D’après une étude, les changements dans les rôles sociaux de l’homme et de la femme peuvent être une des raisons de l’augmentation de la violence générique

Une recherche réalisée à l’Université de Grenade signale que les hommes sexistes, sentant que leur pouvoir dans le couple est menacé, peuvent parfois utiliser la violence comme instrument afin de restaurer leur pouvoir perdu. Les femmes qui croient que leur couple réagira de façon agressive contre elles, si elles ne s’en tiennent pas aux rôles traditionnels, choisissent de sacrifier l’égalité au profit de la sécurité.

Les changements vécus dans les rôles sociaux traditionnels de l’homme et de la femme peuvent être une des raisons de l’augmentation des cas de violence générique, vu que quand les hommes sexistes sentent que leur pouvoir dans le couple est menacé, ils peuvent utiliser la violence comme instrument afin de restaurer leur pouvoir perdu.

Ainsi, la violence devient un instrument de contrôle du pouvoir menacé, et un moyen de le récupérer, car une partie importante des hommes d’aujourd’hui « se sentent menacés par le changement de leurs rapports avec les femmes, et sont incapables de comprendre des rapports génériques en termes d’égalité malgré la norme sociale généralisée. »

Toutes ces conclusions découlent d’une recherche menée à bien au Département de Psychologie sociale et de Méthodologie des Sciences du Comportement de l’UGR par Mme María del Carmen Herrera Enríquez, et dirigée par les professeurs Francisca Expósito Jiménez et Miguel C. Moya Morales. Ce travail prétend répondre à une question très concrète : « Pourquoi certains hommes maltraitent-ils certaines femmes ? »

La recherche menée à bien à l’UGR a abordé le sujet de la violence contre les femmes d’un point de vue psychosocial, à partir de deux facteurs explicatifs : le sexisme et l’asymétrie du pouvoir dans le couple. Concrètement, son auteur a prétendu avancer d’un pas dans la recherche du rôle joué par la perception de menace au propre pouvoir dans les mécanismes producteurs de violence générique. Mme Herrera affirme que « non seulement le comportement de la personne est important, mais aussi l’influence du contexte social et ce qu’il ajoute à ce comportement. »

Femmes qui restreignent leurs ambitions
La chercheuse de l’UGR considère que notre société souffre un problème, qui est que l’acceptation par la femme du sexisme bénévole (qu’elle définit comme ‘sexisme à connotation positive, accompagné de soins et de paternalisme envers la femme’) peut les mener à restreindre leurs ambitions pour ne pas affronter des conflits avec leur couple romantique. Autrement dit : Les femmes qui croient que leur couple réagira de façon agressive contre elles si elles ne s’en tiennent pas aux rôles traditionnels, choisissent de sacrifier l’égalité au profit de la sécurité.

Le sexisme bénévole « peut être considéré comme une lentille qui dénature la réalité, précisément à cause de ce ton positif qui le caractérise et qui affaiblit la résistance de la femme face à toute situation d’inégalité, de discrimination ou de violence dont elle fait l’objet. » Cette donnée souligne la nécessité d’étudier le sexisme entre femmes, tout en le considérant un facteur important qui complique le changement social au sein des groupes souffrant préjudice et discrimination, dont les membres finissent par assumer et même par être d’accord avec leur situation d’infériorité.

Cette recherche confirme l’importance des facteurs idéologiques dans la violence générique, ainsi que le rôle joué par le pouvoir dans la relation, et les réactions que certains hommes peuvent déclencher pour conserver et/ou récupérer le pouvoir perdu ou bien menacé.

Les résultats de ce travail peuvent constituer une pièce essentielle dans la prévention et l’intervention dans le domaine de la violence générique, vu que l’auteur a non seulement mis en relief l’importance des facteurs idéologiques chez l’agresseur, mais aussi le rôle joué par l’idéologie sexiste bénévole chez les femmes victimes potentielles.

Référence bibliographique :
– Expósito, F. & Herrera, M. C. (2009). Social Perception of Violence Against Women: Individual and Psychosocial Characteristics of Victims and Abusers. European Journal of Psychology Applied to Legal Context, 1, 123-145.
– Expósito, F., Herrera, M. C., Moya, M. & Glick, P. (en prensa). Don’t Rock the Boat: Women’s Benevolent Sexisms Predicts Fears of Marital Violence. Psychology of Women Quartely.

Contact : Mª Carmen Herrera Enríquez. Département de Psychologie sociale et de Méthodologie des Sciences du Comportement de l’Université de Grenade. Portable : 625 995940, courriel : mcherrer@ugr.es


According to a study, change in social roles of men and women may increase gender violence

A study conducted by the University of Granada reveals that when sexist men feel their power threatened in their sentimental relationships, they may use violence as a way to restore their lost power. Women who are afraid that their husbands will react violently against them if they do not stick to their traditional role opt for forgoing equality in exchange for security

Changes in social roles of men and women may cause the increase of gender violence. When sexist men feel their power threatened within their relationship, they may use violence as a way to restore their lost power.

Thus, violence becomes either an instrument to control their threatened power and a way to restore it. Currently, many men “feel threatened by the change that their relationship with women has undergone. They are unable to understand their relationship with women in terms of equality despite the prevailing social rules”.

Such conclusions were drawn from a research conducted by Prof. Mª Carmen Herrera Enríquez, from the Department of Social Psychology and Methodology of Behavioural Science of the University of Granada, coordinated by Prof. Francisca Expósito Jiménez and Miguel C. Moya Morales. This study was undertaken to obtain an answer to the following question: “Why do certain men batter certain women?”

The research conducted in the University of Granada employed a psycho-social perspective based on two factors: sexism and power imbalance in marriage. Concretely, the author’s purpose was to get a more thorough perspective and so she tried to investigate to what extent men’s perception of losing power may be a cause of gender violence. As Mª Carmen Herrera states: “it is not only the person’s behaviour what causes violence, but also the social context and its influence on men’s behaviour”.

Women forgo their ambitions
According to the University of Granada, our society has a problem: women accept benevolent sexism –which is defined by the author as “sexism with positive connotations, care to and paternalism towards women” – may lead them to forego their ambitions to avoid conflicts with their partners. In other words: Women who are afraid that their husbands will react violently against them if they do not stick to their traditional role opt for forgoing equality in exchange for security.

Benevolent sexism “can be deemed as a lens that distorts reality due to its positive tone that weakens women’s will in situations of inequality, discrimination or violence against them. This behaviour makes individuals accept this type of situation.

This research confirms the relevance of ideological factors in gender-based violence. It emphasizes the importance of power in sentimental relationships and its influence on men’s reactions in an effort to maintain or restore their lost/threatened power.

The results obtained from this study may be essential in the prevention of and action against gender violence. The author has not only revealed the importance to the aggressor of ideological factors, but she has also highlighted the role of benevolent sexism in making women become potential victims.

References:
Expósito, F. & Herrera, M. C. (2009). Social Perception of Violence Against Women: Individual and Psychosocial Characteristics of Victims and Abusers. European Journal of Psychology Applied to Legal Context, 1, 123-145.
Expósito, F., Herrera, M. C., Moya, M., & Glick, P. (En prensa). Don’t Rock the Boat: Women’s Benevolent Sexism Predicts Fears of Marital Violence. Psychology of Women Quarterly.

Contact:
Mª Carmen Herrera Enríquez. Department of Social Psychology and Methodlogy of Behavioural Science of the University of Granada.
Mobile: +34 625 995 940. E-mail: mcherrer@ugr.es


Granada Hoy

Pág. 18: Exposición “Atrapados en el Hielo”, en el Hospital Real
COSTA TROPICAL – Pág. 17: Ayuntamiento y UGR sientan las bases para la implantación de la Universidad
Pág. 34: Demasiado premio para el Torrepacheco en Granada
Pág. 35: Dos clubes granadinos, en la nacional femenina
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El País

Pág. 40: Y la Universidad española compitió
Pág. 41: Las protestas “anti-Bolonia” se extienden por Alemania
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Ideal

VIVIR – Pág. 11 – Agenda: “Caelum & Terra” |La astronomía en los libros, en el Hospital Real |“Atrapados en el hielo” |“Creadoras del siglo XX” en el Museo de Bellas Artes en Granada |“El arte con la Cofradía Universitaria”
Pág. 60: Homenaje a Medina Cantalejo en el Car de Sierra Nevada
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Cómo ayudar entre todos al hipertenso

Cómo ayudar entre todos al hipertenso

Todos los profesionales sanitarios deben ejercer una función de promotores de la salud. Diversos estudios sostienen que el control de la presión arterial (PA) puede ser mejorado cuando el farmacéutico y el médico intervienen proporcionando educación sanitaria al paciente. Para ello, el farmacéutico debe mantener una comunicación constante con el médico. En los últimos años los farmacéuticos han comenzado a trabajar en la detección y control de hipertensos y su posterior derivación al médico. Ahora bien, la oportunidad que tienen para asumir un mayor papel en la detección, manejo y control de estos pacientes depende de las características del sistema de salud y del grado de integración de dichos profesionales en el equipo de salud.

En la definición de atención farmacéutica (AF) se dice que el ejercicio de ésta implica la cooperación con el médico y otros profesionales sanitarios para conseguir resultados que mejoren la calidad de vida del paciente.

Con el paso de los años han ido apareciendo publicaciones en España en las que se constata que es posible esta buena colaboración, como la Guía de Protocolos de Indicación Farmacéutica y Criterios de Derivación al Médico en Síntomas Menores, publicada por el Grupo de Investigación en AF de la Universidad de Granada y que contó con la colaboración de la Sociedad Española de Medicina de Familia y Comunitaria, la Sociedad Española de Farmacia Comunitaria y CF.

Algo parecido ha ocurrido con un estudio multicéntrico de seguimiento farmacoterapéutico (SFT) realizado en hospitales de toda España y con otro estudio efectuado en un ambulatorio de Málaga, donde también han colaborado médicos y farmacéuticos en beneficio de los pacientes. En ambos trabajos se han puesto de manifiesto las bondades del trabajo en equipo y la importante labor que el farmacéutico puede realizar.

Centrándonos en el control de la hipertensión arterial (HTA), hay estudios que han demostrado los beneficios de la colaboración entre médicos y farmacéuticos para lograr disminuir los valores de la PA. Entre estos estudios se encuentra mi tesis doctoral, cuyo principal resultado fue que el 80,1 por ciento de los pacientes con PA elevada que, haciendo caso a los consejos de educación sanitaria del farmacéutico, modificaron al menos un hábito de vida no saludable consiguieron disminuir en al menos una categoría sus valores. De estos pacientes que modificaron algún hábito, los que fueron derivados al médico lograron disminuir una media de 1,8 categorías sus valores de PA, mientras que los no derivados disminuyeron sólo una media de una categoría. Por tanto, se demuestra que cuando el farmacéutico deriva a los pacientes al médico se logra una disminución de los valores de PA que es casi el doble de la obtenida cuando el farmacéutico realiza en solitario la educación sanitaria.

En el estudio Medafar Hipertensión, de la Fundación Pharmaceutical Care y la Sociedad Española de Médicos de Atención Primaria (Semergen), elaboraron guías sobre situaciones derivables. El objetivo fue resolver problemas de farmacoterapia mediante la colaboración entre médicos y farmacéuticos, y concluyó que la interconsulta entre ambos profesionales es posible y bien aceptada (los médicos de atención primaria respondieron al 43 por ciento de las derivaciones recibidas de los farmacéuticos comunitarios) y permite reevaluar la efectividad y seguridad de la farmacoterapia tanto en hipertensos como en asmáticos en el caso del Medafar Asma.

El programa Alcanza Tu Objetivo, centrado en hipertensos no controlados y en el que participaron médicos, enfermeros y farmacéuticos, ha logrado incrementar el porcentaje de controlados desde un 38 por ciento al inicio hasta un 49, gracias, sobre todo, al elevado porcentaje de cumplimiento terapéutico conseguido (79 por ciento) a través del programa.

DOCUMENTO DE DERIVACIÓN INTERPROFESIONAL
Respecto a las medidas necesarias para mejorar la colaboración entre médicos y farmacéuticos en beneficio del paciente hipertenso, no creo que la solución sea elaborar más protocolos, ni guías de práctica clínica (ya que la HTA está suficientemente estudiada y cada profesional sanitario sabe cómo debe actuar). Lo que sí podría ayudar a mejorar la coordinación entre médicos y farmacéuticos y a controlar los valores de PA sería crear un documento de derivación interprofesional, donde se recojan las cifras de PA de los pacientes en distintas fechas, los medicamentos que toma el paciente para la HTA, sus factores de riesgo cardiovascular, sus hábitos de vida (saludables o no) y campos abiertos para recoger comentarios de los profesionales sanitarios y del paciente, entre otros.

Estos documentos permitirían el intercambio de información entre médicos y farmacéuticos en tiempo real y se podrían gestionar a través de la tarjeta sanitaria del paciente o de algún sistema informático (plataformas web comunes o incluyéndolos como un módulo dentro de los programas informáticos de las farmacias y centros sanitarios). Además, se debería potenciar la realización de más campañas de detección de pacientes hipertensos desconocidos, tanto en los centros sanitarios como en las farmacias, ya que sigue existiendo en España un gran porcentaje de hipertensos ocultos.
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La CGE ofrece apoyo tecnológico a 50 empresas en el último año

La CGE ofrece apoyo tecnológico a 50 empresas en el último año

Más de un centenar de empresas de la provincia se han beneficiado en el último año de los servicios del Gabinete de Asesoramiento Tecnológico (GAT) de la Confederación Granadina de Empresarios, un organismo creado para apoyar al tejido productivo y transformar la ciencia en crecimiento económico. Entre diciembre de 2008 y noviembre de 2009 han acudido al GAT un total de 104 empresas, la mayoría del sector servicios y con una facturación media de hasta 300.000 euros.

Del total de empresas, los servicios del Gabinete han atendido 61 consultas de información (relacionadas principalmente con los incentivos); 7 diagnósticos tecnológicos y 36 asesoramientos técnicos, centrados en la planificación de proyectos empresariales y búsquedas de financiación, informa la CGE en un comunicado remitido a laopiniondegranada.es.

A lo largo del último año, y con un escenario agravado por la crisis económica, el GAT ha llevado a cabo numerosas actividades interdisciplinarias entre el tejido productivo y la universidad, “con la intención de crear un espacio común de trabajo dirigido a empresarios, universitarios, políticos y ciudadanos”, señaló Francisco Ledesma, adjunto al secretario general de la CGE. Ledesma destacó que el GAT “se está perfilando como un servicio con reconocimiento provincial en la solución de problemas del empresariado granadino”.

El Gabinete también ha trabajado en la elaboración del proyecto ‘Mercamed- Mercados y Empresas en el Arco Mediterráneo’, que será presentado en colaboración con la Diputación de Granada a la convocatoria Interreg III A España-Marruecos, y cuya financiación asciende a 1,5 millones de euros. El objetivo principal de este programa, que se ejecutará entre marzo de 2010 y junio de 2011, es fomentar las relaciones socioeconómicas entre Granada y Tetuán aprovechando las sinergias entre ambos territorios.

En este año, el GAT también ha cerrado acuerdos de colaboración con distintos organismos sociales y económicos, como la Fundación Empresa Universidad de Granada, el Instituto López-Neyra o la Escuela de Organización Industrial (EOI).
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La aportación de la Universidad de La Rioja a cooperación al desarrollo ascendió a 65.808 euros en 2008

La aportación de la Universidad de La Rioja a cooperación al desarrollo ascendió a 65.808 euros en 2008

La aportación de la Universidad de La Rioja (UR) a cooperación al desarrollo se elevó el año pasado a 65.808 euros, según datos del Ministerio de Asuntos Exteriores a los que tuvo acceso Europa Press.

Dicho informe analiza la aportación de 25 universidades españolas que son las que el año pasado cumplimentaron la encuesta sobre la Cooperación Universitaria para el Desarrollo (CUD), tres más que en el año 2007, aunque solo representen la mitad de las universidades públicas españolas.

Según dicho informe, la universidad que realizó el mayor desembolso fue la Universidad Complutense de Madrid, siendo la única universidad que dedicó a cooperación una cantidad superior a un millón de euros, en concreto, 1.490.563 euros, aunque experimentó un descenso del 3,54% en relación a 2007.

A continuación se situó la Universidad Politécnica de Madrid (958.937 €); la Universitat Politécnica de Catalunya (764.281 euros, un 60,41% más); la Universidad Nacional de Educación a Distancia (722.706 €, un 18,93% menos); la Universitat Jaume I (627.426, -5,02%); y la Universitat d\’ Alacant (626.049, -44,33%).

En séptimo lugar se sitúa la Universidad de Granada (559.909 €, +53,86%); en octavo la Universidad de les Illes Balears (467.680, -18,33%) y en novena posición está la Universidad de Cantabria, con 459.816 euros. En el caso de la institución académica cántabra el informe no contiene la comparativa respecto a la aportación de 2007 ya que no recoge dicho dato.

Ya por debajo, de los puestos 10 al 25, se encuentran la Universidad Autónoma de Madrid, que, con 385.862 € bajó su aportación un 66,76%; la Universidade da Coruña (327.294 €, +420,24%); Universitat Politècnica de València (307.823, -80,51%); Universidad Autònoma de Barcelona (287.034, +126,61%); Universidad de Las Palmas de Gran Canaria (262.538, -44,36%) y Universidad de Sevilla (217.255, +108,43%).

Les siguen la Universidad de Córdoba (178.004 €, +9,85%); Universitat Miguel Hernández d\’Elx (175.994, +445,61%); Universidad de Oviedo (121.553); Universidad del País Vasco (117.513); Universitat de Girona (114.449, -23,36%); Universidad Carlos III de Madrid (103.436, -31,75%); Universidad Rey Juan Carlos de Madrid (68.794, -6,33%); Universitat de Lleida (66.250, -16,86%); Universidad de La Rioja (65.808) y Universidad de Huelva (11.660).

En total, la aportación de la Universidad a cooperación al desarrollo se elevó el año pasado a 9.488.634 euros, según el informe, que destaca que la educación continúa siendo el sector prioritario con un 46% del total de la Ayuda Oficial al Desarrollo (AOD), concentrándose la mayor parte en el sector de la educación post-secundaria, lo que pone de manifiesto la relevancia de la cooperación universitaria en este sector.
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La aportación de la Universidad de La Rioja a cooperación al desarrollo ascendió a 65.808 euros en 2008

La aportación de la Universidad de La Rioja a cooperación al desarrollo ascendió a 65.808 euros en 2008

Dicho informe analiza la aportación de 25 universidades españolas que son las que el año pasado cumplimentaron la encuesta sobre la Cooperación Universitaria para el Desarrollo (CUD), tres más que en el año 2007, aunque solo representen la mitad de las universidades públicas españolas.

Según dicho informe, la universidad que realizó el mayor desembolso fue la Universidad Complutense de Madrid, siendo la única universidad que dedicó a cooperación una cantidad superior a un millón de euros, en concreto, 1.490.563 euros, aunque experimentó un descenso del 3,54% en relación a 2007.

A continuación se situó la Universidad Politécnica de Madrid (958.937 ?); la Universitat Politécnica de Catalunya (764.281 euros, un 60,41% más); la Universidad Nacional de Educación a Distancia (722.706 ?, un 18,93% menos); la Universitat Jaume I (627.426, -5,02%); y la Universitat d\’ Alacant (626.049, -44,33%).

En séptimo lugar se sitúa la Universidad de Granada (559.909 ?, +53,86%); en octavo la Universidad de les Illes Balears (467.680, -18,33%) y en novena posición está la Universidad de Cantabria, con 459.816 euros. En el caso de la institución académica cántabra el informe no contiene la comparativa respecto a la aportación de 2007 ya que no recoge dicho dato.

Ya por debajo, de los puestos 10 al 25, se encuentran la Universidad Autónoma de Madrid, que, con 385.862 ? bajó su aportación un 66,76%; la Universidade da Coruña (327.294 ?, +420,24%); Universitat Politècnica de València (307.823, -80,51%); Universidad Autònoma de Barcelona (287.034, +126,61%); Universidad de Las Palmas de Gran Canaria (262.538, -44,36%) y Universidad de Sevilla (217.255, +108,43%).

Les siguen la Universidad de Córdoba (178.004 ?, +9,85%); Universitat Miguel Hernández d\’Elx (175.994, +445,61%); Universidad de Oviedo (121.553); Universidad del País Vasco (117.513); Universitat de Girona (114.449, -23,36%); Universidad Carlos III de Madrid (103.436, -31,75%); Universidad Rey Juan Carlos de Madrid (68.794, -6,33%); Universitat de Lleida (66.250, -16,86%); Universidad de La Rioja (65.808) y Universidad de Huelva (11.660).

En total, la aportación de la Universidad a cooperación al desarrollo se elevó el año pasado a 9.488.634 euros, según el informe, que destaca que la educación continúa siendo el sector prioritario con un 46% del total de la Ayuda Oficial al Desarrollo (AOD), concentrándose la mayor parte en el sector de la educación post-secundaria, lo que pone de manifiesto la relevancia de la cooperación universitaria en este sector.
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La aportación de la Universidad de La Rioja a cooperación al desarrollo ascendió a 65.808 euros en 2008

La aportación de la Universidad de La Rioja a cooperación al desarrollo ascendió a 65.808 euros en 2008

La aportación de la Universidad de La Rioja (UR) a cooperación al desarrollo se elevó el año pasado a 65.808 euros, según datos del Ministerio de Asuntos Exteriores a los que tuvo acceso Europa Press.

Dicho informe analiza la aportación de 25 universidades españolas que son las que el año pasado cumplimentaron la encuesta sobre la Cooperación Universitaria para el Desarrollo (CUD), tres más que en el año 2007, aunque solo representen la mitad de las universidades públicas españolas.

Según dicho informe, la universidad que realizó el mayor desembolso fue la Universidad Complutense de Madrid, siendo la única universidad que dedicó a cooperación una cantidad superior a un millón de euros, en concreto, 1.490.563 euros, aunque experimentó un descenso del 3,54% en relación a 2007.

A continuación se situó la Universidad Politécnica de Madrid (958.937 ?); la Universitat Politécnica de Catalunya (764.281 euros, un 60,41% más); la Universidad Nacional de Educación a Distancia (722.706 ?, un 18,93% menos); la Universitat Jaume I (627.426, -5,02%); y la Universitat d\’ Alacant (626.049, -44,33%).

En séptimo lugar se sitúa la Universidad de Granada (559.909 ?, +53,86%); en octavo la Universidad de les Illes Balears (467.680, -18,33%) y en novena posición está la Universidad de Cantabria, con 459.816 euros. En el caso de la institución académica cántabra el informe no contiene la comparativa respecto a la aportación de 2007 ya que no recoge dicho dato.

Ya por debajo, de los puestos 10 al 25, se encuentran la Universidad Autónoma de Madrid, que, con 385.862 ? bajó su aportación un 66,76%; la Universidade da Coruña (327.294 ?, +420,24%); Universitat Politècnica de València (307.823, -80,51%); Universidad Autònoma de Barcelona (287.034, +126,61%); Universidad de Las Palmas de Gran Canaria (262.538, -44,36%) y Universidad de Sevilla (217.255, +108,43%).

Les siguen la Universidad de Córdoba (178.004 ?, +9,85%); Universitat Miguel Hernández d\’Elx (175.994, +445,61%); Universidad de Oviedo (121.553); Universidad del País Vasco (117.513); Universitat de Girona (114.449, -23,36%); Universidad Carlos III de Madrid (103.436, -31,75%); Universidad Rey Juan Carlos de Madrid (68.794, -6,33%); Universitat de Lleida (66.250, -16,86%); Universidad de La Rioja (65.808) y Universidad de Huelva (11.660).

En total, la aportación de la Universidad a cooperación al desarrollo se elevó el año pasado a 9.488.634 euros, según el informe, que destaca que la educación continúa siendo el sector prioritario con un 46% del total de la Ayuda Oficial al Desarrollo (AOD), concentrándose la mayor parte en el sector de la educación post-secundaria, lo que pone de manifiesto la relevancia de la cooperación universitaria en este sector.
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La aportación de la Universidad de La Rioja a cooperación al desarrollo ascendió a 65.808 euros en 2008

La aportación de la Universidad de La Rioja a cooperación al desarrollo ascendió a 65.808 euros en 2008

La aportación de la Universidad de La Rioja (UR) a cooperación al desarrollo se elevó el año pasado a 65.808 euros, según datos del Ministerio de Asuntos Exteriores a los que tuvo acceso Europa Press.

Dicho informe analiza la aportación de 25 universidades españolas que son las que el año pasado cumplimentaron la encuesta sobre la Cooperación Universitaria para el Desarrollo (CUD), tres más que en el año 2007, aunque solo representen la mitad de las universidades públicas españolas.

Según dicho informe, la universidad que realizó el mayor desembolso fue la Universidad Complutense de Madrid, siendo la única universidad que dedicó a cooperación una cantidad superior a un millón de euros, en concreto, 1.490.563 euros, aunque experimentó un descenso del 3,54% en relación a 2007.

A continuación se situó la Universidad Politécnica de Madrid (958.937 ?); la Universitat Politécnica de Catalunya (764.281 euros, un 60,41% más); la Universidad Nacional de Educación a Distancia (722.706 ?, un 18,93% menos); la Universitat Jaume I (627.426, -5,02%); y la Universitat d\’ Alacant (626.049, -44,33%).

En séptimo lugar se sitúa la Universidad de Granada (559.909 ?, +53,86%); en octavo la Universidad de les Illes Balears (467.680, -18,33%) y en novena posición está la Universidad de Cantabria, con 459.816 euros. En el caso de la institución académica cántabra el informe no contiene la comparativa respecto a la aportación de 2007 ya que no recoge dicho dato.

Ya por debajo, de los puestos 10 al 25, se encuentran la Universidad Autónoma de Madrid, que, con 385.862 ? bajó su aportación un 66,76%; la Universidade da Coruña (327.294 ?, +420,24%); Universitat Politècnica de València (307.823, -80,51%); Universidad Autònoma de Barcelona (287.034, +126,61%); Universidad de Las Palmas de Gran Canaria (262.538, -44,36%) y Universidad de Sevilla (217.255, +108,43%).

Les siguen la Universidad de Córdoba (178.004 ?, +9,85%); Universitat Miguel Hernández d\’Elx (175.994, +445,61%); Universidad de Oviedo (121.553); Universidad del País Vasco (117.513); Universitat de Girona (114.449, -23,36%); Universidad Carlos III de Madrid (103.436, -31,75%); Universidad Rey Juan Carlos de Madrid (68.794, -6,33%); Universitat de Lleida (66.250, -16,86%); Universidad de La Rioja (65.808) y Universidad de Huelva (11.660).

En total, la aportación de la Universidad a cooperación al desarrollo se elevó el año pasado a 9.488.634 euros, según el informe, que destaca que la educación continúa siendo el sector prioritario con un 46% del total de la Ayuda Oficial al Desarrollo (AOD), concentrándose la mayor parte en el sector de la educación post-secundaria, lo que pone de manifiesto la relevancia de la cooperación universitaria en este sector.
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