Universitarios recibirán prácticas para especializarse en la industria del golf

Universitarios recibirán prácticas para especializarse en la industria del golf

Un convenio de colaboración entre Medina Club de Golf y la Universidad de Granada permitirá a los alumnos de la institución académica ampliar sus opciones de inserción en el mercado laboral con una nueva especialización, la del conocimiento de la industria del golf mediante la formación práctica.

Los universitarios recibirán a cambio de las prácticas créditos que les serán convalidados en su curso académico, informó hoy en un comunicado el Grupo Balboa, para quien este proyecto formativo contribuye al desarrollo económico y social en las zonas con iniciativas empresariales de este tipo en marcha.

Los estudiantes realizarán en Medina Elvira Club de Golf las prácticas formativas para aprender aspectos de la gestión de un campo de golf, desde el sistema de juego hasta el desarrollo de las estadísticas participativas y económicas dentro de unas instalaciones de este tipo.

El Club de Golf de Medina Elvira está gestionado por Aymerich Golf Management, la mayor empresa de gestión de campos de golf de España, que entiende este sector como un negocio de rentabilidad creciente, y cada vez más importante dentro del panorama deportivo y de ocio actual.

La entidad y un representante de la Universidad de Granada serán los encargados de seleccionar a los estudiantes aspirantes a realizar la formación práctica en Medina Elvira Club de Golf.

La primera decidirá el tiempo global de formación en prácticas para el estudiante, pero no podrá ser superior al 50 por ciento del tiempo íntegro que constituye el curso académico (más de seis meses o 600 horas).
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Translators will develop their work in multimedia products before long

Translators will develop their work in multimedia products before long
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12.02.2007
Before long, a good part of the products translators work with will be multimedia products, and not only those that we know, according to Professor Roberto Mayoral Asensio, of the department of Translation and Interpreting of the University of Granada (Universidad de Granada [http://www.ugr.es]), who published in the journal Sendebar the study Procedimientos que persiguen la reducción o expansión del texto en la traducción audiovisual (Methods to reduce or expand the text in audiovisual translation), in which he states that most products will have multimedia format in the near future.

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According to Mayoral, shortly “even general translators will have to be able to use translation systems like subtitling, dubbing or voice-over and adjustment techniques.”

According to Mayoral, audiovisual tranlators cannot limit their activity to an only system but must be able to work with every kind of system (subtitling, dubbing and voice-over) since more and more products combine them and even use them simultaneously. Thus, according to the author: “Products to be translated change and update, professionals must have new abilities and every translator (student or professional) will have to combine new skills: in our opinion and in the near future, computing, publicity and audiovisual.”

In his work, Mayoral studies the adjustment in audiovisual translation from a point the view of the methods and considers the reduction, expansion and omission of the original as different aspects of the same technique: length alteration / length of the original dialogues. Likewise, the UGR [http://www.ugr.es] Professor describes different tools at the audiovisual translator´s disposal to alterate and methods to lessen its negative effects too. On the other hand, the study describes the different speeds which can serve the translator as a reference for the adjustment: the spectator´s mental reading and actors´ performance speeds, which usually do not match with those of the translator.

In Professor Mayoral´s words, “these translation techniques or methods become valuable in the case of audiovisual translation, since one of the distinctive elements of the audiovisual message is the conjunction of different signals which must be synchronized or adjusted to a greater or lesser extent; that is, its emission must be comprised within certain temporal, space or both limits”.

Antonio Marín Ruiz | Quelle: alphagalileo
Weitere Informationen: www.ugr.es
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LOGOSPHÈRE. Revue du Groupe de Recherche “Filología Francesa. Estudios Lingüísticos y Literarios”.

Logosphère Nº 3 : « Jeux du regard »
Appel à contribution
Date limite : 1 septembre 2007
Information publiée le mercredi 14 février 2007 par Alexandre Gefen (source : Montserrat SERRANO)

LOGOSPHÈRE. Revue du Groupe de Recherche “Filología Francesa. Estudios Lingüísticos y Literarios”.

Présentation de la publication.-

Logosphère, revue interdisciplinaire qui aspire à la continuité dans ses publications, naît au sein du Groupe de Recherche « Filología Francesa. Estudios Lingüísticos y Literarios » du Département de Philologie Française à lUniversité de Grenade. Les sujets détude qui y sont abordés englobent des réflexions et des analyses concernant autant le domaine de la littérature que celui de la linguistique comme lindique le titre de notre groupe.

Cette revue dispose à la fois dun Conseil de Rédaction composé des membres du Groupe de Recherche et dun Conseil Scientifique International auquel appartiennent des membres de grande renommée internationale. À périodicité annuelle, chaque numéro proposera un titre assez suggestif pour admettre des voies de recherche plurielles.

Les travaux originaux qui saccorderont au sujet proposé dans le numéro correspondant seront acceptés pour leur publication après avoir obtenu lavis favorable de deux spécialistes ad hoc.

LOGOSPHÈRE Nº 3 : « Jeux du regard »

Appel à contribution

Date limite de réception : 1er septembre 2007.

Si, en tant que spectacles, le théâtre et le cinéma sont nettement placés sous le signe du visuel, le texte écrit entretient lui aussi, sous plusieurs aspects, des rapports étroits avec tout ce qui ressortit à la vision. Le discours, en effet, est toujours déployé par un agencement de points de vue, étayés dans la plupart des cas par des perceptions visuelles quil sagit de représenter. Le regard apparaît donc comme un élément indissociable de loeuvre, que celle-ci se donne à voir ou quelle donne à voir, et il comporte nécessairement de façon implicite le problème des modalités de la représentation.

À la charnière du Visible et de lInvisible, le regard, sil ne se trouve pas dans limpossibilité de voir, conduit souvent à une succession de sensations et dimpressions changeantes, de trompe-loeil ou de brouillages des catégories, et renvoie immanquablement à celui qui envisage la réalité dune manière particulière, parfois lui-même sujet regardant regardé, ou sujet reflété dans le miroir. Les images que suscite ainsi un état de conscience livrent un univers riche de possibilités où les visions imbriquées ne manquent pas dexhiber une appréhension complexe du réel qui « implique un dépassement caché vers limaginaire » (Sartre). Il sagit donc de découvrir lévidence sous les apparences séduisantes et trompeuses, ou bien le mirage, voire le vide, sous la scène ou le portrait révélateurs.

Pour son troisième numéro, Logosphère nous propose de poser un regard, ou de multiples regards, sur ces oeuvres qui font la part belle au jeu et à la vision. Quils soient inquisiteurs, insistants ou pénétrants, les regards portés sur les oeuvres choisies permettront de dévoiler le monde sorti de la plume ou de lobjectif. Car voilà des outils qui muent les oeuvres littéraires ou artistiques en miroirs reflétant la personnalité de leurs créateurs. Miroirs magiques ou déformants ? Ou tout simplement ce miroir de lâme qui repose en la prunelle attentive et inquiète de chacun des chercheurs qui voudront examiner la richesse inhérente aux jeux du regard. Les contributions à cette nouvelle édition de notre revue composeront dès lors autant dobservatoires privilégiés des introspections, représentations, clairvoyances, révélations, mirages ou hallucinations des créateurs.

NORMES DE PUBLICATION

• Pour garantir lanonymat, le travail sera précédé dune page dans laquelle seront indiqués le titre de larticle, le(s) nom(s) et prénom de lauteur ainsi que son adresse professionnelle ; facultativement, son adresse personnelle, son nº de téléphone et son courriel, qui ne seront pas publiés. À lexception du titre, ces informations ne doivent pas figurer dans le texte de larticle. Il est prié de ne pas inclure dans le travail de références qui pourraient identifier son auteur.

• Remise de larticle sur diskette –PC Word de préférence- ou CD-Rom, et sur version papier. Sur la diskette ou CD-Rom figurera une étiquette mentionnant le nom de lauteur ainsi que le titre de larticle.

• La sortie papier sera envoyée en trois exemplaires. Les deux premiers sont destinés aux deux membres du Comité Scientifique, chargés détablir le rapport de lecture. Le troisième exemplaire est destiné au Secrétariat de la Revue.

• Adopter une mise en page minimale : pas dentête, ni numéro de pages, ni tabulations.

• Lutilisation du gras et du soulignement dans le corps du texte est à proscrire.

• Les articles, qui doivent être inédits, nexcèderont pas quinze pages, bibliographie et notes incluses. Format A4. La proposition darticle devra être accompagnée dun bref résumé rédigé en espagnol, français et anglais, comportant chacun un maximum de 600 caractères, et suivis de cinq mots-clé. Ces résumés seront séparés du corps du texte par trois lignes blanches.

• Titre de larticle : Times New Roman, taille 18, caractères gras.

• Police et interligne du corps du texte : Times New Roman, taille 12, interligne 1,5.

• Résumés et mots-clé : taille 10, interligne simple, italique.

• Citations : police Times New Roman, taille 10, interligne simple.

• Citations longues :
-les séparer du corps du texte par une ligne blanche avant et après.
-en retrait dun pouce.
-sans guillemets au début et à la fin.

• Les citations de moins de trois lignes sont présentées dans le corps du texte entre guillemets, suivies du nom de lauteur, la date de publication et les pages citées entre parenthèse : (Auteur, date : pages)

• Paragraphes : La première ligne de chaque paragraphe est présentée avec un retrait dun demi-pouce.

• Sous-titres : Si le texte est subdivisé, on utilisera pour les sous-titres, numérotés, des caractères gras.

• Notes : Les notes sont uniquement utilisées lorsquil est nécessaire dajouter des informations qui ne peuvent pas être intégrées dans le texte. Dans le cas où des notes sont fournies, celles-ci sont en bas de page et non en fin darticle. Police Times New Roman, taille 10, interligne simple.

• Les REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES complètes, classées par ordre alphabétique, sont fournies à la fin de larticle, trois lignes après le corps du texte. La date de publication apparaît immédiatement entre parenthèses, après le nom de lauteur. Police Times New Roman, taille 10. Lorsque la référence renvoie à une édition autre que la première, la date de la première édition sera indiquée à la fin entre parenthèses. Lorsquon cite plusieurs textes publiés dans la même année par le même auteur, ils sont différenciés de la manière suivante : 2003a, 2003b, etc. Exemples :

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
UBERSFELD, A. (1997) Lire le théâtre, Paris, Eds. Sociales, 1992.
GASTON ELDUAYEN, L. (2004) Rabelais, Madrid, Ed. Síntesis.
KÜPER, J., “The Traditional Cosmos and the new world”, Modern Language Notes, 2003, v. 118, nº 2: 363-393, The John Hopkins University Press, Baltimore.
IRELAN, S., “La voix des guerrières : les écrivaines algériennes contemporaines », in La Francophonie sans frontières : une nouvelle cartographie de limaginaire au féminin, L. Lequin et C. Mavrikakis, Paris, LHarmattan 2001.

Les articles, rédigés en français ou en espagnol, seront envoyés à ladresse suivante:
Dra. Montserrat Serrano Mañes. Secretaria de Logosphère
Departamento de Filología Francesa. Facultad de Letras
Campus Universitario de Cartuja
18071-GRANADA
Tf: 958 24 36 63-64
Fax: 958 24 36 66
Email : mserrano@ugr.es

Prochains numéros:
Nº 3 : Jeux du regard.
Dernière date de réception des articles : le 1er septembre 2007.

Nº 4 : Voix/voies méditerranéennes.
Dernière date de réception des articles : le 7 juillet 2008.

Responsable : Groupe de Recherche “Filología Francesa. Estudios Lingüísticos y Literarios”.

Adresse : Departamento de Filología Francesa. Facultad de Letras Campus Universitario de Cartuja 18071-GRANADA ESPAGNE.

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Seminario dedicato alla Geometria delle piccole superfici

eminario dedicato alla Geometria delle piccole superfici
Inserito il 14-02-2007 ~ 21:30 da Redazione Volver

La Teoria Geometrica della Misura sarà l’argomento di una tre giorni di studio rivolta a dottorandi e giovani ricercatori organizzata dal Dipartimento di Matematica Pura ed Applicata “G.Vitali” dell’Università degli studi di Modena e Reggio Emilia.

In particolare, durante questo singolare seminario accademici di fama nazionale ed internazionale focalizzeranno l’attenzione sui problemi di tipo “area minima”, fra cui ad esempio quelli legati al fenomeno delle bolle e delle pellicole di sapone, definiti problemi dagli esperti di tipo isoperimetrico, e ai problemi legati alla regolarità nonché alle possibili singolarità dei minimi.
Queste problematiche, delle piccole superfici, apparentemente riservate alla comprensione degli addetti ai lavori hanno in realtà una notevole valenza applicativa nel campo del controllo ottico e della robotica.
L’appuntamento che si terrà da giovedì 15 a sabato 17 febbraio, dalle ore 9.00 presso il Dipartimento di Matematica Pura ed Applicata “G.Vitali” dell’Università degli studi di Modena e Reggio Emilia ( via Campi 213/b) a Modena vedrà la partecipazione di alcuni dei più qualificati docenti della materia, che si alterneranno nel corso delle tre giornate di studio.
Tra essi: il prof. Giovanni Alberti ell’Università di Pisa, il prof. Pertti Mattila dell’Università di Helsinki (Finlandia), il prof. Guy David dell’Università di Parigi XI (Francia), il prof. Nicola Fusco dell’Università di Napoli Federico II, il prof. Manuel Ritoré dell’Università di Granada (Spagna).

Per ulteriori informazioni e sul programma si può consultare il sito dellUniversità ed entrare nel link del Dipartimento di Matematica, cui si accade cliccando sulla sinistra della homepage “Ateneo” e successivamente “Dipartimenti”.

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La UGR participa en un foro virtual de debate sobre el Espacio Europeo de Educación Superior

Intercambiar ideas, reflexiones, críticas y opiniones en relación al Espacio Europeo de Educación Superior. Con este objetivo, diversas universidades, centros de investigación y centros de orientación y formación de ámbitos regionales, nacionales y europeos, coordinados por la Fundación Andaluza Fondo de Formación y Empleo (FAFFE), han puesto en marcha el proyecto Saber Esencia, un foro de debate virtual en el que “profesionales y amantes del conocimiento” pondrán en común saberes, creencias y valores “para alcanzar las situaciones de cohesión social, igualdad, desarrollo sostenible y pleno empleo”, en palabras de sus organizadores.

La Universidad de Granada, a través del Departamento de Derecho del Trabajo y Seguridad Social, la Facultad de Ciencias del Trabajo, el Centro de Promoción de Empleo y Prácticas y el Departamento de Psicología Social, participa activamente en este ambicioso proyecto, en el que también están presentes las universidades de Sevilla, Huelva, Córdoba, Murcia, Barcelona, Salamanca, Navarra, Autónoma de Madrid, Complutense de Madrid, Ramón Llull, así como la Confederación Española de Clubes, Centros y Federaciones UNESCO, los Institutos Andaluz y Nacional de las Cualificaciones, el Centro de Investigaciones Biológicas del CSIC y, a nivel europeo, la Fundación de Regiones Europeas para la Investigación en Educación y Formación (FREREF).

Los objetivos
Rafael Peregrín Espinosa, del Centro de Promoción de Empleo y Prácticas
, es impulsor de Saber Esencia en la UGR, junto al profesor Pablo Galindo Calvo, del departamento de Sociología. Ambos destacan que los objetivos específicos que rigen esta iniciativa son:
• Ofrecer un foro debate y consenso, sin antecedentes para los profesionales del conocimiento ante esa finalidad, en red virtual y presencial.
• Involucrar a todos los profesionales del conocimiento y expertos responsables que por motivación intrínseca estén dispuestos a colaborar en el desarrollo del foro. Poner de manifiesto y consensuar elementos del conocimiento proveniente de ciencias físicas, naturales o sociales que puedan justificar y soportar la necesidad de determinadas competencias esenciales.
• Elaborar y poner en marcha instrumentos informativos y formativos que posibiliten la orientación, educación y formación en base a ese conocimiento esencial aplicado a las situaciones del empleo y el desarrollo socioeconómico y laboral en ámbitos macro y microsociales.

Según los responsables del foro Saber Esencia, la sociedad necesita “contar con buenos ciudadanos, buenos trabajadores, buenos empresarios y buenos líderes de forma mayoritaria, mediante el conocimiento, los valores, creencias y actitudes engendradas en un nuevo modelo cultural instrumental”.

Esta experiencia piloto se materializará dentro de unos meses en una guía didáctica dirigida a profesionales de la orientación, la educación y la formación para que pueda transmitir ese modelo cultural de saberes creencias y valores favorecedores del desarrollo socioeconómico y del empleo en condiciones de igualdad, sostenibilidad y cohesión social.

Referencia: Prof. Pablo Galindo Calvo. Departamento de Sociología de la Universidad de Granada. Tfno: 958 242 781 – 958 246 198.
Correo e-: galindo@ugr.es
Web: www.saberesencia.org


Mujeres y ciudadanía, un ciclo de conferencias promueve la plena igualdad entre sexos

Los indudables avances que en materia de igualdad de género se han producido en la sociedad con el Estado constitucional de nuestros días no suponen que en la práctica no continúen existiendo poderosas resistencias al cambio y que la desigualdad entre hombres y mujeres persista. La lucha por la igualdad de los derechos de las mujeres, larga e intensa, llevada a cabo, como dijera Emilia Pardo Bazán, sólo con la palabra, el libro y el instinto de justicia, se proyecta todavía en la realidad actual. Y esto ocurre incluso en los más avanzados Estados democráticos, como lo es el nuestro, por lo que esta lucha constituye una de las cuestiones centrales y de mayor potencial transformador en el presente momento de cambio y evolución de nuestras sociedades democráticas y, en particular, de nuestro sistema de valores y de nuestro orden jurídico.

La Cátedra Fernando de los Ríos de la Universidad de Granada plantea un nuevo ciclo de conferencias, titulado Hacia la igualdad real: mujeres y ciudadanía, como una necesidad de llevar a cabo una reflexión profunda sobre esta cuestión en sus diferentes aspectos, para determinar los factores que permitan caminar hacia una progresiva igualdad real y efectiva de hombres y mujeres y contribuir socialmente al logro de esta finalidad.

El ciclo, en cuya organización ha colaborado la Diputada del Congreso María Escudero Sánchez, se compone de siete sesiones de conferencias que se distribuyen entre los meses de febrero a mayo de este año y va dirigido a todas las personas interesadas, sin ninguna clase de distinción, a quienes se invita a participar activamente en los coloquios posteriores a cada conferencia para enriquecer el intercambio de pareceres y el debate.

La moral española: pasado y presente
Éste es el título de la primera conferencia, que correrá a cargo de Amelia Valcárcel Bernardo de Quirós y Carlos Castillo del Pino, ambos catedráticos y expertos en la materia.

Amelia Valcárcel, Catedrática de Filosofía Moral de la Universidad de Oviedo y Presidenta de la Asociación Española de Filosofía María Zambrano, conjuga sus reflexiones filosóficas con su teoría feminista. Se la considera como la máxima defensora del feminismo de la igualdad.

Tiene distintos libros publicados, pero la obra que consolidó su prestigio como pensadora feminista fue Sexo y Filosofía (1991), en la que afirma la necesidad de hacer del feminismo una teoría política, una teoría del poder. Valcárcel considera que el primer feminismo forja sus armas en ese individualismo occidental que fue terminando con distintos conceptos genéricos como el linaje o los estamentos para dar lugar a los sujetos trascendentales o agentes morales racionales, a los ciudadanos dotados de iguales derechos. Para Valcárcel, individualismo es sinónimo de autonomía y no de insolidaridad.

Carlos Castilla del Pino, presidente de la Fundación que lleva su nombre, es un destacado intelectual y prestigioso psiquiatra. Aunque su formación y su obra psiquiátrica son posteriores a la Guerra Civil española (1936-1939), su figura representa el vínculo entre la Psiquiatría española anterior y posterior a este periodo.

En su primera etapa (1946-1965), Castilla del Pino podría ser definido como neuropsiquiatra y neuropatólogo, conforme a la tradición que inicio Ramón y Cajal. La bibliografía de esta primera fase va en consonancia con las circunstancias históricas; escribió artículos sobre psicofisiología y patología cerebral, trastornos neurológicos, neurohistología, clínica psiquiátrica.

Las ideas de la segunda etapa de Castilla del Pino se completan con Un estudio sobre la Depresión (1996), en el que encuentra una explicación para la clínica psiquiátrica tradicional y para las psicologías dinámica y la social. Estas ideas concluyen en una crisis porque es muy difícil objetivar la perspicacia obtenida en la relación entre psiquiatra y paciente. Esta objetividad podría ser viable a través del análisis del lenguaje y desde 1968 Castilla del Pino centra en ello su campo de investigación. Su teoría hermenéutica del lenguaje ha sido aplicada a la psico(pato)logía y al habla en general, incluida el habla literaria.

Programa:
– Día 16 de febrero, viernes
Amelia Valcárcel Bernaldo de Quirós, Catedrática de Filosofía Moral de la Universidad de Oviedo y Carlos Castilla del Pino, Catedrático de Psiquiatría y ensayista:
La moral española: pasado y presente.
Facultad de Derecho, Sala de Conferencias; 19 – 21 h.
– Día 14 de marzo, miércoles
Soledad Murillo de la Vega, Secretaria General de Políticas de Igualdad, Ministerio de Trabajo y Asuntos Sociales:
Condiciones para el ejercicio de la ciudadanía.
Facultad de Derecho, Paraninfo; 19 h.
– Día 15 de marzo, jueves
Rosa María Capel Martínez, Profesora Titular de Historia Moderna, Universidad Complutense de Madrid:
En pos de un derecho: la llegada de la mujer a la esfera política.
Facultad de Derecho, Paraninfo; 19 h.
– Día 12 de abril, jueves
Rosa Cobo Bedia, Profesora Titular de Sociología, Universidad de la Coruña:
Democracia paritaria: un reto para el siglo XXI.
Facultad de Derecho, Paraninfo; 19 h.
– Día 26 de abril, jueves
Teresa Freixes Sanjuán, Catedrática de Derecho Constitucional y Catedrática Jean Monnet de Derecho Constitucional Europeo, Universidad Autónoma de Barcelona:
El techo de cristal: los datos y los instrumentos jurídicos para removerlo.
Ana Rubio Castro, Profesora Titular de Filosofía del Derecho, Universidad de Granada:
Los nuevos escenarios de la ciudadanía.
Facultad de Derecho, Sala de Conferencias; 19 – 21 h.
– Día 10 de mayo, jueves
Inmaculada Montalbán Huertas, Magistrado, y María Escudero Sánchez, Diputada del Congreso de los Diputados:
La Ley Integral contra la violencia de género como instrumento para la igualdad. Balance.
Octavio Salazar Benítez, Profesor Titular de la Universidad de Córdoba:
La necesaria transversalidad de la igualdad de género. Un análisis de las leyes autonómicas de igualdad de mujeres y hombres.
Facultad de Derecho, Sala de Conferencias; 19 – 21 h.
– Día 24 de mayo, jueves
Alicia Miyares Fernández, Consejera Técnica de la Unidad de Mujeres y Ciencia. Ministerio de Educación y Ciencia:
Democracia, ciudadanía y feminismo.
Facultad de Derecho, Sala de Conferencias; 19 h.

Referencia: Prof. Gregorio Cámara Villar. Director de la Cátedra Fernando de los Ríos de la Universidad de Granada.
Tel.: 958 24 34 84 / 958 24 34 52. Correo e. gcamara@ugr.es.


Una empresa crea un programa de prevención laboral activo para promover la salud y la calidad de vida de los trabajadores

Cuatro de cada diez españoles han sufrido al menos una baja laboral por dolor de espalda. Según datos recientes de la Seguridad Social, la duración media de bajas laborales en los trabajadores afectados es de 48 días al año. Además, según los expertos casi la mitad de los afectados por este tipo de dolor sufren ansiedad y depresión.
Existen diferentes alternativas para paliar las consecuencias de estos problemas. Sin embargo, la gran mayoría de estas afecciones producidas en el ámbito laboral, puede prevenirse con una pequeña acción “activa”, lo que supondría un ahorro económico considerable para la empresa.

Bajo esta premisa se ha creado la empresa de base tecnológica Entrenatech SL, ubicada en el Parque Tecnológico de Ciencias de la Salud de Granada. Se trata de una ‘spin-off’ promovida por la Universidad de Granada y formada por un grupo de investigadores y expertos en el ámbito de la actividad física y la salud. Este proyecto se dirige a diversos ámbitos de la sociedad para la mejora del bienestar y la calidad de vida.

Como asegura el profesor del departamento de Educación Física y Deportiva de la UGR y director gerente de Entrenatech, Ignacio Chirosa Ríos, “se habla de prevención y promoción de la salud, pero nadie lo lleva a cabo de manera activa”. Por esta razón, la empresa granadina pretende mejorar los servicios de formación y salud laboral en la empresa y personalización de la actividad física de cualquier persona.

Unidad de Prevención Laboral Activa
Para promover esta “cultura de la prevención” en el ámbito empresarial, Entrenatech ha creado la Unidad de Prevención Laboral Activa (UPLA). A través de esta Unidad, especialistas en fisioterapia, psicología, entrenamiento deportivo, entre otros, diseñan planes de actividad física orientados hacia la mejora de la salud optimizando las capacidades del trabajador dentro de la empresa. Estos programas de entrenamiento tienen una doble finalidad: por un lado, la formación física, donde el trabajador aprende de forma práctica los conceptos de higiene postural y ergonómica, a través de un conjunto de ejercicios físicos correctamente adaptados; por otro lado, la mejora del clima y ambiente laboral, dada la continua interrelación que se produce entre los trabajadores dentro de un entorno positivo de actividad.

Las actividades incluyen sesiones de pilates, fitball y stretching para mejorar el control postural y corregir desequilibrios musculares, y otras para reducir el estrés físico y mental mediante clases de taichi, musicoterapia y relajación.

Como afirma Ignacio Chirosa “la promoción de hábitos físicos y psíquicos saludables dentro de la empresa puede generar numerosos beneficios en la productividad”.

Por otra parte, y gracias a un novedoso sistema informático (diseñado por la, también empresa granadina, (Active Intelligent Solutions S.L), los usuarios podrán utilizar los nuevos avances en tecnologías de la información y comunicación para realizar la actividad física programada. Como explica Ignacio Chirosa, “este sistema facilita el proceso de personalización y seguimiento de los programas de actividad física”. Además, Entrenatech SL ofrece asistencia las 24 horas del día a través de un servicio on-line.

Referencia: Prof. Ignacio Chirosa Ríos. Dpto. de Educación Física y Deportiva. Universidad de Granada.
Tlf.: 958 244 379 / 958 750 609. Correo e. ichirosa@ugr.es


¿Un lugar para la ética en la sociedad actual?

Los problemas relacionados con el comportamiento ético de las personas y de las instituciones tienen cada día más actualidad. Primero porque la sociedad, las costumbres, los valores y las pautas de conducta, que determinan cómo vive y se comporta la gente, están cambiado con tal rapidez y profundidad que, con frecuencia, nos sentimos desconcertados y no sabemos a ciencia cierta qué hacer o cómo orientar nuestras vidas. Segundo porque, hasta hace no tantos años, la vida moral de las personas estaba regida principalmente por la religión.

Hoy todo esto se cuestiona cada vez más. Lo civil, lo laico, lo secular se impone cada día con más fuerza. Uno de los pensadores más reconocidos en este momento, J. Habermas, exige que las personas religiosas renuncien a presentar sus convicciones como tales y que las traduzcan a argumentos racionales, susceptibles de comprensión y asentimiento por los que no participan de sus creencias, pero que pueden asumir los valores que defienden.

En este contexto, el Centro Mediterráneo de la Universidad de Granada organiza el curso Ética y sociedad civil que, para intentar responder a algunas las grandes preguntas que se derivan de este estado de cosas, comenzará mañana con una primera sesión en la que el profesor de biogenética Juan Masiá, de la Universidad Sofía de Tokio (Japón) analizará los conflictos éticos y morales que plantean los avances en biotecnología.

El curso se celebrará a lo largo de once sesiones en las que los ponentes, venidos desde todos los rincones del mundo y muy conocidos por su trayectoria como intelectuales, disertarán acerca de cuestiones actuales que ponen en jaque los cimientos éticos de nuestra sociedad y la postura de la sociedad civil frente a la vulneración dichos cimientos. En concreto, se tocarán temas como la manipulación mediática de la opinión pública, la ética del neoliberalismo, los derechos sexuales y reproductivos de la mujer o la precaria situación de la ecología mundial.

En su mayoría, las sesiones tendrán lugar los jueves a las 19 h., siempre en el Colegio Mayor Cardenal Cisneros, cuyo director, Enrique Iglesias Hidalgo, coordina este curso dirigido por el profesor José María Castillo Sánchez, de la Universidad Centroamericana José Simeón Cañas (UCA) de El Salvador.

Problemas urgentes de la Bioética
El controvertido jesuita Juan Masiá Clavel es el encargado de inaugurar el curso con una conferencia acerca de los Problemas más urgentes que plantea la Bioética en la actualidad.

Este experto en biogenética y profesor de bioética de 65 años lleva un año considerablemente movido, puesto que no ha dejado de ser invitado a dar conferencias en todo el mundo desde que en enero de 2006 fuera expulsado de la dirección de la Cátedra de Bioética de la Universidad Pontificia de Comillas por la publicación del libro Tertulias de bioética. Manejar la vida, cuidar a las personas, en el que compila todos sus escritos anteriores.

Las ideas que en este libro se expresan, sus tesis a favor de la contracepción, su defensa del pluralismo dentro de la institución eclesiástica le valieron a Masiá la censura del volumen, publicado en un primer momento por la editorial Sal Terrae, de la diócesis de Santander, y en seguida retirado. Poco tiempo después, el libro fue reeditado por la editorial laica Trotta y hoy está disponible en cualquier librería.

Tras su expulsión de la Cátedra en Comillas, Masiá fue invitado por el cardenal Seiichi Shirayanagi a inaugurar un simposio sobre Bioética en la Universidad de Sofía de Tokio (Japón), donde enseñó durante décadas. Fue, asimismo, asesor de la Conferencia Episcopal nipona.

Programa:
– 15 de febrero, jueves:
Problemas más urgentes que plantea la Bioética.
Juan Masiá. Universidad de Sofía (Tokio, Japón).
– 22 de febrero, jueves:
Ética y Poder.
Frei Betto. Universidad de Sao Paulo. Ex Asesor del Presidente Brasileño Luiz Inácio Lula da Silva.
– 1 de marzo, jueves:
La manipulación de la opinión pública en los medios.
Josep Ramoneda. Periodista, filósofo y escritor.
– 8 de marzo, jueves:
Antropología filosófica-teológica de la Ciencia.
Carlos Alonso Bedate. Universidad Autónoma de Madrid.
– 15 de marzo, jueves:
Ética liberadora frente a Ética neo-liberal.
Juan José Tamayo. Universidad Carlos III. Madrid.
– 22 de marzo, jueves:
Ética feminista: Derechos sexuales y reproductivos de las mujeres.
Margarita Pintos. Colegio Alemán. Madrid.
– 12 de abril, jueves:
La ciudadanía mundial.
Lydia Feito. Universidad Rey Juan Carlos. Madrid.
– 19 de abril, jueves:
¿Ética sin Religión?
Marciano Vidal. Instituto Superior de las Ciencias Morales. Madrid.
– 9 de mayo, miércoles:
Ética de la Postmodernidad y crítica de la “razón indolente”.
Boaventura de Sousa Santos. Universidad de Coimbra. Portugal / Universidad de Wisconsin. Estados Unidos.
– 24 de mayo, jueves:
Las desigualdades en el mundo de hoy, ¿son inevitables?
Vincenç Navarro. Universidad Pompeu Fabra. Barcelona.
– Fecha por confirmar:
Desde la Ecología, un nuevo paradigma ético.
Leornardo Boff. Teólogo Ecumenista.

Referencia: Centro Mediterráneo. Universidad de Granada. Tel.: 958 24 29 22 / 958 24 62 01. Correo e. cemed@ugr.es.
Web: http://www.ugr.es/~cm/accesos/GR1.html.


El vicepresidente del Senado inaugura mañana el nuevo máster en Marketing Político de la Universidad de Granada

Mañana, a las 12 h., en el Salón de Grados de la Facultad de Ciencias Políticas y Sociología, será oficialmente inaugurado el nuevo Máster Interuniversitario en Marketing Político: Estrategias y Comunicación Política, que oferta la Universidad de Granada en colaboración con las Universidades de Santiago de Compostela y Autónoma de Barcelona.

La sesión contará con la presencia de Isidro Molas Batllori, actual vicepresidente del Senado y catedrático de Derecho Constitucional de la Universitat Autónoma de Barcelona, quien pronunciará una conferencia en la que analizará los diferentes escenarios políticos y electorales que se dan en este momento en nuestro país.

El Máster consta de dos expertos que se pueden cursar también de forma independiente: uno de ellos se centrará en la Comunicación Política, mientras que el segundo profundizará en las distintas Estrategias Electorales. Con esta doble especialización, el Máster está destinado al análisis teórico y práctico de las campañas electorales y las elecciones con el objetivo de ofrecer una formación específica en marketing y comunicación política, un área de conocimiento muy explotada en países anglosajones, pero que en España adolecía de una laguna académica que estos estudios vienen a cubrir, tanto en su vertiente teórica como en su aspecto más práctico.

CONVOCATORIA
Fecha:
15 de febrero de 2007.
Lugar: Facultad de Ciencias Políticas y Sociología, Salón de Grados.
Hora: 12 h.

Referencia: Prof. Óscar García Luengo. Dpto. Ciencia Política y de la Administración de la Universidad de Granada. Tel.: 958 24 83 74 / 958 24 41 98. Correo e. ogluengo@ugr.es.


El profesor de la UGR Miguel Angel Recuerda Girela publica un libro sobre “Seguridad alimentaria y nuevos alimentos”

Con el título “Seguridad Alimentaria y Nuevos Alimentos”, el profesor de Derecho Administrativo de la Universidad de Granada, Miguel Ángel Recuerda Girela, ha publicado un libro en la editorial Thomson-Aranzadi, que viene a coincidir con la actualidad de las noticias sobre reaparición de nuevos casos de gripe aviar, con el debate de las campañas publicitarias de algunas compañías de fast food, y con la polémica sobre la nueva legislación que prepara el Ministerio de Sanidad y Consumo para prevenir el consumo de alcohol.

Elaborado en las universidades de Granada, Yale y Toronto, el libro del profesor Recuerda Girela, ofrece un análisis exhaustivo del Derecho europeo de la seguridad alimentaria, y del régimen jurídico-administrativo de los nuevos alimentos. Igualmente, analiza de forma detallada y crítica el proceso de reforma al que se ha enfrentado recientemente el Derecho alimentario europeo para dar respuesta a las nuevas necesidades sociales y a las innovaciones tecnológicas.

Resultado de este proceso de reforma son los nuevos conceptos del Derecho alimentario, procedimientos, principios, objetivos, instrumentos y responsabilidades de alcance general y de obligado y directo cumplimiento en todos los Estados miembros.

En el libro “Seguridad alimentaria y Nuevos alimentos” se presta, asimismo, especial atención a la trazabilidad como mecanismo de seguridad alimentaria, al análisis del riesgo, a la percepción del riesgo, a las agencias alimentarias, y a la aplicación del principio de precaución tanto en el ámbito comunitario como en el Derecho administrativo español. Afronta además el estudio del régimen jurídico especial de diversas categorías de alimentos nuevos, principalmente fruto de la innovación tecnológica, como los alimentos funcionales, los complementos alimenticios, los enriquecidos, los modificados genéticamente, los exóticos, y los denominados nuevos alimentos o novel foods. Y analiza el papel de las Administraciones Públicas ante los nuevos retos sociales-alimentarios.

Es, en definitiva, un libro de plena actualidad y de gran interés para las Administraciones Públicas con competencias en materia de sanidad, así como para los profesionales del Derecho alimentario y para la industria alimentaria.

Segutridad Alimentaria y Nuevos Alimentos

Referencia: Prof. Miguel Ángel Recuerda Girela. Departamento de Derecho Administrativo. Universidad de Granada. Tfns: 958 243 435 y 687 975 676. Correo electrónico: recuerda@ugr.es


El profesor de la UGR Miguel Angel Recuerda Girela publica un libro sobre “Seguridad alimentaria y nuevos alimentos”

Con el título “Seguridad Alimentaria y Nuevos Alimentos”, el profesor de Derecho Administrativo de la Universidad de Granada, Miguel Ángel Recuerda Girela, ha publicado un libro en la editorial Thomson-Aranzadi, que viene a coincidir con la actualidad de las noticias sobre reaparición de nuevos casos de gripe aviar, con el debate de las campañas publicitarias de algunas compañías de fast food, y con la polémica sobre la nueva legislación que prepara el Ministerio de Sanidad y Consumo para prevenir el consumo de alcohol.

Elaborado en las universidades de Granada, Yale y Toronto, el libro del profesor Recuerda Girela, ofrece un análisis exhaustivo del Derecho europeo de la seguridad alimentaria, y del régimen jurídico-administrativo de los nuevos alimentos. Igualmente, analiza de forma detallada y crítica el proceso de reforma al que se ha enfrentado recientemente el Derecho alimentario europeo para dar respuesta a las nuevas necesidades sociales y a las innovaciones tecnológicas.

Resultado de este proceso de reforma son los nuevos conceptos del Derecho alimentario, procedimientos, principios, objetivos, instrumentos y responsabilidades de alcance general y de obligado y directo cumplimiento en todos los Estados miembros.

En el libro “Seguridad alimentaria y Nuevos alimentos” se presta, asimismo, especial atención a la trazabilidad como mecanismo de seguridad alimentaria, al análisis del riesgo, a la percepción del riesgo, a las agencias alimentarias, y a la aplicación del principio de precaución tanto en el ámbito comunitario como en el Derecho administrativo español. Afronta además el estudio del régimen jurídico especial de diversas categorías de alimentos nuevos, principalmente fruto de la innovación tecnológica, como los alimentos funcionales, los complementos alimenticios, los enriquecidos, los modificados genéticamente, los exóticos, y los denominados nuevos alimentos o novel foods. Y analiza el papel de las Administraciones Públicas ante los nuevos retos sociales-alimentarios.

Es, en definitiva, un libro de plena actualidad y de gran interés para las Administraciones Públicas con competencias en materia de sanidad, así como para los profesionales del Derecho alimentario y para la industria alimentaria.

Segutridad Alimentaria y Nuevos Alimentos

Referencia: Prof. Miguel Ángel Recuerda Girela. Departamento de Derecho Administrativo. Universidad de Granada. Tfns: 958 243 435 y 687 975 676. Correo electrónico: recuerda@ugr.es


‘Yihad’.com

GRANADA
Yihad.com
Ya no es necesario pasar por los campamentos de Afganistán: los terroristas se forman en los pisos, donde pasan años viendo vídeos que bajan de Internet
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EN noviembre de 2001, la Policía detuvo en el barrio de Cartuja a Zaher Asade, un ciudadano sirio que se había afincado en Granada dos años antes y que se ganaba la vida como carpintero en una empresa de decoración y reformas en domicilios. El carpintero del sur, que aparentemente sólo manejaba martillos y remaches, ha sido condenado por la Audiencia Nacional. Mohamed Zaher había sido entrenado en los campos terroristas de Afganistán y, en Granada, camuflado de carpintero, era uno de los enlaces de la red madrileña de muyahidines que trabajaban al servicio de Bin Laden.

Nada hacía entrever tampoco que Mustafá Setmariam, un vendedor ambulante, fuese una de las puntas de la cúpula de Al Qaeda. O que Hassan Al Hussein, un artesano que residía en Alfacar, era un muyahidin y tenía en su casa instrucciones para fabricar bombas. Bajo la piel serena se escondían islamistas radicales.

Nadie podía suponerlo. «No hay perfiles concretos de terroristas. Se han cruzado datos y no sale nada claro», comenta Javier Jordán, profesor de la Universidad de Granada. «Pero sí hay elementos comunes en el caso de los europeos conversos que se han radicalizado».

¿Cómo nace un talibán, un yihadista, un loco de Dios? ¿Qué sucede para que un chico normal decida morir matando? «El compromiso es muy progresivo, no se convierten en terroristas de un día para otro», explica Jordán.

El contacto

El líder es, en este sentido, una especie de ojeador, siempre a la busca de nuevos talentos a los que adoctrinar. El contacto es el paso inicial en el demencial camino hacia el martirio. «Primero, la amistad, luego, la ideología», describe las pautas Jordán, experto del Departamento de Ciencia Política de la Universidad de Granada.

La relación se establece de manera inofensiva en lugares de encuentro, como, por ejemplo, mezquitas, locutorios, gimnasios o comercios, o a través de amistades comunes. De esta forma, los conspiradores empiezan a tejer la telaraña.

Poco a poco los lazos se van estrechando. Ha llegado el momento de avanzar. Alguien organiza encuentros en su piso y allí se celebran reuniones que pueden durar toda la tarde, guiadas por un líder. Se dedican a ver vídeos, material clandestino que han sacado de Internet. Discuten y comparten creencias alrededor de unas tazas de té y lejos de miradas y oídos indiscretos. Ese proceso puede prolongarse durante años… hasta que un mal día, los aspirantes a yihadistas deciden pasar a la acción.

La circulación en la Red de material reservado para el adiestramiento es algo habitual. La sentencia de la Audiencia Nacional sobre la célula española de Al Qaeda consideraba probado que «Mohamed Zaher -detenido en Granada en noviembre de 2001- entregaba a Taysir Alony -periodista también residente en Granada- cintas de vídeo que plasmaban imágenes relativas a la actuación de los muyahidines en Bosnia. Dichas cintas eran recibidas por Zaher Asade de manos de Barakat Yarkas -alias Abu Dahdah-», considerado por la Policía como el jefe de Al Qaeda en España y que viajaba a Granada con cierta asiduidad.

Células independientes

Después de años consumiendo material incendiario, el grupo de amigos -seguramente reducido, porque los que llegan hasta el final son los menos- se ha convertido en una célula terrorista dispuesta a atentar. No es necesario que estén conectados con la fantasmal cúpula de la organización fundada por Bin Laden, ni que reciban instrucciones: «Pueden actuar de manera independiente. Por ejemplo, el atentado de Londrés se financió con un préstamo que pidió el líder de la cédula», explica Javier Jordán. Fue a un banco y obtuvo un crédito que le permitió cubrir los gastos de un asesinato múltiple. Increíble, pero letal.

La fuerza de Internet

Mustafá Setmariam, el ciudadano hispano-sirio que se instaló en Granada a principios de los noventa, fue el primero que vio en Internet una herramienta clave para favorecer la expansión de Al Qaeda. Hoy, la Red, además de otras muchas cosas, se ha convertido en una fábrica de terroristas.

La ideología extremista se encuentra en lo que se denomina la web oculta. A sus páginas no se puede acceder a través de cualquier buscador: «Las direcciones son confidenciales y se las pasan entre ellos. Son foros de debate, listas de distribución de correos electrónicos », relata Jordán.

La maquinaria islamista en Internet se puso en marcha en Irak. La Red servía para aterrorizar al mundo con las imágenes de los degollamientos de extranjeros secuestrados y para encumbrar a misteriosos francotiradores con varios cadáveres de marines en su currículo. Y también para enseñar. Con tantos contenidos a disposición de un clic, los jóvenes radicales ya no necesitan salir fuera para adoctrinarse. Antes era imprescindible pasar por los campamentos de Afganistán. «Son más, pero están menos preparados».

Todas las fuentes consultadas para la elaboración de estos reportajes han coincidido en señalar que los grupos más radicales asentados en España se encuentran en Cataluña, cobijados en el extrarradio de las grandes ciudades e incluso en zonas rurales.

El 11-S primero, y el 11 de marzo, después, marcaron la evolución del terrorismo. Las Fuerzas de Seguridad del Estado encaran la situación de otra manera. ¿Cómo está el terrorismo islamista pasados tres años desde la horrorosa mañana del 11-M de 2004 en Madrid?: «Ahora está más descentralizado. Son pequeños grupos. Sin embargo, han sufrido mucho desde el 11-S. Han sufrido las organizaciones como Al Qaeda, pero se ha reforzado la ideología y el aparato propagandístico», concluye el profesor Jordán.

carlosmoran@ideal.es
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