Granada Hoy

Pág. 8: Granada se suma a las protestas contra la represión en la ‘primavera de Valencia’

Pág. 15: La UGR tapa con un millón de euros la deuda de la Junta en investigación

Federico Olóriz será nombrado Hijo Predilecto de Granada

Los universitarios podrán votar vía on-line con la nueva reforma del reglamento electoral

Pág. 16: El SAT acusa al gerente de la Universidad de ocultar nuevos recortes de personal

Pág. 20 y 21: Abanderados en el Día de Andalucía

Ceama. Un centro para la
investigación

Pág.22: Abre la muestra ‘García Lorca y Mahmud Darwish

Pág. 25: Trece andaluces ilustres

Pág. 42: La Fundación Euroárabe expone ‘Dos poetas vivos: Darwish y Lorca’

Descarga por URL: http://sl.ugr.es/01ky

Descargar


Une forte prédominance d’anisakis a été signalée parmi les poissons capturés dans les eaux du nord du Maroc

  • Une étude de l’Université de Grenade révèle que le parasite est présent chez plus de la moitié des chinchards et des maquereaux blancs pêchés dans la zone.
  • Ces deux poissons sont abondamment consommés au Maroc, dont une partie de la population les mange crus, ce qui peut favoriser l’infection avec le parasite.

Des scientifiques de l’Université de Grenade ont découvert que parmi les poissons capturés dans les eaux du nord du Maroc et qui sont très consommés par la population de ce pays, il existe une forte prédominance d’anisakis, le parasite qui provoque l’anisakiose, une maladie qui se contracte par ingestion de poisson cru ou à moitié cru. Les chercheurs ont analysé pour la première fois la prédominance d’anisakis dans le nord du Maroc, un pays pour lequel l’exportation de la pêche et la consommation de poisson constituent un atout économique important.

Leur travail a ainsi révélé que les chinchards et les maquereaux blancs capturés dans les eaux du nord du Maroc offrent un taux élevé d’anisakis, bien que faiblement dans la musculature. Les scientifiques ont élu ces poissons parce qu’ils sont très consommés au Maroc et, de plus, parce qu’une partie de la population les mange crus, ce qui favorise l’infection avec le parasite.

Les résultats obtenus indiquent que la consommation de maquereau blanc de moindre poids serait une bonne mesure prophylactique face à l’anisakiose, étant donné que le poids du poisson est inversement proportionnel à la probabilité que le parasite se trouve dans la musculature.

Un pourcentage élevé

Les scientifiques de l’Université de Grenade ont trouvé de l’anisakis dans 67,9% des maquereaux blancs capturés dans les eaux de l’Atlantique et dans 57% de ceux capturés en Méditerranée, et, quant au Chinchard, dans 56,8% et 52,8%, respectivement.

De plus, l’identification génétique des larves recueillies dans ces poissons et analysées moyennant la technique dénommée PCR-RPLF indiquent que l’espèce dominante d’anisakis est A. pegreffii, aussi bien dans les eaux atlantiques que méditerranéennes du nord du Maroc, tandis que l’espèce A. simplex s.s. est faiblement représentée.

Les scientifiques ont vérifié pour la première fois que la population marocaine choisie au hasard était sensibilisée face à ces allergènes d’anisakis, tout en signalant que « les chiffres de séro-prédominance sont bas, même chez les pêcheurs, qui constituent une sous-population à risque. »

L’auteure de ce travail est Naima Abattouy, de Département de Parasitologie de l’Université de Grenade, avec la collaboration des professeurs Joaquina Martín Sánchez, Adela Valero López et Josefa Lozano Maldonado.

Référence bibliographique: Abattouy, N.; Valero, A.; Benajiba, M.H.; Lozano, J.; Martín-Sánchez, J. (2011): Anisakis simplex s.l. parasitization in marckerel (Scomber japonicus) caught in the North of Marocco – Prevalence and analysis of risk factors. International Journal of Food Microbiology, 150: 136-139

Contact : Adela Valero López, Département de Parasitologie de l’Université de Grenade ; tél. : 958 249594; courriel: avalero@ugr.es


Anisakis has a Higher Prevalence in Fish Caught in the Northern Moroccan Coast

  • A study conducted at the University of Granada has revealed that more than half the mackerels and chub mackerels caught in that region are infected with this parasite.
  • The consumption of both species is widespread in Morocco, and a part of the population consumes raw fish, which increases the risk of infection.

University of Granada researchers have found that a high proportion of the fish caught in the northern coast of Morocco is infected with Anisakis the parasite that causes Anisakiasis, which is acquired by eating uncooked fish. The consumption of this fish is widespread among the Moroccan population.

Researchers have analyzed for the first time the prevalence of Anisakis in the fish caught in the northern coast of Morocco, a country where fishing and fish consumption are essential to its economy.

This study has revealed that more than half the mackerels and chub mackerels caught in the northern coast of Morocco are infected with this parasite, though its presence in fish muscles is low. The researchers chose these species as their consumption is widespread in Morocco, and a part of the Moroccan population consumes it uncooked, which can cause an infection.

The results obtained in the study indicated that consuming small chub mackerel is an effective prevention measure against anisakiosis, as the higher the weight, the higher the probability that fish muscles are infected with this parasite.

High Prevalence

The University of Granada researchers found Anisakis in 67.9% of chub mackerels and in 56.8% of mackerels caught in Atlantic waters, and in 57% and 52.8% of chub mackerels and mackerels caught in the Mediterranean Sea.

Genetic identification of the larvae -performed by the PCR-RPLF method- revealed that the prevalent species of Anisakis is A. pegreffii, both in the Mediterranean Sea and in the northern coast of Morocco, while the Anisakis simplex s.s species is poorly represented.

The researchers randomized a sample of subjects from Morocco and found that they were sensitized to Anisakis allergens, though «seroprevalence is low, even among fishermen, who are a high-risk subpopulation» the researchers state.

The author of this research paper is Naima Abattouy, at the University of Granada department of Parasitology, in collaboration with professors Joaquina Martín Sánchez, Adela Valero López and Josefa Lozano Maldonado.

Contact:
Adela Valero López
Department ofParasitology
Teléfono: +34 958 249 594
e-mail address:avalero@ugr.es


Explication de la raison pour laquelle, lorsque nous récupérons une partie de l’information associée à un souvenir, nous avons du mal à nous souvenir du reste

  • Ce phénomène est connu dans le domaine de la Psychologie comme Oubli Induit par la Récupération (OIR)
  • Des scientifiques de l’Université de Grenade ont déterminé le processus cognitif chargé de le produire ainsi que la durée des effets de ce genre d’oubli.

Des chercheurs des universités de Grenade et de Jaén ont découvert la raison pour laquelle, lorsque nous récupérons une partie de l’information associée à un souvenir, nous avons du mal à nous souvenir du reste. Ce phénomène est connu dans le domaine de la Psychologie comme Oubli Induit par la Récupération (OIR), et les scientifiques ont déterminé le processus cognitif chargé de le produire ainsi que la durée des effets de ce genre d’oubli.

Pour mener à bien cette recherche, ses auteurs ont élaboré différentes activités mnésiques dans lesquelles les participants doivent étudier un matériel déterminé, puis récupérer partiellement l’information étudiée. Cette tâche a été dessinée à différents niveaux de difficulté et avec différents types de matériels, et appliquée aussi bien à des jeunes (étudiants universitaires) qu’à des personnes âgées (une moyenne de 65 ans).

En premier lieu, les participants apprennent une série de mots organisée, par exemple,
par catégories sémantiques. Lors d’une seconde phase, on présente aux participants une
série de pistes afin qu’ils se souviennent de la moitié des exemplaires de la moitié des
catégories touchées. Après cela, on leur pose des questions sur tous les éléments étudiés
lors de la première phase. On observe là que les éléments qui n’ont pas été rappelés
pendant la seconde phase mais faisant partie des catégories pratiquées, se rappellent
encore moins que les éléments non récupérés lors de la seconde phase et qui font
également partie de catégories non récupérées par la mémoire.

Deux questions non résolues

L’objectif de ce travail a été d’approfondir dans la caractérisation du mécanisme de
contrôle cognitif impliqué dans l’Oubli Induit par la Récupération (OIR). Bien que
certaines propriétés de ce phénomène soient déjà connus, deux questions importantes
n’ont pas encore été résolues : le caractère contrôlé vs automatique du mécanisme
responsable de réduire l’accessibilité des traits de mémoire, et les paramètres temporels
de cette faible accessibilité.

Les scientifiques de l’UGR ont résolu ces deux questions et ont corroboré le caractère adaptatif de l’Oubli Induit par la Récupération. Il s’agit d’un effet qui se produit comme conséquence de l’action d’un mécanisme de contrôle cognitif qui s’avère efficace même chez des personnes présentant un certain déficit dans le contrôle exécutif. Ce mécanisme permet de réduire l’accessibilité de traits qui, autrement, pourraient affecter la récupération d’information objective, mais qui, cependant, montre ses effets de façon plus ou moins persistante, en fonction du type d’information qui se voit affectée par lui. Loin de produire des effets permanents de perte d’accessibilité, l’information oubliée peut se récupérer avec normalité en peu de temps si elle occupe un espace central dans la structure cognitive de l’individu.

L’auteure principale de ce travail est Almudena Ortega, du Département de Psychologie Expérimentale de l’Université de Grenade, avec les professeurs Teresa Bajo Molina (Université de Grenade) et Carlos J. Gómez Ariza (Université de Jaén). Une partie des résultats de cette recherche a été publiée dans la revue Journal of Experimental Psychology: Learning, memory and Cognition.

Contact: Almudena Ortega. Département de Psychologie Expérimentale de l’Université de Grenade. Courriel: almudenaortega@ugr.es


Des chercheuses de l’Université de Grenade participent à un livre qui établit les bases scientifiques de la cuisine

  • Le volume « La cuisine comme laboratoire : réflexions sur la science de la nourriture » a été publié par l’Université de Columbia (New York) et sera présenté vendredi 17 février.
  • Les chercheuses Julia Maldonado-Valderrama et María José Gálvez Ruiz, du Département de Physique Appliquée, participent au chapitre consacré aux écumes laitières en égrenant les secrets de la technique et des ingrédients pour obtenir l’écume parfaite pour le cappuccino.

Des scientifiques de l’Université de Grenade ont participé à la rédaction d’un livre publié par l’Université de Columbia (New York) intitulé « La cuisine comme laboratoire : réflexions sur la science de la nourriture » (The Kitchen as Laboratory: Reflections on the Science of Food and Cooking), qui établit les bases scientifiques de la cuisine et sera présenté vendredi 17 février à New York.

Il s’agit d’un ensemble d’essais dans lesquels des chefs et des scientifiques approfondissent leurs connaissances culinaires à partir d’expériences basées sur les propriétés physiques et chimiques des aliments. Ainsi, à partir d’ingrédients et de techniques aussi bien traditionnelles qu’innovatrices, les auteurs du livre créent et modernisent des plats répondant à des désirs spécifiques et favorisent une rencontre unique avec la gastronomie.

Les essais de « The kitchen as a laboratory » présentent diverses créations culinaires, leur histoire et leur culture, du quotidien au fantastique: du sandwich au fromage fondu, des pizzas ou des œufs durs aux glaces turques, du sucre cristallisé aux gouttes gélifiées. Les auteurs soulignent l’importance de l’origine du convive et de l’atmosphère au moment du repas, ainsi que des stratégies utilisées afin de créer l’énorme diversité de plats et de repas. D’après leurs auteures, cette collection d’essais fera les délices « aussi bien des experts que des amateurs ».

Physique et chimie à la cuisine

À une époque où les restaurants recherchent les bases scientifiques de la gastronomie, les cuisiniers explorent la physique et la chimie présentes dans l’art culinaire. À la fin de chaque essai, les auteurs font une réflexion personnelle sur la nourriture, la science et la gastronomie, tout en offrant de nouvelles perspectives à une passion professionnelle.

Les professeures de l’Université de Grenade Julia Maldonado-Valderrama et María José Gálvez Ruiz, du Département de Physique Appliquée, participent au chapitre consacré aux écumes laitières, où elles égrènent les secrets de la technique et des ingrédients pour obtenir l’écume parfaite pour le cappuccino. « Les écumes se trouvent de nos jours parmi les matériaux les plus fertiles pour l’innovation gastronomique, de sorte que ce chapitre constitue une contribution fondamentale à ce sujet », soulignent les scientifiques.

Celles-ci expliquent les bases scientifiques du processus de création d’écume à partir de la structure et des propriétés basiques de « ce passionnant aliment ». Les mathématiques sous-jacentes au processus de formation et de composition de bulles sont extrêmement complexes. « Si vous vous trouvez parmi ceux qui démarrent la journée au cappuccino et la finissent à la bière mousseuse, vous commencez et finissez avec un des aliments les plus intrigants du point de vue scientifique », affirme-t-on dans le livre. 

L’essai des auteures de l’Université de Grenade égrène les éléments responsables de la texture et de la consistance de l’écume, conformément à leurs propriétés physico-chimiques et aux interactions entre leurs composants, permettant ainsi un nouvel aperçu de ce genre de structure et une application directe à un système réel. 

I
mage adjointe
: Les scientifiques de l’UGR Mª José Gálvez Ruiz et Julia Maldonado-Valderrama.

Contact : Julia Maldonado-Valderrama, Département de Physique Appliquée de l’Université de Grenade. Tél : 958241000; Ext. 20387; courriel : julia@ugr.es


University of Granada researchers collaborate in a book on the scientific principles of cooking

  • The book The Kitchen as Laboratory: Reflections on the Science of Food and Cooking, published by the University of Columbia, was presented on 17th February in New York.
  • The researchers Julia Maldonado-Valderrama and María José Gálvez Ruiz, at the University of Granada Department of Applied Physics, participated in the completion of the chapter devoted to milk foam, where the technique and ingredients employed to get the perfect foam in a cappuccino are described.

A group of University of Granada researchers have participated in the writing of a book published by the University of Columbia, NY, entitled The Kitchen as Laboratory: Reflections on the Science of Food and Cooking, where a scientific approach to cooking is provided. The book was presented on 17th February in New York.

In this global collaboration of essays, chefs and scientists advance culinary knowledge by testing hypotheses rooted in the physical and chemical properties of food. Using traditional and cutting-edge tools, ingredients, and techniques, these pioneers create dishes that respond to specific desires and serve up an original encounter with gastronomic practice.

The essays that compose The kitchen as a Laboratory cover a range of culinary creations and their history and culture from the seemingly mundane to the food fantastic -from grilled cheese sandwiches, pizzas, and soft-boiled eggs to Turkish ice cream, sugar glasses, and jellified beads. They consider the significance of an eater’s background and dining atmosphere and the importance of a chef’s methods, as well as the strategies used to create a great diversity of foods and dishes. This collection «will delight experts and amateurs alike».

Physics and Chemistry in the Kitchen

As restaurants currently rely more on science-based cooking, chefs increasingly explore the physics and chemistry behind culinary art. Contributors end each essay with their personal thoughts on food, cooking, and science, offering rare insight into a professional’s passion for playing with food.

The researchers Julia Maldonado-Valderrama and María José Gálvez Ruiz, at the University of Granada Department of Applied Physics, participated in the completion of the chapter devoted to milk foam, where the technique and ingredients employed to get the perfect foam in a cappuccino are described.

«At present, foam is one of the most useful elements in culinary innovation; therefore, this chapter is very relevant to the contents of this book», the researchers affirm. Their research is focused on the physical and chemical properties of emulsions and foams».

The authors of this chapter describe the scientific foundations of foam by providing an explanation of the structure and basic properties of «this fascinating element in food».

The mathematical foundations of the generation and composition of bubbles are extremely complex. The book states that «If you start the day with a creamy cappuccino and end it with a foamy beer, then your day starts and ends with one of the scientifically most intriguing foods», the book states.

The chapter written by the University of Granada researchers reveals the physical and chemical interactions that give foam its characteristic texture and consistency, thus providing a new insight to this type of structures.


In the picture attached: the University ofGranada researchers Mª José Gálvez Ruiz and Julia Maldonado-Valderrama.

Contact:
Julia Maldonado-Valderrama
Department of Applied Physics, University of Granada
Tel:958241000 Ext 20387
E-mail address: julia@ugr.es


Presentación del libro «Orientalismo e ideología colonial en el arabismo español (1840-1917)» de Bernabé López García

  • El acto, en el que intervendrán el propio autor Bernabé López García, María Isabel Cabrera, Rafael G. Peinado Santaella, Ignacio Henares Cuéllar y Emilio Molina López, tendrá lugar en la Sala del Mural del Palacio de La Madraza, el miércoles, 22 de febrero, a las 19.30 horas

El libro “Orientalismo e ideología colonial en el arabismo español (1840-1917)” de Bernabé López García, publicado por la Editorial Universidad de Granada (eug), será presentado en la Sala del Mural del Palacio de La Madraza, el miércoles, 22 de febrero, a las 19.30 horas, en un acto en el que intervendrán el propio autor Bernabé López García, María Isabel Cabrera, Rafael G. Peinado Santaella, Ignacio Henares Cuéllar y Emilio Molina López.

El autor analiza en este volumen la historia del arabismo español en su época de mayor esplendor, la segunda mitad del siglo XIX y los albores del XX. Los textos incluidos en el libro, procedentes de una tesis doctoral escrita a principios de los años setenta, permanecen vigentes en estos tiempos en los que los estudios árabes deben acomodarse tanto a ese inducido ambiente de sospecha que planea sobre todo lo que tenga que ver con el mundo árabe-islámico, como al hecho de que, con el impulso de la inmigración, la lengua árabe haya pasado a formar parte de la vida cotidiana de España.

Actividad

  • Presentación del libro: “Orientalismo e ideología colonial en el arabismo español (1840-1917)”
  • Autor: Bernabé López García
  • Intervienen: Bernabé López García, María Isabel Cabrera, Rafael G. Peinado Santaella, Ignacio Henares Cuéllar y Emilio Molina López
  • Fecha: miércoles, 22 de febrero de 2012
  • Hora: 19.30 horas
  • Lugar: Sala del Mural del Palacio de La Madraza
  • Organiza: Cátedra “Emilio García Gómez”, del Secretariado de Extensión Universitaria de la UGR

‘Bases científico-técnicas para el desarrollo de planes de mejora de la calidad del aire en España’, conferencia de Xavier Querol Carceller

* Tendrá lugar en el Salón de Caballeros XXIV del Palacio de La Madraza, el miércoles, 22 de febrero de 2012, a las 19.30 horas

Con el título “Bases científico-técnicas para el desarrollo de planes de mejora de la calidad del aire en España”, el profesor de investigación del Consejo Superior de Investigaciones Científicas, Xavier Querol Carceller, ofrecerá una conferencia en el Salón de Caballeros XXIV del Palacio de La Madraza, el miércoles, 22 de febrero de 2012, a las 19.30 horas, en un acto organizado por el Seminario de Medio Ambiente y Calidad de Vida, Cátedra “José Saramago”, del Vicerrectorado de Extensión Universitaria y Deporte de la UGR.

Xavier Querol Carceller (Morella, 1963) es profesor de investigación del Consejo Superior de Investigaciones Científicas, Instituto de Diagnóstico Ambiental y Estudios del Agua, del departamento de Geociencias. Doctor en Ciencias Geológicas por la Universidad de Barcelona, ha formado parte del comité asesor del programa Clean Air for Europe (CAFE) de la DG Medio Ambiente de la UE, en calidad de miembro de diversos grupos de expertos para la evaluación de las directivas de calidad del aire. Es director, además, de convenios de asesoramiento científico del Ministerio de Medio Ambiente y diversas CCAA en calidad del aire. Es miembro de las comisiones nacionales de Geología, y del comité de expertos de la sección de Meteorología y Ciencias de la Atmósfera, de la comisión Española de Geodesia y Geofísica. Igualmente ha actuado como co-autor de un informe de IPCC sobre emisiones de partículas.

Actividad

  • Conferencia: “Bases científico-técnicas para el desarrollo de planes de mejora de la calidad del aire en España”
  • A cargo de: Xavier Querol Carceller
  • Lugar: Salón de Caballeros XXIV del Palacio de La Madraza
  • Fecha: Miércoles, 22 de febrero de 2012
  • Hora: 19.30 horas
  • Organiza: Seminario de Medio Ambiente y Calidad de Vida, Cátedra “José Saramago”, del Vicerrectorado de Extensión Universitaria y Deporte de la UGR

http://veu.ugr.es/pages/AgendaCultural/*/ficha/conferencia-bases-cientificotecnicas-para-el-desarrollo-de-planes-de-mejora-de-la-calidad-del-aire-en-espaaa

Gabinete de Comunicación – Secretaría General
UNIVERSIDAD DE GRANADA
Acera de San Ildefonso, s/n. 18071. Granada (España)
Tel. 958 243063 – 958244278
Correo e. gabcomunicacion@ugr.es
Web: http://canal.ugr.es


El granadino Andrés García-Granados, premio nacional de investigación

La Real Sociedad Española de Química ha otorgado al profesor Andrés García-Granados López de Hierro el premio de investigación Gepronat 2011 a la Transferencia Tecnológica al sector industrial en el área de productos naturales por sus trabajos de investigación.

García-Granados ha dedicado los últimos años a la investigación aplicada, lo que se ha cristalizado en una transferencia al sector industrial. Sus estudios han estado centrados en el aprovechamiento de productos de alto valor añadido contenidos en subproductos agrícolas e industriales del sector olivarero y en diversas iniciativas técnico-empresariales de los edulcorantes naturales.

A lo largo de este tiempo, y en combinación con otros grupos de investigación de la Universidad de Granada, que trabajan en los campos de la Bioquímica, Parasitología, Microbiología y Fisiología, el grupo de investigación del profesor García-Granados ha desarrollado diez patentes de aplicación del ácido maslínico y el hidroxitirosol.

Estos productos tienen un alto interés médico como inhibidores de proteasas o como antioxidantes, destacando una investigación muy prometedora referida al empleo del ácido maslínico y derivados para el tratamiento de la malaria, que se realiza actualmente en colaboración con otras universidades españolas y americanas.

El profesor Andrés García-Granados López De Hierro, Catedrático de Química Orgánica, creó en 1980 el Grupo de Investigación BIONAT «Biotecnología y Química de Productos Naturales», en el cual viene trabajando desde entonces en lo referente a estudios fitoquímicos de distintas fuentes naturales y la reactividad de sesqui, di y triterpenos (hidrocarburos naturales). Fruto de esta investigación son más de 20 proyectos de investigación, más de 100 artículos científicos, 30 tesis doctorales, numerosas asistencias a congresos científicos e innumerables tesinas de Licenciatura.

García-Granados fue cofundador del Instituto de Biotecnología de la Universidad de Granada y, durante unos años, director del mismo, perteneciendo al mismo desde sus inicios, llevando a cabo su investigación en carácter multidisciplinar entre los investigadores integrados en este Instituto de Biotecnología.

Descargar


El ‘Habichuela nieto’, entre los premiados del Instituto de la Juventud

Juan Torres Fajardo, el «Habichuela nieto» y Guillermo Hernán Rupérez, capitán de la selección española de voleibol absoluta, campeona de Europa, son dos de los galardonados en la décima segunda edición de los Premios Granada Joven que, como cada año y desde el 2000, el gobierno andaluz, a través del Instituto Andaluz de la Juventud, otorga con el objetivo de reconocer la valiosa labor y el esfuerzo desarrollado por jóvenes, asociaciones, colectivos, instituciones, entidades públicas o privadas que contribuyen directa o indirectamente a que las y los jóvenes granadinos sean un referente para el resto de la ciudadanía, ocupen el lugar que les corresponde en la sociedad y consigan que desaparezcan los estereotipos que todavía hoy se tiene de ellos.

La delegada del Gobierno, María José Sánchez Rubio, que junto con el coordi-nador del IAJ, Guillermo Quero, ha dado a conocer hoy a los premiados ha asegurado que con estos premios «la Junta busca el reconocimiento público de nuestro principal capital humano, la población joven, llamada a participar activamente en la sociedad a la que pertenecen y a protagonizar las conquistas y los avances que nuestra sociedad necesita y demanda».
Esta décimo segunda edición de los Premios Granada Joven reconocen ocho iniciativas en diferentes disciplinas que van desde los medios de comunicación, el asociacionismo, el arte, la promoción de Granada en el exterior, los deportes, el em-prendimiento y nuevas tecnologías, la universidad, o la solidaridad y acción social.

«Todos los galardonados son un ejemplo de nuestra mejor juventud, de ese preciado capital humano en el que tenemos puestas todas nuestras esperanzas. Son un ejemplo para todos los jóvenes y para el conjunto de la sociedad», precisa la delegada del Gobierno. Los galardonados, que recibirán el premio en un acto que se celebrará el día 22 en la delegación del Gobierno, han sido:

En el apartado de INICIATIVAS UNIVERSITARIAS:

La DELEGACIÓN GENERAL DE ESTUDIANTES de la Universidad de Granada.

Esta Delegación se constituyó en 2009, y ha supuesto la articulación de la Co-munidad Estudiantil del la Universidad de Granada, constituida por más de 70.000 personas. Ha significado una revolución en la capacidad de los estudiantes universitarios para relacionarse con su entorno y es un referente que da voz a una numerosa población juvenil que será la constructora de la Granada del siglo XXI.

En INICIATIVAS QUE FOMENTAN EL ASOCIACIONISMO JUVENIL:

La ASOCIACIÓN JUVENIL DADOO XXII.

Esta asociación se creó en Íllora en 2003 con los y las jóvenes del municipio, con el objetivo de promover el ocio alternativo, educativo y constructivo del colectivo juvenil de la provincia. Forman parte del Consejo de la Juventud del Poniente Granadino y apoyan a diferentes asociaciones y ayuntamientos de la comarca en diversas actividades municipales. Colaboran activamente en múltiples actividades del la Diputación y el Instituto Andaluz de la Juventud.

En INICIATIVAS EMPRESARIALES O TECNOLÓGICAS:

La EMPRESARIA ELENA DE BENAVIDES JIMÉNEZ.

Elena es Economista y obtuvo el galardón «MIT-TR35-Spain» del Massachussets Institute of Technology que premiaba a los 10 mejores proyectos innovadores de jóvenes españoles. Su proyecto consistió en el desarrollo de sistemas sanitarios mixtos para el tratamiento de dolencias generalizadas, un modelo de gestión que preten-de dar servicio a un alto número de pacientes (60 % de la población mundial) y que permitirá desarrollar nuevas estructuras para dar un tratamiento ultra-especializado de grandes volúmenes de pacientes aquejados con la misma patología.

En INICIATIVAS DEPORTIVAS

GUILLERMO HERNÁN RUPÉREZ

Guillermo es el capitán de la selección española de Voleibol absoluta, campeona de Europa. Actualmente juega en el CAI Teruel, equipo campeón de Liga y Copa del Rey-2011. Fue elegido MVP (Mejor Jugador del Torneo) en esta competición.

En INICIATIVAS EN LOS MEDIOS DE COMUNICACIÓN

PROGRAMA «TIRANDO A FALLAR» EMISORA «ES.RADIO»

El Programa «Tirando a Fallar» es un programa temático sobro baloncesto, referente para los aficionados a este deporte a nivel nacional. Está dirigido por Vicente Azpitarte, y la compañía de José Manuel Puertas y Miki Borges. Comenzó a emitir en 2004 desde Radio Contadero de Huétor Vega y hoy día retransmite grandes eventos, y forma parte de la gran parrilla nacional de «es.radio».

En INICIATIVAS ARTÍSTICAS

JUAN TORRES FAJARDO, «HABICHUELA NIETO»

El «Habichuela Nieto» es un virtuoso de la guitarra flamenca y creador de sus propias composiciones. Ha sido Premio «Bordón Minero» del Festival de Cante de las Minas 2011. Juan ha acompañado a Enrique Morente en sus conciertos por todo el mundo y colaboró con «Los Planetas» en su disco «La Leyenda del Espacio».

En INICIATIVAS QUE PROMOCIONAN GRANADA EN EL EXTERIOR

MANUEL LUCENA MEDINA

Manuel Lucena es actualmente el capitán del Granada CF. Este esforzado jugador del equipo desde que militaba en las divisiones Tercer y 2ª B, y se ha ganado ya el puestos y la reciente renovación gracias a su trabajo, constancia y profesionalidad. Manuel representa a un equipo con su reciente ascenso está promocionando a Granada no sólo fuera de Andalucía, sino en todo el mundo, por el interés que la LIGA española despierta en multitud de países de los cinco continentes.

En INICIATIVAS SOLIDARIAS O DE ACCIÓN SOCIAL

ASOCIACIÓN AHORINGA VUELCAPETA

Ahoringa Vuelcapeta es una organización independiente de otras entidades de carácter económico, político o de otra índole que trabaja bajo el lema «hacer bien sin hacer ruido». Desde 2007, los jóvenes que integran esta asociación que pertenecen a la Pastoral Universitaria de Granada, con experiencia misionera en el Poblado de la Selva Boliviana, apadrinan jóvenes para que puedan estudiar en la Universidad. Ya lo han logrado que 25 jóvenes de la zona. Afrontan también varios proyectos de Coope-ración al Desarrollo para la construcción de una Residencia Universitaria en Trinidad.

Descargar


La dramaturgia cuántica de Morón ofrece una alternativa de teatro trágico en Melilla

El día 23 de febrero, el PEC acogerá la representación de ‘Dámada’, una obra trágica de Antonio César Morón que se ha extraída del libro, de mismo autor, ‘Estado Antimateria’, donde se aborda el teatro desde la innovación técnica, aplicando a la puesta en escena las leyes de la física cuántica

De izda. a dcha.: Luz Andujar, Antonio César Morón, Simi Chocrón y José Antonio Vega’Dámada’ es el título de la próxima obra de teatro que se representará en la ciudad. Esta vez, el escenario será el del Palacio de Exposiciones y Congresos (PEC) porque, tal y como explica su autor y director Antonio César Morón, la obra requiere de un espacio más pequeño que el del Teatro Kursaal, en el que haya cercanía entre el espectador y el actor. Además, señala, es una obra arriesgada desde el punto de vista escénico por lo que se hace necesario un escenario que los intérpretes puedan dominar.

Esta tragedia cuenta la historia de Dámada, una mujer con cáncer que solicita al Estado que le practiquen la eutanasia, algo que le es denegado, sin que la protagonista cese en su empeño de lograr este objetivo. «Representamos el teatro de vanguardia y somos los únicos que hacemos tragedia», ha manifestado Morón, quien, consciente de que lo que triunfa entre los melillenses es la comedia, prefiere alternarlo con el género trágico para que la oferta teatral sea más completa.

La representación será el día 23 de febrero, a las 21 horas, y las entradas se pondrán a la venta mañana, día 21, con un precio de 10 euros, en el punto turístico situado frente al Casino Militar en su horario de apertura – de10 a 13 horas y de 16 a 21 horas-.

Portada del libro que Morón presentará en Melilla y, justo después, en Nueva YorkEsta obra forma parte, junto a otras cuatro –’Renacimiento’, ‘Mariana Pineda’, ‘Lady Pichica’ y ‘La Tata Macha’-, de un compendio llamado ‘Estado Antimateria. Pentarquía de dramaturgia cuántica’, escrito por Morón. El libro será presentado el 22 de febrero –un día antes de la representación- en el Real Club Marítimo a las 20 horas. De Melilla dará el salto al Teatro IATI de Nueva York, donde a la presentación se sumará la lectura dramatizada de ‘Mariana Pineda’, una historia ya abordada por numerosos autores granadinos, pero a la que Morón aporta la perspectiva de la dramaturgia cuántica inventada por él mismo.

La dramaturgia cuántica es un intento de ruptura con las reglas tradicionales del teatro, extrapolando las leyes de la física cuántica al arte escénico. Esto supone un cambio en la forma de tratar el tiempo, el espacio, la identidad de los personajes y la transmisión de la información entre ellos, información con la que se construye la historia. «El cómo es muy importante en esta obra», señala su autor, quien asegura que en lugares como Estados Unidos la puesta en escena basada en esta dramaturgia cuántica «está generando muchas expectativas».

Los cerca de 30 actores que componen el elenco de ‘Dámada’ son alumnos y ex alumnos de la Facultad de Educación del campus melillense de la Universidad de Granada (UGR), aunque también hay otros estudiantes ajenos a este centro educativo. Todos ellos también se están beneficiando y trabajando en este teatro que se ha convertido en una gran alternativa de ocio en la ciudad.

Durante la presentación de la obra, han estado presentes el autor y director, Antonio César Morón; la consejera de Cultura, Simi Chocrón; el presidente del Centro UNESCO en Melilla, José Antonio Vega –cuyo departamento de Artes Escénicas, dirigido por Paco Gámez, ha participado activamente en el proyecto-; y una de sus protagonistas, Luz Andujar.

Descargar


Inspiración para abrir los ojos

«¿Qué vendemos? Conocimiento», se responde María Sánchez, alma de La Algaba. Pero la sabiduría es solo el tronco de este centro que rebosa naturaleza ubicado a las afueras de Ronda (Málaga). Las ramas de este experimento excepcional (visitar especies en peligro de extinción, construir herramientas en un poblado prehistórico, 200 hectáreas de monte mediterráneo y un largo etcétera) conforman un entorno que todo tipo de grupos eligen para debatir sus ideas en un ambiente inspirador: especialistas en hormigas, apasionados de las setas, economistas ecológicos, investigadores de incendios, veterinarios, arqueólogos…

28 millones de indemnización por defender el paisaje
El proyecto condensa la educación ambiental, la agroecología y la arqueología. Y recuperar razas autóctonas domésticas

La estrella que acumula más elogios de La Algaba es un poblado con 15 chozas para revivir el Neolítico

La finca alberga asimismo un observatorio ornitológico y un área de geología

La Algaba condensa tal multitud de vertientes y líneas de investigación que es difícil creer que Sánchez, antropóloga especializada en ecología humana, pueda atender tantos frentes. Es cierto que la arropan otras dos mujeres que trabajan para la cooperativa y su pareja, Juan Terroba, un ecologista que te atraviesa con mirada franca para explicar los secretos de un éxito silencioso, progresivo y muy trabajado desde que el proyecto nació en 2005.

Durante tres años biólogos, sociólogos, geólogos, arqueólogos y pedagogos investigaron al alimón y pergeñaron una idea que condensara la educación ambiental, la agroecología y la arqueología. Las buenas intenciones se transformaron en realidad a medida que desbrozaban la finca y tendían alianzas con universidades, centros de investigación y todo tipo de empresas. Y ahora el fruto más maduro es la difusión de la naturaleza y el ámbito rural, pero también campamentos bilingües para aprender inglés. «Algunos niños de ciudades descubren que una vaca no es de color lila porque solo han visto la del chocolate en la tele», explica divertida la pedagoga Francisca Pereña, que atiende a grupos de escolares, universitarios investigadores y curiosos de todas las edades.

Un empeño fundamental de La Algaba es reivindicar el patrimonio genético, y para ello han recuperado razas ganaderas en peligro de extinción como la pajuna y la cárdena. A esta última pertenece Antoñito, un toro de cuernos infinitos que ronda los 1.000 kilos de peso y que vive en libertad junto a tres hembras. «Todo el mundo está concienciado con el lince y el lobo, pero casi nadie sabe que razas autóctonas domésticas están en peor situación», ilustra Terroba. Otras especies refugiadas en la finca son la oveja merina grazalemeña, el burro andaluz, la gallina utrerana (con plumajes azules o negros) y el cerdo rubio gaditano, la última reliquia por la que han apostado en colaboración con la Universidad de Córdoba y la Diputación de Cádiz.

Sin embargo, la estrella que acumula más elogios de La Algaba es un poblado con 15 chozas para revivir el Neolítico desde la arqueología experimental, una rama que investiga el pasado a partir de la recreación de utensilios y formas de vida prehistóricas. Las chozas están levantadas con madera de encina, zócalo de piedra, retama y cuerdas de esparto. «No es un centro de interpretación al uso. Aquí unimos ciencia y difusión para poder palpar, fabricar herramientas cortantes como una punta de flecha. O coger tu molino y comprobar cómo haces tu propia harina con los granos de cereal», detalla Sánchez, que colabora con arqueólogos franceses, daneses y de la Universidad de Granada.

El poblado despierta la curiosidad por el silencio sepulcral que solo rompe el tallado de instrumentos de sílex y el canto de las aves. «La unión de naturaleza y arqueología está muy bien conseguida», elogia el exministro Manuel Pimentel, fundador de la asociación de criadores de ganado pajuno junto a Terroba.

La finca alberga asimismo un observatorio ornitológico y un área de geología, que explica por qué la Serranía de Ronda conserva el mayor afloramiento del planeta de rocas peridotitas. Desde los orígenes del periodo paleozoico (hace 500 millones de años) hasta las recientes exploraciones en la sima GESM, una impresionante cavidad de 1.100 metros. «La gente nunca le ha dado valor a los pedruscos. Cuando lo tienes tan a mano no lo valoras», dice Terroba.

Francisco Moreno, arqueólogo autodidacta, bromea y le busca las cosquillas al centro: «¿Una pega? Pues que está al sur del sur. Si La Algaba estuviera junto a Atapuerca, cada mes acudirían miles de estudiantes».

28 millones de indemnización por defender el paisaje
«Fueron a machacarnos. Y a machacarnos socialmente. La prensa decía que el responsable de Ecologistas en Acción era denunciado por talar 300 encinas. Trataron de desprestigiarnos y el sambenito permanece un tiempo». Juan Terroba, responsable de La Algaba, rememora el acoso que sufrió por denunciar la agresión al paisaje que supone un complejo ilegal de 800 chalés proyectado en un área protegida de la Serranía de Ronda. La pesadilla acabó el año pasado.

El aluvión de 25 denuncias que interpusieron los promotores del complejo Los Merinos por malversación, injurias y falsedad documental, entre otros delitos inventados, según determinaron los jueces, incluyó la friolera de 28 millones en indemnizaciones. La querella más llamativa fue interpuesta contra tres extranjeros, entre ellos Alastair Boyd, fallecido escritor y padrastro del reputado autor británico Martin Amis por decir frases como esta: «La plaga de edificios en áreas forestales y protegidas está amenazando el interés a largo plazo de la región». La odisea incluyó detectives que hurgaron en la vida de los que combatían la lacra del ladrillo. Ahora los magistrados instruyen las querellas por denuncias falsas que interpusieron los ecologistas.

El Ayuntamiento dio la espalda tanto a Terroba como a Francisco Moreno, ambos policías locales exmiembros de la patrulla verde, pese a su condición de funcionarios. El Consistorio les ofreció los mismos abogados contratados por los promotores. La explicación llegó el pasado septiembre, cuando la policía detuvo al exacalde socialista Antonio Marín, tres concejales y dos promotores por delitos de blanqueo, cohecho e irregularidades en los permisos de diversas urbanizaciones.

J. M.-A

Descargar