Les personnes qui ont un niveau socio-économique élevé et sont mariées présentent un meilleur état de santé

  • Une étude réalisée à l’Université de Grenade démontre, de plus, qu’un niveau supérieur d’études et la vie active sont autant de facteurs qui protègent des maladies.
  • Le revenu par habitant et le bien-être social de la région de résidence sont également des facteurs de protection de la santé.

Le fait d’avoir un niveau socioéconomique élevé influe positivement sur la santé des personnes. Être marié, posséder des études supérieures et travailler sont d’autres facteurs qui protègent face aux maladies chroniques. Le revenu par habitant et le bien-être social de la région de résidence sont également des facteurs de protection de la santé.

Voici quelques-unes parmi les conclusions d’une recherche pionnière réalisée à l’Université de Grenade par Kristina Karlsdotter, du Département d’Économie Appliquée, et dirigée par Jesús Martín Martín et María del Puerto López del Amo González. Leur travail met également en évidence les effets potentiels à long terme sur la santé des inégalités dans le revenu par habitant de la région de résidence, et l’importance des rapports familiaux dans l’étude des inégalités sociales dans le domaine de la santé.

Pour mener à bien cette recherche, ses auteurs ont employé les données de deux enquêtes : l’Enquête de Conditions de Vie de l’année 2007, élaborée par l’Institut National de Statistique, et la Base de Données Longitudinale de la Population Andalouse de 2001, élaborée par l’Institut de Statistique et de Cartographie de l’Andalousie et par le Conseil Supérieur de Recherches Scientifiques de l’Espagne.

Un niveau de revenu plus élevé suppose une meilleure estimation de la santé

Les chercheurs de l’Université de Grenade ont déterminé que le revenu individuel d’une personne « s’associe positivement à son état de santé ». De même, le niveau d’éducation est statistiquement associé à la santé : un niveau de revenu plus élevé suppose une meilleure estimation de la santé. Ce résultat est évident en ce qui concerne les différentes variables de santé utilisées (santé auto-perçue ‒la perception qu’un individu a de son propre état de santé‒, la maladie chronique et la crainte de la retraite pour invalidité ou incapacité permanente).

De même, les résultats de cette thèse mettent en évidence l’importance de la famille pour expliquer les variations individuelles dans l’état de santé d’une personne ; ainsi, plus de 30% de la variation de l’état de santé au niveau individuel sont dus à l’environnement familial.

Le capital social est un autre facteur de protection face à la mauvaise santé, mais seulement chez les femmes.

Établissement de politiques

D’après les auteurs, les résultats de cette recherche « sont directement pertinents pour l’établissement de politiques destinées à réduire les inégalités dans la santé en Espagne. La combinaison de l’analyse de l’importance du contexte (la Communauté Autonome, la province, la municipalité, le quartier et la famille) pour la santé des individus, avec l’analyse du rapport entre l’inégalité dans le revenu, le capital social et la privation est une nouveauté qui devrait aider à développer des politiques destinées à réduire les inégalités dans la santé basées sur la meilleure évidence empirique possible. »

Ce travail est le premier mené à bien en Espagne qui met en jeu le rapport existant entre le revenu individuel, l’inégalité dans le revenu, le capital social régional et la santé des personnes résidentes en Espagne. Il est également pionnier dans l’analyse de l’importance du contexte pour expliquer les différences de santé au niveau individuel. C’est enfin la première étude qui analyse les différences socioéconomiques et géographiques en ce qui concerne la retraite pour invalidité ou incapacité permanente en Andalousie.

Références bibliographiques :

  • Karlsdotter, K ; Martín Martín, JJ ; López del Amo González, MP (2012). Multilevel analysis of income, income inequalities and health in Spain. Social Science and Medicine. 2012. Disponible online: http://dx.doi.org/10.1016/j.socscimed.2011.12.020
  • Karlsdotter, K ; Martín Martín, JJ ; López del Amo González, MP (2011). Influencia de la renta, la educación, la desigualdad de renta y el capital social en la salud de los mayores de 65 años en España en 2007. Gaceta Sanitaria. 2011.doi:10.1016/j.gaceta.2011.10.1003

 

Sur l’image, la chercheuse de l’Université de Grenade Kristina Karlsdotter.

Contact : Kristina Karlsdotter. Département d’Économie Appliquée de l’Université de Grenade. Courriel : kristina.karlsdotter@gmail.com


Ideal

Pág. 4: En busca de jóvenes emprendedores

Pág. 7 – Publicidad: Centro de Lenguas Modernas. Exámenes de español

Pág. 12: El Campus de Excelencia se cae, pero la UGR terminará los proyectos

El aulario de Derecho vuelve a abrir de noche

Ruta inversora para las empresas

Más de un millón para el edificio Mecenas

Premio de mil euros para los estudiantes

Pág. 52: Una investigación de científicos de Granada desvela el ‘misterio’ del yeso

Pág. 54: Salvador Vila, retrato de República

Pág. 65: Agenda

– Conferencia: ‘Mudanza y obras en el Hospital Real’

Descarga por URL: http://sl.ugr.es/01Cm

Descargar


Granada Hoy

Pág. 13: La Diputación participará en el VI Salón Fórmate 2012

Pág. 21: Plantar en las aulas la semilla del espíritu emprendedor

Pág. 22: III Jornadas sobre la República en España

Portada – Saber: Representantes de la vida universitaria

Pág. 2 y 3 – Saber: Las voces del alumnado

Pág. 7 – Saber: La Ciencia se comunica a través de las redes sociales

Pág. 21 – Saber: Recursos de información / Simposio internacional

Pág. 22 – Saber: Exposición ‘La profundidad de la piel’ / Radiación ultravioleta / Paisajes sonoros

Contraportada – Saber: La fisioterapia para paliar la fatiga del cáncer de mama

Pág. 11 – Deportes: Churriana y Universidad, a Primera femenina

Pág. 40: El ozono, un cosmético que previene el envejecimiento

Pág. 45: La Universidad de Granada analiza los valores sociales de la República

Descarga por URL: http://sl.ugr.es/01Cl

Descargar


Marriage and a High Socioeconomic Level Improve Health

  • The study –conducted at the University of Granada– has also demonstrated that having a high level of education and a job are also protective against diseases.
  • The per capita income and per capita welfare of the region of residence are protective factors against diseases.

People with a high socioeconomic level have been demonstrated to have better health than the rest of people. Other protective factors against chronic diseases are having higher education, having a job, and the per capita income and welfare in the region of residence.

These are some of the conclusions drawn in a pioneer study conducted at the University of Granada by Kristina Karlsdotter, at the Department of Applied Economics, and supervised by professors José Jesús Martín Martín and María del Puerto López del Amo González. The study also reveals the potential long-term effects that socioeconomic inequalities have on the health of the population at regional level, and the relevance of family when it comes to assess how social inequalities affect population’s health.

To carry out this study, the researchers used data from two surveys conducted in Spain: the 2007 Survey on Living Conditions, performed by the Spanish National Statistics Institute, and the 2001 Longitudinal Database of the Andalusian Population conducted by the Institute of Statistics and Cartography of Andalusia and the Spanish National Research Council.

The Higher the Income, the Better the Health

University of Granada researchers have found that the individual income of a person «is positively associated with a good health status». Additionally, education level is statistically associated with health status: the higher the education level, the better the health of the individual according to several health variables: perceived health status –the perception that an individual has on his/her own health status– presence of chronic diseases, and the risk of been granted a temporary/permanent disability pension.

This study reveals the influence of family environment on an individual’s health status. Thus, over 30% of variations in an individual’s health status are caused by their family environment.

Social relationships are another protective factor against disease, but only in women.

Design of Policies

The authors of this study affirm that the results obtained «are relevant for the design of policies aimed at reducing health inequalities in Spain. The association between health status and the geographical (Autonomous Community, province, city, district) and family environment is very innovative, as well as the association between health status and income and social inequalities. «

This is a pioneer comparative study in Spain on the relationship between individual income, income inequalities, regional and social factors, and health status in people in Spain. This is also the first study to examine how the social environment affects an individual’s health status. Finally, this is the first study to analyze the distribution of temporary/permanent disability pensions according to socioeconomic and geographic factors.
References:

  • Karlsdotter, K; Martín Martín, JJ; López del Amo González, MP (2012). Multilevel analysis of income, income inequalities and health in Spain. Social Science and Medicine. 2012. Disponible online en:http://dx.doi.org/10.1016/j.socscimed.2011.12.020
  • Karlsdotter, K; Martín Martín, JJ; López del Amo González, MP (2011). Influencia de la renta, la educación, la desigualdad de renta y el capital social en la salud de los mayores de 65 años en España en 2007. Gaceta Sanitaria. 2011.doi:10.1016/j.gaceta.2011.10.003

In the picture, the University of Granada researcher Kristina Karlsdotter.

Contact: Kristina Karlsdotter. University of Granada Department of Applied Economics. E-mail address: kristina.karlsdotter@gmail.com


Revelan el secreto de cristales de Naica

Los gigantescos cristales de yeso (CaSO4 2·H2O) que se han formado en las cuevas de Naica, en el estado de Chihuahua, tienen su origen en otro mineral, la bassanita (CaSO4 1/2·H2O) que se cristaliza a muy altas temperaturas, reveló un estudio presentado en la revista Science.
El profesor Juan Manuel García-Ruiz, especialista del Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra de la Universidad de Granada y coautor del estudio, explicó que el artículo no está dirigido a explicar los cristales de Naica sino aspectos más fundamentales de la cristalización del yeso que además podrían tener aplicaciones prácticas.

«El estudio está realizado dentro del proyecto que dirijo para entender la formación de los cristales gigantes de yeso», explicó García-Ruiz. «Pero como usted sabrá, así es la ciencia. Uno apunta a explicar científicamente el origen de la belleza de fenómenos naturales, como el de los cristales gigantes de Naica, y termina encontrando cosas muy fundamentales sobre la cristalización».

El hallazgo de los especialistas es que el yeso no se cristaliza directamente sino que lo hace como una transformación de otro mineral, la bassanita, algo que se creía que ocurría sólo a altas temperaturas pero que –según se describe- es la que primera en transformarse en cristal.

«La bassanita es el mineral que se conoce vulgarmente como yeso cocido, que al mezclarlo con agua, libera calor y se endurece formando el yeso o escayola. Cada año se producen cien millones de toneladas de yeso cocido o bassanita calentando a 150 ºC el yeso extraído de las canteras», precisó el investigador.

El hallazgo adquiere mayor importancia debido a que abre una vía para evitar que este proceso sea tan costoso. En los experimentos la bassanita sólo es estable durante menos de una hora. Pero si se descubren aditivos que puedan frenar la transformación de bassanita al yeso sería posible una forma alternativa y mucho más económica de producción de yeso cocido.

Los resultados pueden ayudar a entender también la formación de los grandes depósitos de yeso encontrados en Marte.

El dato

La bassanita es ese polvo que se compra para enyesar y que es mejor conocida como yeso cocido. Se fabrica extrayendo yeso de las canteras y cociéndolo a 150 ºC hasta que se deshidrata y pierde casi toda su agua.

En nuestras casas mezclamos ese yeso cocido o deshidratado con agua, enyesamos las paredes y se produce la fragua que no es otra cosa que la hidratación de la bassanita para formar el yeso, una reacción que libera calor.

Descargar


Los cristales de Naica

Imagine que por una semana no pone orden en las cosas que usa todos los días. No tiende su cama, ni regresa al cajón del tocador el cepillo y el peine que usa para peinarse. Tampoco lava los platos después de comer, ni mucho menos los guarda en el lugar destinado para tal propósito. Ni ordena el periódico al terminar de leerlo y lejos de eso lo arroja deshojado por aquí y por allá. En suma, usa las cosas y al final las deja en cualquier lugar, sin preocuparse en donde.

Con estas prácticas, al acabar la semana –posiblemente antes– su casa alcanzará un grado de desorden tal que hará difícil vivir en ella. En este punto tendrá que hacer un esfuerzo para ordenarla nuevamente si es que quiere rescatarla como un lugar para vivir.

La tendencia de las cosas a desordenarse a menos que exista una fuerza en sentido contrario es algo común en el Universo y no se circunscribe a nuestro entorno inmediato, ni a lo que nosotros hagamos o dejemos de hacer para mantenerlo ordenado. En particular, ocurre en el mundo de los átomos.

En relación a esto, recordemos que los materiales están compuestos de átomos. Estos, además, son tan pequeños que para verlos tenemos que hacer uso de los microscopios más potentes que existen. Al mismo tiempo, en un material sólido los átomos están tan juntos que el mismo nos parece homogéneo e impenetrable, y no un material compuesto de partes minúsculas estrechamente entrelazadas.

Sabiendo de su existencia cabe preguntarnos ¿cómo están colocados los átomos dentro de un material sólido? ¿En completo desorden como los asistentes a un concierto de rock, o, por el contrario, ordenados como los soldados de un regimiento en marcha? La respuesta es que existen las dos posibilidades: hay tanto materiales ordenados como materiales desordenados. A los primeros los llamamos cristales y a los segundos amorfos. Además, como podíamos haber sospechado, hay también materiales con un orden atómico intermedio ente estos dos extremos.

Al contrario de los humanos, que difícilmente cambiamos de hábitos, los átomos son más flexibles y el orden dentro de un material está determinado por la manera cómo fue tratado en el pasado. Así, por ejemplo, podemos obtener un material sólido altamente ordenado si lo calentamos más allá del punto en el que se hace líquido y en seguida lo enfriamos muy lentamente. Por el contrario, si lo enfriamos muy rápidamente no daremos tiempo a sus átomos a que se ordenen –cosa que, por otro lado, buscan de manera natural– y terminarán ocupando posiciones azarosas dentro del material sólido.

Aunque los cristales no son los materiales más comunes en la naturaleza, sí encontramos ejemplos de ellos sin dificultad –los podemos reconocer por sus superficies planas que forman ángulos precisos entre ellas–. Como ejemplos de cristales naturales podemos incluir a la sal en grano y a la azúcar cristalizada, lo mismo que a los diamantes y a otras piedras preciosas.

El ejemplo más impactante de cristal natural, por otro lado, es orgullosamente mexicano –aunque desgraciadamente no fabricado por nosotros– y se encuentra en una cueva de la mina Naica en el estado de Chihuahua. Dicha cueva, descubierta en el año 2000, contiene cristales naturales de yeso –sulfato de calcio– que son con mucho los cristales más grandes que existen en el mundo y que tienen dimensiones de hasta diez metros de largo y un metro de diámetro.

Dichos cristales han sido estudiados extensamente por un grupo de investigadores de la Universidad de Granada, en España, en conjunto con investigadores de la Universidad de Tohoku en Japón. Concluyen que el extraordinario tamaño de los cristales de Naica se debe a su lenta formación, la cual habría tomado cerca de un millón de años en años en completarse. A lo largo de este tiempo, los cristales se habrían formado en un medio acuoso, mantenido a una temperatura superior a los 50 grados centígrados, en el que se hallaban disueltos los materiales que poco a poco se depositaron sobre los cristales haciéndolos crecer. Algo así como una olla en la estufa, con agua líquida e ingredientes cuidadosamente escogidos, y una temperatura controlada de manara precisa a lo largo de un millón de años.

Hay que notar que hasta fechas recientes la cueva de Naica, que está a una profundidad de 300 metros, estuvo inundada, pues los mantos freáticos están a una profundidad de 120 metros. Sólo después de que comenzó la explotación de la mina, fue que mediante el bombeo de agua los cristales de yeso quedaron descubiertos por primera vez en un millón de años.

El pasado miércoles el grupo referido de la Universidad de Granada ganó la portada de la revista «Science» con un artículo en el que pusieron en claro el mecanismo por el cual se forman los cristales de yeso. Esto arroja más luz sobre qué fue lo que posibilitó la formación de cristales naturales de dimensiones tan fuera de lo común en la cueva de Naica.

Al margen de las explicaciones, sin embargo, lo que queda claro es que, dadas las condiciones adecuadas, los átomos son capaces de organizarse y ordenarse en gran escala. Sin duda un ejemplo a seguir.

Descargar


El secreto de la formación de los cristales de yeso

Ciencia básica, potenciales aplicaciones industriales de amplio alcance, pistas sobre los minerales en Marte y belleza se aúnan en un descubrimiento de un equipo de investigación de Granada acerca del proceso de cristalización del yeso. Para rematar el éxito, la prestigiosa revista Science no sólo presenta el trabajo, sino que le dedica su portada esta semana, con una impactante fotografía de los cristales de yeso vistos al microscopio. La bassanita es el polvo blanco que, con agua, se usa tanto para inmovilizar una fractura ósea como para hacer una moldura o para enlucir una pared, por citar solo algunos de los centenares de usos de este material. Y lo que estos investigadores han descubierto es que se forman de forma natural partículas de bassanita, sin necesidad del proceso de deshidratación industrial habitual.

«Este estudio revela cómo el proceso de formación de un mineral natural puede tener importantes consecuencias económicas para nuestra vida diaria. Pero también nos habla de cómo la naturaleza puede hacer bellos enormes cristales como los de las cuevas de Naica, en México, y la geoda de Pulpí, en Almería, o incluso el yeso y la bassanita recientemente documentada en Marte», comenta Juan Manuel García Ruiz, director del Laboratorio de Estudios Cristalográficos (CSIC-Universidad de Granada), que lidera la investigación, en la que también participan expertos de la Universidad de Leeds (Reino Unido).

De la magnitud de las posibles aplicaciones que abre el hallazgo basta un indicador: cada año se producen en el mundo cien millones de toneladas de bassanita para hacer escayola a partir del yeso extraído de las canteras. Sin olvidar las incrustaciones de ese mineral que se acumulan en las cañerías de casa o de instalaciones industriales. «Nuestro estudio muestra una nueva forma, barata y a baja temperatura, de fabricar bassanita, aunque hasta solo hemos logrado mantenerla estable durante menos de una hora», señala el investigador del instituto de Granada Alexander van Driessche y primer firmante del artículo en Science.

La bassanita es el mineral que se conoce vulgarmente como yeso cocido, ese polvo blanco que, cuando se mezcla con agua, libera calor y se endurece al secar, formando la típica escayola. Para producir esa bassanita se calienta hasta 150 grados centígrados el yeso extraído de las canteras, deshidratándolo. Cuando se mezcla ese polvo blanco con agua fragua desprendiendo en la reacción y se endurece. Pero es posible encontrar una vía más barata de producción, evitando esa fase costosa de calentamiento, dicen los investigadores de Granada.

«El yeso de cantera es sulfato cálcico con dos moléculas de agua, y de eso están hechos también los grandes cristales de las cuevas de Naica», explica García Ruíz. «Lo que hemos visto en nuestros experimentos con microscopía electrónica es que, cuando ese yeso mineral cristaliza de forma natural, a temperatura ambiente, se forma bassanita espontáneamente, en los primeros minutos, sin que sea necesario la ruta normal, la del calentamiento a 150 grados centígrados», continúa. Eso si, advierte, transcurridos unos 40 minutos esa bassanita se transforma otra vez en yeso de cantera de forma natural. La cuestión, añade, es buscar algún tipo de aditivo que alargue ese tiempo en que el yeso de cantera está en forma de bassanita, lo que supondría una muy interesante alternativa para la producción industrial. Parte de los experimentos de microscopía electrónica se han realizado en la Universidad de Leeds, recalca el científico español.

Otro problema práctico que tal vez pueda abordarse con este descubrimiento es el de las costras de yeso (sulfato cálcico) en las cañerías, porque la solución está en evitar que se formen, y eso tiene mucho que ver con el proceso inicial de cristalización.

En cristalografía, explica García Ruíz, uno de los temas candentes de investigación es la llamada nucleación, es decir, cómo se empieza a formar un cristal. Y se están descubriendo cosas raras, como ésta del yeso, añade. Por ello, la investigación de la bassanita se enmarca en el proyecto de estudio de Naica, cuyo objetivo es entender la formación de esos enormes cristales, algunos de 10 metros de longitud.

Y por último el planeta rojo: «Se ha encontrado mucho yeso, pero también mucha bassanita en Marte, y en la Tierra es difícil que se forme de manera natural esa última», explica García Ruíz. «Pero si tienes en Marte una atmósfera (con poca agua) capaz de estabilizar esta basanita… puede ser una explicación».

Descargar


Las emociones que suscitan los colores

Los publicistas lo tienen en cuenta a la hora de realizar sus campañas de marketing. Conocer las emociones que despiertan los colores puede ayudar a vender mejor un producto al relacionarlos con determinados conceptos. Pero no todos percibimos los colores de la misma forma.

La edad, el sexo, la formación y la nacionalidad del observador influyen a la hora de percibir y combinar los colores, según ha confirmado un experimento desarrollado en ocho países y en el que han participado investigadores de la Universidad de Granada. El estudio se llevó a cabo en España, Francia, Alemania, Reino Unido, Suecia, Irán, Argentina y Taiwán con 223 participantes de diferentes edades y profesiones, tanto hombres como mujeres.

Los investigadores plantearon tres ejercicios diferentes. En el primero se presentaban 70 colores individuales, en el segundo combinaciones de dos colores y en el tercero colecciones de dos colores en fotografías de ropa de mujer de primavera, verano, otoño, e invierno.

Según esta investigación, publicada parcialmente en la revista ‘Color Research and Application’, las mujeres tienen a preferir los colores más claros y con menor croma (es decir, con menor pureza o saturación).

Los cambios con la edad

La encuesta también sugiere que a medida que envejecemos cambia la forma en la que percibimos los colores. Las personas mayores suelen preferir la combinación de colores claros, aunque con croma alto. Rafael Huertas Roa, profesor de la Universidada de Granada y responsable del experimento en España, explica que con los años se va perdiendo intensidad en la percepción del color, por lo que «es lógico que se prefieran colores más intensos en croma y claridad», señala en una nota de prensa de la universidad.

El estudio también encontró diferencias según la profesión o la formación de los participantes. Así, comprobaron que los individuos con formación en diseño (con estudios en arquitectura, moda o diseño gráfico) mostraban preferencia por los colores con menos saturación (tonos pastel) y por las combinaciones que tenían un tono parecido y eran más armoniosas.

Colores fríos y cálidos

Los participantes españoles y argentinos coincidieron en elegir mayoritariamente las combinaciones de colores fríos, mientras que los de otros países optaron con más frecuencia por los colores más cálidos.

El autor principal del artículo es Li-Chen Ou, que en la actualidad es investigador de la National Taiwan University of Science and Technology, en Taipei (cuando llevó a cabo este estudio trabajaba en la universidad británica de Leeds). Desde hace varios años investiga las emociones del color y ha publicado diversos trabajos sobre este tema que recoge en su web, ‘World of colour emotion’. Como señala Ou, la relación entre color y emoción ha sido objeto de estudio desde hace tiempo de científicos y artistas.

Los resultados de sus test muestran, por ejemplo, cómo la mayoría de la población, con independencia de la nacionalidad, coincide en considerar el rojo un color cálido (un 90% de los encuestados). El color amarillo, sin embargo, es considerado cálido por un 60% mientras que un 40% lo califica como frío.

Aplicaciones

La percepción de los colores también depende de la cultura. Por ejemplo, en los países occidentales el rojo se relaciona con la pasión y advierte del peligro (en las señales de tráfico). En China simboliza la buena suerte.

Los autores subrayan la importancia de conocer estas asociaciones a la hora de elaborar campañas comerciales. Los colores ayudan a relacionar los productos con determinadas marcas y a recrear una atmósfera que influya en el comportamiento del consumidor. Asimismo, conocer qué emociones suscita un determinado color puede ayudar a relacionarlos con conceptos como ‘limpieza’ o ‘eficiencia’, una información útil para elaborar anuncios publicitarios más eficaces.

El diseño de interiores también se puede beneficiar de los estudios sobre percepción de colores pues ayuda a elegir las combinaciones más adecuadas en función del uso de cada centro, ya sean hospitales, escuelas o viviendas.

Descargar


Spagna Scienza: un solo colore, tanti significati diversi

É questo il risultato di uno studio sulla percezione del colore che ha coinvolto alcuni ricercatori dell’Università di Granada

Da sempre i pubblicitari tengono in grande considerazione il colore nella realizzazione delle loro campagne di marketing. I colori molto spesso li aiutano a relazionare i prodotti con alcune marche e ricreare la giusta atmosfera che influenza il comportamento del consumatore. E così conoscere le emozioni che i colori provocano su chi li osserva, può aiutare a vendere meglio un prodotto.

É quanto ha confermato uno studio che ha coinvolto alcuni ricercatori dell’Università di Granada. L’esperimento è stato condotto in otto paesi (Spagna, Francia, Germania, Regno Unito, Svezia, Iran, Argentina e Taiwan) con 223 partecipanti di diverse età e professioni, sia uomini che donne.
Il risultato ha stabilito che l’età, il sesso, l’istruzione e la nazionalità dell’osservatore sono i fattori primari che maggiormente influenzano la percezione e l’abbinamento dei colori.
Nei test eseguiti, i ricercatori hanno proposto tre diversi esercizi. Nel primo si presentavano 70 colori singoli, nel secondo combinazioni di due colori e nel terzo collezioni di due colori in fotografie di abbigliamento femminile per la primavera, estate, autunno e inverno.
Il risultato, pubblicato in parte pubblicata sulla rivista «Color Research and Application», è che le donne preferiscono i colori più chiari; che, con l’avanzare dell’età, si preferiscono le combinazione di colori e che in base ad una formazione professionale più o meno mirata al campo del design, si prediligono colori meno saturi (pastelli) e combinazioni armoniche su toni similari.
La percezione del colore dipende anche moltissimo dalla cultura del paese in cui si è cresciuti. Per esempio, nei paesi occidentali il colore rosso è associato alla passione e avverte del pericolo (ai semafori). In Cina diversamente simboleggia la buona fortuna.

Ultima nota: i partecipanti spagnoli e argentini hanno preferito, in maniera quasi univoca, le combinazioni di colori freddi, mentre i partecipanti degli altri paesi tendenzialmente amano i colori più caldi e le loro combinazioni.

Descargar


Ideal

Pág. 5 – DXT: Las chicas del CDU ascienden a Primera

Pág. 61: UGR, lecciones de República

Descarga por URL: http://sl.ugr.es/01Ch

Descargar


Granada Hoy

Pág. 14: El ‘corazón’ del Parque Tecnológico

Descarga por URL: http://sl.ugr.es/01Cg

Descargar


El rector inaugura las III Jornadas sobre republicanismo español, ‘Homenaje a Salvador Vila’

  • Martes, 10 de abril, a las 18:00 horas, en el Aula Magna de la Facultad de Ciencias Políticas y Sociología

El rector de la Universidad de Granada, Francisco González Lodeiro, presidirá el martes, 10 de abril, a las 18:00 horas, en el Aula Magna de la Facultad de Ciencias Políticas y Sociología el acto de inauguración de las III Jornadas sobre republicanismo español, organizadas por la Asociación Politeia de esta facultad.

Intervienen:

A las 18:30 h. – Exposición del retrato oficial de Salvador Vila como rector de la UGR:

  • Presentará el retrato su autora, la pintora granadina Leticia Alonso Morcillo.
  • Presenta a la artista Cecilia Hita Alonso, profesora de Sociología de la UGR.
  • Asistirá Ángel Vila, hijo de Salvador Vila.

A las 19:00 h. -Conferencia inaugural: “Salvador Vila, el rector fusilado en Víznar”, por Mercedes del Amo, profesora de Literatura árabe de la UGR. Presenta a la ponente David Aguilar, catedrático de Anatomía Patológica y ex-rector de la UGR.

Programa en: http://www.aupoliteia.org/ (Las inscripciones para las Jornadas se hacen a través de la web).

Pablo Laguna. Coordinador de las Jornadas. Correo e. plaguna@correo.ugr.es

CONVOCATORIA:

  • Asunto: Inauguración de las Jornadas sobre republicanismo español.
  • Día: 10 de abril.
  • Hora: 18:00 horas.
  • Lugar: Aula Magna de la Facultad de Ciencias Políticas y Sociología.

Gabinete de Comunicación – Secretaría General
UNIVERSIDAD DE GRANADA
Acera de San Ildefonso, s/n. 18071. Granada (España)
Tel. 958 243063 – 958 244278
Correo e. gabcomunicacion@ugr.es
Web: http://canal.ugr.es