100% of people carry at least one type of pesticide from the air, water or food in their bodies

A study carried out by researchers from the Department of Radiology and Physical Medicine of the University of Granada, in collaboration with the Escuela Andaluza de Salud Pública, found that 100% of Spaniards analyzed had at least one kind of persistent organic compound (POC´s), substances internationally classified as potentially harmful to one’s health, in their bodies. These substances enter the body trough food, water or even air. All of them tend to accumulate in human adipose tissue and easily enter into the organism through the aforementioned mediums.

The study, conceived by Juan Pedro Arrebola Moreno and directed by professors Piedad Martín Olmedo, Nicolás Olea Serrano and Mariana F. Fernández Cabrera, measured the contamination levels of some persistent organic compounds (POC’s) in a sample of the adult population from two areas, an urban one (Granada capital city) and a semi-rural one (Motril), and intended to find the determining factors associated with such levels: diet, lifestyle, activities or residence.

A total of 387 adults, from both sexes, were volunteers for surgeries in hospitals taking part in the study (Santa Ana de Motril and San Cecilio de Granada hospital). Once the volunteers had given consent, a sample of their human adipose tissue (fat) was taken during surgery and they answered a questionnaire about their place of residence, lifestyle, eating habits and activities throughout their life.

Analysis of 6 POC´s
The researchers analyzed the samples and measured 6 different POC concentration levels: DDE, a principal metabolite in DDT (a pesticide used in Spain until the 80´s); hexachlorobenzene, a compound used as fungicide and currently released by industrial processes; PCB’s: compounds related to industrial processes; and Hexaclorociclohexano, used as an insecticide and currently used in scabies and pediculosis treatment.

The study carried out by the University of Granada concluded that 100% of subjects analyzed had DDE in their bodies, a substance banned in Spain, and other very frequent components such as PCB-153 (present in 92% of people), HCB (91%), PCB-180 (90%), PCB-138 (86%9) and HCH (84%).

Juan Pedro Arrebola Moreno explains that higher levels of toxic substances were detected in women compared to men and in older volunteers compared to younger people, “possibly due to the great persistence of these substances in the environment, which results in their biomagnification in the food chain and in their bioaccumulation over time”. The scientist added that there is another theory known as “Efecto Cohorte” (Cohort effect) that explains the high quantities of these substances in older people. According to this theory, those born in periods of higher contamination suffered the consequences more than those born with the current bans on such pesticides.

The impact of diet

This study indicates that diet is an important factor in POC concentration, as the ingestion of some aliments, particularly those of animal origin and high fat content, triggers a greater presence of these toxic substances in the human organism.
Juan Pedro Arrebola Moreno states, “There are few studies in Spain measuring POC levels in wide samples of the population, which means that some compound levels in the general population are unknown”. Consequently, this study will improve the knowledge of such levels, and will identify those groups at higher risk of exposure, which is the first step for subsequent follow-up studies determining the cause-effect relations.
This study is part of a project subsidized by the FIS (Sanitarian Investigation Fund) and by the Andalusian Regional Government, and in which the University of Granada, the Escuela Andaluza de Salud Pública, and the Santa Ana and San Cecilio Hospitals take part.

Reference
Juan Pedro Arrebola Moreno. Department of Radiology and Physical Medicine of the University of Granada.
Tfn: 958 242864.
Mobile phone: 636 380 300
Email address: juanpe000@hotmail.com


100% des personnes ont dans leur organisme au moins un type de pesticide qui s’ingère à travers l’air, l’eau ou la nourriture

Une étude réalisée par des chercheurs du Département de Radiologie et de Médecine Physique de l’Université de Grenade, en collaboration avec l’Ecole Andalouse de Santé Publique, a révélé que cent pour cent des espagnols ont dans leur organisme, au moins, un type de polluants organiques persistants (POP), substances déclarées internationalement comme potentiellement dangereuses pour la santé et qui s’introduisent dans le corps humain à travers les aliments, l’eau et y compris l’air. Tous ces polluants ont en commun leur capacité de se bioaccumuler dans les tissus gras de l’organisme et en même temps leur facile incorporation par les voies signalées.

Le travail, dont l’auteur est Juan Pedro Arrebola Moreno y qui a été dirigé par les professeurs Piedad Martín Olmedo , Nicolas Olea Serrano y Mariana F. Fernández Cabrera , prétend connaître quelles sont les concentrations de certains Polluants Organiques Persistants (POP) dans un échantillon de population adulte originaire des deux zones, une urbaine (Grenade capitale) et autre semi-rurale (Motril), et quels sont les facteurs déterminants desdits niveaux, tant diététiques comme de style de vie, professionnel ou de résidence.

Pour la réalisation de cette recherche 387 personnes adultes, des deux sexes, ont été recrutées, et allaient être opérées dans les services de chirurgie des deux hôpitaux participants (les Hôpitaux Santa Ana de Motril et San Cecilio de Grenade). Une fois que les personnes ont donné leur consentement, un questionnaire épidémiologique leur a été réalisé dans lequel des informations sur leur lieu de résidence, style de vie, habitudes alimentaires et leur profession au long de leur vie ont été recueillies.

Analyse des 6 POP
Ainsi, les chercheurs ont analysé les échantillons et ont mesuré les niveaux des 6 POP différents: DDE, principal métabolite du DDT (pesticide utilisé en Espagne jusqu’aux années 80); Hexachlorobenzène, un composant qui a été utilisé comme fongicide et qui se libère actuellement dans les processus industriels; PCB: composants en relation avec les processus industriels; et Hexachlorocyclohexane, utilisé comme insecticide et qui est utilisé actuellement dans le traitement de la gale et de la pédiculose.

L’étude réalisée à l’UGR conclut que 100% des sujets analysés avaient dans leur organisme DDE, substance interdite en Espagne, suivi des autres composants qui sont également très fréquents comme PCB-153 (présent chez 92% des personnes), HCB (91%), PCB-180 (90%), PCB-138 (86%) et HCH (84%).
Juan Pedro Arrebola Moreno affirme que les femmes ont dans leurs organismes des substances toxiques supérieures à celles des hommes, alors que les sujets âgés dépassent largement les jeunes, «dû probablement à leur longue exposition dans le milieu, ce qui leur confère un grand potentiel de bioamplification dans la chaîne trophique et bioaccumulation au long du temps». En plus, selon le scientifique, pour expliquer les quantités élevées de ces composants chez les personnes âgées il existe aussi une autre théorie appelée “effet Cohorte”. «Les sujets qui sont nés en une époque où existait une grande contamination de ces composants, ont une charge corporelle supérieure de ceux qui sont nés dans des époques postérieures où des restrictions en vigueur existaient».

Le régime, fondamental
De plus, cette recherche met en évidence que le régime est un facteur déterminant sur les concentrations des POP, puisque la consommation de certains aliments, spécialement ceux d’origine animale et avec une grande concentration de grasse, provoque une grande présence de ces substances toxiques dans l’organisme.

L’auteur dit qu’ «il existe très peu de travaux en Espagne qui mesurent les niveaux de POP chez les grands échantillons de population raison pour laquelle les niveaux de certains composants chez la population en général sont méconnus». Par conséquent, cette étude sert pour améliorer la connaissance desdits niveaux, ainsi que pour identifier les possibles groupes de population qui souffrent d’un grand risque d’être exposés, ce qui sert de point de départ pour les études de suivi qui explorent les relations cause-effet.
Cette recherche fait parti d’un projet subventionné par le FIS (Fonds de Recherches Sanitaires d’Espagne) et par le Gouvernement Autonome d’Andalousie, et a compté avec la participation, outre l’Université de Grenade, de l’Ecole Andalouse de Santé Publique, et des Hôpitaux Santa Ana de Motril et San Cecilio de Grenade.

Coordonnées
Juan Pedro Arrebola Moreno. Département de Radiologie et de Médecine Physique de l’Université de Grenade.
Tél. (+34) 958 242 864. Portable: (+34) 636 380 300
Courriel: juanpe000@hotmail.com


La cerveza como fuente de energía

– La cerveza como fuente de energía

Diversos estudios concluyen que la cerveza, en cantidades moderadas, es una buena opción para rehidratarse. Dichas investigaciones descubren, en el plano deportivo, otros tipos de beneficios de la popular birra, como su capacidad para minimizar los dolores musculares, optimizar el rendimiento físico o mejorar la habilidad para afrontar la competición, por lo que puede incluirse en la dieta habitual de los deportistas.

Los estudios desvelan que la ingesta de esta bebida -un máximo de tres cañas para los hombres y de dos para las mujeres-, por su composición -agua, cebada y lúpulo-; las propiedades de sus ingredientes, sus características organolépticas y su bajo contenido de alcohol -entre 4 y 5 grados- favorece la recuperación de los nutrientes que ha perdido el organismo, sobre todo después del estrés físico al que se someten los deportistas de alta competición.

Las pruebas realizadas a más de una veintena de estudiantes por un grupo de prestigiosos expertos de la medicina y la nutrición, no dejan lugar a la duda. A la mitad de ellos se les dio cerveza, mientras que la otra mitad sólo bebió agua.

Ubicados en un laboratorio a 40 grados de temperatura y con la humedad baja para que sudaran, los resultados determinaron que los jóvenes que consumieron cerveza tuvieron una mejor rehidratación que los que sólo bebieron agua.

El oro líquido, con o sin alcohol, además de contener un 95% de agua, es rico en antioxidantes naturales, en fibra, en vitaminas del grupo B y C, en minerales -fósforo, magnesio, calcio…- y en folatos, adecuados para combatir la anemia.

La ingestión de cerveza, que sigue al plátano como fuente alimentaria rica en silicio, también ayuda a la prevención de la osteoporosis. Además, los investigadores indagan en la actualidad sobre su utilidad para luchar contra algunos tipos de cáncer.

Juan Antonio Corbalán: Es especialmente interesante como bebida cardiosaludable

Juan Antonio Corbalán, ex jugador del Real Madrid de baloncesto y cardiólogo, es un acérrimo defensor del uso moderado de la cerveza, una bebida de la que España es la tercera productora europea tras Alemania y Reino Unido.

El que fuera base de la selección española también destacó que “la acción antioxidante derivada de su contenido en polifenoles y el equilibrio de sus componentes la hace especialmente interesante como bebida cardiosaludable, tomada de forma responsable. Además, las vitaminas B, unidas a los antioxidantes, inciden en el control de factores de riesgo”.

Martín Fiz prefiere las rubias

Martín Fiz, campeón mundial de maratón y Premio Príncipe de Asturias de los Deportes prefiere la cerveza rubia.

El atleta narró su experiencia con esta bebida: “En mi primer maratón -Helsinki-, acompañado de mi técnico, que también era médico de Miguel Indurain, me estaba hinchando a agua el día anterior a la competición, lo que suponía que perdía mucha energía por la cantidad de veces que orinaba. Durante la cena, me recomendaron que me tomara un par de cervezas sin alcohol, lo hice, tuve la suerte de adaptarme bien a la prueba y gané la carrera. Al llegar a meta, me tomé otra”.

Mesa Redonda

Álvaro Pérez Domínguez, director general de Deportes del Gobierno de Canarias, y Jacobo Olalla Marañón, director general de Cerveceros de España, han sido los encargados de presentar este miércoles la Mesa Redonda Cerveza, Nutrición y Deporte.

El acto, organizado por Cerveceros de España y el Centro de Información Cerveza y Salud, se celebró en la Facultad de CC de la Actividad Física y del Deporte de Las Palmas de Gran Canaria y en él participaron nutricionistas, médicos y deportistas.

En la Mesa Redonda departieron Lluís Serra Majem, catedrático de la Universidad de Las Palmas de Gran Canaria; Manuel J. Castillo Garzón, catedrático de Fisiología Médica de la Facultad de Medicina de la Universidad de Granada; el cardiólogo y ex jugador de baloncesto Juan Antonio Corbalán; el atleta Martín Fiz y el jugador de la Unión Deportiva Las Palmas Roberto Trashorras.

Los profesionales de la medicina y la nutrición han expuesto las conclusiones de distintos trabajos de investigación que avalan el papel positivo que el consumo moderado de cerveza puede desempeñar en la dieta de los deportistas.
Descargar


Sanidad respalda las investigaciones con células madre embrionarias de Granada

– Sanidad respalda las investigaciones con células madre embrionarias de Granada

«Investigaciones escrupulosas», «actividad respetuosa con la ética y con la legalidad vigente»…, la Junta de Andalucía y el Ministerio de Sanidad no ahorraron ayer expresiones de apoyo para respaldar los trabajos del Banco de Líneas Celulares de Granada, pionero en la investigación con embriones humanos. La defensa sin fisuras se produce un día después de que el juzgado número 8 de Granada admitiera una denuncia de una ciudadana y citara a declarar a cuatro científicos vinculados al banco por sus investigaciones con embriones. En la denuncia se les acusa de realizar experimentos de manipulación genética que atentan contra la vida humana.
Los científicos citados son: Pablo Menéndez, actual director del Banco andaluz, Ángel Concha, anterior responsable y los investigadores de la Universidad de Granada y del Consejo Superior de Investigaciones Científicas, Alicia del Barroso y Fernando Cobo. Todos trabajan en investigaciones que primero fueron evaluadas por una comisión de expertos del Ministerio de Sanidad y autorizadas después por Andalucía. Algunos de estos trabajos ni siquiera se han llegado a materializar.
Estaba previsto que los investigadores denunciados declararan hoy, aunque ayer el juzgado de Granada decidió suspender el trámite «hasta nueva fecha», según indicó un portavoz del Tribunal Superior de Justicia de Andalucía. Al parecer, magistrado y fiscal sopesan archivar la denuncia.

«Atentado contra la vida»
La denuncia parte de Carmen Areoso, una maestra jubilada de Santiago de Compostela que sostiene que la obtención de células madre de embriones es «un atentado contra la vida». Areoso presentó antes denuncias contra el Instituto Valenciano de Infertilidad (IVI), el Hospital Provincial de Oviedo, el Hospital de Cruces de Bilbao o la Facultad de Medicina de Barcelona. Todos estos centros tienen en marcha estudios con células embrionarias o los supervisan, como el Instituto de Salud Carlos III.
Sólo el juzgado número 8 de Granada admitió a trámite la denuncia, a pesar de que este tipo de trabajos científicos ha contado con el respaldo legal de los dos últimos gobiernos. El primero en autorizar la investigación con embriones fue el PP y después el Gobierno actual reforzó el amparo legal con dos nuevas leyes, la de reproducción asistida e investigación biomédica.
El ministro de Sanidad, Bernat Soria, dijo ayer que la Ley de Investigación Biomédica, «uno de los instrumentos más escrupulosos del mundo en investigación con células embrionarias, protege a los científicos». Soria aseguró que la legislación «proporciona seguridad jurídica a su trabajo».

«Criterios religiosos»
La consejera andaluza de Salud, María Jesús Montero, también quiso restar importancia a una denuncia «fundada en criterios religiosos. «Le pese a quien le pese, en España y Andalucía hay un marco legal que permite estas investigaciones», apuntó. La consejera insistió en que los trabajos que se llevan a cabo en el Banco de Granada cuentan con el consentimiento informado de los donantes y, además, han sido autorizados previamente por los comités éticos pertinentes. «Todos los proyectos han dado los pasos correctamente».
Agustín Zapata, subdirector general de investigación en terapia celular del Instituto de Salud Carlos III, calificó la denuncia de «despropósito sin base científica ni legal». Zapata dice no entender el motivo que ha llevado al juez a iniciar estos trámites «cuando estos investigadores no hacen más que realizar su trabajo, aplicando leyes del PP».

Descargar


Un congreso estudia la represión sobre 70.000 andaluces

– Un congreso estudia la represión sobre 70.000 andaluces

Hoy será presentado en Granada el Mapa de Fosas de Andalucía.

Las imágenes de los republicanos españoles llenaban ayer la facultad de Filosofía y Letras de Granada. El Congreso Internacional Historia y Memoria comenzó en Granada con el objetivo de profundizar en el debate sobre la memoria histórica y su recuperación.

No se trata de aprovechar la coyuntura política, sino de reivindicar la necesidad que existe de legitimizar la memoria, como ha sucedido en Europa, explicó Miguel Gómez Oliver, presidente del congreso que reunirá a historiadores, políticos, sociólogos y supervivientes de la represión franquista.

Otro de los grandes objetivos del congreso es dar a conocer las investigaciones que en la actualidad se están llevando a cabo en Andalucía. Entre las más destacables se encuentran el Mapa de Fosas y el proyecto Todos los nombres, ambos surgidos de diferentes asociaciones. Estos proyectos tienen por objeto lograr que las excavaciones se realicen sobre seguro y crear una red de contactos para todos los represaliados andaluces, respectivamente.

Una de las iniciativas que será expuesta en el congreso ha sido promovida por las nueve universidades andaluzas. Se trata de un estudio sobre los más de 70.000 represaliados políticos que hubo en Andalucía durante los años de la dictadura. Estas personas sufrieron como nadie las consecuencias de la guerra. Sus familias eran gente de campo que no podía afrontar las multas impuestas por el gobierno y que en algunos casos llegaban a las 300 pesetas, cantidad con la que un campesino podía comprar una pequeña casa.

Esta represión afectó especialmente a las mujeres, que fueron asfixiadas dentro de una sociedad que las discriminó de forma brutal.

La encargada de inaugurar las sesiones del congreso fue Clara Lida, profesora del Colegio de México, que analizó diferentes facetas del exilio mexicano de los republicanos españoles. Incluso después de más de cincuenta años, la mayoría de los exiliados se resistía a llamarse mexicano. Incluso hoy siguen cantando el himno de Riego. La identidad no puede configurarse en el vacío, explicó.

A continuación, Julio Aróstegui, Catedrático de la Universidad Complutense, leyó su conferencia Memorias de batallas y batallas de memorias. Una guerra civil tiene unas consecuencias a muy largo plazo, declaró, seguro de que la memoria cambia como cambia la historia, lo que propicia que existan diferentes memorias de la guerra.

Con respecto a las voces que consideran la ley como una forma de reabrir una herida ya cerrada, Aróstegui dijo que nunca había estado curada del todo, aunque sí es cierto que con los años ha llegado a ser más superficial.

Al estar en Granada, fue inevitable la pregunta sobre la fosa en la que supuestamente se encuentra enterrado el poeta Federico García Lorca junto a un maestro y a dos banderilleros anarquistas. Los familiares del poeta se oponen a la apertura de la fosa, mientras los de las otras tres víctimas han solicitado la exhumación de los cadáveres de sus antepasados. Creo que si la familia de García Lorca no quiere abrir la fosa está en su derecho. En general, quienes pretenden abrirlas es porque quieren salir en una foto, y en este caso parece obvio, sentenció. Aróstegui también advirtió de los defectos la historia testimonio, es decir, la narrada por quienes la vivieron.

Descargar


Un informe pedido por la juez dice que el lindane de Sestao puso en riesgo la salud

– Un informe pedido por la juez dice que el lindane de Sestao puso en riesgo la salud.

Considera «necesario» efectuar nuevos análisis para predecir la gravedad del efecto causado a las personas El estudio avala la tesis de los ecologistas en el proceso por almacenar el residuo en Babcock Wilcox.

La larga batalla judicial que rodea al lindane acaba de dar un giro inesperado. Siete años después de iniciarse el proceso, un informe encargado por la juez avala la tesis ecologista de que el pesticida almacenado en un pabellón de Babcock Wilcox puso en riesgo la salud de las personas. El estudio, realizado por el catedrático de la Universidad de Granada Nicolás Olea, tiene como misión evaluar el riesgo que ocasionaron las 6.000 toneladas de la sustancia tóxica acumuladas en Sestao. El experto parte de la base de que «la exposición humana a HCH -lindano- es perjudicial para la salud». No sólo en casos de contacto directo de las personas con el residuo, sino también a través de la contaminación atmosférica y del suelo. Algo que, tras examinar las muestras recogidas por el Seprona -Servicio de Protección a la Naturaleza de la Guardia Civil- en 2001 y 2002, el especialista concluye que «es muy posible que haya ocurrido y continúe ocurriendo».

Todo tiene su punto de partida en una querella criminal presentada por Lur Maitea. El colectivo conservacionista señala como culpables de un delito ecológico a la sociedad medioambiental Ihobe, dependiente del Gobierno vasco, y los altos cargos de la empresa implicada. A raíz de varios análisis efectuados por el Seprona, la titular del Juzgado de Instrucción número 1 de Barakaldo encargó a petición de los ecologistas un estudio sobre las consecuencias que pudo causar el lindane a la población.

La juez encomendó el informe al propio Seprona en febrero de 2006. El organismo del instituto armado dijo no disponer de «los medios adecuados» y derivó a su vez el examen a Olea, que se ha pronunciado en base a las pruebas periciales recabadas por los técnicos. Dice el experto que cuando se acumula en grandes cantidades el lindane «se desplaza por el aire y se deposita con las partículas atmosféricas». Éstas, a su vez, acaban adhiriéndose con facilidad al suelo y el polvo. De ahí que saque como conclusión que «la contaminación del medio físico resulta, de forma inevitable, en una contaminación del medio biológico». El residuo sólo pasaría al ser humano mediante la ingesta de alimentos adulterados. Según Nicolás Olea, cualquier concentración del pesticida se vería luego multiplicada en los organismos vivos, porque el carácter disoluble del HCH provoca una «bioacumulación en especies superiores y su almacenamiento en el tejido adiposo -la grasa corporal-».

En el análisis, de todos modos, se insiste en que los datos recabados son «insuficientes» para predecir la gravedad del efecto causado a las personas. Un motivo por el cual el experto ve «necesarios» nuevos informes, entre ellos un estudio de los organismos vivos. Como los metales pesados «potencian el efecto tóxico» del lindane, el investigador andaluz insta asimismo a que esas sustancias sean tenidas en cuenta en los sucesivos exámenes.

«Sustentar cualquier decisión sobre seguridad en salud humana en unos números de concentración del compuesto químico aparentemente libre de riesgo es una práctica a abandonar que tan sólo proporciona protección al responsable de la contaminación», avisa.

Mujeres y niños

Olea advierte de que el lindane tiene una expresión tardía en el tiempo en forma de enfermedades de largo periodo de incubación y multifactoriales. «Contribuye a una mayor frecuencia de presentación de enfermedades asociadas al desequilibrio hormonal», asegura. Por eso cita cáncer, leucemia y malformación neonatal como ejemplos. Los estudios realizados en el sur de España, a los que da credibilidad el informe, «sugieren que, en el grupo de mujeres postmenopáusicas, aquellas con niveles detectables de lindano tienen un riesgo significativamente mayor de tener cáncer de mama». El pesticida se acumula en la placenta y puede tener además «consecuencias perjudiciales en la salud del niño».
Descargar


Universidad y empresas plasman en un libro doce experiencias de colaboración

– Universidad y empresas plasman en un libro doce experiencias de colaboración.

Antes se hablaba de la importancia de ser ejemplares. Ahora esto suena un poco arcaico y se le llama buenas prácticas bromeaba ayer David Aguilar: En definitiva ese es el objetivo de este libro. Se refería el rector a la obra Universidad de Granada y Empresas: Experiencias de colaboración, que pretende impulsar la línea de colaboración con el mundo empresarial que mantienene la institución académica y mostrar ejemplos de los logros alcanzados hasta el momento en este campo.

Es el caso del estudio, realizado por la UGR en colaboración con la Universidad de Cádiz, que permitió a la Piscifactoría de Sierra Nevada demostrar que el Acipenser naccarii, una de las clases de esturiones que cultivaban, era una especie autóctona de la Península Ibérica. Pero este es sólo un ejemplo de los muchos que se muestran en el libro, el cual reúne el testimonio de doce empresas. En la selección se ha procurado que existiera un equilibrio que mostrara que esta colaboración incumbe a todo tipo de empresas, pequeñas o grandes, en nuevos campos o de sectores tradicionales, en fase de lanzamiento o en su etapa de madurez.

Esta colaboración no es algo nuevo, pero es cierto que se ha entrado en una nueva fase. Y el motivo es que la sociedad demanda productos y servicios innovadores. La innovación es algo esencial en nuestra sociedad, afirmó Aguilar, quien mostró su satisfacción por este cambio en la mentalidad universitaria.

Se trata de una obra que mira, además, hacia delante. Por ello se les pedía a las distintas empresas que, además de contar su experiencia de colaboración, aportaran recomendaciones para investigadores y empresarios a fin de potenciar y facilitar la colaboración entre ambos. Entre las conclusiones obtenidas, resaltan la necesidad de facilitar el conocimiento mutuo, establecer canales de comunicación regulares y estables y crear un compromiso entre unos y otros que se base en la credibilidad más allá del oportunismo.

Hay razones para el optimismo, coincidieron ayer tanto el vicerrector de Relaciones con la Empresa, Teodoro Luque, como el director de la Fundación Empresa Universidad, Jose Manuel Aguayo, que han editado juntos esta obra.
Descargar


Francisco Pérez Blanco: «El rector debe devolver la autonomía a la Universidad»

– Francisco Pérez Blanco: El rector debe devolver la autonomía a la Universidad

Para Francisco Pérez Blanco, profesor titular de Patología Médica considera que estas elecciones representan las primeras elecciones populares de la Universidad de Granada, debido a que, por primera vez, se presentan cuatro candidatos que no han sido todavía rector y serán elegido por toda la comunidad universitaria.

Este médico se pregunta, ante la magnitud que están alcanzando estos comicios si verdaderamente es tan importante ser rector. Se muestra algo preocupado porque las campañas están alcanzo niveles políticos demasiados elevados. Según Pérez Blanco, la política jamás debe estar dentro de la Universidad .

En cuanto a las propuestas de los candidato, espera que el nuevo rector sea capaz de devolver a la Universidad de Granada toda la autonomía que, como institución cree que se ha perdido durante el mandato de David Aguilar.

Su candidato preferido es González Lodeiro porque cree que tiene apoyos muy importantes.

Descargar


Los trabajadores de Lenguas Modernas buscan soluciones

– Los trabajadores de Lenguas Modernas buscan soluciones.

No tienen voto, pero forman parte de la Universidad. Los trabajadores del Centro de Lenguas Modernas (CLM), que ya protagonizaron protestas en el curso pasado, siguen sin ver su situación resuelta. Los candidatos a rector, conscientes de la problemática, han contactado con los trabajadores y tres ya han mantenido reuniones con ellos para buscar soluciones.

Básicamente, la demanda de los trabajadores se centra en pedir un nuevo convenio que acabe con la precariedad laboral y se adapte a sus circunstancias. El que tenemos es el mismo que el de las academias de peluquería, pero nuestra realidad obviamente es muy diferente, apunta un miembro del comité de empresa que prefiere no decir su nombre por temor a presiones, y quien señala que las categorías no se adaptan a las tareas que realiza cada persona en realidad y que es necesario modernizar la gestión y mejorar la organización y planificación.

Según relata este trabajador, dos de los candidatos a rector, Rafael Payá y Francisco González Lodeiro, se han reunido con el comité y Antonio Campos también visitó el centro y dialogó con los trabajadores. Con respecto a Luis Rico, explica que impuso una condición que no consideraron aceptable: la presencia del director del centro.

Luis Rico, a propósito de este tema, asegura que está elaborando un compromiso de gobierno que publicará en los próximos días, una vez que haya podido recopilar toda la información necesaria y que entonces se reunirá con los trabajadores, propuesta en mano.

Por su parte, Rafael Payá incluye en su programa de gobierno el compromiso de negociar en el plazo más breve posible un convenio colectivo propio que tenga en cuenta el carácter singular que el Centro de Lenguas Modernas tiene.

Francisco González Lodeiro también hace hueco en su programa para este asunto y habla así de revisar a fondo las condiciones de trabajo de la plantilla del centro, crear una estructura estable de dirección y gestión y otorgar protagonismo a los profesores en la organización y coordinación de las diferentes actividades. Asimismo, apuesta por reconocer y apoyar el trabajo del personal de administración y servicios, definiendo con claridad sus actividades y responsabilidades y afirma que incluirá el Centro en un vicerrectorado del que dependen todas las enseñanzas.

La idea de Antonio Campos, por último, es la de convertir el centro en una fundación, lo que permitiría que recibiera fondos externos y se vinculara a otras instituciones, además de la Universidad de Granada. Una vez hecha esta conversión se renegociarían todos los contratos para acabar con la precariedad que afecta a estos trabajadores.
Descargar


El Ayuntamiento aprueba el estudio georradar de La Hoya

– El Ayuntamiento aprueba el estudio georradar de La Hoya.

El Ayuntamiento de Almería invertirá 42.000 euros para la realización del paso previo que permitirá realizar el proyecto de remodelación del futuro Parque de la Hoya de la capital. Se trata del estudio georradar que desde la Consejo de Gerencia de Urbanismo se ha pedido a la Universidad de Granada.

La voluntad municipal es la de realizar el estudio cuanto antes, adelantándose incluso, a la oferta realizada por parte de la Delegación de Cultura de apoyar económicamente la realización del informe, según explicó ayer el vicepresidente de la Gerencia de Urbanismo, Juan Megino.

Dicho informe determinará las limitaciones exactas que pueda tener el futuro proyecto por las características y restos de sus subsuelo, de cara a la publicación de un concurso internacional de ideas, tal y como se determinó en la reunión que permitió la coordinación de administraciones como la autonómica y la local de cara a la realización conjunta de dicho proyecto.

El presupuesto aproximado para llevar a cabo el desarrollo del Parque de la Hoya se estima entre los seis y los ocho millones de euros, que servirán para acondicionar 62.000 metros cuadrados de la Hoya situada entre las laderas de San Cristóbal y Alcazaba, y que incluirá un parque botánico para su visita y disfrute.

La Junta ha incluido la iniciativa dentro de su programa de Espacios Libres.
Descargar


En son de paz

– En son de paz

Marroquíes, saharauis, cubanos, estadounidenses, iraquíes… todos viven juntos y en armonía en Granada, aunque sus países de origen estén librando duras batallas.

EN el mapa mundi actual ni el más intrépido de los exploradores lograría encontrar un lugar verdaderamente en paz. Una zona geográfica que no esté o haya estado recientemente en conflicto con otra es, lamentablemente, casi un milagro, ya sea de Buda, Alá o Dios. Pero encontrar nombres propios que vivan en armonía con sus conciudadanos, sean de donde sean, no es tan difícil… Y menos en Granada, ciudad en la que un iraquí puede dar clases amistosamente a jóvenes estadounidenses o un grupo de atentos alumnos saharauis prestar oídos a su venerado profesor marroquí. Cubanos y norteamericanos coinciden tocando en bandas de jazz y alumnos israelíes y palestinos suben los mismos escalones de la Escuela de Lenguas Modernas.

Pero también hay quien rechaza al prójimo por motivos políticos. Negarlo sería mentir. «Yo cuando veo a un estadounidense me cambio de acera para evitar roces», afirma un docente iraquí que finalmente prefiere no hablar. «No, no quiero tener amigos israelíes», contesta rotundo Yusef en plena calle Pavaneras, en el añejo barrio del Realejo. Ellos no son objeto de estas líneas.

El profesor iraquí Mushin Ismail Muhammad tiene fama de ser exigente con sus alumnos. Sólo ha dado una nota de diez en su vida. Fue el año pasado, a una alumna norteamericana apasionada por la lengua árabe. Este enamorado del Al-Andalus de ojos profundísimos, que se empañan al hablar de la Guerra de Irak, dice en tono recitativo: «El verdadero islam prohíbe usar el odio y hacer daño a los demás. Mis mejores amigos en Irak son cristianos».

Ismail rezuma sabiduría por los cuatro costados y sonríe al recordar que él es chiita y su mujer, también profesora de universidad, sunita. «El cambio radical sobre lo que significa el islam se produjo a partir del 11 de septiembre. Es una pena. La política estropea el pueblo de muchos países árabes y musulmanes», apostilla este hombre que se instaló definitivamente en España en 1995.

«Mis alumnos de la Universidad de Granada y del Centro de Lenguas Modernas provienen de todo el mundo y están muy contentos del diálogo y de la cercanía entre la gente que se establece aquí. Recuerdo aquel día en que mi hermana, que vive en otro mundo, en Alemania, se quedó asombrada porque un vecino al que no conocíamos nos dijo que aproveche mientras comíamos en una terraza del Albaicín», explica.

«Andalucía, y sobre todo Granada, es otro mundo. Cuando pedí la nacionalidad española -aún no la tengo-, el juez me preguntó ¿por qué?. Porque yo vivía en mi país como extranjero, le contesté», sentencia este ciudadano que ha sentido en sus entrañas el miedo «más de 30 años» debido al régimen de Sadam Hussein. No obstante, matiza: «El pueblo iraquí ama la vida y la democracia en paz y libertad. Lucha por ello y demuestra muchísimo coraje y valor».

El doctor Mushin se despide recordando que el «ser humano está por encima de todo. Deseamos y debemos comunicarnos los unos con los otros. Todos mis alumnos son como mis hijos, vengan del país que vengan. No puedo juzgar a un americano por la política de su país », reflexiona.

De Massachusetts

Marisa Massery aterrizó el pasado agosto en Granada desde un pequeño pueblo al norte del estado de Massachusetts, donde vive con sus padres. Estadounidense pacifista, así se define esta joven de 20 años que estudia negocios, humanidades y español. «Aquí me da miedo decir que soy de los EE UU porque la opinión sobre nosotros no es muy buena. Quiero decir a todo el mundo que dentro de mi país hay muchas opiniones, y que yo, por ejemplo, no comparto la política de Bush», señala amablemente esta hija de un libanés y una polaca para quien la educación «es lo primero».

«Aquí en Granada tengo amigos alemanes, croatas, norteamericanos… Me gusta mucho la convivencia que tenéis. Es buena. Me atrajo la idea de que aquí había bastantes musulmanes y podía oír hablar algo de árabe», añade esta joven cuyo padre ha tenido problemas de racismo en EE UU por «tener el pelo marrón». Cuando Marisa Massery despegue en diciembre con rumbo al otro lado del Atlántico en su cabeza llevará a hierro la idea que ya traía: «Es un error poner etiquetas a la gente».

Esa misma máxima comparte Damon Robinson, afroamericano nacido en California que da clases de inglés en Guadix. Llegó a España hace ya una década y aquí se quedó junto a su mujer, española.

Y es que él no tiene problemas con la gente oriunda de países que están en tensión con sus EE UU natales. Que si un gran amigo sirio, que si ha compartido banda (Funkdación) con un cubano… «Yo he viajado mucho por el mundo y no tengo una visión de las cosas similar al americano medio», explica este cantante al que Granada lo ha recibido «con las manos abiertas».

Con Nardy, el cubano que tocaba con él en Funkdación, se lleva a las mil maravillas, nada de rifirrafes por Bush y Castro. «Nosotros tenemos bastante en común, compartimos nuestra diáspora originaria desde África y en la música tenemos muchísima complicidad e inspiración. Hablamos el mismo idioma, el de la música. Eso es lo que importa», concluye.

El respeto

El saharaui Laroussi Haidar, profesor de la Facultad de Traductores, habla pausadamente, lo que sin duda le ha ayudado a entenderse con todo el mundo desde que llegó a España junto a su mujer, Fátima.

«Generalmente gran parte de los marroquíes con los que me he encontrado son ciudadanos de a pie que vienen a trabajar y la política les importa un comino. Cuando saben que soy saharaui me dicen que mi pueblo tiene derecho a luchar contra el gobierno alauita», explica este hombre que aboga porque se aplique el Derecho Internacional y la ONU convoque un referéndum para la autodeterminación del Sahara.

Con los marroquíes que ocupan las banquetas de sus clases la relación es «normal», «idéntica que con el resto de nacionalidades». Laroussi también estudió en la ciudad de la Alhambra, aunque ahora resida en la Costa del Sol. «Se nota la diferencia, en Granada la gente es más tolerante porque los ciudadanos llegan de todas partes con un buen nivel cultural», narra este musulmán que apela al respeto entre las personas para triunfar en una convivencia tranquila.

Esta amabilidad saharaui de Laroussi no desaparecería de su cara si algún día alguno de sus dos hijos le dijera: «Papá, me caso con un marroquí». «Hay un proverbio saharaui que dice Si tu hijo te dice que se va a casar con un palo dale la enhorabuena por el palo. Yo haría eso, libertad para casarse cada uno con quien quiera», apostilla.

Pacífica

Con Laroussi se habrá cruzado alguna vez por la calle San Jerónimo Mourad Aboussi, natural de Agadir, un bello pueblo de la costa marroquí. Tras doce meses viviendo en la ciudad de la Alhambra ya está en condiciones de aseverar: «Granada, con 57.000 estudiantes, de los que gran parte son extranjeros, es una ciudad de convivencia. Para mí el pueblo español es encantador, muy humano». Él, como otros tantos veinteañeros alauitas, llegó para estudiar; en su caso, un máster de Cooperación Internacional.

Este licenciado en Filología Francesa se ha topado en su ciudad de adopción con cientos de inmigrantes, entre ellos argelinos y saharauis. «La convivencia pacífica es totalmente posible. Entre jóvenes estudiantes no debe haber tensiones políticas. Tener una tensión es reducir las posibilidades de desarrollo humano, que es lo más importante en esta fase de la vida», sentencia este elocuente chico que comparte espacio en la Fundación Euroárabe con Yasmine, una argelina. Entre ellos ha surgido el tema del cierre de frontera entre sus dos países, aunque no lo han debatido en profundidad.

«Si yo fuera muy nacionalista y dijera que el Sahara es de Marruecos, y Yasmine apoyara al Frente Polisario, quizás el diálogo sería más difícil al haber mucho compromiso político de los dos. Lo mejor es dejar aparte este tema entre estudiantes que debemos convivir; mejor que lo resuelvan los políticos», concluye Mourad Aboussi, apasionado de las relaciones personales y de escuchar a los dos bandos para entender verdaderamente conflictos como el del Sahara. Lamentablemente, Mourad sabe a ciencia cierta que su ímpetu conciliador es minoritario entre los ciudadanos de su país.
Descargar


Las elecciones a rector se calientan

– Las elecciones a rector se calientan

Fiestas, libros, conciertos y denuncias toman protagonismo en los últimos días de campaña

La campaña electoral en la carrera hacia el máximo sillón del Rectorado de la Universidad de Granada (UGR) entra en su recta final y cada vez son más sorprendentes los correos que circulan por la red interna de la institución, las actividades que se organizan y la vorágine en la que están enfrascados los candidatos. Y aún así dicen y así pasará que todo está tranquilo y la paz garantizada. Las plataformas que apoyan a cada uno de los cuatro candidatos, Rafael Payá, Antonio Campos, Francisco González Lodeiro y Luis Rico, se tiran los trastos a la cabeza, pero de cara al exterior disimulan porque a partir del día cuatro de diciembre -fecha de la primera votación- deberán negociar y apoyar a los que el día de antes han criticado.

Los cuatro candidatos y la gente de cada una de las candidaturas se enfrentan mientras tanto a días verdaderamente maratonianos. Días en los que empiezan su jornada laboral -entiéndase primeras reuniones- a las 8.30 de la mañana y las terminan pasadas las 23.00 y 00.00 horas. En las agendas tienen algunos días situados más de cinco reuniones. Se están pateando las facultades y escuelas de la Universidad granadina. Se recorren los centros exponiendo sus ideas al profesorado, al personal de administración y servicios y al alumnado. Dicen que van a ir a todos los centros, incluidos, colegios mayores.

Al margen de estos encuentros, las plataformas han empapelado los centros universitarios y algunos las calles de los campus. Precisamente, en relación a los carteles de los campus, personas de la plataforma de Antonio Campos enviaron ayer un comunicado volviendo a denunciar que Lodeiro no ha quitado los carteles que la junta electoral le había dicho que debía retirar. El escrito está firmado por Antonio Lloris Ruiz y Álvaro Salvador Jofre.

Los últimos latigazos

Al margen de estos puntos de vista diferentes, las plataformas han echado el resto en estos últimos días de campaña. Payá ha elegido para estos días el lema Lecturas para un fin de campaña electoral. Además ha optado y destacado las palabras «independencia, profesionalidad, integración y respeto a las personas». A lo que suma 15.000 libros para cerrar «una fiesta democrática, una campaña electoral: Clásicos de la literatura española y universal, novelas históricas, divulgación de la ciencia, libros de viajes, biografías, arte, geografía, economía, entre otros». Y añaden y defienden «la austeridad de nuestra campaña, los tiempos medidos (cumplimiento estricto del calendario electoral), la defensa de la autonomía universitaria y el uso limitado de listas masivas de correo electrónico. La campaña debía, y debe, desarrollarse dentro de la Universidad, aunque con propuestas que incluyan al conjunto de la sociedad y a sus instituciones (Univerciudad)».

El profesor Francisco González Lodeiro quiere cerrar su campaña al Rectorado con un encuentro «abierto y festivo». Está programado para esta tarde a partir de las 18.00 horas en la Facultad de Ciencias. En el acto intervendrán junto a Lodeiro personalidades de la comunidad universitaria, entre otros Juan Antonio Vera Torres y Luís García Montero. La campaña electoral no termina oficialmente hasta el día dos. La primera votación será el día cuatro y en el caso de que ningún candidato consiga más de la mitad del apoyo de los votos habrá que ir a una segunda vuelta, el 13.

Antonio Campos también ha programado diferentes actos para estos últimos días. Ayer mismo celebró una fiesta de la cultura en el campus de Cartuja en la que hubo música. Para mañana tiene previsto un acto de presentación de la candidatura a la ciudad. Será a las 20.00 en la sede de la ONCE en la Plaza del Carmen.

Por otra parte, Luis Rico, que al igual que el resto de candidatos está recorriendo los centros universitarios, ha previsto para el cierre de campaña una gran fiesta fuera de la institución universitaria. La fecha elegida es también mañana, día 30. Será en el Circo del Arte.

Aún queda campaña y días para hacer nuevos recuentos de los apoyos. Las quinielas están echadas y la incertidumbre encima de la mesa. Y después, según comentan en la comunidad, habrá que echar cuentas de lo que ha costado cada campaña.

Descargar