El dibujo preciosista de Paco Lagares: en «Epanalepsis»

El artista madrileño Paco Lagares presenta en la Sala de Exposiciones del Palacio de la Madraza «Epanalepsis», una muestra producida por el Área de Exposiciones del Centro de Cultura Contemporánea de la Universidad de Granada en la que se exhibe un conjunto de casi medio centenar de dibujos y pinturas, así como un importante núcleo de esculturas, propuestas como principal innovación en la dilatada trayectoria de este artista.

«Epanalepsis», de Paco Lagares, catedrático de Dibujo en la Universidad de Granada, reúne la obra más reciente de este autor estrechamente vinculado con el dibujo contemporáneo, y realizada ex profeso para esta exposición en el Palacio de la Madraza.

En palabras de la profesora Inmaculada López Vílchez, directora de Exposiciones de la UGR, «esta es una exposición arriesgada, donde vienen a confluir muchos caminos abiertos a lo largo de una dilatada trayectoria. Encontramos lugares comunes por donde el artista ha transitado cómodamente sin alejarse apenas de ellos durante años: el dibujo preciosista, delicado, las composiciones cuidadas, limpias y medidas, donde la sutilidad del trazo apenas se deja diferenciar sobre el blanco del papel. En estos caminos ya transitados encontramos también la pintura, estrechamente relacionada con el dibujo, casi identificada con él. Porque entendemos que cuando Francisco Lagares pinta, también dibuja. Y cuando utiliza el color lo hace de una manera impactante, rotunda y limpia. Pero lo que llama más nuestra atención en «Epanalepsis» es precisamente un conjunto de obras escultóricas que nos arriesgamos a pensar que supondrán un antes y un después en la evolución de este artista.»

El próximo martes, 25 de marzo de 2014, a las 19 horas, en el Palacio de la Madraza, se celebrará una mesa redonda en la que será presentado el catálogo de esta exposición. En el acto intervendrán el autor de la obra expuesta, Paco Lagares; la profesora de Historia del Arte, Luz de Ulierte; el poeta Antonio Carvajal; y la directora de Exposiciones de la UGR Inmaculada López Vílchez.

La exposición, comisariada por Inmaculada López Vílchez y Concha Hermano, podrá visitarse hasta el 12 de abril de 2014, en horarios, de lunes a viernes, de 11.00 a 14.00 horas y de 17.30 a 20.30 horas. Los fines de semana permanecerá cerrada.

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Une recherche sur la protéine gp41 pourrait contribuer à dessiner de futurs vaccins contre le VIH

Des chercheurs de l’Université de Grenade découvrent pour la première fois une interaction alostérique (ou mécanisme régulateur par lequel les enzymes peuvent s’activer ou se désactiver) entre cette protéine, qui fait partie de l’enveloppe du virus de l’immunodéficience humaine (VIH), et un anticorps qui neutralise le virus.

 Leur travail a été publié dans la revue The Journal of Biological Chemistry

Des chercheurs de l’Université de Grenade ont découvert pour la première fois une interaction alostérique (ou mécanisme régulateur par lequel les enzymes peuvent s’activer ou se désactiver) entre cette protéine, qui fait partie de l’enveloppe du virus de l’immunodéficience humaine (VIH), et l’anticorps 2F5, un puissant neutralisateur du virus. Cette importante avancée scientifique pourrait aider à comprendre les mécanismes de génération de réactions d’immunité et orienter le dessin de futurs vaccins contre le virus du VIH.

Bien que les modernes thérapies antirétrovirales aient permis d’améliorer énormément le traitement du SIDA, leur coût élevé empêche que ces traitements soient appliqués aux populations les plus défavorisées. De plus, ces médicaments n’éliminent pas complètement le VIH vu que celui-ci reste latent, avec danger de résurgence de la maladie si l’on abandonne la thérapie. C’est la raison pour laquelle l’espérance majeure pour le contrôle de la pandémie reste le développement d’un vaccin contre le VIH.

Cependant, après plusieurs décennies d’intense recherche, on n’a pas encore obtenu de vaccin effectif. La raison principale est l’énorme capacité du VIH à éluder notre système immunologique en se cachant moyennant une grande variabilité de ses protéines ou en le confondant avec des réactions immunologiques qui s’avèrent inefficaces contre l’infection.

Le travail réalisé par les chercheurs de l’Université de Grenade, récemment publié dans la revue The Journal of Biological Chemistry, s’encadre dans la ligne de recherche de nouvelles stratégies thérapeutiques d’immunisation qui essaient d’introduire des anticorps neutralisants similaires à ceux qui apparaissent à de bas niveaux chez des patients infectés par le VIH. Un de ces anticorps, le 2F5, fait l’objet d’une étude intense dû à sa grande capacité de neutralisation.

L’anticorps 2F5 reconnaît un épitope de la protéine gp41 qui fait partie de l’enveloppe du VIH. La gp41 est une protéine qui varie relativement peu vu que son activité est essentielle pour l’invasion des lymphocytes T par le virus, par le fait de promouvoir la fusion entre les membranes virale et cellulaire. L’anticorps 2F5 est capable de bloquer cette fusion en s’unissant à la gp41, protégeant ainsi les cellules de l’infection par le VIH.

Consortium européen

Tel que l’explique l’auteur principal de cette recherche, le professeur de Chimie Physique de l’Université de Grenade Francisco Conejero Lara, « un parmi les grands objectifs de la recherche actuelle sur des vaccins contre le VIH consiste à arriver à introduire des anticorps neutralisants similaires au 2F5 moyennant l’immunisation avec un vaccin approprié. Pour y arriver, les études sur la façon dont l’anticorps 2F5 reconnaît l’épitope dans la gp41 sont fondamentales vu qu’elles peuvent orienter le dessin de vaccins effectifs. »

C’est dans ce but qu’un consortium européen de collaboration à grande échelle, dont l’acronyme est « Euroneut-41 », financé par le VII Programme-Cadre de l’Union Européenne, essaie de dessiner et de développer des immunogènes basés sur la protéine gp41 pouvant mener à des vaccins contre le VIH. À ce consortium participent seize institutions européennes : des entreprises, des universités, des instituts de recherche et des hôpitaux dont l’objectif final est de développer des candidats au vaccin contre le VIH.

Le groupe de recherche « Biophysique et Biotechnologie Moléculaire FQM-171 », du département de Chimie Physique de l’Université de Grenade, dirigé par les docteurs Pedro Luis Mateo et Francisco Conejero Lara, est le seul groupe espagnol dudit consortium et participe au dessin moléculaire et à la caractérisation biophysique de divers candidats à vaccin basés sur la protéine gp41.

Dans ce travail, les chercheurs ont étudié par calorimétrie à titrage isotherme  l’interaction entre l’anticorps 2F5 et deux fragments différents de la protéine gp41 contenant son épitope. Leurs résultats ont contribué à dessiner de façon plus précise les contributions des différentes régions de l’épitope de gp41 à l’énergie de l’union avec l’anticorps.

Référence bibliographique :
Thermodynamic analysis of the binding of 2F5 Fab and IgG to its gp41 epitope reveals a strong influence of the immunoglobulin Fc region on the affinity. Sara Crespillo, Salvador Casares, Pedro L. Mateo and Francisco Conejero-Lara. The Journal of the Biological Chemistry.

L’article est disponible sur le site : http://www.jbc.org/content/early/2013/12/03/jbc.C113.524439.abstract

Contact : Francisco Conejero Lara. Département de Chimie Physique de l’Université de Grenade. Tél. : 958 242 371; courriel : conejero@ugr.es

 


Research on the protein gp41 could help towards designing future vaccinations against HIV

Researchers from the University of Granada have discovered, for the first time, an allosteric interaction (that is, a regulation mechanism whereby enzymes can be activated or de-activated) between this protein, which forms part of the sheath of the Human Immunodeficiency Virus (HIV) and an antibody that neutralizes the virus

The study has been published in The Journal of Biological Chemistry

Researchers from the University of Granada have discovered, for the first time, an allosteric interaction (that is, a regulation mechanism whereby enzymes can be activated or de-activated) between this protein, which forms part of the sheath of the Human Immunodeficiency Virus (HIV) and the antibody 2F5 (FAB), a potent virus neutralizer. This important scientific breakthrough could help specialists to understand the mechanisms behind generating immune responses and help towards the design of future vaccines against the HIV  virus.

Although modern antiretroviral therapies have improved enormously the treatment of AIDS, their high cost means that they do not reach the more disadvantaged communities. Furthermore, these treatments do not completely eliminate HIV, since it remains dormant, with the danger of resurging if the patient stops the medication.

But, after several decades of research, there is still no effective vaccine. The main reason is that HIV manages to “trick” our immune system, hiding in it via a wide variability of its proteins, or confusing it through immune responses that turn out to be ineffective in preventing the infection.

The study carried out by University of Granada scientists, and recently published in The Journal of Biological Chemistry, falls within the framework of a line of research into new therapeutical immunization techniques that attempt to induce neutralizing antibodies similar to those found, in low levels, in HIV-infected patients. One of these antibodies, known as 2F5 FAB, is being studied intensively, given its strong neutralizing potential.

2F5 recognises an epitope from protein gp41, which forms part of the HIV sheath. Protein gp41 rarely varies, since its activity is essential for invading T lymphocytes, due to the virus, since it promotes the fusión between the viral and cellular mibranes. Antibody 2F5 is able to block this fusión by linking onto gp41, thus protecting cells from HIV infection.

European Consortium

The main author of this research, University of Granada Physical Chemistry lecturer, Francisco Conejero Lara, points out that “one of the main aims of current research into HIV vaccines consists of inducing neutralizing antibodies similar to 2F5 via immunization using an appropriate vaccine. To do this, studies into how 2F5 recognises its epitope in gp41 are fundamental, since they can provide the way to designing effective vaccines”.

To this end, a wide-spreading European collaboration consortium, called “Euroneut-41”, financed by the 7th EU Framework Programme, is attempting to design and develop vaccines to combat HIV. The consortium is formed by 16 European instituions, including companies, universities, research institutes and hospitals. Their ultimate aim is to develop posible vaccines against HIV.

The research group “Biophysics and Molecular Biology FQM-171”, belonging to the University of Granada’s Department of Physical Chemistry and led by the lecturers Pedro Luis Mateo and Francisco Conejero Lara, is the only Spanish group in this consortium and is taking part in the molecular design and the biophysical characterization of various vaccine candidates base don protein gp41.

During this study, the University of Granada researchers, via isothermic titration calorimetry, the interaction between antibody 2F5 and two different fragments of protein gp41 that contain its epitope. The results have helped to pinpoint how the different regions of the gp41 epitope contribute toward the energy of the union with the antibody.

References: Thermodynamic analysis of the binding of 2F5 Fab and IgG to its gp41 epitope reveals a strong influence of the immunoglobulin Fc region on the affinity. Sara Crespillo, Salvador Casares, Pedro L. Mateo and Francisco Conejero-Lara. The Journal of the Biological Chemistry

This article is available at:

Contact details:
Francisco Conejero Lara
Department of Physical Chemistry, University of Granada
Tel. (+34) 958 242 371
E-mail: conejero@ugr.es


El Proyecto Europeo ‘Vidusign’ Educará A Los Jóvenes Sordos En La Creación De Materiales Audiovisuales

71499 nvestigadores de la Universidad de Granada, pertenecientes al Grupo de Ergonomía Cognitiva, participan en esta iniciativa, cuyo objetivo es crear un marco para la promoción de las competencias visuales, digitales y alfabetización de personas jóvenes sordas de entre 15 y 24 años

Investigadores de la Universidad de Granada, pertenecientes al Grupo de Ergonomía Cognitiva (http://www.ergonomia-cognitiva.com), participan en el proyecto europeo «Vidusign», cuyo objetivo es crear un marco europeo para la promoción de las competencias visuales, digitales y alfabetización de personas jóvenes sordas de edades comprendidas entre los 15 y los 24 años y que se encuentran en el período de transición de la escuela al trabajo.

La Comisión Europea es consciente de que los jóvenes sordos, en toda Europa, están aún muy lejos de alcanzar el objetivo de empleo del 75 % que figura en la estrategia de la UE de Europa 2020. Este problema está directamente relacionado con el elevado número de abandonos escolares entre los alumnos sordos.

Para intentar paliar este problema, el proyecto Vidusign «parte de los resultados de los estudios que demuestran que las Aulas TIC Creativas pueden desempeñar un papel importante en el desarrollo de las competencias clave para la incorporación al trabajo y estimular la creatividad en la educación y el aprendizaje permanente», apunta José Juan Cañas Delgado, catedrático del departamento de Psicología Experimental de la UGR.

Aumentar las posibilidades de empleo

Por eso, los investigadores esperan que los resultados de este proyecto puedan aumentar las posibilidades de empleo de estas personas, mediante la facilitación de la adquisición de competencias sobre la creación de materiales audiovisuales que les ayuden a expresarse más libremente a través de su propia auto-expresión.

Por ejemplo, es evidente que, a medida que la popularidad y el uso de YouTube continúa aumentando, la disponibilidad y la facilidad de acceso al vídeo seguirá aumentando también de una forma espectacular. «Por tanto, este medio tendría un gran potencial para la comunidad sorda, ya que se basa en las competencias visuales. Las personas sordas necesitan adquirir conocimiento a través de la percepción visual, porque ver es su percepción sensorial primaria. En consecuencia, en el proyecto Vidusign se pretende aumentar las competencias de las personas sordas en la creación y producción de materiales audiovisuales para que pueden servir como sus interfases educativas y culturales predominantes», afirma Cañas Delgado.

El éxito de proyecto Vidusign se medirá en función de que los jóvenes sordos comiencen a utilizar las TIC para dar a conocer y resolver los problemas que enfrentan en la vida diaria y durante la transición de la escuela al trabajo.

Vidusign incluirá directamente a las personas sordas en los procesos de un proyecto educativo europeo. Ellos participarán fundamentalmente en la creación de materiales pedagógicos, la producción de vídeo y subtitulado, talleres y formación, así como la difusión y promoción a través de los canales pertinentes de la comunidad sorda.

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Una pseudociencia muy popular: la astrología

Es indudable que históricamente la astrología ha contribuido al
conocimiento del Universo, pero no tiene ninguna base científica
Una pseudociencia muy
popular: la astrología
José Miguel Vílchez González
Si buscamos el término ‘horósco-
pos’ en Google aparecen
5.210.000 resultados y en tan so-
lo 0,14 segundos. ¡Qué rapidez!
Pero, ¿coinciden todos en sus
predicciones? Hagamos una
prueba, por ejemplo, con Capri-
cornio. El primero de los enlaces,
del que no indico procedencia
para no hacer publicidad (vayan
a denunciarme por infringir la
Ley Orgánica de Protección de
Datos), nos avisa de que si no te-
nemos pareja conoceremos a una
persona en una reunión familiar
que terminará siéndolo, siempre
que mostremos nuestro lado más
divertido. En cuanto al trabajo,
estamos pasando una época ten-
sa y debemos relajarnos para no
enfrentarnos a los compañeros.
Eso sí, si lo tenemos, cuestión al-
go difícil con los tiempos que co-
rren. Pero no nos preocupemos,
que si no es así una persona cer-
cana nos ofrecerá ayuda econó-
mica. Por último, en cuanto a sa-
lud, nos recomiendan salir más,
que llevamos una vida muy mo-
nótona y esto no es bueno.
En el segundo enlace son más
detallistas. Mercurio nos apoya
para compras importantes, así
que animémonos a hacerlas; hay
buena química con Tauro. ¿Será
Tauro la persona que conocere-
mos en la reunión familiar? De-
bemos huir de Escorpio; como
Venus nos da la espalda, igual
nos vemos tentados a romper
con la pareja; además, nuestra
postura del Kamasutra es ‘el pul-
po’, que nos ofrecerá a ambos
muy buenas vistas (texto lite-
ral). ¡Qué locura, tener que ir
preguntando por el horóscopo a
quienes conozcamos para saber
si es, o no, la persona adecuada!
En el tercero de estos enlaces,
y ya lo dejo, por motivos de es-
pacio, nos recomiendan no dis-
cutir con la pareja. ¿Con cuál,
con la que tenemos o con la que
vamos a tener en breve?; ade-
más, se augura un viaje corto en
el que ganaremos mucho dine-
ro; en cuanto al amor, algo muy
bello está por llegar, aunque si-
go sin saber si será la ruptura
con la actual pareja, o la que lle-
gará en breve. Finalmente, res-
pecto al trabajo, si se tiene, ha-
brá un ascenso con un merecido
aumento de sueldo. Si no lo te-
nemos no hay que preocuparse,
pues acudimos al horóscopo an-
terior.
Pese al galimatías que supone
comparar lo que dicen unos u
otros y a las incongruencias que
surgen de ello, los horóscopos, y
la astrología en general, cuen-
tan con multitud de seguidores.
Pero estas cuestiones, ¿tie-
nen base científica?
Empecemos por
analizar por
qué corres-
ponden los horóscopos occiden-
tales a las distintas épocas del
año. Cuando alguien nace, de-
trás del Sol se encuentra una
constelación. No la vemos en esa
época del año porque está detrás
del Sol y de día no vemos las es-
trellas, pero ahí está. Para verla
tendremos que esperar unos me-
ses. Así, para los nacidos en Ca-
pricornio, por seguir con el
ejemplo, entre el 23 de diciem-
bre y el 21 de enero según el pri-
mer enlace, el 22 de diciem-
bre y el 20 de enero se-
gún el segundo, o el
22 de diciembre y
el 19 de enero
según el ter-
¿Qué está pasando? Lo que ocu-
rre es que muchas veces se in-
tenta dar base científica a cues-
tiones que no la tienen, y un ca-
so de especial importancia es la
astrología. Hablamos en estos
casos de pseudociencias.
Hemos comentado en otras
ocasiones que para dar autori-
dad a ciertas construcciones del
conocimiento humano se suele
acudir al término ‘científico’, su-
poniendo que quienes reciben el
mensaje no se plantearán el sig-
nificado del vocablo, asumiendo
acríticamente la autoridad de-
seada. Hemos de romper con es-
ta tradición, y distinguir de mo-
do adecuado la ciencia de la
pseudociencia. No podemos ne-
gar que, históricamente, la as-
trología ha contribuido al cono-
cimiento del Universo, pero de
ahí a afirmar que tiene base
científica hay mucho camino es-
cabroso que recorrer. Es más,
cuando empezó a desarrollarse
sí era la constelación de Capri-
cornio la que se encontraba de-
trás del Sol en esa época del año,
fácilmente comprobable con el
simulador anterior. No olvide-
mos que vivimos en un Universo
en continuo cambio.
Así, si la astrología se comen-
zase a desarrollar en la época ac-
tual, los nacidos entre el segun-
Los horóscopos no
coinciden con los
fenómenos astronómicos
en los que se basan
Según la
astrología, el tener
un horóscopo u
otro depende de la
constelación que
haya detrás del
Sol el día que
nacemos.
El 1 de enero de 2014 la constelación tras el Sol era Sagitario, no Capricornio
cero (ni en esto
se ponen de acuer-
do), hemos de suponer
que en esas fechas es la cons-
telación de Capricornio (que se
ve en las noches del cielo de ve-
rano) la que se encuentra detrás
del Sol.
Sin embargo, una simple com-
probación con un simulador in-
formático, por ejemplo el pro-
grama Stellarium, de descarga
gratuita y aquí sí hago publici-
dad por ser software libre, nos
permite comprobar que, por
ejemplo, el 1 de enero de 2014 la
constelación que se encontraba
tras el Sol era… ¡Sagitario! Esto
cada vez confunde más. No coin-
cide lo que dicen los horóscopos
según miremos en un lugar o en
otro, no coinciden los periodos
del año de los mismos en las dis-
tintas fuentes, ni coinciden, a
poco que indaguemos, los fenó-
menos astronómicos en los que
se basan sus explicaciones.
do tercio de diciembre y los dos
primeros de enero serían Sagita-
rio y no Capricornio, y lo mismo
ocurriría con el resto de signos
del zodiaco, que verían sus pe-
riodos cambiados. ¡Y todos ten-
dríamos suerte distinta según
los horóscopos!
Les invito a difundir la dife-
rencia existente entre astrología
y astronomía, términos con fre-
cuencia confundidos posible-
mente por su parecida etimolo-
gía. Según el propio diccionario
de la Academia Española, la as-
trología consiste en el “estudio
de la posición y del movimiento
de los astros, a través de cuya in-
terpretación y observación se
pretende conocer y predecir el
destino de los hombres y pro-
nosticar los sucesos terrestres”;
y la astronomía es la “ciencia
que trata de cuanto se refiere a
los astros, y principalmente a las
leyes de sus movimientos”. En
otras palabras, la primera no es
ciencia, y la segunda sí. Es decir,
la primera no tiene poder de
predicción, mientras que la se-
gunda sí. Una diferencia extre-
madamente importante.

Es indudable que históricamente la astrología ha contribuido alconocimiento del Universo, pero no tiene ninguna base científicaUna pseudociencia muypopular: la astrologíaJosé Miguel Vílchez GonzálezSi buscamos el término ‘horósco-pos’ en Google aparecen5.210.000 resultados y en tan so-lo 0,14 segundos. ¡Qué rapidez!Pero, ¿coinciden todos en suspredicciones? Hagamos unaprueba, por ejemplo, con Capri-cornio. El primero de los enlaces,del que no indico procedenciapara no hacer publicidad (vayana denunciarme por infringir laLey Orgánica de Protección deDatos), nos avisa de que si no te-nemos pareja conoceremos a unapersona en una reunión familiarque terminará siéndolo, siempreque mostremos nuestro lado másdivertido. En cuanto al trabajo,estamos pasando una época ten-sa y debemos relajarnos para noenfrentarnos a los compañeros.Eso sí, si lo tenemos, cuestión al-go difícil con los tiempos que co-rren. Pero no nos preocupemos,que si no es así una persona cer-cana nos ofrecerá ayuda econó-mica. Por último, en cuanto a sa-lud, nos recomiendan salir más,que llevamos una vida muy mo-nótona y esto no es bueno.En el segundo enlace son másdetallistas. Mercurio nos apoyapara compras importantes, asíque animémonos a hacerlas; haybuena química con Tauro. ¿SeráTauro la persona que conocere-mos en la reunión familiar? De-bemos huir de Escorpio; comoVenus nos da la espalda, igualnos vemos tentados a rompercon la pareja; además, nuestrapostura del Kamasutra es ‘el pul-po’, que nos ofrecerá a ambosmuy buenas vistas (texto lite-ral). ¡Qué locura, tener que irpreguntando por el horóscopo aquienes conozcamos para sabersi es, o no, la persona adecuada!En el tercero de estos enlaces,y ya lo dejo, por motivos de es-pacio, nos recomiendan no dis-cutir con la pareja. ¿Con cuál,con la que tenemos o con la quevamos a tener en breve?; ade-más, se augura un viaje corto enel que ganaremos mucho dine-ro; en cuanto al amor, algo muybello está por llegar, aunque si-go sin saber si será la rupturacon la actual pareja, o la que lle-gará en breve. Finalmente, res-pecto al trabajo, si se tiene, ha-brá un ascenso con un merecidoaumento de sueldo. Si no lo te-nemos no hay que preocuparse,pues acudimos al horóscopo an-terior.Pese al galimatías que suponecomparar lo que dicen unos uotros y a las incongruencias quesurgen de ello, los horóscopos, yla astrología en general, cuen-tan con multitud de seguidores.Pero estas cuestiones, ¿tie-nen base científica?Empecemos poranalizar porqué corres-ponden los horóscopos occiden-tales a las distintas épocas delaño. Cuando alguien nace, de-trás del Sol se encuentra unaconstelación. No la vemos en esaépoca del año porque está detrásdel Sol y de día no vemos las es-trellas, pero ahí está. Para verlatendremos que esperar unos me-ses. Así, para los nacidos en Ca-pricornio, por seguir con elejemplo, entre el 23 de diciem-bre y el 21 de enero según el pri-mer enlace, el 22 de diciem-bre y el 20 de enero se-gún el segundo, o el22 de diciembre yel 19 de enerosegún el ter-¿Qué está pasando? Lo que ocu-rre es que muchas veces se in-tenta dar base científica a cues-tiones que no la tienen, y un ca-so de especial importancia es laastrología. Hablamos en estoscasos de pseudociencias.Hemos comentado en otrasocasiones que para dar autori-dad a ciertas construcciones delconocimiento humano se sueleacudir al término ‘científico’, su-poniendo que quienes reciben elmensaje no se plantearán el sig-nificado del vocablo, asumiendoacríticamente la autoridad de-seada. Hemos de romper con es-ta tradición, y distinguir de mo-do adecuado la ciencia de lapseudociencia. No podemos ne-gar que, históricamente, la as-trología ha contribuido al cono-cimiento del Universo, pero deahí a afirmar que tiene basecientífica hay mucho camino es-cabroso que recorrer. Es más,cuando empezó a desarrollarsesí era la constelación de Capri-cornio la que se encontraba de-trás del Sol en esa época del año,fácilmente comprobable con elsimulador anterior. No olvide-mos que vivimos en un Universoen continuo cambio.Así, si la astrología se comen-zase a desarrollar en la época ac-tual, los nacidos entre el segun-Los horóscopos nocoinciden con losfenómenos astronómicosen los que se basanSegún laastrología, el tenerun horóscopo uotro depende de laconstelación quehaya detrás delSol el día quenacemos.El 1 de enero de 2014 la constelación tras el Sol era Sagitario, no Capricorniocero (ni en estose ponen de acuer-do), hemos de suponerque en esas fechas es la cons-telación de Capricornio (que seve en las noches del cielo de ve-rano) la que se encuentra detrásdel Sol.Sin embargo, una simple com-probación con un simulador in-formático, por ejemplo el pro-grama Stellarium, de descargagratuita y aquí sí hago publici-dad por ser software libre, nospermite comprobar que, porejemplo, el 1 de enero de 2014 laconstelación que se encontrabatras el Sol era… ¡Sagitario! Estocada vez confunde más. No coin-cide lo que dicen los horóscopossegún miremos en un lugar o enotro, no coinciden los periodosdel año de los mismos en las dis-tintas fuentes, ni coinciden, apoco que indaguemos, los fenó-menos astronómicos en los quese basan sus explicaciones.do tercio de diciembre y los dosprimeros de enero serían Sagita-rio y no Capricornio, y lo mismoocurriría con el resto de signosdel zodiaco, que verían sus pe-riodos cambiados. ¡Y todos ten-dríamos suerte distinta segúnlos horóscopos!Les invito a difundir la dife-rencia existente entre astrologíay astronomía, términos con fre-cuencia confundidos posible-mente por su parecida etimolo-gía. Según el propio diccionariode la Academia Española, la as-trología consiste en el “estudiode la posición y del movimientode los astros, a través de cuya in-terpretación y observación sepretende conocer y predecir eldestino de los hombres y pro-nosticar los sucesos terrestres”;y la astronomía es la “cienciaque trata de cuanto se refiere alos astros, y principalmente a lasleyes de sus movimientos”. Enotras palabras, la primera no esciencia, y la segunda sí. Es decir,la primera no tiene poder depredicción, mientras que la se-gunda sí. Una diferencia extre-madamente importante.
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El Parque de las Ciencias acoge las “V Jornadas del Instituto de Neurociencias”

Con motivo de la Semana Mundial del Cerebro, que se celebra del 11 al 16 de marzo

Con motivo de la Semana Mundial del Cerebro, que se celebra del 11 al 16 de marzo, el Parque de las Ciencias y el Instituto de Neurociencias “Federico Olóriz” de la Universidad de Granada organizan una serie de actividades de divulgación en torno al cerebro.

El próximo miércoles, 12 de marzo, en el Aula Gutemberg del Parque de las Ciencias se celebrarán las “V Jornadas del Instituto de Neurociencias”.

Descargue el programa completo del evento

Contacto:
José María Peinado Herreros
Departamento de Bioquímica y Biología Molecular III e Inmunología
Teléfono: 958 243 523
Correo electrónico: jpeinado@ugr.es

 

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El dibujo preciosista de Paco Lagares, en “Epanalepsis”

La exposición podrá visitarse en la Sala de exposiciones del Palacio de la Madraza hasta el 12 de abril de 2014

El martes, 25 de marzo de 2014, a las 19 horas, en el Palacio de la Madraza, se celebrará una mesa redonda en la que será presentado el catálogo de esta muestra

El artista madrileño Paco Lagares presenta en la Sala de Exposiciones del Palacio de la Madraza “Epanalepsis”, una muestra producida por el Área de Exposiciones del Centro de Cultura Contemporánea de la Universidad de Granada en la que se exhibe un conjunto de casi medio centenar de dibujos y pinturas, así como un importante núcleo de esculturas, propuestas como principal innovación en la dilatada trayectoria de este artista.

“Epanalepsis”, de Paco Lagares, catedrático de Dibujo en la Universidad de Granada, reúne la obra más reciente de este autor estrechamente vinculado con el dibujo contemporáneo, y realizada ex profeso para esta exposición en el Palacio de la Madraza.

En palabras de la profesora Inmaculada López Vílchez, directora de Exposiciones de la UGR, “esta es una exposición arriesgada, donde vienen a confluir muchos caminos abiertos a lo largo de una dilatada trayectoria. Encontramos lugares comunes por donde el artista ha transitado cómodamente sin alejarse apenas de ellos durante años: el dibujo preciosista, delicado, las composiciones cuidadas, limpias y medidas, donde la sutilidad del trazo apenas se deja diferenciar sobre el blanco del papel. En estos caminos ya transitados encontramos también la pintura, estrechamente relacionada con el dibujo, casi identificada con él. Porque entendemos que cuando Francisco Lagares pinta, también dibuja. Y cuando utiliza el color lo hace de una manera impactante, rotunda y limpia. Pero lo que llama más nuestra atención en “Epanalepsis” es precisamente un conjunto de obras escultóricas que nos arriesgamos a pensar que supondrán un antes y un después en la evolución de este artista.”

El próximo martes, 25 de marzo de 2014, a las 19 horas, en el Palacio de la Madraza, se celebrará una mesa redonda en la que será presentado el catálogo de esta exposición. En el acto intervendrán el autor de la obra expuesta, Paco Lagares; la profesora de Historia del Arte, Luz de Ulierte; el poeta Antonio Carvajal; y la directora de Exposiciones de la UGR Inmaculada López Vílchez.

La exposición, comisariada por Inmaculada López Vílchez y Concha Hermano, podrá visitarse hasta el 12 de abril de 2014, en horarios, de lunes a viernes, de 11.00 a 14.00 horas y de 17.30 a 20.30 horas. Los fines de semana permanecerá cerrada.

Actividad

  • Exposición: “Epanalepsis”.
  • Artista: Paco Lagares.
  • Lugar: Sala de Exposiciones de la Madraza.
  • Fecha: hasta el 12 de abril de 2014.
  • Horario: de lunes a viernes, de 11.00 a 14.00 horas y de 17.30 a 20.30 horas.
  • Comisariado: Inmaculada López Vílchez y Concha Hermano.
  • Organiza: Centro de Cultura Contemporánea, Vicerrectorado de Extensión Universitaria y Deporte de la UGR.

Contacto: Profesora Inmaculada López Vílchez. Comisaria de la muestra y directora de Exposiciones del Centro de Cultura Contemporánea de la Universidad de Granada. Correo electrónico: inlopez@ugr.es

 

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I Jornadas sobre el Trabajo en Igualdad, «Respuestas al tratamiento de género en la Universidad»

Miércoles 12 de marzo, a las 10 horas, en la Facultad de Ciencias del Trabajo

El miércoles 12 de marzo, a las 10 horas, en el Salón de Actos de la Facultad de Ciencias del Trabajo, se celebran las I Jornadas sobre el Trabajo en Igualdad con el título: “Respuestas al tratamiento de género en la Universidad”.

Estas Jornadas están organizadas por el Observatorio de Estudio Jurídico-Laborales de la Facultad de Ciencias del Trabajo de la Universidad de Granada, en colaboración con la Unidad para la Igualdad entre hombres y mujeres de la Universidad de Granada.

Dirección y coordinación:

  • Rosa Moya Amador. Directora del Observatorio de Estudios Jurídico Laborales de la Facultad de Ciencias del Trabajo de la UGR. Profesora titular de la Universidad de Granada.
  • Pilar Rivas Vallejo. Subdirectora del Observatorio de Estudios Jurídico Laborales de la Facultad de Ciencias del Trabajo de la UGR. Profesora titular de la Universidad de Barcelona.

La asistencia es gratuita y la inscripción se tramitará a través de la dirección de correo electrónico: observatorioejl@gmail.com, indicando nombre, apellidos, DNI y profesión.

Más información en: http://bit.ly/1dkwCvR

 

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Investigadores de UGR demuestran que no existe un test universal para determinar la inteligencia

71434 Investigadores de la Universidad de Granada han demostrado que no existe un test de inteligencia universal que se pueda utilizar en todas las culturas, ya que las diferencias culturales determinan los resultados de este tipo de pruebas, que miden el coeficiente intelectual de una persona.

El objetivo de esta investigación, de la que hoy ha informado la Universidad, era estudiar y explicar las diferencias culturales en el rendimiento de las pruebas de inteligencia.

Para ello, los científicos, pertenecientes al Centro de Investigación Mente, Cerebro y Comportamiento (CIMCYC), hicieron un estudio con 54 personas de entre 18 y 54 años, de las cuales 27 eran españolas y las otras 27 marroquíes residentes en España.

Los grupos fueron seleccionados con la intención de que entre ambos existieran diferencias culturales, ya que hablaban distintos idiomas -español frente a árabe-, religión -cristianos frente a musulmanes-, tenían distintas tradiciones y procedían de continentes muy distintos -Europa frente a África-.

A ambos se le aplicaron diferentes pruebas relacionadas con sus capacidades intelectuales, como un test de inteligencia no verbal y diversas pruebas neuropsicológicas, que miden funciones como la memoria visual, memoria verbal y funciones ejecutivas.

A pesar de que los dos grupos estaban igualados en edad, sexo, nivel educativo y nivel socioeconómico, los resultados demostraron que el grupo español obtuvo un coeficiente intelectual más alto que el grupo marroquí en el test de inteligencia no verbal.

Además, las habilidades neuropsicológicas utilizadas en cada subtest de la prueba de inteligencia dependieron claramente del país de origen de cada persona.

En otras palabras, la misma prueba puede medir diferentes funciones cognitivas en personas de diferentes culturas.

A la luz de los resultados de este trabajo, los autores indican que las pruebas no verbales no se pueden considerar como pruebas libres de cultura y confirma la importancia de validar las pruebas en su contexto cultural.

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El test universal para determinar la inteligencia no existe

71434 Investigadores de la Universidad de Granada han demostrado que no existe un test de inteligencia universal que se pueda utilizar en todas las culturas, ya que las diferencias culturales determinan los resultados de este tipo de pruebas, que miden el coeficiente intelectual de una persona.

EFEFUTURO GRANADA LUNES 10.03.2014
<p>Imagen de un robot inteligente.EFE/How Hwee Young</p>
Imagen de un robot inteligente.EFE/How Hwee Young

El objetivo de esta investigación, de la que hoy ha informado la Universidad, era estudiar y explicar las diferencias culturales en el rendimiento de las pruebas de inteligencia.

Para ello, los científicos, pertenecientes al Centro de Investigación Mente, Cerebro y Comportamiento (CIMCYC), hicieron un estudio con 54 personas de entre 18 y 54 años, de las cuales 27 eran españolas y las otras 27 marroquíes residentes en España.

Los grupos fueron seleccionados con la intención de que entre ambos existieran diferencias culturales, ya que hablaban distintos idiomas -español frente a árabe-, religión -cristianos frente a musulmanes-, tenían distintas tradiciones y procedían de continentes muy distintos -Europa frente a África-.

A ambos se le aplicaron diferentes pruebas relacionadas con sus capacidades intelectuales, como un test de inteligencia no verbal y diversas pruebas neuropsicológicas, que miden funciones como la memoria visual, memoria verbal y funciones ejecutivas.

A pesar de que los dos grupos estaban igualados en edad, sexo, nivel educativo y nivel socioeconómico, los resultados demostraron que el grupo español obtuvo un coeficiente intelectual más alto que el grupo marroquí en el test de inteligencia no verbal.

Además, las habilidades neuropsicológicas utilizadas en cada subtest de la prueba de inteligencia dependieron claramente del país de origen de cada persona.

En otras palabras, la misma prueba puede medir diferentes funciones cognitivas en personas de diferentes culturas.

A la luz de los resultados de este trabajo, los autores indican que las pruebas no verbales no se pueden considerar como pruebas libres de cultura y confirma la importancia de validar las pruebas en su contexto cultural. EFEFuturo

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El libro del mes de la UGR, sobre la Semana Santa

Miguel Luis López-Guadalupe Muñoz y Juan Jesús López-Guadalupe Muñoz son los autores del libro «Historia viva de la Semana Santa de Granada. Arte y devoción», que la Editorial Universidad de Granada (eug) ha seleccionado como libro del mes de marzo y ha puesto a la venta al precio de 10 euros.

Con esta campaña, la eug selecciona cada mes una obra relevante de su catálogo de publicaciones y la ofrece al público, en condiciones muy ventajosas, durante todo el año.

«Historia viva de la Semana Santa de Granada. Arte y devoción» es la memoria de la tradición cofrade desde los orígenes hasta nuestros días. La obra se divide en treinta capítulos, que, englobados en cuatro grandes apartados, se dedican respectivamente a los orígenes de la Semana Santa granadina en el quinientos; su desarrollo durante los siglos XVII, XVIII y XIX, en medio de grandes oscilaciones; su recuperación desde finales de esa última centuria y la Semana Santa que conocemos. Así, las páginas de esta obra, que viene a sintetizar los conocimientos actuales sobre la Semana Santa granadina, ofrecen una amplísima y variada información, e ilustraciones, sobre las antiguas cofradías de sangre y las actuales corporaciones nazarenas.

Miguel Luis López-Guadalupe Muñoz es doctor en Historia Moderna, con Premio Extraordinario de Doctorado, por la Universidad de Granada y profesor titular de Historia Moderna en la misma. Desde hace más de dos décadas investiga aspectos diversos de la religiosidad popular, como las hermandades y cofradías, y estudia asimismo distintos temas sobre historia eclesiástica granadina. Numerosos libros y artículos, algunos de carácter internacional, acreditan su investigación en esos campos.

Juan Jesús López-Guadalupe Muñoz es doctor en Historia del Arte, con Premio Extraordinario de Doctorado y profesor titular de Historia del Arte de la Universidad de Granada. Su labor investigadora se ha centrado prioritariamente en la interacción entre la praxis artística y la historia de las mentalidades en los campos de la retablística y la escultura, en especial la imaginería procesional en el entorno de la religiosidad popular. Su obra más reciente, «Imágenes elocuentes. Estudios sobre patrimonio escultórico», ha alcanzado en 2013 su segunda edición y es ya un referente sobre la imaginería procesional andaluza. Fruto de esa vocación pluridisciplinar son algunos trabajos en colaboración, como el de este libro.

Libro de marzo de 2014 de la eug
Título: «Historia viva de la Semana Santa de Granada. Arte y devoción».
Primera edición: 2002.
Autores: Miguel Luis López-Guadalupe Muñoz y Juan Jesús López-Guadalupe Muñoz.
Editorial: Universidad de Granada (eug).
Precio especial de promoción: 10 euros.

http://canal.ugr.es/arte-e-historia/item/6605

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El rector presenta los resultados de la Encuesta de Opinión del Alumnado sobre la actuación docente del Profesorado de la UGR en los estudios de Grado, curso 2012-2013

Con la participación de Antonio Pascual, director del Centro de Prospectiva, y Mª José León, vicerrectora para la Garantía de la Calidad de la Universidad de Granada

El miércoles 12 de marzo, a las 11.30 horas, el rector, Francisco González Lodeiro, presentará en rueda de prensa, en el Salón Rojo del Hospital Real, los resultados de la Encuesta de Opinión del Alumnado sobre la actuación docente del Profesorado de la UGR en los estudios de Grado, correspondientes al curso 2012-2013.

En el acto se contará con las intervenciones de Antonio Pascual, director del Centro Andaluz de Prospectiva de la Consejería de Educación y Ciencia de la Junta de Andalucía, y Mª José León Guerrero, vicerrectora para la Garantía de la Calidad de la Universidad de Granada.

CONVOCATORIA:

  • Asunto: Rueda de prensa, presentación resultados de la Encuesta de Opinión del Alumnado.
  • Día: miércoles 12 de marzo.
  • Hora: 11.30 horas.
  • Lugar: Salón Rojo. Hospital Real.

 

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