El Consejo de Gobierno de la UGR abordará un programa de apoyo al deporte de alto nivel en su sesión de 6-XI-06

1.- Aprobación, si procede, del acta de la sesión anterior.
2.- Informe del Sr. Rector.
3.- Aprobación, si procede, de la propuesta de solicitudes de Comisiones de Servicio.
4.- Informe y eventual decisión sobre concesión de Permisos y Licencias.
5.- Aprobación, si procede, de los perfiles docentes y tribunales de plazas de Profesorado contratado doctor.
6.- Aprobación, en su caso, de propuesta de nombramiento de colaboradores extraordinarios.
7.- Aprobación, en su caso, de la propuesta de Comisiones para concursos a plazas de Cuerpos de Funcionarios Docentes Universitarios.
8.- Aprobación, si procede, de Cursos Propios de la Universidad de Granada
9.- Informe y aprobación, en su caso, de propuesta de Calendario Electoral para elecciones parciales a Consejos de Departamentos, Consejos de Institutos Universitarios, Juntas de Centros y Claustro Universitario.
10.- Designación, en su caso, por el Consejo de Gobierno de los miembros de la nueva Junta Electoral de la UGR.
11.-. Aprobación, si procede, de la propuesta de Proyecto para el Fomento y Desarrollo del Deporte de Alto Nivel en la Universidad de Granada.
12.- Ruegos y preguntas.


Colomb était-il blond ?

Grands Angles
Colomb était-il blond ?
A loccasion du 500e anniversaire de sa mort, tour dhorizon des interrogations que suscite encore le célèbre navigateur.
Par François MUSSEAU
QUOTIDIEN : mercredi 1 novembre 2006
Madrid de notre correspondant
A mesure quavancent les recherches sur Christophe Colomb, le voile de mystère se fait plus dense sur celui qui, sil ne fut peut-être pas le découvreur du continent américain (des explorateurs scandinaves ou islandais, autour de lan mil, ou le Chinois musulman Zheng He, vers 1422, ont pu atteindre des côtes américaines), fut de science certaine le premier colonisateur. Sagissant dun personnage, peu connu avant 1492, qui a lui-même cultivé le secret durant son existence, il est forcément difficile de faire la lumière sur cette trajectoire humaine qui fonde lhistoire coloniale du Nouveau Monde et bouleverse le destin de lEurope. A loccasion du 500e anniversaire de la mort du célèbre navigateur ­ qui, en dix ans, a fait quatre voyages aux «Indes» ­, des dizaines douvrages, de conférences, dexpositions (surtout à Séville et à Valladolid) et de symposiums ont pour objet la personnalité et la biographie de Colomb. Même si, de lItalie à lEspagne, cette commémoration passionne moins les foules que les spécialistes. Cest néanmoins loccasion de faire le point des connaissances sur cet homme qui aura laissé derrière lui quelques certitudes et un océan dinterrogations.
Sur le même sujet

* Quatre voyages aux «Indes»

Doù vient-il ?
Catalan, Corse, Portugais, Juif ? Comte galicien, fils du prince de Viana, lié aux Templiers (selon Mariano Fernández Urresti), voire marin né… aux Amériques ? Un nom en forme de cryptogramme cabalistique, ou inspiré de Guillaume de Casanove, un héros de lenfance portant comme sobriquets «Coullon» ou «Colonne» ? Les théories les plus diverses, et farfelues, saccumulent quant aux origines du navigateur. Plus les recherches avancent, moins on est sûr quil sappelait Cristoforo Colombo ­ ce nom ne figure sur aucun registre ­ et quil est né en 1 451 à Gênes dun père tisserand.
Pour en avoir le coeur net, le biologiste espagnol José Antonio Lorente semploie actuellement à comparer lADN dHernando (fils cadet de lamiral) avec celui de dizaines de possibles descendants aux Baléares, à Gênes, en Catalogne. Si lincertitude est telle, cest que lintéressé est un parfait inconnu avant 1486 et quil a toujours été mystérieux sur son passé, quitte à se contredire.
Les historiens sont toutefois certains que «Colomb», très probablement dorigine modeste et peu éduqué (même sil sait le latin scolastique), navigue depuis lâge de 9-10 ans. Mousse, il a probablement été corsaire (selon Consuelo Varela), ce qui expliquerait son soin de taire ses origines auprès des cours royales portugaise et espagnole.
A quoi ressemblait-il ?
Taille plutôt haute pour lépoque (environ 1,70 m), athlétique, blond aux yeux bleus, le cheveu blanc dès sa trentaine : personne ne remet en cause la description faite par son fils Hernando, et les attraits physiques du navigateur. Caractère bien trempé, ultra-ambitieux, avide de richesses, Colomb est unanimement décrit comme un fort en gueule doté dune volonté de fer, bourru, irascible et souvent dhumeur noire.
Autre certitude : sa famille passe par-dessus tout, même sil ne semblait guère attaché à la Portugaise Filipa Moniz, sa première femme. «Père magnifique» (Varela), il couvre des distances impensables pour mettre en lieu sûr ses fils, Diego et Hernando. Après ses trois premiers voyages, il se battra pour leur léguer sa fortune et ses titres. Quant à ses frères, en particulier Bartolomé, qui lépaule totalement dans son projet maritime, il leur voue une confiance aveugle.
Colomb, charismatique et éloquent, est un sensuel à succès. Il séduit les femmes avec facilité, y compris ­ selon certains historiens ­ la reine Isabelle de Castille, le principal soutien de son projet. Ses conquêtes féminines connues, souvent des aristocrates influentes et quil nhésite pas à laisser ensuite en plan, lui servent à sintroduire dans les hautes sphères du pouvoir.
Etait-il visionnaire ?
Aucun doute sur ce sujet : très tôt, au cours de sa trentaine, celui quon surnommera l«Amiral de la mer océane» a une vision. Celle, connue de tous, de rejoindre les fabuleuses terres de Cipango (Japon) et Cathay (Chine) via le ponant, louest, cest-à-dire par el mar tenebroso («la mer ténébreuse»), associée, à lépoque, à de terribles légendes. Cette vision, dont Colomb ne démordra jamais, va à contre-courant des convictions dalors. Dautant que le Portugal, la grande puissance maritime, descend avec succès les côtes africaines dans sa route orientale. Marin expérimenté (il a navigué de la Guinée à lIslande), esprit aventurier, Colomb aurait entendu parler (selon Manuel Fernández Alvarez) des expéditions dErik le Rouge, dErikson et de Karlsefni (1007) vers le Groenland et les Amériques. Et croit dur comme fer à la rotondité de la Terre, une théorie formulée dans lAntiquité. De nombreuses lectures le persuadent du bien-fondé de lhypothèse : Ptolémée, Marco Polo, le cardinal Pierre dAilly et le Florentin Toscanelli, qui parle de rejoindre les Indes en mettant le cap à louest. Toscanelli, avec qui il correspondait par lettres, lui assure que le voyage est «sûr». Les calculs de Colomb sont faux, qui situent Cipango à 4 500 km des Canaries. Sa chance : à cette distance sétendent les Antilles.
Quelle était sa force de persuasion ?
Sûr de son projet, encore lui fallait-il convaincre. A Lisbonne, entre 1476 et 1485, ce marin inconnu intrigue au sein de la cour, notamment grâce aux «relations» de sa femme Filipa. Il sattire avec habileté les faveurs de certains protecteurs, dont deux Juifs très influents, Abraham Zacuto et José Vizinho. Il obtient une audience auprès du roi portugais Juan II, mais se montre trop gourmand en exigeant le titre de gouverneur à vie de toutes les terres découvertes. En Espagne, il cherche obstinément le soutien des Rois catholiques, Isabelle et Ferdinand, qui tarderont six ans avant dappuyer son projet. Le déclic se produit, fruit dune cour patiente auprès de personnages qui ont loreille des rois espagnols, dont les franciscains Antonio de Marchena et Juan Pérez. Parallèlement, le navigateur offre ses services aux cours française et anglaise. En décembre 1491, la reine Isabelle cède à ses exigences (pourcentage sur les richesses, titre de vice-roi), mais refuse de lanoblir. Colomb, disent les historiens, est arrivé au bon moment : avec la chute de Constantinople (1453) qui la limite à lest, lEurope a besoin de nouveaux marchés (Alvarez). En particulier Isabelle et Ferdinand, qui, ayant achevé la Reconquête avec la prise de Grenade de 1492, cherchent à coloniser dautres terres.
Un tyran aux Indes ?
Sans conteste un grand navigateur, Colomb fut un déplorable colonisateur après les débarquements aux Bahamas et à «La Hispañola», aux Antilles, le 12 octobre 1492. En compagnie de ses frères Bartolomé et Diego, lamiral se conduisait manifestement en tyran, ne distribuait pas de vivres à des colons affamés et appliquait la justice sans jugement. Il réprima en outre les nombreuses révoltes et mutineries avec une rare cruauté. Cest ce qui apparaît à la lecture dun document inédit, trouvé par hasard il y a deux ans, «le plus important depuis un siècle», selon lhistorienne Consuelo Varela. Ce texte de 46 pages relate par le menu détail le procès de Colomb, instruit en 1500 (au terme du troisième voyage) par le commandeur royal Bobadilla, à lorigine de sa destitution en tant que «vice-roi et gouverneur des Indes». Les 23 témoins, dont des amis du navigateur, y dépeignent un chef impitoyable, emporté dans un fol autoritarisme. Plusieurs citent le cas dune femme qui eut la langue coupée pour avoir évoqué les origines modestes de lamiral. Daprès Consuelo Varela, les atrocités commises (coups de fouet, amputation du nez ou des oreilles, tortures et exécutions sommaires) étaient au moins aussi nombreuses à légard des premiers colons espagnols, soupçonnés de sédition, que des autochtones.
Un homme de Dieu ?
Jusqualors, on a seulement retenu limage dun homme de foi, dévot, portant la croix et les étendards de la chrétienté pour évangéliser les «peuplades impies du Nouveau Monde». Nombre dhistoriens lui prêtent même lillumination spirituelle dune sorte de prophète. Pour Fernández Alvarez, le navigateur était religieux au point de se croire «prédestiné par le Ciel et touché par la Divine Providence». Et aurait même entendu des voix lors de son quatrième voyage (1502-1504). Colomb, renchérit Denis Crouzet, croit en un monde qui sera implacablement gagné par la foi chrétienne, et serait même persuadé que le grand Khan (de lempire de Cathay) attend depuis longtemps larrivée de missionnaires pour évangéliser ses sujets. Ce dernier argument aurait été déterminant pour convaincre Isabelle la Catholique du bien-fondé de ses expéditions. Mais, si Colomb était homme de Dieu, il était plus encore, semble-t-il, un homme dargent. Le texte du procès de 1500 met en évidence un gouverneur sopposant au baptême des indigènes adultes. Ce sacrement empêchant de réduire ces indigènes en esclavage, «cela aurait supposé pour Colomb de grosses pertes économiques», dixit Varela. Sous sa férule, les Indiens ont souffert : entre 1496 et 1570 (selon Brinkbäumer et Höges), le nombre de natifs de La Hispañola (Saint-Domingue) chute à… 125.
Où est-il mort et enterré ?
Même sil a amassé de grandes richesses, lamiral de la mer océane finit sa vie dans lamertume et en disgrâce à Valladolid. Affaibli par une polyarthrite aiguë, il a déménagé dans cette capitale castillane pour réclamer, en vain, à la cour royale le rétablissement de ses titres de vice-roi et gouverneur des Indes. Jusquà son dernier souffle, sans doute pour grossir lhéritage, il prie avidement le roi Ferdinand de lui accorder dautres richesses liées à ses découvertes. En pure perte. Le découvreur des «Indes» séteint le 20 mai 1506 dans un couvent de Valladolid. Après sa mort, Colomb demeurera un grand voyageur jusquà la fin du XVIIIe, car son cadavre se promènera entre Séville, Saint-Domingue, peut-être Gênes et le Vatican. Daprès des tests ADN rendus publics en juillet par des biologistes espagnols de luniversité de Grenade, une vieille polémique opposant les autorités espagnoles et celles de la République dominicaine sur lemplacement actuel des restes du navigateur a été tranchée : les analyses indiquent que 20 % des restes de Colomb reposent sous le monastère sévillan de la Cartuja, et 80 % gisent dans le sous-sol de la cathédrale de Santo Domingo.
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Quand un insecte influence la morphologie d’une fleur

Quand un insecte influence la morphologie d’une fleur

Publié le jeudi 2 novembre 2006. [Imprimer cette brève]
Sources : sciencemag.org

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Morphotypes floraux d’Erysimum mediohispanicum
Crédits : José María Gómez / www.ugr.es (2005)

En botanique, les fleurs se distinguent par deux cas de symétrie : radiale (actinomorphes), comme chez les potentilles, et bilatérale (zygomorphes), à l’image des fleurs d’ajonc ou des orchidées. Les fossiles de végétaux et la génétique ont montré que la forme actinomorphe est un état ancestral, et que la forme zygomorphe est apparue de manière indépendante chez différentes familles végétales au cours du temps, sans que les raisons expliquant cette évolution ne soient clairement identifiées. Mais une équipe de biologistes espagnols de l’Université de Grenade vient d’y apporter un élément de réponse, en proposant un exemple d’évolution d’une plante actinomorphe vers la forme zygomorphe, et ce grâce à l’influence d’un insecte pollinisateur !

L’équipe de chercheurs, dirigée par José Gómez, a étudié 300 plants d’Erysimum mediohispanicum (Brassicacée), qui pousse dans les montagnes du sud de l’Espagne : certains plants portent à la fois des fleurs actinomorphes ou zygomorphes. Gómez et ses collaborateurs ont observé qu’un insecte pollinisateur, Meligethes maurus, représente à lui seul 80% des insectes venant butiner ces fleurs. En mesurant soigneusement la forme tridimensionnelle de chaque fleur par la technique de morphologie géométrique, ils se sont aperçu que non seulement les fleurs zygomorphes recevaient plus de visites de ces insectes que les fleurs actinomorphes, mais aussi que les plantes arborant ces fleurs produisaient plus de graines, donnant une descendance plus nombreuse. Celà signifie donc que, génération après génération, la proportion d’E. mediohispanicum à fleurs à symétrie bilatérale va augmenter au détriment des plantes à fleurs actinomorphes.

Inversement, M. maurus semble préférer certains types de fleurs zygomorphes, par exemple celles avec deux pétales parallèles l’un par rapport à l’autre, sans que l’équipe espagnole parvienne pour autant à expliquer ce curieux comportement.

Ces travaux, publiés dans la revue American Naturalist, apportent un exemple sérieux de sélection naturelle d’une morphologie végétale par le fitness génétique et ouvre de nouvelles questions quant aux raisons de cette interaction entre M. maurus et E. mediohispanicum.

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El Instituto de Geofísica y el 112 elaboran un plan para zonas con más riesgo sísmico

RANADA
El Instituto de Geofísica y el 112 elaboran un plan para zonas con más riesgo sísmico
La Junta ha destinado más de 3,9 millones para la nueva sede que compartirán ambas instituciones en el campus de Cartuja
R. I./GRANADA
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El servicio de emergencias 112 y el Instituto Andaluz de Geofísica de Granada trabajarán juntos para investigar las zonas de la geografía andaluza con mayores riesgos sísmicos y elaborar un plan de emergencia específico para actuar ante estas situaciones.

Esta colaboración se estrechará tras la construcción de un edificio en el Campus de la Cartuja que albergará las sedes de ambos organismos y cuyas obras comenzarán antes de final de año con una inversión de 3,9 millones de euros, según informó ayer la Consejería de la Presidencia en un comunicado.

El Consejo de Gobierno acordó ayer aceptar los terrenos cedidos por la Universidad de Granada, 13.800 metros cuadrados de parcela, para poner en marcha este proyecto. El nuevo edificio, cuyas obras comenzarán antes de final de año, contará con tres plantas y una superficie construida de 2.760 metros cuadrados. Tendrá forma de u con el fin de albergar en el centro las zonas comunes y en los laterales las sedes de los dos organismos que ahora se unen.

De este modo, los 30 trabajadores que integran el Servicio de Emergencias 112, actualmente ubicado en el Camino de Purchil, se trasladará al campus universitario. De igual modo lo hará el Instituto Andaluz de Geofísica, que abandonará el antiguo Observatorio de La Cartuja.

La ubicación de los dos organismos en un mismo edificio atiende a una estrategia: reforzar la colaboración entre ambos. El Instituto proporcionará al 112 la información sobre los movimientos sísmicos que identifica día a día en las distintas zonas de la provincia, datos que utilizarán los servicios de emergencia para planificar y mejorar la respuesta en caso de catástrofe. Y en este marco de colaboración se encuentra el plan de zonas con mayor riesgo símico que será elaborado por ambas instituciones

Terremotos registrados

Hasta la fecha, se han registrado en el conjunto de Andalucía un total de 22 terremotos con intensidad suficiente para ser percibidos por la población, según los datos del Instituto de Geofísica.

El pasado año destacaron tres seísmos por su intensidad, dos de ellos con epicentro en la población murciana de Bullas, siendo sentidos en las provincias de Granada, Almería y Jaén.
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La obra de la nueva sede del 112 arranca antes de fin de año

en el campus de cartuja

La obra de la nueva sede del 112 arranca antes de fin de año
EUROPA PRESS
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granada. La Junta invertirá 3,9 millones de euros en la construcción del edificio que albergará las sedes del Centro de Coordinación de Emergencias 112 y del Instituto Andaluz de Geofísica y Prevención de Desastres Sísmicos tras el acuerdo adoptado por el Consejo de Gobierno para aceptar los terrenos cedidos por la Universidad de Granada para llevar a cabo este proyecto.

La parcela, de 13.800 metros cuadrados, está situada en el Campus de la Cartuja. El nuevo edificio, cuyas obras comenzarán antes de final de año, contará con tres plantas y una superficie construida de 2.760 metros cuadrados. Tendrá forma de u y albergará en el centro las zonas comunes y en los laterales las sedes de los organismos.

El servicio 112, integrado actualmente por 30 profesionales entre técnicos y operadores telefónicos, se trasladará desde la periferia de la ciudad al campus universitario cuando esté preparado el edificio, que podrá asumir las necesidades de espacio previstas para los próximos años. Por su parte, el Instituto Andaluz de Geofísica, dependiente de la Universidad, cambiará su actual ubicación en el antiguo Observatorio de La Cartuja.

Según la Junta, la construcción de este edificio reforzará la colaboración entre el 112 y el Instituto, que gestiona una red de observación a través de la cual se identifican los movimientos sísmicos y se proporciona información sobre los mismos a los servicios de emergencias de la Junta, con el fin facilitarles la capacidad de respuesta.
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Granada recuerda al profesor González Tascón

homenaje

Granada recuerda al profesor González Tascón
El Hospital Real acogió ayer la presentación del libro Patrimonio Hidráulico de Andalucía

G. H.
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grAnada. Patrimonio Hidráulico de Andalucía es el título del último libro del profesor González Tascón, elaborado por el que fuera catedrático de Estética de la Ingeniería en el departamento de Expresión Gráfica en la Arquitectura y en la Ingeniería de la Universidad de Granada.

El volumen, sobre el patrimonio hidráulico de Andalucía, es fruto de un proyecto de investigación patrocinado por el Instituto del Agua de Andalucía. Cuando hace cuatro meses se produjo la muerte del profesor González Tascón estaba pendiente la presentación pública de su última publicación. Y ahora, por iniciativa compartida de la Consejería de Medio Ambiente y de la Escuela de Caminos, avalada tanto por el rector como por la consejera, se ha celebrado este acto de homenaje en el Salón de Rectores del Hospital Real, en el que han estado presentes Ernesto Hontoria, director de la E.T.S. de Ingeniería de Caminos, Canales y Puertos; Rafael Payá Albert, vicerrector de Investigación de la UGR; Hermelindo Castro, director del Instituto del Agua de la Junta de Andalucía, y Juan López Martos, quien afirmó que Ignacio González Tascón ha sido la figura genuina del profesor universitario, que entendía la simbiosis ineludible entre investigación y docencia universitaria, pero sin que aquella fuera en detrimento de ésta, sino que la primera era condición imprescindible para que la segunda se impartiera con la calidad y el atractivo que los alumnos necesitan.

Al acto, celebrado en un abarrotado Salón de Rectores, asistieron familiares, amigos, profesores y alumnos del homenajeado.
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Art Futura completa su programa con actividades en paralelo

encuentro

Art Futura completa su programa con actividades en paralelo
G. H.
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granada. El Parque de las Ciencias complementa la programación de Art Futura06 con una serie de actividades paralelas, una iniciativa que se pone en marcha por primera vez en esta edición. Se trata de dos iniciativas de las universidades de Granada y Málaga, así como de un recopilatorio de la séptima edición de la Fiesta 3D que se desarrolló en Granada en 2005.

La primera de las actividades paralelas corre a cargo de la Facultad de Bellas Artes de la Universidad de Granada. En la carpa de Art Futura se pueden ver las últimas creaciones audiovisuales de animación y efectos especiales realizadas, bajo la dirección de Theótima Amo Sáez y María del Mar Garrido Román. En la misma carpa de Artfutura, y también producto de un trabajo universitario, esta vez del grupo DIANA de Málaga se encuentra el experimento Asteroide B612, una metáfora del planeta del Principito de Antoine de Saint Exupéry.

Por último, se proyecta un recopilatorio con los mejores trabajos realizados en la séptima edición de la Fiesta 3D, celebrada el año pasado en Granada. El ganador de la convocatoria ha sido el cortometraje Niebla, de Emilio Ramos.

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Las familias gallegas son las sextas de todo el Estado que menos ahorran

ESTUDIO
Las familias gallegas son las sextas de todo el Estado que menos ahorran
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Las familias gallegas son las sextas de todo el Estado que son menos capaces de ahorrar después de pagar sus hipotecas y los gastos de adquisición de vivienda, con un nivel de ahorro del 13,13 por ciento, según los datos de ´Cuadernos de información económica´ de la Fundación de Cajas de Ahorros (Funcas)

AGENCIAS

El documento revela que, en el caso español, el 80% de las familias no son capaces de generar un ahorro financiero positivo, a pesar de que en términos absolutos y sin descontar este gasto, casi el 90% de los hogares españoles ahorran.

Asimismo, Victorio Valle, director general de Funcas, destacó hoy en la presentación del cuaderno en la sede de la Confederación Española de Cajas de Ahorros (CECA) que las cifras estimadas de endeudamiento de las familias españolas reflejan que sus obligaciones superarán este año en un 31% a su renta bruta disponible.

El endeudamiento de las familias creció un 176,6% entre 1998 y 2005, lo que ha provocado que desde 2003 las familias ya no sean capaces de ayudar a financiar el desarrollo empresarial, como antes hacían. De esta forma, los hogares han pasado a necesitar y requerir financiación y son vulnerables a cambios externos, como una fuerte subida de tipos.

De esta forma, tanto Valle como Angel Laborda, director del gabinete de coyuntura y estadística de Funcas, apuntan en sus artículos de ´Cuadernos de información económica´ de la fundación, que la tasa de ahorro volverá a descender en 2006 y se situará, concretamente, en el 9,7%, debido a que el consumo crece al 7,5% nominal, mientras que la renta bruta disponible lo hace a un ritmo del 6,5%, es decir, un punto por debajo.

Por ello, Santiago Carbó, director del gabinete de análisis financiero de Funcas, y José Manuel Linares, de la Universidad de Granada, destacan en sus exposiciones el estancamiento de la riqueza financiera de los hogares y muestran su preocupación por el elevado apalancamiento financiero y el previsible endurecimiento de las condiciones de los créditos.

Además, y según estas estimaciones, la deuda de las empresas españolas también superará su renta disponible, aunque en menor grado (+7%), pero suficiente para que las exigencias de inversión sean superiores al ahorro disponible.

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INNOVACIÓN: Científicos malagueños trabajan en un fármaco con algas para tratar distintos cánceres

IVIR
INNOVACIÓN: Científicos malagueños trabajan en un fármaco con algas para tratar distintos cánceres
El grupo ha obtenido resultados con células de cultivo afectadas por melanomas y algunos tipos de leucemia Aún no han comenzado las pruebas con personas
JOSÉ LUIS LÓPEZ/MÁLAGA
INNOVACIÓN: Científicos malagueños trabajan en un fármaco con algas para tratar distintos cánceres
INVESTIGACIONES. Las algas podrían tener la clave de muchas enfermedades cancerígenas. /SUR
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A pesar de que poco a poco van entrando en los gustos de algunos países europeos, hasta hace apenas unos años las algas eran una novedad. Sin embargo, se cree que estas plantas acuáticas se incorporaron a la alimentación humana hace cerca de 10.000 años. En la actualidad, su uso se ha extendido a muchos países. En Alemania y Austria, por ejemplo, se emplean con enorme éxito en la elaboración del denominado Algenbrot, un pan de cereales al que se le añaden algas disecadas en la harina.

Esta planta aparentemente sin fundamento no es producto exclusivo de la gastronomía, sino que se ha adentrado también en los mares de la investigación. El Centro Mediterráneo de Fotobiología es un claro ejemplo de esta línea investigadora. La empresa malagueña estudia el desarrollo de un fármaco compuesto por moléculas de algas y microalgas capaz de combatir distintos tipos de cáncer.

Cultivando resultados

«Estamos trabajando en el diseño de nuevas moléculas a raíz de una patente que la empresa ha adquirido de investigadores de la Universidad de Granada. A partir de esta adquisición, la empresa dispone de dos años para obtener un resultado oficial», según explica Roberto Abdala, director de la empresa de Málaga.

El grupo de investigadores está obteniendo óptimos resultados en células de cultivo en laboratorio afectadas por melanomas y diferentes tipos de leucemia. «Uno de los últimos resultados que hemos obtenido revelan que cerca de un 90% de las células cancerígenas han sido aniquiladas», afirma Abdala

El objetivo de esta compañía es intentar llevar este producto a fase I, es decir, aquella en la que el medicamento se emplea por primera vez en las personas. Así se investigaría la toxicidad del fármaco y se averiguaría cuál es la dosis apropiada para cada individuo. Pero antes de llegar a este proceso, el producto tendría que pasar los tribunales específicos para su autorización.

Otras líneas de estudio

Paralelamente a esta investigación, los científicos estudian la obtención de un producto que logre potenciar el sistema inmunológico. Éste también tendría como bases sustancias que provengan de las algas vegetales capaces de reconstituir las carencias de las defensas.

Esta empresa, que se acaba de trasladar al Bic Euronova en el Parque Tecnológico de Andalucía, fue la primera spin off de Málaga en firmar un proyecto campus. A partir de ese momento la compañía no ha dejado de invertir en investigación. La compañía, que pertenece a la Asociación de Empresas de Base Tecnológica (aaEBT), también imparte actualmente cursos de formación para especialistas que trabajan en centros de bronceados y solariums.

En este sentido, según el Real Decreto 1002 del 2002 de la Unión Europea, todos los centros que trabajen con rayos ultravioletas deben haber recibido un curso de formación que acredite de forma oficial al solarium. Particularmente se incide en el correcto uso de los rayos ultravioletas de tipo b que originan melanomas y enfermedades de piel.
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Trasmediterránea reduce un 20% su actividad en Cádiz

marítimas

Trasmediterránea reduce un 20% su actividad en Cádiz
El negocio de la naviera de Acciona se limitará por el momento a dos barcos pendiente de la evolución del tráfico de mercancías

j. crespo
especialista. Miguel Ángel Losada (izq.), de la Universidad de Granada, junto a Rafael Barra

El nuevo puerto apuesta por el medio ambiente

J. L. G. /E. P.
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CÁDIZ. La actividad de Trasmediterránea en el puerto gaditano disminuirá un 20 por ciento tras la reestructuración realizada por Acciona. Rafael Barra, presidente de la Autoridad Portuaria, indicó que se dejarán de transportar un centenar de remolques cada semana, frente a los 520 habituales antes del pasado mes de octubre.

Barra reconoció que en su momento, aunque entiende que es una decisión empresarial, le dolió el ocultismo de Trasmediterránea y que diese argumentos que no eran ciertos, respecto a los motivos de su marcha parcial, que sólo se conoció tras ser desvelada por Diario de Cádiz. No obstante, señaló que la satisfacción que me queda es que esos argumentos que dieron ya no los mantienen, como era el coste de la estiba.

Asimismo, indicó que «al final la lucha no es Cádiz y Algeciras, porque en el mercado están en la misma situación», y añadió que «la alternativa es poner más líneas marítimas fomentando el tráfico de corta distancia».

Barra aseveró que el compromiso es mantener la actividad en Cádiz y explicó que la capacidad de carga que tenía el puerto gaditano era de 520 remolques a la semana, dividido en 210 para el Superfast Canarias, 210 el Superfast Andalucía y 100 para el Juan J. Sister.

En este sentido, indicó que lo que Trasmediterránea ha comunicado a los transportistas es que funcionará en Cádiz el Superfast Galicia, en sustitución del Andalucía y el Canarias, y el Sorolla en sustitución del Juan J. Sister, lo cual ya se ha llevado a cabo. Así, estos dos barcos harán dos rotaciones con una capacidad de 110 remolques el primero y 100 el segundo, por lo que la carga final será de 420 remolques, lo que suponen 100 menos de los que había.

No obstante, Barra no quiso mostrar satisfacción alguna porque ahora hay que ver cómo evolucionan los transportistas, por lo que indicó que la evolución y el mercado son los que dirán. El pasado mes de julio, la Autoridad Portuaria firmó un acuerdo con la Universidad de Granada, donde se encuentra la Cátedra de Puertos y Costas, con el fin de comenzar a diseñar el nuevo puerto del siglo XXI.

Ayer, Rafael Barra, junto a Miguel Ángel Losada, catedrático de la institución académica, avanzaron las ideas generales del estudio sobre el que se viene trabajando ya desde el pasado verano.

Lo más destacado es que se pretende compaginar la necesidad socioeconómica que supone la demanda de nuevos muelles, con el efecto sobre la Bahía, sobre su hábitat marino, sobre la costa, las corrientes y las mareas de las nuevas infraestructuras. La idea es que el diseño del nuevo muelle no sea un problema, sino todo lo contrario, un espacio en el que los barcos puedan operar en condiciones de seguridad, con el mínimo riesgo y la máxima economía; pero en el que se respete el medio ambiente de su entorno.

El estudio estará terminado dentro de doce meses y, prácticamente, planteará cómo será el nuevo muelle, la orientación de las líneas de atraque, las maniobras de los barcos, los efectos del mar de leva, la agitación del mar y las corrientes.

También abordará aspectos socioeconómico, sobre la base de las necesidades portuarias y el flujo previsible de mercancías y el aspecto ambiental, de integración y mejora de la calidad de las aguas.

Otro estudio económico abordará la viabilidad técnica, como los modelos de explotación y gestión y el esquema financiero.

Barra reconoció que el puerto tiene una deficiencia: la mezcla de los tráficos de pasajeros y mercancías, lo que afectaba incluso a la seguridad de aquéllos.

En el horizonte, con este nuevo proyecto, está el objetivo de alejar la mercancía de la ciudad: en la ampliación , ya en marcha, del muelle Marqués de Comillas, irá el tráfico ro-ro; en la del nuevo proyecto, la terminal de contenedores para, en un futuro, estudiar si los muelles Alfonso XIII y Reina Sofía se dedican a una gran terminal de cruceros y el muelle Ciudad se cede a ésta.

En este estudio, además, intervienen el Instituto de Ciencias Marinas de Andalucía y el Departamento de Física Aplicada de la Universidad de Cádiz.
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VALOR PROFESIONAL

VALOR PROFESIONAL

01/11/2006 FRANCISCO Dancausa

En la época de nuestros padres, aunque no se tuvieran estudios, ya no digo universitarios, sino de bachiller, no era difí­cil que una persona llegara profesionalmente a los más altos puestos de responsabilidad de una empresa. En aquel entonces, donde el acceso a la formación era sólo para un puñado de privilegiados, las empresas eran las encargadas de hacer ciencia de la experiencia y administrársela a su personal en plena zona de combate, esto es, en la práctica profesional. El trabajador sólo poní­a una cosa: su persona, desnuda de todo tipo de etiquetas y plenipotenciaria de todos sus talentos y virtudes, de tal manera que la meta laboral estaba en función de las posibilidades de la empresa y del caletre, y de la integridad del trabajador. Es decir, que si la persona valí­a podí­a entrar de botones y acabar de jefe de zona, por ejemplo, de una entidad bancaria. Este romanticismo laboral, que convertí­a a un aprendiz en el muletilla de su propio destino, prácticamente se terminó. Ahora, si se quiere ser, verbigracia, director de un banco se ha de ser licenciado. Circunstancia que no está nada mal, pero que en nuestra cultura latina –no tanto en la anglosajona– malogra laboralmente a aquellas personalidades autodidactas y creativas, y con virtudes morales, que no cumplen la condición sine qua non para el puesto. No obstante, y según un reciente estudio de la Universidad de Granada, los directivos empresariales empiezan a conceder más importancia a la inteligencia y a las cualidades personales que a la formación académica, destacando como valor fundamental, entre la fluidez verbal, la cooperación y el apoyo por el interés común, a la honradez. Y es que algo debe de estar fallando en nuestra educación, cuando se vuelve a reivindicar en las ofertas de trabajo a aquellos valores morales que nunca han necesitado de tí­tulo para hacer buenos profesionales.

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La ampliación del puerto de Cádiz mejorará el fondo marino y la seguridad de los barcos

La ampliación del puerto de Cádiz mejorará el fondo marino y la seguridad de los barcos Añadir a Mi carpeta
El proyecto, que duplicará la superficie de los muelles gaditanos, estará listo en 2010
PEDRO ESPINOSA – Cádiz
EL PAÍS – 01-11-2006
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La ampliación del puerto de Cádiz, cuya culminación está prevista para 2010, duplicará la superficie actual de los muelles gaditanos, permitirá obtener nuevas líneas de atraque y, además, contribuirá a enriquecer la calidad del fondo marino y la seguridad de los barcos. Ese es el objetivo de un estudio previo a las obras que coordinará la Universidad de Granada y cuyo avance se presentó ayer. Vamos a tratar de compatibilizar el desarrollo medioambiental con las demandas económicas, avanzó ayer el catedrático, Miguel Ángel Losada, coordinador del proyecto.

El ambicioso plan de ampliación de la superficie portuaria de la capital gaditana contempla, según las previsiones iniciales, ganará al mar 500.000 metros cuadrados y permitirá obtener dos kilómetros nuevos de líneas de atraque. El espacio que se cubrirá es el existente entre el dique de levante y el muelle número cinco. Se ganará en posibilidades porque se resolverán problemas de calado al obtener una profundidad de 13 metros y al funcionar como un puerto exterior, no será necesario que los barcos entraran en la dársena donde el calado es menor.

El estudio previo al proyecto de construcción encargado a la Universidad de Granada, con la colaboración de otras instituciones, tratará de encontrar la mejor fórmula para compatibilizar la viabilidad técnica y económica de esta ampliación con una mejora ambiental integral, centrada, sobre todo, en la calidad de las aguas. Queremos hacer un puerto que gane en operatividad y seguridad. Que sea más fácil maniobrar los buques, detalló Losada, al tiempo que, sin renunciar a la solvencia económica del proyecto, se buscarán medidas para favorecer la circulación e intercambio de las aguas entre los sacos interior y exterior de la bahía gaditana y el mar abierto, lo que permitirá mejorar la calidad de las aguas. Así enriquecemos también las especies y el fondo marino.

El estudio costará 365.700 euros y tiene una duración de 12 meses. Se dividirá en cuatro fases: los estudios previos y campañas de campo, el estudio de alternativas, con varias opciones, un estudio de alternativa del proyecto definitivo y la elaboración del informe final.

El presidente de la Autoridad Portuaria, Rafael Barra, precisó que para la futura nueva ampliación es necesario contar con datos fiables sobre el comportamiento del entorno. Lo que hay que buscar es separar el tráfico de pasajeros del de mercancías, que ha sido un problema con el que nos hemos encontrado a lo largo de toda nuestra historia, una posibilidad que, según dijo, se podrá conseguir con las nuevas instalaciones.

El proyecto será muy completo. Se recopilará información existente, se analizarán los costes, habrá campañas de campo, se estudiarán las mareas astronómicas, meteorológicas y el oleaje, se plantearán las previsiones de coste, habrá simulaciones de uso o de la gestión integral de la instalación. Una vez esté listo el informe final se podrá dar el siguiente paso, que es encargar el proyecto de construcción, que tendrá la base teórica de este estudio previo.

Además de la Universidad de Granada, que lo coordina, intervienen en el proyecto el Centro Andaluz de Medio Ambiente (CEAMA), el Instituto de Ciencias Marinas de Andalucía (ICMAN), el Consejo Superior de Investigaciones Científicas (CSIC) y el departamento de Física aplicada de la Universidad de Cádiz.

El estudio científico se centrará en analizar el caudal del río San Pedro, el entronque en la Bahía de Cádiz con el río o la zona del Puente Carranza. Sus responsables confían en la multitud de datos novedosos que podrá aportar. Tiene tres vertientes: una técnica, basada en la orientación, las maniobras, el mar de leva o las corrientes; otra socioeconómica, para analizar la repercusión de la obra; y otra ambiental, para calibrar la calidad de las aguas, detalló Barra. Además, se prepara otro estudio económico, pendiente de adjudicar por 120.000 euros, que analizará la viabilidad de la ampliación.
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