Un système d’évaluation montre la capacité d’apprentissage et le profil des habilités cognitives des enfants atteints du Syndrome de Down

Les chercheurs du département de Personnalité, d’Evaluation et de Traitement Psychologique de l’Université de Grenade ont adapté une échelle d’évaluation réalisée par une équipe de professeurs états-uniens qui permet d’évaluer les habilités, les attitudes et le potentiel d’apprentissage des différents types de tâches chez les enfants en âge préscolaire. Le projet, développé par María Auxiliadora Robles Bello et dirigé par la professeure María Dolores Calero García , a appliqué pour la première fois cette méthodologie sur un groupe d’enfants atteints du Syndrome de Down afin de définir leur profil des habilités et des attitudes pour l’apprentissage de ces enfants dont les Besoins Educatifs Spéciaux sont différents des autres enfants atteints d’un handicap intellectuel d’origine non spécifique.

La recherche réalisée à l’UGR a été appliquée sur un échantillon composé de 127 enfants de 3 à 6 ans, scolarisés dans différentes écoles publiques de la province de Jaén. Les auteurs de ce travail ont divisé la population en quatre groupes: le premier composé d’enfants atteints du Syndrome de Down, le deuxième groupe appelé “Retard” formé par des enfants dont le diagnostic, associé à l’handicap intellectuel, est réalisé par l’Equipe d’Orientation de leur école; un autre groupe appelé “Préscolaire” qui représente des enfants d’Education Infantile qui ont été désignés par leurs maîtres comme des enfants “normaux” possèdent un développement typique; et en dernier lieu un autre groupe appelé “Contrôle” qui n’a reçu aucun type d’entraînement.

Le travail réalisé à l’UGR a validé une technique d’évaluation appelée Echelle d’Application des Fonctions Cognitives (ACFS) de Lidz et Jepsen basée sur l’application des stratégies d’apprentissage et des processus cognitifs dans les tâches typiques du programme d’Education Infantile, dirigé pour être appliqué sur des enfants en âge préscolaire de 3 à 5 ans. «En résumé – signale María Auxiliadora Robles -, nous pouvons affirmer que l’échelle ACFS est un instrument adéquat pour son usage sur la population préscolaire espagnole atteinte du Syndrome de Down, et sur les sujets avec des Besoins Educatifs Spéciaux en général, comme l’ont promis leurs auteurs»”. L’intérêt de cet outil réside dans le fait qu’il couvre un double vide dans l’évaluation, d’une part la population des personnes atteintes du Syndrome de Down, et d’autre part la population infantile.

“Tests” inadéquats
Jusqu’à maintenant, divers travaux de recherche ont souligné l’inadéquation des “tests” traditionnels au moment de révéler la capacité d’apprentissage des enfants souffrant de ce problème, puisqu’ils ont été conçus selon les paramètres statiques qui empêchent l’apprentissage dans la situation d’évaluation. La recherche réalisée à l’UGR a déterminé que l’Evaluation du Potentiel d’Apprentissage ou l’Evaluation Dynamique est un instrument utile pour atteindre une connaissance plus exacte des caractéristiques cognitives et d’apprentissage des personnes atteintes du Syndrome de Down.

L’ACFS se base théoriquement sur les concepts de la Zone Proximale de Développement de Vygotski, et de Modifiabilité Cognitive et Expérience d’Apprentissage Médiatisée de Feuerstein. Sur le plan méthodologique, il a la même forme de conduite, indépendamment de sa désignation, qui se base sur l’application des deux formes de la même tâche ou épreuve, de manière parallèle, dans deux moments différents du processus évaluatif, au début (“pré-test”) et à la fin (“post-test”), étant la partie centrale du procédé l’entrainement qui se réalise entre les deux qui essaye d’influer positivement sur l’exécution du post-test.

La chercheuse de l’UGR signale que «il est nécessaire d’être conscients du clair désavantage dans tous les aspects de la vie et surtout l’académique, d’avoir le Syndrome de Down, et le fait d’offrir des réponses de qualité pour les besoins de ces personnes passe sans aucun doute par l’étude et la connaissance de leurs possibilités et leurs caractéristiques spéciales». Avec ce travail «nous essayons de connaître un peu plus cette population avec l’objectif de trouver des possibles ressources évaluatives qui facilitent de découvrir le fonctionnement de leur processus d’apprentissage». Robles Bello croit que «nous devons rompre avec l’idée, encore présente, que les inégalités entre les personnes sont génétiquement déterminées. De là l’importance de démontrer que les personnes atteintes du Syndrome de Down ont un potentiel d’apprentissage révélé par ce genre de méthodologie évaluative».

Coordonnées
María Auxiliadora Robles Bello. département de Personnalité, d’Evaluation et de Traitement Psychologique de l’Université de Grenade.
Tél. (+34) 958243754 – (+34) 95824451.
Courriel: auxiaziz@yahoo.es


An assessment system demonstrates the learning capacity and cognitive abilities of children with Down’s syndrome

Researchers from the Department of Personality, Assessment and Psychological Treatment at the University of Granada have adapted a set of assessment criteria created by lecturers from the USA to the Spanish language. This system makes it possible to assess abilities, attitudes and learning capacities of pre-school children when fulfilling different tasks. This project, which was developed by María Auxiliadora Robles Bello and directed by lecturer María Dolores Calero García, has put this methodology into practice for the first time with a group of children with Down’s syndrome in order to find out their skills and attitudes towards learning. Their aim was to establish separate special education services for children with Down’s syndrome and children with intellectual impairment due to unknown reasons.

The research, carried out at the UGR, included 127 children aged from 3 to 6 attending classes in different public schools in the province of Jaén (Andalusia). The researchers divided them into four groups. The first group comprised children with Down’s syndrome; the second, called “Mental Retardation”, comprised children who had been diagnosed with intellectual impairment by the Guidance Team at school; the third group, called “Pre-school”, comprised pre-school children considered to be “normal” by their teachers as they showed a typical development. Finally, the fourth group was called “Control” and was not in training.

This UGR study has validated an assessment technique known as ACFS or Application of Cognitive Functions Scale (Lidz and Jepsen, 1999). ACFS uses basic learning strategies and cognitive processes associated with typical early childhood learning activities (children from 3 to 5 years old). Therefore, the aim is to apply ACFS to Spanish pre-school children. María Auxiliadora Robles points out that the ACFS scale is an appropriate assessment technique for Spanish pre-school children with Down’s syndrome, as the authors promised regarding children with developmental delays in general. The success of this assessment technique lies in the fact that it can be properly used both with children who develop normally and with children with Down’s syndrome.

Inappropriate tests
Up to now, many studies have shown that traditional tests are inappropriate for determining whether a child is eligible for special education services, since they are based on static parameters which make learning impossible during the assessment. The research carried out at UGR shows that Dynamic Assessment is a useful method for determining cognitive and learning characteristics of people with Down’s syndrome.

ACFS is theoretically based on Vygotsky’s Zone of Proximal Development (ZPD) as well as on Feuerstein’s Mediated Learning Experience and Structural Cognitive Modifiability. As regards methodology, it follows the same steps, irrespective of its name, which consist of applying in parallel two methods of carrying out the same task or test. This is done at two different times during the assessment process: at the beginning (pre-test) and at the end (post-test). The most important part of the process is the training between the beginning and the end, which endeavours to produce a positive post-test result.

María Auxiliadora Robles Bello stresses that “it is necessary to be aware of the clear disadvantage people with Down’s syndrome suffer in everyday life, especially in the academic world. Therefore, there is no doubt that, in order to take responsibility of the needs of these people, it is essential to study and understand their possibilities and distinctive features. This is why we try to learn more about these people with the aim of creating possible assessment systems which will make it easier to determine how their particular learning processes work”. Robles Bello thinks that “we should break away from the idea that inequality among people is genetically determined. Hence, it is very important to demonstrate that people with Down’s syndrome have a learning capacity, which has come to light thanks to this assessment technique”.

Reference
María Auxiliadora Robles Bello. Department of Personality, Assessment and Psychological Treatment at the University of Granada.
Tel. 0034 958 243754 – 0034 958 244251
E-mail: auxiaziz@yahoo.es


Un sistema de evaluación demuestra la capacidad de aprendizaje y el perfil de habilidades cognitivas de niños con Síndrome de Down

Investigadores del departamento de Personalidad, Evaluación y Tratamiento Psicológico de la Universidad de Granada han adaptado al castellano una escala de evaluación realizada por un equipo de profesores de USA que permite evaluar las habilidades, actitudes y potencial de aprendizaje en diferentes tipos de tareas en niños en edad preescolar. El proyecto, desarrollado por Mª Auxiliadora Robles Bello y dirigido por la profesora María Dolores Calero García, ha aplicado por primera vez esta metodología a un grupo de niños con Síndrome de Down para hallar su perfil de habilidades y actitudes hacia el aprendizaje de estos niños con Necesidades Educativas Especiales de manera diferenciada a otros niños con discapacidad intelectual de origen inespecífico.

La investigación realizada en la UGR se ha llevado a cabo con una muestra formada por 127 niños de entre 3 y 6 años, escolarizados en diferentes colegios públicos de la provincia de Jaén. Los autores de este trabajo dividieron la población en cuatro grupos: el primero compuesto por niños con Síndrome de Down; un segundo grupo llamado ‘Retraso’ formado por niños con diagnóstico, asociado a discapacidad intelectual, realizado por el Equipo de Orientación de su colegio; otro grupo llamado ‘Preescolar’ que represente a niños de Educación Infantil que han sido designados por sus maestros como niños “normales” que poseen un desarrollo típico; y por último, otro grupo llamado ‘Control’ que no recibió entrenamiento de ningún tipo.

El trabajo realizado en la UGR ha validado una técnica de evaluación denominada Escala de Aplicación de Funciones Cognitivas (ACFS) de Lidz y Jepsen basada en la aplicación de estrategias de aprendizaje y procesos cognitivos en tareas típicas del currículum de la etapa de Educación Infantil, por lo que está dirigida a ser aplicada a niños en edad preescolar de 3 a 5 años. “En resumen –apunta Mª Auxiliadora Robles-, podemos afirmar que la escala ACFS es un instrumento adecuado para su uso en la población preescolar española con Síndrome de Down, tal y como prometían sus autores para los sujetos con Necesidades Educativas Especiales en general”. El interés de esta herramienta radica en que viene a cubrir un vacío doble en evaluación como es por una parte, la población de personas con Síndrome de Down y, por otra parte, la población infantil.

‘Tests’ inadecuados
Hasta la fecha, diversos trabajos de investigación señalaban la inadecuación de los ‘tests’ tradicionales a la hora de revelar la capacidad de aprender de los niños con especiales problemas de aprendizaje, ya que se diseñaron según parámetros estáticos que impiden el aprendizaje en la situación de evaluación. La investigación realizada en la UGR ha determinado que la Evaluación del Potencial de Aprendizaje o la Evaluación Dinámica es un instrumento útil para llegar a un conocimiento más exacto de las características cognitivas y de aprendizaje de las personas con Síndrome de Down.

La ACFS se basa teóricamente en los constructos de Zona de Desarrollo Próximo de Vygotsky, y de Modificabilidad Cognitiva y Experiencia de Aprendizaje Mediado de Feuerstein. A nivel metodológico, sigue un mismo formato de actuación, independientemente de su designación, que se basa en la aplicación de dos formas de la misma tarea o prueba, de forma paralela, en dos momentos distintos del proceso evaluativo, al principio (‘pretest’) y al final (‘post-test’), siendo la parte central del procedimiento el entrenamiento que se realiza entre ambas, que trata de influir positivamente en la ejecución del post-test.

La investigadora de la UGR señala que “es necesario ser conscientes de la clara desventaja que para todos los ámbitos de la vida, y sobre todo el académico, supone tener Síndrome de Down, y de que el ofrecer respuestas de calidad para las necesidades de estas personas pasa sin lugar a dudas por el estudio y conocimiento de sus posibilidades y sus características especiales”. De ahí que con este trabajo “intentemos conocer un poco más a esta población con el objetivo de encontrar posibles recursos evaluativos que facilite descubrir el funcionamiento de su peculiar proceso de aprendizaje”. Y es que Robles Bello cree que “debemos romper con la idea, todavía presente, de que las desigualdades entre las personas están genéticamente determinadas. De ahí la importancia de demostrar que las personas con Síndrome de Down tienen potencial de aprendizaje que es puesto a la luz con este tipo de metodología evaluativa”.

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Referencia
Mª Auxiliadora Robles Bello. Departamento de Personalidad, Evaluación y Tratamiento Psicológico de la Universidad de Granada.
Tfno: 958 243754 – 958 244251.
Correo e.: auxiaziz@yahoo.es


Nace Genyo, un centro traslacional en Andalucía

– Nace Genyo, un centro traslacional en Andalucía.

Academia e industria se unen por el bien del desarrollo de la ciencia.

Si en la disciplina biomédica española quedaba pendiente la asignatura del traspaso de conocimientos de la ciencia a la industria, Andalucía sacará un sobresaliente en la próxima evaluación. El Centro Pfizer-Universidad de Granada-Junta de Andalucía de Genómica e Investigación Oncológica (Genyo), será el primero en integrar Administración, universidad y empresa farmacéutica dentro del ámbito de la genómica.

La farmacéutica Pfizer, la Junta de Andalucía y la Universidad de Granada han firmado un acuerdo para la creación del Centro Pfizer-Universidad de Granada-Junta de Andalucía de Genómica e Investigación Oncológica (Genyo). Mediante este proyecto, se promoverá la realización de estudios de alto nivel sobre la base genética de distintas enfermedades, entre ellas el cáncer, así como sobre la influencia que la herencia genética tiene en la respuesta del organismo a determinados fármacos. Así, Genyo nace con el objetivo de conseguir una mejora de la salud de los ciudadanos y del desarrollo social y económico de Andalucía.

Según la Junta de Andalucía, éste será, además, el primer centro de ámbito nacional dedicado a la genómica que integra a la Administración pública, la universidad y el sector empresarial biotecnológico y farmacéutico, lo que propiciará la transferencia de resultados para la prevención, diagnóstico y tratamiento de las principales enfermedades.

El edificio de Genyo, dotado de una fachada completa de placa fotovoltaica y gestión energética inteligente, contará con una superficie de 6.400 metros cuadrados y estará ubicado en el Parque Tecnológico de Ciencias de la Salud de Granada. Esto facilitará la conexión, colaboración y complementariedad con instituciones académicas de primer nivel.

Por otro lado, el proyecto Genyo estará directamente conectado con la red de centros del sistema sanitario, lo que facilitará la difusión y traslación de los conocimientos en genética humana al ámbito de la asistencia. Además, como espacio dedicado a la investigación genética, el Genyo albergará el futuro Banco Andaluz de ADN.

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Los candidatos a Rector de la UGR se pronuncian

– Los candidatos a Rector de la UGR se pronuncian

Elaborar un nuevo mapa de titulaciones de acuerdo al Plan Bolonia, aplicar la innovación a la docencia, más clases prácticas o ampliar la universidad, son algunas de las propuestas de los cuatro candidatos a rector de la Universidad de Granada puestas de manifiesto en un cuestionario formulado por Efe.

1.- ¿Cuáles son, a su juicio, las prioridades de la Universidad de Granada y los cambios necesarios de cara a próximos cursos?

Antonio Campos (A.C.): La universidad necesita un cambio que la lleve al siglo XXI, porque el modelo de gestión esta anticuado y agotado, hay que flexibilizarla y hacerla mucho más ágil, cambiar rutina por estímulo.

Francisco González Lodeiro (F.G.L.): Entre las prioridades está el adecuar los planes de estudio al Espacio Europeo de Educación Superior, aumentar su capacidad investigadora, modernizar y agilizarla la gestión administrativa.

Rafael Payá (R.P.): La elaboración del nuevo mapa de titulaciones y planes de estudios al Espacio Europeo de Educación Superior y desarrollar el área docente en el Parque Tecnológico de Ciencias de la Salud.

Luis Rico (L.C.): La implantación de las nuevas titulaciones según el modelo de la convergencia europea, y el ajuste de la investigación al espacio europeo de investigación, entre otros.

2.- ¿En qué ámbito cree que la institución académica necesita un mayor impulso, de acuerdo a posibles deficiencias que se pudieran presentar en la actualidad?

A.C.: Es necesario aplicar la innovación a la docencia, la investigación, la cooperación y la gestión y promover acciones que ayuden a incrementar el prestigio de las titulaciones.

F.G.L.: Una prioridad es la mejora y ampliación de las infraestructuras docentes e investigadoras; la UGR ha de ser más competitiva, lo que significa no perder a los mejores formados, como también cualificar y dignificar el trabajo de quienes la integran.

R.P.: Ofrecer una mejor formación al alumnado con clases más prácticas, conocimiento de un segundo idioma y oportunidades de empleo, además del apoyo a la actividad docente del profesorado.

L.R.: Impulso en la renovación y actualización de plantillas, con una docencia que apoye el aprendizaje autónomo de los estudiantes. Potenciar el espíritu emprendedor y relaciones con la empresa.

3.- ¿Cómo piensa afrontar el sistema europeo de Educación Superior y los retos que éste supone respecto a profesorado, alumnado, materias y métodos de enseñanza?

A.C.: Hay que poner mucha imaginación y sentido común para no generar como hasta ahora tantas frustraciones. Por supuesto, no puede aceptarse en ningún caso que se haga a coste cero.

F.G.L.: Se debe iniciar un intenso debate entre todos los sectores de la comunidad universitaria, referente al catálogo y contenido de los planes de estudio, la UGR tiene que abrirse y flexibilizarse.

R.P.: Hay que incrementar la variedad en la oferta de las titulaciones, hacerlas más atractivas y orientarlas al empleo, con el apoyo de la comunidad universitaria.

L.R.: Reducción del tamaño de los grupos, programas de movilidad para profesores, estudiantes y personal de administración y servicios y planes de virtualización total o parcial de asignaturas.

4.- ¿Dónde considera que se debería ampliar el Campus Universitario, en qué término municipal, y cómo cree que podría impulsarse la labor investigadora, especialmente en el Parque Tecnológico de la Salud?

A.C.: La Universidad tiene que ser capaz de arraigarse en la ciudad, al estilo Oxford y Cambridge. El parque Tecnológico es un espacio que tiene que servir para llevar a cabo la transferencia de conocimiento y la innovación productiva.

F.G.L.: La ubicación de los nuevos campus siempre estará en función de los recursos que se pongan a disposición de la Universidad por parte de las diversas instituciones implicadas en su gestión.

R.P.: Hay que analizar las posibilidades de expansión en todo el término municipal de Granada, dando preferencia al modelo de la Universidad presente en la ciudad para aportar dinamismo en sus barrios, y en investigación, debe potenciarse la dimensión internacional

L.R.: La ampliación del campus debe hacerse en el término municipal de Granada, sin vinculación con otras operaciones inmobiliarias.

5.-En cuanto a las relaciones de la UGR con el resto de administraciones, en qué cree que podrían mejorar y si opina que la Universidad debería inmiscuirse más en problemas sociales, como por ejemplo el fenómeno del botellón, relacionados con la importante presencia de estudiantes en la ciudad.

A.C.: La universidad debe colaborar con todas las administraciones sin apriorismos al servicio de los objetivos de la Universidad que es una institución a la que la Constitución garantiza su total autonomía.

F.G.L.: Las relaciones de la UGR con las demás instituciones han de ser excelentes, entendidas como una lealtad mutua, pues la UGR no vive aislada de un contexto y una pieza clave de su mosaico.

R.P.: La Universidad debe ser independiente de otros poderes públicos, pero no dar la espalda a la sociedad, por lo que debe implicarse más con la ciudadanía y ofrecer alternativas.

L.R.: La ciudad de Granada necesita mejorar su oferta de ocio para su porcentaje de población juvenil, la coordinación de las administraciones en este campo es muy importante.
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Luc Montagnier, descubridor del virus del sida, visitará Granada el próximo miércoles

– Luc Montagnier, descubridor del virus del sida, visitará Granada el próximo miércoles

Luc Montagnier, descubridor del virus del sida, visitará Granada el próximo miércoles para acompañar a su amigo y colega Antonio Campos, candidato a rector de la Universidad de Granada (UGR), en la presentación de sus programas de cooperación internacional y de investigación.

Con motivo de su visita, Montagnier ofrecerá una conferencia junto a Antonio Campos en el auditorio de Caja Rural a las 20 horas, según ha informado el candidato a rector de la UGR en un comunicado.

El investigador francés, galardonado con el premio Príncipe de Asturias de Investigación Científica y Técnica, disertará sobre sus trabajos en países africanos como Camerún o Costa de Marfil, que viven la enfermedad como un drama diario y cotidiano.

Por su parte, Campos explicará las líneas fundamentales de su candidatura que tienen que ver con el desarrollo en el campo de la salud y de la cooperación.

Montagnier es una persona admirable que nos servirá como ejemplo a la hora de gestionar la Universidad de Granada, ha declarado Campos, que ha dicho estar muy agradecido por la confianza y el apoyo del investigador francés.

Además, el candidato a rector ha adelantado que el modelo de cooperación que su candidatura propone es semejante al que propugna Montagnier a través de la fundación mundial que dirige.

La cooperación es una calle de doble dirección, por lo que su desarrollo debe ser planificado con todo rigor con el objeto de preservar la contribución digna de cada una de las partes, ha explicado.

Su brillante carrera como investigador permitió a Luc Montagnier ofrecer a la comunidad internacional en 1983 uno de los descubrimientos más importantes de las últimas décadas del siglo XX, el virus del sida.

Esta enfermedad causó a finales de los años 70 una enorme alarma social al desconocerse sus mecanismos de transmisión y la terapia a seguir en caso de infección.

Gracias a las investigaciones de Montagnier pudo conocerse que el origen de la enfermedad era vírico, llegando el investigador a explicar el funcionamiento del virus.

Luc Montagnier nació en Chabris (Francia) el 18 de agosto de 1932; Tras doctorarse en Medicina en la Universidad de Poitiers, en 1967 inició sus investigaciones en virología.

En 1972 fue nombrado jefe de la Unidad Oncológica Viral del Instituto Pasteur, con sede en París, siendo también designado en 1974 director del Centro Nacional de Investigaciones Científicas del país galo.

En 1983 describió e identificó lo que sería uno de los mayores descubrimientos de las últimas décadas del siglo XX, el virus VIH, causante del sida, apenas poco después de que este síndrome fuera reconocido como una nueva entidad patológica en 1981.
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Luc Montagnier, descubridor del sida, visitará Granada el próximo miércoles

– Luc Montagnier, descubridor del sida, visitará Granada el próximo miércoles

Luc Montagnier, descubridor del virus del sida, visitará Granada el próximo miércoles para acompañar a su amigo y colega Antonio Campos, candidato a rector de la Universidad de Granada (UGR), en la presentación de sus programas de cooperación internacional y de investigación.

Con motivo de su visita, Montagnier ofrecerá una conferencia junto a Antonio Campos en el auditorio de Caja Rural a las 20 horas, según ha informado el candidato a rector de la UGR en un comunicado.

El investigador francés, galardonado con el premio Príncipe de Asturias de Investigación Científica y Técnica, disertará sobre sus trabajos en países africanos como Camerún o Costa de Marfil, que viven la enfermedad como un drama diario y cotidiano.

Por su parte, Campos explicará las líneas fundamentales de su candidatura que tienen que ver con el desarrollo en el campo de la salud y de la cooperación.

Montagnier es una persona admirable que nos servirá como ejemplo a la hora de gestionar la Universidad de Granada, ha declarado Campos, que ha dicho estar muy agradecido por la confianza y el apoyo del investigador francés.

Además, el candidato a rector ha adelantado que el modelo de cooperación que su candidatura propone es semejante al que propugna Montagnier a través de la fundación mundial que dirige.

La cooperación es una calle de doble dirección, por lo que su desarrollo debe ser planificado con todo rigor con el objeto de preservar la contribución digna de cada una de las partes, ha explicado.

Su brillante carrera como investigador permitió a Luc Montagnier ofrecer a la comunidad internacional en 1983 uno de los descubrimientos más importantes de las últimas décadas del siglo XX, el virus del sida.

Esta enfermedad causó a finales de los años 70 una enorme alarma social al desconocerse sus mecanismos de transmisión y la terapia a seguir en caso de infección.

Gracias a las investigaciones de Montagnier pudo conocerse que el origen de la enfermedad era vírico, llegando el investigador a explicar el funcionamiento del virus.

Luc Montagnier nació en Chabris (Francia) el 18 de agosto de 1932; Tras doctorarse en Medicina en la Universidad de Poitiers, en 1967 inició sus investigaciones en virología.

En 1972 fue nombrado jefe de la Unidad Oncológica Viral del Instituto Pasteur, con sede en París, siendo también designado en 1974 director del Centro Nacional de Investigaciones Científicas del país galo.

En 1983 describió e identificó lo que sería uno de los mayores descubrimientos de las últimas décadas del siglo XX, el virus VIH, causante del sida, apenas poco después de que este síndrome fuera reconocido como una nueva entidad patológica en 1981.
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Nuevas titulaciones y ampliación de universidad, retos de los candidatos a rector

– Nuevas titulaciones y ampliación de universidad, retos de los candidatos a rector

Elaborar un nuevo mapa de titulaciones de acuerdo al Plan Bolonia, aplicar la innovación a la docencia, más clases prácticas o ampliar la universidad, son algunas de las propuestas de los cuatro candidatos a rector de la Universidad de Granada puestas de manifiesto en un cuestionario formulado por Efe.

1.- ¿Cuáles son, a su juicio, las prioridades de la Universidad de Granada y los cambios necesarios de cara a próximos cursos?

Antonio Campos (A.C.): La universidad necesita un cambio que la lleve al siglo XXI, porque el modelo de gestión esta anticuado y agotado, hay que flexibilizarla y hacerla mucho más ágil, cambiar rutina por estímulo.

Francisco González Lodeiro (F.G.L.): Entre las prioridades está el adecuar los planes de estudio al Espacio Europeo de Educación Superior, aumentar su capacidad investigadora, modernizar y agilizarla la gestión administrativa.

Rafael Payá (R.P.): La elaboración del nuevo mapa de titulaciones y planes de estudios al Espacio Europeo de Educación Superior y desarrollar el área docente en el Parque Tecnológico de Ciencias de la Salud.

Luis Rico (L.C.): La implantación de las nuevas titulaciones según el modelo de la convergencia europea, y el ajuste de la investigación al espacio europeo de investigación, entre otros.

2.- ¿En qué ámbito cree que la institución académica necesita un mayor impulso, de acuerdo a posibles deficiencias que se pudieran presentar en la actualidad?

A.C.: Es necesario aplicar la innovación a la docencia, la investigación, la cooperación y la gestión y promover acciones que ayuden a incrementar el prestigio de las titulaciones.

F.G.L.: Una prioridad es la mejora y ampliación de las infraestructuras docentes e investigadoras; la UGR ha de ser más competitiva, lo que significa no perder a los mejores formados, como también cualificar y dignificar el trabajo de quienes la integran.

R.P.: Ofrecer una mejor formación al alumnado con clases más prácticas, conocimiento de un segundo idioma y oportunidades de empleo, además del apoyo a la actividad docente del profesorado.

L.R.: Impulso en la renovación y actualización de plantillas, con una docencia que apoye el aprendizaje autónomo de los estudiantes. Potenciar el espíritu emprendedor y relaciones con la empresa.

3.- ¿Cómo piensa afrontar el sistema europeo de Educación Superior y los retos que éste supone respecto a profesorado, alumnado, materias y métodos de enseñanza?

A.C.: Hay que poner mucha imaginación y sentido común para no generar como hasta ahora tantas frustraciones. Por supuesto, no puede aceptarse en ningún caso que se haga a coste cero.

F.G.L.: Se debe iniciar un intenso debate entre todos los sectores de la comunidad universitaria, referente al catálogo y contenido de los planes de estudio, la UGR tiene que abrirse y flexibilizarse.

R.P.: Hay que incrementar la variedad en la oferta de las titulaciones, hacerlas más atractivas y orientarlas al empleo, con el apoyo de la comunidad universitaria.

L.R.: Reducción del tamaño de los grupos, programas de movilidad para profesores, estudiantes y personal de administración y servicios y planes de virtualización total o parcial de asignaturas.

4.- ¿Dónde considera que se debería ampliar el Campus Universitario, en qué término municipal, y cómo cree que podría impulsarse la labor investigadora, especialmente en el Parque Tecnológico de la Salud?

A.C.: La Universidad tiene que ser capaz de arraigarse en la ciudad, al estilo Oxford y Cambridge. El parque Tecnológico es un espacio que tiene que servir para llevar a cabo la transferencia de conocimiento y la innovación productiva.

F.G.L.: La ubicación de los nuevos campus siempre estará en función de los recursos que se pongan a disposición de la Universidad por parte de las diversas instituciones implicadas en su gestión.

R.P.: Hay que analizar las posibilidades de expansión en todo el término municipal de Granada, dando preferencia al modelo de la Universidad presente en la ciudad para aportar dinamismo en sus barrios, y en investigación, debe potenciarse la dimensión internacional

L.R.: La ampliación del campus debe hacerse en el término municipal de Granada, sin vinculación con otras operaciones inmobiliarias.

5.-En cuanto a las relaciones de la UGR con el resto de administraciones, en qué cree que podrían mejorar y si opina que la Universidad debería inmiscuirse más en problemas sociales, como por ejemplo el fenómeno del botellón, relacionados con la importante presencia de estudiantes en la ciudad.

A.C.: La universidad debe colaborar con todas las administraciones sin apriorismos al servicio de los objetivos de la Universidad que es una institución a la que la Constitución garantiza su total autonomía.

F.G.L.: Las relaciones de la UGR con las demás instituciones han de ser excelentes, entendidas como una lealtad mutua, pues la UGR no vive aislada de un contexto y una pieza clave de su mosaico.

R.P.: La Universidad debe ser independiente de otros poderes públicos, pero no dar la espalda a la sociedad, por lo que debe implicarse más con la ciudadanía y ofrecer alternativas.

L.R.: La ciudad de Granada necesita mejorar su oferta de ocio para su porcentaje de población juvenil, la coordinación de las administraciones en este campo es muy importante.
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Un nuevo dispositivo permite controlar la radioterapia

– Un nuevo dispositivo permite controlar la radioterapia

Científicos de la Universidad de Granada han diseñado un sistema portátil y de bajo coste que permite la monitorización de la radiación ionizante a la que se expone una persona. El tamaño minúsculo de los sensores permite medir la radiación en diferentes partes del cuerpo de forma inmediata, al tiempo que hace posible mantener un registro histórico de los datos.

Investigadores del departamento de Electrónica y Tecnología de Computadores de la Universidad de Granada, en colaboración con los servicios de radiología del Hospital Clínico San Cecilio y el Hospital Virgen de las Nieves de Granada, han diseñado un sistema portátil y de bajo coste que permite la monitorización de la radiación ionizante a la que se expone una persona como por ejemplo, durante el tratamiento de radioterapia. Las radiaciones ionizantes tienen un papel en el tratamiento de las enfermedades neoplásicas malignas y en diagnóstico de un número de éstas y otras, como asegura Manuel Vilches Pacheco del Hospital Virgen de las Nieves de Granada.

Bajo costo

• El nuevo dispositivo de medida no requiere, durante su uso de conexión, a una fuente de alimentación y lectura, y entre otras mejoras, minimiza la perturbación del tratamiento de bajo coste.

Muy pequeño

• Su diseño, minúsculo, tiene además un importante número de características metrológicas que aseguran su correcto funcionamiento en un rango de temperaturas elevado, lo que hace que no sea necesario el acondicionamiento de la sala
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Los ejecutivos inseguros eligen trabajadores poco competentes

– Los ejecutivos inseguros eligen trabajadores poco competentes
Lo hacen parar salvaguardar su puesto ante sus subordinados

Los ejecutivos que tienen que justificar su poder o su posición privilegiada tienen a rodearse de colaboradores y trabajadores poco competentes y con una sociabilidad muy baja, según un estudio de la Universidad de Granda. Según sus autores, esta pauta de comportamiento puede deberse a un intento por evitar que sus subordinados les quiten el puesto. En el estudio participaron 73 voluntarios que demostraron que no todo el mundo que ostenta un poder es capaz de usarlo correctamente debido a la inseguridad o al miedo. Por Raúl Morales.

Un estudio llevado a cabo por la Universidad de Granada ha puesto de manifiesto que las personas que consideran que no merecen el puesto de trabajo que desempeñan tienden a rodearse con empleados poco competentes, quizá para justificar su posición privilegiada.

Este interesante trabajo ha sido realizado por Rosa Rodríguez Bailón y Miguel Moya Morales, ambos profesores del Departamento de Psicología Social y Metodologías de las Ciencias del Comportamiento de dicha Universidad. Asimismo han sido ayudados por Vincent Yzerbyt, de la Universidad de Lovaina, en Bélgica.

Según un informa un comunicado difundido por la Universidad, la principal conclusión del estudio es que las personas cualificadas prefieren trabajar con gente competente y sociable en trabajos que implican responsabilidad. Sin embargo, aquellas personas que se sienten poco preparadas para llevar a cabo un trabajo específico se rodean de compañeros poco competentes y menos sociables.

Una especulación de por qué ocurre esta tendencia puede ser que buscar trabajadores que hacen mal su labor es una manera de prevenir futura competencia de subordinados que, en un momento dado, pueden desear ocupar el puesto de su superior. Otra explicación, igual de lógica que la anterior, es que, al elegir a este tipo de trabajadores, el jefe estaría justificando su posición, su autoridad y su responsabilidad.

Poder

Uno de los puntos de partida del estudio es la definición de “poder”. Para sus autores, el poder se define como la influencia que una persona ejerce sobre otras personas y sobre ella misma. La gente que ostenta poder no siempre sabe utilizarlo correctamente, advierten sus autores.

Para llevar a cabo el estudio utilizaron a 73 estudiantes voluntarios de la propia Universidad. La mayor parte de estos voluntarios eran mujeres (85,7%) de edades comprendidas entre los 18 y los 25 años.

Los voluntarios involucrados en la investigación tuvieron la oportunidad de ejercer algún tipo de poder. En concreto, se les notificó que serían representantes en una asamblea de estudiantes y que podrían elegir a un asistente que estaría bajo su supervisión directa para ese trabajo.

Los estudiantes fueron divididos arbitrariamente. A la mitad de ellos se les dijo que ostentaría un poder legítimo ante la asamblea, mientras que a la otra mitad se les comunicó que no tendrían dicho poder, es decir, serían representantes “ilegítimos”. Todos ellos, sin embargo, podían elegir entre asistentes muy competentes y sociales o bien podían optar por personas con una marcada falta de profesionalidad y sociabilidad.

La palabra “ilegítimo” es en este contexto muy importante, ya que en cierta manera es la responsable de que los voluntarios que asumieron este rol sintieran una inseguridad que “contaminó” la manera en que ejercían su poder, no sólo respecto a sus subordinados, sino también, como indica el estudio, respecto a ellos mismos.

Sin importar la opción escogida por cada voluntario (jefe legítimo o ilegítimo), los estudiantes distinguían claramente los candidatos que tenían una posición privilegiada.

Menos información

Los jefes ilegítimos tendían a escoger claramente asistentes subordinados poco competentes y poco sociables en una mayor proporción que los legítimos. Además, a la hora de hacer la selección de personal, tendían a pedir más información a aquellos candidatos que, a priori, eran mejores, mientras que se conformaban con la poca información o las explicaciones vagas que recibían por parte de los candidatos menos cualificados o descritos en el estudio como “negativos”.

Esta investigación de la Universidad de Granada evidencia que los “jefes ilegítimos” tienen opiniones parecidas sobre las cualidades y aptitudes de sus subordinados. Sus autores consideran que el hecho de trabajar con gente poco competente puede deberse a un intento por prevenir futuras competencias.

Este hecho tiene otras implicaciones, según sus autores. Destaca por ejemplo, que los jefes ilegítimos de este experimento tenían una clara tendencia a encasillar a sus asistentes de una misma manera, no sólo en el plano laboral sino también en el personal. Por ello, todos los subordinados de los jefes ilegítimos recibían el mismo tipo de evaluación. Eran medidos por el mismo rasero, sin que los jefes se pararan buscar matices entre ellos.

Lo que viene a mostrar la investigación es que las personas que ostentan un poder en una empresa no siempre saben hacer uso de él. El miedo (a perderlo, a ser sustituido, a no merecerlo…) y la inseguridad parecen tener un papel importante en estas pautas de comportamiento. No hay que olvidar, asimismo, que el miedo suele llevar consigo el aislamiento y una socialización un poco más limitada.

Estos resultados parecen corroborar las conclusiones a las que han llegado investigaciones previas que ya manifestaban que la gente que tiene esa necesidad imperiosa de justificar su puesto se rodea de gente menos cualificada.
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Dopo lo sport, meglio una birra che solo acqua

– Dopo lo sport, meglio una birra che solo acqua.

Buone notizie per gli appassionati di birra. A smentire precedenti ricerche, arriva uno studio secondo cui, per reidratarsi dopo una partita a tennis o a pallone, un boccale di birra e’ di gran lunga migliore dell’acqua. Una ricerca guidata da Manuel Garzon, docente alla facoltà di Medicina dell’universita’ di Granada, in Spagna, ha tenuto sotto controllo 25 sportivi per diversi mesi. Secondo i ricercatori, gli zuccheri, i sali e le bollicine consentono di assorbire i fluidi piu’ velocemente. Non solo: il diossido di carbonio contenuto nella birra disseta rapidamente, mentre i carboidrati consentono di reintrodurre le calorie bruciate con l’esercizio fisico. Attenzione però a non eccedere: mezzo litro per gli uomini, un quarto per le donne sono piu’ che sufficienti nella dieta di un atleta.

Non cè nulla di meglio di una buona pinta di birra dopo aver fatto sport. Anche se alcolica, la bevanda è infatti in grado di reidratare chi ha praticato unintensa attività fisica molto meglio della semplice acqua. Lo hanno scoperto, a sorpresa, ricercatori spagnoli delluniversità di Granada, che hanno testato lefficacia della birra come ricostituente dopo una pesante seduta di sport, effettuata per di più in condizioni di caldo umido.

I 25 giovani volontari arruolati per lo studio – riporta il Daily Mail – hanno eseguito esercizio fisico in un ambiente con una temperatura di 40° C, fino al momento in cui hanno ritenuto di dover smettere a causa delleccessiva stanchezza. A quel punto gli esperti hanno diviso il campione in due: al primo è stata data disponibilità di acqua in abbondanza, mentre al secondo sono state offerte due mezze pinte di birra.

Misurando il livello di idratazione degli sportivi prima e dopo la bevuta, gli studiosi hanno rilevato che chi si dissetava con la birra, probabilmente grazie al suo contenuto di zuccheri, sali minerali e bollicine, riacquistava fluidi con più facilità
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Beer better than water: Official

– Beer better than water: Official

Almost exactly a month after we learnt that drinking beer makes you clever, a Spanish boffin has proved that the golden grog is also better at rehydrating the human body after excercise.

Manuel J Castillo Garzón, Professor of Human Physiology from Spains University of Granada, got a bunch of students to run around in temperatures of 40°C then gave half of them a half-pint of beer while the rest got the same amount of water.

The Spanish prof reckons the bubbles and carbohydrates in beer help quench the thirst and replace lost calories, according to The Telegraph.

A quick straw poll at Vulture Towers reveals a beer before exercise to be a popular option, although avoiding the risk of dehydration by skipping the whole exercise thing and going straight for a lager also made a strong showing.
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