La majorité des jeunes des centres pour mineurs croient que leur séjour leur servira pour trouver un emploi et abandonner la délinquance

La plupart des garçons (entre 14 et 21 ans) vivant en réclusion dans le centre pour mineurs considèrent, d’après la formation académique et professionnelle qu’ils y reçoivent, qu’ils pourront obtenir dans un avenir proche un bon poste de travail et s’éloigner de la délinquance, une fois qu’ils auront abandonné le centre et réglé leur dette avec la justice. C’est ce qui découle d’une thèse de doctorat réalisée par M. Juan Manuel Fernández Campoy, chercheur au Département de Didactique et Organisation Scolaire de l’Université de Grenade, et dirigée par les professeurs Manuel Lorenzo Delgado et Tomás Sola Martínez.

Ce travail a pris comme référence le centre pour mineurs « Tierra de Oria » d’Almeria, un centre de rétention inauguré en 2002. Pour mener à bien ce travail, le chercheur a appliqué un questionnaire à une centaine de garçons entre 14 et 21 ans vivant en réclusion dans le centre pour mineurs, tout en analysant le règlement de fonctionnement du centre, ses normes internes et ses différents protocoles d’action.

Il découle aussi de cette recherche que les mineurs sont très intéressés à connaître les procédés de sanction et disciplinaires appliqués dans les centres, « afin d’éviter des châtiments et d’obtenir des privilèges moyennant un bon comportement (permissions les week-end, augmentation des heures de visite, etc.) ».

Rapports amicaux
M. Juan Miguel Fernández Campoy souligne que les meilleurs « valorisent beaucoup les professeurs qui travaillent avec eux dans le centre, allant jusqu’à se créer des liens amicaux entre eux. »

Le travail réalisé à l’UGR contemple également certaines améliorations suggérées par le chercheur pour ledit centre pour mineurs. Ainsi, M. Fernández Campoy suggère que ses installations devraient se situer « dans une zone où les Corps et Forces de Sécurité de l’État aient une présence importante », afin de pouvoir intervenir rapidement au cas où il se produirait une bagarre, au lieu d’une zone rurale comme celle où il se trouve actuellement.

De plus, le chercheur souligne que les centres pour mineurs « devraient adapter leurs Ateliers de Formation aux besoins réels du marché du travail, vu que ceux-ci permettent aux jeunes de se qualifier pour réaliser des travaux « qui sont actuellement peu demandés », excepté l’atelier de formation de photographie digitale et dessin graphique.

Une partie des résultats de cette recherche a été publiée dans la revue « Educación y Educadores », de l’Université de la Sabana (Colombie).

Référence : Juan Miguel Fernández Campoy. Département de Didactique et Organisation Scolaire de l’Université de Grenade. Tél. : 950 122 808, courriel : juanmigueloria@yahoo.es


La Universidad de Granada estrecha lazos con universidades árabes

La Universidad de Granada estrecha lazos con universidades árabes

El intercambio de profesores, la ejecución conjunta de proyectos de investigación, la formación de investigadores, o la propuesta de nuevas titulaciones de carácter internacional son algunas de las iniciativas que en el futuro puede desarrollar la Universidad de Granada (UGR) en colaboración con instituciones de estudios superiores de Arabia Saudí. Éste es, al menos, el deseo del rector de la UGR, Francisco González Lodeiro, y del ministro de Educación de Arabia Saudí, Abdullah Al-Obaid, que visitó Granada y las instalaciones de la UGR acompañado de una delegación de universidades de su país. Lodeiro y el ministro saudí firmaron varios convenios con el objetivo de desarrollar una futura colaboración.

La visita también se inscribe en el proceso de acercamiento académico e institucional entre el campus granadino y las universidades más prestigiosas de Arabia Saudí, entre las que se encuentran la Universidad King Faisal, la Universidad King Addulaziz, y la Universidad de Najran.

La UGR ofrecerá al personal de la Universidad King Faisal, por ejemplo, formación en materia de biología molecular y de células madre.
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Espagne: Grogne chez les étudiants marocains de Grenade

Espagne: Grogne chez les étudiants marocains de Grenade

L\’Association des étudiants marocains à Grenade (sud de l\’Espagne), compte mener des actions dans les jours à venir, pour protester contre les « entraves » qu\’il rencontrent pour le renouvellement de leurs cartes de séjour, rapporte la MAP.
Espagne: Grogne chez les étudiants marocains de Grenade L\’Association prévoit d\’organiser une manifestation le 21 avril à Grenade pour « faire entendre son cri d\’alarme ». Elle veut dénoncer ainsi le durcissement des procédures de renouvellement des titres de séjour pour les étudiants en provenance de pays non membre de l\’Union Européenne (UE); en majorité des Marocains. « Ils nous demandent de produire des documents que l\’université refuse de délivrer aux étudiants, comme le rapport pédagogique, un document confidentiel que seule la justice peut réclamer, ce qui met les étudiants marocains devant une situation intenable », a expliqué à la MAP, Hind Tsouli, présidente du groupement, étudiante à la faculté de Pharmacie de Grenade. Le dit rapport permettrait à l\’étudiant de prouver qu\’il a réussi au moins 40 % des matières de son cursus pour pouvoir renouveler sa carte de séjour. Selon les estimations de l\’Association, le problème a déjà touché près de 200 Marocains dans la seule ville de Grenade, les poussant à « étudier dans une situation de clandestinité ».

Ils sont nombreux à Grenade et dans toute l\’Espagne mais les choses n\’évoluent guère. « La grande majorité des étudiants marocains en Espagne n\’ont pas de bourses, vivent avec leur propres moyens et payent des impôts indirects pour avoir difficilement une carte de séjour d\’une année, au bout de six mois d\’attente et de procédures administratives » indique la présidente. Cette dernière assure en outre que tout est fait pour leur rendre le séjour difficile. « La réglementation concernant les étudiants étrangers en Espagne n\’a pas changé depuis 2004 mais l\’interprétation de cette réglementation change d\’année en année dans le sens du durcissement des conditions de notre séjour en Espagne » a t-elle dit.

Malgré tout, les étudiants n\’abdiquent pas. Ils ont déjà approché en vain le rectorat de l\’Université de Grenade. Le seul soutien restant vient donc du côté marocain. À cet effet, Mustapha Akalay, sociologue et chercheur universitaire marocain vivant à Grenade, également membre de l\’ONG marocaine Coopération et développement en Afrique du Nord (CODENAF), s\’est emparé de l\’affaire. Selon cet urbaniste et professeur à l\’Université Paris XIII, son ONG « suit de très près la situation des étudiants marocains à Grenade et a mis en place une structure juridique pour les orienter et les aider à régulariser leur situation ».

L\’Association des étudiants marocains à Grenade est la plus importante organisation estudiantine qui compte près d\’un millier de Marocains suivant des cursus à l\’Université de Grenade. Elle représentante aussi la majorité des étudiants marocains dans les universités espagnoles.
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Arquitectura y Económicas reducen sus plazas por falta de espacio libre

Arquitectura y Económicas reducen sus plazas por falta de espacio libre

Junto a Biología son los únicos que rebajarán el número de alumnos el próximo curso, ya que la oferta general se amplía en 94 matrículas de primero

La Universidad de Granada (UGR) se prepara para abordar en los próximos años profundos cambios -hasta once títulos se empezarán a impartir en la institución desde octubre según los dictados del Espacio Europeo de Educación Superior (EEES) o Plan Bolonia-, pero de momento parece que dichas transformaciones no van a afectar al censo estudiantil de la institución.

El Consejo de Gobierno de la UGR ha decidido en este sentido apostar por la continuidad y situó ayer en 10.881 el límite de plazas de nuevo ingreso que ofertará de cara al curso 2009-2010 en primer ciclo, si así lo aprueba definitivamente el Consejo Andaluz de Universidades.

La institución, por tanto, amplía únicamente en 94 su oferta de plazas de primero respecto a las 10.784 del pasado verano. Llama la atención, además, que tan sólo las facultades de Arquitectura y Ciencias Económicas y Empresariales, además de la Licenciatura de Biología, disminuirán su número de estudiantes noveles.

La causa de la rebaja en Arquitectura y Económicas es común. Ambas padecen actualmente graves problemas de espacio en sus instalaciones, por lo que la UGR se ha visto obligada a aliviarlas rebajando el acceso a sus aulas. El objetivo es que la calidad educativa no se vea lastrada por las estrecheces de espacio mientras la institución intensifica los esfuerzos por resolver el problema de cara a años futuros. Arquitectura presentará para el próximo ejercicio académico 164 plazas de primero, por las 172 del curso actual. La disminución del alumnado, en cualquier caso, no es nueva, ya que en el curso 2006-2007 la escuela de Arquitectura ofertaba 181 matrículas de primero, hasta 17 más que ahora.

La pérdida de plazas en Económicas y Empresariales será aún mayor, aunque hay que tener en cuenta que este edificio alberga cinco titulaciones diferentes y tiene muchos más alumnos. Dentro de esta facultad, la Licenciatura de Administración y Dirección de Empresas se pierde 14 matrículas, mientras que Economía y Empresariales se queda sin 13. La Diplomatura de Turismo también ofertará ocho plazas menos que este curso.

Biología. La Licenciatura de Biología, que se cursa en la Facultad de Ciencias, es el único caso en el que no se ha aprobado la propuesta del equipo de Gobierno. Éste tenía la intención de ofertar 250 matrículas de nuevo ingreso, es decir, la misma que en el actual curso, pero finalmente serán 238. El resto de carrera mantienen las mismas plazas de primero salvo Biblioteconomía y Documentación, que pasa de 50 a 55. También es destacable el incremento de la oferta en las especialidades de maestro de Educación Física, de Educación Infantil y de Inglés en la Escuela de Magisterio La Inmaculada, un centro adscrito a la UGR.

La directora del Servicio de Becas de la institución, Josefa González, confirmó que la UGR ha apostado por la continuidad en la oferta de plazas para abordar así con garantías la transición al Espacio Europeo. González destacó, además, que la institución convocará antes del verano un debate en el que participarán todos los centros universitarios para abordar cuestiones como el número de alumos por clase o la reorganización de horarios, cuestiones que sufrirán grandes modificaciones tras la implantación del EEES.
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Les étudiants marocains en Espagne se plaignent des «entraves pour renouveler leurs cartes de séjour

Les étudiants marocains en Espagne se plaignent des «entraves pour renouveler leurs cartes de séjour

L\’Association des étudiants marocains à Grenade (sud de l\’Espagne), la plus importante Ong estudiantine qui représente près d\’un millier de Marocains suivant des cursus à l\’Université de Grenade, compte mener une série d\’actions de protestation pour dénoncer les «entraves» au renouvellement des cartes de séjour.

L\’association, qui prévoit d\’organiser une manifestation le 21 avril à Grenade pour «faire entendre son cri d\’alarme», s\’élève contre le durcissement des procédures de renouvellement des cartes de séjour pour les étudiants en provenance de pays en dehors de l\’Union Européenne, en majorité des Marocains.
«Ils nous demandent de produire des documents que l\’université refuse de délivrer aux étudiants, comme le rapport pédagogique, un document confidentiel que seule la justice peut réclamer, ce qui met les étudiants marocains devant une situation intenable», a expliqué à la MAP Hind Tsouli, présidente de l\’association des étudiants marocains à Grenade.
L\’étudiant doit prouver à travers ce rapport pédagogique qu\’il a réussi au moins 40 pc des matières de son cursus pour pouvoir renouveler sa carte de séjour.
L\’association, représentant la majorité des étudiants marocains dans les universités espagnoles, a appelé les autorités espagnoles à résoudre ce problème qui a poussé, selon ses estimations, près de 200 Marocains à «étudier dans une situation de clandestinité» dans la seule ville de Grenade, en résidents «sans papiers» en Espagne.
«La réglementation concernant les étudiants étrangers en Espagne n\’a pas changé depuis 2004 mais l\’interprétation de cette réglementation change d\’année en année dans le sens du durcissement des conditions de notre séjour en Espagne», a ajouté Mlle Tsouli, étudiante à la faculté de Pharmacie de Grenade.
La présidente de l\’association a indiqué que «la grande majorité des étudiants marocains en Espagne n\’ont pas de bourses, vivent avec leur propres moyens et payent des impôts indirects pour avoir difficilement une carte de séjour d\’une année, au bout de six mois d\’attente et de procédures administratives».
L\’association des étudiants marocains a tenté de convaincre le rectorat de l\’Université de Grenade de les appuyer auprès des autorités administratives pour résoudre ce problème mais ses tentatives ont été infructueuses.
Selon le sociologue et chercheur universitaire marocain Mustapha Akalay, qui vit à Grenade, les autorités espagnoles sont appelées à permettre aux étudiants marocains de poursuivre leurs études dans des «conditions dignes».
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Jóvenes, pero sobradamente preparados

Jóvenes, pero sobradamente preparados

El IAJ entrega los Premios Granada Joven a los prometedores valores de la provincia, por su contribución social dentro y fuera de Andalucía y sus destacados logros profesionales

El Instituto Andaluz de la Juventud (IAJ) entregó ayer en el Parque de las Ciencias los Premios Granada Joven, que reconocen la trayectoria de jóvenes o entidades juveniles cuyo trabajo destaca en la sociedad andaluza. El IAJ reconoció a Pablo Aguilar por su importante carrera deportiva pese a sus 20 años, en tanto que el el grupo granadino Lori Meyers fue premiado por su contribución a la promoción de Granada en el exterior.
El Proyecto Sc@ut de la Universidad de Granada (UGR), por su parte, obtuvo su galardón gracias a su promoción de la comunicación de las personas carentes de lenguaje funcional o que lo tienen bastante limitado. También recibieron su premio Radio Contadero, emisora pionera en la provincia, y la Joven Orquesta Sinfónica de Granada, que cuenta con 72 músicos de entre 15 y 23 años.
Los otros homenajeados ayer fueron Mari Ángeles Guisado, en la categoría de Economía y Empleo, que ha creado una empresa de vestuario de época; Francisco Javier Martínez, un joven integrado en el grupo de Break Dance ´Soul Power´, por su solidaridad al participar en misiones humanitarias en Líbano. El joven estudiante de Bellas Artes Eugenio Ocaña, en el apartado de Arte y Creación Joven, e Irene Díaz Miranda, en la misma categoría, recibieron también sus galardones.
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Económicas, Arquitectura y Biología tendrán menos plazas

Económicas, Arquitectura y Biología tendrán menos plazas

Los problemas de infraestructuras lleva a la UGR a limitar el número de alumnos para el próximo curso · Las nuevas titulaciones se debatirán antes de verano

La política del equipo de Gobierno de Francisco González Lodeiro, rector de la Universidad de Granada (UGR), es la de «no bajar el número de plazas y ofrecer la mayor oferta posible a los estudiantes», pero los problemas de infraestructuras en tres centros son tan acuciantes que se ha tenido que hacer una excepción.

Ciencias Económicas y Empresariales, Arquitectura y Biología son las tres facultades que han visto atendidas sus plegarias, según se desprende del documento que remitió ayer la Universidad a los medios de comunicación tras la sesión de Consejo de Gobierno.

En el caso de la primera, un centro que ostenta el récord en número de alumnos (7.400) y que está a la espera de que se inicien las obras para su ampliación, cuatro de sus cinco especialidades han visto reducido el número de plazas para el nuevo curso: en Ciencias Empresariales, de 271 se ha fijado en 258, aunque el centro solicitó 244; en Turismo, que el pasado curso ofertó 160 plazas, han pedido 144 y se ha acordado 152; en Administración y Dirección de Empresas, de 295 se ha bajado a 281, aunque pidieron 266; y en Economía, con 262 el pasado año, se solicitó 236 y han acordado dejarla con 249.

Arquitectura, cuyos estudiantes están a la espera de que se acabe la rehabilitación de la Casa del Almirante, ha contado con 172 alumnos en este curso, pero perderá ocho para el próximo. La paralización de las obras hacen preveer que hasta dentro de tres años no podrán marcharse de la Avenida de Andalucía, donde reciben clases en unas condiciones no muy óptimas, así que la UGR ha decidido disminuir el número de admisiones.

Por su parte, Biología cuenta con el mismo problema, también a la espera de una reforma del centro. El Decanato solicitó bajar de 250 a 238 plazas y el equipo de Gobierno se lo ha concedido.

Respecto a las nuevas titulaciones, la directora de Becas de la UGR, Josefa González, que está sustituyendo a la vicerrectora de Estudiantes, Inmaculada Marrero (de baja por maternidad), explicó ayer que el Consejo de Gobierno de la UGR ha decidido celebrar antes del verano un debate sobre una docena de grados nuevos. La adaptación al Plan Bolonia obliga a que los nuevos títulos (Enfermería, Fisioterapaia, Terapia Ocupacional, etc.) sean revisados por la Aneca y el proceso todavía puede durar otro años más. Sólo Biblioteconomía y Documentación contará con 5 plazas más: pasa de 50 a 55.
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Seis de cada diez universitarios sufren ‘ansiedad matemática’

Seis de cada diez universitarios sufren \’ansiedad matemática\’

Seis de cada 10 universitarios, independientemente de la rama de conocimiento en la que estudien, presentan algún síntoma de ansiedad cuando se enfrentan a las matemáticas, según se desprende de una investigación realizada en la Universidad de Granada.

Además, existen diferencias significativas entre hombres y mujeres en este sentido, ya que los varones sufren menos ansiedad al enfrentarse a tareas matemáticas (47% de hombres frente al 62% de mujeres que la padecen).

La investigación ha sido realizada por los profesores Patricia Pérez-Tyteca, Enrique Castro, Isidoro Segovia, Encarnación Castro y Francisco Fernández, del departamento de Didáctica de la Matemática de la UGR, y Francisco Cano, del departamento de Psicología Evolutiva y de la Educación. Este estudio fue llevado a cabo en una muestra formada por 885 alumnos de primer curso de 23 titulaciones distintas impartidas en la UGR que poseen asignaturas de matemáticas, ya sean obligatorias o troncales. La muestra contemplaba cuatro de las cinco ramas de conocimiento del ámbito universitario: Ciencias de la Salud, Ciencias Experimentales, Enseñanzas Técnicas y Ciencias Sociales.

LOS SÍNTOMAS DE LA ANSIEDAD MATEMÁTICA

Los investigadores aplicaron a los estudiantes la denominada Escala de Ansiedad Matemática de Fennema-Sherman, un cuestionario validado por expertos de todo el mundo que se utiliza desde los años 70 y al que se sometió a los estudiantes a comienzos del segundo cuatrimestre.

La ansiedad matemática se manifiesta mediante una serie de síntomas «como tensión, nervios, preocupación, inquietud, irritabilidad, impaciencia, confusión, miedo y bloqueo mental» al enfrentarse a la asignatura de matemáticas, explican los investigadores de la Universidad de Granada.

Este trabajo ha revelado asimismo que existen diferencias significativas en la actitud que los estudiantes tienen ante las matemáticas según sea su rama de conocimiento. Así, los alumnos de carreras del área de Ciencias de la Salud son los que más temen a las matemáticas (es decir, presentan más ansiedad), frente a los de Enseñanzas Técnicas, que son los que menos la padecen.

Según indican los investigadores, «un efecto indirecto de la ansiedad matemática es el evitar realizar cursos relacionados con las matemáticas, lo que condiciona posteriormente el tipo de carrera que se pueda elegir». Dicho de otra modo, muchos estudiantes eligen carreras distintas a las que querían -y en las que en muchos casos serían muy buenos- para evitar cursar asignaturas relacionadas con las matemáticas.
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Matemáticas sin resolver

Matemáticas sin resolver

Pocos enigmas de la ciencia, para los que no existe solución, consiguen ser tan productivos para la sociedad como el Último Teorema de Fermat, una ecuación inexplicable y misteriosa para las matemáticas que ha traído de cabeza a los especialistas de esta materia durante más de tres siglos.
Los investigadores que han intentado resolver este misterio, ya sea para comprobar que realmente no tiene solución o para demostrar que es un error, han alcanzado un conocimiento sobre los números primos que, en la actualidad, se ha convertido en el sistema por el que se rigen los códigos numéricos de las tarjetas de crédito y las transacciones del comercio electrónico.
El director del Departamento de Álgebra de la Universidad de Granada, Pascual Jara, explica que para entender el Último Teorema de Fermat hay que remontarse hasta cinco siglos antes de Cristo, cuando Pitágoras y su escuela de pensadores formularon el famoso teorema que dicta que en un triángulo rectángulo, la suma del cuadrado de sus catetos (las longitudes de los lados que forman el ángulo recto) es igual al cuadrado de la hipotenusa (el tercer lado, el más largo). Esto es: a2+b2=c2.
Los ejes de Descartes
Este teorema adquirió mucha importancia cuando, ya en el siglo XVII, Descartes creó el sistema de coordenadas, que consisten en dos ejes (xy), perpendiculares el uno con el otro, a partir de los cuales se puede calcular la posición de cualquier punto en un plano. «Basta con marcar la diagonal de ese punto hasta el punto cero -conexión entre ambos ejes- y utilizar la fórmula de Pitágoras para calcular la distancia», explica Pascual Jara.
Así, a través de las coordenadas y el juego de las matemáticas, la ciencia consiguió representar diversas formas gráficas mediante una simple ecuación. «Por ejemplo y=x2 es la fórmula de una parábola», detalla el experto.
Con el tiempo, estas ecuaciones se fueron haciendo cada vez más enrevesadas para representar, a la vez, figuras más complicadas. Y los números reales (número pi, raíz cuadrada de dos…) y los imaginarios entraron en el juego.
Fue así como, a mediados del siglo XVII, Pierre de Fermat llegó a una maravillosa y mágica conclusión, a partir de la fórmula pitagórica (la suma del cuadrado de los catetos es igual al cuadrado de la hipotenusa) enunció que una ecuación con la forma: an+bn=cn, no tiene solución entera positiva si n es mayor que 2. Esto significa que no hay un número positivo entero superior a dos (3, 4, 5, 6…) que pueda ser sustituido por el valor n para que la ecuación se cumpla.
Aportaciones
El experto destaca que Fermat lo demostró utilizando el exponente de cuatro (n=4), y un tiempo después el matemático Leonard Euler comprobó que tampoco podía resolverse si el exponente era tres.
«No hay solución para las ecuaciones de este tipo, pero lo importante no es el problema en sí, sino todas las herramientas y averiguaciones que se han conseguido al intentar solucionarlo», señala Jara, quien añade que gracias a este teorema se han desarrollado claves numéricas y aplicaciones que han servido para poder cifrar mensajes y para la gestión de cuentas en el comercio electrónico. Pocas veces un teorema matemático que no tiene solución le ha dado tanto a la ciencia.
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«La tragedia de Lorca es que no pudo acabar algunas de sus obras de teatro»

«La tragedia de Lorca es que no pudo acabar algunas de sus obras de teatro»

Manuel Fernández Montesinos, sobrino de Federico García Lorca y presidente de su Fundación hasta su jubilación, acudió ayer al Ateneo Riojano, invitado por la UR. Allí apadrinó la presentación del libro Federico García Lorca y el Teatro Clásico. La versión escénica de La dama boba, trabajo de los investigadores literarios Juan Aguilera e Isabel Lizárraga.
– Hace un año el Ministerio de Cultura anunció el descubrimiento de esta adaptación de Lorca, ya publicada en 2001. ¿Cómo recibieron la noticia?
– Fue una sorpresa, parecía algo de risa que una obra que aúna los nombres de Lorca y Lope de Vega todavía se desconociera. Podría haber sido un chiste, pero los políticos y funcionarios tampoco son máquinas, todo el mundo se puede equivocar.
– Paradójicamente, aquel desaguisado provocó que se agotara la primera edición en una semana y ahora la obra vuelve a ver la luz revisada.
– No hay mal que por bien no venga… De todos modos, La dama boba ya había sido representada en New York, y en español, así que había muchos medios de saber que esta obra ya existía.
– Para colmo de contradicciones, ha sido el archivo de la censura el que ha conservado intacto el documento para que Aguilera y Lizárraga lo descubrieran (por casualidad).
– Lo mismo se hace ahora, sin que sea censura, con el depósito legal. Esto creo que es muy necesario para tener fijados los textos. Por otra parte, tampoco se puede decir que fuera un hallazgo casual; había unos investigadores trabajando, esto no es como encontrarse un euro.
– ¿Qué aporta la adaptación de Lorca sobre el original de Lope de Vega?
– Sobre todo, en la mayoría de las obras, se atiende a cuestiones propias de las épocas. Por ejemplo, al final de Fuenteovejuna aparecen los Reyes Católicos sin que sea necesario, así que seguramente fuera una concesión política. Cuando La Barraca iba a los pueblos, y ya se había acabado con la monarquía, esa escena no ayudaba nada y se suprimió en las representaciones. También hay un trabajo de actualización del lenguaje.
– ¿Quedan aún obras inéditas de Lorca por salir a la luz?
– Creo que no. En entrevistas y cartas salen a relucir algunos títulos de obras que preparaba pero eso ya se ha encontrado casi todo. Sí que alrededor de una docena de proyectos teatrales con título, con descripciones de personajes y empezadas quedaron abandonadas, pero la Universidad de Granada lo publicó todo en el libro Teatro inconcluso. Ahí está la verdadera tragedia de Lorca, y lo imperdonable, que no pudiera acabar algunas de sus obras de teatro.
– El pasado año publicó sus memorias. ¿Con ellas quiso alejarse de la importante sombra de Lorca?
– La figura de mi tío está desfigurada en mi memoria. Yo, hasta que no fui a la escuela en EEUU, no leí la obra de Lorca, y en inglés. Sólo he pretendido que mis memorias sean una especie de espejo imperfecto y personal de todos los personajes tan extraordinarios que me rodearon.
– Parece haberse enfriado la polémica sobre la exhumación de los restos enterrados de su tío.
– Nuestra postura no va a cambiar, no queremos que se esconda ningún dato pero en los casos en los que se sabe todo, como es el de mi tío, la exhumación de su cadáver no va a aclarar nada.
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Del crimen perfecto al ADN esterilizado

Del crimen perfecto al ADN esterilizado

El ADN es una herramienta imprescindible, pero no infalible, de la investigación criminal. En Alemania han ocurrido algunos de los casos más llamativos de errores policiales a partir de rastros falsos de ADN.

Las policías de Alemania, Bélgica y Francia han buscado durante dos años a una mujer cuyo ADN aparecía en 32 escenarios criminales, entre ellos seis asesinatos. Lo que apuntaba hacia una genio del crimen perfecto y en serie, se ha desvelado como la chapuza policial más grande de la última década.

La que los agentes denominaban “fantasma de Heilbronn” –porque en esta ciudad del suroeste de Alemania dejó su huella más clara– no es, en efecto, un fantasma, no ha existido jamás. El ADN procedía de la saliva o de la caspa –eso sí, esterilizadas– de una empaquetadora de la empresa fabricante de bastoncillos.

Heilbronn saltó a la fama en 2007, cuando una policía de 22 años fue asesinada de un disparo en la cabeza, sin un móvil aparente, mientras descansaba junto a su compañero, que resultó malherido, en el coche patrulla. Los criminalistas encontraron muestras de un ADN femenino, el mismo que se había recogido en otros crímenes cometidos en Alemania, Francia y Austria en los últimos 17 años.

Además del asesinato de la agente de Heilbronn, la mujer fantasma era sospechosa del asesinato de un pensionista de 62 años en 1993 y de un hombre de 61 años en 2001 en el suroeste de Alemania, casos que siguen sin resolver.

Dudas y pistas
La mujer sin rostro mantenía en jaque a las policías de tres países. Cerca de 20.000 horas de trabajo; alrededor de 25 millones de euros invertidos y recompensas de 300.000 euros para quien fuera capaz de ofrecer información. Su carrera criminal también había alcanzado Francia: en 2004, el famoso ADN fue descubierto en un arma falsa utilizada durante un robo. Todo en vano. En los medios de comunicación se hablaba de crimen perfecto de una mujer sin atributos.

Pero los especialistas empezaron a tener serias dudas de la investigación cuando el conocido ADN fue encontrado en una taza, durante una pelea familiar, y se cotejaron muestras de algunas víctimas con las realizadas por agentes de otros lugares. ¿Qué tenían en común todos los delitos investigados con los que aparecía el mismo rastro de ADN? La respuesta parece una broma, pero es tan real que resulta embarazosa: los bastoncillos de algodón utilizados para tomar muestras en las escenas del crimen. Unos bastoncillos que, casualmente, salieron de la misma fábrica que proporcionaba este tipo de productos a las agencias de policía que investigaron esos casos y que no coincidían con los que empleaban sus colegas de los Länder colindandes, donde la huella de la mujer fantasma no había aparecido.

Las pesquisas para detectar a la empresa responsable del bastoncillo de marras fue también todo un trabajo de investigación, ya que todas empezaron negando esa posibilidad y algunas remitían la responsabilidad a los cosechadores de algodón de Turquía, India o Indonesia, una hipótesis que los fiscales consideran poco probable debido a que el algodón se blanquea a una temperatura muy alta.

Indemnizaciones
La fiscalía da por seguro que el ADN sospechoso procede de los bastoncillos de la firma Greiner Bio-One GmbH in Frickenhausen (Baden-Württemberg) y que probablemente se contaminaron durante el proceso de empaquetamiento. Ahora, las administraciones podrían recurrir contra ella y reclamarles miles de euros.

El bluf del ADN ha hecho que esta herramienta esté bajo sospecha y que los propios análisis de ADN puedan perder prestigio. La globalización ha convertido la producción de bastoncillos en algo muy poco rentable.

La fuerte competencia de los países asiáticos ha desplazado a la producción europea, que cada vez tiene menos empresas dedicadas a este producto. Aunque los bastoncillos para pruebas criminológicas y de laboratorio están esterilizados con la categoría 1, no significa que pueda haber fallos en la cadena de producción y de empaquetamiento, aunque “si hay algún resto biológico procedente de la manipulación de un empleado, ese material está esterilizado”, aclara un portavoz del sector.

Se equivocó el ADN, se equivocaba
Una de las respuestas más buscadas por los análisis de ADN es el nombre del padre de un bebé, aunque el enigma no siempre encuentra la solución. Hace unos meses, la Audiencia Territorial de Hamm, en el oeste de Alemania, obligó a un hombre a asumir la paternidad de un hijo de su esposa, que mantuvo relaciones sexuales con su hermano gemelo.

El argumento del tribunal es que el ADN de los dos hermanos es idéntico y no se puede determinar con exactitud cuál de los dos concibió al niño. Otro suceso, también en Alemania, es el de los gemelos Abbas y Hassan, de origen libanés, a los que la policía considera los autores del robo del siglo en Alemania: en la noche del pasado 25 de enero, un ladrón se llevó de KaDeWe, unos grandes almacenes de lujo, joyas y relojes por valor de más de cinco millones de euros. En el lugar se encontró un guante con la huella genética de los hermanos. Sin embargo, no se ha podido terminar a cuál de los dos corresponde y el tribunal ha tenido que absolverlos.

Según el profesor José Antonio Lorente, director del Laboratorio de Identificación Genética de la Universidad de Granada, “estos casos son excepcionales. En el futuro, tal vez los estudios epigenéticos (de mutaciones genéticas puntuales provocadas por factores ambientales) puedan determinar a quién corresponde el ADN”. Pero Lorente también cree que la epigenética no será muy eficaz en la investigación criminal, ya que “el material que encontramos y con el que trabajamos suele estar muy deteriorado”.

Este experto, que colabora desde hace varios años con la Guardia Civil y con el FBI, subraya que “el ADN ni prueba ni deja de probar que alguien sea culpable de un delito. Revela que esa persona estuvo en el lugar del delito o con la víctima, pero no que sea el autor”.

Pureza arqueológica
El yacimiento asturiano de El Sidrón se ha convertido en un referente para el estudio de los neandertales, concretamente para el proyecto Genoma Neandertal, que dirige Svante Päävo, del Instituto Max Plank de Leizpig. La importancia del yacimiento está en la pureza genética de los restos encontrados en esa cueva, que hace descartable la contaminación de los fósiles por bacterias procedentes del suelo o por material genético de los investigadores que están trabajando en la zona, según publicó la revista ‘Nature’ hace dos años.

Para el director del proyecto, de esa pureza depende que se pueda descifrar el genoma del Neandertal y establecer las diferencias con el genoma humano. El análisis del ADN mitocondrial extraído de un diente y de fragmentos de fémur ha permitido caracterizar genéticamente a algunos de los individuos hallados en el yacimiento de El Sidrón. Estos trabajos posibilitarán acotar aún más el momento en el que aparecieron los humanos actuales.
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La UGR mantiene el número de plazas para los nuevos alumnos en todos sus títulos

La UGR mantiene el número de plazas para los nuevos alumnos en todos sus títulos

La Universidad de Granada (UGR) mantendrá el próximo curso académico 2009/10 el mismo número de plazas que en el anterior para alumnos de nuevo ingreso en todas sus titulaciones de primer y segundo ciclo. Así lo ha decidido el Consejo de Gobierno de esta institución en su reunión celebrada hoy, según han informado fuentes de la UGR.

El equipo de gobierno de la UGR y los centros universitarios han coincidido en el límite de admisión de estudiantes de nuevo ingreso en la totalidad de los títulos, excepto en el caso de Biología, en cuyo caso la Facultad de Ciencias propuso disminuir en 12 las plazas con respecto al curso anterior -de 250 a 238-, aunque finalmente el número de plazas en estos estudios se mantendrá también sin cambios.
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