Pág. 30 – Opinión: ¿Nos hemos vuelto mansos?
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Humans continue to make their lives easier with drones. Small-sized unmanned aerial vehicles (UAVs) are already chasing after wanton criminals, inspecting contaminated power plants, even bringing us our order of delicious tacos. Now researchers at the University of Granada’s Department of Programming Languages and Computer Systems wants them to scan historical buildings and other points of interest so that they can be reproduced virtually in 3D.
For a job that would otherwise require large, costly, and risky cranes, the quadcopters will be equipped with stereoscopic cameras and distance sensors and will be able to reach places tough for a crane to get to. They will be able to fly within inches of the building surface or monuments to capture high-definition detail. The 2D images, which are geopositioned for precise location, will then be stitched together to create 3D representations.
The quadcopters are flown by controllers at the moment, but the team hopes someday to make them fully automated – just designate a structure and wait for the data. Right now, if a copter’s battery runs low the operator will guide it down for a landing and change the battery. Still, much easier than operating a crane or being lowered on a scaffold. Two quadrocopter versions are being tested, a «standard version,» supplied by Intelligenia Dynamics, and a modified version with better control.
At the moment the project is proof-of-principle to show that 3D architectural measurements with quadcopters are quick, cheap, and easy. There’s no indication yet what the 3D renderings will be used for, but using 3D printing to create models is an obvious application, as Autodesk is already doing. Or, seeing as they’re focusing on historic landmarks and monuments, maybe they want to give potential Granada visitors a virtual tour that will take their breath away.
[image credits: University of Granada]
images: University of Granada
video credit: Intelligenia Dynamics
Humans continue to make their lives easier with drones. Small-sized unmanned aerial vehicles (UAVs) are already chasing after wanton criminals, inspecting contaminated power plants, even bringing us our order of delicious tacos. Now researchers at the University of Granada’s Department of Programming Languages and Computer Systems wants them to scan historical buildings and other points of interest so that they can be reproduced virtually in 3D.
For a job that would otherwise require large, costly, and risky cranes, the quadcopters will be equipped with stereoscopic cameras and distance sensors and will be able to reach places tough for a crane to get to. They will be able to fly within inches of the building surface or monuments to capture high-definition detail. The 2D images, which are geopositioned for precise location, will then be stitched together to create 3D representations.
The quadcopters are flown by controllers at the moment, but the team hopes someday to make them fully automated – just designate a structure and wait for the data. Right now, if a copter’s battery runs low the operator will guide it down for a landing and change the battery. Still, much easier than operating a crane or being lowered on a scaffold. Two quadrocopter versions are being tested, a «standard version,» supplied by Intelligenia Dynamics, and a modified version with better control.
At the moment the project is proof-of-principle to show that 3D architectural measurements with quadcopters are quick, cheap, and easy. There’s no indication yet what the 3D renderings will be used for, but using 3D printing to create models is an obvious application, as Autodesk is already doing. Or, seeing as they’re focusing on historic landmarks and monuments, maybe they want to give potential Granada visitors a virtual tour that will take their breath away.
[image credits: University of Granada]
images: University of Granada
video credit: Intelligenia Dynamics
Leur technique unifie pour la première fois trois technologies: les dispositifs sans pilotes, les techniques de reconstruction 3D à partir de photographies et la représentation virtuelle de modèles afin de fournir une reconstruction fiable de modèles architectoniques à un coût peu élevé. L’objectif de ce projet mené par des scientifiques de l’université de Grenade, en Espagne, est d’obtenir un modèle 3D de la façade d’un édifice historique (par exemple, une cathédrale) automatiquement, avec un minimum d’intervention humaine et un coût inférieur aux techniques de scanérisation actuelles.
Les drones sont ainsi employés en raison de leur grande maniabilité, ils permettent de varier dynamiquement la position et la distance des senseurs qu’ils embarquent : caméras stéréoscopiques, laser de mesure… Un bâtiment peut être scanné verticalement en quelques heures sans appareillage supplémentaire. Il s’agit ensuite de reconstruire des modèles 3D à partir des différentes données récoltées. Les techniques de réalité virtuelle permettant actuellement de représenter des modèles tridimensionnels de haute qualité (similaire à ce que nous voyons au cinéma avec les films 3D).
Ce projet se centre autour de la digitalisation de façades et se propose de démontrer l’applicabilité de cette technologie à la digitalisation de tout volume architectural : édifices, bâtiments, travaux publics et monuments. Les premières reconstructions devraient être diffusées prochainement.
Sciences et Avenir.fr
29/05/2012
Leur technique unifie pour la première fois trois technologies: les dispositifs sans pilotes, les techniques de reconstruction 3D à partir de photographies et la représentation virtuelle de modèles afin de fournir une reconstruction fiable de modèles architectoniques à un coût peu élevé. L’objectif de ce projet mené par des scientifiques de l’université de Grenade, en Espagne, est d’obtenir un modèle 3D de la façade d’un édifice historique (par exemple, une cathédrale) automatiquement, avec un minimum d’intervention humaine et un coût inférieur aux techniques de scanérisation actuelles.
Les drones sont ainsi employés en raison de leur grande maniabilité, ils permettent de varier dynamiquement la position et la distance des senseurs qu’ils embarquent : caméras stéréoscopiques, laser de mesure… Un bâtiment peut être scanné verticalement en quelques heures sans appareillage supplémentaire. Il s’agit ensuite de reconstruire des modèles 3D à partir des différentes données récoltées. Les techniques de réalité virtuelle permettant actuellement de représenter des modèles tridimensionnels de haute qualité (similaire à ce que nous voyons au cinéma avec les films 3D).
Ce projet se centre autour de la digitalisation de façades et se propose de démontrer l’applicabilité de cette technologie à la digitalisation de tout volume architectural : édifices, bâtiments, travaux publics et monuments. Les premières reconstructions devraient être diffusées prochainement.
Sciences et Avenir.fr
29/05/2012
Leur technique unifie pour la première fois trois technologies: les dispositifs sans pilotes, les techniques de reconstruction 3D à partir de photographies et la représentation virtuelle de modèles afin de fournir une reconstruction fiable de modèles architectoniques à un coût peu élevé. L’objectif de ce projet mené par des scientifiques de l’université de Grenade, en Espagne, est d’obtenir un modèle 3D de la façade d’un édifice historique (par exemple, une cathédrale) automatiquement, avec un minimum d’intervention humaine et un coût inférieur aux techniques de scanérisation actuelles.
Les drones sont ainsi employés en raison de leur grande maniabilité, ils permettent de varier dynamiquement la position et la distance des senseurs qu’ils embarquent : caméras stéréoscopiques, laser de mesure… Un bâtiment peut être scanné verticalement en quelques heures sans appareillage supplémentaire. Il s’agit ensuite de reconstruire des modèles 3D à partir des différentes données récoltées. Les techniques de réalité virtuelle permettant actuellement de représenter des modèles tridimensionnels de haute qualité (similaire à ce que nous voyons au cinéma avec les films 3D).
Ce projet se centre autour de la digitalisation de façades et se propose de démontrer l’applicabilité de cette technologie à la digitalisation de tout volume architectural : édifices, bâtiments, travaux publics et monuments. Les premières reconstructions devraient être diffusées prochainement.
Sciences et Avenir.fr
29/05/2012
Un grupo formado por 17 científicos de 11 países distintos ha publicado el estudio más completo que se ha hecho hasta la fecha sobre los hielos, en el que se recogen cuáles son los temas más actuales que existen en un campo de investigación “que está al rojo vivo”, en palabras de sus autores.
Este trabajo, publicado en el último número de la prestigiosa revista Reviews of Modern Physics, realiza un recorrido por las distintas investigaciones que sobre el hielo se han realizado en los últimos tiempos a nivel mundial, relacionadas con las estructuras, variedades y procesos físicos y químicos en los que participa. Supone la revisión más completa hecha hasta este momento de todas las formas y propiedades del hielo.
Los científicos Julyan Cartwright e Ignacio Sainz Díaz, del Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra (centro mixto de la Universidad de Granada y el Consejo Superior de Investigaciones Científicas, CSIC), son dos de los participantes en este estudio. Afirma Sainz que el hielo “puede adoptar una gran multitud de formas cuando se prepara a muy bajas temperaturas y presiones, o cuando se encuentra en cometas, en planetas o en partículas de polvo en el espacio interestelar”.
Origen de la vida
El investigador afirma que el hielo “puede influir en la química y física de la atmósfera, formando parte de las nubes o en los procesos que tienen lugar en los grandes casquetes polares”. También puede interpretar “un papel esencial” en el cambio climático, e incluso en la explicación del origen de la vida, ya que algunas teorías sitúan el origen de los primeros seres vivos de la Tierra en los hielos oceánicos. En el artículo se analiza también la presencia de hielo en Marte o en cometas, por ejemplo.
Y es que el hielo es todavía “un gran desconocido, que podría dar explicación a numerosos temas científicos de actualidad”, explica Sainz. El artículo analiza también por qué todavía no se puede predecir una avalancha de nieve. “Los aludes se deben a un cambio en las estructuras internas de las partículas de hielo entre los límites de capas físicamente diferentes, que facilita el deslizamiento de una de ellas sobre la otra. Pero en la actualidad aún no podemos predecir la estabilidad física de esa capa”, apunta el investigador del Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra (IACT).
En este artículo han participado científicos de diversos centros de investigación del CSIC, como el propia IACT, el Instituto de Estructura de la Materia (IEM) o el Instituto de Astrofísica de Andalucía (IAA). Se originó tras un Proyecto Intramural de Frontera del CSIC, coordinado desde Granada, que permitió poner en contacto a varios grupos españoles de este organismo, y tuvo continuación con un proyecto de la European Science Foundation de la Unión Europea, que financió una reunión de trabajo (celebrada en la Universidad de Granada) que fue el germen de este artículo. La mayoría de los participantes en dicha reunión son firmantes de este trabajo, como representantes, en muchos casos, de la labor conjunta de los miembros de sus respectivos equipos de investigación.
Referencia bibliográfica:
El artículo está disponible en: http://rmp.aps.org/abstract/RMP/v84/i2/p885_1
Imagen 1: Mosaico de hielos en el mar de Weddell en la Antártida.
Imagen 2: Imagen de microscopía electrónica describiendo una morfología tipo vegetal de hielo crecido a bajas temperaturas y presiones. I
magen 3: Estructuras biomiméticas de hielo crecidos en un microscopio electrónico.
Contacto:
Ignacio Sainz Díaz
Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra
Teléfono: 958230000, Ext: 190136
Correo electrónico: ignacio.sainz@iact.ugr-csic.es
Gabinete de Comunicación – Secretaría General
UNIVERSIDAD DE GRANADA
Acera de San Ildefonso, s/n. 18071. Granada (España)
Tel. 958 243063 – 958 244278
Correo e. gabcomunicacion@ugr.es
Web: http://canal.ugr.es
Un grupo formado por 17 científicos de 11 países distintos ha publicado el estudio más completo que se ha hecho hasta la fecha sobre los hielos, en el que se recogen cuáles son los temas más actuales que existen en un campo de investigación “que está al rojo vivo”, en palabras de sus autores.
Este trabajo, publicado en el último número de la prestigiosa revista Reviews of Modern Physics, realiza un recorrido por las distintas investigaciones que sobre el hielo se han realizado en los últimos tiempos a nivel mundial, relacionadas con las estructuras, variedades y procesos físicos y químicos en los que participa. Supone la revisión más completa hecha hasta este momento de todas las formas y propiedades del hielo.
Los científicos Julyan Cartwright e Ignacio Sainz Díaz, del Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra (centro mixto de la Universidad de Granada y el Consejo Superior de Investigaciones Científicas, CSIC), son dos de los participantes en este estudio. Afirma Sainz que el hielo “puede adoptar una gran multitud de formas cuando se prepara a muy bajas temperaturas y presiones, o cuando se encuentra en cometas, en planetas o en partículas de polvo en el espacio interestelar”.
Origen de la vida
El investigador afirma que el hielo “puede influir en la química y física de la atmósfera, formando parte de las nubes o en los procesos que tienen lugar en los grandes casquetes polares”. También puede interpretar “un papel esencial” en el cambio climático, e incluso en la explicación del origen de la vida, ya que algunas teorías sitúan el origen de los primeros seres vivos de la Tierra en los hielos oceánicos. En el artículo se analiza también la presencia de hielo en Marte o en cometas, por ejemplo.
Y es que el hielo es todavía “un gran desconocido, que podría dar explicación a numerosos temas científicos de actualidad”, explica Sainz. El artículo analiza también por qué todavía no se puede predecir una avalancha de nieve. “Los aludes se deben a un cambio en las estructuras internas de las partículas de hielo entre los límites de capas físicamente diferentes, que facilita el deslizamiento de una de ellas sobre la otra. Pero en la actualidad aún no podemos predecir la estabilidad física de esa capa”, apunta el investigador del Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra (IACT).
En este artículo han participado científicos de diversos centros de investigación del CSIC, como el propia IACT, el Instituto de Estructura de la Materia (IEM) o el Instituto de Astrofísica de Andalucía (IAA). Se originó tras un Proyecto Intramural de Frontera del CSIC, coordinado desde Granada, que permitió poner en contacto a varios grupos españoles de este organismo, y tuvo continuación con un proyecto de la European Science Foundation de la Unión Europea, que financió una reunión de trabajo (celebrada en la Universidad de Granada) que fue el germen de este artículo. La mayoría de los participantes en dicha reunión son firmantes de este trabajo, como representantes, en muchos casos, de la labor conjunta de los miembros de sus respectivos equipos de investigación.
Referencia bibliográfica:
El artículo está disponible en: http://rmp.aps.org/abstract/RMP/v84/i2/p885_1
Imagen 1: Mosaico de hielos en el mar de Weddell en la Antártida.
Imagen 2: Imagen de microscopía electrónica describiendo una morfología tipo vegetal de hielo crecido a bajas temperaturas y presiones. I
magen 3: Estructuras biomiméticas de hielo crecidos en un microscopio electrónico.
Contacto:
Ignacio Sainz Díaz
Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra
Teléfono: 958230000, Ext: 190136
Correo electrónico: ignacio.sainz@iact.ugr-csic.es
Gabinete de Comunicación – Secretaría General
UNIVERSIDAD DE GRANADA
Acera de San Ildefonso, s/n. 18071. Granada (España)
Tel. 958 243063 – 958 244278
Correo e. gabcomunicacion@ugr.es
Web: http://canal.ugr.es
Un grupo formado por 17 científicos de 11 países distintos ha publicado el estudio más completo que se ha hecho hasta la fecha sobre los hielos, en el que se recogen cuáles son los temas más actuales que existen en un campo de investigación “que está al rojo vivo”, en palabras de sus autores.
Este trabajo, publicado en el último número de la prestigiosa revista Reviews of Modern Physics, realiza un recorrido por las distintas investigaciones que sobre el hielo se han realizado en los últimos tiempos a nivel mundial, relacionadas con las estructuras, variedades y procesos físicos y químicos en los que participa. Supone la revisión más completa hecha hasta este momento de todas las formas y propiedades del hielo.
Los científicos Julyan Cartwright e Ignacio Sainz Díaz, del Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra (centro mixto de la Universidad de Granada y el Consejo Superior de Investigaciones Científicas, CSIC), son dos de los participantes en este estudio. Afirma Sainz que el hielo “puede adoptar una gran multitud de formas cuando se prepara a muy bajas temperaturas y presiones, o cuando se encuentra en cometas, en planetas o en partículas de polvo en el espacio interestelar”.
Origen de la vida
El investigador afirma que el hielo “puede influir en la química y física de la atmósfera, formando parte de las nubes o en los procesos que tienen lugar en los grandes casquetes polares”. También puede interpretar “un papel esencial” en el cambio climático, e incluso en la explicación del origen de la vida, ya que algunas teorías sitúan el origen de los primeros seres vivos de la Tierra en los hielos oceánicos. En el artículo se analiza también la presencia de hielo en Marte o en cometas, por ejemplo.
Y es que el hielo es todavía “un gran desconocido, que podría dar explicación a numerosos temas científicos de actualidad”, explica Sainz. El artículo analiza también por qué todavía no se puede predecir una avalancha de nieve. “Los aludes se deben a un cambio en las estructuras internas de las partículas de hielo entre los límites de capas físicamente diferentes, que facilita el deslizamiento de una de ellas sobre la otra. Pero en la actualidad aún no podemos predecir la estabilidad física de esa capa”, apunta el investigador del Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra (IACT).
En este artículo han participado científicos de diversos centros de investigación del CSIC, como el propia IACT, el Instituto de Estructura de la Materia (IEM) o el Instituto de Astrofísica de Andalucía (IAA). Se originó tras un Proyecto Intramural de Frontera del CSIC, coordinado desde Granada, que permitió poner en contacto a varios grupos españoles de este organismo, y tuvo continuación con un proyecto de la European Science Foundation de la Unión Europea, que financió una reunión de trabajo (celebrada en la Universidad de Granada) que fue el germen de este artículo. La mayoría de los participantes en dicha reunión son firmantes de este trabajo, como representantes, en muchos casos, de la labor conjunta de los miembros de sus respectivos equipos de investigación.
Referencia bibliográfica:
El artículo está disponible en: http://rmp.aps.org/abstract/RMP/v84/i2/p885_1
Imagen 1: Mosaico de hielos en el mar de Weddell en la Antártida.
Imagen 2: Imagen de microscopía electrónica describiendo una morfología tipo vegetal de hielo crecido a bajas temperaturas y presiones. I
magen 3: Estructuras biomiméticas de hielo crecidos en un microscopio electrónico.
Contacto:
Ignacio Sainz Díaz
Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra
Teléfono: 958230000, Ext: 190136
Correo electrónico: ignacio.sainz@iact.ugr-csic.es
Gabinete de Comunicación – Secretaría General
UNIVERSIDAD DE GRANADA
Acera de San Ildefonso, s/n. 18071. Granada (España)
Tel. 958 243063 – 958 244278
Correo e. gabcomunicacion@ugr.es
Web: http://canal.ugr.es
Diseñar el jardín de la casa suele ser un momento de recreación y descanso, pero para las personas que sufren alergias se convierte en un problema. Por esta razón, un grupo de científicos de la Universidad de Cambridge ha trabajado durante años para ofrecer a este colectivo una alternativa con una consigna: un alérgico puede tener su propio jardín.Los especialistas han analizado de forma detallada cada una de las plantas para evitar que al momento de instalar el primer jardín no sea nocivo a la salud de las personas que padecen de alergia al polen u otro material que desprendan las plantas.Los expertos señalan que entre las causas que favorecen la alergia en las ciudades debido a la existencia de plantas ornamentales, destacan las condiciones meteorológicas favorables para la emisión y presencia de polen en la atmósfera. Las flores más convenientes para crear un jardín para las personas alérgicas, son las que poseen un polen espeso y son polinizadas por insectos.Entre las plantas que recomiendan los científicos hasta el momento son los arbustos, magnolio (Magnolia grandiflora), almez (Celtis australis), falso pimentero (Schinus molle), naranjos y limoneros, aromáticas (lavandas, romeros y salvias. En España, Paloma Cariñanos González, investigadora del Departamento de Botánica de la Universidad de Granada, hace tiempo que propuso diseñar jardines pensando en los alérgicos. De forma paralela, especialistas de la Sociedad Andaluza de Alergología e Inmunología Clínica (AlergoSur) han advertido de que la desertización producida por el cambioclimático y la contaminación están aumentando lo casos de alergias entre la población. Se calcula que el 7% de la población mundial sufre algún tipo de alergia, cifra que se multiplica en el caso de los niños. La alergia es un trastorno que se caracteriza por tener sensibilidad a ciertos factores ya sean ambientales como alimenticios.
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Diseñar el jardín de la casa suele ser un momento de recreación y descanso, pero para las personas que sufren alergias se convierte en un problema. Por esta razón, un grupo de científicos de la Universidad de Cambridge ha trabajado durante años para ofrecer a este colectivo una alternativa con una consigna: un alérgico puede tener su propio jardín.Los especialistas han analizado de forma detallada cada una de las plantas para evitar que al momento de instalar el primer jardín no sea nocivo a la salud de las personas que padecen de alergia al polen u otro material que desprendan las plantas.Los expertos señalan que entre las causas que favorecen la alergia en las ciudades debido a la existencia de plantas ornamentales, destacan las condiciones meteorológicas favorables para la emisión y presencia de polen en la atmósfera. Las flores más convenientes para crear un jardín para las personas alérgicas, son las que poseen un polen espeso y son polinizadas por insectos.Entre las plantas que recomiendan los científicos hasta el momento son los arbustos, magnolio (Magnolia grandiflora), almez (Celtis australis), falso pimentero (Schinus molle), naranjos y limoneros, aromáticas (lavandas, romeros y salvias. En España, Paloma Cariñanos González, investigadora del Departamento de Botánica de la Universidad de Granada, hace tiempo que propuso diseñar jardines pensando en los alérgicos. De forma paralela, especialistas de la Sociedad Andaluza de Alergología e Inmunología Clínica (AlergoSur) han advertido de que la desertización producida por el cambioclimático y la contaminación están aumentando lo casos de alergias entre la población. Se calcula que el 7% de la población mundial sufre algún tipo de alergia, cifra que se multiplica en el caso de los niños. La alergia es un trastorno que se caracteriza por tener sensibilidad a ciertos factores ya sean ambientales como alimenticios.
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Diseñar el jardín de la casa suele ser un momento de recreación y descanso, pero para las personas que sufren alergias se convierte en un problema. Por esta razón, un grupo de científicos de la Universidad de Cambridge ha trabajado durante años para ofrecer a este colectivo una alternativa con una consigna: un alérgico puede tener su propio jardín.Los especialistas han analizado de forma detallada cada una de las plantas para evitar que al momento de instalar el primer jardín no sea nocivo a la salud de las personas que padecen de alergia al polen u otro material que desprendan las plantas.Los expertos señalan que entre las causas que favorecen la alergia en las ciudades debido a la existencia de plantas ornamentales, destacan las condiciones meteorológicas favorables para la emisión y presencia de polen en la atmósfera. Las flores más convenientes para crear un jardín para las personas alérgicas, son las que poseen un polen espeso y son polinizadas por insectos.Entre las plantas que recomiendan los científicos hasta el momento son los arbustos, magnolio (Magnolia grandiflora), almez (Celtis australis), falso pimentero (Schinus molle), naranjos y limoneros, aromáticas (lavandas, romeros y salvias. En España, Paloma Cariñanos González, investigadora del Departamento de Botánica de la Universidad de Granada, hace tiempo que propuso diseñar jardines pensando en los alérgicos. De forma paralela, especialistas de la Sociedad Andaluza de Alergología e Inmunología Clínica (AlergoSur) han advertido de que la desertización producida por el cambioclimático y la contaminación están aumentando lo casos de alergias entre la población. Se calcula que el 7% de la población mundial sufre algún tipo de alergia, cifra que se multiplica en el caso de los niños. La alergia es un trastorno que se caracteriza por tener sensibilidad a ciertos factores ya sean ambientales como alimenticios.
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