Découverte d’un gène augmentant l’efficacité des produits pharmaceutiques employés pour combattre le cancer et permettant d’en réduire les doses

Des chercheurs de l’Université de Grenade ont découvert un gène suicide, dénommé ‘gène E’, qui induit la mort des cellules tumorales dérivées du cancer du sein, du poumon et du côlon, et en empêche la croissance. L’importance de ce nouveau gène est que l’usage qu’on en fait pour combattre le cancer permet de réduire les puissants médicaments employés actuellement, ce qui devrait supposer un traitement contre le cancer plus efficace que les actuels.

Cette recherche a été réalisée par Ana Rosa Rama Ballesteros, du Département d’Anatomie et d’Embryologie Humaine de l’Université de Grenade, et dirigée par les professeurs Antonia Aránega Jiménez, José Carlos Prados Salazar et Consolación Melguizo Alonso. Leur objectif était d’étudier la possibilité de réduire les doses de médicaments actuellement employés chez des patients avec cancer moyennant la thérapie combinée avec le gène suicide E. Les scientifiques de l’UGR ont démontré que le gène assassin dénommé E du bactériophage phiX174 peut s’utiliser pour induire la mort des cellules tumorales. Jusqu’à la date, l’utilisation de nombreux agents chimiothérapiques (cytotoxiques) similaires au gène E présentait de grandes limitations, dérivées de leur toxicité et de leur pauvre affinité avec la tumeur.

Les avantages de la thérapie génique
Actuellement, la chimiothérapie, la radiothérapie et la chirurgie présentent des résultats
« limités » dans des étapes avancées du cancer, « raison pour laquelle il est urgent de trouver de nouvelles thérapies, et la thérapie génique a émergé comme une plateforme thérapeutique avec un énorme potentiel », a expliqué Ana Rosa Rama. Son travail a démontré qu’il « est possible d’employer la thérapie génique comme appui à la chimiothérapie, améliorant ses résultats au moment d’attaquer le cancer, en réduisant la dose des agents employés et, en conséquence, en contribuant à la diminution de leurs effets secondaires chez les patients. »
Les chercheurs ont étudié diverses techniques dans le but de comprendre le mécanisme d’action du gène E. Les résultats indiquent que le mécanisme d’action du gène E est l’induction d’apoptose (mort cellulaire programmée), probablement par lésion mitochondriale. En conséquence, ils soulignent que « ce nouveau gène E se présente comme un candidat idéal pour être transfecté dans des cellules tumorales dans le but d’induire des apoptoses, probablement moyennant l’activation de la voie mitochondriale, et d’augmenter la sensibilité de ces cellules à l’action des drogues développées spécifiquement pour agir contre elles. »

Les résultats de ce travail suggèrent la possibilité de réduire les concentrations d’agents chimiothérapiques utilisés actuellement. Ainsi, dans la ligne A-549 de cancer du poumon, les scientifiques de l’UGR ont obtenu un plus de 14% d’inhibition de croissance tumorale et une réduction de cent fois la dose de l’agent Paclitaxel un fois combiné avec le gène E. Dans le cas du cancer du côlon, les résultats obtenus ont été similaires. Cependant, la donnée la plus importante se trouve dans la ligne MCF-7 du cancer du sein, où la dose de l’agent chimiothérapique, la Doxorubicine, a pu être réduite cent fois, obtenant presque 21% d’inhibition de la prolifération tumorale une fois combinée avec le gène E. Actuellement, les chercheurs de l’UGR sont en train de patenter le gène E.

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Bas de photo : Effet de la thérapie combinée du gène E avec des agents cytotoxiques en sphéroïdes dérivés de la ligne du cancer du sein MCF-7. A. Contrôle ; B. Doxorubicine 10nM ; C. Paclitaxel 10nM ; D. Docetaxel 10nm ; combinés avec le gène E.

Référence : Ana Rosa Rama Ballesteros. Dpt. d’Anatomie et d’Embryologie Humaine de l’Université de Grenade. Tél. : 958 243534 ; courriel : anarosarama@ugr.es


New gene discovered that increases the effectiveness of drugs used to fight cancer and allows a reduction in dosage

Researchers at the University of Granada have found a suicide gene, called ‘gene E’, which leads to the death of tumour cells derived from breast, lung and colon cancer, and prevents their growth. The importance of this new gene is that its use to fight cancer can reduce the potent drugs that are currently used, so that could mean more effective treatment for cancer.

This research was conducted by Ana Rosa Rama Ballesteros, from the Department of Anatomy and Human Embryology at the University of Granada, and directed by professors Antonia Aránega Jimenez, José Carlos Prados Salazar and Consolación Melguizo Alonso. Its aim was to study the possibility of reducing the dosage of drugs currently administered to cancer patients using combination therapy with suicide gene E.

Scientists from the UGR have shown that the bacteriophage phiX174 killer gene called E, can be used to induce death in tumour cells. So far, attempts to use many chemotherapeutic (cytotoxic) agents similar to the E gene have shown severe limitations resulting from their toxicity and their poor affinity with the tumour.

Advantages of gene therapy
As Ana Rosa Rama explains, chemotherapy, radiotherapy and surgery show at present “limited” results in advanced stages of cancer. «That is why it is urgent to find new therapies, and gene therapy has emerged as a potentially powerful therapeutic platform.” Her work has shown that «it is possible to use gene therapy as an aid to chemotherapy, improving its results when it comes to attacking cancer, thus allowing the dosage of agents to be reduced and contributing to a reduction in side effects for the patient.»
In order to understand how the E gene works, the researchers conducted studies using various techniques. The results indicate that the E gene’s mechanism of action is to induce apoptosis (cell death), possibly through mitochondrial injury.

Therefore, they stress that «this new E gene appears as an ideal candidate to be transfected into tumour cells in order to induce apoptosis, possibly through mitochondrial activation, and to increase the sensitivity of these cells to the action of the drug developed specifically to act on them.»

The results of this research suggest the possibility of reducing the concentration of chemotherapeutic agents in current use with cancer patients. Thus, in lung cancer cell line A-549, scientists from the UGR achieved a 14% inhibition of tumour growth and reduced by 100 times the dose of Paclitaxel agent when it was combined with gene E. In the case of colon cancer, the results were similar. However, the most relevant fact was found in the breast cancer cell line MCF-7, in which the dose of the chemotherapeutic agent, doxorubicin, was reduced by 100 times, reaching up to a 21% greater inhibition of tumour proliferation when combined with gene E. Currently, researchers from the UGR are in the process of obtaining a patent for gene E.

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Effect of gene therapy combined with cytotoxic agents in E spheroids derived from breast cancer cell line MCF-7. A. Control; B. Doxorubicin 10nm, C. Paclitaxel 10nm, D. Docetaxel 10nm, combined with gene E.

Reference:
Antonia Aránega Jiménez. Department of Anatomy and Human Embryology, University of Granada. Tel: (+34) 958 243 534. E-mail: anarosarama@ugr.es


Descubren un nuevo gen que aumenta la eficacia de los fármacos que se emplean para combatir el cáncer y permite reducir sus dosis

Investigadores de la Universidad de Granada han descubierto un gen suicida, denominado ‘gen E’, que induce a la muerte a las células tumorales derivadas del cáncer de mama, pulmón y colon, e impide su crecimiento. La importancia de este nuevo gen radica en que su uso para combatir el cáncer permite reducir los potentes fármacos que se emplean actualmente, por lo que podría suponer un tratamiento más eficaz contra el cáncer que los que ahora se utilizan.

Esta investigación ha sido realizada por Ana Rosa Rama Ballesteros, del departamento de Anatomía y Embriología Humana de la Universidad de Granada, y dirigida por los profesores Antonia Aránega Jiménez, José Carlos Prados Salazar y Consolación Melguizo Alonso. Su objetivo era estudiar la posibilidad de reducir las dosis de los fármacos que actualmente se emplean en pacientes con cáncer mediante la terapia combinada con el gen suicida E.
Los científicos de la UGR han demostrado que el gen asesino denominado E del bacteriófago phiX174 se puede utilizar para inducir muerte en las células tumorales. Hasta ahora, el uso de muchos agentes quimioterapéuticos (citotóxicos) similares al gen E presentaban grandes limitaciones, derivadas de su toxicidad y de su pobre afinidad con el tumor.

Las ventajas de la terapia génica
Como explica Ana Rosa Rama, en la actualidad la quimioterapia, la radioterapia y la cirugía presentan resultados “limitados” en estados avanzados de cáncer. “Es por ello que urge encontrar nuevas terapias, y la terapia génica ha emergido como una plataforma terapéutica potencialmente poderosa”. Su trabajo ha demostrado que “es posible emplear la terapia génica como apoyo a la quimioterapia, mejorando sus resultados a la hora de atacar el cáncer, reduciendo la dosis de los agentes empleados y, por tanto, contribuyendo a la disminución de los efectos secundarios que conllevan a los pacientes”. 
Con el objetivo de comprender el mecanismo de acción del gen E, los investigadores realizaron estudios con diversas técnicas. Los resultados indican que el mecanismo de acción del gen E es la inducción de apoptosis (muerte de la célula), probablemente mediante lesión mitocondrial.
Por lo tanto, destacan que “este nuevo gen E aparece como un candidato ideal para ser transfectado en células tumorales con el objetivo de inducir apoptosis, probablemente mediante activación de la vía mitocondrial, y para aumentar la sensibilidad de estas células a la acción de las drogas desarrolladas específicamente para actuar sobre ellas”.

En este trabajo, los resultados sugieren la posibilidad de reducir las concentraciones de los agentes quimioterapéuticos de uso actual. Así, en la línea A-549 de cáncer de pulmón, los científicos de la UGR lograron un 14% más de inhibición del crecimiento tumoral y redujeron 100 veces la dosis del agente Paclitaxel cuando lo combinaron con el gen E. En el caso del cáncer de colon, los resultados obtenidos fueron similares. Sin embargo, el dato mas relevante fue hallado en la línea MCF-7 de cáncer de mama, en la que la dosis del agente quimioterapéutico, Doxorrubicina, pudo ser reducida 100 veces alcanzándose hasta un 21% más de inhibición de la proliferación tumoral al combinarlo con el gen E.
En la actualidad, los investigadores de la UGR están en trámites para obtener la patente del gen E.

gráficoEfecto de la terapia combined del gen E con agentes citotóxicos en esferoides derivados de la línea de cáncer de mama MCF-7. A. Control; B. Doxorrubicina 10nM; C. Paclitaxel 10nM; D. Docetaxel 10nM; combinados con el gen E.

Referencia:
Antonia Aránega Jiménez. Departamento de Anatomía y Embriología Humana de la Universidad de Granada. Tlfno: 958 243 534. Correo electrónico: anarosarama@ugr.es


La animación tridimensional (3D), herramienta docente en la UGR

«Desarrollo de material audiovisual y de simulación para la enseñanza de los dispositivos electrónicos» es el título del proyecto de innovación docente que dirige el profesor Francisco Manuel Gómez Campos, del Departamento de Electrónica y Tecnología de los Computadores. Con este proyecto, profesores y estudiantes del Departamento de Electrónica y Tecnología de los Computadores de la UGR han desarrollado un vídeo de animación tridimensional usando software libre. En él se muestra el funcionamiento básico del osciloscopio, un instrumento del laboratorio de electrónica, con el que se pretende iniciar a los estudiantes que han de usar por primera vez este artilugio.

El equipo de trabajo está conformado por Juan Enrique Carceller Beltrán, Andrés Godoy Medina, Juan Antonio Jiménez, Tejada, Pablo Lara Bullejos, Juan Antonio López Villanueva, Abraham Luque Rodríguez, Francisco Mier Mota y Salvador Rodríguez Bolívar.

En el vídeo  –que  puede verse en el portal YouTube bajo una licencia de uso Creative Commons: http://www.youtube.com/watch?v=wVXOIwtkFZk —   se modela un laboratorio virtual donde se ambienta la escena. “Igualmente se modela también el equipo de medida –dice Francisco Manuel Gómez– incluyendo los elementos básicos y necesarios para la asimilación de los conceptos por parte del estudiante. Sobre ese modelo, se realizan las tareas de exposición de cada una de las nociones que el alumno necesita tener sobre el funcionamiento del instrumento. El vídeo incluye una banda sonora compuesta de trabajos de artistas publicados bajo licencias Creative Commons”.

La narración del guión se ha realizado usando un sintetizador de voz disponible en la web. Y otros aspectos del proyecto incluyen la simulación de fenómenos físicos relacionados con la electrónica, en concreto se ha realizado una aplicación didáctica del fenómeno de la absorción de luz dentro de un material semiconductor.

Referencia:
Profesor Francisco Manuel Gómez Campos. Departamento de Electrónica y Tecnología de los Computadores. Universidad de Granada. Telf: 958 241000 Ext. 20090. Correo electrónico: fmgomez@ugr.es


Jornadas de recepción y bienvenida para los estudiantes internacionales de la UGR

Las jornadas darán comienzo el lunes 21 de septiembre a las 9 de la mañana en el Aula Magna de la Facultad de Medicina y se organizarán de nuevo a principios de Febrero para aquellos alumnos internacionales que vendrán a la UGR para estudiar durante el segundo cuatrimestre.

El programa de estas jornadas, organizadas cada año a principio de curso por el Vicerrectorado de Relaciones Internacionales de la UGR, se ha diseñado para ayudar a los nuevos estudiantes internacionales a adaptarse a la vida universitaria en Granada durante el transcurso de sus estudios, informándoseles sobre los aspectos más relevantes de su estancia en nuestra universidad y en nuestra ciudad. Es, además, la primera oportunidad para conocer a sus compañeros de estudio.

El programa incluye charlas informativas de distintos vicerrectorados, centros y servicios universitarios así como de asociaciones universitarias de estudiantes que proporcionarán al estudiante internacional información sobre sus estudios universitarios, su matriculación, el seguro médico, las actividades culturales que la UGR ofrece a lo largo del curso académico, la oferta de actividades deportivas durante el curso, dónde colaborar como voluntario, los cursos de idiomas que ofrece el Centro de Lenguas Modernas, los servicios que presta el Gabinete Psicopedagógico, etc.

A lo largo de la semana en que las jornadas de recepción se desarrollan, los estudiantes podrán disfrutar de otras actividades paralelas deportivas y de ocio que incluyen una gymkhana, un espectáculo de magia, paseos por los distintos campus universitarios, competiciones deportivas, actuación de la Tuna, visita al Parque de las Ciencias, etc.

Entre los centros y servicios participantes en las Jornadas están el Vicerrectorado de Relaciones Internacionales, el Vicerrectorado de Estudiantes, el Vicerrectorado de Extensión Universitaria, el Centro de Lenguas Modernas, el Gabinete Psicopedagógico, el Distrito Sanitario de Andalucía, el CICODE, el Servicio de Deportes, las asociaciones de estudiantes internacionales AEGEE y ESN, etc.
Las jornadas serán clausuradas con un acto oficial en el Parque de las Ciencias el jueves 24 de Septiembre a las 10 de la mañana. Y el sábado 26 a las 10:30 de la mañana se llevará a cabo la Jornada de Embajadores en el Ayuntamiento de Granada.

Según explica Javier Hernández Andrés, director del Secretariado de Internacionalización y Promoción del Vicerrectorado de Relaciones Internacionales, “La UGR es conocida mundialmente por ser una universidad acogedora y cosmopolita donde los alumnos internacionales pueden desarrollar sus estudios en un ambiente de calidad, innovación, diversidad, igualdad y tolerancia. No en vano, el 10% de los estudiantes matriculados en programas de grado y el 30% en programas de posgrado en la UGR son estudiantes internacionales, lo que sitúa a nuestra universidad a la cabeza de universidades europeas con mayor internacionalización”. El director del  Secretariado de Internacionalización y Promoción añade que “la UGR se enorgullece de estos datos y quiere dar la bienvenida a los nuevos estudiantes internacionales a un nuevo curso lleno de experiencias en un marco único de diversidad, entusiasmo y proyección internacional”.

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Alumnos internacionales del curso pasado en la UGR.

Referencia: Javier Hernández Andrés. Director del Secretariado de Internacionalización y Promoción. Vicerrectorado de Relaciones Internacionales UGR. Tel: 958 248 059. Móvil: 615952300.  correo elec: internationalization@ugr.eshttp://international.ugr.es/


La ETS de Ingenierías Informática y de Telecomunicaciones acoge la celebración del día mundial de la libertad del software

Mañana,  sábado día 19 de septiembre, desde las 10 h.  la Escuela Técnica Superior de Ingenierías Informática y de Telecomunicaciones de la Universidad de Granada acogerá las actividades del día mundial de la libertad del software (http://www.softwarefreedomday.org/), que se celebra por segunda vez en Granada; el año pasado tuvo lugar en las instalaciones de la empresa Fidesol, y este año ha rotado a este centro universitario.

Las actividades están promovidas por la Oficina de Software Libre de la Universidad, GCUBO (Grupo de usuarios de Gnu/Linux Granadinos) y Fidesol y apoyadas por la dirección de la ETSIIT, e incluirán talleres para presentar el software libre al público en general y ayudarlo con la instalación de sistemas operativos libres tales como Guadalinex, proyección de documentales, concursos de juegos libres tales como Nexuiz, Sauerbraten o Liquid Wars, y talleres más avanzados para los ya versados en las artes de programación libre.

Las actividades están abiertas a todo el mundo, y están dirigidas tanto a los adultos como a los más pequeños. En la edición anterior participaron alrededor de 50 personas, que terminaron la jornada con una subida en bicicleta al Llano de la Perdiz y picnic libre.

Referencia: JJ Merelo, director de la Oficina de Software Libre UGR. Correo elec: dirosl@ugr.es, Telf. 615950855. http://osl.ugr.es/2009/09/15/dia-de-la-libertad-del-software-2009/


Ideal

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El Mundo

Pág. 36: \»Hay sustancias en perfumes y detergentes que hacen enfermar\»
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Granada Hoy

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Pág. 17: El Parque de las Ciencias inicia un plan de divulgación sobre la gripe A|Las plantas medicinales, aliadas para prevenir los contagios
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La UGR formará expertos en condicionantes genéticos, nutricionales y ambientales del crecimiento y el desarrollo

La UGR formará expertos en condicionantes genéticos, nutricionales y ambientales del crecimiento y el desarrollo

La Universidad de Granada, a través de su Escuela de Posgrado, ha desarrollado para el curso 2009/2010 NUTRENVIGEN-G+D, un máster en condicionantes genéticos, nutricionales y ambientales del crecimiento y el desarrollo que dará comienzo en el mes de octubre.

NUTRENVIGEN-G+D es un programa de máster y doctorado interuniversitario de carácter multidisciplinar que va dirigido a numerosas titulaciones en el área de la salud, y para aquellos profesionales que trabajan en distintos campos de investigación en pediatría. De carácter interuniversitario, ha sido creado mediante convenio con la Universidad de Cantabria, la Universidad de Santiago de Compostela, la Universidad de Zaragoza y la Universidad Rovira i Virgili. El curso contará con la participación de profesores especializados en la materia de las cinco universidades.

La oferta del Programa Interuniversitario Condicionantes genéticos, nutricionales y ambientales del crecimiento y desarrollo (Genetics, Nutritionals and Environmental Factors for Growth and Development- NUTRENVIGEN-G+D-Factors) se concreta en una formación avanzada que permitirá una especialización académica o profesional, o bien, iniciar la carrera investigadora.

Coordinado por la UGR

La Universidad de Granada, como centro coordinador del Programa, oferta un total de 64 créditos de docencia, 12 créditos de prácticas y 24 créditos de investigación. El programa multidisciplinar que coordina el Departamento de Pediatría se complementa con los conocimientos de los profesores participantes de otros 8 Departamentos colaboradores de la Universidad de Granada, y otros 7 de las Universidades de Cantabria, Rovira i Virgili, Santiago de Compostela y Zaragoza.

A dicho programa de doctorado podrán acceder los licenciados en Medicina y Cirugía, Farmacia, Biología, Bioquímica, Biotecnología, Ciencia y Tecnología de los Alimentos, Odontología, Psicología y Antropología Social y Cultural, así como los Diplomados en Ciencias de la Salud o en Nutrición Humana y Dietética que estén en posesión de título de licenciado mediante otras titulaciones anteriores.

El plazo de preinscripción al máster finaliza el próximo 7 de octubre. La matrícula definitiva se podrá compulsar entre los meses de septiembre y octubre. Aún quedan plazas libres, con un cupo mínimo requerido de 10 asistentes por centro universitario y un máximo de 100 alumnos en total.
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Un investigador de la UGR en el equipo ganador de la 2009 Simulated Car Racing Competition celebrado en el Politécnico de Milán, Italia

Un investigador de la UGR en el equipo ganador de la 2009 Simulated Car Racing Competition celebrado en el Politécnico de Milán, Italia

El coche presentado por el ingeniero Enrique Onieva, del Instituto de Automática Industrial (Consejo Superior de Investigaciones Científicas) y el Dr. David Pelta, investigador del Grupo de Trabajo en Modelos de Decisión y Optimización de la Universidad de Granada, ha ganado la 2009 Simulated Car Racing Competition, organizada por Pier Luca Lanzi, Daniele Loiacono y Julian Togelius del Politecnico di Milano, Italia.

A lo largo de nueve carreras divididas en tres etapas, cada una desarrollada en congresos de máximo nivel, los participantes debían presentar la estrategia de conducción para un coche virtual con un doble objetivo: recorrer la máxima distancia posible en solitario y ser capaz de correr en presencia de otros competidores. Como dificultad añadida, los participantes desconocían las pistas donde se realizaban las carreras.

Esta investigación es de alta relevancia, no sólo en el área de los videojuegos, sino también para el desarrollo de sistemas inteligentes en escenarios dinámicos y con incertidumbre. Las competiciones de coches simulados son un escenario ideal para los investigadores interesados en la aplicación de técnicas inteligentes en escenarios complejos y dinámicos.

Conducir un coche virtual

A partir de información proporcionada por sensores virtuales (distancia a los bordes de la pista, distancia al oponente, velocidad, RPM, etc), la estrategia de control actúa sobre el volante, acelerador, freno y marchas.

Las carreras se desarrollaron en el entorno de simulación TORCS (The Open Racing Car Simulator), que está escrito en C++ y disponible bajo licencia GPL a través de la web. Entre los aspectos que hacen TORCS interesante desde el punto de vista académico cabe resaltar:

* Es totalmente configurable, y fácilmente extensible para implementar nuevas funcionalidades.

* Implementa una física motora altamente sofisticada (aerodinámicas, consumo de combustible, tracción,) así como unos gráficos 3D para la visualización de las carreras.

* Está especialmente diseñado para hacer lo más fácil posible la implementación de controladores.

El coche enviado por Onieva & Pelta se basa en una arquitectura modular de control donde cada módulo es responsable de una de las acciones que se consideran básicas para el control de un coche en carrera: 1) Control de marchas, 2) Control de velocidad, 3) Determinación de la velocidad permitida, 4) Control del volante, 5) Gestión de oponentes y 6) Aprendizaje entre vueltas.

La competición consistió en nueve carreras agrupadas en tres etapas que se llevaron a cabo en congresos de máximo nivel:

* IEEE Congress on Evolutionary Computation (CEC09), Trondheim (Noruega), Mayo de 2009.
* Genetic and Evolutionary Computation Conference (GECCO09), Montreal (Canadá), Julio de 2009.
* IEEE Congress on Computational Intelligence and Games (CIG09), Milán (Italia), septiembre de 2009.

Cada carrera se repitió 5 veces utilizando parrillas de salidas generadas al azar. La puntuación final se calculó como la mediana de las 5 repeticiones utilizando el sistema de puntos de la Formula 1 (10 para el primero, 8 al segundo, 6 al tercero, 5,4 y 3 al último). Además se daban dos puntos adicionales al coche que terminaba con menos daños y al que realizaba la vuelta más rápida. Bajo estas condiciones, el equipo formado por Onieva & Pelta alcanzó la puntuación global más alta, obteniendo el Campeonato.
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