Théâtre universitaire : Le grand prix pour la pièce ‘La vie est un rêve’ de l’Université de Grenade

Le rideau est tombé sur la 17ème édition du Festival international du théâtre universitaire d’Agadir organisé, sous le Haut patronage de S.M. le Roi Mohammed VI, par la Faculté des lettres et des sciences humaines de l’Université Ibn Zohr sous le thème: »Acculturation et diversité des expériences». Cette édition a vu le couronnement de la pièce »La vie est un rêve»de l’atelier Tchékov de l’Université de Grenade (Espagne) qui a remporté de le grand prix du Festival.
Le prix de la mise en scène a été attribué ex aequo à Vagba Obou De Sales (Côte d’Ivoire) pour la pièce »La rupture» et Mahmoud Hijazi (Egypte) pour la pièce »La bêtise terrestre».
Le prix du jury, présidé par l’actrice Rachida Manar et composé d’Abdelmajid Chkiri et Brahim Hanaii, est allé à la pièce »Réserve de porc»de l’atelier Comédie noire de la FLSH Université Ibn Zohr Agadir ex aequo avec la pièce »L’oiseau libre» de l’atelier FSJES de Salé.
Le prix de la cohésion de groupe est allé à la pièce »Faites de beaux rêves»de l’atelier Sophocle de la Faculté de droit de l’Université Cadi Ayad Marrakech, le prix de la scénographie à la pièce»Patrie ou patrie» de la Faculté Al Bayane (Soudan), et le prix de la recherche théâtrale à la pièce»Kojito» de la Faculté polydisciplinaire de Tétouan.
Par ailleurs, le jury du festival a attribué le prix de la meilleure interprétation féminine à Bosson Etienne Jeanne (Côte d’Ivoire) pour son rôle dans la pièce »La rupture» et le prix de la meilleure interprétation masculine à Mohamed Allal (Egypte) pour son rôle dans la pièce»La bêtise terrestre».
Le jury a par ailleurs a présenté ses félicitations aux acteurs suivants : Aboubakr Fayçal Oubaïd (Soudan), Siham Guessouss de l’atelier Fantasia de Casablanca, Hassan Bezmani de l’atelier Sophocle de Marrakech, Soufiane Messaoudi de la FSJES de Salé, Mohamed Mahmoud de la FP de Tétouan, Kamal Al Idrissi de l’atelier Mohamed Afifi de Ben M’sik-Casablanca et Brahim Tinghlil de l’atelier Comédie noire de la Faculté des lettres d’Agadir.
Cette 17ème édition du FITUA a été couronnée par l’hommage rendu à trois artistes marocains: Siham Assif, Rabie Kati et Abdellatif Âatif qui étaient tous très émus par le grand honneur qui leur a été fait par le festival et partant l’Université Ibn Zohr d’Agadir. Siham Assif a difficilement improvisé un mot de remerciements tant son émotion était grande au point d’avoir eu quelques larmes de joie. Après avoir remercié les festivaliers, la FLSH et l’Université Ibn Zohr pour la chaleur de l’accueil qui lui a été réservé et rappelé ses débuts, elle finit par dire à l’adresse du public que malgré tout le succès qu’elle a pu remporter jusqu’à présent, elle n’en finit pas d’apprendre. Le public était très ému de l’entendre dire cela. C’est ce qu’on appelle faire preuve d’humilité. Il en fut tout autant pour ses deux collègues. Rabie Kati qui a même reconnu que c’est le prix hommage qui est fait depuis qu’il exerce le métier d’artiste. C’est dire qu’il n’oubliera jamais le FITUA et la ville d’Agadir. Grande star masculine du jeune cinéma amazigh, Abdellatif Âatif, s’est dit très heureux de figurer parmi les artistes honorés par le Festival du théâtre universitaire d’Agadir et l’Université Ibn Zohr. Il est à noter enfin qu’une convention de coopération entre l’Université Ibn Zohr et son homologue du Soudan a été signée entre les deux parties lors de la cérémonie de clôture du festival.
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Fast FOOD, fast DÉPRESSION

Ces scientifiques de l’Université de Grenade confirment le lien entre la restauration rapide et la dépression. Consommer des fast ou junk foods, des pâtisseries commerciales, des hot-dogs ou des pizzas augmente de 51% le risque (ou l’association ?) de dépression. Des conclusions publiées dans la revue Public Health Nutrition.

Les chercheurs des Universités Las Palmas de Gran Canaria et de Grenade vont même jusqu’à démontrer une relation dose-réponse. Plus on consomme de fast food, plus le risque de dépression est élevé, explique Almudena Sánchez-Villegas, l’auteur principal de l’étude.

Ceux-là mêmes qui se nourrissent de fast food sont plus susceptibles d’être célibataires, moins actifs et d’avoir au-delà de mauvaises habitudes alimentaires, un mode de vie peu sain. Leur régime alimentaire laisse de côté fruits, noix, poisson, légumes et huile d’olive. En revanche, ces consommateurs fument et travaillent plus de 45 heures par semaine…

Fast food associé à une augmentation de 42 à 51% du risque de dépression : Cette large étude a porté sur 8.964 personnes participant à l’étude SUN Project, jamais diagnostiquées avec la dépression ou sous antidépresseurs, et suivies sur plus de 6 mois. Parmi les participants, 493 ont été diagnostiquées avec une dépression ou ont commencé à prendre des antidépresseurs. De précédents résultats du SUN project avaient été publiés dans la revue PLoS One, mentionnant 657 nouveaux cas de dépression sur 12.059 personnes analysées sur plus de 6 mois. Les personnes consommant de la restauration rapide présentent un risque accru de 51% de risque de dépression dans cette nouvelle analyse, vs 42% dans la précédente.

Même en petite quantité…Le Dr Sánchez-Villegas conclut que si bien que d’autres études sont nécessaires, la consommation de ce type d’aliments doit être prise au sérieux et en considération compte-tenu de ses nombreuses implications sur la santé (obésité, maladies cardio-vasculaires) mais aussi sur l’équilibre mental. « Même consommé en petites quantités, le fast food est lié à un risque significativement plus élevé de développer une dépression ».

La dépression affecte 121 millions de personnes à travers le monde. On en sait encore peu sur le rôle que l’alimentation dans le développement des troubles dépressifs. Des études antérieures suggèrent que certains nutriments ont un rôle préventif comme les vitamines du groupe B, les acides gras oméga-3 les acides gras et l’huile d’olive. Et le régime méditerranéen apparaît comme lié à un risque moindre de dépression.

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Investigadores de la UGR estudian si la testosterona influye en el comportamiento económico

Investigadores del grupo Globe de la Universidad de Granada (UGR) han analizado factores biológicos y de comportamiento para determinar cómo se toman las decisiones económicas. Los resultados del estudio ‘Organizing effects of Testosterone and economic behavior: not just risk taking’, publicados en PLoS ONE, muestran que el razonamiento abstracto juega un papel muy importante en las decisiones bajo certidumbre y todo ello está relacionado con la exposición fetal a la testosterona.

Para llegar a esta conclusión los investigadores han utilizado dos tipos de pruebas para medir la inteligencia: el test de Raven, que evalúa la capacidad de razonamiento abstracto y, por otra parte, la toma de decisiones con incertidumbre, es decir, jugaron loterías. «Se les preguntaba a los participantes por ejemplo: ¿prefieres ganar 100 euros con probabilidad de ganarlos o perderlos o, por el contrario, prefieres ganar 5 euros con seguridad?», aclara el investigador principal del proyecto, Pablo Brañas Garza.

La novedad del estudio radica en añadir a estas pruebas de comportamiento otras para demostrar las diferencias biológicas en función de la exposición de testosterona del feto. En concreto, utilizaron el denominado digit ratio, que es el cociente entre el tamaño de los dedos 2 (índice) y 4 (anular). Este índice es un biomarcador de la cantidad de contaminación hormonal (testosterona/estrógenos) que el feto recibe en el primer trimestre de la gestación, es decir, dentro del vientre de la madre. La cantidad de testosterona recibida tiene un efecto en el desarrollo del dedo 4 mientras que los estrógenos afectan el crecimiento del D2.

Dentro de la bolsa –o membrana corial– el feto no sólo recibe contaminación de testosterona de la madre, también de sus propias emisiones. Los varones reciben más que las niñas, ya que reciben emisiones maternas y propias. Esto se traduce en menor digit radio entre los hombres.

«El digit radio es importante porque durante el primer trimestre se forma el cerebro –y los demás órganos– y la contaminación hormonal causa efectos permanentes en la formación del cerebro (mejores habilidades para las matemáticas o la música). Además dicha contaminación afecta la manera en que se asimila la testosterona ya de adultos. Muchos de estos efectos se trasladarán posteriormente al comportamiento de los individuos en su vida adulta», sostiene Brañas Garza.

Estudios de otros autores apuntan que personas con menor D2:D4 tiene mayor habilidad para la música, para los deportes, para las matemáticas e incluso más éxito en los negocios. Además los que tienen menor índice parece que son más arriesgados, más rápidos y decididos.

DECISIONES ARRIESGADAS

Sin embargo, los expertos de la UGR no sólo constatan que aquéllos con menor D2:D4 son más propensos a tomar decisiones arriesgadas sino que «aislan» el efecto de la inteligencia en estas decisiones. «Para ello, usamos el test de Sobel-Goodman que nos permite descomponer el efecto que la testosterona tiene sobre las decisiones arriesgadas y sobre la inteligencia. ¿Qué quiere decir la mediación? Como la exposición fetal a la testosterona afecta tanto a las decisiones sobre riego como a la inteligencia, la mediación nos permite separar los efectos y ver el papel directo de la testosterona en el riesgo y el indirecto (a través de la inteligencia)», explica Brañas Garza.

Los expertos han comprobado que todo este proceso de mediación sólo aparece entre hombres y no entre mujeres, en una muestra de 191 estudiantes de la Universidad de Granada, entre los que 117 eran mujeres, analizados en 2009. «De hecho al repetir el análisis para las muestras de mujeres y hombres separadamente, este test nos da un valor de 66% para los hombres y uno muy menor (no significativo) para las mujeres. Hay un impacto del 66% del efecto de la testosterona fetal en las decisiones arriesgadas que viene influenciada por la inteligencia», explica.

En suma, la exposición fetal a la testosterona afecta de manera muy diferente a hombres y a las mujeres.»El digit ratio es una diferencia biológica más entre hombres y mujeres que se manifiesta en habilidades y preferencias y, en muchos casos, en la manera de enfrentarse a problemas y tomar decisiones», matiza el experto y añade: «Esto no quiere decir que la educación no importe, sino que la biología es otro aspecto a tener en cuenta. Cuando hablemos de aspectos institucionales o de la familia sería importante que tuviésemos en cuenta que la biología también está allí, presente antes de empezar con la educación», apostilla.

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Oasis mexicanos en peligro

Los oasis de México albergan una importante riqueza ambiental, cultural, social y económica que debe medirse y conservarse, alertan expertos.

De unos 200 oasis que tiene México, 184 están en Baja California Sur y el resto en Baja California Norte y Sonora, estados del extremo noroccidental de este país, según datos de la Secretaría (ministerio) de Medio Ambiente y Recursos Naturales.

«Su condición es de alta vulnerabilidad ante la modernidad. Todos están amenazados, no se les atiende porque no se les reconoció durante mucho tiempo su valor patrimonial y sus prácticas agrícolas», dijo a Tierramérica la investigadora Micheline Cariño, de la estatal Universidad Autónoma de Baja California Sur (UABCS).

«Son diversos entre ellos y sus problemas son distintos, por eso debe atendérseles con mucho cuidado», apuntó la experta.

Es que los oasis son complejos ecosistemas. Afloramientos de agua en zonas desérticas, con una variedad propia de flora y fauna, su factor distintivo es la presencia hídrica natural.

Los oasis proporcionan refugio a especies animales de zonas norteñas y templadas tropicales, y son estaciones de abastecimiento de aves migratorias y puntos de atracción para toda la fauna cercana.

No suelen tener más de dos kilómetros cuadrados y en ellos se desarrollan cultivos de frutas y hortalizas –dátiles, uvas, cítricos, tomate y lechuga–, y crianza de vacas y cabras.

Contribuyen, además, a la captura de dióxido de carbono, uno de los gases responsables del aumento de la temperatura planetaria.

El oasis y sus servicios económicos y de supervivencia en zonas áridas están históricamente vinculados a las culturas árabe y amazigh (bereber). Como sitios físicos poblados, los oasis mexicanos fueron establecidos por misioneros jesuitas y «rancheros» (hacendados) que trajeron de España esa tradición a partir del siglo XVII.

Cariño es fundadora de la Red Interdisciplinaria para el Desarrollo Integral y Sostenible de los Oasis Sudcalifornianos (Ridisos), formada en 2006 por científicos de la UABCS, el Centro de Investigaciones Biológicas del Noroeste, la estadounidense University of San Diego y las españolas Universidad Miguel Hernández de Elche y Universidad de Granada para estudiar las aristas ambientales, culturales y sociales de esos sitios.

Un artículo publicado en 2003 en la revista Anales del Instituto de Biología de la Universidad Nacional Autónoma de México (UNAM), subrayó la importancia «de los oasis para las aves, tanto residentes (sic), pues estos representan sitios favorables para la permanencia de especies locales, como migratorias e invernantes».

El texto «Observaciones recientes de aves en el oasis de La Purísima, Baja California Sur, México», de investigadores de la UABCS, dio cuenta de la observación de 60 especies.

En Baja California Sur el gobierno federal invierte desde 2011 unos 45 millones de dólares en la protección de esa riqueza natural.

Pero son ecosistemas «poco identificados. Son reservorios de muchas especies y proveen de agua de calidad a las comunidades», dijo a Tierramérica el investigador Gerardo Rodríguez, del Instituto de Ecología de la estatal UNAM.

Cuando llueve en esas zonas, las áreas bajas se inundan. El agua, al retraerse, da pie a la aparición de oasis que crean comunidades vegetales llamadas retenes y propician la aparición de peces, crustáceos e invertebrados.

«Terminan siendo el único lugar donde se mantienen ciertas especies hasta la siguiente época de lluvias», explicó Rodríguez, dedicado a los ecosistemas que se forman en las tierras bajas de la Península de Yucatán, al sureste de la Ciudad de México.

Los oasis soportan diferentes amenazas. La población humana se marcha por falta de oportunidades productivas. Llegan las inversiones turísticas e inmobiliarias. El agua dulce se sobreexplota, se talan las especies forestales y se introducen especies invasoras de peces y plantas que acaban con las endémicas.

Según Rodríguez, «la amenaza principal es la poca planeación del uso del agua». Hay un «consumo desmedido» y no hay «ninguna iniciativa para recargas o tratamiento».

La Ridisos está concluyendo una investigación sobre el conocimiento, valoración y desarrollo sustentable de los oasis, centrada en el municipio de Comondú, uno de los humedales más amenazados de Baja California Sur.

Es uno de los 55 humedales inscriptos en la Convención sobre los Humedales de Importancia Internacional, conocida como Convención de Ramsar, y cuenta con siete especies de aves y 18 de reptiles bajo algún estatus de protección nacional.

La estrategia gubernamental de «intervenir aceleradamente no ha tenido el efecto más deseable para atender la problemática concisa y precisa de los oasis… No se dieron el tiempo para hacer un diagnóstico sobre la problemática de cada oasis y definir la forma apropiada de intervenir en cada uno», dijo Cariño.

Los expertos proponen definir y tipificar los oasis y elaborar un inventario. Además, también quieren catalogar como patrimonio cultural y natural de México las regiones serranas de Baja California Sur.

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Une étude met en évidence le lien entre la forte consommation de restauration rapide et le risque élevé de dépression

Selon une nouvelle étude espagnole, manger fréquemment dans les établissements de restauration rapide augmenterait les risques de souffrir d’une dépression. Présentés dans la revue Public Health Nutrition, les résultats montrent une corrélation entre la dépression et la malbouffe, comme les hamburgers, les pizzas et les hot-dogs, ainsi que les produits de boulangerie industrielle comme les croissants et les beignets. Ainsi, les personnes consommant régulièrement des aliments provenant de la restauration rapide et des produits de pâtisserie industrielle ont 51% de risque de souffrir de dépression par rapport à ceux qui n’en consomment pas.

Des chercheurs de l’université de Las Palmas de Gran Canaria à l’université de Grenade ont également identifié une association sur la quantité et la réaction. «Plus la consommation de ces aliments est élevée, plus il est de même pour le risque de dépression», selon les dires d’Almudena Sánchez-Villegas de l’université de Las Palmas de Gran Canaria repris par le Scientific Information and News Service (SINC).

Les sujets qui consommaient principalement des aliments issus de la restauration rapide et des produits de boulangerie commerciaux sont généralement des célibataires, qui n’ont pas de bonnes habitudes alimentaires et ne sont pas très actifs. Généralement ces personnes fument et travaillent plus de 45 heures par semaine.

L’équipe explique que les résultats sont tout aussi conclusifs en ce qui concerne la consommation de produits de pâtisserie industrielle. «Même une faible consommation est associée à un risque plus élevé de développer une dépression», commente le Dr Sánchez-Villegas.

L’étude a utilisé les données provenant du projet SUN du programme Diet and Lifestyle Tracking de l’université de Navarre. Les 8 964 sujets ayant participé à l’étude n’avaient jamais souffert de dépression et aucun médicament antidépresseur ne leur avait été prescrit. Les chercheurs ont évalué les participants pendant environ six ans. Pour un total de 493 sujets, une dépression a été diagnostiquée ou des médicaments antidépresseurs ont été prescrits.

Les résultats de cette dernière étude étayent ceux du projet SUN de 2011, qui avaient été publiés dans la revue PLoS ONE. Des 12 059 sujets évalués par l’équipe du projet SUN, 657 nouveaux cas de dépression ont été identifiés. Ils ont découvert un risque de 42% associé à la malbouffe, ce qui est plus faible par rapport à l’étude actuelle.

«Bien que des études supplémentaires sont nécessaires, la consommation de ces aliments devrait être contrôlée en raison de ses implications sur la santé (obésité, maladies cardiovasculaires) et le bien-être mental», commente le Dr Sánchez-Villegas.

Plus de 121 millions de personnes du monde entier souffrent de dépression. Ainsi, la dépression constitue l’une des principales causes mondiales de la baisse de l’espérance de vie corrigée de l’incapacité. Dans les pays à revenus faibles et intermédiaires, la dépression est la principale cause d’une faible espérance de vie corrigée de l’incapacité.

Mais les informations manquent sur la manière dont l’alimentation influence le développement des troubles de dépression. Des études antérieures indiquent que certains nutriments jouent un rôle préventif, comme les acides gras d’oméga 3, les vitamines B et l’huile d’olive. Les données suggèrent qu’une alimentation saine, comme le régime méditerranéen, est associée à un risque plus faible de développer un trouble dépressif.

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Mangi sempre al fast food? Resterai single e depresso

Chi mangia spesso pasti veloci o cibi non sani ha più probabilità di rimanere single e sviluppare cattive abitudini alimentari o stili di vita malsani. Ma aumenta anche il rischio di depressione (+ 50%). Lo studio pubblicato su Public Health Nutrition Journal.

Mangiare al fast food non fa male solo a girovita e fegato, come numerosi studi hanno già indicato. I pasti consumati alla svelta come hamburger, hot dog e pizza, o gli spuntini dolci comprati fuori pasto per strada come ciambelle, muffin o cornetti, potrebbero addirittura aumentare il rischio di depressione di oltre il 50%. Questo quanto emerge da uno studio http://journals.cambridge.org/action/displayAbstract?fromPage=online&aid=8352058&fulltextType=RA&fileId=S1368980011001856dell’Università di Las Palmas de Gran Canaria e dell’Università di Granada, pubblicato su Public Health Nutrition Journal.

Secondo lo studio, inoltre, il rischio riscontrato è anche dose dipendente. «In altre parole vuol dire che più cibi di questo tipo si mangiano più aumentano le possibilità che insorgano patologie dell’umore», ha spiegato Almudena Sánchez-Villegas, primo autore dello studio. «In ogni caso anche un consumo basso di questi alimenti è collegato ad un aumento significativo di sviluppare disturbi depressivi».
Lo studio è stato condotto su un campione di 8964 persone arruolate per il SUN Project, uno studio dell’Università della Navarra che si prefigge lo scopo di tracciare una mappa delle abitudini alimentari e di vita in Spagna. I partecipanti erano scelti in modo che tra loro non risultassero persone con diagnosi di depressione o che avessero assunto antidepressivi nella vita. Queste persone venivano seguite per sei mesi, e nell’arco dello studio 493 sono state ritenute clinicamente depresse e hanno cominciato ad assumere farmaci per trattare la condizione. Tra questi gli habitué del take away e del pranzo veloce risultavano avere il 51% di possibilità in più di sviluppare patologie dell’umore rispetto agli altri.
Ma non solo: i partecipanti allo studio che hanno dichiarato di mangiare più spesso al fast food, erano anche quelli con le maggiori probabilità di essere single, fumatori, meno attivi, e dalle abitudini alimentari peggiori, come l’assenza nella dieta di frutta, pesce, verdura e olio d’oliva. Una spiegazione, secondo i ricercatori, è quella che queste persone sono anche quelle che lavorano di più (oltre 45 ore a settimana).

Questi dati si aggiungono e confermano quelli già pubblicati sempre nell’ambito del progetto Sun nel 2011, su PLoS One: quello studio http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0016268aveva trovato una correlazione più bassa con il cibo del fast food, del 42%.

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Il trucco per non ammalarsi? Non pensare al passato con rabbia

La ricetta per garantirsi una buona salute è composta da tre ingredienti fondamentali: imparare da ciò che ci è successo nel passato, fare progetti per il futuro e, soprattutto, non trascurare il presente. A darla sono gli esperti dell’Università di Granada, secondo cui pensare al passato con rabbia può essere talmente dannoso per la salute da aumentare la probabilità di ammalarsi.
I ricercatori sono giunti a questa conclusione chiedendo a 50 uomini e donne cosa pensassero del loro presente e del loro futuro, della loro salute fisica e psicologica e della qualità della loro vita. L’analisi delle risposte ricevute ha portato a concludere che continuare a pensare alle opportunità perse o riflettere con amarezza su come si è stati trattati nel passato diminuisce la qualità della vita ed espone a un maggior rischio di ammalarsi. Non solo, la rabbia verso ciò che è stato rende più sensibili al dolore e aumenta la tendenza alla depressione e a comportamenti di tipo ansioso.
Cristian Oyanadel, coautore della ricerca, ha sottolineato che:
quando le persone sono negative riguardo al passato hanno anche un atteggiamento pessimista o fatalista nei confronti del presente.
Tutto ciò, spiega il ricercatore, si traduce in una maggiore difficoltà nel relazionarsi con gli altri e ad affrontare gli sforzi fisici quotidiani. Diversa la situazione per chi è totalmente proiettato nel futuro: fare progetti e porsi degli obiettivi non mette in pericolo la salute. Ma anche in questo caso bisogna fare attenzione, perché un atteggiamento di questo tipo può limitare la capacità di gioire di ciò che già si ha. Per essere felici, insomma, è meglio imparare a godersi il presente.
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Exposición fetal a la testosterona influye en la toman las decisiones económicas

Investigadores del grupo Globe de la Universidad de Granada (UGR) han analizado qué factores biológicos y de comportamiento determinan la toma de decisiones en el ámbito de la economía, así han podido observar que el razonamiento abstracto juega un papel muy importante en las decisiones bajo certidumbre y todo ello está relacionado con la exposición fetal a la testosterona.

Para llegar a esta conclusión los investigadores, que han publicado el estudio en la revista ‘PLoS ONE’, han utilizado dos tipos de pruebas para medir la inteligencia. Por un lado, el test de Raven, que evalúa la capacidad de razonamiento abstracto y, por otra parte, la toma de decisiones con incertidumbre, es decir, jugaron loterías.

«Se les preguntaba a los participantes por ejemplo: ¿prefieres ganar 100 euros con probabilidad de ganarlos o perderlos o, por el contrario, prefieres ganar 5 euros con seguridad?», explica el investigador principal del proyecto, Pablo Brañas Garza.

Para demostrar las diferencias biológicas en función de la exposición de testosterona del feto, utilizaron el denominado digit ratio, que es el cociente entre el tamaño de los dedos índice y anular. Este índice es un biomarcador de la cantidad de contaminación hormonal (testosterona/estrógenos) que el feto recibe en el primer trimestre de la gestación, es decir, dentro del vientre de la madre. La cantidad de testosterona recibida tiene un efecto en el desarrollo del dedo anular mientras que los estrógenos afectan el crecimiento del índice.

Brañas Garza señala que «el digit radio es importante porque durante el primer trimestre se forma el cerebro y la contaminación hormonal causa efectos permanentes en la formación del cerebro (mejores habilidades para las matemáticas o la música)».

«Además dicha contaminación afecta la manera -los receptores genéticos- en que se asimila la testosterona ya de adultos. Muchos de estos efectos se trasladarán posteriormente al comportamiento de los individuos en su vida adulta», añade.

En suma, la exposición fetal a la testosterona afecta de manera muy diferente a hombres y a las mujeres. «El digit ratio es una diferencia biológica más entre hombres y mujeres que se manifiesta en habilidades y preferencias y, en muchos casos, en la manera de enfrentarse a problemas y tomar decisiones», aunque, explica este experto, «esto no quiere decir que la educación no importe, sino que la biología es otro aspecto a tener en cuenta».

Estudios de otros autores apuntan que personas con menor índice ‘D2:D4’ -índice entre la longitud del dedo índice y el anular- tiene mayor habilidad para la música, para los deportes, para las matemáticas e incluso más éxito en los negocios. Además los que tienen menor índice parece que son más arriesgados, más rápidos y decididos.

Sin embargo, los expertos de la UGR no sólo constatan que aquellos con menor ‘D2:D4’ son más propensos a tomar decisiones arriesgadas sino que «aislan» el efecto de la inteligencia en estas decisiones. ‘

«Para ello, usamos el test de Sobel-Goodman que nos permite descomponer el efecto que la testosterona tiene sobre las decisiones arriesgadas y sobre la inteligencia. ¿Qué quiere decir la mediación? Como la exposición fetal a la testosterona afecta tanto a las decisiones sobre riego como a la inteligencia, la mediación nos permite separar los efectos y ver el papel directo de la testosterona en el riesgo y el indirecto (a través de la inteligencia)», explica Brañas Garza.

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Mangiare nei fast food aumenta il rischio di depressione

Mangiare cibo da fast food in quantità notevole, come hamburger, hot dog e pizza potrebbe mandare in tilt il sistema nervoso. Un recente studio condotto da scienziati delle università di Las Palmas de GranCanaria e Granada, in Spagna, ha rivelato che i consumatori abituali di cibo da fast food hanno il 51% di probabilità in più di sviluppare sintomi di depressione, rispetto a chi frequenta li frequenta poco o per nulla.
«Più consumi cibi veloci, maggiore è il rischio di sviluppare la depressione» ha dichiarato Almudena Sanchez-Villegas, che ha condotto lo studio, alla SINC, (fondazione spagnola per la Scienza e la Tecnologia) come riportato dal giornale Public Health Nutrition.
Lo studio ha dimostrato che i partecipanti che hanno mangiato cibi veloci o prodotti commerciali da riscaldare nel forno avevano più probabilità di essere single, meno attivi e aveva cattive abitudini alimentari, tra le quali spiccano quelle di mangiare poca frutta, noci, pesce, verdure e olio d’oliva. Fumare e lavorare più di 45 ore settimanali erano altre caratteristiche prevalenti di questo gruppo, secondo lo studio delle due università di Granada e Las Palmas. Per quanto riguarda prodotti da forno, i risultati erano ugualmente conclusivi. «Anche mangiarne piccole quantità è cosa pur sempre legata ad una probabilità significativamente maggiore di sviluppare la depressione», ha sottolineato Sanchex-Villegas dell’università di Las Palmas, che ha poi aggiunto: «Anche se ulteriori studi sono necessari, l’assunzione di questo tipo di cibo dovrebbe essere controllata a causa delle sue implicazioni per la salute (come obesità e malattie cardiovascolari) e per il benessere mentale».
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Cibo-spazzatura,+51% rischio depressione

Il cibo-spazzatura non solo fa ingrassare, ma puo’ anche portare a disturbi depressivi: infatti, uno studio spagnolo ha svelato che mangiare troppe merendine, dolci confezionati e altri snack, oppure consumare i propri pasti troppo spesso al fast-food, aumenta del 51% il rischio depressione. La ricerca – su un campione di 9mila soggetti monitorati per 18 anni – e’ condotta dall’Universita’ Las Palmas de Gran Canaria e l’Universita’ di Granada, e pubblicata su ‘Public Health Nutrition’.
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Il cibo spazzatura? Può portare alla depressione

Non sarà la causa primaria di obesità, ma la probabilità che porti a depressione è decisamente alta. Parliamo del junk food, il cibo spazzatura, che spesso e volentieri conquista la ribalta con tutte le questioni che lo riguardano, dal trattamento dei soggetti sovrappeso alla possibile istituzione di una tassa che ne scoraggi il consumo.

Fatto sta che sono tante le persone che scelgono hamburger e patatine a pranzo o cena. Che i loro sorrisi, nell’addentare un ipercalorico panino, tradiscano invece uno stato depressivo? Possibile.

Lo studio, condotto da ricercatori dell’Università di Las Palmas e dell’Università di Granada e pubblicato da Public Health Nutrition, è giunto alla conclusione che chi mangia cibo spazzatura ha, rispetto a chi lo evita, il 51% in più delle probabilità di soffrire di depressione.

La ricerca è stata condotta su 8964 soggetti, non depressi e che non avevano mai assunto antidepressivi. Il campione, appartenente al Progetto SUN dell’Università di Navarra, è stato seguito per 6 mesi, al termine dei quali sono stati diagnosticati 493 casi di depressione o di uso di farmaci per evitarla.

Sintomo riconoscibile, secondo i ricercatori, è anche la velocità con cui questi cibi vengono consumati: più velocemente si ingeriscono tanto maggiore è il rischio di cadere in depressione.

In genere, gli individui a maggior rischio sono single, fanno poca attività fisica, hanno pessime abitudini alimentari, lavorano molto (più di 45 ore a settimana) e fumano, tutti fattori che, già, potrebbero portare ad una depressione.

Saranno necessari altri studi per dare maggiore corpo alla tesi spagnola ma, come sottolinea Sànchez-Villegas, autore dello studio, il consumo di cibo spazzatura deve, in ogni caso, essere controllato, viste le implicazioni per la salute fisica, e mentale. Quest’ultima, infatti, sembra sempre di più avere correlazioni anche con l’alimentazione che, se sana, può addirittura avere ruolo preventivo.

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Cibo-spazzatura,+51% rischio depressione

Il cibo-spazzatura non solo fa ingrassare, ma puo’ anche portare a disturbi depressivi: infatti, uno studio spagnolo ha svelato che mangiare troppe merendine, dolci confezionati e altri snack, oppure consumare i propri pasti troppo spesso al fast-food, aumenta del 51% il rischio depressione. La ricerca – su un campione di 9mila soggetti monitorati per 18 anni – e’ condotta dall’Universita’ Las Palmas de Gran Canaria e l’Universita’ di Granada, e pubblicata su ‘Public Health Nutrition’.
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