El rector preside la presentación del libro “Las últimas tierras de al-Andalus”, de Antonio Malpica

El acto tendrá lugar en el Gabinete de Teatro del Palacio de la Madraza, el miércoles, 26 de marzo de 2014, a las 19.30 horas

Francisco González Lodeiro, rector de la Universidad de Granada, presidirá el acto de presentación del libro “Las últimas tierras de al-Andalus. Paisaje y poblamiento del reino nazarí de Granada”, del profesor Antonio Malpica. Tendrá lugar en el Gabinete de Teatro del Palacio de la Madraza, el miércoles, 26 de marzo de 2014, a las 19.30 horas, con la intervención, asimismo, de Marina Martín, directora de la Fundación Pública Andaluza “El legado andalusí”; Sandra García, delegada de Gobierno en Granada; Antonio Malpica, catedrático de Historia Medieval de la UGR; y Rafael Peinado, igualmente catedrático de Historia Medieval de la UGR.

El profesor Malpica lleva a cabo en esta obra, publicada por la Editorial Universidad de Granada (eug), la Fundación Pública Andaluza “El legado andalusí” y el  Milenio de Granada, un análisis del reino nazarí de Granada (siglos XIII-XV) desde una perspectiva de los elementos de base que conformaron su realidad histórica.

El punto de partida es la relación de la sociedad nazarí con el medio físico. Así, la acción humana sobre unas tierras montañosas, con escasos llanos y un clima territorialmente variable, han conformado unos paisajes en los que destaca la irrigación y unos asentamientos organizados alrededor de los espacios de riego. Son importantes, sin embargo, los aprovechamientos de otros recursos naturales que hicieron posibles los cultivos de secano, el uso del monte para los habitantes y el ganado, así como la explotación minera.

Concluye este análisis del profesor Malpica señalando que un comercio muy generalizado dio lugar a cambios sustanciales en la geografía del reino y lo insertó en las corrientes europeas dominantes.

Actividad

  • Presentación del libro: “Las últimas tierras de al-Andalus. Paisaje y poblamiento del reino nazarí de Granada”.
  • Autor: Antonio Malpica.
  • Intervienen: Francisco González Lodeiro, Marina Martín, Sandra García, Antonio Malpica y Rafael Peinado.
  • Edición: Editorial Universidad de Granada (eug), Fundación Pública Andaluza “El legado andalusí” y Milenio de Granada.
  • Fecha: miércoles, 26 de marzo de 2014.
  • Hora: 19.30 horas.
  • Lugar: Gabinete de Teatro del Palacio de la Madraza.
  • Organizan: Consorcio para la Conmemoración del primer Milenio de la Fundación del Reino de Granada y Universidad de Granada.

 

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Expérimenté avec succès chez des animaux un médicament qui renforce l’effet analgésique des opioïdes sans augmenter la constipation, un des effets secondaires les plus fréquents

Des chercheurs de l’Université de Grenade ont publié les résultats de ce nouveau médicament expérimenté chez des souris.

 Le médicament reçoit le nom de SIRA, un bloqueur sélectif du récepteur sigma-1 qui arrive à multiplier l’effet bénéfique des opioïdes, l’analgésie, sans augmenter la constipation.

Des scientifiques de l’Université de Grenade ont participé, avec le laboratoire Esteve, au développement d’un nouveau médicament qui multiplie l’effet analgésique des opioïdes (médicaments pour le traitement de douleurs intenses sans augmenter la constipation), un des effets secondaires les plus fréquents de ces médicaments, parmi lesquels se trouve la morphine.

Cette importante avancée scientifique a été publiée dans la revue The Journal of Pharmacology and Experimental Therapeutics, et a été sélectionnée par ladite revue comme article de référence du mois de janvier. Jusqu’à cette date, les chercheurs de l’Université de Grenade n’ont publié que les résultats chez des souris de l’expérimentation de cette molécule.

Les dérivés de l’opium sont utilisés depuis très longtemps pour soulager la douleur. Actuellement, aussi bien ces produits que des substances analogues (opioïdes) sont les médicaments choisis pour le traitement de divers types de douleur intense, comme la douleur postopératoire, la douleur cancéreuse ou des douleurs viscérales. Une administration soutenue d’opioïdes produit une constipation sérieuse, ce qui suppose un inconvénient substantiel à son utilisation, étant donné qu’elle réduit énormément la qualité de vie des patients.

L’étude récemment publiée démontre que le SIRA, un bloqueur sélectif du récepteur sigma-1, arrive à multiplier l’effet bénéfique des opioïdes, l’analgésie, sans augmenter la constipation.

Le récepteur sigma-1 est une protéine très petite qui agit comme neuromodulateur en s’unissant physiquement à d’autres protéines (parmi lesquelles se trouvent les récepteurs opioïdes) et en modifiant leur fonction.

Tel que l’explique un des auteurs de ce travail, le chercheur de l’Institut de Neurosciences de l’Université de Grenade, M. Enrique Cobos del Moral, les opioïdes sont surtout des médicaments « d’action centrale », c’est-à-dire qu’ils agissent directement sur le cerveau et la moelle épinière. Cependant, lorsque les opioïdes s’associent à des bloqueurs du récepteur sigma-1, ils produisent de l’analgésie en agissant ailleurs, concrètement sur le système nerveux périphérique. Il s’ensuit que le récepteur sigma-1 est un frein biologique qui empêche l’analgésie opioïde périphérique, et que ce frein peut s’éliminer par traitement pharmacologique afin d’augmenter ainsi le potentiel analgésique des opioïdes.

Cette avancée scientifique a une énorme importance pour le bénéfice des patients qui souffrent de douleurs, vu qu’il permettra à court terme de dessiner des médicaments analgésiques plus efficaces et avec moins d’effets secondaires.

Le laboratoire Esteve est en train de développer ce médicament, qui se trouve actuellement en Phase Clinique II.

(http://www.esteve.es/EsteveFront/PressRoom.do?op=DN&div=idi&con=3368)

Référence bibliographique:

Modulation of Peripheral µ-Opioid Analgesia by sigma1 Receptors
Sánchez-Fernández C, Montilla-García Á, González-Cano R, Nieto FR, Romero L, Artacho-Cordón A, Montes R, Fernández-Pastor B, Merlos M, Baeyens JM, Entrena JM, Cobos EJ.

The Journal of Pharmacology and Experimental Therapeutics. 348:32–45, January 2014
http://dx.doi.org/10.1124/jpet.113.208272

Bas de photo: Les membres du groupe de recherche de l’Université de Grenade qui ont réalisé ce travail. De gauche à droite : Ángeles Montilla García, Enrique J. Cobos del Moral, Cristina Sánchez Fernández et Rafael González Cano.

Contact : Enrique J. Cobos del Moral. Département de Pharmacologie/Institut de Neurosciences de l’Université de Grenade. Tél. : 958 243538 ; courriel : ejcobos@ugr.es


A drug that strengthens the analgesic effect of opioids without increasing constipation – one of their most frequent side-effects – has been tested successfully on animals

Researchers from the University of Granada publish the results of this new drug, tested on mice

The drug receives the name of S1RA, a selective blocker of the sigma-1 receptor, which manages to multiply the beneficial effect of opioids, the painkiller, without increasing constipation

Scientists from the University of Granada have taken part, alongside the Esteve laboratory, in the development of a new drug that multiplies the analgesic effect of opioids (drugs for treating intense pain), without increasing constipation, one of the most common side-effects of these drugs, among which is morphine.

This important scientific breakthrough has been published in The Journal of Pharmacology and Experimental Therapeutics, and has been chosen as its outstanding article in the month of January. So far, the University of Granada researchers have published the results from testing this molecule on mice.

Opium derivates have been used since ancient times to treat pain. Currently, these and similar products (opioids) are the drugs used to treat various types of intense pain, such as post-operatory pain, cancer pain or internal-organ pain. The prolonged use of opioids causes strong constipation, which is a substantial drawback to their administration, since it substantially diminishes patient well-being.

The recently-published article proves that S1RA, a drug that blocks the sigma-1 receptor, manages to multiply solely the beneficial effect of the opioids; that is, their pain-killing properties.

The sigma-1 receptor is a very small protein that acts as a neuro-modulator, physically linking to other proteins (among which are the opioid receptors) and modifying their function.

As Enrique Cobos del Moral, one of the authors and a researcher at the University of Granada Institute of Neuroscience, explains, opioids are basically “centrally-acting” drugs; that is, they act directly upon the brain and the spinal medula. However, when opioids are associated with sigma-1 receptor blockers, their pain-killing effects are brought about by acting upon other areas; specifically, on the peripheral nervous system. From this, it is deduced that the sigma-1 receptor is a biological brake that prevents peripheral opioid analgesia, and that this brake can be eliminated by pharmacological treatment so as to increase the pain-killing power of opioids.

This scientific breakthrough is of huge importance for the well-being of patients suffering from pain, since, in the short term, it will allow the development of more efficient painkillers with fewer side-effects.

Esteve is working on the development of this medication, which is currently in Clinical Phase II

(http://www.esteve.es/EsteveFront/PressRoom.do?op=DN&div=idi&con=3368)

References:

Modulation of Peripheral µ-Opioid Analgesia by sigma1 Receptors
Sánchez-Fernández C, Montilla-García Á, González-Cano R, Nieto FR, Romero L, Artacho-Cordón A, Montes R, Fernández-Pastor B, Merlos M, Baeyens JM, Entrena JM, Cobos EJ.

The Journal of Pharmacology and Experimental Therapeutics. 348:32–45, January 2014
http://dx.doi.org/10.1124/jpet.113.208272

Photo: UGR research group that has carried out the study. L-R: Ángeles Montilla García, Enrique J. Cobos del Moral, Cristina Sánchez Fernández and Rafael González Cano.

Contact details:
Enrique J. Cobos del Moral
Department of Pharmacology / Institute of Neurosciences, University of Granada (Spain)
Tel.: +34 958 24 35 38
E-mail: ejcobos@ugr.es


Los fósiles, clave para analizar fenómenos cíclicos

71817 Una investigación realizada en la Universidad de Granada ha demostrado que los fenómenos cíclicos que afectan al medio ambiente, como los cambios en el clima, en la dinámica atmósfera-océano e incluso las perturbaciones orbitales de los planetas, existen desde hace cientos de millones de años y pueden ser estudiados mediante el análisis de fósiles. Así lo atestiguan los datos paleontológicos analizados, que han permitido caracterizar cambios paleo-ambientales cíclicos de escala variable, con una duración que fluctúa desde menos de un día hasta millones de años, según la Universidad de Granada.

Este trabajo, realizado por Francisco J. Rodríguez-Tovar, catedrático de Estratigrafía y Paleontología de la Universidad de Granada, ha analizado cómo el registro fósil puede ser utilizado como una herramienta clave para caracterizar esos fenómenos cíclicos de diferente escala temporal. Los resultados de esta investigación han sido publicados en la prestigiosa revista Annual Reviews of Earth and Planetary Sciences, la segunda revista en la categoría de Geosciences, Multidisciplinary en el ranking del Journal Citation Reports, tras Nature Geosciences, con un índice de impacto cercano a 9. Nunca antes ningún científico español había logrado publicar en ella.

Según apunta el doctor Rodríguez-Tovar, se trata de fenómenos cíclicos de escala variable, desde menores al día a superiores al millón de años, con diferente manifestación en el registro fósil. Respecto de los que poseen una duración entre menos de un día y el año, «se trata de fenómenos de escala ecológica fundamentalmente asociados a variaciones mareales y solares, que quedaron registrados en los modelos de crecimiento de organismos como los bivalvos o corales. Así, encontramos evidencias de ellos en fósiles que datan del Paleozoico, hace más de 500 millones de años», apunta el investigador de la UGR.

En su artículo, el catedrático ha estudiado, asimismo, fenómenos cíclicos cuya duración osciló entre el año y los 10.000 años, como los asociados al fenómeno del Niño (fenómeno climático cíclico que provoca el calentamiento de las aguas sudamericanas), los conocidos como ciclos Dansgaard-Oeschger o los eventos Heinrich. Estos últimos tuvieron lugar durante el último periodo glacial y determinaron variaciones en la abundancia, distribución y diversidad de poblaciones y especies marinas y terrestres.También ha analizado fenómenos cíclicos entre los 10.000 años y el millón de años, fundamentalmente asociados a cambios climáticos determinados por variaciones orbitales (ciclos de Milankovitch).

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¿Qué tiempo hizo hace un millón de años? Pregunta a los fósiles

71817 Seamos o no conscientes de ello, lo cierto es que todo lo que pasa deja mayor o menor huella en el entorno. No sólo la acción del hombre, también los cambios orbitales de los planetas, la dinámica atmósfera-océano y las modificaciones del clima, entre otros fenómenos cíclicos, afectan al medio ambiente. Un científico de la Universidad de Granada, tras estudiar diversos datos paleontológicos, ha llegado a la conclusión de que los registros fósiles son una herramienta válida para identificar en el tiempo esos fenómenos cíclicos.

Según el estudio, la duración de los estos fenómenos puede ir desde un día a un millón de años, y su impacto en el registro fósil es diferente. Así, los que tienen una duración entre menos de un día y un año, se asocian fundamentalmente a las mareas y a los efectos del sol, dejando su marca en los patrones de crecimiento de organismos como los bivalvos y los corales. De estos se han encontrado evidencias fósiles que datan del Paleozoico, hace más de 500 millones de años.

La investigación analizó también fenómenos cíclicos de entre 10.000 y un millón de años, asociados fundamentalmente a cambios climáticos determinados por variaciones orbitales, lo que queda registrado en los patrones evolutivos de algunas especies, llegando a provocar, incluso, su extinción.

Los ciclos superiores a un millón de años, ubicados temporalmente en el Fanerozoico, vienen determinados por sucesos de influencia exterior a nuestro planeta, como los impactos de meteoritos del Cretácico-Terciario, hace 65 millones de años; o interior, como las grandes erupciones volcánicas. «Estos cambios se relacionan con extinciones periódicas mayores, que afectaron a un alto porcentaje de la biota, ya que en la mayoría de los casos se extinguieron más del 65% de los organismos vivientes», destaca Francisco J. Rodríguez-Tovar, gestor de este trabajo.

La investigación, a cargo del catedrático de Estratigrafía y Paleontología de la UGR Francisco J. Rodríguez-Tovar, ha sido el primer trabajo realizado por un español publicado en la revista Annual Reviews of Earth and Planetary Sciences, lo que ya es un indicador de la trascendencia del mismo.

Imagen: Wikimedia Commons, liberada para dominio público por Andrescanalla

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Realizan experimento para analizar las diferencias entre hombres y mujeres al mentir

71862 Más de 500 estudiantes de la Universidad de Granada (UGR) participan estos días en un experimento que pretende analizar las diferencias que existen entre hombres y mujeres a la hora de mentir. La iniciativa forma parte de un proyecto de investigación, denominado ‘Juego de Imitación’ (‘Imgame’, por sus siglas en inglés), financiado por el ‘European Council of Research’, en el que participan también la Universidad de Cardiff, la Universidad de Palermo, la Escuela Universitaria de Ciencias Sociales y Humanidades de Varsovia, la Universidad Eötvös Loránd de Budapest, la Universidad Erasmus de Rotterdam, la Universidad de Helsinki, la Universidad NTNU en Trondheim y la Universidad de Ciudad del Cabo, además de la UGR. El experimento, que se celebra en la Facultad de Ciencias Políticas y Sociología, consiste en mentir y en averiguar quién te está mintiendo, para confrontar las identidades de dos grupos distintos, en este caso, hombres y mujeres. Los juegos se llevan a cabo en una sala de informática, con un software especial diseñado por los investigadores; los resultados son anónimos y solamente tiene un fin académico. En cada juego hay tres participantes con un rol diferente: un juez (que debe averiguar mediante preguntas, quién de los otros dos participantes le está mintiendo); un fingidor, que debe hacerse pasar por su compañero (si es hombre, debe fingir ser una mujer, y al revés), y un no fingidor, el participante que debe responder con naturalidad. Para descubrir quién miente, el juez hace preguntas y evalúa las contestaciones recibidas. El objetivo del juego es que el juez averigüe quién es quién, informa la UGR en una nota. En la Universidad de Granada, el proyecto Imgame está coordinado por el profesor Emilio Sánchez Santa-Bárbara, del departamento de Psicología Social, con la colaboración del investigador doctor Adolfo Calatrava. Desde el año 2012, la UGR ha acogido cuatro experimentos similares al que se celebra estos días, en los que han participado alrededor de 1.500 estudiantes. Todas estas pruebas están dando lugar a una gran cantidad de datos, que están siendo analizados de forma comparativa con otras universidades y en breve se materializarán en publicaciones académicas. Hasta la fecha, los temas elegidos para probar este método han sido cuatro generales: género, sexualidad masculina (homosexuales y heterosexuales), minorías étnicas y religiosidad. También se han realizado algunos experimentos vinculados a las identidades políticas y nacionales (entre alemanes del este y del oeste, por ejemplo). Como explica Adolfo Calatrava, «como resultados generales en las pruebas anteriores comprobamos que para los homosexuales era más sencillo averiguar quiénes eran los heterosexuales que mentían, y para las mujeres es más fácil determinar quién es el hombre que miente, si bien a partir de estas consideraciones generales nuestra investigación profundiza en identidades y estereotipos».
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Los fósiles, útiles para analizar fenómenos cíclicos de hace millones de años

71817 Una investigación realizada en la Universidad de Granada (España) ha demostrado que los fenómenos cíclicos que afectan al medio ambiente, como los cambios en el clima, en la dinámica atmósfera-océano e incluso las perturbaciones orbitales de los planetas, existen desde hace cientos de millones de años, y pueden ser estudiados mediante el análisis de fósiles.

Así lo atestiguan los datos paleontológicos analizados, que han permitido caracterizar cambios paleo-ambientales cíclicos de escala variable, con una duración que fluctúa desde menos de un día hasta millones de años.

Este trabajo, realizado por Francisco J. Rodríguez-Tovar, catedrático de Estratigrafía y Paleontología de la Universidad de Granada, ha analizado cómo el registro fósil puede ser utilizado como una herramienta clave para caracterizar esos fenómenos cíclicos de diferente escala temporal.

Los resultados de esta investigación han sido publicados en la prestigiosa revista Annual Reviews of Earth and Planetary Sciences, la segunda revista en la categoría de Geosciences, Multidisciplinary en el ranking del Journal Citation Reports, tras Nature Geosciences, con un índice de impacto cercano a 9. Nunca antes ningún científico español había logrado publicar en ella.

Como apunta el Dr. Rodríguez-Tovar, se trata de fenómenos cíclicos de escala variable, desde menores al día a superiores al millón de años, con diferente manifestación en el registro fósil.

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Francisco J. Rodríguez-Tovar, catedrático de la UGR, señalando el bio-evento del límite Cretácico/Terciario (cuando se extinguieron los dinosaurios) en el perfil de Agost (Alicante). (Foto: UGR)

Respecto de los que poseen una duración entre menos de un día y el año, «se trata de fenómenos de escala ecológica fundamentalmente asociados a variaciones mareales y solares, que quedaron registrados en los modelos de crecimiento de organismos como los bivalvos o corales. Así, encontramos evidencias de ellos en fósiles que datan del Paleozoico (hace más de 500 millones de años)», apunta el investigador de la UGR.

En su artículo, el catedrático ha estudiado, asimismo, fenómenos cíclicos cuya duración osciló entre el año y los 10.000 años, como los asociados al fenómeno del Niño (fenómeno climático cíclico que provoca el calentamiento de las aguas sudamericanas), los conocidos como ciclos Dansgaard-Oeschger o los eventos Heinrich. Estos últimos tuvieron lugar durante el último período glacial, y determinaron variaciones en la abundancia, distribución y diversidad de poblaciones y especies marinas y terrestres.

También ha analizado fenómenos cíclicos entre los 10.000 años y el millón de años, fundamentalmente asociados a cambios climáticos determinados por variaciones orbitales (ciclos de Milankovitch), que son registrados en los patrones evolutivos de determinadas especies, dando lugar incluso a su extinción.

Por último, el investigador ha estudiado cambios cíclicos con una duración superior al millón de años, acaecidos a lo largo del Fanerozoico, cuya interpretación está asociada a fenómenos extraterrestres (impactos meteoríticos, como el ocurrido durante el límite Cretácico/Terciario, hace unos 65 millones de años) o terrestres (como el vulcanismo de gran escala).

«Estos cambios se relacionan con extinciones periódicas mayores, que afectaron a un alto porcentaje de la biota, ya que en la mayoría de los casos se extinguieron más del 65% de los organismos vivientes», destaca Rodríguez-Tovar. (Fuente: UGR/DICYT)

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Analizan en Granada la diferencia entre hombres y mujeres a la hora de mentir

71862 Un proyecto de investigación en el que participa la Universidad de Granada pretende analizar las diferencias entre hombres y mujeres a la hora de mentir.
La iniciativa forma parte de un proyecto denominado «Juego de imitación» y financiado por el European Council of Research en el que participan también las universidades de Cardiff, Palermo, Helsinki, Eötvös Loránd de Budapest, la Erasmus de Rotterdam, Trondheim, Ciudad del Cabo y la Escuela Universitaria de Ciencias Sociales y Humanidades de Varsovia, además de la de Granada
Para llevar a cabo la investigación, más de 500 estudiantes de la Universidad de Granada participan estos días en un experimento que pretende analizar las diferencias que existen entre hombres y mujeres a la hora de mentir.
El experimento, que se lleva a cabo en la Facultad de Ciencias Políticas y Sociología, consiste en mentir y averiguar quién te está mintiendo, para confrontar las identidades de dos grupos distintos, en este caso, hombres y mujeres, ha informado este martes la Universidad de Granada.
Los juegos se llevan a cabo en una sala de informática, con un software especial diseñado por los investigadores (los resultados son anónimos y solo tiene un fin académico).
En cada juego hay tres participantes con un rol diferente: un juez, que debe averiguar mediante preguntas quién de los otros dos participantes le está mintiendo, un fingidor, que se hace pasar por su compañero (si es hombre debe fingir ser una mujer y al revés), y un no fingidor, el participante que debe responder con naturalidad.
Para descubrir quién miente, el juez hace preguntas y evalúa las contestaciones recibidas.
El objetivo del juego es que el juez averigüe quién es quién, según la Universidad de Granada, en la que el proyecto está coordinado por el profesor Emilio Sánchez Santa-Bárbara, del departamento de Psicología Social, con la colaboración del investigador doctor Adolfo Calatrava.
Desde el año 2012, la Universidad de Granada ha acogido cuatro experimentos similares a éste, en los que han participado alrededor de 1.500 estudiantes.
Los datos resultantes de estas pruebas serán analizados de forma comparativa con otras universidades y en breve se materializarán en publicaciones académicas.
Hasta ahora, los temas elegidos para probar este método han sido cuatro generales: género, sexualidad masculina (homosexuales y heterosexuales), minorías étnicas y religiosidad.
También se han realizado algunos experimentos vinculados a las identidades políticas y nacionales (entre alemanes del Este y del Oeste, por ejemplo).
Según Calatrava, en las pruebas anteriores se ha comprobado por ejemplo que para los homosexuales es más sencillo averiguar quiénes eran los heterosexuales que mentían, y para las mujeres es más fácil determinar quién es el hombre que miente, aunque de estas consideraciones generales la investigación profundiza en identidades y estereotipos.
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“Motivación para emprender”, conferencia de Cristina Ordóñez Ballesteros

Tendrá lugar en el Paraninfo de la Facultad de Derecho el miércoles, 26 de marzo de 2014, a las 19.30 horas

La especialista en formación de emprendedores Cristina Ordóñez Ballesteros hablará de “Motivación para emprender” en el Paraninfo de la Facultad de Derecho de la UGR el miércoles, 26 de marzo de 2014, a las 19.30 horas, en un acto organizado por el Aula de Cultura de la Facultad de Derecho que dirige Eva Velázquez Valverde.

Cristina Ordóñez Ballesteros es formadora y asesora de emprendedores, licenciada en Derecho por la Universidad de Granada; máster en Gestión de Pymes y con formación en Psicología Empresarial, Comunicación y Marketing. Ordóñez es una apasionada de las nuevas tecnologías de la Innovación y de la Comunicación, forma parte activa de la red de expertos de varios programas para emprendedores y colabora con diferentes universidades.

Ha creado y dirige un espacio en radio, “Creadores por el Mundo”, sobre creatividad, innovación y emprendimiento que actualmente se escucha en 64 países.

Actividad

  • Conferencia: “Motivación para emprender”.
  • A cargo de: Cristina Ordóñez Ballesteros.
  • Día: miércoles, 26 de marzo.
  • Hora: 19.30 horas.
  • Lugar: Paraninfo de la Facultad de Derecho.
  • Organiza: Aula de Cultura de la Facultad de Derecho.
  • Entrada: libre hasta completar aforo.

Contacto: Eva Velázquez Valverde, coordinadora del Aula de Cultura de la Facultad de Derecho.
Tel.: 958 241000. Extensión 20266.
Correo electrónico: culturafacultaddederecho@ugr.es
Blog: http://culturafacultaddederecho.blogspot.com

 

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Proyección de la película “El hijo de la novia” en el “II Ciclo de Cine y Medicina”

Tendrá lugar en el Aula Magna de la Facultad de Medicina, el miércoles, 26 de marzo de 2014, a las 18 horas

La película de Juan José Campanella “El hijo de la novia”, estrenada en 2001, se proyecta el miércoles, 26 de marzo de 2014, a las 18 horas, en el “II Ciclo de Cine y Medicina” que se viene celebrando del 23 de octubre de 2013 al 21 de mayo de 2014, en el Aula Magna de la Facultad de Medicina.

En esta ocasión el filme trata de la demencia.

Propuesto por el Departamento de Medicina de la UGR, el ciclo está dirigido por el profesor Blas Gil Extremera, catedrático de Medicina y autor de libros relacionados con los aspectos humanísticos de la Medicina, como “Enfermos Ilustres”, en los que desde la enfermedad se llega a la creación artística.

Todas las películas se proyectan en el Aula Magna de la Facultad de Medicina, en 12 sesiones (el 80% de la asistencia se convalida por 3 créditos de libre configuración), con un programa en el que se tratan, desde el punto de vista del séptimo arte, temas universales de la enfermedad y aspectos sociales como el alcoholismo, la igualdad, etc.

El ciclo, organizado por el Departamento de Medicina, con la colaboración de la Academia de Medicina y Cirugía de Andalucía Oriental y la Facultad de Medina de la UGR, cuenta con el siguiente programa:

  • 23 de octubre de 2013: “Alguien voló sobre el nido del cuco” (psicopatía).
  • 6 de noviembre de 2013: “Amarga victoria” (tumor cerebral).
  • 27 de noviembre de 2013: “Más poderoso que la vida” (cortisona).
  • 11 de diciembre de 2013: “Ansias de vivir” (esclerosis múltiple).
  • 22 de enero de 2014: “Buenos días, tristeza” (complejo de Edipo).
  • 26 de febrero de 2014: “Calle mayor” (abandono).
  • 12 de marzo de 2014: “La carta” (crimen pasional).
  • 26 de marzo de 2014: “El hijo de la novia” (demencia).
  • 2 de abril de 2014: “El gran carnaval” (alcoholismo).
  • 23 de abril de 2014: “Love Story” (leucemia).
  • 7 de mayo de 2014: “Historias de la radio” (cardiopatía).
  • 21 de mayo de 2014: “Cautivos del mal” (tabaquismo).

Contacto: Profesor Blas Gil Extremera. Director del ciclo. Departamento de Medicina. Universidad de Granada. Tfn.: 958 249081. Correo electrónico: blasgil@ugr.es

 

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Más de 500 estudiantes participan en un experimento para analizar las diferencias entre hombres y mujeres a la hora de mentir

La iniciativa, que se celebra en la Facultad de Ciencias Políticas y Sociología de la UGR durante los días 24 y 25 de marzo, forma parte del proyecto de investigación IMGAME, financiado por el European Council of Research

Más de 500 estudiantes de la Universidad de Granada participan durante los días 24 y 25 de marzo en un experimento que pretende analizar las diferencias que existen entre hombres y mujeres a la hora de mentir

La iniciativa forma parte de un proyecto de investigación, denominado Juego de Imitación (IMGAME, por sus siglas en inglés), financiado por el European Council of Research, en el que participan también la Universidad de Cardiff, la Universidad de Palermo, la Escuela Universitaria de Ciencias Sociales y Humanidades de Varsovia, la Universidad Eötvös Loránd de Budapest, la Universidad Erasmus de Rotterdam, la Universidad de Helsinki, la Universidad NTNU en Trondheim y la Universidad de Ciudad del Cabo, además de la UGR.

El experimento, que se celebra en la Facultad de Ciencias Políticas y Sociología, consiste en mentir y en averiguar quién te está mintiendo, para confrontar las identidades de dos grupos distintos, en este caso, hombres y mujeres.

Los juegos se llevan a cabo en una sala de informática, con un software especial diseñado por los investigadores; los resultados son anónimos y solamente tiene un fin académico. En cada juego hay 3 participantes con un rol diferente: un juez (que debe averiguar mediante preguntas, quién de los otros dos participantes le está mintiendo); un fingidor, que debe hacerse pasar por su compañero (si es hombre, debe fingir ser una mujer, y al revés), y un no fingidor, el participante que debe responder con naturalidad. Para descubrir quién miente, el juez hace preguntas y evalúa las contestaciones recibidas. El objetivo del juego es que el juez averigüe quién es quién.

En la Universidad de Granada, el proyecto IMGAME está coordinado por el profesor Emilio Sánchez Santa-Bárbara, del departamento de Psicología Social, con la colaboración del investigador doctor Adolfo Calatrava. Desde el año 2012, la UGR ha acogido cuatro experimentos similares al que se celebra estos días, en los que han participado alrededor de 1.500 estudiantes. Todas estas pruebas están dando lugar a una gran cantidad de datos, que están siendo analizados de forma comparativa con otras universidades y en breve se materializarán en publicaciones académicas.

Hasta la fecha, los temas elegidos para probar este método han sido cuatro generales: género, sexualidad masculina (homosexuales y heterosexuales), minorías étnicas y religiosidad. También se han realizado algunos experimentos vinculados a las identidades políticas y nacionales (entre alemanes del este y del oeste, por ejemplo).

Como explica Adolfo Calatrava, “como resultados generales en las pruebas anteriores comprobamos que para los homosexuales era más sencillo averiguar quiénes eran los heterosexuales que mentían, y para las mujeres es más fácil determinar quién es el hombre que miente, si bien a partir de estas consideraciones generales nuestra investigación profundiza en identidades y estereotipos”.

Más información sobre IMGAME (en inglés):

Fotografías de la realización del experimento:

Contacto:
Adolfo Calatrava
Facultad de Ciencias Políticas y Sociología de la UGR
Correo electrónico: acalatrava@ugr.es

 

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Centenario de Norman Borlaug, Nobel de la Paz y doctor Honoris Causa por la Universidad de Granada

Hoy, 25 de marzo, se cumplen 100 años del nacimiento de Norman Borlaug, el científico que cambió el mundo de la producción de alimentos de origen vegetal, creando la agricultura moderna y ayudando a más de mil millones de personas del Tercer Mundo a escapar del hambre y de la miseria.

En 1970 recibió el Nobel de la Paz por su contribución a la Revolución Verde y por su lucha contra el hambre. Según sus palabras en el discurso de aceptación del premio Nobel, “el alimento es un derecho moral para todos los que vienen al mundo” y “si se desea la paz hay que cultivar la justicia, pero al mismo tiempo hay que cultivar los campos para que produzcan más trigo, porque no se puede construir la paz sobre estómagos vacíos”. Su legado científico y humanitario ha sido enorme. Quizás el más importante de los tiempos modernos. Las variedades de trigo de baja estatura y alto rendimiento desarrolladas por Borlaug en México en la década de 1950, junto con las prácticas agronómicas mejoradas, fueron introducidas en el sur de Asia en 1960, multiplicando por más de cuatro veces el rendimiento del trigo (y posteriormente del arroz), evitando que cientos de millones de personas murieran de hambre. Estas semillas mejoradas de alto rendimiento fueron suministradas gratuitamente, lo que permitió a muchos países del Tercer Mundo alcanzar la autosuficiencia en la producción agrícola. Puede afirmarse que gracias al trabajo de Borlaug, la agricultura basada en la ciencia llegó a los países en vías de desarrollo.

Además de su trabajo como científico, el profesor Borlaug ejerció una importantísima labor docente, enseñando e inspirando a miles de jóvenes investigadores que ocupan hoy puestos de responsabilidad en muchos países. El 14 de abril de 2005 fue investido, junto al profesor Michel Durand Delga, como doctor Honoris Causa por la Universidad de Granada. Comenta el profesor Luis García del Moral que “los doctores que tuvimos el gran honor de apadrinar a tan excelentes científicos fuimos nuestro actual rector Francisco González Lodeiro y yo mismo. Durante su estancia en Granada, pudimos comprobar que Borlaug era un hombre optimista, sin ninguna arrogancia científica, que tenía confianza en el futuro y en la capacidad del hombre y en especial creía en la juventud y sus valores”.

A lo largo de su dilatada vida recibió numerosos honores y distinciones académicas, científicas y sociales. Ha llegado a ser, sin pretenderlo, una de las personas más laureadas de la historia moderna. Solamente 5 personas, entre ellas Norman Borlaug, junto a la Madre Teresa de Calcuta, Nelson Mandela y Martin Luther King han recibido el Premio Nobel de la Paz y las máximas distinciones norteamericanas, la «Medalla Presidencial de la Libertad» y la «Medalla de Oro del Congreso de los Estados Unidos».

 

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