La toxina botulí­nica reduce las crisis en migrañosos

Científicos de la Universidad de Granada (UGR) han confirmado que la inyección de un anestésico local o de toxina botulínica en una serie de puntos denominados gatillo, situados en la musculatura pericraneal y del cuello, reduce la frecuencia de las crisis de migraña en aquellos pacientes que padecen esta enfermedad.

Los investigadores han logrado, además, identificar la ubicación de estos puntos gatillo, cuya activación desencadena crisis de migraña, y la relación de éstos con la duración de la enfermedad y la gravedad de las crisis.

Este trabajo es uno de los tres estudios que, simultáneamente, ha elaborado Juan M. García Leiva, del Instituto de Neurociencias Federico Olóriz de la UGR, bajo la dirección de Elena Pita.En el primer trabajo, los científicos exploraron sujetos sanos y pacientes diagnosticados de migraña y comprobaron las diferencias en la existencia o no de puntos gatillo y su localización. Así, vieron que los puntos gatillo aparecen en un 94 por ciento de pacientes con migraña y en un 25 por ciento de sujetos sanos.

Las localizaciones de los puntos gatillo más habituales fueron la zona temporal anterior y la suboccipital, ambas a nivel bilateral de la cabeza. Además, encontraron una correlación positiva entre el número de puntos que presenta el paciente con el número de crisis mensuales y los años de la enfermedad.

Posteriormente realizaron otro estudio con 52 pacientes migrañosos, refractarios a los tratamientos farmacológicos habituales, a quienes se les infiltró subcutáneamente 1 ml de anestésico local en aquellos puntos durante tres meses semanalmente. Esto provocó una disminución en la frecuencia de crisis superior o igual al 50 por ciento respecto al periodo basal en un 18 por ciento de pacientes.

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Un virus similaire à celui qui provoque les herpès pourrait être un des facteurs environnementaux déclenchant la sclérose multiple

Actuellement, on ne sait pas ce qui provoque la maladie, bien qu’il paraisse exister une certaine susceptibilité génétique chez les individus que la souffrent, associée à certains facteurs environnementaux, parmi lesquels se trouve ce virus. Des scientifiques de l’Université de Grenade ont mis en rapport le virus Epstein-Barr, de la famille des herpèsvirus, avec le développement de cette maladie

Le virus Epstein-Barr (VEB), de la famille des herpèsvirus incluant le virus de l’herpès simple et le cytomégalovirus, est un des facteurs environnementaux susceptible de déclencher la sclérose multiple, une maladie qui affecte le système nerveux central et dont les causes sont inconnues. C’est ce qu’ont confirmé des scientifiques de l’Université de Grenade qui ont analysé la présence de ce virus chez des malades de sclérose multiple, moyennant l’étude du taux d’anticorps, c’est-à-dire, les anticorps qui sont produits à l’intérieur du système nerveux central, et qui pourraient donc être impliqués directement dans le développement de la sclérose multiple.

La sclérose multiple est une maladie démyélinisante qui affecte le système nerveux central. On ne sait pas ce qui la produit bien qu’il paraisse exister une certaine susceptibilité génétique chez les individus qui la souffrent, associée à certains facteurs environnementaux qui pourraient la provoquer.

Bien que plusieurs études aient essayé de déterminer comment l’infection par le virus Epstein-Barr pourrait être considérée comme un facteur à risque pour développer la sclérose multiple, les scientifiques grenadins ont réalisé une métanalyse d’études observationnelles de cas et de contrôles afin de déterminer cette association.

Étude sur 151 personnes

De plus, chez un groupe de patients avec sclérose multiple (composé de 76 personnes) et un autre de non malades (75 personnes), on a cherché un patron capable d’associer le virus et la sclérose multiple. Pour ce faire, on a déterminé la présence d’anticorps face aux antigènes du virus, synthétisés dans le système nerveux central, ainsi que la détection d’ADN viral afin de rechercher le taux d’anticorps face au VEB dans le système nerveux central, et la présence d’ADN de VEB, respectivement.

Cette recherche a été menée à bien par Mme Olivia del Carmen Santiago Puertas, du Département de Microbiologie de l’Université de Grenade, et dirigée par les professeurs MM. José Gutiérrez Fernández, Antonio Sorlózano Puerto et Óscar Fernández Fernández. Les scientifiques ont obtenu une association statistiquement significative entre l’infection virale et la sclérose multiple, à partir de la détection de marqueurs indiquant fondamentalement les infections passées et non les récentes ou les réactivées.

Mme Olivia del Carmen Santiago Puertas affirme que, dû à ce que l’on ignore encore les facteurs qui déclenchent cette maladie, « il est important de commencer à les étudier et, si possible, à développer un type quelconque de prophylaxie. »

Cette étude a trouvé une association avec certains marqueurs d’infection du virus, « mais pour obtenir une conclusion définitive, il est nécessaire de réaliser de nouvelles recherches avec un nombre suffisant de patients, qui utilisent les combinaisons de diverses techniques microbiologiques, et où seront déterminés les différents marqueurs d’infection virale, en tenant compte de la situation clinique du patient, même des années avant l’apparition des premiers symptômes de la sclérose multiple. »

Références bibliographiques:

– Relation between Epstein-Barr virus and Multiple Sclerosis. Analytic study of scientific production. European Journal of Clinical Microbiology and Infectious Diseases. 2010.

– New Strategies and Patent Therapeutics in EBV-Associated Diseases. Mini-Reviews in Medicinal Chemistry. 2010.

Contact: Olivia del Carmen Santiago Puertas. Département de Microbiologie de l’Université de Grenade. Tél.: +34 958 242071. Courriel: oliviasantiago@ono.com


A virus similar to herpes could be a risk factor for multiple sclerosis

At present, while there is no cause known for this condition, patients with MS seem to have genetic vulnerability to certain environmental factors that could trigger this condition, such as the Epstein-Barr virus. Scientists at the University of Granada have found a relation between the Epstein-Barr virus –which belongs to the herpesviruses family–and the development of this condition

The Epstein-Barr (EVB) virus –belonging to the herpesviruses family, which also includes the herpes simplex virus and the cytomegalovirus– is one of the environmental factors that might cause multiple sclerosis, a condition affecting the central nervous system, which causes are unknown. This has been confirmed by University of Granada scientists that analyzed the presence of this virus in patients with multiple sclerosis. Researchers analyzed antibody levels, that is, antibodies that are produced within the central nervous system and that could be directly involved in the development of multiple sclerosis.

Multiple sclerosis is a demyelinating condition affecting the central nervous system. Although the cause for this condition is unknown, patients with MS seem to have genetic vulnerability to certain environmental factors that could trigger this condition.

While other studies have tried to ellucidate whether infection with the Epstein-Barr virus could be considered a risk factor in multiple sclerosis, what University of Granada researchers did was conducting a meta-analysis of observational studies including cases and controls, aimed at establishing such association.

A 151-patient sample

In a sample of 76 healthy individuals and 75 patients with multiple sclerosis, researchers sought a pattern that would show an association between this virus and multiple sclerosis. Thus, they determined the presence of ant¡bodies to Epstein-Barr virus antigens synthetized within the central nervous system. Simultaneously, they identified viral DNA to measure antibody levels to EBV within the central nervous system, and the presence of EBV DNA respectively.

This piece of research was conducted by Olivia del Carmen Santiago Puertas at the Department of Microbiology, University of Granada, and coordinated by professors José Gutiérrez Fernández, Antonio Sorlózano Puerto and Óscar Fernández Fernández.

The researchers found a statistically significant association between viral infection and multiple sclerosis starting from the detection of markers that essentially indicate an infection in the past, while markers that indicate recent infection or reactivation are not relevant.

The researcher Olivia del Carmen Santiago Puertas state that, as the factors triggering this condition are still unknown “studying them is important to try to develop a prevention method”.

This study found an association between MS and some viral infection markers “but, to obtain a definitive conclusion, further research is needed with a significant number of patients that combine different microbiological techniques, where the different viral infection markers are recorded, and assessing patients’ clinical state even years before the onset of the first symptoms of multiple sclerosis”.

References:

– Relation between Epstein-Barr virus and Multiple Sclerosis. Analytic study of scientific production. European Journal of Clinical Microbiology and Infectious Diseases. 2010.

– New Strategies and Patent Therapeutics in EBV-Associated Diseases. Mini-Reviews in Medicinal Chemistry. 2010.

Contact: Olivia del Carmen Santiago Puertas. Department of Microbiology, University of Granada. Office phone: +34 958 242 071. E-mail address: oliviasantiago@ono.com


Un virus similar al que provoca los herpes podría ser uno de los factores ambientales que desencadenan la Esclerosis Múltiple

  • Actualmente, no se conoce la causa que provoca la enfermedad, aunque parece existir cierta susceptibilidad genética en los individuos que la padecen, asociada a ciertos factores ambientales, entre los que se encontraría este virus
  • Científicos de la Universidad de Granada han relacionado el virus Epstein-Barr, perteneciente a la familia de los herpesvirus, con el desarrollo de esta enfermedad

El virus de Epstein-Barr (VEB) -perteneciente a la familia de los herpesvirus, que también incluye el virus del herpes simple y el citomegalovirus- es uno de los factores ambientales que podría desencadenar la Esclerosis Múltiple, una enfermedad que afecta al Sistema Nervioso Central y cuyas causas se desconocen. Así lo han confirmado científicos de la Universidad de Granada, quienes han analizado la presencia de este virus en enfermos con Esclerosis Múltiple, mediante el estudio del índice de anticuerpos, es decir, los anticuerpos que son producidos en el interior del Sistema Nerviosos Central y que por lo tanto podrían estar directamente implicados en el desarrollo de la Esclerosis Múltiple.

La Esclerosis Múltiple es una enfermedad desmielinizante que afecta al Sistema Nervioso Central. No se conoce la causa que provoca la enfermedad, aunque parece existir cierta susceptibilidad genética en los individuos que la padecen, asociada a ciertos factores ambientales que podrían desencadenar la enfermedad.

Pese a que varios estudios han intentado determinar cómo la infección por el virus de Epstein-Barr se podría considerar un factor de riesgo para desarrollar la Esclerosis Múltiple, los científicos granadinos han realizado un meta-análisis de estudios observacionales de casos y controles, cuyo fin es determinar esta asociación.

Estudio con 151 personas

Además, en un grupo de pacientes con Esclerosis Múltiple (formado por 76 personas, y otro de sujetos sin enfermedad (75 personas) se buscó un patrón que intente asociar el virus y la Esclerosis Múltiple. Para ello, se determinó la presencia de anticuerpos frente a los antígenos del virus, sintetizados en el sistema nervioso central, así como la detección de ADN vírico para investigar el índice de anticuerpos frente al VEB en el Sistema Nervioso Central y la presencia de ADN de VEB, respectivamente.

Esta investigación ha sido realizada por Olivia del Carmen Santiago Puertas, del departamento de Microbiología de la Universidad de Granada, y dirigida por los profesores José Gutiérrez Fernández, Antonio Sorlózano Puerto y Óscar Fernández Fernández.

Los científicos han obtenido una asociación estadísticamente significativa entre la infección vírica y la Esclerosis Múltiple, a partir de la detección de marcadores que, fundamentalmente, indican infección pasada y no con los que indican infección reciente o reactivación.

Olivia del Carmen Santiago Puertas afirma que, debido a que todavía se desconocen los factores que desencadenan esta enfermedad, “es importante empezar a estudiarlos y, si es posible, desarrollar algún tipo de profilaxis frente a éstos”.

En este estudio se ha encontrado asociación con ciertos marcadores de infección del virus, “pero para poder obtener una conclusión definitiva es necesario que se desarrollen nuevas investigaciones, con un número suficiente de pacientes, que utilicen la combinación de varias técnicas microbiológicas, donde se determinen los diferentes marcadores de infección vírica valorando la situación clínica del paciente, incluso años antes de la aparición de los primeros síntomas de la esclerosis múltiple”.

Referencias bibliográficas:

  • Relation between Epstein-Barr virus and Multiple Sclerosis. Analytic study of scientific production. European Journal of Clinical Microbiology and Infectious Diseases. 2010.
  • New Strategies and Patent Therapeutics in EBV-Associated Diseases. Mini-Reviews in Medicinal Chemistry. 2010.

Contacto: Olivia del Carmen Santiago Puertas. Departamento de Microbiología de la Universidad de Granada. Teléfono: 958 242 071. Correo electrónico: oliviasantiago@ono.com


El Telegrama de Melilla

Pág. 13: El Campus organiza un curso lingüístico sobre el uso de la lengua frente a la norma académica

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El País

Pág. 36: Un cero en oratoria

España no ha entendido Bolonia, según los expertos

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Ideal

Pág. 65: Homenaje a Celaya

Pág. 81: Charla de Antonio Chicharro / ‘La cena’

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Granada Hoy

Pág. 26: Antonio Chicharro habla sobre Gabriel Celaya

Pág. 27: ‘La cena’ abre el III Encuentro de teatro

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¿El próximo gran terremoto? En Andalucía

¿El próximo gran terremoto? En Andalucía. Lo certifican las estadísticas. El sur es la zona con mayor actividad sísmica de España. Las provincias de Granada y Málaga lideran la clasificación de peligro Ritcher, al situarse entre la placa euroasiática y africana. La población sólo percibe uno de cada diez terremotos.

“La cercanía del epicentro de la ciudad ha sido fundamental para explicar el efecto devastador en Lorca”, cuenta a El Confidencial Gerardo Alguacil, subdirector de Instituto Andaluz de Geofísica, dependiente de la Universidad de Granada. “Los terremotos no se pueden saber con antelación. En el caso de un tsunami, sí da tiempo a avisar”, precisa el sismógrafo granadino.

Una de las claves más polémicas del terremoto lorquino es la aplicación de la normativa de edificación sismorresistente, en vigor desde 2002, que obliga a una mayor resistencia de los inmuebles a los terremotos. Tatiana María Goded Millán, autora de la tesis doctoral Evaluación del riesgo sísmico de la ciudad de Málaga, señala que la mayor parte de los monumentos en la capital de la Costa del Sol presentan probabilidades muy bajas de sufrir daños de grados 4 y 5. Sin embargo, del orden de 15% de los edificios presentan probabilidades entre el 30% y el 50% de sufrir ambos grados de daño.

Tomás Rodríguez Estrella, profesor de Geodinámica Externa de la Universidad Politécnica de Cartagena (UPC), explicó el pasado jueves en el diario La Verdad que en la comunidad murciana “la corteza terrestre es muy delgada, de ahí los terremotos y el termalismo”. En el caso de Lorca la falla pasa justamente bajo el Hospital Rafael Méndez y la parte alta del casco antiguo. “No se debió construir allí”, lamenta Rodríguez.

¿Cómo se pueden evitar las muertes por terremotos? “Habrá que hacer estudios técnicos en detalle, pero la primera impresión es que la población no estaba muy informada de qué hacer, por eso ha habido víctimas”, explica a este diario el subdirector del Instituto Andaluz de Geofísica.

El investigador ofrece algunas claves para mejorar la seguridad: lo primero, en caso de seísmo no hay que salir corriendo a la calle (se desprenden muchos elementos de las fachadas). Lo mejor es refugiarse debajo de una mesa, muebles fuertes o debajo de una viga maestra. “Hay que tranquilizar a la gente. El riesgo de terremotos en Andalucía no ha aumentado por el terremoto de Lorca”, aclara el sismólogo de la Universidad de Granada.

Pero el riesgo es elevado. Ricardo García, miembro de la Asociación Española de Ingeniería Sísmica, ya advirtió en 2004 que Andalucía sufriría en este siglo un terremoto de gran intensidad. El último seísmo grave que se produjo en la región fue el de 1884, en el que se vieron afectados más de un centenar de municipios y se destruyeron 14.000 viviendas.

El terremoto “esperado” en Andalucía se situaría en una magnitud cercana a los 6,5 grados Ritcher, según Jesús Ibáñez, director del Instituto Andaluz de Geofísica. Resulta imposible calcular la predicción temporal y espacial de un terremoto. Las estadísticas históricas tan sólo se usan para prever el sismo «más probable» en una determinada zona. En 2010 se sintieron en Andalucía una treintena de terremotos, superiores a 2 grados de magnitud, el doble que en 2009.

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‘Operación biquini’: no hay milagros sin sacrificio

Pasó el invierno y el aumento térmico ha devuelto a los armarios la ropa ligera de la temporada anterior. La temporada de baño se acerca rápidamente, pero el bañador revela los excesos de un invierno de fiestas, agasajos y banquetes. Los expertos, reunidos en un simposio en Niza (Francia), son firmes al advertir que «no hay milagros» para adelgazar, no existen dietas ‘estrella’ que permitan bajar dos tallas en un mes sin correr el peligro de ganarlas al mes siguiente. El secreto es una alimentación equilibrada y hacer ejercicio moderado, según explica Jesús Román Martínez, presidente de la Sociedad Española de Dietética y Ciencias de la Nutrición.
El problema es que los kilos de más terminarán, con el tiempo, por convertirse en obesidad, lo que es una enfermedad y lleva aparejados numerosas dolencias. «Ingerimos más energía que la que gastamos», destaca el profesor Martínez y eso se traduce en un sobrepeso «consecuencia del desequilibrio energético».
Según este experto, no se pude seguir comiendo a los 40 años las mismas cantidades que cuando se tenían 16. «Con la edad comes más y te mueves menos, y es entre los 20 y los 30 años cuando disminuye la masa muscular y se gasta menos energía», lo que lleva al sobrepeso. «Es un fenómeno creciente y no se hace nada para evitarlo», advierte.
Para Jesús Román Martínez «sabemos qué comer», pero «cometemos errores alimenticios». La justificación que suelen dar en la consultas del médico es que «no come bien porque no tenemos tiempo». El profesor asegura que todo es un problema de organización, dado que «si tienes la compra bien hecha puedes comer bien», por lo que reclamó que desde pequeños se eduque a las nuevas generaciones sobre lo que es una alimentación equilibrada.
Dietas ‘yo-yo’
Ante la incipiente barriga, por querer enfundarse los pantalones que el año pasado ya nos venían justos o al tener que enseñar los michelines acumulados con el bañador, muchas personas inician las llamadas dietas ‘yo-yo’, de disociaciones, de abstenerse de ciertos alimentos o consumir otros en cantidad. Eso se supone la rápida pérdida de kilos que, una vez que se deje ese pseudorégimen vuelven a acumularse. «Además, se exponen a una malnutrición, a la falta de minerales o de vitaminas», apunta, porque perder peso «es muy fácil, la gente se atiborra a diuréticos y laxantes, y ya está, pero no quema la grasa que le sobra». Lo aconsejable es perder entre 1,5 y 2 kilos al mes.
El presidente de la Sociedad Española de Dietética y Ciencias de la Nutrición advierte que junto a una dieta adecuada realizar una la actividad física «es importante y no debe dejarse de lado».
Ayuda farmacéutica
Desde un punto saludable una ayuda para perder los kilos sobrantes son las plantas medicinales. Eso no significa que haya que ponerse las botas de montaña e irse a recolectar hierbas por los campos. Para eso están los preparados farmacéuticos a base de plantas, tal como pusieron de manifiesto los expertos en el simposio organizado por el Centro de Investigación sobre Fitoterapia (Infito) y el laboratorio Arkopharma.
El farmacéutico cuenta con formación científica en fitoterapia, explica Concha Navarro, catedrática de Farmacología de la Universidad de Granada y presidenta del Infito, «por lo que puede asesorar sobre los preparados de plantas más indicados para cada paciente».
El tratamiento del sobrepeso con plantas medicinales se puede realizar a través diferentes vías: disminución de la ingesta energética, incremento en el gasto, inhibición de la absorción de lípidos, disminución de los depósitos grasos o de la proliferación y diferenciación de adipocitos, añade Teresa Ortega, profesora de Farmacología de la Universidad Complutense de Madrid y vicepresidenta de Infito. «Existen plantas medicinales eficaces y seguras, con principios activos capaces de actuar sobre uno o varios de estos aspectos», destaca la experta.
La planta medicinal con más estudios sobre su eficacia en el control del peso es el té verde o camilina. «Hoy día sabemos que en la hoja de camelia sinensis se combinan diferentes mecanismos como son un incremento en el gasto energético y en la oxidación de grasas y una disminución en el apetito y la absorción de lípidos. Todo ello mediante la activación de procesos en el sistema nervioso central y actuación en enzimas implicadas en el metabolismo», explica Teresa Ortega.
Otras plantas indicadas para combatir el sobrepeso que han demostrado su eficacia, según enumera la profesora de Farmacología, son la garcinia cambogia, que disminuye la lipogénesis (acumulación de grasas) y reduce el apetito; plantas con mucílagos que inducen efecto saciante como el plantago o que contienen además principios activos capaces de disminuir la grasa abdominal, como el fucus, o plantas como el mate o el guaraná con efectos similares al té verde.
Además, pueden utilizarse, en combinación con las anteriores, productos fitoterápicos con efectos depurativos (alcachofa), diuréticos (ortosifón) y ansiolíticos (amapola de California) que contribuirán de forma importante a reducir el peso corporal cuando el paciente tratado así lo requiera.
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Imbroda confirma que en junio comenzarán las obras de mejora del entorno de Beni-Enzar

Salvo imprevistos, las obras para mejorar el entorno del paso fronterizo de Beni-Enzar comenzarán a finales de junio, cuando se complete un proceso de adjudicación al que se han presentado once empresas. Aunque el tipo de licitación con el que este proyecto ha salido a concurso supera los 1,5 millones de euros, la oferta más baja apenas llega a los 700.000 euros. El área de Medio Ambiente confía en que esos trabajos no se prolonguen más allá de diciembre.
Esta actuación, presentada a mediados de febrero y de la que dio cuenta recientemente el presidente de la Ciudad, Juan José Imbroda, dará respuesta a una vieja aspiración de los vecinos de la urbanización Príncipe de Asturias y transformará de forma radical la principal entrada a la ciudad desde Marruecos. Tanto la intensa actividad comercial de la zona como el comercio atípico de mercancías, han convertido un espacio verde plagado de eucaliptos en vertedero de cartones. El objetivo de Medio Ambiente es recuperar este espacio con un bulevard que ofrezca de Melilla la imagen de una ciudad moderna y europea.
Edificios emblemáticos
En cuanto al edificio de Correos, aseveró Imbroda que «tendrá una solución». Al ser preguntado por el futuro de este edificio, reconoció que no entiende la decisión adoptada por el Gobierno central, así como la necesidad de acometer un traslado que está suponiendo unos gastos anuales de un millón y medio de euros en concepto de alquiler. Remarca que, según la información que maneja, recuperar el inmueble no costaría más allá de un millón de euros, dado que tiene constancia de que, pese a lo que se ha dicho, no está afectado de aluminosis. Recordó su proyecto de instalar allí un Campus de la Salud donde se podrían impartir los grados de Enfermería y de Fisioterapia, asunto que trató con el rector de la Universidad de Granada, Francisco González Lodeiro.
En el espacio ‘El presidente responde’ de Onda Cero, el jefe del Ejecutivo autónomo también habló del edificio del Banco de España, «que no se debería perder». A su juicio, la habilitación de ambos inmuebles es «fundamental» para «dar vida al centro». Sobre la rehabilitación de la fachada del Palacio de la Asamblea dijo que estará terminada dentro de tres o cuatro meses, «una obra que supondrá un lavado de cara importante para un inmueble tan emblemático».
De igual modo, anunció que si vuelve a tener responsabilidad de Gobierno se acometerá la rehabilitación de las plantas superiores del edificio que alberga la Oficina de Información y Atención al Ciudadano del centro, dado que la fachada lateral presenta un aspecto muy deteriorado.
Tuberías
Al margen de estos asuntos, confirmó que dentro de dos meses estarán terminadas las obras que la Consejería de Fomento está acometiendo en el barrio del Real y que suponen la sustitución de todas las tuberías. Aprovechó para recordar que en la legislatura que acaba se han cambiado 144 kilómetros de tuberías – el 70 por ciento del total- y aseguró que, aunque es consciente de la molestia que causan a los vecinos, estas obras se hacen para mejorar su calidad de vida. Adelantó que, después del Real, se comenzará a trabajar en el barrio del Hipódromo, «algo que ya está en Mesa de Contratación».
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Feminismo y antifeminismo en la España del siglo XX

Cómo las mujeres han influido en los procesos de cambio social y en las culturas políticas de la España del siglo XX. La ambiciosa monografía Feminismos y Antifeminimos. Culturas políticas e identidades de género en la España del siglo XX, que se presenta hoy en La Nau de la Universitat de València (20.00 horas), analiza cómo se construyeron las demandas igualitarias dentro de las diferentes culturas políticas (socialismo, comunismo, franquismo…) y analiza las posturas feministas y antifeministas que se conformaron en cada formación política.

Coordinado por Ana Aguado y Teresa M. Ortega, y editado por Publicacions de la Universitat de València y la Universidad de Granada, en este volumen participan un total de 13 especialistas en historia de las mujeres procedentes de diversas universidades españolas e internacionales.

La obra supone una amplia reflexión sobre la construcción de la identidad femenina y de género en la historia española del siglo XX, a lo largo de diversas etapas históricas: Restauración, II República, Franquismo, Transición… y en varios capítulos recoge aspectos relativos a la realidad del País Valenciano.

Según las autoras resulta «frecuente encontrar trabajos que abordan la historia contemporánea de España, pero hay escasas monografías que integran la historia de la mujer y de género».

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