Ideal

Pág. 8: OTRA FACULTAD PARA LA UGR (Buenos días)

Pág. 12: Investigadores buscan nativos de habla inglesa para participar en un estudio

Adjudicada por 585.000 euros la ampliación del supercomputador de la UGR

Pág. 51 – Deportes: UMA castiga con dureza el único error de las granadinas

Pág. 64: Los rectores atacan la reválida de Wert y apuestan por la selectividad

Pág. 73: Agenda

– Exposiciones: ‘Vivir en Granada’ / ‘Pasteles de la Sierra’ / ‘Arte Gira Dream’

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Ideal

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Adjudicada por 585.000 euros la ampliación del supercomputador de la UGR

Pág. 51 – Deportes: UMA castiga con dureza el único error de las granadinas

Pág. 64: Los rectores atacan la reválida de Wert y apuestan por la selectividad

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Granada Hoy

Portada: García Montero y Fortes volverán a verse las caras en la Universidad

Pág. 10: Los empresarios apoyan de forma unánime la celebración de la Universiada en La Ragua

Pág. 14: El embajador de Arabia Saudí en España visita la UGR

Pág. 18: Se buscan nativos de inglés para un estudio

Pág. 20: Bellas Artes acoge la muestra ‘Arte Gira Dream’ (El día por delante)

Pág. 38: García Montero y Fortes, condenados a verse en los pasillos de Letras

El departamento de Literatura intenta que sus clases no coincidan

Pág. 40: El arte surge a borbotones en la facultad de Bellas Artes

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Recherche sur une maladie rare qui provoque que la personne présente une apparence externe féminine mais des génitaux masculins

  • Des scientifiques de l’Université de Grenade développent le premier guide clinique pour médecins et patients sur le Syndrome de l’Insensibilité aux Androgènes (SIA), une maladie qui affecte une personne sur deux mille.
  • Le mode d’hérédité de ce problème est récessif quant au sexe, c’est-à-dire que les femmes le transmettent et les hommes le subissent

Des chercheurs de l’Université de Grenade ont réalisé le premier guide clinique pour médecins et patients sur le Syndrome de l’Insensibilité aux Androgènes (SIA), une maladie rare capable de provoquer un type de sexe ‘à l’envers’, une situation qui se produit lorsque la personne présente une apparence externe féminine mais des génitaux masculins.

Le SIA présente une prévalence basse (une personne sur deux mille) et se caractérise par la résistance des tissus cible à l’action des hormones masculines, ce qui empêche chez des individus masculins du point de vue des chromosomes (c’est-à-dire 46,XY) un développement normal de leurs génitaux internes et externes. Il s’agit d’un trouble causé par une mutation dans le gène qui codifie le récepteur d’androgènes et dont le diagnostic se confirme avec la détermination de cette mutation. Le mode d’hérédité de ce problème est récessif quant au sexe, c’est-à-dire que les femmes le transmettent et les hommes le subissent.

Les chercheurs ont étudié les données cliniques et épidémiologiques les plus évidentes du Syndrome de l’Insensibilité aux Androgènes dans une révision publiée dans le dernier numéro de la revue Gynecological Endocrinology. Le guide pour patients inclut les protocoles de suivi nécessaires dès la naissance, l’enfance et l’adolescence jusqu’à la période adulte, outre des feuilles informatives pour patients.

Manifestations très variables

Le SIA se manifeste cliniquement de façon très variable, de sorte qu’il est possible de trouver des hommes présentant des traits normaux mais avec des altérations spermatiques qui produisent la stérilité, ou des individus présentant un aspect de femme mais sans menstruation ni organes internes féminins. Dans d’autres cas, les patients naissent avec une ambiguïté sexuelle, ce qui requiert un diagnostic le plus précis et précoce possible afin d’assigner le sexe et de planifier les traitements possibles.

Tel que l’explique Nicolás Mendoza, chercheur du Département d’Obstétrique et de Gynécologie de l’Université de Grenade et un des auteurs de l’étude, le traitement de toute forme de SIA se base sur trois piliers.

« Le premier est le renforcement de l’identité sexuelle, avec la collaboration d’autres professionnels, surtout des psychologues. Le second, pour les cas d’ambiguïté sexuelle et d’assignation de sexe féminin, il est nécessaire de planifier la gonadectomie (extirpation des testicules) vu qu’ils présentent un risque élevé de malignité. Finalement, il faut administrer un traitement hormonal substitutif en cas d’assignation du sexe féminin.

M. Mendoza avertit que « médicalement parlant, le pronostique pour ces patients est bon si l’on extirpe le tissu testiculaire au moment approprié ».

Le Guide Clinique pour médecins et patients sur le Syndrome de l’Insensibilité aux Androgènes (SIA) est disponible sur le site web du Centre de Recherches Biomédicales en Réseau de Maladies Rares (CIBERER) (www.ciberer.es), celui de l’Association Espagnole de Génétique Humaine (www.aegh.org) et sur celui du Groupe de Travail sur le cancer dans des syndromes génétiques polymalformatifs (www.ct-csgp.org).

Référence bibliographique

Androgen insensitivity syndrome
Mendoza, N., Motos, M.A. Department of Obstetrics and Gynecology, University of Granada.
Gynecological Endocrinology, Volume 29, Issue 1, January 2013, Pages 1-5

Contact : Nicolás Mendoza et Miguel Ángel Motos. Département d’Obstétrique et de Gynécologie de l’Université de Grenade. Tél. : +34 958 120 206 ; courriel : nicomendoza@telefonica.net et mamotos@ugr.es

 


Recherche sur une maladie rare qui provoque que la personne présente une apparence externe féminine mais des génitaux masculins

  • Des scientifiques de l’Université de Grenade développent le premier guide clinique pour médecins et patients sur le Syndrome de l’Insensibilité aux Androgènes (SIA), une maladie qui affecte une personne sur deux mille.
  • Le mode d’hérédité de ce problème est récessif quant au sexe, c’est-à-dire que les femmes le transmettent et les hommes le subissent

Des chercheurs de l’Université de Grenade ont réalisé le premier guide clinique pour médecins et patients sur le Syndrome de l’Insensibilité aux Androgènes (SIA), une maladie rare capable de provoquer un type de sexe ‘à l’envers’, une situation qui se produit lorsque la personne présente une apparence externe féminine mais des génitaux masculins.

Le SIA présente une prévalence basse (une personne sur deux mille) et se caractérise par la résistance des tissus cible à l’action des hormones masculines, ce qui empêche chez des individus masculins du point de vue des chromosomes (c’est-à-dire 46,XY) un développement normal de leurs génitaux internes et externes. Il s’agit d’un trouble causé par une mutation dans le gène qui codifie le récepteur d’androgènes et dont le diagnostic se confirme avec la détermination de cette mutation. Le mode d’hérédité de ce problème est récessif quant au sexe, c’est-à-dire que les femmes le transmettent et les hommes le subissent.

Les chercheurs ont étudié les données cliniques et épidémiologiques les plus évidentes du Syndrome de l’Insensibilité aux Androgènes dans une révision publiée dans le dernier numéro de la revue Gynecological Endocrinology. Le guide pour patients inclut les protocoles de suivi nécessaires dès la naissance, l’enfance et l’adolescence jusqu’à la période adulte, outre des feuilles informatives pour patients.

Manifestations très variables

Le SIA se manifeste cliniquement de façon très variable, de sorte qu’il est possible de trouver des hommes présentant des traits normaux mais avec des altérations spermatiques qui produisent la stérilité, ou des individus présentant un aspect de femme mais sans menstruation ni organes internes féminins. Dans d’autres cas, les patients naissent avec une ambiguïté sexuelle, ce qui requiert un diagnostic le plus précis et précoce possible afin d’assigner le sexe et de planifier les traitements possibles.

Tel que l’explique Nicolás Mendoza, chercheur du Département d’Obstétrique et de Gynécologie de l’Université de Grenade et un des auteurs de l’étude, le traitement de toute forme de SIA se base sur trois piliers.

« Le premier est le renforcement de l’identité sexuelle, avec la collaboration d’autres professionnels, surtout des psychologues. Le second, pour les cas d’ambiguïté sexuelle et d’assignation de sexe féminin, il est nécessaire de planifier la gonadectomie (extirpation des testicules) vu qu’ils présentent un risque élevé de malignité. Finalement, il faut administrer un traitement hormonal substitutif en cas d’assignation du sexe féminin.

M. Mendoza avertit que « médicalement parlant, le pronostique pour ces patients est bon si l’on extirpe le tissu testiculaire au moment approprié ».

Le Guide Clinique pour médecins et patients sur le Syndrome de l’Insensibilité aux Androgènes (SIA) est disponible sur le site web du Centre de Recherches Biomédicales en Réseau de Maladies Rares (CIBERER) (www.ciberer.es), celui de l’Association Espagnole de Génétique Humaine (www.aegh.org) et sur celui du Groupe de Travail sur le cancer dans des syndromes génétiques polymalformatifs (www.ct-csgp.org).

Référence bibliographique

Androgen insensitivity syndrome
Mendoza, N., Motos, M.A. Department of Obstetrics and Gynecology, University of Granada.
Gynecological Endocrinology, Volume 29, Issue 1, January 2013, Pages 1-5

Contact : Nicolás Mendoza et Miguel Ángel Motos. Département d’Obstétrique et de Gynécologie de l’Université de Grenade. Tél. : +34 958 120 206 ; courriel : nicomendoza@telefonica.net et mamotos@ugr.es

 


Researchers study a rare disease making people look like a woman but having male genitals under study

  • Researchers at the University of Granada have designed the first guideline for physicians and patients on the Androgen Insensitivity Syndrome (AIS), a disease that affects one in 2000 people.
  • This disease is transmitted y a recessive gene associated to gender i.e. it is transmitted by women, by it is only developed by men.

University of Granada researchers have designed a guideline for physicians and patients on the Androgen Insensitivity Syndrome (AIS), a rare disease that makes the subject develop reverse sex, which occurs when a subject looks like a woman but has male genes.

AIS has low prevalence (it only affects one in 2000 people), and it is characterized by the inability of tissues to respond to the action of male hormones. This prevents individuals with XY sex hormones (i.e. 46,XY) to develop male genitalia. This disorder is caused by a mutation in the gene that codifies the receptor of androgens, and diagnosis is confirmed by the identification of such mutation. This disease is transmitted y a recessive gene associated to gender i.e. it is transmitted by women but it is only developed by men.

The researchers examined the most relevant clinical and epidemiological data of AIS in a review study recently published in the journal Gynecological Endocrinology. The guideline for patients includes the follow-up protocols to be applied from birth to adulthood, through childhood and adolescence. The guideline also includes additional information for patients.

Diversity of Symptoms

Clinical symptoms of AIS range from spermatogenic defects causing infertility in men with otherwise normal genitalia, to subjects who look female in appearance but have not menstruation or female internal genitalia. Sometimes, the gender of IAS subjects cannot be identified at birth and a more precise diagnosis is required to determine the sex of the newborn and plan potential treatments.

According to one of the authors of the study, a researcher at the University of Granada Department of Obstetrics and Gynecology, therapy for AIS is based on three pillars:

“The first step is reinforcing the sexual identity of the subject with the help of psychologists. In cases of sexual ambiguity and determination of female gender, the second step is to perform a gonadectomy (removal of testicles), as they may become cancerous. Finally, it is necessary to administer hormone replacement therapy in case the subject is assigned the female sex. “The prognosis of these patients is good if the testicles are timely removed”, professor Mendoza states.

The Androgen Insensitivity Syndrome Guideline for physicians and patients is available at the web site of the Biomedical Research Network of Rare Diseases (CIBERER) www.ciberer.es, the Spanish Association of Human Genetics www.aegh.org and the research group on cancer in patients with polymalformation genetic syndromes (www.ct-csgp.org).

Bibliography:

Androgen insensitivity syndrome
Mendoza, N., Motos, M.A.
Department of Obstetrics and Gynecology, University of Granada.
Gynecological Endocrinology
Volume 29, Issue 1, January 2013, Pages 1-5

Contacting person: Nicolás Mendoza. Miguel Ángel Motos. Department of Obstetrics and Gynecology, University of Granada.. Phone number:+34 958 120 206 E-mail address: NICOMENDOZA@telefonica.netMAMOTOS@UGR.ES


Researchers study a rare disease making people look like a woman but having male genitals under study

  • Researchers at the University of Granada have designed the first guideline for physicians and patients on the Androgen Insensitivity Syndrome (AIS), a disease that affects one in 2000 people.
  • This disease is transmitted y a recessive gene associated to gender i.e. it is transmitted by women, by it is only developed by men.

University of Granada researchers have designed a guideline for physicians and patients on the Androgen Insensitivity Syndrome (AIS), a rare disease that makes the subject develop reverse sex, which occurs when a subject looks like a woman but has male genes.

AIS has low prevalence (it only affects one in 2000 people), and it is characterized by the inability of tissues to respond to the action of male hormones. This prevents individuals with XY sex hormones (i.e. 46,XY) to develop male genitalia. This disorder is caused by a mutation in the gene that codifies the receptor of androgens, and diagnosis is confirmed by the identification of such mutation. This disease is transmitted y a recessive gene associated to gender i.e. it is transmitted by women but it is only developed by men.

The researchers examined the most relevant clinical and epidemiological data of AIS in a review study recently published in the journal Gynecological Endocrinology. The guideline for patients includes the follow-up protocols to be applied from birth to adulthood, through childhood and adolescence. The guideline also includes additional information for patients.

Diversity of Symptoms

Clinical symptoms of AIS range from spermatogenic defects causing infertility in men with otherwise normal genitalia, to subjects who look female in appearance but have not menstruation or female internal genitalia. Sometimes, the gender of IAS subjects cannot be identified at birth and a more precise diagnosis is required to determine the sex of the newborn and plan potential treatments.

According to one of the authors of the study, a researcher at the University of Granada Department of Obstetrics and Gynecology, therapy for AIS is based on three pillars:

“The first step is reinforcing the sexual identity of the subject with the help of psychologists. In cases of sexual ambiguity and determination of female gender, the second step is to perform a gonadectomy (removal of testicles), as they may become cancerous. Finally, it is necessary to administer hormone replacement therapy in case the subject is assigned the female sex. “The prognosis of these patients is good if the testicles are timely removed”, professor Mendoza states.

The Androgen Insensitivity Syndrome Guideline for physicians and patients is available at the web site of the Biomedical Research Network of Rare Diseases (CIBERER) www.ciberer.es, the Spanish Association of Human Genetics www.aegh.org and the research group on cancer in patients with polymalformation genetic syndromes (www.ct-csgp.org).

Bibliography:

Androgen insensitivity syndrome
Mendoza, N., Motos, M.A.
Department of Obstetrics and Gynecology, University of Granada.
Gynecological Endocrinology
Volume 29, Issue 1, January 2013, Pages 1-5

Contacting person: Nicolás Mendoza. Miguel Ángel Motos. Department of Obstetrics and Gynecology, University of Granada.. Phone number:+34 958 120 206 E-mail address: NICOMENDOZA@telefonica.netMAMOTOS@UGR.ES


Des chercheurs espagnols développent des biomarqueurs qui aideront à détecter la dengue et le West Nile virus

  • La ‘spin-off’ de l’Université de Grenade Rekom Biotech a dessiné des antigènes recombinants qui permettront aux hôpitaux et aux cliniques de réaliser une identification effective de ces deux maladies virales qui affectent des millions de personnes dans le monde.

Des chercheurs de l’Université de Grenade ont mis au point des biomarqueurs qui permettront d’élaborer des tests de diagnostic pour la détection de la dengue et du West Nile virus ou « virus du Nil Occidental », deux maladies infectieuses qui se transmettent à travers des moustiques. Leur travail permettra aux hôpitaux et aux cliniques de réaliser une identification effective de ces deux maladies virales qui affectent des millions de personnes dans le monde.

La ‘spin-off’ de l’Université de Grenade Rekom Biotech est une entreprise de base technologique formée par des partenaires provenant de l’entreprise privée et de la propre institution académique. Leur travail consiste à dessiner et élaborer le matériel nécessaire pour fabriquer les tests de diagnostic, dénommé « antigènes recombinants », qui sont des biomarqueurs de nombreuses maladies produites par des virus, des bactéries, des champignons et des parasites.

Épargner des vies et des ressources économiques

Ces produits peuvent être utilisés dans diverses plateformes ou systèmes de diagnostic in vitro existant dans l’actualité. Dans le cas de la dengue et du West Nile virus, les biomarqueurs obtenus par la ‘spin-off’ de l’Université de Grenade « pourraient servir à fabriquer des tests de diagnostic qui, à leur tour, aideraient à épargner de nombreuses vies et des ressources économiques », a expliqué la directrice générale de Rekom Biotech, Ana Camacho Páez.

L’entreprise grenadine offre également des services externes basés sur le dessin et la production de protéines et autres outils de biologie moléculaire. Actuellement, Rekom Biotech a signé des contrats de livraison pour fabriquer des antigènes recombinants de marque générique à deux entreprises américaines, et est sur le point de signer un autre contrat avec une entreprise allemande. Il a en catalogue 50 recombinants orientés au diagnostic in vitro de maladies infectieuses et offre des services I+D dans le Parc Technologique de la Santé de Grenade.

  1. Partie de l’équipe de la ‘spin-off’ Rekom Biotech. De gauche à droite, Pilar Bordetas, María José Barroso, Ana Camacho et Isaac González.

     

  2. Électrophorèse d’ADN observée par rayons ultraviolets.

  3. Électrophorèse d’ADN observée par rayons ultraviolets.
     Un technicien de Rekom Biotech utilise le chromatographe pour la purification d’un biomarqueur.
  4. Une  techniciene de Rekom Biotech utilise le chromatographe pour la purification d’un biomarqueur.

Contact : Ana Camacho Páez. Directrice générale de Rekom Biotech. Tél. : 958 63 70 85. courriel : agcamacho@rekombiotech.com; site web : http://www.rekombiotech.com/es


Des chercheurs espagnols développent des biomarqueurs qui aideront à détecter la dengue et le West Nile virus

  • La ‘spin-off’ de l’Université de Grenade Rekom Biotech a dessiné des antigènes recombinants qui permettront aux hôpitaux et aux cliniques de réaliser une identification effective de ces deux maladies virales qui affectent des millions de personnes dans le monde.

Des chercheurs de l’Université de Grenade ont mis au point des biomarqueurs qui permettront d’élaborer des tests de diagnostic pour la détection de la dengue et du West Nile virus ou « virus du Nil Occidental », deux maladies infectieuses qui se transmettent à travers des moustiques. Leur travail permettra aux hôpitaux et aux cliniques de réaliser une identification effective de ces deux maladies virales qui affectent des millions de personnes dans le monde.

La ‘spin-off’ de l’Université de Grenade Rekom Biotech est une entreprise de base technologique formée par des partenaires provenant de l’entreprise privée et de la propre institution académique. Leur travail consiste à dessiner et élaborer le matériel nécessaire pour fabriquer les tests de diagnostic, dénommé « antigènes recombinants », qui sont des biomarqueurs de nombreuses maladies produites par des virus, des bactéries, des champignons et des parasites.

Épargner des vies et des ressources économiques

Ces produits peuvent être utilisés dans diverses plateformes ou systèmes de diagnostic in vitro existant dans l’actualité. Dans le cas de la dengue et du West Nile virus, les biomarqueurs obtenus par la ‘spin-off’ de l’Université de Grenade « pourraient servir à fabriquer des tests de diagnostic qui, à leur tour, aideraient à épargner de nombreuses vies et des ressources économiques », a expliqué la directrice générale de Rekom Biotech, Ana Camacho Páez.

L’entreprise grenadine offre également des services externes basés sur le dessin et la production de protéines et autres outils de biologie moléculaire. Actuellement, Rekom Biotech a signé des contrats de livraison pour fabriquer des antigènes recombinants de marque générique à deux entreprises américaines, et est sur le point de signer un autre contrat avec une entreprise allemande. Il a en catalogue 50 recombinants orientés au diagnostic in vitro de maladies infectieuses et offre des services I+D dans le Parc Technologique de la Santé de Grenade.

  1. Partie de l’équipe de la ‘spin-off’ Rekom Biotech. De gauche à droite, Pilar Bordetas, María José Barroso, Ana Camacho et Isaac González.

     

  2. Électrophorèse d’ADN observée par rayons ultraviolets.

  3. Électrophorèse d’ADN observée par rayons ultraviolets.
     Un technicien de Rekom Biotech utilise le chromatographe pour la purification d’un biomarqueur.
  4. Une  techniciene de Rekom Biotech utilise le chromatographe pour la purification d’un biomarqueur.

Contact : Ana Camacho Páez. Directrice générale de Rekom Biotech. Tél. : 958 63 70 85. courriel : agcamacho@rekombiotech.com; site web : http://www.rekombiotech.com/es


Spanish researchers design biomarkers for the detection of dengue and West Nile virus

  • The spin-off of the University of Granada Rekom Biotech designs recombinant antigens useful for the identification of these two viral diseases, which affect millions of people worldwide.

Researchers at the University of Granada have designed a set of biomarkers that can be used in diagnostic tests for the detection of dengue and the West Nile virus, two infectious diseases transmitted by the bite of a mosquito. These biomarkers can be used to identify these viral diseases, which affect millions of people worldwide.

The University of Granada spin-off Rekom Biotech is a biotech company composed of professionals from the private sector and from the University of Granada. Rekom Biotech is focused in the design and production of biological material used in diagnostic tests called “recombinant antigents”. These antigens are markers of a variety of diseases caused by viruses, bacteria, fungi and parasites.

Saving Lives and Money

These products can be used in the different in vitro diagnostic platforms or systems. Specifically, the biomarkers designed at the University of Granada spin off “might serve to design diagnostic tests that will help save lives and money”, states the Rekom Biotech general manager, Ana Camacho Páez.

The Andalusian company also supplies other services based on the design and production of proteins and other molecular biology tools.

Currently, Rekom Biotech supplies white label recombinant antigens to two American companies, and will start supplying biological material to a German company soon. Their catalogue includes more than 50 recombinant antigens for the in vitro diagnosis of a range of infectious diseases. This company conducts its R&D activities at the Health Technology Park in Granada, Spain.

1. Part of the team of the ‘spin-off’ Rekom Biotech. From left to right, Pilar Bordetas, María José Barroso, Ana Camacho and Isaac González.

 

2. Electrophoresis of DNA observed under ultraviolet light.

2. Electrophoresis of DNA observed under ultraviolet light.

 

3. A technician at Rekom Biotech uses the chromatogram for the purification of a biomarker.

3. A technician at Rekom Biotech uses the chromatogram for the purification of a biomarker.

Contacting person:
Ana Camacho Páez
Rekom Biotech General Manager
Phone number:+34 958 63 70 85 / 607 861 573
Web site: http://www.rekombiotech.com/es
E-mail address: agcamacho@rekombiotech.com