Des scientifiques espagnols réussissent à générer des « os artificiels » à partir de cellules mères provenant du cordon ombilical

  • Des chercheurs grenadins ont breveté un nouveau biomatériau basé sur un support en tissu de charbon actif qui agit comme échafaudage pour la construction de cellules capables de mener à bien la régénération osseuse.
  • Bien que leurs résultats ont été obtenus « ex vivo », à l’avenir ils pourraient servir à fabriquer des médicaments destinés au traitement de pathologies osseuses néoplasiques, traumatiques ou dégénératives.
  • Après l’obtention d’os artificiel en laboratoire, la démarche suivante consistera en l’implant de ce biomatériau chez des animaux afin de vérifier s’il est capable de leur régénérer les os.

Des scientifiques grenadins ont breveté un nouveau biomatériau qui permet de générer du tissu osseux, c’est-à-dire des os artificiels à partir de cellules mères provenant du cordon ombilical. Ce matériau consiste en un tissu de charbon actif sur lequel se supportent et se différencient les cellules donnant lieu à un produit capable de promouvoir la croissance de l’os, et vient d’être présenté au cours d’une conférence de presse célébrée au Centre de Recherche Biomédicale de Grenade.

Bien que cette méthode n’ait pas encore été appliquée à des modèles de recherche « in vivo », les résultats obtenus en laboratoire sont hautement prometteurs et pourraient à l’avenir servir à fabriquer des médicaments destinés à la réparation de lésions osseuses ou ostéochondrales, tumorales ou traumatiques et à la substitution du cartilage dans les extrémités qui l’ont perdu. Après l’obtention d’os artificiel en laboratoire, la démarche suivante consistera en l’implant de ce biomatériau chez des animaux, souris et lapins, afin de vérifier s’il est capable de leur régénérer les os.

Les chercheurs, membres du Centre de Recherche Biomédicale et des facultés des Sciences des universités de Grenade et de Jaén, ainsi que de l’Institut de Parasitologie et de Biomédecine López Neyra (CSIC) ont réalisé cette importante avancée scientifique après des années de recherches dans le domaine de la biologie cellulaire [1], la radiobiologie [2] et l’étude des matériaux [3, 4].

Avancée scientifique pionnière au monde

Tel que l’ont expliqué les scientifiques auteurs de ce brevet, il n’existe actuellement aucun produit alternatif sur le marché, ni décrit dans la bibliographie scientifique. Il y a des antécédents de développement de matériaux qui remplissent la fonction basique de stimuler la différenciation cellulaire, mais on n’avait jamais réussi auparavant à produire « ex vivo » un matériau biologiquement complexe et semblable au tissu osseux.

De plus, la méthodologie de différenciation de cellules mères développée à Grenade utilise un support tridimensionnel et permet d’obtenir des types cellulaires impliqués dans la régénération osseuse dans des conditions de culture cellulaire qui ne requièrent pas de facteurs de différenciation additionnels ou différents à ceux présents dans le sérum de la culture cellulaire. Autrement dit, grâce à cette invention, il est possible d’obtenir un biomatériau contenant des cellules mères sur le support de tissu de charbon actif capable de générer un produit présentant des cellules à lignée ostéochondriale et une matrice organique extracellulaire minéralisée.

Le brevet mis au point à Grenade pourrait avoir de nombreuses applications dans le domaine de l’utilisation des cellules mères dans la médecine régénératrice, ainsi que dans le traitement des problèmes du tissu osseux et des lésions cartilagineuses.

Après cette importante trouvaille scientifique, les chercheurs espèrent pouvoir obtenir le financement nécessaire afin de poursuivre cette recherche jusqu’à son principal objectif, qui est de régénérer des os en implantant ce biomatériau à des patients présentant des pathologies qui affectent le système osseux.

Références bibliographiques

  • [1] Farias VA, Linares-Fernandez JL, Penalver JL, Paya Colmenero JA, Ferron GO, Duran EL, Muñoz Fernández R, García Olivares E, O’Valle F, Puertas A, Oliver FJ, Ruíz de Almodovar JM. Human umbilical cord stromal stem cell express CD10 and exert contractile properties. Placenta. 2011;32:86-95.
  • [2] Gómez-Millán J Katz ISS. de Araújo Farias V, Linares Fernández JL, López Peñalver J, Ortiz Ferrón, G, Ruiz-Ruiz C, Oliver FJ, Ruíz de Almodovar JM. The importance of bystander effects in radiation therapy in melanoma skin-cancer cells and umbilical-cord stromal stem cells. Radiother Oncol. 2012;102:450-8.
  • [3] López Peñalver J, Linares-Fernández JL, de Araujo Farías V, López-RamónMV, Tassi M, Oliver FJ Moreno-Castilla C, Ruiz de Almodóvar JM. Activated carbon cloth as support for mesenchymal stem cell growth and differentiation to osteocytes. Carbon. 2009; 47:3574-7.
  • [4] Farias V de A, Lopez-Peñalver J, Sirés-Campos J, López-Ramón MV, Moreno-Castilla C, Oliver FJ, Ruiz de Almodóvar JM. The growth and spontaneous differentiation of umbilical-cord stromal stem cells on an activated carbon cloth. J Mater Chem B. 2013; 1; 3359-3368

Images adjointes

 

1 : « Os artificiel » ou minéralisation de la matrice extracellulaire obtenue par les scientifiques grenadins grâce à leur brevet.

 

huesos2 

2 : Tissu de charbon actif sur lequel on a cultivé les cellules mères provenant du cordon ombilical.

 

huesos3 

3 : Cellules mères cultivées sur la base de charbon actif.

 

Contact :

-José Mariano Ruiz de Almodóvar. Centre de Recherche biomédicale de l’Université de Grenade. Tél. : 958 241000, Ext. 20013; courriel : jmrdar@ugr.es
-Francisco Javier Oliver. Institut de Parasitologie et de Biomédecine López Neyra de Grenade (CSIC). Tél. : 958 181655; courriel: oliver@ipb.csic.e

Contact :

  • José Mariano Ruiz de Almodóvar. Centre de Recherche biomédicale de l’Université de Grenade. Tél. : 958 241000, Ext. 20013; courriel : jmrdar@ugr.es
  • Francisco Javier Oliver. Institut de Parasitologie et de Biomédecine López Neyra de Grenade (CSIC). Tél. : 958 181655; courriel: oliver@ipb.csic.es

 


Nuevo sistema de tratamiento de residuos peligrosos del ámbito sanitario, más eficiente y menos contaminante

66741 Investigadores de la Universidad de Granada (UGR), dirigidos por el profesor Enrique López-Cantarero Vargas, del departamento de Química-Física, han participado en el desarrollo de un nuevo sistema de tratamiento de residuos peligrosos procedentes del ámbito sanitario, mediante tecnologías ambientales y sostenibles, mucho más barato y menos contaminante que otros sistemas de tratamiento como la incineración. En el trabajo, auspiciado por la empresa granadina Andaluza de Tratamientos de Higiene S.A. (ATHISA), han participado también científicos del Hospital Universitario San Cecilio de Granada, y de la Universidad de Sevilla.

Este sistema, denominado Sistema Mimo, se basa en la oxidación avanzada de los residuos para eliminar sus características de peligrosidad. Según sus autores, «el Sistema Mimo se puede considerar el sistema de los países en desarrollo, ya que su reducido coste de inversión, sus bajos costes de operación, además de su simplicidad en cuanto a materiales y materias primas, lo hacen factible en prácticamente todos los países del mundo».

Entre los beneficios del Sistema Mimo destaca que hace posible el cumplimiento con la directiva comunitaria 91/156/ CEE de gestión de residuos y de un tratamiento ambientalmente correcto a los residuos sanitarios, en especial a los residuos farmacéuticos citostáticos, que en la actualidad precisan de ser gestionados fuera de las fronteras de España.

Además, el Sistema Mimo reduce la intensidad del transporte de los residuos sanitarios que se generan muy significativamente y, en consecuencia, reduce el coste de tratamiento y los riesgos asociados. Permite emplear un tratamiento más respetuoso con el medio ambiente, y emplear un tratamiento específico más para los residuos de fármacos que incorpora el concepto de ‘vertido cero’ a la red de alcantarillado, según informa la UGR.

La implantación de este sistema, desarrollado mediante convenios de colaboración a través de la Fundación Empresa-Universidad, constituye una novedad a nivel mundial dado que permite el tratamiento de los tres tipos de residuos más relevantes del ámbito sanitario, incluyendo los residuos de fármacos, de especial preocupación actualmente por su impacto en el medio ambiente y la salud humana.

Este proyecto forma parte de la iniciativa Euroenviron OMIM, liderada por la empresa granadina Athisa, en colaboración con compañías de Portugal y Marruecos, que ha ganado recientemente en Bruselas el Premio Eureka Innovation Awards 2013. Este importante galardón reconoce aquellos proyectos que han tenido un destacado logro tecnológico y comercial, además de un importante impacto social.

El desarrollo del Sistema Mimo tiene impactos muy relevantes a diferentes niveles: para la empresa ATHISA, se trata de una potente herramienta para la consecución de los objetivos de su Plan de Internacionalización; para la comunidad autónoma andaluza y para España supone terminar con la dependencia tecnológica de Europa y los largos transportes de residuos farmacéuticos citostáticos hasta Francia y Alemania; y para el resto del mundo, en especial para los países en desarrollo, supone poder tratar sus residuos sanitarios, gracias a la factibilidad económica y tecnológica del Sistema Mimo.

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Este sistema, denominado Sistema Mimo, se basa en la oxidación avanzada de los residuos para eliminar sus características de peligrosidad. Según sus autores, «el Sistema Mimo se puede considerar el sistema de los países en desarrollo, ya que su reducido coste de inversión, sus bajos costes de operación, además de su simplicidad en cuanto a materiales y materias primas, lo hacen factible en prácticamente todos los países del mundo».

Entre los beneficios del Sistema Mimo destaca que hace posible el cumplimiento con la directiva comunitaria 91/156/ CEE de gestión de residuos y de un tratamiento ambientalmente correcto a los residuos sanitarios, en especial a los residuos farmacéuticos citostáticos, que en la actualidad precisan de ser gestionados fuera de las fronteras de España.

Además, el Sistema Mimo reduce la intensidad del transporte de los residuos sanitarios que se generan muy significativamente y, en consecuencia, reduce el coste de tratamiento y los riesgos asociados. Permite emplear un tratamiento más respetuoso con el medio ambiente, y emplear un tratamiento específico más para los residuos de fármacos que incorpora el concepto de ‘vertido cero’ a la red de alcantarillado, según informa la UGR.

La implantación de este sistema, desarrollado mediante convenios de colaboración a través de la Fundación Empresa-Universidad, constituye una novedad a nivel mundial dado que permite el tratamiento de los tres tipos de residuos más relevantes del ámbito sanitario, incluyendo los residuos de fármacos, de especial preocupación actualmente por su impacto en el medio ambiente y la salud humana.

Este proyecto forma parte de la iniciativa Euroenviron OMIM, liderada por la empresa granadina Athisa, en colaboración con compañías de Portugal y Marruecos, que ha ganado recientemente en Bruselas el Premio Eureka Innovation Awards 2013. Este importante galardón reconoce aquellos proyectos que han tenido un destacado logro tecnológico y comercial, además de un importante impacto social.

El desarrollo del Sistema Mimo tiene impactos muy relevantes a diferentes niveles: para la empresa ATHISA, se trata de una potente herramienta para la consecución de los objetivos de su Plan de Internacionalización; para la comunidad autónoma andaluza y para España supone terminar con la dependencia tecnológica de Europa y los largos transportes de residuos farmacéuticos citostáticos hasta Francia y Alemania; y para el resto del mundo, en especial para los países en desarrollo, supone poder tratar sus residuos sanitarios, gracias a la factibilidad económica y tecnológica del Sistema Mimo.

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Firmado un convenio de colaboración entre la UGR y el Colegio Oficial de Aparejadores y Arquitectos Técnicos de Granada

  • Para la realización de prácticas académicas curriculares de los estudiantes de la Titulación de Ingeniería de Edificación

Rosa María García Pérez, vicerrectora de Estudiantes de la UGR, y Miguel Manuel Castillo Martínez, presidente del Colegio Oficial de de Aparejadores y Arquitectos Técnicos de Granada, han firmado el miércoles, 17 de julio, un convenio entre ambas instituciones para colaborar en la formación práctica de los estudiantes universitarios.

El convenio tiene como objetivo permitir a estudiantes de la Universidad de Granada aplicar y complementar los conocimientos adquiridos en su formación académica, favoreciendo la adquisición de competencias que los preparen para el ejercicio de actividades profesionales, faciliten su empleabilidad y fomenten su capacidad de emprendimiento.

El alumno, durante su periodo de prácticas, deberá adquirir la capacidad para aplicar sus conocimientos teóricos, poniéndolos en práctica en un contexto de trabajo externo al ámbito educativo, vinculado al ejercicio de la actividad profesional del arquitecto técnico en un entorno laboral, público o privado, adecuado. Deberá demostrar capacidad para trabajar en equipos multidisciplinares.

Los trabajos entre los cuales podrá desarrollar sus prácticas podrán ser:

  • Redacción, análisis, auditoría, control, gestión y desarrollo de proyectos técnicos de Edificación.
  • Diseño, predimensionado, documentación, cálculo y control de estructuras de acero laminado y hormigón armado.
  • Estudios de mercado, valoraciones y tasaciones, estudios de viabilidad inmobiliaria, peritación y tasación económica de riesgos y daños en la edificación.
  • Elaboración de presupuestos y análisis de ofertas económicas.
  • Gestión del control de calidad en las obras. Redacción, aplicación, implantación y actualización de manuales y planes de calidad. Auditorías de gestión de la calidad en empresas.
  • Análisis e interpretación de proyectos estructurales existentes.
  • Patología en edificación: identificación, análisis y corrección.
  • Rehabilitación, restauración y conservación del patrimonio edificado.
  • Manuales y planes de mantenimiento del edificio. Gestión del mantenimiento.
  • Eficiencia energética: procedimientos y técnicas de evaluación.
  • Levantamiento gráfico de solares y edificios y su replanteo en el terreno mediante instrumentación topográfica.
  • Diseño y cálculo de las instalaciones.
  • Redacción de estudios y planes de seguridad y salud laboral.
  • Coordinación de la seguridad en fase de proyecto y en ejecución de obra. Diseño, análisis y ejecución de la accesibilidad universal en los edificios y su entorno.
  • Desarrollo de unidades de ejecución.
  • Innovaciones de planeamiento general.
  • Legalizaciones.
  • Presupuesto y control de obras municipales.
  • Proyectos y memorias valoradas.
  • Disciplina urbanística.

El período de desarrollo de las prácticas de Ingeniería de Edificación será como mínimo de 150 horas.

 

Pie de foto: de dcha. a izqda. Miguel Manuel Castillo Martínez, presidente del Colegio Oficial de de Aparejadores y Arquitectos Técnicos de Granada, Rosa María García, vicerrectora de Estudiantes, y José María Cueto, director de la E.T.S. de ingeniería de Edificación tras la firma del convenio.

Contacto: Centro de Promoción de Empleo y Prácticas. Vicerrectorado de Estudiantes. Telef. 958241940. Correo electrónico: viceestudiantes@ugr.es.

 

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Rosa María García Pérez, vicerrectora de Estudiantes de la UGR, y Miguel Manuel Castillo Martínez, presidente del Colegio Oficial de de Aparejadores y Arquitectos Técnicos de Granada, han firmado el miércoles, 17 de julio, un convenio entre ambas instituciones para colaborar en la formación práctica de los estudiantes universitarios.

El convenio tiene como objetivo permitir a estudiantes de la Universidad de Granada aplicar y complementar los conocimientos adquiridos en su formación académica, favoreciendo la adquisición de competencias que los preparen para el ejercicio de actividades profesionales, faciliten su empleabilidad y fomenten su capacidad de emprendimiento.

El alumno, durante su periodo de prácticas, deberá adquirir la capacidad para aplicar sus conocimientos teóricos, poniéndolos en práctica en un contexto de trabajo externo al ámbito educativo, vinculado al ejercicio de la actividad profesional del arquitecto técnico en un entorno laboral, público o privado, adecuado. Deberá demostrar capacidad para trabajar en equipos multidisciplinares.

Los trabajos entre los cuales podrá desarrollar sus prácticas podrán ser:

  • Redacción, análisis, auditoría, control, gestión y desarrollo de proyectos técnicos de Edificación.
  • Diseño, predimensionado, documentación, cálculo y control de estructuras de acero laminado y hormigón armado.
  • Estudios de mercado, valoraciones y tasaciones, estudios de viabilidad inmobiliaria, peritación y tasación económica de riesgos y daños en la edificación.
  • Elaboración de presupuestos y análisis de ofertas económicas.
  • Gestión del control de calidad en las obras. Redacción, aplicación, implantación y actualización de manuales y planes de calidad. Auditorías de gestión de la calidad en empresas.
  • Análisis e interpretación de proyectos estructurales existentes.
  • Patología en edificación: identificación, análisis y corrección.
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