Researchers find four natural extracts with anti-obesity effects

  • University of Granada researchers have identified four plant extracts with potential anti-obesity effect.

  • In a study on rats, the researchers have demonstrated that three-day administration of two extracts reduces dietary fat absorption.

  • Administration of two of these extracts –that have not still been tested on humans- improved cholesterol and triglyceride levels in obese rats.

University of Granada researchers have identified four plant extracts that might help in preventing and fighting obesity. The researchers identified the most effective plant extracts through in vitro assays; subsequently, extracts were tested on rats. While the results obtained are promising, further studies on animals are required to evaluate and confirm the anti-obesity effects of these extracts. Once their anti-obesity effects are confirmed on animals, the extracts will be tested on humans.

In vitro assays revealed that two of these extracts –which name cannot be disclosed for confidentiality reasons- inhibited the activity of one of the key enzymes involved in the breakdown of dietary lipids, which would eventually reduce lipid absorption. 

In addition, cell assays revealed that another two extracts induced the hydrolysis ​​of the triglycerides accumulated within fat cells, thus reducing their fat content.

Tested on Rats

The effects of these extracts were tested on animals. To carry out this study, Wistar rats were used as a model for study of the absorption of a fat-rich diet, and Zucker rats -characterized for being obese rats- were used as a model for studying the effects of these extracts on body weight and plasma lipid levels in obese animals.

Two extracts were selected as they demonstrated to have potential inhibiting effects on dietary fat absorption. Rats were fed with a fat-rich diet supplemented with these extracts during three days; they showed a 6-8% increase in the fat excreted in feces, as compared to the fat excreted by rats fed with a fat-rich diet without any supplementary extract. The results suggest that this extract inhibits fat absorption.

Subsequently, obese rats were administered the two extracts that were found to reduce cell fat contents during ten weeks; lipid concentrations in plasma improved as did the parameters associated with the metabolism of glucose –which is related with diabetes and obesity.

Reduction of Cholesterol and Triglycerides

Dietary administration of one of these extracts to obese rats significantly reduced triglyceride and cholesterol levels in plasma by 67 and 49% respectively, as compared to a control group of obese rats that received no extracts. also Glucose and insulin levels in plasma were also significantly improved. Another extract reduced free fatty acid levels in plasma by 68%, as compared to a control group of obese rats receiving no extract.

This research study was conducted by Belén San Román Arenas, at the Biosearch Life Department of Research, in collaboration with the professor at the University of Granada Department of Biochemistry and Molecular Biology II Olga Martínez Augustín, and coordinated by doctors Mónica Olivares Martín and Óscar Bañuelos Hortigüela.

According to the researchers, the introduction of any drug in food is banned by current national regulations. However, it is legal that food is enriched with natural compounds that are commonly consumed by humans. Accordingly, as the extracts selected for this study come from vegetables commonly consumed by humans, they can be used as nutritional supplements or added to food, once their effectiveness is tested and verified on humans.

Contact: Belén San Román Arenas. Universidad de Granada. E-mail address:bsanro@hotmail.com

 


Découverte de quatre extraits naturels qui peuvent aider à combattre l’obésité

  • Des chercheurs de l’Université de Grenade ont sélectionné, à partir d’études réalisées in vitro, des extraits végétaux possédant un potentiel d’activité contre l’obésité.
  • Les scientifiques ont démontré en laboratoire avec des rats que l’administration pendant trois jours de deux de ces extraits aide à réduire l’absorption de graisse provenant de la diète.
  • L’administration des deux autres extraits, qui n’ont pas encore été testé chez des humains, contribue à réguler les niveaux de cholestérol et de triglycérides chez des rats obèses.

Des scientifiques de l’Université de Grenade ont découvert quatre extraits naturels d’origine végétale pouvant contribuer à prévenir et à combattre l’obésité. Leur travail a été réalisé moyennant des essais in vitro. Une fois sélectionnés les extraits à potentiel majeur, leur effectivité s’est vérifiée dans différentes études avec des rats. Bien que les résultats obtenus soient prometteurs, il est nécessaire de poursuivre les études avec des animaux afin d’évaluer et de confirmer leurs effets avant de les utiliser chez des humains.

Deux des extraits analysés pour ce travail, dont le nom n’a pas encore été révélé pour des raisons de confidentialité, ont démontré lors d’essais in vitro leur capacité d’inhibition de l’activité d’une des principales enzymes impliquées dans la rupture des lipides provenant de la diète, ce qui conduirait à une réduction dans l’absorption de ceux-ci.

D’autre part, deux autres extraits utilisés ont démontré, lors d’essais cellulaires réalisés, leur capacité d’induire l’hydrolyse des triglycérides accumulés à l’intérieur de cellules grasses, réduisant ainsi le contenu en graisse des mêmes.

Essais avec des rats

L’effet de ces extraits a été vérifié chez des animaux. Pour mener à bien cette recherche, les scientifiques ont sélectionné des rats Wistar, utilisés comme modèle d’étude d’absorption d’une diète riche en graisse, ainsi que des rats Zucker, un type de rat obèse utilisé comme modèle d’étude des effets de l’obésité sur le poids corporel et les niveaux de lipides plasmatiques.

Les deux extraits, sélectionnés en raison de leur potentiel d’activité comme inhibiteurs de l’absorption de la graisse provenant de la diète, ont produit une augmentation de 6% et de 8% de la graisse excrétée dans les excréments des rats alimentés pendant trois jours avec une diète riche en graisse, à laquelle on a ajouté chacun des extraits, en comparaison à la quantité de graisse excrétée après avoir consommé la même diète mais sans y ajouter d’extrait, ce qui indique l’activité de cet extrait comme inhibiteur de l’absorption de cette graisse.

L’effet des deux extraits ayant démontré leur capacité de réduire le contenu en graisse à l’intérieur des cellules s’est vérifié moyennant des études avec des rats obèses qui, après l’administration desdits extraits pendant dix semaines, ont amélioré leurs niveaux de lipides dans le plasma, ainsi que les niveaux dans le plasma de paramètres se rapportant au métabolisme de la glucose et qui se trouvent en rapport avec le développement de la diabète, une maladie qui accompagne très souvent l’obésité.

Réduction du cholestérol et des triglycérides

L’administration avec la diète d’un de ces extraits à des rats obèses réduit significativement les niveaux de triglycérides et de cholestérol dans le plasma, de 67% et 49% respectivement, par rapport à un contrôle de rats obèses traités avec diète sans extraits. Elle a de même amélioré les niveaux de glucose et d’insuline dans le plasma. Un autre des extraits réduit les niveaux d’acides gras libres dans le plasma de 68% par rapport à un contrôle de rats obèses traités sans extraits.

Cette recherche a été menée à bien par Mme Belén San Román Arenas, du Département de Recherche en Biosearch Life, avec la collaboration de ma professeure Olga Martínez Augustín, du Département de Biochimie et de Biologie Moléculaire II, et a été dirigée par les docteurs Mónica Olivares Martín et Óscar Bañuelos Hortigüela.

Tel que l’expliquent les auteurs de ce travail, la législation actuelle ne permet pas l’introduction de médicaments dans les aliments, mais si l’utilisation d’un composé d’origine naturelle habituellement consommé par les humains, afin de l’inclure comme ingrédient actif dans un aliment. Ainsi les extraits sélectionnés pour ce travail provenant de végétaux consommés par les humains, pourraient être utilisés comme suppléments nutritionnels ou être ajoutés à certains aliments, une fois démontrée leur effectivité chez les humains.

Contact: Belén San Román Arenas. Université de Grenade. Courriel : bsanro@hotmail.com 


El Telegrama de Melilla

Portada: Apostar y trabajar por la Universidad es una prioridad para El Barkani

Pág.20: Los estudios universitarios en Melilla, prioridad para El Barkani

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Melilla Hoy

Pág. 13: El Barkani trata la ampliación de titulaciones en el Campus

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Descubren extractos naturales que podrían ayudar a combatir la obesidad

ientíficos de la Universidad de Granada han descubierto cuatro extractos naturales de origen vegetal que podrían ayudar a prevenir y combatir la obesidad, según ha informado la institución académica en un comunicado.

 

El trabajo ha sido realizado mediante ensayos ‘in vitro’ y, una vez seleccionados los extractos con mayor potencial, se ha comprobado su efectividad en diferentes estudios con ratas.

Aunque los resultados obtenidos son ‘muy prometedores’, todavía deben ser analizados en nuevos estudios con animales para evaluar y confirmar sus efectos, antes de poder ser utilizados en estudios con humanos.

Dos de los extractos utilizados para este trabajo, cuyo nombre no puede facilitarse aún por motivos de confidencialidad, mostraron en los ensayos la capacidad de inhibir la actividad de una de las principales enzimas implicadas en la ruptura de los lípidos procedentes de la dieta, lo que conduciría a una reducción en la absorción de los mismos.

Otros dos de los extractos utilizados mostraron la capacidad de inducir la hidrólisis de los triglicéridos acumulados en el interior de las células grasas, reduciendo el contenido en grasa de las mismas.

Para llevar a cabo esta investigación, los científicos seleccionaron los tipos de rata ‘Wistar’, utilizada como modelo de estudio de absorción de una dieta rica en grasa, y la rata ‘Zucker’, caracterizada por ser una rata obesa, utilizada como modelo de estudio de los efectos sobre el peso corporal y los niveles de lípidos plasmáticos durante la obesidad.

El efecto de los dos extractos que mostraron la capacidad de reducir el contenido en grasa en el interior de las células fue comprobado en estudios con ratas obesas que, tras la administración de dichos extractos durante diez semanas, mejoraron sus niveles de lípidos en plasma y los niveles en plasma de parámetros referentes al metabolismo de la glucosa.

La administración junto con la dieta de uno de estos extractos a ratas obesas redujo de forma significativa los niveles de triglicéridos y colesterol en plasma en un 67 y 49% respectivamente con respecto a un control de ratas obesas tratadas con dieta sin extracto.

Asimismo mejoraron de forma significativa los niveles de glucosa e insulina en plasma y otro de los extractos redujo los niveles de ácidos grasos libres en plasma en un 68% con respecto a un control de ratas obesas tratadas sin extracto.

Los autores de este trabajo recuerdan que la legislación actual no permite la introducción de ningún medicamento en los alimentos, pero sí la utilización de un compuesto de origen natural que sea de consumo habitual por humanos para poder incluirlo como ingrediente activo en un alimento.

Por tanto, los extractos seleccionados para este trabajo, al provenir de vegetales de consumo humano, podrían ser utilizados como suplementos nutricionales o ser añadidos a algún alimento, una vez demostrada su efectividad en estudios con humanos.

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El Mundo

Sup. Campus. Portada: Crisis de vocaciones. Una Secundaria pobre y la falta de medios dejan a la ciencia sin mano de obra

Sup.  Campus. Pág. 2-3: CIENCIA EN CAÍDA LIBRE. Las matrículas en carreras experimentales disminuyen un 68% en la última década

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Ideal

Pág. 16: La crisis consolida en la UGR la demanda de idiomas para acceder a un trabajo
– El Consejo Social acerca la ciencia e innovación al tejido empresarial

Pág. 26: Foro de Consejos Sociales de Universidades

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Granada Hoy

Pág.  12: Las empresas ponen deberes a las universidades andaluzas

Pág. 13: El Consejo Andaluz exige más calidad en las investigaciones

Pág. 23: Exposición Temática granadina

Pág. 24: ‘Arte de sueños’, la visión de Carolina María López

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Descubren extractos naturales que podrían ayudar a combatir la obesidad

Científicos de la Universidad de Granada han descubierto cuatro extractos naturales de origen vegetal que podrían ayudar a prevenir y combatir la obesidad, según ha informado hoy la institución académica en un comunicado.

 

El trabajo ha sido realizado mediante ensayos «in vitro» y, una vez seleccionados los extractos con mayor potencial, se ha comprobado su efectividad en diferentes estudios con ratas.

Aunque los resultados obtenidos son «muy prometedores», todavía deben ser analizados en nuevos estudios con animales para evaluar y confirmar sus efectos, antes de poder ser utilizados en estudios con humanos.

Dos de los extractos utilizados para este trabajo, cuyo nombre no puede facilitarse aún por motivos de confidencialidad, mostraron en los ensayos la capacidad de inhibir la actividad de una de las principales enzimas implicadas en la ruptura de los lípidos procedentes de la dieta, lo que conduciría a una reducción en la absorción de los mismos.

Otros dos de los extractos utilizados mostraron la capacidad de inducir la hidrólisis de los triglicéridos acumulados en el interior de las células grasas, reduciendo el contenido en grasa de las mismas.

Para llevar a cabo esta investigación, los científicos seleccionaron los tipos de rata «Wistar», utilizada como modelo de estudio de absorción de una dieta rica en grasa, y la rata «Zucker», caracterizada por ser una rata obesa, utilizada como modelo de estudio de los efectos sobre el peso corporal y los niveles de lípidos plasmáticos durante la obesidad.

El efecto de los dos extractos que mostraron la capacidad de reducir el contenido en grasa en el interior de las células fue comprobado en estudios con ratas obesas que, tras la administración de dichos extractos durante diez semanas, mejoraron sus niveles de lípidos en plasma y los niveles en plasma de parámetros referentes al metabolismo de la glucosa.

La administración junto con la dieta de uno de estos extractos a ratas obesas redujo de forma significativa los niveles de triglicéridos y colesterol en plasma en un 67 y 49 por ciento respectivamente con respecto a un control de ratas obesas tratadas con dieta sin extracto.

Asimismo mejoraron de forma significativa los niveles de glucosa e insulina en plasma y otro de los extractos redujo los niveles de ácidos grasos libres en plasma en un 68 por ciento con respecto a un control de ratas obesas tratadas sin extracto.

Los autores de este trabajo recuerdan que la legislación actual no permite la introducción de ningún medicamento en los alimentos, pero sí la utilización de un compuesto de origen natural que sea de consumo habitual por humanos para poder incluirlo como ingrediente activo en un alimento.

Por tanto, los extractos seleccionados para este trabajo, al provenir de vegetales de consumo humano, podrían ser utilizados como suplementos nutricionales o ser añadidos a algún alimento, una vez demostrada su efectividad en estudios con humanos.

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El Herbario de la Universidad de Granada organiza la exposición «Las criptógamas en los cinco reinos»

  • Podrá visitarse en la Sala de Exposiciones de la Facultad de Ciencias del 1 al 29 de febrero

El Herbario de la Universidad de Granada ha organizado la exposición “Las criptógamas en los cinco reinos”, que se celebrará en la Sala de Exposiciones de la Facultad de Ciencias del 1 al 29 de febrero.

Con esta muestra se pretende rescatar, divulgar y poner en valor la biodiversidad vegetal más oculta, ligada a un universo de organismos (microscópicos y macroscópicos) repartidos a lo largo de toda la escala biológica y a los que, de forma global, denominamos criptógamas. De forma paralela, sus organizadores creen que puede ayudar a los alumnos de Biología, Farmacia y Ciencias Ambientales a tener una mejor y más adecuada comprensión de las criptógamas.

Aunque algunas de sus especies son conocidas desde antiguo, su estudio sistemático y científico se inicia aproximadamente hace dos siglos, quedando aún muchas especies por descubrir. Profundizar en el conocimiento y comprensión de estos seres cobra especial significado en la actualidad por el relevante papel que pueden jugar en la investigación y desarrollo biotecnológico. Sirvan como ejemplo de su interés los siguientes datos: sin ellos no sería posible el oxígeno que respiramos, el pan que nos comemos o los antibióticos que nos curan. Sin ellos no entenderíamos relatos históricos como las plagas de Egipto o el maná del desierto. A partir de ellos serán posibles muchos avances científicos.

Nuevas fuentes de energía

Algunos de los que ya podemos intuir son la obtención de nuevas fuentes de energía a partir de algas microscópicas; incrementar la productividad de las cosechas a través del estudios de las propiedades reviviscentes de los briófitos; detectar y/o paliar los procesos de contaminación mediante bioindicadores acuáticos (algas), terrestres (líquenes); conseguir alternativas a los alimentos tradicionales, tanto por el consumo directo de especies de hongos y algas como por la obtención de nuevas sustancias regenerativas y antioxidantes a partir de todos los grupos de criptógamas; obtener nuevos fármacos; además de una serie de avances que probablemente aún no estamos capacitados para imaginar.

Hace escasas semanas se ha producido el fallecimiento de Lynn Margulis, una bióloga que ha empeñado su esfuerzo en divulgar la existencia de todos estos organismos y de poner de manifiesto su importancia en la escala biológica y por lo tanto en los cinco reinos de organismos propuestos en sus sistemas de clasificación. La exposición de la Facultad de Ciencias de la UGR pretende brindar un humilde homenaje a su contribución al desarrollo de la Biología.

Contacto: Pedro Sánchez Castillo. Director del Herbario. Teléfono: 958243268. Correo electrónico: direccionherbario@ugr.es. Dirección web: http://herbarium.ugr.es

Gabinete de Comunicación | Secretaría General 
UNIVERSIDAD DE GRANADA
Acera de San Ildefonso, s/n. 18071. Granada (España)
Tel. 958 243063 | 958244278
Correo e.gabcomunicacion@ugr.es | Web: http://canal.ugr.es


Conferencia sobre “La Directiva Habitats y la Red Natura 2000: ¿el futuro de la naturaleza en Europa?”

  • A cargo de Juan Carlos Simón Zarzoso, tendrá lugar en el Salón de Caballeros XXIV del Palacio de La Madraza, el miércoles, 1 de febrero de 2012, a las 19.30 horas

“La Directiva Habitats y la Red Natura 2000: ¿el futuro de la naturaleza en Europa?” es el título de la conferencia que pronunciará el biólogo Juan Carlos Simón Zarzoso, en el Salón de Caballeros XXIV del Palacio de La Madraza, el miércoles, 1 de febrero de 2012, a las 19.30 horas, en un acto organizado por el Seminario de Medio Ambiente y Calidad de Vida, Cátedra “José Saramago”, del Secretariado de Extensión Universitaria de la Universidad de Granada.

Licenciado en Biología Ambiental por la Universidad Autónoma de Madrid, la experiencia profesional de Juan Carlos Simón Zarzoso está orientada a la Biología de la Conservación, mediante el desarrollo de trabajos relacionados con espacios de interés natural, fauna, flora y vegetación, tanto en el ámbito nacional como en el internacional.

Ha trabajado más de 12 años en la actual Dirección General de Conservación de la Biodiversidad (D.G.C.N.) del Ministerio de Medio Ambiente y ha participado en el proyecto Biotopos del programa CORINE, proyecto Hispanat, proyecto Vida Silvestre y Red Natura 2000.

El trabajo desarrollado desde 1995 ha estado vinculado fundamentalmente a la Red Natura 2000.

Actividad:

  • Conferencia: “La Directiva Habitats y la Red Natura 2000: ¿el futuro de la naturaleza en Europa?”
  • A cargo de: Juan Carlos Simón Zarzoso
  • Lugar: Salón de Caballeros XXIV del Palacio de La Madraza (C/ Oficios, 14)
  • Día: Miércoles, 1 de febrero de 2012
  • Hora: 19.30 horas
  • Organiza: Seminario de Medio Ambiente y Calidad de Vida, Cátedra “José Saramago”, del Secretariado de Extensión Universitaria de la Universidad de Granada

Gabinete de Comunicación | Secretaría General 
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