Les scientifiques de l’Université de Grenade ont réalisé une radiographie des «points noirs» pour éviter d’écraser les reptiles et les amphibies protégés

Des chercheurs du département de Biologie Animale de l’Université de Grenade, en collaboration avec le Conseil d’Environnement du gouvernement autonome d’Andalousie, ont proposé la première carte des «points noirs» pour éviter d’écraser les amphibies et les reptiles en Andalousie. Cette particulière «radiographie» a déterminé que dans cette communauté autonome, il y a au moins un total de 29 points critiques où il serait nécessaire de réagir pour éviter la mort de ces animaux, dont plusieurs sont des espèces protégées.

Ce travail, élaboré par les professeurs Juan Manuel Pleguezuelos Gómez et Jesús Caro (Universidad de Granada) et Ricardo Reques (de l’entreprise Ornitour), a mis en évidence que le crapaud commun et la couleuvre de Montpellier sont les plus souvent écrasés, avec plus de 33% de collisions routières comptabilisées depuis 2004.

Les auteurs de cette étude expliquent que, parmi toutes les constructions réalisées par l’homme, «les routes sont les barrières qui limitent le plus le mouvement des amphibies et des reptiles». Durant la période analysée (un total de 474 données), 57,39% des collisions correspondent aux reptiles, alors que 202 (42,61%) correspondent aux amphibies. Parmi les 24 espèces qui ont pu être identifiées, il y a 12 amphibies (75% des espèces d’amphibies dans la région) et 12 reptiles (42,8% des espèces de reptiles dans la région).

Les amphibies et les ophidiens sont les plus touchés
Pour l’élaboration de ce travail, tous les exemplaires d’amphibies et de reptiles écrasés sur les routes ont été localisés via GPS, et des herpétologistes locaux ont été consultés afin d’établir l’existence d’autres points noirs de collision d’amphibies et de reptiles.

Certaines routes dont le volume de circulation est modéré, peuvent entraîner à 100% la mort des amphibies qui essaient de traverser, ce qui mènerait à l’extinction locale d’une population en quelques années. Les amphibies ont plus de chance d’être écrasés au crépuscule durant les jours pluvieux, les mois d’automne et de printemps, et sur les tronçons des routes qui sont proches aux zones propices pour la reproduction (lagunes, mares et ruisseaux temporaires, points d’eau, etc.)

Les ophidiens (serpents) sont les reptiles qui souffrent le plus de collisions, ils représentent 92,25% du total des sinistres analysés par les chercheurs de l’UGR. La plus grande incidence des collisions se produit durant les mois de printemps, les reptiles durant cette période réalisent des déplacements motivés par la reproduction (mai – juin), elle touche surtout les mâles qui se déplacent à la recherche des femelles. Ces dernières sont fréquemment écrasées vers la fin du printemps et au début de l’été, quand elles se déplacent à la recherche d’un lieu adéquat pour la ponte. Les collisions routières augmentent aussi vers la fin de l’été et au début de l’automne, parce que les nouveau-nés se dispersent ou parce que les adultes manifestent une grande activité trophique après l’hibernation estivale.

La longueur des 29 points noirs définis en Andalousie varie considérablement. «Certains sont peu longs et sont définis par une ou plusieurs espèces d’amphibies ou de reptiles – expliquent les chercheurs -. Dans les points les plus étendus, le risque de collision pour les amphibies et les reptiles n’existent que dans certaines zones (par exemple, proche à des points d’eau, galerie de rivière, etc.) là où le danger est plus élevé».

Prendre des mesures
Cependant, les scientifiques soulignent qu’il faut prendre des mesures afin de réduire le nombre de collisions routières dans ces lieux. Ils proposent différentes initiatives, parmi elles; la construction des passages élevés ou souterraines; l’instauration d’habitats alternatifs de reproduction (par exemple, mares, abreuvoir pour les amphibies) afin de diminuer l’immigration d’exemplaires qui traversent les routes pour des lieux plus appropriés afin de se reproduire. Et de limiter aussi la circulation routière durant les périodes de grand déplacement des amphibies et de reptiles, une mesure qui serait appliquée seulement dans des zones concrètes où le taux de collision routière est le plus élevé.

Pour les reptiles, les mesures les plus adéquats à adopter seraient les signaux d’avertissement et l’installation des dos d’âne sur les tronçons les plus dangereux. Et d’agir aussi sur la végétation et les refuges attrayants pour l’herpétofaune, étant donné que la végétation adjacente aux routes attire aussi bien les proies potentielles (micromammifères, oiseaux, etc.) que les prédateurs (couleuvre de Montpellier, couleuvre fer-à-cheval, entre autres).
De plus, les auteurs croient nécessaire d’améliorer les Etudes d’Impacts Environnementaux (EIE) sur les routes nouvellement construites, pour évaluer de manière adéquate l’impact que la route causera sur les populations d’amphibies et de reptiles.

Coordonnées:
Pr. Juan Manuel Pleguezuelos Gómez. Département de Biologie Animale de l’Université de Grenade.
Tél.: (+34) 958 243082
Courriel: juanple@ugr.es


La UGR publica una obra de Ladero Quesada sobre “países y hombres de la Edad Media”

Miguel Angel Ladero Quesada es uno de los más destacados historiadores españoles en activo. Catedrático, Premio Nacional de Historia y miembro de la Real Academia de la Historia; ha publicado multitud de títulos, reseñas, prólogos de libros, artículos, etc. Es especialista medievalista, aportando datos fundamentales para Granada en particular y para Andalucía en general, de hecho, está considerado una autoridad en el estudio de la Guerra de Granada y sus investigaciones han permitido grandes avances.

Con el título “Países y hombres de la Edad Media”, el libro es una recopilación de congresos, conferencias y otras investigaciones en el que los primeros capítulos están dedicados a la reflexión del saber histórico, para continuar con casos concretos que ayudan a entender la realidad de la sociedad castellana entorno al siglo XVI. No está pensado para especialistas y el objetivo último de la publicación es “combatir la oscuridad intelectual que se produce al vivir de tópicos”, como señala su autor.

La intención del historiador es la de resaltar el papel de las individualidades en la historia, haciendo hincapié en que no es tanto quién es el protagonista de la historia sino cómo se puede llegar a protagonizarla, teniendo siempre en cuenta los elementos ajenos a uno mismo. De esta forma, Ladero Quesada se considera en el deber de “proporcionar conciencia histórica” a los demás y mostrar qué vínculos hay entre aquel pasado y nuestro presente a través de una breve síntesis sobre el contenido histórico de los tiempos medievales.

Los hombres como protagonistas
Se presenta a Trajano como modelo de gobernante de la Edad Media, de la misma forma que lo será después “El Príncipe” de Maquiavelo. Se relatan los viajes del polaco Nicolás de Popielovo, que recorrió varios países europeos incluyendo España y muestra sus impresiones sobre sus tierras, sus gentes, carácter y costumbres, siempre con una actitud hostil ante los musulmanes y judíos. Además fue recibido por algunos reyes, de ahí la importancia de sus descripciones.

Otro protagonista es Hernando de Vera, hijo del conquistador de las Canarias, que fue capaz de leer unas coplas a modo de crítica contra los Reyes Católicos causadas por las acusaciones que se habían vertido contra su padre. También es destacable el sistema de persuasión empleado contra los judíos para que se convirtieran tras su expulsión de España: la familia del Rabino Mayor de Castilla es bautizada bajo un apellido castellano y en pocos días pasan a ocupar cargos relevantes de la administración castellana.

Hijo de los Magos de Oriente
Pero es la fabulosa leyenda del Preste Juan de Las Indias la que más páginas ocupa debido a su extraordinario interés y a la gran difusión que tuvo, mencionándose este personaje incluso en los relatos de Marco Polo. Gozó de tal popularidad que se encuentra documentado su propio escudo de armas junto con los de los demás reyes y príncipes de la época, sin que nunca hubiera existido.

Según se cuenta, se trataba de un sacerdote y rey, descendiente de los mismísimos Reyes Magos de Oriente y del Apóstol Santo Tomás, que fue capaz de cristianizar y gobernar las tierras de Las Indias con todas sus gentes y fantásticas maravillas que allí se encontraban. Su fama se extendió de tal forma que muchas expediciones se organizaron para encontrar este mitológico reino cristiano. Lo más parecido a la realidad es que se tratara de un ayudante de Enrique el Navegante encargado de eliminar el dominio islámico del Norte de África y Próximo Oriente. De ahí la importancia de conocer estos hechos que durante mucho tiempo conformaron la conciencia colectiva de la Europa medieval.

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Referencia
Miguel Ángel Ladero Quesada, Catedrático de Historia Medieval. Universidad Complutense de Madrid.
Tlf: 913945925.
Editorial Universidad de Granada.
Tlf: 958 243930 / 242827.
Correo e.: yortiz@ugr.es


Granada sede de la Semana Intercultural Feminismos sin fronteras

La Fundación Euroárabe va a ser el escenario donde se reúnan desde el próximo lunes 8 de octubre y hasta el jueves 11, expertos en los estudios de género de todo el mundo en la Semana Intercultural Feminismos sin fronteras organizada por el Instituto de Estudios de la Mujer de la Universidad de Granada. El objetivo de estas jornadas es dotar de un conocimiento mejor de la construcción cultural de género para establecer vías de comunicación e intercambio y construir lazos de cooperación solidarios, docentes e investigadores que crucen las fronteras culturales

En el acto de inauguración, el lunes 8 de octubre a las 10.00 se contará con la intervención de Manuel Díaz Carrillo, vicerrector de Relaciones Institucionales e Internacionales de la UGR; Pilar Ballarín Domingo, directora del Instituto de Estudios de la Mujer; Margarita Birriel directora de la Semana Intercultural; y Lola Sánchez, coordinadora de la misma.

Durante la celebración de la Semana, el jueves, día 11 de octubre, se firmará e acuerdo para la constitución del Consorcio Internacional “Estudios de las Mujeres: Cruzando culturas”. Los miembros son: Women’s Studies Center. Florida International University. Miami. EEUU; Escuela de Estudios de Género. Universidad Nacional de Colombia. Colombia;Center For Studies and Research On Women (C.S.A.R.O.W) Université Sidi Mohamed Ben Abdellah. Fez. Marruecos.; Veerangana Jhalkari Bai Center for Women’s Studies & Development. Universidad Bundelkhand. Jhansi (U.P.) India; Instituto de Estudios de la Mujer (I.E.M.) Universidad de Granada. España; y Women’s and Gender Studies Programme. Universidad de Western Cape. Sudáfrica.

La entrada a la Semana Intercultural, es totalmente gratuita. Aquellas personas que deseen certificación de asistencia deberán inscribirse el mismo día 8 de Octubre en la Fundación Euroárabe.

Convocatoria:
Día: LUNES 8 DE OCTUBRE.
Hora: 10 horas.
Lugar: Fundación Euroárabe, C/ San Jerónimo, 27

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PROGRAMA

LUNES 8 DE OCTUBRE
0.00. Acto de apertura: Intervienen: Manuel Díaz Carrillo, vicerrector de Relaciones Institucionales e Internacionales de la UGR; Pilar Ballarín Domingo, directora del Instituto de Estudios de la Mujer; Margarita Birriel directora de la Semana Intercultural; y Lola Sánchez, coordinadora de la misma.

10.30-13.30 Sesión de mañana / Modera Lola Sánchez.

10.30 El desafío del siglo XXI: Feminismo sin fronteras. Prof. Chandra Talpade Mohanty. Decana de la facultad de Humanidades de la Universidad de Siracusa. Nueva York. EEUU.

11.45-12.15 Café

12.15 Latinas, Chicanas, Hispanas. Identidad y movimiento de mujeres de los Estados Unidos. Latinas, Chicanas, Hispanics. Identity y women’s Mouvement in the United States. Prof. Aurora Morcillo. Women Studies Center. Florida International University. EEUU.

The Frontera Within. La Historia de unas, la Historia de otras. Prof. Margarita Birriel Salcedo. Instituto de Estudios de la Mujer.
Universidad de Granada.

15.00-17.00. Sesión de tarde. Modera Aurora Morcillo. El papel de la religión en el proceso de democratización latinoamericana… Ana María Bidegain. Grupo de PETRA. Red Género, democracia y religión de países árabes y latinoamericanos.

Más allá del harem: contextualizando el feminismo Marroquí. Prof. Fatima Sidiqi. ISIS Center For Women and Development. Marruecos.

Mujeres, Islam e Identidad. Prof. Souad Slaoui. Vicepresidenta del Centro de estudios y de investigación sobre las mujeres. Universidad Sidi Mohamed Ben Abdellah. Fez. Marruecos.

MARTES 9 DE OCTUBRE /

9.30-13.30. Sesión de mañana

Primera parte. Moderadora / Beverly Guy-Sheftall

9.30 Turismo, desarrollo y género Prof. Aparna Raj. Universidad Bundelkhand, Jhansi (U.P.) India

10.30 Tolerancia en las relaciones sexuales, género y cambio social: de los individuos y de los países Prof. Pilar Rodríguez, Universidad de Almería

12.15 Segunda parte. Moderadora / Ana María Bidegain Género y problemática agroalimentaria: trabajadoras de la agroindustria Prof. Patricia Jaramillo, Universidad Nacional de Colombia

15.00-17.30. Sesión de tarde / Moderadora / Margarita Birriel Salcedo

15.00 Políticas institucionales y experiencias de trabajo en cooperación docente Prof. Adelina Sánchez Espinosa. Coordinadora del Programa GEMMA: Erasmus Mundus. Instituto de Estudios de la Mujer. Universidad de Granada. España Prof. Mª Eugenia Fernández Fraile. Programa de Doctorado de Estudios de las Mujeres/AECI. Instituto de Estudios de la Mujer. Universidad de Granada. España

16.30 Las mujeres gitanas en Granada Dolores Sánchez. ROMI. Asociación de mujeres gitanas de Granada. España

MIÉRCOLES 10 DE OCTUBRE /
9.30-13.30 Sesión de mañana / Reunión del Consorcio Internacional Mujeres cruzando culturas.

MIEMBROS
Women’s Studies Center. Florida International University. Miami. EEUU.
Escuela de Estudios de Género. Universidad Nacional de Colombia. Colombia.
Center For Studies and Research On Women (C.S.A.R.O.W) Université Sidi Mohamed Ben Abdellah. Fez. Marruecos.
Veerangana Jhalkari Bai Center for Women’s Studies & Development. Universidad Bundelkhand. Jhansi (U.P.) India.
Instituto de Estudios de la Mujer (I.E.M.) Universidad de Granada. España.
Women’s and Gender Studies Programme. Universidad de Western Cape.
Sudáfrica.

15-17.30 Sesión de tarde / Mesa Redonda / Panel: Mujeres en la Academia / Moderadora / Patricia Jaramillo Prof. Pilar Ballarín. Directora del Instituto de Estudios de la Mujer. Universidad de Granada. Prof. Jan Persens. Director de Relaciones Internacionales de la Universidad de Western Cape. Sudáfrica. Prof. Suzanna Rose. Directora del Centro de Estudios de las Mujeres de FIU (EEUU). Prof. Souad Slaoui. Centro de Estudios y de Investigaciones sobre las Mujeres. Universidad Sidi Mohammed Ben Abdellah. Fez, Marruecos.

17.00 Construyendo políticas de solidaridad desde los Estudios de las Mujeres. Lola Sánchez. Instituto de Estudios de la Mujer. Universidad de Granada. España.

JUEVES 11 DE OCTUBRE /
11.00 Firma del acuerdo para la constitución del Consorcio Internacional “Estudios de las Mujeres: Cruzando culturas”.

13.00 Aperitivo en el Hospital Real. Rectorado de la Universidad de Granada.

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Referencia
Dirección y coordinación: Margarita Birriel, directora de la Semana Intercultural.
Instituto de Estudios de la Mujer. Universidad de Granada.
Tel. 958 24 83 48.
Fundación Euroárabe
Tel. 958 20 65 08.


El Centro de Instrumentación Científica de la UGR se acerca al mundo de la industria alimentaria

El Centro de Instrumentación Científica (CIC), adscrito a la Universidad de Granada, proporciona apoyo instrumental a la investigación científica y técnica, y asesoramiento científico sobre técnicas experimentales. Desde su fundación, en junio del 1971, participa en cursos de especialización y en la enseñanza experimental de estudios universitarios; prestando servicios a otras instituciones públicas o empresas de carácter público o privado.

El CIC, además de colaborar con la enseñanza superior y en cursos de especialización de postgrado, apoya la actividad investigadora de toda la comunidad universitaria mediante la gestión de los equipos de manejo complejo y grandes equipos de alto costo que suelen requerir medios sofisticados de instalación. Para ello cuenta con un capital humano integrado por PAS (técnico y de administración) y Asesores Científicos de la más alta especialización y con recursos técnicos de primera línea lo que permite ofrecer apoyo a la investigación al más alto nivel.

Siguiendo la política de mejora de la calidad iniciada en cursos anteriores, se está concluyendo el proceso para la implantación en el CIC de un “Sistema de Gestión de la Calidad”, con los requerimientos de la norma UNE-EN-ISO-9001:2000. Además se continúa con el fomento del autoservicio de los investigadores, sistema que se ha mostrado útil para agilizar y optimizar el funcionamiento de las distintas Unidades.

Sus actividades principales son el estudio de sustancias, la obtención de resultados analíticos, la producción de material biológico para experimentación, la interpretación de resultados y el asesoramiento científico-técnico, servicios fundamentalmente relacionados con la Biología Fundamental, la Determinación de Estructuras, la Microscopia, la Producción y Experimentación Animal, la Datación Radiométrica y Geología Isotópica, entre otras ramas.

El Centro ofrece una variada oferta de servicios muy vinculado a las industrias agroalimentarias, metálicas, químicas, geominera, de obras públicas, rocas ornamentales y material de construcción, farmacéutica, de análisis y tratamiento de aguas y de restauración de obras de arte y museos.

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Referencia
Eduardo Barea Cuesta, director del Centro de Instrumentación Científica.
Tlf: 958 244222.
Correo e. ebarea@ugr.es


La Junta impulsa cuatro empresas innovadoras gestadas en la UGR

– La Junta impulsa cuatro empresas innovadoras gestadas en la UGR

Junto a la investigación y a la docencia, la Universidad pretende impulsar una tercera función, la de comprometerse con la creación de riqueza y de bienestar en la sociedad en la que se integra. Así lo señalaron ayer tanto el rector de la UGR, David Aguilar, como el consejero de Innovación, Ciencia y Empresa, Francisco Vallejo, que presentaron las cuatro nuevas empresas granadinas que la Junta apoya en el marco del Programa Campus.

Es éste un proyecto que pretende poner en valor los resultados de la investigación que se realiza en las universidades andaluzas, a través de incentivos para su salida al mundo empresarial. Es decir, más allá de difundir el conocimiento generado con la investigación, se trata de potenciar su aplicación práctica. Con las cuatro nuevas empresas presentadas ayer, todas alojadas en el Parque Tecnológico de Ciencias de la Salud, ya son once las sociedades granadinas que se han sumado al programa, de un total de 67 en toda Andalucía.

Por otro lado, el consejero aprovechó para anunciar la aprobación 79 nuevos proyectos de investigación de excelencia en Granada, que mantiene su posición de liderazgo en este campo. Los proyecctos recibirán incentivos por valor de 21 millones de euros, lo que supone el 23 por ciento del dinero concedido en Andalucía para la puesta en marcha de un total de 347 proyectos aprobados. Estas cifras se traducen, además, en la contratación de 430 investigadores, más de cien de ellos, en Granada.

Los proyectos persiguen avances científicos en muy diversos ámbitos, desde el estudio de la sostenibilidad del sistema de pensiones hasta cómo reducir el riesgo en los trasplantes, cómo luchar contra la discriminación o qué uso darle a los desechos producidos.

Queremos que la carrera investigadora vaya adquiriendo más peso y que los mejores cerebros tengan un papel importante en el desarrollo de nuestra tierra, apuntó Vallejo, que resaltó asimismo el apoyo a los jóvenes investigadores, a los que se reserva un mínimo del 10 por ciento de los proyectos aprobados.

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Una facultad despide a un profesor al no sentir «la llamada de Cristo»

– Una facultad despide a un profesor al no sentir la llamada de Cristo

Josué González ha sido despedido por no sentir la llamada de Cristo. La Escuela de Magisterio La Inmaculada, adscrita a la Universidad de Granada, ha prescindido de este profesor de Educación Física por no evangelizar a sus alumnos, pese a alabar su trayectoria. González ha denunciado al centro ante el juzgado de lo social.

Me quedé de piedra. Me habían elegido jefe de departamento en sustitución de una compañera. La administradora, Guadalupe Martínez, me explicó que no tenía quejas profesionales ni como persona, pero creía que mi compromiso cristiano no era el adecuado, critica atónito Josué González, de 27 años. El profesor ha denunciado a la Archidiócesis de Granada por despido nulo. El despido debe ser calificado como nulo por discriminatorio, al violar el Artículo 14 de la Constitución, pese a haberle manifestado su identificación con los valores evangélicos, reza la denuncia.

El centro universitario ya fue condenado por dos despidos improcedentes en 2004, cuando el arzobispo de Granada, Francisco Javier Martínez, expulsó de la dirección del centro a la congregación Ave María, de carácter tolerante y muy conocida en la ciudad

. Desde entonces, otros cinco profesores han sido despedidos o prejubilados en el centro de manera irregular, según denuncian varios profesores. El miedo y la falta de libertad de cátedra son patentes. Estamos atemorizados, denuncia un docente. La radicalización aumenta y desciende la tolerancia. Atacan a nuestra dignidad y los sustitutos son más fieles, pero siempre de perfil más bajo, apostilla otro profesor.

En 2004 el arzobispo Martínez sustituyó en Granada al actual vicepresidente de la Conferencia Episcopal, Antonio Cañizares. Tras cambiar a los miembros del patronato del centro, imprimió su doctrina más conservadora y la administración pretendió sustituir el convenio laboral de los profesores, pero éstos se opusieron. Al arzobispo Martínez le acompaña la polémica y el próximo mes afrontará un juicio oral para responder a las acusaciones de coacciones, acoso moral, lesiones, injurias y calumnias de las que le acusa un sacerdote.

Mientras que la Archidiócesis declinó ayer manifestarse acerca de las graves acusaciones, el centro esgrimió que no pudo localizar a su administradora, al encontrarse ésta fuera de Granada.

Un portavoz de la Universidad de Granada explicó que de momento la institución no tomará cartas en el asunto ya que ejerce una supervisión académica y no laboral sobre los profesores del centro. La Inmaculada es un centro que cuenta con 35 profesores y 950 alumnos. Sólo entramos a velar por la calidad docente y a expedir el título, matizó.
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Un cantaor escarba en el pasado

– Un cantaor escarba en el pasado
Lorente se adentra en la historia humana del flamenco granadino.

El cantaor granadino Manuel Lorente ha publicado en la Editorial de la Universidad de Granada uno de los grandes trabajos de su vida. Durante varios años, Lorente ha indagado en la etnografía y la antropología del flamenco en Granada durante los siglos XIX y XX hasta conformar una obra en la que se adentra en el flamenco como sistema de educación y reflexiona sobre la coincidencia entre la génesis y la emergencia cultural del flamenco con las grandes transformaciones sociales de la historia contemporánea andaluza.

El libro Etnografía antropológica del flamenco en Granada es el resultado de una amplia labor de investigación y de la dilatada experiencia en el mundo artístico de Lorente. El contenido no sólo hace referencia a la experiencia vivida, sino que cuenta con historias de flamencos granadinos, con una etnohistoria del flamenco local y sus modalidades de realización, además de un capítulo dedicado a reflexionar sobre la dimensión ritual del flamenco, explica el cantaor.

A lo largo de sus 300 páginas, se recogen importantes acontecimientos históricos para el flamenco de la ciudad, como el concurso de cante jondo de 1922, así como otros que han marcado su evolución, como las verbenas castizas, la crisis teatral, los festivales de música y danza, el turismo, las peñas o las zambras sacromontanas.

Han existido diferentes etapas en el flamenco granadino más o menos discutibles. Sin embargo, hay tres hechos fundamentales en su historia: el concurso de 1922, las zambras y el festival del Paseo de los Tristes, explica el investigador, que rememora en el libro el concurso organizado por Lorca y Falla al que acudieron cantaores de toda Andalucía y que se convirtió en el prólogo de lo que después pasaría a ser el Festival de Música y Danza.

Tras analizar en profundidad su historia, Lorente opina que el flamenco en Granada se encuentra en una situación deprimente, ya que sigue estando estigmatizado en relación a otras provincias, la ciudad está en el furgón de cola.

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La Junta triplica en tres años el presupuesto para investigación

– La Junta triplica en tres años el presupuesto para investigación

En 2005, la Consejerí­a de Innovación y Ciencia de la Junta de Andalucí­a imprimió una novedad de gran calibre en su polí­tica de financiación cientí­fica al crear, por vez primera, una convocatoria de financiación para proyectos de investigación de excelencia con una dotación total de 30 millones de euros. El objetivo era financiar sólo los proyectos punteros, tras ser evaluados con exhaustividad por especialistas externos, teniendo en cuenta la calidad de los investigadores implicados así­ como la proyección de los temas de estudio. Un sistema, en definitiva, que funciona con éxito en la mayorí­a de paí­ses europeos y que también ha adoptado desde hace años el Ministerio de Educación y Ciencia para adjudicar sus ayudas.

El salto con respecto al modelo vigente fue sustancial, ya que hasta entonces, el mecanismo principal del Gobierno autónomo para apoyar económicamente el trabajo cientí­fico eran las llamadas ayudas a grupos – dotadas con 9,5 millones de euros en 2005-, que se repartí­an con una cierta discriminación en función de su calidad cientí­fica, pero que prácticamente garantizaba unos fondos mí­nimos para todos, independientemente de sus resultados.

En cualquier caso, el nuevo modelo no suprimió al anterior, sino que se sumó a él, de tal modo que desde entonces existen dos convocatorias de ayudas cientí­ficas anuales sostenidas por la Junta: las ayudas a grupos y los proyectos de excelencia. Y las dos son compatibles con el resto de ayudas para la investigación de calidad arbitradas tanto por el Gobierno central como por las instituciones de la Unión Europea.

La primera convocatoria para la investigación de excelencia de 2005 permitió financiar un total de 224 proyectos, apoyados por 248 cientí­ficos de universidades andaluzas y organismos públicos de investigación (SAS, CSIC e Ifapa). Dado el éxito de la iniciativa, Innovación optó por hacer crecer los fondos, desde los 30,3 millones de euros de 2005 hasta los 90,3 con los que acaba de resolver la convocatoria de 2007.

Los 347 proyectos que han resultado ganadores de la última edición de estas ayudas han sido seleccionados de entre los 702 que concurrieron a la misma. La Agencia Andaluza de Evaluación de la Calidad y Acreditación universitaria ha sido la responsable de realizar una primera valoración cientí­fico-técnica de las propuestas elevadas por los cientí­ficos, así­ como de asignar a cada uno un evaluador externo para que emita un informe con su dictamen.

Los proyectos, de cuatro años de duración, van a recibir una financiación máxima de 200.000 euros, sin incluir la partida especí­fica para la contratación de personal (becarios de investigación).

Entre las novedades de esta convocatoria con respecto a la de 2005-2006 se encuentra la reserva de un 10 por ciento de la financiación total para aquellos proyectos con contribuciones cientí­fico-técnicas relevantes en los que el investigador principal y los componentes del equipo tengan como máximo 35 años de edad.

En este sentido, han sido 36 los proyectos liderados por jóvenes investigadores que han recibido incentivos en esta convocatoria, lo que supone un 10,4 por ciento del total de los 347 proyectos y pone de manifiesto el elevado nivel cientí­fico y técnico que demuestran los jóvenes andaluces en sus propuestas.

Los proyectos de excelencia aprobados por la Administración autonómica permitirán la incorporación al sistema de investigación andaluz de 85 doctores, 150 investigadores en fase predoctoral y 196 técnicos. Entre estas nuevas incorporaciones se encuentran investigadores que son referentes internacionales en sus áreas de investigación y que van a trasladarse a Andalucí­a.

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El estudio del Puerto estará este mes. Se presentarán las dos primeras fases del proyecto para la ampliación del muelle de Levante

– El estudio del Puerto estará este mes. Se presentarán las dos primeras fases del proyecto para la ampliación del muelle de Levante.

La Autoridad Portuaria espera que a lo largo del presente mes de octubre se puedan presentar los resultados de las dos primeras fases del estudio sobre la ampliación del muelle de Levante, que permitirá crecer a la APBC en 450.000 metros cuadrados más.

El documento, denominado Estudio de viabilidad ambiental, técnica y económica, será presentado por el catedrático de Puertos y Costas de la Universidad de Granada, Miguel Ángel Losada, que desde hace unos meses está dirigiendo al equipo redactor del documento.

Del estudio para la nueva terminal de contenedores de Cádiz se cuenta ya con los estudios previos y campañas de campo y el desarrollo de alternativas; quedan pendientes las dos últimas fases centradas en la operatividad, costes, gestión integral de la alternativa elegida, así­ como el informe final.

La presentación del documento ha estado pendiente de la elaboración del Plan Director del Puerto, en el que la APBC ha centrado sus esfuerzos en estos meses. En este Plan, reclamado por Puertos del Estado, se justifican y enumeran las obras que se van a desarrollar en la dársena.

La operación de la nueva terminal se va a convertir en la mayor operación en materia de equipamientos en la historia del puerto gaditano, con una inversión que puede superar los 115 millones de euros.

Su puesta en marcha permitirá trasladar al nuevo muelle la terminal de contenedores del Reina Sofí­a y, junto a la ampliación del muelle Marqués de Comillas, liberará del tráfico de camiones al Ciudad.

Entre 2009 y 2011 la APBC dedicará sus inversiones al desarrollo del nuevo muelle de Levante. Para esta fecha se quiere contar con una parte del mismo en servicio.

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La Junta triplica en tres años el presupuesto para investigación

– La Junta triplica en tres años el presupuesto para investigación

En 2005, la Consejerí­a de Innovación y Ciencia de la Junta de Andalucí­a imprimió una novedad de gran calibre en su polí­tica de financiación cientí­fica al crear, por vez primera, una convocatoria de financiación para proyectos de investigación de excelencia con una dotación total de 30 millones de euros. El objetivo era financiar sólo los proyectos punteros, tras ser evaluados con exhaustividad por especialistas externos, teniendo en cuenta la calidad de los investigadores implicados así­ como la proyección de los temas de estudio. Un sistema, en definitiva, que funciona con éxito en la mayorí­a de paí­ses europeos y que también ha adoptado desde hace años el Ministerio de Educación y Ciencia para adjudicar sus ayudas.

El salto con respecto al modelo vigente fue sustancial, ya que hasta entonces, el mecanismo principal del Gobierno autónomo para apoyar económicamente el trabajo cientí­fico eran las llamadas ayudas a grupos – dotadas con 9,5 millones de euros en 2005-, que se repartí­an con una cierta discriminación en función de su calidad cientí­fica, pero que prácticamente garantizaba unos fondos mí­nimos para todos, independientemente de sus resultados.

En cualquier caso, el nuevo modelo no suprimió al anterior, sino que se sumó a él, de tal modo que desde entonces existen dos convocatorias de ayudas cientí­ficas anuales sostenidas por la Junta: las ayudas a grupos y los proyectos de excelencia. Y las dos son compatibles con el resto de ayudas para la investigación de calidad arbitradas tanto por el Gobierno central como por las instituciones de la Unión Europea.

La primera convocatoria para la investigación de excelencia de 2005 permitió financiar un total de 224 proyectos, apoyados por 248 cientí­ficos de universidades andaluzas y organismos públicos de investigación (SAS, CSIC e Ifapa). Dado el éxito de la iniciativa, Innovación optó por hacer crecer los fondos, desde los 30,3 millones de euros de 2005 hasta los 90,3 con los que acaba de resolver la convocatoria de 2007.

Los 347 proyectos que han resultado ganadores de la última edición de estas ayudas han sido seleccionados de entre los 702 que concurrieron a la misma. La Agencia Andaluza de Evaluación de la Calidad y Acreditación universitaria ha sido la responsable de realizar una primera valoración cientí­fico-técnica de las propuestas elevadas por los cientí­ficos, así­ como de asignar a cada uno un evaluador externo para que emita un informe con su dictamen.

Los proyectos, de cuatro años de duración, van a recibir una financiación máxima de 200.000 euros, sin incluir la partida especí­fica para la contratación de personal (becarios de investigación).

Entre las novedades de esta convocatoria con respecto a la de 2005-2006 se encuentra la reserva de un 10 por ciento de la financiación total para aquellos proyectos con contribuciones cientí­fico-técnicas relevantes en los que el investigador principal y los componentes del equipo tengan como máximo 35 años de edad.

En este sentido, han sido 36 los proyectos liderados por jóvenes investigadores que han recibido incentivos en esta convocatoria, lo que supone un 10,4 por ciento del total de los 347 proyectos y pone de manifiesto el elevado nivel cientí­fico y técnico que demuestran los jóvenes andaluces en sus propuestas.

Los proyectos de excelencia aprobados por la Administración autonómica permitirán la incorporación al sistema de investigación andaluz de 85 doctores, 150 investigadores en fase predoctoral y 196 técnicos. Entre estas nuevas incorporaciones se encuentran investigadores que son referentes internacionales en sus áreas de investigación y que van a trasladarse a Andalucí­a.

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La Junta triplica en tres años el presupuesto para investigación

– La Junta triplica en tres años el presupuesto para investigación

En 2005, la Consejerí­a de Innovación y Ciencia de la Junta de Andalucí­a imprimió una novedad de gran calibre en su polí­tica de financiación cientí­fica al crear, por vez primera, una convocatoria de financiación para proyectos de investigación de excelencia con una dotación total de 30 millones de euros. El objetivo era financiar sólo los proyectos punteros, tras ser evaluados con exhaustividad por especialistas externos, teniendo en cuenta la calidad de los investigadores implicados así­ como la proyección de los temas de estudio. Un sistema, en definitiva, que funciona con éxito en la mayorí­a de paí­ses europeos y que también ha adoptado desde hace años el Ministerio de Educación y Ciencia para adjudicar sus ayudas.

El salto con respecto al modelo vigente fue sustancial, ya que hasta entonces, el mecanismo principal del Gobierno autónomo para apoyar económicamente el trabajo cientí­fico eran las llamadas ayudas a grupos – dotadas con 9,5 millones de euros en 2005-, que se repartí­an con una cierta discriminación en función de su calidad cientí­fica, pero que prácticamente garantizaba unos fondos mí­nimos para todos, independientemente de sus resultados.

En cualquier caso, el nuevo modelo no suprimió al anterior, sino que se sumó a él, de tal modo que desde entonces existen dos convocatorias de ayudas cientí­ficas anuales sostenidas por la Junta: las ayudas a grupos y los proyectos de excelencia. Y las dos son compatibles con el resto de ayudas para la investigación de calidad arbitradas tanto por el Gobierno central como por las instituciones de la Unión Europea.

La primera convocatoria para la investigación de excelencia de 2005 permitió financiar un total de 224 proyectos, apoyados por 248 cientí­ficos de universidades andaluzas y organismos públicos de investigación (SAS, CSIC e Ifapa). Dado el éxito de la iniciativa, Innovación optó por hacer crecer los fondos, desde los 30,3 millones de euros de 2005 hasta los 90,3 con los que acaba de resolver la convocatoria de 2007.

Los 347 proyectos que han resultado ganadores de la última edición de estas ayudas han sido seleccionados de entre los 702 que concurrieron a la misma. La Agencia Andaluza de Evaluación de la Calidad y Acreditación universitaria ha sido la responsable de realizar una primera valoración cientí­fico-técnica de las propuestas elevadas por los cientí­ficos, así­ como de asignar a cada uno un evaluador externo para que emita un informe con su dictamen.

Los proyectos, de cuatro años de duración, van a recibir una financiación máxima de 200.000 euros, sin incluir la partida especí­fica para la contratación de personal (becarios de investigación).

Entre las novedades de esta convocatoria con respecto a la de 2005-2006 se encuentra la reserva de un 10 por ciento de la financiación total para aquellos proyectos con contribuciones cientí­fico-técnicas relevantes en los que el investigador principal y los componentes del equipo tengan como máximo 35 años de edad.

En este sentido, han sido 36 los proyectos liderados por jóvenes investigadores que han recibido incentivos en esta convocatoria, lo que supone un 10,4 por ciento del total de los 347 proyectos y pone de manifiesto el elevado nivel cientí­fico y técnico que demuestran los jóvenes andaluces en sus propuestas.

Los proyectos de excelencia aprobados por la Administración autonómica permitirán la incorporación al sistema de investigación andaluz de 85 doctores, 150 investigadores en fase predoctoral y 196 técnicos. Entre estas nuevas incorporaciones se encuentran investigadores que son referentes internacionales en sus áreas de investigación y que van a trasladarse a Andalucí­a.

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La Junta triplica en tres años el presupuesto para investigación

– La Junta triplica en tres años el presupuesto para investigación

En 2005, la Consejerí­a de Innovación y Ciencia de la Junta de Andalucí­a imprimió una novedad de gran calibre en su polí­tica de financiación cientí­fica al crear, por vez primera, una convocatoria de financiación para proyectos de investigación de excelencia con una dotación total de 30 millones de euros. El objetivo era financiar sólo los proyectos punteros, tras ser evaluados con exhaustividad por especialistas externos, teniendo en cuenta la calidad de los investigadores implicados así­ como la proyección de los temas de estudio. Un sistema, en definitiva, que funciona con éxito en la mayorí­a de paí­ses europeos y que también ha adoptado desde hace años el Ministerio de Educación y Ciencia para adjudicar sus ayudas.

El salto con respecto al modelo vigente fue sustancial, ya que hasta entonces, el mecanismo principal del Gobierno autónomo para apoyar económicamente el trabajo cientí­fico eran las llamadas ayudas a grupos – dotadas con 9,5 millones de euros en 2005-, que se repartí­an con una cierta discriminación en función de su calidad cientí­fica, pero que prácticamente garantizaba unos fondos mí­nimos para todos, independientemente de sus resultados.

En cualquier caso, el nuevo modelo no suprimió al anterior, sino que se sumó a él, de tal modo que desde entonces existen dos convocatorias de ayudas cientí­ficas anuales sostenidas por la Junta: las ayudas a grupos y los proyectos de excelencia. Y las dos son compatibles con el resto de ayudas para la investigación de calidad arbitradas tanto por el Gobierno central como por las instituciones de la Unión Europea.

La primera convocatoria para la investigación de excelencia de 2005 permitió financiar un total de 224 proyectos, apoyados por 248 cientí­ficos de universidades andaluzas y organismos públicos de investigación (SAS, CSIC e Ifapa). Dado el éxito de la iniciativa, Innovación optó por hacer crecer los fondos, desde los 30,3 millones de euros de 2005 hasta los 90,3 con los que acaba de resolver la convocatoria de 2007.

Los 347 proyectos que han resultado ganadores de la última edición de estas ayudas han sido seleccionados de entre los 702 que concurrieron a la misma. La Agencia Andaluza de Evaluación de la Calidad y Acreditación universitaria ha sido la responsable de realizar una primera valoración cientí­fico-técnica de las propuestas elevadas por los cientí­ficos, así­ como de asignar a cada uno un evaluador externo para que emita un informe con su dictamen.

Los proyectos, de cuatro años de duración, van a recibir una financiación máxima de 200.000 euros, sin incluir la partida especí­fica para la contratación de personal (becarios de investigación).

Entre las novedades de esta convocatoria con respecto a la de 2005-2006 se encuentra la reserva de un 10 por ciento de la financiación total para aquellos proyectos con contribuciones cientí­fico-técnicas relevantes en los que el investigador principal y los componentes del equipo tengan como máximo 35 años de edad.

En este sentido, han sido 36 los proyectos liderados por jóvenes investigadores que han recibido incentivos en esta convocatoria, lo que supone un 10,4 por ciento del total de los 347 proyectos y pone de manifiesto el elevado nivel cientí­fico y técnico que demuestran los jóvenes andaluces en sus propuestas.

Los proyectos de excelencia aprobados por la Administración autonómica permitirán la incorporación al sistema de investigación andaluz de 85 doctores, 150 investigadores en fase predoctoral y 196 técnicos. Entre estas nuevas incorporaciones se encuentran investigadores que son referentes internacionales en sus áreas de investigación y que van a trasladarse a Andalucí­a.

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