Scientists develop an ‘intelligent car’ able to learn from his owner’s driving and warn him in case of accident hazard

Scientists from six European countries, including Spain, have developed a new computer system so called DRIVSCO that allows vehicles to learn from the behaviour of their drivers at the wheel, in such a way that they can detect if a driver presents an “unusual behaviour” in a curve or an obstacle on the road and generates signals of alarm which warn him on time to react.

Un like other similar projects, DRIVSCO goes far beyond a computer vision system for driving assistance. The concept investigated was how to get that a car learns from the user’s driving facing a curve or an approaching intersection, a pedestrian or another vehicle. Regardless the type of driving of the driver, sporty or conservative (as it adapts to his driving), the system obtains a driving behaviour pattern.

Thus, during night driving, if the vehicle detects a deviation in his way of driving in face of a curve, it interprets that it is due t the lack of visibility of the driver (as the driver has a limited visibility of the low beams field, whereas the car’s night vision system is much more powerful and has a longer range). Therefore, it generates signals of alarm to warn the driver of his “unusual behaviour when approaching a curve”, or the detection of a potentially dangerous object, for instance.

Accidents at night
The persons in charge of this project state that 42 per cent of fatal traffic accidents happen at night, according to the data of the European Car Council, “an extremely worrying figure if we consider that traffic drops about a 60% during night hours”. This is due, among other factors, to the reduced visibility during night driving.

The Spanish representation in this project fell on a research group of the Department of Computer Architecture and Technology of the University of Granada (Spain) led by professor Eduardo Ros Vidal. DRIVSCO also has the participation of scientists from Germany (University of Göttingen, University of Münster and the company Hella & Hueck), Denmark (University of Southern Denmark), Lithuania (University Vytautas Magnus), Belgium (Catholic University of Leuven) and Italy (University of Geneva).

The research group of the University of Granada has developed a system of artificial vision (analysis of the scenario) in an only chip. Such device receives input pictures and produces a first “interpretation of the scenario” in terms of depth (3D vision), local movement, image lines, etc, everything in an only electronic chip. This system can be assembled in different types of vehicles in future. In addition, they have used a “reconfigurable hardware”, so that the system can adapt itself to new field of application.

Promising results
During the tests, a group of drivers drove using DRIVSCO system so that the car could learn from their driving style. The car had also a differential GPS incorporated (with several centimetres of precision), detection systems of wheel turns, braking, etc, so that the research groups managed to check in great detail the style of driving in every case and the performance of the system. The first tests have offered promising results and have proved the usefulness of the new concept.

Professor Ros highlights that with this project “we do not intend to develop automatic driving systems (as it would be very difficult for insurance agencies and car companies to come to an agreement in the event of a crash), but advanced driving assistance systems”. DRIVSCO’s final goal is to avoid car accidents and contribute to keep drivers alert, focusing their attention to the maximum.

Part of the results of this project has been published in the renowned scientific journals “IEEE Trans on Image Processing”, “IEEE Trans. on Vehicular Technology” and “IEEE Transactions on Circuits for Video Technology”.

Screen
Screen of the DRIVSCO system

Reference: Prof. Eduardo Ros Vidal. Department of Computer Architecture and Technology of the University of Granada.
Phone number: 958 246 128. Mobile: 657 556 034. E-mail: eduardo@atc.ugr.es
Web DRIVSCO: http://www.pspc.dibe.unige.it/~drivsco/


Mise au point d’une « voiture intelligente » capable d’apprendre comment conduit don propriétaire et de l’avertir en cas de risque d’accident

Des scientifiques de six pays européens, dont l’Espagne, ont développé un nouveau système informatique dénommé DRIVSCO qui permet aux véhicules d’apprendre le comportement au volant de leurs conducteurs, de sorte que ceux-ci puissent détecter quand le conducteur a un « comportement non habituel » face à un virage ou un obstacle sur la route, et générer des signaux d’alarme qui l’avertissent à temps pour réagir.

À la différence d’autres projets similaires, DRIVSCO va au-delà d’un système de vision par ordinateur pour aide à la conduite. Le concept qui a fait l’objet d’étude est comment faire pour que la voiture apprenne la façon de conduire de l’usager. Ainsi, pendant la conduite diurne, le véhicule apprend comment réagit l’usager face à un virage ou une intersection proche, un piéton ou une autre automobile. Indépendamment de la conduite (sportive ou conservatrice), le système, qui s’adapte à la façon de conduire, en extrait un modèle de comportement du conducteur.

Ainsi, pendant la conduite nocturne, lorsque le véhicule détecte une déviation dans sa conduite face à un virage, il interprète que cela est dû à une mauvaise visibilité (vu que celle-ci se limite aux feux de croisement, tandis que le système de vision nocturne est beaucoup plus puissant et a une plus grande portée). C’est pour cela qu’il produit des signaux d’alarme pour alerter le conducteur de sa façon « inusuelle de s’approcher d’un virage», ou d’un objet détecté comportant un certain danger, par exemple.

Accidents de nuit
Les responsables de ce projet rappellent que 42% des accidents mortels de la route se produisent de nuit, d’après des données du Commissariat européen de l’Automobile. « Un chiffre extrêmement préoccupant si l’on tient compte que le trafic diminue près de 60% pendant les heures nocturnes ». Ceci est dû, entre autres facteurs, à la réduction de la visibilité de nuit.

La représentation espagnole de ce projet revient à un groupe de chercheurs du Département d’Architecture et de Technologie des Ordinateurs de l’Université de Grenade, dirigés par le professeur Eduardo Ros Vidal. Participent également à DRIVSCO des chercheurs allemands (Université de Göttingen, Université de Münster et l’entreprise Hella & Hueck), danois (Université du Sud du Danemark), lituaniens (Université Vytautas Magnus), belges (Université catholique de Louvain) et italiens (Université de Gênes).

Le groupe de chercheurs de l’Université de Grenade a mis au point un système de vision artificielle (analyse de la scène) en un seul chip. Ce dispositif reçoit des images d’entrée et génère une « première interprétation de la scène » en termes de profondeur (vision 3D), mouvement local, lignes de l’image, etc., le tout dans un seul chip électronique. Ce système pourra à l’avenir s’encastrer dans divers types de véhicules. On a de plus utilisé un « hardware reconfigurable » de sorte que le système s’adapte à de nouveaux domaines d’application.

Résultats prometteurs
Pendant les essais, on a fait conduire un groupe de conducteurs qui utilisait le système DRIVSCO pour que le véhicule apprenne leur façon de conduire. De plus, le véhicule possédait un GPS différentiel (avec une précision de plusieurs centimètres), des systèmes de captation de virage au volant, de freinage, etc., afin que les groupes de recherche puissent vérifier de façon détaillée la façon de conduire dans chaque cas et le fonctionnement du système. Les premiers essais ont produit des résultats prometteurs et ont démontré l’utilité de ce nouveau concept.

Le professeur Ros souligne qu’avec ce projet « on ne prétend pas développer des systèmes de conduite automatique (vu que, entre autres, il serait compliqué que les assureurs et les compagnies automobiles arrivent à des accords en cas de collision), mais des systèmes avancés d’aide à la conduite ». L’objectif final de DRIVSCO est d’éviter des accidents de trafic et de favoriser la vigilance du conducteur en concentrant au maximum son attention.

Une partie des résultats de ce projet a été publiée dans les prestigieuses revues scientifiques « IEEE Trans. on Image Processing », « IEEE Trans. on Vehicular Technology » et IEEE Transactions on Circuits for Video Technology ».

drivsco
Écran du système DRIVSCO

Référence : Prof. Eduardo Ros Vidal. Département d’Architecture et de Techjnologie des Ordinateurs de l’Université de Grenade. Tél. : 958 246 128 ; portable : 657 556 034 ; courriel : eduardo@atc.ugr.es; web DRIVSCO : http://www.pspc.dibe.unige.it/~drivsco/


Ideal

Pág. 9: Historiadores creen necesario que se enseñe patrimonio histórico a los niños
Pág. 61: Los temibles ratones \’comeárboles\’
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El Mundo

Pág. 22: La visión del patrimonio, más allá de la vertiente académica
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La Opinión

Pág. 9 – Publicidad: En septiembre… Apura tu verano. Cursos del Centro Mediterráneo de la Universidad de Granada
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Granada Hoy

Pág. 3 – Opinión: Adiós Selectividad
Pág. 55: La sociedad, fundamental para la rehabilitación del patrimonio
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Ideal

Pág. 14 – Publicidad: Centro de Lenguas Modernas. Universidad de Granada
Pág. 54 y 55: Un mirador para ser mirado|Un arte basado en vivencias
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La UAH investiga sobre una cama antimagnética

La UAH investiga sobre una cama antimagnética

Los campos electro magnéticos, generados por dispositivos electrónicos o de telecomunicaciones, como puede ser un teléfono móvil, pueden causar trastornos en nuestros ritmos biológicos afectando a la calidad de nuestras horas de sueño. Por ello, la Universidad de Alcalá (UAH), junto a la Complutense de Madrid y la Universidad de Granada, está llevando a cabo una investigación, liderada por José Luis Bardasano, del Departamento de Especialidades Médicas de la UAH, para avalar los beneficios de una cama que protege de los campos magnéticos, y que está patentada por la empresa andaluza Biovital.
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Los secretos del sueño

Los secretos del sueño

Biovital ha creado camas, colchones y complementos que combaten el envejecimiento, protegen el cuerpo de los campos electromagnéticos y previenen patologías cervicales. Sus ventajas están avaladas por la UGR

´Descansa bien, vive mejor´. Es el lema de la empresa Biovital, que fabrica camas, colchones y cubrecolchones íntegramente con productos naturales y cuyos beneficios han sido probados por catedráticos de la Universidad de Granada y de la Complutense de Madrid. Sus diseños, asegura la firma, combaten el envejecimiento y el estrés, y previenen la aparición de enfermedades cardiovasculares y pulmonares, y las patologías cervicales. «En las grandes ciudades vivimos rodeados de campos electromagnéticos que distorsionan nuestra vida celular, como los que emanan ordenadores, teléfonos móviles, televisiones y tendidos eléctricos», explica el gerente de Biovital, Gregorio Mora; «todos ellos disparan radicales libres en nuestro medio ambiente, lo que acelera el proceso de envejecimiento por estrés oxidativo y reduce la fortaleza de nuestro sistema inmunológico».

Además, baja los niveles de ansiedad, incrementa las horas y calidad del sueño, mejora la circulación y la producción de melatonina –un inductor natural del sueño–. «Biovital, tras una intensa etapa de I+D, ha conseguido desarrollar un sistema único», puntualiza el directivo. Presentación. Mora destaca que los secretos de Biovital se presentaron a finales de marzo en el IV Congreso Internacional Quantum SCIO, celebrado en Castelldefels y dedicado a la biofísica y medicina natural.

Allí, la empresa detalló algunas de sus bazas: maderas con barnices naturales, ergonomía y adaptación a las formas de cada persona, planchas de fibra de coco que eliminan la humedad del ambiente y actúan como ionizador natural y colchón de látex 100% natural que impide la proliferación de ácaros y bacterias. También cobertura con malla de grafito y toma de tierra para eliminar la contaminación electromagnética, y lana merina, que contribuye a una buena oxigenación y mantiene la temperatura corporal sin variaciones y con un buen riego sanguíneo . Biovital ofrece varias series de productos.

La Línea Clásica, por ejemplo, incluye somieres autorregulables en la cabecera y en los pies y piezas de caucho natural en la zona lumbar, que adapta el somier al peso del usuario. O colchones elaborados en látex 100% natural que viene con una funda –de malla de grafito– que canaliza la contaminación electromagnética. El interior se compone de una pastilla de 15 centímetros de grosor de látex natural con siete densidades.

En la Línea Infantil y Juvenil la empresa ofrece las mismas prestaciones pero con diseños pensados para los chicos y adolescentes. Incluso fabrica cunas. En su apartado Sport, Biovital vende sillones ionizados trenzados a mano, mesas accesorias a sillones, una ´manzana refugio´ (especie de iglú para descansar en su interior) y tumbonas. En cuanto a complementos, su lista de productos se compone de mantas y cubrecolchones confeccionados con lana de oveja merina y almohadas. Todo ello para cumplir la máxima de esta innovadora firma granadina.
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La sociedad, fundamental para la rehabilitación del patrimonio

La sociedad, fundamental para la rehabilitación del patrimonio

Un experto de la UGR afirma que el compromiso de la gente determina que «sobreviva»

El catedrático de Historia del Arte de la Universidad de Granada Rafael López Guzmán dijo ayer que es «fundamental» tener en cuenta y analizar la sociedad donde se enclava el patrimonio de un lugar cuando se quiere rehabilitar un edificio determinado, incluso que la manera en la que la gente esté identificada y comprometida con él determina que «sobreviva o sea convierta en un ente muerto».

En este sentido, López explicó que el patrimonio «no sólo lo crean los científicos o los técnicos», sino que influyen otros factores tales como la literatura, la fotografía o el turismo. Así no podría entenderse Cartagena de Indias sin la recreación que hace García Márquez en El amor en los tiempos del cólera, «al igual que Perú no se concibe sin Vargas Llosa», apuntó.
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La familia de Lorca tiene 15 días para alegar contra la apertura de la fosa

La familia de Lorca tiene 15 días para alegar contra la apertura de la fosa

La Consejería de Justicia y Administración Pública ha abierto el plazo de alegaciones para la exhumación de las fosas comunes en las que supuestamente yacen los restos del poeta Federico García Lorca, el maestro Dióscoro Galindo y los banderilleros Francisco Galadí y Joaquín Arcollas.
De esta manera, la solicitud de apertura que presentó en su día la Asociación Granadina para la Recuperación de la Memoria Histórica (AGRMH) se somete a información pública y los interesados dispondrán de 15 días hábiles para presentar sus recursos, según consta en el anuncio publicado ayer en el Boletín Oficial de la Junta de Andalucía.
El comisario para la Recuperación de la Memoria Histórica, Juan Gallo González, entiende que «es preciso someter la actuación solicitada a información pública, con el fin de ponderar la existencia de oposición por cualquiera de los descendientes directos de las personas cuyos restos puedan verse afectados por dicha intervención».
Para Cecilio Gordillo, coordinador del Grupo de Trabajo Recuperando la Memoria de la Historia Social de Andalucía, la resolución «está hecha a medida de la familia de Lorca. Es la primera vez que se hace algo así. En otras ocasiones anteriores, como la apertura de la fosa de Grazalema, en Cádiz, la administración no ha pedido permisos».
Circo mediático
En este sentido es conocido que la familia del poeta se ha mostrado de forma reiterada en contra de la exhumación de los restos, por lo que se espera que recurran a la apertura de la fosa. Manuel Fernández-Montesinos, sobrino del poeta y patrono de la Fundación que lleva su nombre, ya anunció el pasado mes de octubre que su familia barajaba emprender acciones legales para evitar la exhumación.
Para la familia «sería una profanación, porque allí se ha creado un lugar sagrado y no en el sentido religioso, donde va gente porque el personaje, su obra, su vida o la tragedia les conmueven y allí se sientan y lo piensan o recitan».
Laura García-Lorca, por su parte, ha manifestado su «temor» en varias ocasiones de que los trabajos se conviertan en un «circo mediático» y ha solicitado que éstos se desarrollen en la «intimidad», algo que en teoría está dispuesto a garantiza el equipo de la Universidad de Granada que al parecer se encargaría de la prospección.
La Junta de Andalucía, por otra parte, ha garantizado a los allegados del autor de «Bodas de sangre» que se respetarán sus derechos, puesto que, según manifestó el pasado mes de julio la consejera de Justicia, Begoña Álvarez, «es posible desde el punto de vista legal y científico la identificación de los restos reclamados -de Galindo y Galadí-sin analizar los de García Lorca». En esa misma intervención, Álvarez anunció que su consejería estaba ultimando «un protocolo de actuación que permitiera abrir el próximo otoño la fosa», por lo que la apariencia es que la decisión de abrir la fosa ya está tomada desde hace tiempo aleguen lo que aleguen los familiares de Lorca.
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