Des experts démontrent l’origine géochimique d’une partie des émissions de CO2 dans des climats semi-arides

– Des experts démontrent l’origine géochimique d’une partie des émissions de CO2 dans des climats semi-arides Photo annexe : Tour de mesure des échanges de CO2 entre l’écosystème et l’atmosphère à travers la technique “eddy covariance”).
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L’entrée en vigueur du Protocole de Kyoto a abordé, parmi d’autres urgences, le besoin de connaître les bilans annuels de carbone dans divers écosystèmes terrestres. Des scientifiques de CEAMA-Centre Andalou de l’environnement (Université de Grenade-Gouvernement Automne d’Andalousie) étudient ces bilans dans des zones semi-désertiques de matorral méditerranéen, situés en Andalousie Orientale, mais dont les résultats sont extrapolables à d’autres régions du monde.

Ces chercheurs analysent pour la première fois le bilan de CO2 dans les systèmes semi-arides carbonatés. L’intérêt de ce travail réside dans la connaissance des processus de production de CO2 et de son absorption ainsi que dans la conservation d’un des écosystèmes les plus riches de l’Espagne.

Parmi les récentes études sur le thème, se trouve la thèse de doctorat « Echanges de CO2 entre l’atmosphère et les écosystèmes karstiques : applicabilité des techniques communément appliquées », lu par Penélope Serrano Ortiz et dirigée par les docteurs Andrew S. Kowalski et Lucas Alados Arboledas.

Le travail, soutenu par le projet « Bilan du carbone et de l’eau dans les écosystèmes de matorral méditerranéen en Andalousie : l’effet du changement climatique », a permis de quantifier et d’identifier les processus qui interviennent dans le bilan annuel de carbone dans un écosystème semi-aride de substrat carbonaté, situé dans la Sierra de Gádor (Almería). Trois années d’observation de cet écosystème (2004 – 2006), à travers l’usage des techniques les plus avancées (photo annexe), ont permis d’évaluer son bilan annuel de carbone. On a vérifié pour la première fois le bilan du carbone de ce type d’écosystème, en révélant qu’il réagit comme puisard de CO2 et qu’il assimile un peu près 25 g C m-2 par an (10 à 20 fois plus bas que les écosystèmes des terres de culture et d’arbres, respectivement).

Climat extrême
Qu’est-ce que cela peut signifier pour une zone caractérisée par une végétation de matorral et un climat très sec? Jusqu’à maintenant, on a évalué spécialement les écosystèmes arborés au moment de concevoir des mesures pour prévenir le changement climatique; de là l’accent mis sur la reforestation et le boisement des terres agricoles abandonnées. Mais, on a dédié peu d’attention à d’autres, comme celui du matorral maintenant étudié, qui représente plus de la moitié de la superficie forestière d’Andalousie (où se concentre la grande partie de la diversité biologique des écosystèmes méditerranéens).

En ce sens, en plus de définir la capacité d’assimilation de CO2 de la zone de matorral étudiée, la thèse de Serrano a démontré comment la distribution des pluies conditionne la fonctionnalité de l’écosystème étudié et comment la durée de la période de sécheresse et, par conséquent le contenu de l’eau, détermine la durée des émissions de CO2 de provenance géochimique, par ventilation du sol.

Ainsi est démontré que la production de CO2 n’est pas seulement liée à la végétation, sinon aussi à des émissions d’origine géochimique qui s’intensifient durant les périodes de sécheresse.

« L’hypothèse que nous formulons dans ce travail – signale Serrano – est que ces émissions sont la conséquence des phénomènes de ventilation des macropores du système carbonaté, qui paraissent être en relation avec la vélocité du vent. Dans cette ligne, des études des phénomènes de dégazage des grottes et des échanges turbulentes de CO2 avec l’atmosphère, réalisés par Sergio Sánchez Moral et Soledad Cuezva Robleño (Musée National des Sciences Naturelles (CSIC) dans la Grotte de Altamira (Cueva de Altamira, Santander), avalisent la théorie d’existence des flux de CO2 de provenance géochimique dans des écosystèmes localisés sur substrat karstique ».

Politique et écologie
Le CO2 est un des principaux gaz à effet de serre qui contribue dans l’augmentation de la température terrestre. L’étude de Serrano Ortiz est la première qui s’est centrée à connaître les écosystèmes semi-arides carbonatés, et a démontré qu’ils réagissent comme des puisards de CO2, par l’action du matorral, et comme émetteurs de CO2, d’origine géochimique durant les époques de sécheresse (spécialement préoccupant si la hausse des températures que prédisent les modèles de changement climatique est atteinte).

Le travail fournit donc, des données de flux de C (carbone) dans des écosystèmes clés pour la conservation de la biodiversité, ainsi que pour les négociations relatives aux émissions de CO2.

Coordonnées :
Dr. Penélope Serrano Ortiz. Département de Physique Appliquée. Université de Grenade. Tél. (+34) 958 24 29 28. Courriel : Penélope@ugr.es
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Experts prove the geochemical origin of part of the CO2 emissions in semiarid climates

– Experts prove the geochemical origin of part of the CO2 emissions in semiarid climates

– CO2 level is not only connected with vegetation in these ecosystems, but also with the humidity rate and emissions of geochemical origin which become more pronounced in dry seasons.

– The study can be relevant for the negotiation of greenhouse gas emissions and biodiversity conservation.

– The results of this research line have been published in the international journals Photosynthetica and Agricultural and Forest Meteorology.

Granada, Spain – The implementation of the Kyoto Protocol has raised, among other pressing matters, the need of getting to know the annual levels of carbon in different earth’s ecosystems. Scientists connected with the CEAMA-Andalusian Centre for the Environment (University of Granada-Andalusian Council) are studying these levels in semiarid Mediterranean scrubland, situated in Eastern Andalusia, whose results are comparable to wide regions of the world.

These researchers have analysed for the first time the CO2 level in carbonated semiarid systems. The interest of the work lies in the knowledge of the CO2 production processes and their absorption and in the conservation of one of the richest ecosystems of Spain.

One of the most recent studied on the subject is the doctoral thesis “CO2 interchanges between atmosphere and karst ecosystems: Applicability of the commonly applied techniques”, read by Penélope Serrano Ortiz and led by Doctors Andrew S. Kowalski and Lucas Alados Arboledas.

The work, supported by the “Carbon and water balance in Mediterranean thicket ecosystems in Andalusia: Effect of the climatic change” project, has permitted to quantify and identify the processes involved in carbon annual balance in a semiarid carbonated substrate ecosystem, situated in Sierra de Gádor (Almeria). After three years of observation of this ecosystem (2004-2006), through the use of the most advanced techniques, have permitted to estimate the annual carbon balance. The carbon balance of this type of ecosystem has been checked for the first time, revealing that it acts as a CO2 drain which assimilates approximately 25 g C m-2 a year (between 10 and 20 times lower than arable land and tree ecosystems respectively).

Extreme climate

What is the meaning of this in an area characterized by a scrubland vegetation and a dry climate? Up to now, when it came to devise measures to prevent climatic change, they used to value tree ecosystems especially; that is the origin of the emphasis made in the reforestation and forestation of neglected agricultural land. But little attention had been paid to other ecosystems, such as the thicket ecosystem object of this study, which represents more than half the forest area of Andalusia (where a great part of the biological diversity of the Mediterranean ecosystems gathers together).

In that respect, besides defining the CO2 assimilation capacity of the studied thicket area, Serrano’s thesis has proved how rain distribution conditions the functional nature of the studied ecosystem and how the duration of the drought period and, therefore, the water content, determinates the duration of the CO2 geochemical emissions, through soil ventilation.

It proves that CO2 production is not only related to vegetation, but also to geochemical emissions which increase in dry seasons.

“The hypothesis formulated in this work -says Serrano- is that the emissions are a consequence of a ventilation phenomenon of the carbonated system’s macro-pores, which appear to be connected with wind speed. In this line, certain studies on degasification phenomenon in caves and turbulent CO2 interchanges with the atmosphere, carried out by Sergio Sánchez Moral and Soledad Cuezva Robleño (Spanish Museum of Natural Sciences, CSIC) in the Altamira Cave, endorse the theory of the existence of CO2 geochemical flows in ecosystems situated in karst substrate”.

Politics and ecology

CO2 is one of the main greenhouse gases which contributes to the rise of earth’s temperature. Serrano Ortiz’s study is the first one focused on carbonated semiarid ecosystems and has proved that they act as CO2 drains, due to the action of the thickets, and as CO2 geochemical generators in dry periods (especially worrying if we reach the temperature rise predicted by climatic change models).

His work provides data of C (carbon) flows in key ecosystems for biodiversity conservation, as well as for the negotiations related to CO2 emissions.

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Leo Romero Appointed Interim Dean of UNM School of Law

– Leo Romero Appointed Interim Dean of UNM School of Law

Interim UNM Provost Viola Florez announced that Leo Romero, former dean of the UNM School of Law and current law professor, will serve as interim dean of the School of Law effective May 18. Romero will serve in that capacity for the 2008-2009 academic year while UNM conducts a national search for a new permanent dean.

“Leo brings to the position many years of experience as dean and as a faculty member and I am confident that he will provide excellent leadership to the school during his interim role,” Florez said.

Romero previously served as associate dean for Academic Affairs before spending six years as dean of the School of Law. He drafted the “Rules of Procedure Governing Judicial Nominating Commissions” and oversaw the development of this process for selecting judges in New Mexico during his duties as chair of the New Mexico Judicial Selection Commission.

During his time as dean, Romero focused his efforts on expanding the Indian Law Program and the schools International Law course offerings. His efforts led to the establishment of an Indian Law Certificate program and the Southwest Indian Law Clinic. He also helped develop the “U.S.-Mexico Law Journal,” and fostered exchange programs with the University of Granada in Spain, and with law schools in Mexico and Canada under NAFTA.

Romero currently teaches criminal law and procedure classes at the UNM School of Law. His recent publications have dealt with judicial selection issues.

Before joining the University of New Mexico School of Law, Romero practiced criminal law in Washington, D.C., and began his teaching career at the Penn State University Dickinson School of Law as director of clinical studies.
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Recommendation By International Experts: Infant Formula Should Contain DHA Omega-3 And AA Omega-6

– Recommendation By International Experts: Infant Formula Should Contain DHA Omega-3 And AA Omega-6

New recommendations published by international experts in the Journal of Perinatal Medicine state that infant formula should include DHA omega-3 and AA omega-6 to guarantee correct eye and brain development.

These recommendations fro DHA and AA intake have been developed by a panel of child health experts from 11 countries with endorsement from organizations such as The World Association of Perinatal Medicine, Child Health Foundation and the Early Nutrition Foundation.

The expert team emphasizes that breastfeeding is the preferred method of feeding, as DHA and AA are available in breast milk. However, when the mother is unable or chooses not to breastfeed, infant formula should include DHA at the recommended levels of between 0.2% and 0.5% of fatty acids and the amount of AA should be at least equal to the DHA level. The experts also note that the addition of at least 0.2% DHA plus AA is necessary to achieve functional developmental benefits.

Over the past decade, many research studies have highlighted the importance of DHA omega-3 and AA omega-6 in infant development -said Cristina Campoy, of the Department of Paediatrics of the University of Granada (CIBM)-. It is therefore vital that pregnant and nursing mothers consume adequate amounts of DHA in their own diet, and, if using an infant formula, should provide their infants with a formula containing DHA and AA at recommended levels.

DHA omega-3 and AA omega-6

Docosahexaenoic acid, or DHA, is a long-chain polyunsaturated omega-3 fatty acid, or good fat, found throughout the body. It is a major structural fat in the brain and retina of the eye accounting for up to 97 percent of the omega-3 fats in the brain and up to 93 percent of the omega-3 fats in the retina. It is also a key component of the heart.

Studies have shown that DHA omega-3 is important for infant brain, eye and nervous system development and has been shown to support long-term heart health. It is important throughout pregnancy, but particularly in the third trimester when significant brain growth occurs.

Arachidonic acid, AA, is a long-chain omega-6 fatty acid, another good fat. It is the principal omega-6 in the brain, representing about 48 percent of the omega-6 fats. Like DHA, AA omega-6 is important for proper brain development in infants. It is also a precursor to a group of hormone-like substances called eicosanoids that play a role in immunity, blood clotting and other vital functions in the body.

Infants whose mothers supplement with DHA during pregnancy and nursing or who are fed formula milk supplemented with DHA and AA have significantly enhanced levels of these nutrients available to them. Major infant brain growth occurs during pregnancy and throughout the first two years of life. During these times, infants have the greatest need for DHA omega-3 and AA omega-6.

DHA and AA in the diet

The main dietary source of DHA is oily fish. AA is found in foods such as meat, eggs and milk. While most women typically consume enough AA in their diets, those who consume a typical Western diet are at risk for low stores of DHA. This may be because oily fish is not a staple of the typical Western diet. Additionally, expert bodies have advised pregnant and nursing women to limit their fish consumption due to the potentially high levels of toxins such as mercury.

The amount of essential fatty acids provided to infants through maternal intake during pregnancy and/or breastfeeding and through supplemented formula milks is important. Babies cannot make these essential fats themselves, which is why it is vital that they are made available via the mothers diet during pregnancy and breastfeeding or through supplemented infant formula.

About the recommendations

The Recommendations and Guidelines for Perinatal Medicine were developed by a team of 19 experts from 11 countries who reviewed the current research and recommendations on DHA and AA and evaluated the body of research exploring how DHA & AA affect infant brain and eye development. The expert team, which included experts from Italy, France, Germany, Spain and the UK concluded that both DHA and AA should be added to infant formula in order to provide formula-fed infants these important nutrients at a comparable rate to their breastfed counterparts. The guidelines also recommend that pregnant or breastfeeding women should include enough DHA in their diets to support the brain and eye development of their babies. The Recommendations and Guidelines for Perinatal Medicine were supported by the The World Association of Perinatal Medicine (http://www.wapm.info/), the Early Nutrition Academy (http://www.metabolic-programming.org/), and the Child Health Foundation (http://www.kindergesundheit.de/).

Summary of the recommendations

* The authors emphasize the importance of a balanced diet for breastfeeding women, including a regular supply of DHA

* Pregnant women should aim for a DHA intake of at least 200mg a day (equivalent to two portions of oily sea fish per week)

* If breast milk is not available to the baby, current evidence supports the addition of DHA and AA to infant formula

* The DHA added should make between 0.2% and 0.5% of fatty acids [noting that 0.2% is the minimum level necessary to see functional developmental benefits]

* Infant formula should be supplemented with AA in amounts at least equal to the amount of DHA

* EPA, another omega-3 fatty acid, should be less than the amount of DHA

* Dietary supply of DHA and AA should continue during the second six months of life, but experts do not have enough information to recommend exact amounts
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Infant formula «should contain omega acids»

– Infant formula should contain omega acids

Infant formula should include omega-3 and omega-6 amino acids to guarantee correct eye and brain development, say researchers in the Journal of Perinatal Medicine.

The recommendations have been developed by a panel of child health experts from 11 countries around the world, with endorsement from the Child Health Foundation and the Early Nutrition Foundation.

The expert team emphasise, however, that breastfeeding will always be the preferred method of feeding.

However, when a mother is unable to breastfeed, infant formula should include between 0.2% and 0.5% of fatty acids.

Expert Christine Campoy from the University of Granada said: Over the past decade, many research studies have highlighted the importance of docosahexaenoic acid (DHA) omega-3 and amino acid (AA) omega-6 in infant development.

It is therefore vital that the pregnant and nursing mothers consume adequate amounts of DHA in their own diet, and, if using an infant formula, should provide their infants with a formula containing DHA and AA at recommended levels.

University of Granada

Your comments: (Terms and conditions apply)

NO. First of all, infants do not have the digestive capability to absorb these fatty acids. So the acids are excreted into the diaper unless they are breast fed. Then at that point, these essential fatty acids are in the breast milk anyway. Another reason to breast feed.
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La UGR recorta el número de plazas en Primaria, Empresas y Economía

– La UGR recorta el número de plazas en Primaria, Empresas y Economía

Arquitectura Técnica y Superior proponen una nueva reducción de alumnos Medicina facilitará el acceso a más estudiantes que en el presente curso

El próximo curso será un poco más difícil matricularse en algunas carreras de la Universidad de Granada (UGR). El Consejo de Gobierno de la institución universitaria granadina evaluará el próximo lunes el informe que elevará al Consejo Andaluz de Universidades respecto al límite de admisión de alumnos de nuevo ingreso en centros universitarios en el curso 2008/2009. Todas las carreras al igual que este curso -ha sido el primero- tendrán límite de plazas. La propuesta inicial es de que se reduzcan en carreras como Ciencias Empresariales, Dirección y Administración de Empresas y Economía.

No es el único centro en el que se solicita una reducción en el número de plazas de nuevo ingreso. En Ciencias de la Educación, por ejemplo, también se demanda para maestro de Educación Primaria. Así, en la documentación a la que ha tenido acceso este periódico se comprueba que en el caso de Primaria el centro y la propuesta del Consejo de Gobierno coinciden. Se propone que se pase de 285 alumnos que había ofertados en el curso actual a 270 en 2008/2009.

En el caso de la Facultad de Ciencias Económicas y Empresariales no coinciden los números, pero habrá reducciones si al final se da luz verde al documento que se presentará el lunes -es lo más habitual-. En este caso para Administración y Dirección de Empresas se pasará según la propuesta del Consejo de Gobierno de 310 plazas este curso a 295. La propuesta para 2008/2009 es de 279. En el caso de Economía el Consejo de Gobierno propone pasar de 275 a 262. En la diplomatura de Ciencias Empresariales la intención es pasar de 285 a 271. El centro fija la reducción en 257.

Propuestas a la baja

Las escuelas superior y técnica de Arquitectura también son otros de los dos centros que están en el punto de mira en estos informes. Al igual que en Económicas y en Ciencias de la Educación -aunque no tanto- uno de sus problemas es el espacio. Eso se nota más en el caso de Arquitectura superior que en la técnica. A este respecto en el informe se refleja que la propuesta para el próximo curso es de 165 alumnos de nuevo ingreso, pero la propuesta del Consejo de Gobierno es de 172, el mismo número que se puso para el curso en vigor. En Arquitectura técnica las cifras son 361 y 344. Hay que recordar que en estos estudios, por ejemplo, en el curso 2006/2007 el límite que se puso fue de 380.

La reducción o incremento de estas plazas está fijada en parte por ley. Por lo que muchas de las cifras que se barajan atienden a esas exigencias, si bien es cierto que desde algunas de las facultades les gustaría y así lo han expresado en ocasiones que la reducción fuera mayor. El límite de plazas en todas las carreras se puso por esas exigencias, no obstante, en la mayoría de los casos lo que se ha hecho ha sido adecuar esa oferta a la demanda existente.

En las carreras que se quedan muchos alumnos en lista de espera era porque ya ocurría así antes. Un caso claro de esto es Medicina. Las listas de espera y los que se quedan fuera cada año son importantes y su nota de corte así lo atestigua. Es de las que exige una mayor calificación en todo el país y la primera en la Universidad granadina. En este caso, el próximo año habrá más plazas si se atiende a la propuesta del Consejo de Gobierno. De 237, que fueron las que se ofertaron este curso, se pasará a 253.

El curso pasado eligieron como primera opción Medicina 1.124 alumnos. El número de plazas ofertadas era 237 como se ha dicho, aunque al final se han matriculado 243. Esos aumentos suelen ocurrir en la mayoría de los centros en los que hay límites y existe una gran demanda. En ocasiones las causas son que hay cinco a seis alumnos con la misma nota. Medicina es una de las titulaciones que su demanda ha ido en aumento durante los últimos tres cursos. De 881 alumnos en el curso 2005/2006 ha pasado a 1.124 como ya se ha indicado. No es la única titulación con esta tendencia, pero sí es la que registra unos números más importantes en toda la UGR.

En Arquitectura, que es otro de los estudios analizados, en esta comparativa se aprecia como la demanda baja. En 2005/2006 la eligieron como primera opción 475 alumnos y en 2007/2008 lo han hecho 415. Es poca la diferencia, pero existe. En este caso el número de plazas ofertadas ha disminuido cada curso. En Medicina por acuerdo del Gobierno ha incrementado.

Como curiosidad señalar que en la licenciatura de Derecho es en donde se ofertan más plazas, 550, y le siguen estudios como Relaciones Laborales con 400 puestos. Algunos de los centros en los que se imparten estudios con menos plazas están en facultades como Ciencias o Ciencias de la Educación.
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La UGR recorta el número de plazas en Primaria, Empresas y Economía

– La UGR recorta el número de plazas en Primaria, Empresas y Economía

Arquitectura Técnica y Superior proponen una nueva reducción de alumnos Medicina facilitará el acceso a más estudiantes que en el presente curso

El próximo curso será un poco más difícil matricularse en algunas carreras de la Universidad de Granada (UGR). El Consejo de Gobierno de la institución universitaria granadina evaluará el próximo lunes el informe que elevará al Consejo Andaluz de Universidades respecto al límite de admisión de alumnos de nuevo ingreso en centros universitarios en el curso 2008/2009. Todas las carreras al igual que este curso -ha sido el primero- tendrán límite de plazas. La propuesta inicial es de que se reduzcan en carreras como Ciencias Empresariales, Dirección y Administración de Empresas y Economía.

No es el único centro en el que se solicita una reducción en el número de plazas de nuevo ingreso. En Ciencias de la Educación, por ejemplo, también se demanda para maestro de Educación Primaria. Así, en la documentación a la que ha tenido acceso este periódico se comprueba que en el caso de Primaria el centro y la propuesta del Consejo de Gobierno coinciden. Se propone que se pase de 285 alumnos que había ofertados en el curso actual a 270 en 2008/2009.

En el caso de la Facultad de Ciencias Económicas y Empresariales no coinciden los números, pero habrá reducciones si al final se da luz verde al documento que se presentará el lunes -es lo más habitual-. En este caso para Administración y Dirección de Empresas se pasará según la propuesta del Consejo de Gobierno de 310 plazas este curso a 295. La propuesta para 2008/2009 es de 279. En el caso de Economía el Consejo de Gobierno propone pasar de 275 a 262. En la diplomatura de Ciencias Empresariales la intención es pasar de 285 a 271. El centro fija la reducción en 257.

Propuestas a la baja

Las escuelas superior y técnica de Arquitectura también son otros de los dos centros que están en el punto de mira en estos informes. Al igual que en Económicas y en Ciencias de la Educación -aunque no tanto- uno de sus problemas es el espacio. Eso se nota más en el caso de Arquitectura superior que en la técnica. A este respecto en el informe se refleja que la propuesta para el próximo curso es de 165 alumnos de nuevo ingreso, pero la propuesta del Consejo de Gobierno es de 172, el mismo número que se puso para el curso en vigor. En Arquitectura técnica las cifras son 361 y 344. Hay que recordar que en estos estudios, por ejemplo, en el curso 2006/2007 el límite que se puso fue de 380.

La reducción o incremento de estas plazas está fijada en parte por ley. Por lo que muchas de las cifras que se barajan atienden a esas exigencias, si bien es cierto que desde algunas de las facultades les gustaría y así lo han expresado en ocasiones que la reducción fuera mayor. El límite de plazas en todas las carreras se puso por esas exigencias, no obstante, en la mayoría de los casos lo que se ha hecho ha sido adecuar esa oferta a la demanda existente.

En las carreras que se quedan muchos alumnos en lista de espera era porque ya ocurría así antes. Un caso claro de esto es Medicina. Las listas de espera y los que se quedan fuera cada año son importantes y su nota de corte así lo atestigua. Es de las que exige una mayor calificación en todo el país y la primera en la Universidad granadina. En este caso, el próximo año habrá más plazas si se atiende a la propuesta del Consejo de Gobierno. De 237, que fueron las que se ofertaron este curso, se pasará a 253.

El curso pasado eligieron como primera opción Medicina 1.124 alumnos. El número de plazas ofertadas era 237 como se ha dicho, aunque al final se han matriculado 243. Esos aumentos suelen ocurrir en la mayoría de los centros en los que hay límites y existe una gran demanda. En ocasiones las causas son que hay cinco a seis alumnos con la misma nota. Medicina es una de las titulaciones que su demanda ha ido en aumento durante los últimos tres cursos. De 881 alumnos en el curso 2005/2006 ha pasado a 1.124 como ya se ha indicado. No es la única titulación con esta tendencia, pero sí es la que registra unos números más importantes en toda la UGR.

En Arquitectura, que es otro de los estudios analizados, en esta comparativa se aprecia como la demanda baja. En 2005/2006 la eligieron como primera opción 475 alumnos y en 2007/2008 lo han hecho 415. Es poca la diferencia, pero existe. En este caso el número de plazas ofertadas ha disminuido cada curso. En Medicina por acuerdo del Gobierno ha incrementado.

Como curiosidad señalar que en la licenciatura de Derecho es en donde se ofertan más plazas, 550, y le siguen estudios como Relaciones Laborales con 400 puestos. Algunos de los centros en los que se imparten estudios con menos plazas están en facultades como Ciencias o Ciencias de la Educación.
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A la vanguardia del mercado

– A la vanguardia del mercado

En la Universidad de Granada se desarrolló un software que permite a los turistas elaborar planes de visitas personalizados que respondan a sus intereses, gustos e inquietudes.

Bajo el nombre de Sistema Adaptativo Multi-Agente de Planificación dependiente del contexto –SAMAP-, este software permite que cualquier pasajero, con sólo ingresar a su computadora pueda definir necesidades, preferencias artísticas, culturales y gastronómicas, su ritmo de vida y horarios, además de contar con la opción de indicar si tiene o no movilidad restringida y cuál es su capacidad de gasto.
El diseño de estos planes de visita contempló la utilización de técnicas de inteligencia artificial, que confiere a las computadoras con habilidades para resolver problemas que, en principio, sólo los humanos podrían solucionar.

El apoyo
El proyecto fue financiado por el Ministerio de Educación y Ciencia y contó con la participación de investigadores de las universidades de Granada, Politécnica de Valencia, Universidad Nacional de Educación a Distancia –UNED-, Carlos III de Madrid y del Instituto de Investigación en Inteligencia Artificial (IIIA) del CSIC. Actualmente, con las perspectivas puestas en comercializar el producto, esta tecnología comenzó a ser transferida a una «spin-off» de la Universidad de Granada denominada IActive Intelligent Solutions.
Los requisitos para la utilización de esta herramienta, implican que el usuario posea una conexión a Internet –ya sea a través de un teléfono celular o PCs- que, al ingresar a la web en la que puede delimitar sus gustos, se contrastan inmediatamente estos con la información de una base de datos turística. Así, el cliente encontrará un paquete a medida.
Cabe destacar que, de esta manera, el impulso de este nuevo proyecto indica que el Sistema Adaptativo Multi-Agente de Planificación dependiente del contexto se constituirá como un gran avance dentro del desarrollo de servicios específicos, que constituye una oportunidad para conocer las ventajas de inversión y rentabilidad del turismo inmobiliario, así como las variedades del Ecoturismo en sus diferentes vertientes.
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La comunidad universitaria granadina representará Antígona

– La comunidad universitaria granadina representará Antígona

La Universidad de Granada convoca pruebas de selección para representar la tragedia griega Antígona. El 15 de abril tendrá lugar las pruebas de selección a las que podrán presentarse los miembros de la comunidad universitaria.

El Grupo de Teatro de la Universidad de Granada ha presentado una convocatoria de selección para el año 2008 para representar la obra teatral Antígona. El plazo de presentación de las instancias comprende del 27 de marzo al 14 de abril.

El próximo 15 de abril a las 16.00 horas es la prueba a la que pueden presentarse todos los miembros de la comunidad universitaria: alumnos que estén cursando estudios en la Universidad de Granada (hasta el 31 de Diciembre de 2008); profesores y personal de administración y servicios.

La prueba tendrá lugar en la Corrala de Santiago y existen 25 plazas disponibles. Las bases y las instancias para participar en la selección pueden recogerse en: Secretariado de Extensión Universitaria, Complejo administrativo Triunfo. Cuesta del Hospicio, s/n.
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Analizan en la UGR las distintas formas de prestar atención de los seres humanos

– Analizan en la UGR las distintas formas de prestar atención de los seres humanos

Un análisis desarrollado en la Universidad de Granada ha sentado las bases científicas para diferenciar las distintas formas de prestar atención que tiene el ser humano, lo que resulta de especial relevancia para la rehabilitación de pacientes con desórdenes atencionales.

El trabajo realizado en el Departamento de Psicología Experimental y Fisiología del Comportamiento por la doctora Ana Belén Chica ha aportado, según ha informado a Efe la UGR, nuevos datos acerca del conocimiento de los sistemas cerebrales relacionados con la orientación atencional.

El estudio de la orientación atencional resulta de especial relevancia para el entrenamiento de la atención en niños sanos, niños con déficits atencionales (hiperactividad), y en el envejecimiento normal de cualquier persona.

En el caso del trastorno por déficit de atención e hiperactividad, diversos estudios recientes señalan que afecta a más del 4 por ciento de los escolares, lo que evidencia la importancia del trabajo realizado en la UGR.

Los resultados de esta investigación contribuyen al conocimiento de los sistemas cerebrales relacionados con la orientación atencional y especifican algunas de las condiciones en las que los sistemas actúan de manera independiente o interaccionan entre sí.

Algunos de nuestros resultados han cambiado la concepción tradicional sobre cómo se orienta la atención de manera endógena o exógena y sobre cómo esa captura atencional depende de las demandas de la tarea que los participantes realizan, explican los científicos de la UGR.

La atención puede dirigirse a aquella información relevante de acuerdo a las metas o las intenciones de la persona, lo que se conoce como orientación atencional endógena o voluntaria.

Sin embargo, los estímulos también pueden capturar nuestra atención debido a su peligro potencial, lo que se conoce como orientación atencional exógena o involuntaria.

El trabajo ha demostrado por primera vez que ambos sistemas pueden producir sus efectos de manera independiente, sin interaccionar entre sí.

Es decir, incluso cuando estamos atendiendo de forma voluntaria a un lugar determinado, se pueden producir los efectos típicos de la captura involuntaria de la atención.

Estos datos apoyan otras hipótesis de que las dos formas de orientar la atención constituyen dos sistemas atencionales diferenciados.

Los profesores de la UGR han observado que la atención endógena puede incrementar el efecto producido por la atención exógena, incluso produciendo efectos que la atención endógena no podría producir por sí misma.

Los resultados de esta investigación han dado lugar a diversas publicaciones en revistas especializadas como Psicothema, Journal of Cognitive Neuroscience, Cognitive Neuropsychology o Experimental Brain Research.
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La sociedad sigue sin ver las plantas como medicamentos

– La sociedad sigue sin ver las plantas como medicamentos

Los españoles siguen sin percibir los productos a base de plantas medicinales como medicamentos. Además, sólo un 30 por ciento de los que consume fitoterapia con fines terapéuticos acude a la farmacia para adquirir estos productos, a pesar de ser el único establecimiento autorizado legalmente para venderlos.

Esta es una de las principales conclusiones de una encuesta nacional elaborada por el Centro de Investigación sobre Fitoterapia (Infito) a más de dos mil personas mayores de 15 años, de la que este periódico ya avanzó algunos datos en el pasado número.

Sin consejo sanitario
Según este estudio, la mayoría de los consumidores de plantas medicinales se deja orientar más en su consumo por un amigo o un familiar que por el farmacéutico; de hecho, el 31 por ciento de los consumidores de plantas se deja asesorar por un amigo o familiar; el 30,9 por ciento, por el dependiente de una tienda o de un herbolario, y sólo un 9,3 por ciento sigue las recomendaciones del farmacéutico.

Con respecto al profesional sanitario en el que los ciudadanos confían más para el asesoramiento de plantas medicinales, en primer lugar está el médico, con un 37,6 por ciento de todas las respuestas, a pesar de que en sus planes de estudios no se suele encontrar la fitoterapia, matizan los responsables del estudio. En segundo lugar está el dependiente del herbolario (con un 18,6 por ciento), seguido del naturópata (con un 12,9 por ciento) y en cuarto lugar está el farmacéutico (9,9 por ciento).

El farmacéutico es quien mejor está preparado para responder cualquier consulta sobre fitoterapia o uso terapéutico de las plantas medicinales, ya que se contempla en su plan de estudios, defiende Concha Navarro, catedrática de Farmacología de la Universidad de Granada y presidenta de Infito.

Soluciones
Para cambiar la percepción de que los medicamentos a base de plantas no son fármacos, desde Infito se cree que la colaboración de los médicos podría ser clave, ya que son los profesionales en quienes más confían para que les asesore sobre fitoterapia.

Así, un 34,8 por ciento de los encuestados cree que uno de los acicates que conseguiría que los no consumidores de plantas lo hicieran sería que el facultativo las prescribiera (esta opinión aumenta a medida que desciende el nivel de estudios de los consultados). Bien es cierto que sólo uno de cada diez consumidores toma plantas que le haya recomendado su médico.

En la encuesta también se reflejan otros hábitos de consumo, cómo cuáles son las dolencias para las que se toman con más frecuencia productos fitoterápicos. Los datos reflejan que un 57,3 por ciento es para tratar problemas de nerviosismo o insomnio; un 41,9, para trastornos digestivos, y un 17,7 por ciento para afecciones circulatorias.
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Critican que los informativos usen la violencia de género para ´crear morbo´

– Critican que los informativos usen la violencia de género para ´crear morbo´

El director de Expansión de la Asociación de Telespectadores de Cataluña, Luiggi Bugalla, criticó ayer el uso que hacen los informativos televisivos de la violencia machista al colocar estos sucesos como titulares, con el fin de crear morbosidad, y de este modo, captar más audiencia.
Así lo aseguró Bugalla, quien participó recientemente en el Curso Televisión y Educación celebrado en la Universidad de Granada para dar a conocer el funcionamiento de este medio de comunicación a través de los expertos, además de analizar sus efectos y proponer soluciones para conseguir una televisión más educativa.
La Asociación de Telespectadores de Cataluña, que agrupa a más de 17.000 personas, fue creada en 1985 a raíz de la preocupación de unos padres por los contenidos que la televisión ofrecía a sus hijos.
A juicio de su director, la televisión deseduca y no consigue los objetivos de informar, educar y entretener, debido al egoísmo de sus responsables, quienes se preocupan más por conseguir audiencia y vender lo más caro posible los espacios publicitarios, olvidándose de la calidad de los contenidos.
Bugalla criticó los contenidos de series como Sin tetas no hay paraíso, que emite Telecinco, al considerarlo inadecuado para los adolescentes, por mucho que la cadena pretenda defender unos valores que no tiene.
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