Les femmes aux foyers ont une plus grande conscience écologique que les universitaires et recyclent plus

Une étude élaborée au Département de Psychologie Sociale et de Méthodologie des Sciences du Comportement de l’Université de Grenade (UGR) a mis en évidence que, malgré la grande prolifération des programmes destinés à l’éducation et à la sensibilisation sociale sur l’environnement, le degré de formation académique n’a aucune relation avec la conscience écologique des personnes. Selon ce travail, les femmes aux foyers présentent une plus grande conduite environnementale que les étudiants universitaires, vu qu’elles ont plus de volonté et recyclent plus le verre.

Cette recherche a été réalisée par la docteure María del Carmen Aguilar Luzón, sous la direction du professeur J. Miguel Angel García Martínez. La conduite environnementale utilisée comme base était de séparer le verre des restes des déchets. Le travail réalisé à l’UGR a utilisé un échantillon de 525 étudiants universitaires et 154 femmes aux foyers. Les différences qui existent entrent les deux groupes sont très significatives, vu que les femmes aux foyers, en plus d’être celles qui présentent une attitude plus favorable au recyclage, sont plus disposées à surmonter les possibles obstacles qu’implique la séparation du verre des restes de déchets pour le recyclage, et elles ont une force de volonté suffisante pour le faire.

Moins de contrôle
Cependant, l’auteure de la recherche signale que les étudiants universitaires «contrôlent moins le processus de recyclage du verre, vu qu’ils pensent que le fait de recycler implique une série de barrières et de limitations difficiles à surmonter». Ainsi, le fait de penser que le container de verre est loin de la maison et qu’ils doivent aller jusqu’au container avec les sachets plein de verre, par exemple, est évalué comme une difficulté ou un empêchement pour les étudiants, et elle ne l’est pas pour les femmes aux foyers. De ce fait, les femmes aux foyers réalisent l’opération plus fréquemment que le groupe des étudiants.

Cette recherche a été réalisée en adoptant comme cadre d’étude deux modèles de prédiction-explication du comportement. D’un côté, un modèle général comme la théorie du comportement planifiée (TCP) et, d’un autre côté, un modèle spécifique pour l’étude des comportements environnementaux, le modèle des valeurs, des normes et des croyances sur l’environnement. En ce sens, en considérant le pouvoir prédictif et l’ajustement des deux modèles aux données empiriques, le TCP est plus adéquat que le modèle des valeurs, des normes et des croyances, quand les deux groupes sont comparés (femmes aux foyers et étudiants), toujours et quand les particularités des échantillons sont tenues au compte.

Le travail réalisé à l’UGR a constaté qu’une plus grande sensibilisation sur l’environnement n’implique pas toujours la mise en marche des comportements écologiquement responsables. Dit autrement, plusieurs personnes tendent à se considérer en grande partie «écologistes» ou manifestent une attitude favorable à l’environnement, mais cependant, au niveau du comportement «le répertoire des conduites écologiques que réalisent est peu».

Elaboration des programmes
Les applications pratiques de cette étude sont orientées vers l’élaboration des programmes destinés à l’éducation et la sensibilisation sociale sur l’environnement. Selon les résultats de l’étude, les facteurs sociaux (c’est-à-dire, ce que pensent les personnes importantes selon nous, sur notre comportement devant le recyclage) n’influyent pas sur la réalisation de séparation (recyclage) des verres ni dans le cas des femmes aux foyers ni dans le cas des étudiants. Cependant, cette influence est exercée par ce qu’on appelle la «norme personnelle» ou «la norme morale» (le sentiment d’obligation morale, qui comprend une partie d’éthique ou morale sur l’environnement) que nous avons vis-à-vis de l’environnement.

Par conséquent, affirme Aguilar Luzón, «si des programmes destinés à sensibiliser les personnes sur les conséquences de la réalisation du recyclage et de sa non réalisation, qui permettront de générer une certaine «éthique» ou moralité sur les thémes environnementaux, sont proposés, il est possible qu’une hausse sur la fréquence de cette conduite écologique se produise».

Les résultats de cette recherche ont été publiés dans les prestigieuses revues «Medio Ambiente y Comportamiento Humano. Revista Internacional de Psicología Ambiental» (Environnement et Comportement Humain. Revue Internationale de Psychologie Environnementale) et «Investigación en Psicología aplicada» (Recherche en Psycholologie appliquée), ainsi que le bulletin de l’IAPS International Association for People-Environment Studies.

Coordonnées:
Pr. María del Carmen Aguilar Luzón. Département Psychologie. Domaine Psychologie Sociale.
Faculté des Sciences Humaines et des Sciences de l’Education. Université de Jaén.
Tél. : (+34) 953211996. Portable : (+34) 629454229.
Courriel : maguilar@ujaen.es


España es el único país europeo que no realiza un examen oral en inglés

– España es el único país europeo que no realiza un examen oral en inglés

Dos de cada tres españoles no hablan ni escriben en inglés. Lo aclara el último barómetro del Centro de Investigaciones Sociológicas (CIS). Además, sólo el 1,7% de los universitarios patrios es bilingüe en inglés, pese a que el 38% de las ofertas de empleo exige su dominio. Es decir, nada de hacerse entender… y basta.

Los expertos achacan los datos a la pésima enseñanza de idiomas en primaria y secundaria. Mucha teoría y poca práctica parece ser la causa generalizada. Incluso la ministra de Educación, Mercedes Cabrera, ha afirmado que tenemos una «deuda histórica» con los idiomas, lo que ha llevado a ofrecer becas de 1.600 euros para realizar cursos de inglés en el extranjero a jóvenes de entre 18 y 30 años.

Con este telón de fondo como problema, Miguel Fernández e Inmaculada Sanz, dos docentes de Filología de la Universidad de Granada, han presentado un estudio en el que avanzan soluciones para alcanzar el nivel idiomático de nuestros vecinos, a años luz del nuestro.

Su primera propuesta: cambiar el examen de inglés de Selectividad, que arranca la semana que viene en el País Vasco para continuar hasta el 21 de junio en el resto de España. Se presentarán alrededor de 200.000 alumnos, un 35% menos que hace 10 años.

Los expertos creen que la reforma es necesaria, ya que la prueba no se ha modificado desde 1984, a excepción de unos cambios mínimos introducidos en 1996 con la llegada del Distrito Único. Gracias a éste, cualquier alumno puede optar a una plaza en una universidad de una comunidad distinta a la suya. «El cambio se redujo a permitir que cada provincia preparara su prueba en vez de tener una para la región», aclara Sanz.

Añade que se debería crear otro examen, ya que el actual da demasiada importancia a la gramática, el léxico y la comprensión lectora, y no valora las destrezas orales, «básicas para dominar una lengua». Junto a su compañero, Sanz diseñó un nuevo modelo de examen, que aplicó a 144 estudiantes de segundo de bachillerato y de primero de Filología Inglesa de Sevilla y Granada.

Los profesores también tuvieron en cuenta trabajos de autores internacionales que abogan por incluir pruebas de listening y speaking en Selectividad, como ya ocurre en todos los países europeos. De esa forma, se grabaría al alumno para evaluar su capacidad para hablar inglés.

En estos momentos, en España sólo se realizan ejercicios de comprensión escrita, vocabulario, gramática y composición. Los docentes granadinos no sólo incluirían listening y speaking. También suprimirían las actuales preguntas de verdero y falso, ya que, en su opinión, «muchos alumnos aciertan de forma casual sin demostrar nada».

PRUEBAS ORALES. El estudio demuestra que la Selectividad española no cumple con las pautas del Marco Común Europeo de Referencia para las Lenguas, una hoja de ruta elaborada por el Consejo Europeo para uniformizar el estudio de los idiomas en la UE. El certificado analiza seis niveles de competencia en función de varias directrices: preparación de los examinadores, validez, fiabilidad, resultados, pilotaje…

«El examen de Selectividad español no ha sido certificado, carece de validez de contenido, no es fiable por falta de ítems y por la corrección subjetiva de la composición, que no utiliza a dos correctores de forma sistemática, como debería ser. Tampoco se ha anclado el examen a ningún nivel del Marco Común. En fin, un desastre», especifica Sanz.

Opinan igual otros expertos en Selectividad como Jesús García Laborda, uno de los autores del libro Estudios y criterios para una Selectividad de calidad en el examen de inglés. Tilda los exámenes de «demasiado sencillos», a la vez que no cree que diagnostiquen «las necesidades y el potencial de los alumnos, sino unas tareas específicas que los profesores de bachillerato se pasan dos años preparando en perjuicio del aprendizaje global. Sólo les sirve para sacar buena nota en Selectividad».

García Laborda incluiría un examen oral y tareas con ordenador. «Permitiría tener pruebas orales con bajo coste y mejorar las tradicionales». Otros informes animan a realizar un examen que analice la madurez lingüística del alumno, pero no necesariamente durante los días de Selectividad, como pasa en Francia.

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L’université de Grenade a mis en évidence la présence de pesticides dans les placentas

– L’université de Grenade a mis en évidence la présence de pesticides dans les placentas
mercredi 30 mai

Des pesticides dans le placenta de toutes les femmes !

Chez 100% des 308 femmes enceintes espagnoles, ayant ensuite donné naissance à des enfants en bonne santé entre 2000 et 2002, on a trouvé au moins un type de pesticide dans le placenta. C’est ce que montre une étude menée par l’université de Grenade sur les patientes d’un hôpital (1).

L’auteure de l’étude, Maria José Lopez, a cherché la présence de 17 pesticides organochlorés, qui sont aussi des perturbateurs endocriniens. Elle a observé que le placenta des femmes contenait en moyenne 8 substances chimiques différentes, et parfois jusqu’à 15. Les pesticides les plus fréquents sont le 1,1-dichloro-2,2 bis (p-chlorophényl)-éthylène (DDE) à 92.7%, le lindane à 74,8% et l’endosulfan-diol à 62.1%.

Selon Maria José Lopez, « on ne connaît pas réellement les conséquences d’une exposition aux pesticides perturbateurs du système endocrinien chez les enfants, mais on peut prédire qu’ils sont susceptibles de provoquer de sérieux effets puisque l’exposition du placenta se produit à des moments clés du développement embryonnaire ».

(1) « Maternal-child exposure via the placenta to environmental chemical substances with hormonal activity », M. Lopez Espinosa, université de Grenade

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Federico Garrido gana el III Premio Ciencias de la Salud-Fundación Caja Rural de Granada que se entregará el viernes

– Federico Garrido gana el III Premio Ciencias de la Salud-Fundación Caja Rural de Granada que se entregará el viernes

El investigador Federico Garrido Torres-Puchol se ha alzado con el III Premio Ciencias de la Salud-Fundación Caja Rural de Granada, dotado con 20.000€, que cada año organizan la Caja Rural, el Parque Tecnológico Ciencias de la Salud, la Consejería de Salud, la Universidad de Granada y los colegios de Farmacéuticos y de Médicos.

El tema de este año es “Genómica y cáncer”. El trabajo ganador lleva por título “Mutaciones de genes que inducen el escape de tumores a la respuesta inmunológica. Implicaciones clínicas y terapéuticas en pacientes con melanoma maligno” El accésit, con una dotación de 6.000€, ha ido a parar a la investigación que lleva por título “Identificación de los genes y del mecanismo genético de inactivación de la defensa inmunitaria en tumores neuroblásticos malignos de la infancia”, de la que es autor el profesor Miguel Alaminos Mingorance. Ambos investigadores realizan sus trabajos en centros andaluces.

La ceremonia de entrega de este premio tendrá lugar en el Auditorio de Caja Rural el próximo día 1 de junio de 2007, a partir de las 21,30 horas; la ceremonia contará con la presencia de la consejera de Salud, María Jesús Montero Cuadrado, y el Secretario de Estado de Salud, José Martínez Olmos. También asistirán el presidente del PTS Campus de la Salud, D. David Aguilar Peña, y los presidentes de Fundación Caja Rural de Granada, Colegio de Médicos y Colegio de Farmacéuticos.

El jurado calificador ha estado formado por la Delegada de Salud de Granada, Celia Gómez, y José Expósito, coordinador andaluz de investigaciones oncolígicas; Concepción Iribarne representando a la Universidad de Granada; Jesús Quero Molina, representando al equipo técnico del Campus de la Salud; Manuel Fuentes y José Carrillo por el Colegio de Farmacéuticos; Pedro Barranco y Antonio Campos por el Colegio de Médicos; Rafael Gálvez Torres-Puchol por Fundación Caja Rural de Granada.

El ganador

Federico es Catedrático de Inmunología de la Facultad de Medicina de la Universidad de Granada, imparte docencia, igualmente, en las facultades de Farmacia y Ciencias y es jefe de análisis clínicos del Hospital ‘Virgen de las Nieves’ de Granada, donde dirige a un grupo que componen una veintena de personas que han prestigiado internacionalmente al centro hospitalario gracias a sus investigaciones oncológicas, según los organizadores de este premio.

Formado en la Universidad de Granada, amplió sus conocimientos en Inglaterra, y, de vuelta a España, pasó por la Universidad de Córdoba. Volvió a su Granada natal donde, explican desde Caja Rural configuró un equipo extraordinario, o más bien, un ejército dispuesto a seguir a su jefe en esa guerra particular contra el cáncer que Garrido declaró hace tiempo. Su trabajo ha consistido en desentrañar a los tumores disfrazados bajo capas inocuas mutando y mutando para despistar al sistema inmunológico, o sea a la salud y al médico.

El finalista

Miguel Alaminos Mingorance, el finalista, es un Investigador Postdoctoral, contratado por la Fundación de Investigación Biomédica de Andalucía Oriental, adscrito al Departamento de Histología de la Facultad de Medicina y Odontología de la Universidad de Granada. Un departamento, el de Histología, destinado a investigar los tejidos humanos y que promete en pocos años la posibilidad de poder crear órganos de forma artificial, sin necesidad de esperar a la muerte de una persona para generar un transplante.

Particularmente sonado ha sido la creación del primer modelo de córnea artificial a partir de células madre de conejo, un trabajo en el que participó el doctor, Alaminos junto a su mentor y maestro Antonio Campos. Doctor en Medicina, Cirugía y Biología, y cirujano pediátrico, tras analizar un centenar de neuroblastomas, comprobó las diferencias que existen entre los tumores malignos y aquellos, el 10 por ciento —igualmente perniciosos— pero que el organismo expulsa de forma natural. Logró distinguir a los tumores que son capaces de pasar inadvertidos, escondidos en los genes, que no manifiestan la grave patología —aunque la padezcan— y que evitan, de ese modo, la defensa inmunológica, explican los organizadores de este premio. Así, Alaminos ha posibilitado predecir cual será el comportamiento del cáncer: si puede seguir un camino irreversible hasta la muerte o si por el contrario, de modo repentino, desaparecerá gracias al propio rechazo inmunológico del cuerpo.

Las anteriores ediciones tuvieron como lema de la investigación: “Nutrición y salud” (I) y “Envejecimiento y calidad de vida” (II).

En la III edición de este premio ha quedado desierta la modalidad de Divulgación debido a la falta de trayectoria de los trabajos valorados, informan desde la Caja.

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Ceuta: Historia, medio ambiente, arte y economía, en los XIX Cursos de Verano de la UGR

– Ceuta: Historia, medio ambiente, arte y economía, en los XIX Cursos de Verano de la UGR

La Universidad de Granada, en colaboración con la Consejería de Educación y Cultura, abrirá el próximo 9 de julio la XIX edición de sus Cursos de Verano en Ceuta. Este año se han programado seis cursos, de 30 horas de duración, para 300 alumnos.

La oferta didáctica abarcan áreas como la economía, el medio ambiente, la historia, las nuevas tecnologías y la salud. Así la semana del 9 al 13 de julio se celebran los seminarios El nuevo plan general de contabilidad; Del Garum a las almadrabas, Ceuta y los recursos del mar; Evaluación de los valores de género del material educativo; y la realización de páginas web.
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La UGR apuesta por nuevas propuestas para la sostenibilidad en medio ambiente

El concepto I+D constituye uno de los puntos de referencia más frecuentes y aparentemente incontestables cuando se trata de compaginar y optimizar los resultados de la investigación científico-tecnológica con objetivos irrenunciables de desarrollo y valorización social y económica de la investigación.

Una parte crecientemente significativa de los recursos financieros técnicos y humanos disponibles se destina precisamente a procesos y proyectos bajo la cobertura I+D que cuenta con una planificación y asignación de recursos cada vez más estructurada y explícita que resulta en gran medida determinante a la hora de decidir la asignación de recursos. Buena prueba de ello son en nuestro país los planes I+D. La investigación ambiental en su sentido más amplio, debe conocer este marco de referencia, utilizarlo y actuar en consecuencia desde la perspectiva de un análisis pormenorizado del mismo, así como desde el punto de vista de propuestas que colaboren al deseable objetivo de la sostenibilidad ambiental.

En esta línea se enmarca el Encuentro I+D para la Sostenibilidad: concretando las propuestas que tendrá lugar en Granada los próximos días 1 y 2 de junio, en el que el Seminario de Medio Ambiente y Calidad de Vida de la Universidad de Granada y la asociación Científicos por el Medio Ambiente (CiMA) han colaborado muy estrechamente para hacer públicas las deliberaciones y trabajos de un conjunto muy significativo de expertos investigadores, universitarios y de otras instituciones (CSIC, entre ellas), para debatir sobre I+D a la luz del concepto de sostenibilidad, clave en todos los problemas y soluciones que se plantean desde la investigación ambiental.

Las sesiones están abiertas tanto a investigadores y universitarios como al público interesado en general, con la única restricción del aforo de las dependencias donde se celebrará el encuentro, totalmente abierto y gratuito.

Programa

Viernes, 1 de junio (Salón de Conferencias del Complejo Administrativo Triunfo).
10 h. Inauguración: Mª José Osorio Pérez (Vicerrectora de Extensión Universitaria y Cooperación al Desarrollo de la Universidad de Granada), Rafael Hernández del Águila (Universidad de Granada) y Jorge Riechmann (Universidad de Barcelona; presidente de CiMA).
10,30 h. De la emergencia planetaria a la construcción de un futuro sostenible. Daniel Gil (Universidad de Valencia).
12,45 h. Biocombustibles: algunas consideraciones críticas. Jorge Riechmann.
13,15 h. Obtención, transformación y uso de la energía en Navarra: primera aproximación crítica. Alejandro Arizkun (Universidad Pública de Navarra).
13,45 h. Cambio climático y ahorro energético: buenas prácticas en publicidad de las empresas. Gerardo Pedrós (Universidad de Córdoba).
14,15 h. Debate.
16,30 h. La sostenibilidad en el Plan Nacional de I+D 2004-2007. Francisco J. Toro Sánchez (Universidad de Granada).
16,45 h. El nuevo Plan Nacional de I+D 2008-2011. Alicia Durán (CSIC y Fundación 1º de Mayo).
17,45 h. Qué necesitamos de la I+D en relación a la sostenibilidad. Rafael Hernández del Águila.
18,15 h. Investigación en sostenibilidad territorial: lo ambiental del territorio frente a la explosión urbana. Alberto Matarán (Universidad de Granada).
18,45 h. Debate.
19,15 h. Foro de la Sostenibilidad UGR: presentación y balance de la iniciativa.

Sábado, 2 de junio (Salón de Actos del Carmen de la Victoria).
16,30 h. Contaminantes ambientales tóxicos y salud. Eduard Rodríguez Farré (Instituto de Investigaciones Biomédicas de Barcelona (IIBB), CSIC-IDIBAPS).
17 h. Desigualdades sociales, distribuciones poblacionales y ‘carga corporal’ de contaminantes químicos ambientales. Miquel Porta (IMIM de Barcelona y Universidad Autónoma de Barcelona).
17,30 h. Conocimiento experto, movilización ciudadana y cambio social. Ernest García (Universidad de Valencia).
18 h. Tecnociencia y sociedad de consumo: cosificación, poder y oportunidades perdidas. Marcel Cano Soler {Universidad Politécnica de Cataluña).
18,30 h. Apreciar la naturaleza: reflexiones en torno al valor del mundo no humano. Fernando Arribas (Universidad Rey Juan Carlos, Madrid).
19 h. Debate.
19,30 h. Clausura y conclusiones: Miquel Porta y Eduard Rodríguez Farré.

Referencia: Prof. Rafael Hernández del Águila. Director del Seminario de Medio Ambiente y calidad de Vida de la Universidad de Granada. Tel.: 958 24 95 17 / 958 24 36 40. Correo e. hdaguila@ugr.es.


El diente es la clave para saber la edad de un cadáver

– UNA ANTROPOLOGA colombiana ha ideado un nuevo método de identificación forense que permite averiguar la edad de cadáveres en avanzado estado de descomposición a partir de un diente.

Gretel González Colmenares presentará este método en el marco del III Curso Avanzado de Antropología Forense que se celebra esta semana en Granada (sur de España) con la participación de expertos de identificación forense de todo el mundo.

El coordinador del evento, el profesor y director del Laboratorio de Antropología Física de la Universidad de Granada, Miguel Botella, explicó a Efe que la nueva metodología puede ser muy útil en la primera fase de análisis de un cadáver no identificado.

Ofrece información bastante precisa de la edad de la persona así como de su sexo, a partir de la transparencia de un diente, precisó.

Botella recordó que la identificación antropológica es el paso previo a la identificación genética en un caso de estas características.

Si bien el ADN ofrece datos muy importantes, dijo, estos sólo pueden ser utilizados en relación a otra huella genética, pero para establecer un perfil de edad, sexo y otros datos básicos de esa persona, es imprescindible la identificación antropológica.

El III Curso Avanzado de Antropología Forense analizará las nuevas tecnologías y los más modernos métodos de identificación forense existentes en la actualidad.

Igualmente, se abordará la investigación forense interdisciplinar en cadáveres en diferentes estados de conservación, el estudio de restos modificados o el análisis de abuso físico a partir de los huesos.

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Nueva herramienta para la electrónica

– Nueva herramienta para la electrónica.

La UGR desarrolla una herramienta de simulación de circuitos como innovación en el laboratorio de electrónica.

Con este proyecto se aplica un programa de simulación de circuitos para asignaturas del departamento de Electrónica y Tecnología de Computadores.

Los alumnos de la UGR podrán utilizar un “software” como herramienta en el diseño y estudio de los circuitos electrónicos en sus prácticas del laboratorio de electrónica.

Desarrollar un programa gratuito de simulación de circuitos y un portal de Internet de soporte a este programa son los objetivos fundamentales del proyecto de innovación docente que lleva por título “Desarrollo de una herramienta de simulación de circuitos y de un sitio web para la mejora y la innovación en el laboratorio de electrónica”, que coordina el profesor del departamento de Electrónica Juan B. Roldán Aranda.

En este portal, según los autores del proyecto, se vio la necesidad de tener una sección de manuales de uso del programa para consulta rápida online, tutoriales, ejemplos resueltos y un foro para intercambio de impresiones entre los usuarios del programa y el grupo de quienes lo desarrollan. También, se añadirían videos explicativos y fotografías que ilustraran distintos procesos de aprendizaje del manejo de aparatos usuales en el laboratorio de electrónica.

A decir de los responsables, “la sección principal del proyecto consistiría, pues, en el desarrollo del simulador ESPICE, de un programa extractor de parámetros de dispositivos electrónicos para complementar la utilidad y potencia del simulador y de la web de soporte, incluyendo tutoriales y videos didácticos”.

El proyecto
Con el proyecto, pues, se ha desarrollado un programa de simulación de circuitos -ESPICE- que contiene, a parte del simulador clásico SPICE, otros dos simuladores CIDER y XSPICE. También, se ha desarrollado el programa de extracción de parámetros PRETORIANO complementario a ESPICE. Todo este software podrá ser utilizado por los alumnos como herramienta en el diseño y estudio de los circuitos electrónicos que tienen que implementar en las prácticas que requieren el uso del laboratorio de electrónica, que en el caso de las asignaturas adscritas a nuestro departamento (Electrónica y Tecnología de Computadores) son prácticamente la totalidad.

Junto al coordinador, profesor Juan B. Roldán Aranda, participan en el proyecto los también profesores Andrés Roldán, Francisco Jiménez Molinos, Francisco Gámiz Pérez, Carlos Sampedro Matarín, Andrés Godoy Medina y Noel Rodríguez Santiago.

Igualmente, en el proyecto participan los alumnos José Antonio Álvarez Morales,

Anna Peña Martínez, Simón Perán Sánchez, Iván García García, Nuria Porcel García; y el becario Joan Miquel Fuster Mollá.

A decir de los autores de este proyecto: “En la actualidad existen bastantes programas de simulación de circuitos que se utilizan en la industria electrónica y en las instituciones académicas; todos son de pago. De hecho, las herramientas software que se utilizan en la industria electrónica actual son, en general, de las más caras del mercado debido al alto valor añadido de los productos electrónicos y su demanda en la sociedad actual. Estos altos precios dejan fuera del alcance de cualquier estudiante de electrónica estas herramientas”.

Algunas empresas crean una versión reducida de la herramienta –versión de estudiante- con capacidades muy limitadas para que los alumnos se familiaricen con ellas. “En este contexto –aseguran los autores del proyecto– nuestro objetivo en este proyecto de innovación docente es el desarrollo de una herramienta de simulación de circuitos, que aunque tenga una interfaz de usuario sencilla en comparación con los programas comerciales actuales relacionados, permita hacer las simulaciones que los alumnos tienen que realizar en su estudio de los circuitos como paso previo al montaje experimental de éstos en el laboratorio de electrónica”.

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El Instituto de Neurociencias presenta los resultados de sus investigaciones más recientes sobre enfermedades psiquiátricas y su tratamiento

El próximo viernes, 1 de junio, se celebrará la II Jornada del Instituto de Neurociencias a partir de las 9 de la mañana en el Salón de Grados B de la Facultad de Medicina. La actividad está organizada por el Instituto de Neurociencias “Federico Olóriz” de la Universidad de Granada y la Sociedad Española de Neurociencias, cuya Junta Directiva moderará el acto.

El objetivo del encuentro es dar a conocer los resultados de las últimas investigaciones realizadas por profesores, investigadores, doctorandos y estudiantes de postgrado de los distintos grupos de investigación pertenecientes al Instituto y de los departamentos de Bioquímica y Biología Molecular, Medicina Legal y Psiquiatría, Fisiología, Psicología Experimental y Fisiología del Comportamiento y Farmacología de la UGR.

Las presentaciones versarán sobre varios aspectos de distintas enfermedades como la depresión, la enfermedad de Parkinson, el trastorno bipolar, la psicosis o la fibromialgia, así como sobre el uso de algunos fármacos utilizados para su tratamiento.
Todas las intervenciones se realizarán en una única jornada, de 9 a 18,30 h. y la entrada será libre. En el acto de inauguración participarán los profesores de la UGR José María Peinado Herreros, decano de la Facultad de Medicina, y José Manuel Baeyens Cabrera, director del Instituto de Neurociencias, así como el presidente de la Sociedad Española de Neurociencia y profesor de la Universidad Pablo Olavide de Sevilla, José María Delgado García.

Programa
9 h. Apertura y bienvenida.
9,30 h. Efecto catalizador de las drogas de abuso en el comienzo de la psicosis.
10 h.: Variabilidad genética en el receptor 5-HT2A y riesgo para depresión.
10,30 h. Efecto de la estimulación secuencial de glicina y NMDA sobre el Ca2+.
11 h. Modulación por tetrodotoxina (TTX) del dolor neuropático inducido por Paclitaxel.
12 h. Dependencia contextual de la inhibición latente en ratas senescentes: Efecto de la experiencia previa y de la administración intrahipocampal de tetrodoxina.
12,30 h. Estrés oxidativo y estrés proteico en la enfermedad de Parkinson. Papel de la L-dopa.
13 h. Bloqueo irreversible de los receptores sigma-1 por haloperidol y sus metabolitos en cerebro de cobaya y en células SH-SY5Y de neuroblastoma humano.
13,30 h. Interacción genético-ambiental y riesgo para depresión en una amplia muestra de atención primaria.
15,30 h. Efecto de la edad sobre el consumo voluntario de alcohol en ratas Wistar.
16 h. Evaluación de la eficacia y la tolerabilidad de la Trazodona en el tratamiento de la fibromialgia: datos preliminares.
16,30 h. Papel del receptor sigma-1 en la alodínia mecánica inducida por capsaicina.
17,30 h. Síntomas depresivos y duración de la enfermedad como determinantes de baja calidad de vida en el trastorno bipolar.
18 h. Efectos del estrés agudo y del estrés medioambiental sobre los niveles de mRNA de los isoenzimas de la 5-alfa-Reductasa en corteza prefrontal de rata.
18,30 h. Clausura.

Referencia: Prof. Francisco Vives Montero. Secretario del Instituto de Neurociencias “Federico Olóriz” de la Universidad de Granada. Tel.: 958 24 35 25 / 958 24 40 33. Correo e. fvives@ugr.es.
Web: http://www.ugr.es/instituto_neuros.html.


La cerveza, ¿es necesaria para los deportistas?

– La cerveza, ¿es necesaria para los deportistas

Un congreso en España determinó que esa bebida es recomendable para atletas de primer nivel y que debe ser incluida en sus dietas. Infobae.com consultó a un reconocido médico argentino

En el marco de un polémico simposio, celebrado en la Facultad de Medicina de la Universidad de Granada (España), llamado Cerveza, Deporte y Salud, los especialistas concluyeron que la ingesta moderada de cerveza tras el ejercicio físico favorece la rehidratación de los deportistas.

Un grupo de nutricionistas españoles recomendó incluir esta bebida en la dieta diaria de los atletas.

El cardiólogo Juan Antonio Corbalán aseguró que la cerveza tiene un perfil excelente para conseguir una hidratación eficaz del organismo tras el ejercicio físico.

Corbalán destacó que el bajo contenido alcohólico de esta bebida es absolutamente compatible con el rendimiento deportivo de alto nivel, siempre que se tenga en cuenta que la cantidad de cerveza ingerida sea adecuada a la capacidad de metabolizar el alcohol, y aludió a la necesidad de eliminar determinados tabúes respecto del zumo de cebada, la primera bebida para el deportista después del agua, afirmó.

Infobae.com consultó al reconocido médico Miguel Khoury, quien echó por tierra esta insólita conclusión.

“No estoy de acuerdo con que el deportista tome alcohol, menos en el nivel del alto rendimiento, dijo.

Khoury agregó que la cerveza tiene vitaminas, pero como teoría es un poco caída de las manos. Ningún médico deportólogo te va a recomendar que tomes algo con alcohol o que forme parte de una dieta. Todo esto puede tener que ver con una movida comercial.

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La Facultad de Ciencias acoge la Muestra de actividades de la Casa de Porras

En la tarde de hoy, miércoles 30 de mayo, a partir de las 18 horas, se va a celebrar en Facultad de Ciencias una muestra con motivo de la finalización del curso académico y los talleres del centro cultural universitario Casa de Porras.

Según explica el director de la Casa de Porras, Manuel Zurita Ferrón, van a participar tanto los monitores como los alumnos que han realizado los talleres y los asistentes podrán contemplar y probar los de Restauración de Muebles, Técnicas Orientales de Estampación en Tela, Fotografía, Reflexología Podal, Papel (reciclado y encuadernación), Diseño y Reciclaje de Muebles y Objetos. Y en el Aula Magna se podrá presenciar los de Tai-Chi, Flamenco, Guitarra Flamenca, Salsa, Tango, Teatro y Danza del Vientre.

Convocatoria:
Día: Miércoles, 30 de Mayo.
Hora: a partir de las 18:00 horas.
Lugar: Facultad de Ciencias

Referencia: Manuel Zurita Ferrón, director de la Casa de Porras, móvil: 618 333 362. Correo e. zuris@correo.ugr.es


La UGR desarrolla una herramienta de simulación de circuitos como innovación en el laboratorio de electrónica

Desarrollar un programa gratuito de simulación de circuitos y un portal de Internet de soporte a este programa son los objetivos fundamentales del proyecto de innovación docente que lleva por título “Desarrollo de una herramienta de simulación de circuitos y de un sitio web para la mejora y la innovación en el laboratorio de electrónica”, que coordina el profesor del departamento de Electrónica Juan B. Roldán Aranda.

En este portal, según los autores del proyecto, se vio la necesidad de tener una sección de manuales de uso del programa para consulta rápida online, tutoriales, ejemplos resueltos y un foro para intercambio de impresiones entre los usuarios del programa y el grupo de quienes lo desarrollan. También, se añadirían videos explicativos y fotografías que ilustraran distintos procesos de aprendizaje del manejo de aparatos usuales en el laboratorio de electrónica.

A decir de los responsables, “la sección principal del proyecto consistiría, pues, en el desarrollo del simulador ESPICE, de un programa extractor de parámetros de dispositivos electrónicos para complementar la utilidad y potencia del simulador y de la web de soporte, incluyendo tutoriales y videos didácticos”.

Con el proyecto, pues, se ha desarrollado un programa de simulación de circuitos -ESPICE- que contiene, a parte del simulador clásico SPICE, otros dos simuladores CIDER y XSPICE. También, se ha desarrollado el programa de extracción de parámetros PRETORIANO complementario a ESPICE. Todo este software podrá ser utilizado por los alumnos como herramienta en el diseño y estudio de los circuitos electrónicos que tienen que implementar en las prácticas que requieren el uso del laboratorio de electrónica, que en el caso de las asignaturas adscritas a nuestro departamento (Electrónica y Tecnología de Computadores) son prácticamente la totalidad.

Junto al coordinador, profesor Juan B. Roldán Aranda, participan en el proyecto los también profesores Andrés Roldán, Francisco Jiménez Molinos, Francisco Gámiz Pérez, Carlos Sampedro Matarín, Andrés Godoy Medina y Noel Rodríguez Santiago.

Igualmente, en el proyecto participan los alumnos José Antonio Álvarez Morales,
Anna Peña Martínez, Simón Perán Sánchez, Iván García García, Nuria Porcel García; y el becario Joan Miquel Fuster Mollá.
A decir de los autores de este proyecto: “En la actualidad existen bastantes programas de simulación de circuitos que se utilizan en la industria electrónica y en las instituciones académicas; todos son de pago. De hecho, las herramientas software que se utilizan en la industria electrónica actual son, en general, de las más caras del mercado debido al alto valor añadido de los productos electrónicos y su demanda en la sociedad actual. Estos altos precios dejan fuera del alcance de cualquier estudiante de electrónica estas herramientas”.

Algunas empresas crean una versión reducida de la herramienta –versión de estudiante- con capacidades muy limitadas para que los alumnos se familiaricen con ellas. “En este contexto –aseguran los autores del proyecto– nuestro objetivo en este proyecto de innovación docente es el desarrollo de una herramienta de simulación de circuitos, que aunque tenga una interfaz de usuario sencilla en comparación con los programas comerciales actuales relacionados, permita hacer las simulaciones que los alumnos tienen que realizar en su estudio de los circuitos como paso previo al montaje experimental de éstos en el laboratorio de electrónica”.

Referencia: Prof. Juan Bautista Roldán Aranda. Dpto. de Electrónica y Tecnología de Computadores. Universidad de Granada. Tfns: 958 244 071 – 248 532. Correo e. jroldan@ugr.es