se encargó de destacar el diputado socialista Alberto Fidalgo durante el debate de la ley, 1.000 millones de personas buscan cada día algo que llevarse a la boca, la misma legión de seres humanos que padecen sobrepeso. Otros 300 millones más superan ese grado y llegan al de obesidad.
La Organización Mundial de la Salud califica la situación de pandemia. La Organización para la Cooperación y el Desarrollo Económicos (OCDE) asegura que más del 50% de la población de sus países miembros padece sobrepeso, y que uno de cada seis es obeso, y no se cansa de demandar a los gobiernos medidas para frenar una enfermedad que, de momento, no es contagiosa.
Las autoridades sanitarias españolas llevan más de una década intentando concienciar a la población de los riesgos que conlleva la obesidad: merma la calidad de vida de quien la padece, causa inmovilidad, problemas cardiovasculares, diabetes, reduce las expectativas de vida, provoca absentismo laboral y, algo nada baladí, un desembolso para las arcas públicas que representa el 7% del gasto sanitario total. El panorama se agrava cuando la obesidad aparece en la infancia. El Inyta ha detectado en niños obesos de 9 años intolerancia a la glucosa, ligera hipertensión y triglicéridos altos. Un síndrome metabólico que multiplica de forma exponencial el riesgo de padecer enfermedades cardiovasculares en la edad adulta. La situación es muy delicada, advierten los expertos consultados.
Ley insuficiente
La nueva Ley de Seguridad Alimentaria y Nutrición prohibirá vender en los colegios bollería industrial y bebidas con alto contenido en ácidos grasos saturados, grasas ‘trans’, sal y azúcares, aunque será la normativa que desarrolle la ley la que establezca los límites. Recomienda dietas equilibradas en los comedores escolares, que deberán desterrar los alimentos poco sanos. Los menús serán revisados por profesionales acreditados en nutrición y dietética y las familias recibirán información de la programación mensual de esos menús.
La ley ha puesto en bandeja la polémica. Si el PP reprocha al Gobierno su afán prohibicionista, los especialistas en nutrición entienden que, en la práctica, esa regulación no servirá de nada -como ya sucedió en Estados Unidos- si no se cuenta con la familia. «Si no se colabora con ella y no se la implica en el cambio de hábitos alimentarios y se busca su complicidad, toda legislación resultará inútil», asevera Xesús Manuel Suárez García, endocrino y profesor de dietética. No basta con confeccionar un menú saludable si, en cuanto salen de clase, los alumnos hacen parada obligatoria en el quiosco y luego en su casa abusan de los refrescos, los dulces y las pizzas. La culpa no es de los menores, sino de los padres y del modo de vida que se impone. La ocupación laboral deja poco tiempo para cocinar, se abusa de los alimentos precocinados, muy grasos y salados en general, y de las fritangas. Porque es más rápido y cómodo hacer un huevo frito o rebozar el pescado y la carne, que hacer un buen guiso con verduras o un plato de legumbres. Y si no hay tiempo ni de lo primero, para eso está el bocata de embutidos, paté o crema de cacao.
Fin de la buena dieta
«Nos estamos desviando de la dieta mediterránea. Y los que más se apartan son los colectivos de menor nivel educativo y cultural y los jóvenes», sentencia Martínez de Victoria, quien agrega que es en esos sectores de población donde la obesidad más se ceba. El director del Inyta no deja de sorprenderse de cómo ha evolucionado la tasa de obesidad infantil, del 4% en los años ochenta al 30% actual, y de las ‘habilidades’ de la industria agroalimentaria para captar clientes. «En los años sesenta, las hamburguesas de las grandes cadenas de comida rápida pesaban 125 gramos. Ahora 250. Los refrescos eran de 200 mililitros; ahora tienen 300», explica. Las raciones de la comida basura son tres veces más grandes de lo normal. Así que comemos más y peor. Y no se trata de no degustar una hamburguesa doble o una buena pizza, sino de ser prudentes y comer alimentos variados, lo que incluye carne, fruta y verduras. Una dieta poco saludable afecta a todos, dice el catedrático, «a la salud personal, global y al presupuesto del Estado». Porque es dinero público el que costea los medicamentos, las bajas laborales y los ingresos hospitalarios.
De Victoria cree que el asunto alcanza tal magnitud que en Primaria debería impartirse una asignatura sobre educación para la alimentación y la salud, propuesta que también apoya la Fundación Española para la Nutrición. Y da un consejo: «La mejor herencia que se puede dejar a los hijos no es el dinero, sino una buena perspectiva en salud y calidad de vida».
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II Encuentro Mundial de Tunas en Mojácar (Almería) este fin de semana

El próximo viernes y sábado, 8 y 9 de abril, tendrá lugar en Mojácar un evento mundial que dará serenata. Será el II Encuentro de Tunas que se organiza a nivel internacional y que llenará la localidad mojaquera de los sonidos de canciones tan conocidas como ‘Clavelitos’ o ‘Triste y sola’, entre muchas otras.
Tras el éxito que obtuvo la primera edición de este evento también celebrado en Mojácar, los tuneros de la Universidad de Granada vuelven a elegir este municipio almeriense para reunirse y celebrar un Certamen Mundial de Tunas, que organizan con el Ayuntamiento de Mojácar y con la colaboración de la Facultad de Ciencias y el Vicerrectorado de Estudiantes de la Universidad de Granada, la Asociación de Moros y Cristianos, Mandala Beach, Urbaser y Best Hotels.
El primer día de serenatas será el viernes, día 8 en la diversos escenarios, como la Plaza del Ayuntamiento, Plaza de Urbanismo, Plaza del Hotel Pueblo Indalo, Plaza Nueva, Plaza del Parque Comercial y Plaza de la Fuente. El sábado habrá un pasacalles a partir de las 13:30 horas y a las 19 horas se hará la final con las tunas finalistas, después la entrega de premios, la cena y el baile.
En la edición de 2010, participaron un total de 38 tunas de España, Portugal, Holanda y Perú. Fueron 25 tunas las que entraron a concurso y más de 700 los participantes los que disfrutaron del ambiente de Mojácar, el hospedaje en el Hotel Pueblo Indalo, Barbacoa y copas en la Sala Mandala, paella y actuaciones en el Centro de Artesanía de Mojácar Pueblo.
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Ideal

Pág. 66 y 67: Un problema de peso

Pág. 73: Encuentro con Pérez Zúñiga

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De cómo los pintores dibujan la música

La Universidad de Granada  publica un libro, de la profesora Asunción Jódar, sobre dibujo y música en los Festivales de Música Española de Cádiz.

Un libro sobre dibujo y música en los Festivales de Música Española de Cádiz en el que se recogen más de cuarenta dibujos construidos en planos imaginarios

«Los dibuhantes han de atrapar lo que están escuchando y de forma mágica plasmarlo en un espacio plano y limitado»

Con el título «Dibujando la música», la artista y profesora de la UGR Asunción Jódar Miñarro ha publicado en la editorial de la Universidad de Granada (eug), en colaboración con el Centro de Documentación Musical de Andalucía, un libro sobre dibujo y música en los Festivales de Música Española de Cádiz en el que se recogen más de cuarenta dibujos construidos en planos imaginarios de texturas rítmicas que organizan y dan profundidad a las infinitas formas de la creación artística.

Dibujar la música es  -afirma Reynaldo Fernández Manzano en una breve introducción de este libro-  “aprehender su contenido, en el sentido que Xavier Zubiri definió como inteligencia sentiente. Hacerlo de la forma más rigurosa y exacta condujo al desarrollo científico de medir los sonidos, desde Pitágoras hasta la actualidad, reflejándose en trazos y gráficos”.

Asunción Jódar, por su parte, señala: “Cuando los dibujantes oyen la música, el hecho de dibujarla es un desfío, ya que deben ser capaces de superar el sometimiento al  acontecimiento sonoro. Han de atrapar lo que están escuchando y de forma mágica plasmarlo en un espacio plano y limitado. Podríamos decir que el dibujante, como el compositor, organiza los sonidos que escucha y los relaciona entre sí para formar una totalidad controlada”.

El libro reproduce casi una cincuentena de obras de otros tantos artistas, y siete colaboraciones literarias de Reynaldo Fernández Manzano, Asunción Jódar, María José de Córdoba, Mar Garrido, Carmen Lloret, María Monte, y Ricardo Marín.

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Batutas y lápices

Hay quien siente al escuchar la Suite andaluza de Emilio Lehmberg una nebulosa de estallidos en blanco y negro. Ocurre en una mística y curiosa obra del artista Francisco Lagares, quien interpreta plásticamente la música del compositor malagueño. Esta obra, junto a muchas otras, pueden verse en el libro de Asunción Jódar Dibujando la música, que publica ahora la editorial de la Universidad de Granada.

Hace cuatro años el director del Festival de Música Española de Cádiz, Reynaldo Fernández, se puso en contacto con Jódar, directora del Departamento de Dibujo de la UGR, para proponerle un curso de alto nivel sobre dibujo y música durante el festival. Su idea era que los alumnos pintasen los conciertos al natural desde las butacas. Desde el 2007, «cada año se realiza este curso al que Reynaldo y yo llamamos Mapa incompleto de recuerdos sonoros» por donde han pasado profesores y artistas de prestigio como el propio Lagares, Benjamín Juárez, Mar Garrido, María José de Córdoba o Carmen Lloret. Ya han participado más de ochenta estudiantes entre cuyos nombres puede encontrarse a Dolores Lozano, Andrea Sanz, Nicolo Melocchi, E. Luis Fernández Garrido… que interpretan cada uno a su manera la armonía, las texturas y las emociones musicales.

El resultado de su obra tiene que ver con la abstracción y los estudios de composición de imágenes pero, ¿es posible dibujar los sonidos? «Entre música y dibujo hay conexiones y similitudes que podríamos concretar y analizar». Subraya la profesora que «cuando los dibujantes oyen la música el hecho de dibujarla es un desafío, ya que deben ser capaces de superar el sometimiento al acontecimiento sonoro. Han de atrapar lo que están escuchando y de forma mágica plasmarlo en un espacio plano y limitado». Podría decirse que el dibujante, como el compositor, «organiza los sonidos que escucha y los relaciona entre sí para formar una totalidad».

La relación entre música-dibujo y artes visuales tiene «casi cien años». La fascinación de los pintores por la música así como la de los músicos por la pintura «dio lugar en las primeras décadas del siglo XX a uno de los focos creativos más importantes para el arte contemporáneo». Jódar explica que las palabras de Kandinsky «el mundo suena» se convirtieron en una de las frases «más sugerentes y eficaces para los espacios del arte y sus diversas manifestaciones».

El dibujo y la música «imaginan espacios tridimensionales para organizar la creación de sus obras. No es cierto que ambos se lean de forma lineal, como los textos de izquierda a derecha. La música y los dibujos están construidos en planos imaginarios de texturas rítmicas que organizan y dan profundidad a las infinitas formas de la creación artística».

Éstos son algunos de los principios de los que parte Asunción Jódar como directora del curso, cuyos objetivos son «por un lado conocer y estudiar los dibujos de la música a través de clases teóricas y seminarios en la Universidad y en el Archivo Manuel de Falla y, por otro, contribuir a la creación de nuevos dibujos sobre la música dibujando al natural en los conciertos del Festival de Música Española de Cádiz». Durante cinco días de conciertos, los estudiantes dibujan allí por la tarde y por la noche. Un trabajo intenso pero también «una experiencia inolvidable». Cada estudiante, cuenta la profesora, llega a hacer entre quince y veinte obras.

Asunción Jódar, quien elige a Karlheinz Stockhausen para trabajar sobre la música, dibujarla y crear nuevas formas, explica que en este curso se trata de pintar y dibujar como quien lo hace frente a una catedral. «Se trata de ver la música. El secreto está en que no hay que mirar hacia fuera sino hacia dentro de uno mismo».

Asunción Jódar. El libro reproduce casi una cincuentena de obras Editorial de la Universidad de Granada.

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