Des scientifiques espagnols emploieront de l’argile à l’échelle nanoscopique pour fabriquer des médicaments plus efficaces et moins toxiques

  • Il s’agit d’un projet pilote de recherche auquel vont collaborer des scientifiques du département de Pharmacie et de Technologie Pharmaceutique, ainsi que l’Institut andalou des Sciences de la Terre (CSIC-UGR), entre autres institutions.
Des chercheurs de l’Université de Grenade et du Conseil Supérieur de Recherches Scientifiques (CSIC) emploieront de l’argile à l’échelle nanoscopique pour une libération contrôlée de médicaments chez les patients, dans l’intention de fabriquer des médicaments plus efficaces et moins toxiques. Il s’agit d’un projet pilote de recherche auquel vont collaborer des scientifiques du département de Pharmacie et de Technologie Pharmaceutique, ainsi que l’Institut Andalou des Sciences de la Terre (CSIC-UGR), entre autres institutions. Ce projet s’appuie sur la recherche de l’absorption et de la désorption de molécules bioactives sur la superficie des argiles, dans le but de dessiner et de développer de nouveaux matériaux nano fonctionnels d’origine naturelle permettant une libération modifiée de molécules bioactives, qui sont des systèmes naturels plus harmonieux avec l’environnement que d’autres synthétiques préexistants.
Le Campus d’Excellence Internationale (CEI) BioTic de l’Université de Grenade a financé ce projet de recherche interdisciplinaire, auquel ont collaboré six groupes de recherche andalous, experts en minéralogie computationnelle de glaises, développement galénique, ressources naturelles, évaluation environnementale et études in vivo de substances bioactives. Y participe également une entreprise andalouse spécialiste en matériaux microcapsulés.
Ce projet, codirigé par le professeur de l’Université de Grenade, César Viseras Iborra et le scientifique Ignacio Sainz Díaz, de l’Institut andalou des Sciences de la Terre (UGR-CSIC), englobe des études computationnelles atomistiques, en passant par la préparation des matériaux et leur caractérisation à l’échelle de laboratoire, jusqu’à leur application dans des essais directs in vivo.
Tel que l’expliquent les deux professeurs, ce projet implique la collaboration de leurs centres respectifs de recherche, et du personnel de l’École Andalouse de Santé Publique, de l’entreprise LAIMAT qui siège au Parc Technologique des Sciences de la Santé de Grenade et su commissariat pour l’Énergie atomique de Grenoble, tous membres du CEI-BioTic.
Viseras Iborra et Sainz Díaz soulignent que cette collaboration scientifique et technique « sera le point de départ de futures collaborations et présentera de nouveaux projets de recherche d’applications de glaises comme base de nouveaux matériaux nano fonctionnels à partir de systèmes naturels, stimulant ainsi l’innovation et la collaboration entre entreprises de Grenade. »
Image adjointe: Structure cristalline d’argile laminaire avec adsorbate dans l’espace interlaminaire.
Contact:
Ignacio Sainz Díaz. Institut Andalou des Sciences de la Terre. Tél.: 958 230000, ext. 190136. Courriel: cisainz@ugr.es
César Viseras Iborra. Département de Pharmacie et de Technologie Pharmaceutique. Tél.: 958 249 551. Courriel: cviseras@ugr.es

Des chercheurs de l’Université de Grenade et du Conseil Supérieur de Recherches Scientifiques (CSIC) emploieront de l’argile à l’échelle nanoscopique pour une libération contrôlée de médicaments chez les patients, dans l’intention de fabriquer des médicaments plus efficaces et moins toxiques. Il s’agit d’un projet pilote de recherche auquel vont collaborer des scientifiques du département de Pharmacie et de Technologie Pharmaceutique, ainsi que l’Institut Andalou des Sciences de la Terre (CSIC-UGR), entre autres institutions.

Ce projet s’appuie sur la recherche de l’absorption et de la désorption de molécules bioactives sur la superficie des argiles, dans le but de dessiner et de développer de nouveaux matériaux nano fonctionnels d’origine naturelle permettant une libération modifiée de molécules bioactives, qui sont des systèmes naturels plus harmonieux avec l’environnement que d’autres synthétiques préexistants.

Le Campus d’Excellence Internationale (CEI) BioTic de l’Université de Grenade a financé ce projet de recherche interdisciplinaire, auquel ont collaboré six groupes de recherche andalous, experts en minéralogie computationnelle de glaises, développement galénique, ressources naturelles, évaluation environnementale et études in vivo de substances bioactives. Y participe également une entreprise andalouse spécialiste en matériaux microcapsulés. 

Ce projet, codirigé par le professeur de l’Université de Grenade, César Viseras Iborra et le scientifique Ignacio Sainz Díaz, de l’Institut andalou des Sciences de la Terre (UGR-CSIC), englobe des études computationnelles atomistiques, en passant par la préparation des matériaux et leur caractérisation à l’échelle de laboratoire, jusqu’à leur application dans des essais directs in vivo.

Tel que l’expliquent les deux professeurs, ce projet implique la collaboration de leurs centres respectifs de recherche, et du personnel de l’École Andalouse de Santé Publique, de l’entreprise LAIMAT qui siège au Parc Technologique des Sciences de la Santé de Grenade et su commissariat pour l’Énergie atomique de Grenoble, tous membres du CEI-BioTic.

Viseras Iborra et Sainz Díaz soulignent que cette collaboration scientifique et technique « sera le point de départ de futures collaborations et présentera de nouveaux projets de recherche d’applications de glaises comme base de nouveaux matériaux nano fonctionnels à partir de systèmes naturels, stimulant ainsi l’innovation et la collaboration entre entreprises de Grenade. »

Image adjointe: Structure cristalline d’argile laminaire avec adsorbate dans l’espace interlaminaire. 

Contact: 

  • Ignacio Sainz Díaz. Institut Andalou des Sciences de la Terre. Tél.: 958 230000, ext. 190136. Courriel: cisainz@ugr.es
  • César Viseras Iborra. Département de Pharmacie et de Technologie Pharmaceutique. Tél.: 958 249 551. Courriel: cviseras@ugr.es

Des scientifiques espagnols emploieront de l’argile à l’échelle nanoscopique pour fabriquer des médicaments plus efficaces et moins toxiques

  • Il s’agit d’un projet pilote de recherche auquel vont collaborer des scientifiques du département de Pharmacie et de Technologie Pharmaceutique, ainsi que l’Institut andalou des Sciences de la Terre (CSIC-UGR), entre autres institutions.
Des chercheurs de l’Université de Grenade et du Conseil Supérieur de Recherches Scientifiques (CSIC) emploieront de l’argile à l’échelle nanoscopique pour une libération contrôlée de médicaments chez les patients, dans l’intention de fabriquer des médicaments plus efficaces et moins toxiques. Il s’agit d’un projet pilote de recherche auquel vont collaborer des scientifiques du département de Pharmacie et de Technologie Pharmaceutique, ainsi que l’Institut Andalou des Sciences de la Terre (CSIC-UGR), entre autres institutions. Ce projet s’appuie sur la recherche de l’absorption et de la désorption de molécules bioactives sur la superficie des argiles, dans le but de dessiner et de développer de nouveaux matériaux nano fonctionnels d’origine naturelle permettant une libération modifiée de molécules bioactives, qui sont des systèmes naturels plus harmonieux avec l’environnement que d’autres synthétiques préexistants.
Le Campus d’Excellence Internationale (CEI) BioTic de l’Université de Grenade a financé ce projet de recherche interdisciplinaire, auquel ont collaboré six groupes de recherche andalous, experts en minéralogie computationnelle de glaises, développement galénique, ressources naturelles, évaluation environnementale et études in vivo de substances bioactives. Y participe également une entreprise andalouse spécialiste en matériaux microcapsulés.
Ce projet, codirigé par le professeur de l’Université de Grenade, César Viseras Iborra et le scientifique Ignacio Sainz Díaz, de l’Institut andalou des Sciences de la Terre (UGR-CSIC), englobe des études computationnelles atomistiques, en passant par la préparation des matériaux et leur caractérisation à l’échelle de laboratoire, jusqu’à leur application dans des essais directs in vivo.
Tel que l’expliquent les deux professeurs, ce projet implique la collaboration de leurs centres respectifs de recherche, et du personnel de l’École Andalouse de Santé Publique, de l’entreprise LAIMAT qui siège au Parc Technologique des Sciences de la Santé de Grenade et su commissariat pour l’Énergie atomique de Grenoble, tous membres du CEI-BioTic.
Viseras Iborra et Sainz Díaz soulignent que cette collaboration scientifique et technique « sera le point de départ de futures collaborations et présentera de nouveaux projets de recherche d’applications de glaises comme base de nouveaux matériaux nano fonctionnels à partir de systèmes naturels, stimulant ainsi l’innovation et la collaboration entre entreprises de Grenade. »
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Ignacio Sainz Díaz. Institut Andalou des Sciences de la Terre. Tél.: 958 230000, ext. 190136. Courriel: cisainz@ugr.es
César Viseras Iborra. Département de Pharmacie et de Technologie Pharmaceutique. Tél.: 958 249 551. Courriel: cviseras@ugr.es

Des chercheurs de l’Université de Grenade et du Conseil Supérieur de Recherches Scientifiques (CSIC) emploieront de l’argile à l’échelle nanoscopique pour une libération contrôlée de médicaments chez les patients, dans l’intention de fabriquer des médicaments plus efficaces et moins toxiques. Il s’agit d’un projet pilote de recherche auquel vont collaborer des scientifiques du département de Pharmacie et de Technologie Pharmaceutique, ainsi que l’Institut Andalou des Sciences de la Terre (CSIC-UGR), entre autres institutions.

Ce projet s’appuie sur la recherche de l’absorption et de la désorption de molécules bioactives sur la superficie des argiles, dans le but de dessiner et de développer de nouveaux matériaux nano fonctionnels d’origine naturelle permettant une libération modifiée de molécules bioactives, qui sont des systèmes naturels plus harmonieux avec l’environnement que d’autres synthétiques préexistants.

Le Campus d’Excellence Internationale (CEI) BioTic de l’Université de Grenade a financé ce projet de recherche interdisciplinaire, auquel ont collaboré six groupes de recherche andalous, experts en minéralogie computationnelle de glaises, développement galénique, ressources naturelles, évaluation environnementale et études in vivo de substances bioactives. Y participe également une entreprise andalouse spécialiste en matériaux microcapsulés. 

Ce projet, codirigé par le professeur de l’Université de Grenade, César Viseras Iborra et le scientifique Ignacio Sainz Díaz, de l’Institut andalou des Sciences de la Terre (UGR-CSIC), englobe des études computationnelles atomistiques, en passant par la préparation des matériaux et leur caractérisation à l’échelle de laboratoire, jusqu’à leur application dans des essais directs in vivo.

Tel que l’expliquent les deux professeurs, ce projet implique la collaboration de leurs centres respectifs de recherche, et du personnel de l’École Andalouse de Santé Publique, de l’entreprise LAIMAT qui siège au Parc Technologique des Sciences de la Santé de Grenade et su commissariat pour l’Énergie atomique de Grenoble, tous membres du CEI-BioTic.

Viseras Iborra et Sainz Díaz soulignent que cette collaboration scientifique et technique « sera le point de départ de futures collaborations et présentera de nouveaux projets de recherche d’applications de glaises comme base de nouveaux matériaux nano fonctionnels à partir de systèmes naturels, stimulant ainsi l’innovation et la collaboration entre entreprises de Grenade. »

Image adjointe: Structure cristalline d’argile laminaire avec adsorbate dans l’espace interlaminaire. 

Contact: 

  • Ignacio Sainz Díaz. Institut Andalou des Sciences de la Terre. Tél.: 958 230000, ext. 190136. Courriel: cisainz@ugr.es
  • César Viseras Iborra. Département de Pharmacie et de Technologie Pharmaceutique. Tél.: 958 249 551. Courriel: cviseras@ugr.es

Des scientifiques espagnols emploieront de l’argile à l’échelle nanoscopique pour fabriquer des médicaments plus efficaces et moins toxiques

  • Il s’agit d’un projet pilote de recherche auquel vont collaborer des scientifiques du département de Pharmacie et de Technologie Pharmaceutique, ainsi que l’Institut andalou des Sciences de la Terre (CSIC-UGR), entre autres institutions.
Des chercheurs de l’Université de Grenade et du Conseil Supérieur de Recherches Scientifiques (CSIC) emploieront de l’argile à l’échelle nanoscopique pour une libération contrôlée de médicaments chez les patients, dans l’intention de fabriquer des médicaments plus efficaces et moins toxiques. Il s’agit d’un projet pilote de recherche auquel vont collaborer des scientifiques du département de Pharmacie et de Technologie Pharmaceutique, ainsi que l’Institut Andalou des Sciences de la Terre (CSIC-UGR), entre autres institutions. Ce projet s’appuie sur la recherche de l’absorption et de la désorption de molécules bioactives sur la superficie des argiles, dans le but de dessiner et de développer de nouveaux matériaux nano fonctionnels d’origine naturelle permettant une libération modifiée de molécules bioactives, qui sont des systèmes naturels plus harmonieux avec l’environnement que d’autres synthétiques préexistants.
Le Campus d’Excellence Internationale (CEI) BioTic de l’Université de Grenade a financé ce projet de recherche interdisciplinaire, auquel ont collaboré six groupes de recherche andalous, experts en minéralogie computationnelle de glaises, développement galénique, ressources naturelles, évaluation environnementale et études in vivo de substances bioactives. Y participe également une entreprise andalouse spécialiste en matériaux microcapsulés.
Ce projet, codirigé par le professeur de l’Université de Grenade, César Viseras Iborra et le scientifique Ignacio Sainz Díaz, de l’Institut andalou des Sciences de la Terre (UGR-CSIC), englobe des études computationnelles atomistiques, en passant par la préparation des matériaux et leur caractérisation à l’échelle de laboratoire, jusqu’à leur application dans des essais directs in vivo.
Tel que l’expliquent les deux professeurs, ce projet implique la collaboration de leurs centres respectifs de recherche, et du personnel de l’École Andalouse de Santé Publique, de l’entreprise LAIMAT qui siège au Parc Technologique des Sciences de la Santé de Grenade et su commissariat pour l’Énergie atomique de Grenoble, tous membres du CEI-BioTic.
Viseras Iborra et Sainz Díaz soulignent que cette collaboration scientifique et technique « sera le point de départ de futures collaborations et présentera de nouveaux projets de recherche d’applications de glaises comme base de nouveaux matériaux nano fonctionnels à partir de systèmes naturels, stimulant ainsi l’innovation et la collaboration entre entreprises de Grenade. »
Image adjointe: Structure cristalline d’argile laminaire avec adsorbate dans l’espace interlaminaire.
Contact:
Ignacio Sainz Díaz. Institut Andalou des Sciences de la Terre. Tél.: 958 230000, ext. 190136. Courriel: cisainz@ugr.es
César Viseras Iborra. Département de Pharmacie et de Technologie Pharmaceutique. Tél.: 958 249 551. Courriel: cviseras@ugr.es

Des chercheurs de l’Université de Grenade et du Conseil Supérieur de Recherches Scientifiques (CSIC) emploieront de l’argile à l’échelle nanoscopique pour une libération contrôlée de médicaments chez les patients, dans l’intention de fabriquer des médicaments plus efficaces et moins toxiques. Il s’agit d’un projet pilote de recherche auquel vont collaborer des scientifiques du département de Pharmacie et de Technologie Pharmaceutique, ainsi que l’Institut Andalou des Sciences de la Terre (CSIC-UGR), entre autres institutions.

Ce projet s’appuie sur la recherche de l’absorption et de la désorption de molécules bioactives sur la superficie des argiles, dans le but de dessiner et de développer de nouveaux matériaux nano fonctionnels d’origine naturelle permettant une libération modifiée de molécules bioactives, qui sont des systèmes naturels plus harmonieux avec l’environnement que d’autres synthétiques préexistants.

Le Campus d’Excellence Internationale (CEI) BioTic de l’Université de Grenade a financé ce projet de recherche interdisciplinaire, auquel ont collaboré six groupes de recherche andalous, experts en minéralogie computationnelle de glaises, développement galénique, ressources naturelles, évaluation environnementale et études in vivo de substances bioactives. Y participe également une entreprise andalouse spécialiste en matériaux microcapsulés. 

Ce projet, codirigé par le professeur de l’Université de Grenade, César Viseras Iborra et le scientifique Ignacio Sainz Díaz, de l’Institut andalou des Sciences de la Terre (UGR-CSIC), englobe des études computationnelles atomistiques, en passant par la préparation des matériaux et leur caractérisation à l’échelle de laboratoire, jusqu’à leur application dans des essais directs in vivo.

Tel que l’expliquent les deux professeurs, ce projet implique la collaboration de leurs centres respectifs de recherche, et du personnel de l’École Andalouse de Santé Publique, de l’entreprise LAIMAT qui siège au Parc Technologique des Sciences de la Santé de Grenade et su commissariat pour l’Énergie atomique de Grenoble, tous membres du CEI-BioTic.

Viseras Iborra et Sainz Díaz soulignent que cette collaboration scientifique et technique « sera le point de départ de futures collaborations et présentera de nouveaux projets de recherche d’applications de glaises comme base de nouveaux matériaux nano fonctionnels à partir de systèmes naturels, stimulant ainsi l’innovation et la collaboration entre entreprises de Grenade. »

Image adjointe: Structure cristalline d’argile laminaire avec adsorbate dans l’espace interlaminaire. 

Contact: 

  • Ignacio Sainz Díaz. Institut Andalou des Sciences de la Terre. Tél.: 958 230000, ext. 190136. Courriel: cisainz@ugr.es
  • César Viseras Iborra. Département de Pharmacie et de Technologie Pharmaceutique. Tél.: 958 249 551. Courriel: cviseras@ugr.es

Spanish Researchers will Employ Microscopic Clay Minerals to Design More Efficient and Less Toxic Drugs

  • This is a pilot research project where researchers at the University of Granada Department of Pharmacy and Pharmaceutical Technology and the Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra (CSIC-UGR) –among others– will participate.

University of Granada and the Spanish Consejo Superior de Investigaciones Científicas (CSIC) researcgers will use nanoscopic clay for the controlled release of drugs in patients, with the aim of designing more efficient and less toxic drugs. This is a pilot research study that includes CSIC and University of Granada researchers and researchers from other institutions.

This project is based on a research on the adsortion and desorption of bioactive molecules on clay mineral surface. The goal is to design and develop new nanofunctional materials of natural origin that enable the controlled release of bioactive molecules, which is more environmentally-friendly that other synthetic systems.

This interdisciplinary research study has been funded by the University of Granada Campus of International Excellence BioTic. A total of six Andalusian research groups from different scientific fields –computational modeling of clay minerals, galenic development, natural resources, environmental evaluation and in vivo studies of bioactive substances– have participated in this study. In addition, an Andalusian company specialised in microencapsulated materials has also contributed to the study.

This project was coordinated by the University of Granada professor César Viseras Iborra and the CSIC researcher Ignacio Sainz Díaz. The study embraces, among other, atomistic computational studies, the preparation and characterization of materials at microscopic level, and their application to in vivo tests.

A number of institutions and companies have contributed to this study, as the Escuela Andaluza de Salud Pública, the Andalusian company LAIMAT and the Commissariat à l´Énergie Atomique in Grenoble, which are all aggregated to the CEI-BioTic.

Viseras Iborra and Sainz Díaz state that «the collaboration of scientific and technical experts will promote new collaborations in the future and will enable the development of new applications of clay minerals as the base of new nanofunctional materials».

Picture: Layer crystalline structure of clay minerals with adsorbate in inter-layer space

Contact:

  • Ignacio Sainz Díaz. Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra. Phone Number:+34 958230000, EXT. 190136. E-mail: cisainz@ugr.es
  • César Viseras Iborra. Departamento de Farmacia y Tecnología Farmacéutica. Phone Number:+34 958 249 551. E-mail: cviseras@ugr.es

 


Spanish Researchers will Employ Microscopic Clay Minerals to Design More Efficient and Less Toxic Drugs

  • This is a pilot research project where researchers at the University of Granada Department of Pharmacy and Pharmaceutical Technology and the Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra (CSIC-UGR) –among others– will participate.

University of Granada and the Spanish Consejo Superior de Investigaciones Científicas (CSIC) researcgers will use nanoscopic clay for the controlled release of drugs in patients, with the aim of designing more efficient and less toxic drugs. This is a pilot research study that includes CSIC and University of Granada researchers and researchers from other institutions.

This project is based on a research on the adsortion and desorption of bioactive molecules on clay mineral surface. The goal is to design and develop new nanofunctional materials of natural origin that enable the controlled release of bioactive molecules, which is more environmentally-friendly that other synthetic systems.

This interdisciplinary research study has been funded by the University of Granada Campus of International Excellence BioTic. A total of six Andalusian research groups from different scientific fields –computational modeling of clay minerals, galenic development, natural resources, environmental evaluation and in vivo studies of bioactive substances– have participated in this study. In addition, an Andalusian company specialised in microencapsulated materials has also contributed to the study.

This project was coordinated by the University of Granada professor César Viseras Iborra and the CSIC researcher Ignacio Sainz Díaz. The study embraces, among other, atomistic computational studies, the preparation and characterization of materials at microscopic level, and their application to in vivo tests.

A number of institutions and companies have contributed to this study, as the Escuela Andaluza de Salud Pública, the Andalusian company LAIMAT and the Commissariat à l´Énergie Atomique in Grenoble, which are all aggregated to the CEI-BioTic.

Viseras Iborra and Sainz Díaz state that «the collaboration of scientific and technical experts will promote new collaborations in the future and will enable the development of new applications of clay minerals as the base of new nanofunctional materials».

Picture: Layer crystalline structure of clay minerals with adsorbate in inter-layer space

Contact:

  • Ignacio Sainz Díaz. Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra. Phone Number:+34 958230000, EXT. 190136. E-mail: cisainz@ugr.es
  • César Viseras Iborra. Departamento de Farmacia y Tecnología Farmacéutica. Phone Number:+34 958 249 551. E-mail: cviseras@ugr.es

 


El proyecto de reapertura de Minas de Alquife (Granada) se presenta este miércoles en la CEA

El proyecto de reapertura de las Minas de Alquife en Granada se presentará este miércoles en la sede de la Confederación de Empresarios de Andalucía (CEA) en Sevilla.

Según indica la CEA en su convocatoria, participarán en dicho acto el secretario general de la CEA, Antonio Carrillo; el presidente del consejo de administración de Minas de Alquife, Holger Benicke; el director técnico del proyecto, Luis Carlos Pérez, y el catedrático de Economía Aplicada de la Universidad de Granada y coautor del estudio sobre el impacto del proyecto de Alquife en el empleo y la economía andaluza, Juan de Dios Jiménez.

La reanudación de la actividad minera en las Minas del Marquesado de Alquife requiere una plantilla en torno a los 350 trabajadores, mientras que las reservas estimadas del mineral, in situ, están próximas a los 90 millones de toneladas, por lo que se prevé una vida mínima de 22 años.

Asimismo, la inversión necesaria para la reapertura de la mina se estima entre 170 y 220 millones de euros, y contempla la participación para conectar la estación de ferrocarril de Almería con el Puerto de Almería.

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El proyecto de reapertura de Minas de Alquife (Granada) se presenta este miércoles en la CEA

El proyecto de reapertura de las Minas de Alquife en Granada se presentará este miércoles en la sede de la Confederación de Empresarios de Andalucía (CEA) en Sevilla.

Según indica la CEA en su convocatoria, participarán en dicho acto el secretario general de la CEA, Antonio Carrillo; el presidente del consejo de administración de Minas de Alquife, Holger Benicke; el director técnico del proyecto, Luis Carlos Pérez, y el catedrático de Economía Aplicada de la Universidad de Granada y coautor del estudio sobre el impacto del proyecto de Alquife en el empleo y la economía andaluza, Juan de Dios Jiménez.

La reanudación de la actividad minera en las Minas del Marquesado de Alquife requiere una plantilla en torno a los 350 trabajadores, mientras que las reservas estimadas del mineral, in situ, están próximas a los 90 millones de toneladas, por lo que se prevé una vida mínima de 22 años.

Asimismo, la inversión necesaria para la reapertura de la mina se estima entre 170 y 220 millones de euros, y contempla la participación para conectar la estación de ferrocarril de Almería con el Puerto de Almería.

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La UGR colabora en el diseño íntegro del programa de doctorado en Ciencia y Tecnología de Alimentos de la Universidad de Prístina, en Kosovo

  • Enmarcado en un programa TEMPUS desarrollado en colaboración con las universidades de Karl-Franzen (Austria), Tecnológica de Munich (Alemania), Vaasa (Finlandia) y Pristina (Kosovo)

El primer año de desarrollo del programa TEMPUS denominado “PhD in Food Science & Technology & Creating Capacities for PhD Reform at the University of Pristina/ Kosovo” culmina con el diseño íntegro del programa de doctorado en Ciencia y Tecnología de Alimentos en cooperación entre el personal docente de la Universidad de Pristina, y las instituciones asociadas, además de un sistema de enseñanza en equipo. Por la Universidad de Granada participan los profesores Fontana Gallego, Gil Hernández, Martínez de Victoria, Ramírez Rodrigo, Rufián Henares y Sánchez Pozo.

Además se ha llevado a cabo la evaluación de las capacidades locales de investigación y los sistemas de tercer ciclo en los centros asociados, y el desarrollo de las capacidades del personal docente de Kosovo a través de visitas de estudio, talleres y las discusiones de consultoría.

Basado en el resumen de las tendencias de la UE, se han elaborado las recomendaciones específicas para la renovación del tercer ciclo de la Universidad de Pristina. Según explica el profesor Antonio Sánchez Pozo, del Dpto. de Bioquímica y Biología Molecular II y coordinador del programa en la Universidad de Granada, “El principal impacto del proyecto hasta el momento son los procedimientos desarrollados para el programa de doctorado específico, que será utilizada por todas las unidades académicas de la Universidad de Prístina”.

El Programa comunitario Tempus es, dentro de la política europea, el instrumento para el desarrollo y modernización de los sistemas de enseñanza universitaria de 27 países asociados mediante la cooperación con universidades de la Unión Europea. Su objetivo es alcanzar la convergencia con el sistema universitario europeo derivado del Proceso de Bolonia.

Contacto: Antonio Sánchez Pozo. Dpto de Bioquímica y Biología Molecular II. Telef. 958 243839. Correo electrónico: sanchezp@ugr.es

Gabinete de Comunicación – Secretaría General
UNIVERSIDAD DE GRANADA
Acera de San Ildefonso, s/n. 18071. Granada (España)
Tel. 958 243063 – 958 244278
Correo e. gabcomunicacion@ugr.es
Web: http://canal.ugr.es


La UGR colabora en el diseño íntegro del programa de doctorado en Ciencia y Tecnología de Alimentos de la Universidad de Prístina, en Kosovo

  • Enmarcado en un programa TEMPUS desarrollado en colaboración con las universidades de Karl-Franzen (Austria), Tecnológica de Munich (Alemania), Vaasa (Finlandia) y Pristina (Kosovo)

El primer año de desarrollo del programa TEMPUS denominado “PhD in Food Science & Technology & Creating Capacities for PhD Reform at the University of Pristina/ Kosovo” culmina con el diseño íntegro del programa de doctorado en Ciencia y Tecnología de Alimentos en cooperación entre el personal docente de la Universidad de Pristina, y las instituciones asociadas, además de un sistema de enseñanza en equipo. Por la Universidad de Granada participan los profesores Fontana Gallego, Gil Hernández, Martínez de Victoria, Ramírez Rodrigo, Rufián Henares y Sánchez Pozo.

Además se ha llevado a cabo la evaluación de las capacidades locales de investigación y los sistemas de tercer ciclo en los centros asociados, y el desarrollo de las capacidades del personal docente de Kosovo a través de visitas de estudio, talleres y las discusiones de consultoría.

Basado en el resumen de las tendencias de la UE, se han elaborado las recomendaciones específicas para la renovación del tercer ciclo de la Universidad de Pristina. Según explica el profesor Antonio Sánchez Pozo, del Dpto. de Bioquímica y Biología Molecular II y coordinador del programa en la Universidad de Granada, “El principal impacto del proyecto hasta el momento son los procedimientos desarrollados para el programa de doctorado específico, que será utilizada por todas las unidades académicas de la Universidad de Prístina”.

El Programa comunitario Tempus es, dentro de la política europea, el instrumento para el desarrollo y modernización de los sistemas de enseñanza universitaria de 27 países asociados mediante la cooperación con universidades de la Unión Europea. Su objetivo es alcanzar la convergencia con el sistema universitario europeo derivado del Proceso de Bolonia.

Contacto: Antonio Sánchez Pozo. Dpto de Bioquímica y Biología Molecular II. Telef. 958 243839. Correo electrónico: sanchezp@ugr.es

Gabinete de Comunicación – Secretaría General
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Melilla Hoy

Pág. 15: Melilla adopta el programa mejicano de Democratización Familiar para Prevenir la Violencia de Género

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