Study: Most Colleges Students Fear Math

Study: Most Colleges Students Fear Math

Six out out of 10 university students present «mathematical anxiety» or fear of this subject, researchers in Spain found.

The study involved 885 first-year students at the University of Granada who took mathematics courses.

Patricia Perez-Tyteca, Enrique Castro, Isidoro Segovia, Encarnacion Castro, Francisco Fernandez and Francisco Cano said the students included four of the five university fields of study: Health Sciences, Experimental Sciences, Technical Education and Social Sciences.

The researchers applied to the students the Fennema-Sherman Mathematics Attitudes Scales, a questionnaire validated by experts from all over the world which has been used since the 70s.

Mathematical anxiety appears through a series of symptoms «such as tension, nervousness, concern, worry, edginess, impatience, confusion, fear and mental block» when dealing with the subject of mathematics, the researchers said.

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Excessive cannabis use leads to psychosis: Study

Excessive cannabis use leads to psychosis: Study

Granada, Spain, April 3: Daily cannabis use is linked to an increased risk of psychosis and schizophrenia, a latest research by the University of Granada, Spain suggests.

The latest study, published in Schizophrenia Research and European Psychiatry, studies and interviewed 92 people. Out of these, 50 had developed a psychosis but did not suffer from “abnormal neurodevelopment”. And out of the 50 who developed psychosis, 66 percent admitted to having consumed cannabis daily.

But these people led normal lives. They had friends and were well-off academically.

Cannabis, commonly known as marijuana or ganja, is a psychoactive drug obtained from a plant called Cannabis sativa. Lately, there has been a rise in the instances of cannabis use by humans for recreational, spiritual and medicinal purposes.

However, the possession, use or sale of psychoactive cannabis is banned in most parts of the world. This is mainly because of its ill-effects on the health. Prolonged use of cannabis can lead to an increased probability of heart attacks, strokes and brain disorders.

There are mainly two active ingredients in cannabis which affect the brain. The first, called cannabidiol (CBD), relaxes it. The second ingredient, called Tetrahydrocannabinol (THC) produces temporary hallucinations and feelings of fear by switching off a regulator in the inferior frontal cortex.

Many studies conducted previously have also pointed towards the dangers posed to cannabis users.

A study published in the British Medical Journal on Nov. 23, 2003 had revealed that heavy cannabis consumption is linked to an increased risk of developing schizophrenia.

Another report, published in the British Medical Journal again, titled “Cannabis use and mental health on young people” showed that daily consumption of cannabis in young women is associated with a 5.6 times increase in the odds of getting affected by depressiondefine and anxiety.

Furthermore, if we take a look at the findings from London University’s Institute of Psychiatry, they clearly show a relationship between cannabis use and psychosis.

These study findings say that, though no user is safe, young people are more susceptible to developing schizophrenia, a potentially dangerous form of psychosis, which causes hallucinations, delusions and strange behavior, in young adulthood.
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Espagne, ce n’est plus la fiesta!

Espagne, ce n\’est plus la fiesta!

Madrid vient de prendre le contrôle de Caja de Ahorros Castilla La Mancha (CCM) et pourrait injecter jusqu\’à 12 milliards d\’euros dans cet établissment financier pour le renflouer. L’économiste Santiago Carbo Valverde, professeur de l’Université de Grenade et consultant de la Banque fédérale de Chicago (USA) analyse la situation économique difficile que traverse son pays.

Q. : Quelle votre appréciation de la situation en Espagne ? Le chômage par exemple s’étend vite, beaucoup plus vite que dans le reste de la zone euro et pourrait toucher 16% de la population à la fin de l’année…

000_DV489029.jpg Agence de la CCM, l\’établissement financier que vient de nationaliser de facto Madrid (AFP).

R. : L’Espagne a connu une longue période de croissance économique (avec des taux de croissance supérieurs à celui des grandes économies de la zone euro jusqu’en 2007). Cependant cette croissance rapide dépendait trop lourdement de la construction (12% du PNB), c’est un secteur de main d’œuvre. En cas de récession, il est donc logique que le chômage augmente à mesure que les entreprises du bâtiment réduisent fortement leur personnel. Cependant, nous sommes stupéfiés de constater la vitesse à laquelle les emplois dans ce secteur sont détruits. 250 000 emplois disparaissent chaque mois en moyenne. Nous nous attendions à une remontée du chômage mais pas aussi rapide. .

Du fait de cette dépendance à l’égard d’une activité économique spécifique (la construction ), l’Espagne avait besoin d’entrées très élevées de capitaux extérieurs. L’Espagne dépendait de l’épargne étrangère (nous avions un déficit commercial extérieur important de 12% du PNB à la mi-2008). Lorsque la tourmente financière a commencé et que les marchés financiers ont cessé de fonctionner normalement, l’Espagne a fait face à des restrictions financières et n’a plus été capable de trouver l’argent nécessaire pour conserver son dynamisme.

Q . : L\’ensemble du secteur bancaire espagnol est-il menacé ?

R. : Par chance, le secteur financier espagnol n’a pas touché aux produits structurés comme ceux du marché des subprimes aux USA. La Banque d’Espagne a été très rigoureuse pour empêcher les banques espagnoles d’investir dans ces produits très risqués au début des années 2000. En outre, les provisions « contre cycliques », uniques au monde, que la Banque d’Espagne a imposé aux banques espagnoles ont été extrêmement utiles pour absorber les pertes dans les prêts immobiliers auxquelles les banques espagnoles ont fait face et font encore face.

Cependant, ces deux bonnes nouvelles ne suffisent pas pour éviter aux banques espagnoles une crise financière. En premier lieu, les financements qu’ont trouvé pendant des années les banques espagnoles sur le marché interbancaire et le marché de la dette sont gelés. Aujourd’hui les banques espagnoles ont de sérieuses difficultés à se financer. Mais le principal problème est le montant de leurs pertes dans leur portefeuille de crédit immobilier. Comme le chômage monte rapidement, les prêts « non performants », augmentent concomitamment, et rapidement. Plus grave, l’exposition du secteur bancaire dans les entreprises du bâtiment et les sociétés de promotion immobilière est très important (supérieur à 300 milliards d’euros). Le secteur bancaire va connaître des temps difficiles. Nous sommes sur le point d’assister à une série de restructurations (à travers des fusions et acquisitions) et il est plus que probable que les banques espagnoles vont avoir besoin d’une assistance financière à travers des injections de capitaux par le gouvernement pour retrouver le niveau de solvabilité qu’elles avaient pendant ces dix dernières années. Le temps des vaches maigres est venu pour les banques espagnoles, elles vont devoir « maigrir » (en fermant des agences et en réduisant leur personnel par exemple).

Q. : Comment jugez-vous l\’action du gouvernement espagnol ?

R. : Le gouvernement agit en accord avec l’Union européenne. Le déficit public (3.8% en février 2009) se creuse très vite et se creusera encore d’avantage à mesure que le chômage augmentera, que les rentrées fiscales baisseront et que de nouveaux programmes de réponse à la crise seront adoptés. Il reste une petite marge de manœuvre, mais elle n’est pas très grande. Le poids de la dette publique, aujourd’hui faible, va s’alourdir substantiellement, particulièrement en cas d’injections de capitaux dans les banques.

Mais outre ces actions, l’Espagne a besoin de résoudre des problèmes à plus long terme comme sa faible productivité et son manque de compétitivité. L’Espagne a besoin de diversifier ses activités économiques pour assurer son futur. Le bâtiment peut continuer à jouer un rôle une fois la récession finie mais il est hautement improbable qu’il aura la même importance.

(propos recueillis par Bruno Birolli)

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ANDALUCÍA.-Málaga.- Innova.- Un proyecto de una empresa malagueña conecta en tiempo real al personal sanitario de un mismo centro

ANDALUCÍA.-Málaga.- Innova.- Un proyecto de una empresa malagueña conecta en tiempo real al personal sanitario de un mismo centro

La empresa malagueña AT4 wireless ha desarrollado un proyecto que permite la conexión en tiempo real de todos los profesionales sanitarios de un mismo centro, con el objetivo de compartir información y mejorar la calidad de la asistencia al paciente, así como incrementar la seguridad dentro de las instalaciones hospitalarias.

MÁLAGA, 6 (EUROPA PRESS)

La empresa malagueña AT4 wireless ha desarrollado un proyecto que permite la conexión en tiempo real de todos los profesionales sanitarios de un mismo centro, con el objetivo de compartir información y mejorar la calidad de la asistencia al paciente, así como incrementar la seguridad dentro de las instalaciones hospitalarias.

El proyecto en cuestión ha contado con la colaboración de Telefónica I+D y ha sido financiado por Corporación Tecnológica de Andalucía (CTA) y la Consejería de Innovación, Ciencia y Empresa de la Junta de Andalucía. El sistema se ha probado en un entorno real como es el Hospital Costa del Sol de Marbella, en Málaga.

Bajo el nombre de \’Atica: Arquitectura de tecnología de comunicaciones inalámbricas para la mejora de la calidad asistencial en la Sanidad\’, este proyecto de innovación tecnológica ha consistido en el diseño, desarrollo y evaluación de una arquitectura de gestión de comunicaciones, fundamentalmente inalámbricas, y de una serie de servicios soportados por estas tecnologías, según informó hoy CTA través de un comunicado.

La arquitectura de comunicaciones desarrollada consta de un entorno de trabajo en el que todos los profesionales sanitarios están conectados en tiempo real, fundamentalmente mediante ordenadores y terminales móviles; un servicio de localización de instrumental médico dentro de las instalaciones del centro sanitario; una herramienta de gestión y monitorización de las condiciones ambientales que afectan a la calidad asistencial y un servicio interactivo para informar a pacientes y profesionales sobre citas o turnos, mediante mensajería móvil y comunicación por voz usando tecnología IVR –Respuesta Interactiva de Voz–.

Para el acceso a estos servicios se han utilizado diferentes tipos de terminales y dispositivos: teléfonos convencionales, teléfonos IP, teléfonos duales GSM/Wi-Fi, centralitas, ordenadores de usuarios, impresoras, sensores o equipos de videoconferencia, lo que ha permitido evaluar su funcionamiento para los diferentes servicios desarrollados.

En esta iniciativa, cuya duración ha sido de un año y que se enmarca en el sector de las TIC, han participado dos grupos de investigación, como son \’Calidad e Investigación de Resultados en Servicios Sanitarios\’, del Hospital Costa del Sol de Marbella, y \’Circuitos y Sistemas para Procesamiento de la Información\’, de la Universidad de Granada.

Este proyecto es uno de los 31 aprobados hasta el momento por la Administración andaluza en el ámbito de la salud. Estas propuestas suman un presupuesto movilizado de 23,17 millones de euros y un incentivo concedido por la Corporación de 8,36 millones de euros. En su desarrollo intervienen 39 empresas en colaboración con 62 grupos de investigación, los cuales cuentan para los mismos con un presupuesto superior a los 4,42 millones de euros.
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Los números de un profesor de matemáticas de la UGR: 14 años y 4.000 viñetas

Los números de un profesor de matemáticas de la UGR: 14 años y 4.000 viñetas

Pablo Flores Martínez, profesor de Didáctica de la Matemática, ha dedicado más de 14 años a recopilar chistes, cómics y viñetas de más de 700 humoristas, todos ellos con las matemáticas como recurso común. En sus clases, utiliza este material para plantear una situación concreta relacionada con las matemáticas, que después explica a sus alumnos (Imagen UGR)
Uno de los chistes usados por Pablo Flores (Foto UGR)Ampliar

Un profesor de la Universidad de Granada ha recopilado cerca de 4.000 chistes gráficos de más de 700 humoristas de todos los países del mundo relacionados con las matemáticas y su enseñanza, un material que utiliza en sus clases de Didáctica de la Matemática en la Facultad de Ciencias de la Educación.

Pablo Flores Martínez ha dedicado más de 14 años a recopilar chistes, cómics y viñetas con las matemáticas como recurso común. Para ello, consulta a diario la sección de humor gráfico de más de 20 periódicos, además de varias páginas web especializadas que, a su vez, realizan un compendio de chistes de todo el mundo. “Siempre que puedo entro en ellas, y de entre todas selecciono aquellas viñetas que son de mi interés”, explica el profesor de la UGR.

Para llevar a cabo su colección, Flores Martínez considera chistes matemáticos únicamente aquéllos que satisfagan alguna de las siguientes condiciones:

* Que utilicen la palabra matemática o derivadas
* Que empleen términos que se identifican con las matemáticas, como números, figuras geométricas habituales en matemáticas, representaciones gráficas o signos matemáticos
* Que presenten situaciones resolubles matemáticamente
* Que traten sobre la enseñanza de las matemáticas

Plantear una situación concreta

En sus clases, el profesor de la Universidad de Granada utiliza este material “para plantear una situación concreta relacionada con las matemáticas”, que después explica a sus alumnos. Así, Flores Martínez ha confeccionado una base de datos en la que ha clasificado sus viñetas en distintas categorías: números, geometría, álgebra, operaciones, medida, análisis, estadística, proporcionalidad y funciones.

Parte de su colección ha sido recopilada en el libro “El humor gráfico en el aula de matemáticas”, y será próximamente objeto de estudio en otra obra que está a punto de publicarse.

El profesor de Didáctica de la Matemática invita a toda aquella persona que encuentre una viñeta que pueda ser objeto de su interés a enviársela por correo electrónico a la dirección: pflores@ugr.es
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Un profesor universitario recopila 4.000 chistes gráficos para enseñar matemáticas

Un profesor universitario recopila 4.000 chistes gráficos para enseñar matemáticas

Aprender con una sonrisa siempre es más fácil. Esto es lo que ha llevado a Pablo Flores Martínez , un profesor de la Universidad de Granada , a recopilar cerca de 4.000 chistes gráficos de más de 700 humoristas de todos los países del mundo relacionados con las matemáticas y su enseñanza.

El material lo utiliza en sus clases de Didáctica de la Matemática en la Facultad de Ciencias de la Educación, de Granada.

Pablo Flores Martínez ha dedicado más de 14 años a recopilar chistes, cómics y viñetas con las matemáticas como recurso común. Para ello, consulta a diario la sección de humor gráfico de más de 20 periódicos, además de varias páginas web especializadas que, a su vez, realizan un compendio de chistes de todo el mundo.

Siempre que puedo entro en ellas, y de entre todas selecciono aquellas viñetas que son de mi interés», explica el profesor de la UGR.
Parte de su colección ha sido recopilada en un libro

Para llevar a cabo su colección, Flores Martínez considera chistes matemáticos únicamente aquéllos que «que utilicen la palabra matemática o derivadas, empleen términos que se identifican con las matemáticas (como números, figuras geométricas habituales en matemáticas, representaciones gráficas o signos matemáticos), presenten situaciones resolubles matemáticamente o que traten sobre la enseñanza de las matemáticas».

En sus clases, el profesor de la Universidad de Granada utiliza este material «para plantear una situación concreta relacionada con las matemáticas», que después explica a sus alumnos. Así, Flores Martínez ha confeccionado una base de datos en la que ha clasificado sus viñetas en distintas categorías: números, geometría, álgebra, operaciones, medida, análisis, estadística, proporcionalidad y funciones.

Parte de su colección ya ha sido recopilada en el libro El humor gráfico en el aula de matemáticas, y será próximamente objeto de estudio en otra obra, que está a punto de publicarse.

Este profesor de Didáctica de la Matemática invita a toda aquella persona que encuentre una viñeta que pueda ser objeto de su interés a enviársela por correo electrónico a la dirección: pflores@ugr.es
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AT4 WIRELESS, TELEFÓNICA Y EL HOSPITAL COSTA DEL SOL CONECTAN A LOS PROFESIONALES SANITARIOS PARA MEJORAR LA ATENCIÓN AL PACIENTE

AT4 WIRELESS, TELEFÓNICA Y EL HOSPITAL COSTA DEL SOL CONECTAN A LOS PROFESIONALES SANITARIOS PARA MEJORAR LA ATENCIÓN AL PACIENTE

Desarrollan un proyecto, financiado por Corporación Tecnológica, que permite al personal sanitario compartir información en tiempo real a través de las TICs. El sistema permite la localización del instrumental médico, el control de las condiciones ambientales (como luz, humedad, temperatura…) e informar a pacientes y profesionales sobre citas, turnos, etcétera mediante sms.
Corporación Tecnológica de Andalucía

La empresa malagueña AT4 wireless, en colaboración con Telefónica I+D, ha culminado un proyecto de Innovación Tecnológica cofinanciado por Corporación Tecnológica de Andalucía (CTA) que ha permitido probar en un entorno real, el Hospital Costa del Sol de Marbella (Málaga), un sistema integrado de comunicaciones que conecta en tiempo real a todos los profesionales sanitarios. Este sistema hace posible compartir información y así mejorar la calidad de la asistencia al paciente, además de incrementar la seguridad dentro de las instalaciones hospitalarias.

El proyecto, denominado “ATICA: Arquitectura de tecnología de comunicaciones inalámbricas para la mejora de la calidad asistencial en la Sanidad”, ha consistido en el diseño, desarrollo y evaluación de una arquitectura de gestión de comunicaciones, fundamentalmente inalámbricas, y de una serie de servicios soportados por estas tecnologías. El proyecto ha recibido financiación por parte de CTA y de la Consejería de Innovación, Ciencia y Empresa.

La arquitectura de comunicaciones desarrollada consta de un entorno de trabajo en el que todos los profesionales sanitarios están conectados en tiempo real, fundamentalmente mediante ordenadores y terminales móviles; un servicio de localización de instrumental médico dentro de las instalaciones del centro sanitario; una herramienta de gestión y monitorización de las condiciones ambientales que afectan a la calidad asistencial (como la temperatura, humedad, luminosidad, ruido…) y un servicio interactivo para informar a pacientes y profesionales sobre citas, turnos, etcétera mediante mensajería móvil y comunicación por voz usando tecnología IVR (Respuesta Interactiva de Voz).

Para el acceso a estos servicios se han utilizado diferentes tipos de terminales y dispositivos: teléfonos convencionales, teléfonos IP, teléfonos duales GSM/Wi-Fi, centralitas, ordenadores de usuarios, impresoras, sensores, equipos de videoconferencia, lo que ha permitido evaluar su funcionamiento para los diferentes servicios desarrollados.

Los nuevos conocimientos generados por el proyecto serán de gran utilidad para plantear el desarrollo de innovadores productos y servicios, y, desde el punto de vista de los centros hospitalarios, para definir nuevos procesos y establecer mejoras en los actuales. Actualmente, AT4 wireless y Telefónica I+D están analizando la viabilidad técnica y comercial del desarrollo de nuevos productos derivados de la investigación realizada.

La aplicación de las tecnologías de comunicaciones, especialmente inalámbricas, en el ámbito de la sanidad (y sobre todo en los hospitales) ha cobrado gran importancia y tiene muchas perspectivas de desarrollo futuro. La integración de todos los servicios en una sola red revierte en un mejor aprovechamiento de la infraestructura y en una reducción del equipamiento que se necesita instalar y mantener, además del beneficio que supone disponer de un centro de gestión de red unificado.

En esta iniciativa, cuya duración ha sido de un año y que se enmarca en el sector de las TIC, han participado dos grupos de investigación: “Calidad e Investigación de Resultados en Servicios Sanitarios”, del Hospital Costa del Sol de Marbella, y “Circuitos y Sistemas para Procesamiento de la Información”, de la Universidad de Granada. Tanto AT4 Wireless como Telefónica I+D son miembros fundadores de Corporación Tecnológica de Andalucía.

Las líneas de innovación arrancadas en este proyecto están teniendo continuidad en el marco del Living Lab Salud Andalucía, iniciativa de las Consejerías de Salud y de Innovación, Ciencia y Empresa. En efecto, AT4 wireless junto a otros miembros del Living Lab y con la metodología de innovación que se establece en el mismo, está trabajando en un ambicioso proyecto cuyo objetivo es desarrollar tecnología, basada en comunicaciones inalámbricas y estándares de interoperabilidad, que contribuya a innovar y mejorar procesos asistenciales.

Este proyecto es uno de los 31 aprobados hasta el momento por la Corporación en el ámbito de la salud. Estas propuestas suman un presupuesto movilizado de 23,17 millones de euros y un incentivo concedido por la Corporación de 8,36 millones de euros. En su desarrollo intervienen 39 empresas en colaboración con 62 grupos de investigación, los cuales cuentan para los mismos con un presupuesto superior a los 4,42 millones de euros.

Acerca de Corporación Tecnológica de Andalucía

Corporación Tecnológica de Andalucía es una fundación impulsada por la Consejería de Innovación, Ciencia y Empresa de la Junta de Andalucía e integrada por las principales empresas, entidades financieras e instituciones presentes en Andalucía. El Patronato fundador contó con 44 miembros, cifra que se ha triplicado, hasta las 132 empresas. La Corporación ha aprobado hasta el momento 218 proyectos de I+D+I, a los que ha destinado incentivos por un importe de 61,9 millones de euros, lo que supone movilizar una inversión de más de 200 millones de euros. En estos proyectos participan más de 200 grupos de investigación de las universidades andaluzas y otros centros.
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EL PROGRAMA ESTALMAT ESTIMULA EL TALENTO MATEMÁTICO EN ANDALUCÍA

EL PROGRAMA ESTALMAT ESTIMULA EL TALENTO MATEMÁTICO EN ANDALUCÍA

La asignatura de matemáticas suele tener fama de ser una de las más complicadas para los alumnos en los diferentes niveles de la enseñanza reglada. Sin embargo, no sucede así en todos los casos. Muchos estudiantes las entienden perfectamente y disfrutan con ellas. De hecho, en Andalucía, 50 chicos y chicas de entre 12 y 14 años se desplazan tres sábados de cada mes a Sevilla o Granada para aprender más sobre las matemáticas. Son los participantes en el proyecto ESTALMAT-Andalucía, una iniciativa impulsada por la Real Academia de Ciencias de Madrid y por la Sociedad Andaluza de Educación Matemática Thales, con el fin de preparar desde épocas tempranas buenos profesionales para el ámbito de la ciencia y la investigación. Además, cuenta con el apoyo de la Fundación Vodafone, de la Obra Social de CAJASOL, de la Consejería de Innovación, Ciencia y Empresa, la Consejería de Educación de Andalucía, y del Ministerio de Ciencia e Innovación a través de su plataforma FECYT.
Miguel Ángel Pérez

Pascual Jara, responsable de ESTALMAT Andalucía oriental

Pascual Jara, responsable de ESTALMAT Andalucía oriental
Este programa de fomento del nivel matemático arrancó en Andalucía en el año 2006 y actualmente se encuentra en su tercera convocatoria. Se trata de una iniciativa impulsada por la Real Academia de Ciencias de Madrid y por la Sociedad Andaluza de Educación Matemática Thales, con el fin de preparar desde épocas tempranas buenos profesionales para el ámbito de la ciencia y la investigación. Además, cuenta con el apoyo de la Fundación Vodafone, de la Obra Social de CAJASOL, de las consejerías de Innovación, Ciencia y Empresa y de Educación de la Junta de Andalucía, y del Ministerio de Ciencia e Innovación a través de su plataforma FECYT.

Se desarrolla en dos sedes, la de Andalucía occidental, en la Facultad de Matemáticas de la Universidad de Sevilla, y la de Andalucía oriental, en la Facultad de Ciencias de la Universidad de Granada. En cada sede se acoge a 25 estudiantes de las cuatro provincias orientales y occidentales, donde los alumnos reciben clases de diferentes ramas de la matemática, desde cálculo a geometría, siendo clases abiertas y participativas en las que la matemática es un juego y un reto.

“No enseñamos materia matemática adicional a los estudiantes diferente a la que cursan en el instituto. Más bien complementamos su capacidad matemática, les proponemos problemas que vamos complicando poco a poco, de forma que entiendan y asuman diferentes métodos de resolución y vayan ampliando su capacidad matemática y de abstracción”, señala Pascual Jara, Catedrático de Álgebra en la Universidad de Granada. En principio, ESTALMAT se desarrolla durante dos años tras los cuales, aquellos alumnos que lo deseen podrán continuar un tercer año, en el que hay menos clases presenciales, pero con el que siguen madurando sus dotes matemáticas.

En primer lugar se realiza un proceso de selección basado en el desarrollo de una prueba escrita y en una entrevista personal. La primera prueba está orientada a identificar aquellos alumnos de entre 12 y 14 años que demuestren cierta genialidad u originalidad a la hora de resolver problemas. Después, la entrevista, que se realiza con el alumno y su familia, se orienta a seleccionar a aquellos jóvenes matemáticos que se muestren realmente interesados en el programa y que permanezcan en él hasta el final.

Al tratarse de un programa de estudio extracurricular, ESTALMAT se desarrolla los sábados por la mañana en los centros de las dos sedes. Se empieza a trabajar con los estudiantes en el mes de octubre, realizando las clases tres de cada cuatro semanas y se está con ellos hasta el mes de junio. Estos jóvenes matemáticos permanecerán durante dos años ampliando sus conocimientos y capacidades. Además, las clases presenciales se complementan con una plataforma web en la que los alumnos y profesores siguen en contacto para desarrollar dichos problemas, proponer soluciones y discutir sobre cada caso.

Clase de primer curso de ESTALMAT en la Facultad de Ciencias de la UGR

Clase de primer curso de ESTALMAT en la Facultad de Ciencias de la UGR
“Repaso en casa algunas cosas porque me gusta, pero todo el trabajo lo hacemos aquí en las clases de los sábados”, explica María García, de Torreperogil (Jaén), alumna del primer curso del programa, muy contenta con lo que ha aprendido en los primeros meses.

Beneficios para toda la clase

“Los alumnos muestran un gran interés en estas clases y disfrutan enormemente con cada nuevo problema y cuestión matemática que se les propone. Estamos muy contentos con el desarrollo de ESTALMAT, ya que aunque se destina principalmente a estos niños, sabemos que ellos en sus colegios e institutos trasladan parte de lo que aprenden a sus compañeros, ampliando la influencia del programa”, indica Jara.

Mario Andrades, de Marbella, alumno del segundo curso, comenta: “Lo que he aprendido en estos dos años ha sido mucho y muy interesante. A mis compañeros de instituto les comento y propongo cosas y les encanta que yo venga al programa”.

“Se hace duro a veces venir tantos sábados al mes, pero vale la pena porque los niños lo disfrutan mucho y les encanta participar. Eso lo compensa”, señala la madre de un alumno de Jaén al preguntarle sobre la experiencia de los desplazamientos constantes.

La mayoría de los padres están muy satisfechos con la labor del programa más allá del aprendizaje matemático que a sus hijos les aporta. “Mi hijo ha desarrollado mayor capacidad deductiva desde que empezó ESTALMAT, lo noto muchísimo ahora cuando juego al ajedrez con él”, indicaba un padre sobre los beneficios que observa. También están satisfechos con las habilidades sociales que indirectamente les confieren al ponerlos en contacto con compañeros de la misma edad pero de diferentes provincias y condición.

Cada clase está orientada a estimular la imaginación y creatividad de los niños y niñas mediante el uso de ejercicios y prácticas novedosas. Los profesores encargados de las clases manifiestan que el programa está orientado a que los alumnos estén a gusto. En este sentido, ESTALMAT organiza jornadas de encuentro entre las dos sedes, oriental y occidental, al principio y al final de cada curso, para que puedan intercambiar experiencias. En un futuro, el objetivo es que estos mismos estudiantes, desarrollen la carrera universitaria que desarrollen, sigan en contacto con el mundo de la investigación, pues estarán preparados a conciencia para obtener en su trabajo importantes resultados.

Clase de Informática del segundo curso de ESTALMAT, en Granada

Clase de Informática del segundo curso de ESTALMAT, en Granada
«Los alumnos y alumnas que tenemos son de lo más normal, tienen las aficiones habituales a su edad, música, deporte, etc., pero aquí potenciamos sus ya de por sí desarrolladas habilidades para las matemáticas, con el fin de que sean más creativos y den rienda suelta a sus capacidades. Sin duda, podrán llegar tan lejos como se propongan», detalla Francisco Pérez, uno de los profesores de la sede oriental de Granada.

Los primeros en matemáticas

Poco a poco este programa da sus frutos. Aunque aún en nuestra comunidad lleva poco tiempo en marcha, de momento los alumnos que forman parte de esta experiencia han sido en cada provincia los primeros en las correspondientes olimpiadas matemáticas.

Esta iniciativa se impulsó en primer lugar en Madrid en 1999, donde los alumnos ya han alcanzado el nivel universitario y empezado su carrera investigadora. Normalmente la gran mayoría estudia disciplinas vinculadas a las ciencias o ingenierías. Sin duda se trata de una buena oportunidad para potenciar el máximo desarrollo de las capacidades matemáticas de un niño, así como de capacitarlo para apuntar alto en el campo de la ciencia. De este modo, si está interesado en inscribir a su hijo o hija en esta iniciativa, la prueba de selección este año se realizará el 6 de Junio.
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Los profesores ‘suspensos’ de la UGR irán a ‘clases de recuperación’

Los profesores \’suspensos\’ de la UGR irán a \’clases de recuperación\’

La Universidad descarta aplicar sanciones económicas a los docentes cuya evaluación sea negativa pero establecerá incentivos a la formación · Los estudiantes califican este mes la labor de unos 3.500

Unos estudiantes realizan una evaluación en un centro de la Universidad de Granada.

No habrá sanciones económicas como en Sevilla, pero los profesores de la Universidad de Granada (UGR) que tengan una evaluación negativa de su labor docente tendrán que formarse en aquellos ámbitos que hayan sido peor calificados. Estas son algunas de las premisas que adelantó esta semana la vicerrectora de Garantía de la Calidad, María José León, encargada de elaborar el nuevo sistema de evaluación de la docencia universitaria en Granada.

La UGR lleva años evaluando a su profesorado por medio de encuestas que sondean la opinión del alumnado, pero esta herramienta, la única que había para informar sobre la actividad docente, presentaba muchas carencias. «Sabíamos que era necesario un modelo de evaluación más integral: que abarcara más dimensiones que lo que estrictamente concierne a la actividad docente y que recogiera más información de otros agentes», explica León.

Las primeras recomendaciones de la Agencia Nacional de Evaluación de la Calidad (Aneca) surgieron coincidiendo con la entrada del equipo de Francisco González Lodeiro, que en el Consejo de Gobierno de febrero de 2008 inició un procedimiento de evaluación transitorio.

«La UGR elaboró un modelo -continúa la vicerrectora- en el que no sólo se considerara la encuesta de satisfacción del alumnado, sino que recogiera también un informe de la actividad docente elaborado por el propio profesorado, los decanos y los directores de departamento».

A la evaluación final se le añade además la información de la base de datos de la propia Universidad, donde se detalla la participación de los profesores en las actividades de innovación docente, su colaboración como miembros de comités de evaluación o de comités de titulación e incluso su interés en los planes de mejora.

Sin embargo, este modelo todavía no ha abordado la cuestión más polémica: las sanciones o incentivos a la actividad docente. La UGR todavía no tiene muy claro qué consecuencias va a tener el nuevo sistema de evaluación, pero apuesta por establecer medidas positivas para aquellos docentes que saquen una buena calificación, a modo de refuerzo. «Si yo soy un buen docente alguien me tendrá que decir que lo soy y está claro que debe tener algunos beneficios sobre aquellos que han sacado una evaluación negativa», comenta León.

La UGR, por ahora, alega que en el campo económico la única que tiene potestad es la Consejería. «Sinceramente, no creo que la UGR establezca un incentivo económico como en Sevilla», dice León. Según la vicerrectora competente, los beneficios se dejarán notar cuando los docentes soliciten ayudas para participar en congresos, por ejemplo, o cuando pidan formar parte de las comisiones. Respecto a las sanciones, León las llama «medidas de mejora». «Si la UGR tiene un profesor que de manera reiterada siempre tiene evaluaciones negativas, lo primero que le tengo que decirle es: \’oiga, mejore\'». La cuestión es cómo lograr que lo haga.

Cuando la Comisión de Evaluación de la UGR elabore el informe de un docente, no sólo indicará cuál es la puntuación que ha obtenido, sino cómo puede mejorarla. Para ello se ofertarán convocatorias de formación, innovación y mejora de la práctica docente. Este será el primer aviso, pero si el docente no participa, la UGR deberá tomar medidas más drásticas. «Si un profesor saca una evaluación negativa -dice León- hay que recuperarlo para que pueda dar la docencia de calidad que la universidad está buscando».

Intentaremos adoptar medidas que no sean contradictorias, «si lo que quiero es que esa persona mejore no le voy a coartar en las actividades que favorecen su formación, incidiré en aquellas otras actividades que le dan prestigio».
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El nuevo sistema de evaluación continúa a la espera de las directrices andaluzas

El nuevo sistema de evaluación continúa a la espera de las directrices andaluzas

El Docentia Granada se retrasa en la Universidad por la lentitud del Marco Andaluz

Garantizar la calidad de la docencia que se imparte en una universidad es una tarea que se ha convertido en prioridad absoluta con la implantación del Espacio Europeo de Educación Superior (EEES), más conocido como Plan Bolonia. El nuevo modelo de enseñanza exige a los centros superiores sacar el máximo partido de sus capacidades y la oferta formativa es el principal aliciente en la captación de alumnos.

Aunque la UGR lleva una década evaluando a sus profesores, la adaptación europea impone a las comunidades autónomas una mejora de su sistema de control de la calidad homologado. Sin embargo, según el Vicerrectorado de Garantía de la Calidad de la UGR, el Gobierno andaluz lleva un gran retraso en la implantación del Marco Andaluz de la Actividad Docente del Profesor Universitario, lo que se conoce como el Docentia Andalucía, y tiene a su vez paralizados los modelos de cada universidad.

El tiempo apremia para la adaptación del Plan Bolonia (2010-2011), así que las universidades de Sevilla y Almería han decidido no esperar más a que se consensúe el borrador Docentia Andalucía para que sus docentes cuenten con un sistema de calificación adaptado. «La Universidad de Granada prefiere esperar a que la Consejería de Innovación llegue a un acuerdo con los sindicatos andaluces y sentar las bases de un mínimo regional», dice León, que apunta: «para qué vamos a sacar el Docentia Granada si sus diferencias con los demás son tan grandes que no las podamos asumir».

«El visto bueno de estas agencias de evaluación (Aneca y Agae) es fundamental porque así se comprometen a dar como válidos los datos de las calificaciones que nosotros les vamos a enviar», continúa la vicerrectora, quien aseguró que «a la vuelta del verano aprobáremos por Consejo de Gobierno nuestro documento definitivo: el Docentia Granada».

Tanto en la Universidad de Sevilla como en la de Almería el proceso de implantación ha sido más sencillo porque, en opinión de León, «no han tenido problemas en la negociación con los sindicatos, pero en el resto de las universidades andaluzas no ha sido así».

«Las negociaciones entre la Consejería y los sindicatos han estado estancadas durante mucho tiempo, pero parece ser que está previsto que a mediados de abril se vuelvan a retomar», afirma la vicerrectora.

La Universidad de Granada aspira por tanto a tomar como referencia el documento andaluz y hacer uno propio adaptado. El Consejo Andaluz de Universidades (CAU) ha establecido cuatro dimensiones (planificación de la enseñanza, desarrollo de la docencia, evaluación e innovación) con una propuesta de intervalos para que cada universidad otorgue la importancia que estime oportuna a cada área.

Es aquí donde las distintas universidades harán su gran apuesta para diferenciarse unas de otras y destacarán qué valores quieren potenciar en la calidad docente que ofrezcan a sus alumnos.
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A mayores expectativas, mejores notas

A mayores expectativas, mejores notas

Las expectativas escolares de los alumnos y sus resultados van de la mano, ya desde los 11 años. Esto significa que los niños que a esa edad ya tienen en la cabeza acabar una carrera universitaria sacan mejores resultados que los demás en la prueba de evaluación de Primaria que el Gobierno hizo en 2007. Esto es, los que esperan terminar una carrera sacan de media 264 puntos en la prueba de lengua, y los que esperan sólo terminar la ESO, 208. En el medio, los que quieren alcanzar el título de FP de grado medio (221), Bachillerato (229) y FP de grado superior (242). Mejor que todos estos últimos están los indecisos: 251 puntos, uno por encima de la media.

Una lectura a primera vista podría conducirnos a pensar que es precisamente el hecho de ir peor en los estudios lo que rebaja sus expectativas, sin embargo, hay multitud de estudios que hablan de la importancia del contexto de los alumnos, de sus expectativas, las de sus padres y sus profesores. El catedrático de Didáctica y Organización Escolar de la Universidad de Granada Antonio Bolívar habla de una «cultura de altas expectativas», en la que influyen las del profesor y la familia en cada alumno e, incluso, en un ambiente general del centro que mejora finalmente los resultados escolares.

Una y otra vez se ha hablado del enorme peso del contexto socioeconómico y cultural del alumno -la diferencia entre los chicos con menos de 25 libros en las estanterías familiares o más de 150 es de 42 puntos; y entre los que tienen padres sin estudios o con carrera universitaria, 54 puntos-, pero la evaluación de Primaria 2007 también da claves de cómo amortiguar eso y mejorar los resultados.
Profesorado estable

Por ejemplo, los niños que se escolarizaron antes de los tres años sacan 20 puntos más que los que entraron en el aula a los cuatro. Por otro lado, los que tienen cinco o seis actividades extraescolares semanales sacan peores resultados que los que no tienen ninguna; los mejores son los que tienen dos por semana.

Y por último, el informe señala un dato sobre la importancia del profesorado, desde un punto de vista que celebrarán los sindicatos: la diferencia entre que los alumnos tengan un profesor que disfruta de una situación estable en su puesto de trabajo, o uno en una situación muy inestable es de 28 puntos a favor de los primeros. Los resultados de los que tienen un profesorado bastante estable (248 puntos) o poco estable (237) también se quedan por debajo de la media.
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Una nueva técnica para el estudio de las retinosis pigmentarias

Una nueva técnica para el estudio de las retinosis pigmentarias

Investigadores de la Universidad de Granada han utilizado una nueva técnica que contribuirá al estudio de las retinosis pigmentarias, un grupo de enfermedades hereditarias raras que conducen a la ceguera.

Su trabajo, llevado a cabo en modelo animal, analiza la distribución de las células microgliales (implicadas en enfermedades del sistema nervioso como Parkinson y Alzheimer) en la retina del ratón durante todo el desarrollo, tanto embrionario como postnatal y adulto, y estudia la respuesta de estas células a un proceso neurodegenerativo inducido en la retina por exposición a la luz intensa.
Esta patología afecta también a otras estructuras del ojo, produciendo alteraciones oculares del tipo de ametropías. Entre ellas, la más frecuente es el astigmatismo.
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