On découvre pour la première fois qu’une espèce de lézard est plus grande et retient la chaleur plus longtemps quand elle habite des hauteurs plus élevées

Cette découverte, réalisée par des scientifiques de l’Université de Grenade, confirme que la dénommée règle de Bergmann (qui au XIXº siècle affirma que les animaux habitant des climats plus froids ont une taille corporelle supérieure) se confirme également chez des ectothermes, comme des reptiles et amphibies.

Ce travail a été publié dans la prestigieuse revue Journal of Evolutionary Biology.

 

Des scientifiques de l’Université de Grenade ont découvert que le lézard à longue queue (Psammodromus algirus) présente une plus grande taille quand il habite sur des hauteurs (avec un climat plus froid) que sur des terres basses et donc plus chaudes. De plus, les lézards qui vivent à plus de 2000 mètres d’altitude retiennent la chaleur plus longtemps dû à leur plus grande taille.

Ce travail, publié dans la prestigieuse revue Journal of Evolutionary Biology, confirme pour la première fois, depuis qu’elle fut proposée au XIXº siècle, que la dénommée règle de Bergmann (qui affirme que les animaux habitant des climats plus froids ont une taille corporelle supérieure) se confirme également chez des ectothermes, comme des reptiles et amphibies, et que le mécanisme sous-jacent est effectivement celui qu’il proposa : la majeure inertie thermique des animaux de grande taille dans des habitats froids.

Avec d’autres, comme celles d’Allen et de Gloger, la règle de Bergmann est une des grandes références macro-écologiques classiques. Elle fut établie par le naturaliste allemand Carl Bergmann en 1847, et postula que les animaux endothermes, qui génèrent de la chaleur interne moyennant des mécanismes physiologiques métaboliquement coûteux, comme les oiseaux et les mammifères, présentent une plus grande taille dans des habitats froids, de sorte que le rapport superficie-volume corporel se réduit et, par conséquent, le taux de perte de chaleur se réduit.

 

Animaux ectothermes

Cette tendance, dénommée « climat de Bergmann », s’est vérifiée chez de nombreux endothermes. Cependant, à cette date la situation n’était pas aussi claire chez les animaux ectothermes, qui dépendent de sources externes de chaleur (fréquemment la chaleur solaire) pour contrôler la température corporelle, comme les reptiles et les amphibies, entre autres.

Des études préalables à celles réalisées à l’UGR ont trouvé des cas d’ectothermes qui suivent le climat de Bergmann, mais il y en a d’autres où on n’observe pas de rapport entre la taille corporelle et la température environnementale, ou même chez lesquels se produit la tendance inverse, c’est-à-dire qu’il existe des groupes d’ectothermes dont les représentants sont plus petits dans des habitats froids.

L’explication généralement acceptée est que les ectothermes plus grands tarderaient plus à perdre de la chaleur dans des habitats froids, ce qui serait propice, mais aussi l’acquerraient plus lentement, ce qui serait  désavantageux. D’autre part, le mécanisme proposé par Bergmann pour expliquer leurs clines, cette capacité majeure de conserver la chaleur les animaux les plus grands, n’a jamais été constatée.

Dans cet article, Francisco Javier Zamora Camacho, Senda Reguera et Gregorio Moreno Rueda, chercheurs du département de Zoologie de l’UGR, ont démontré qu’un ectotherme, le lézard à longue queue (Psammodromus algirus), atteint des tailles supérieures sur les hauteurs de Sierra Nevada, ce qui correspond aux clines de Bergmann.

 

Un débat depuis le XIXº siècle

« Notre travail résout par conséquent deux controverses polémiques, brûlantes et profusément étudiées depuis le XIXº siècle. En premier lieu, il se trouve que la règle de Bergmann peut se vérifier chez des ectothermes s’il existe des mécanismes qui permettent que le taux de chaleur ne se voit pas réduit par une taille corporelle supérieure ; dans ce cas, la couleur plus obscure des lézards », signale l’auteur principal de ce travail, Francisco Javier Zamora Camacho.

De plus, les chercheurs ont vérifié pour la première fois depuis près de 200 ans que le mécanisme sous-jacent aux climats de Bergmann est effectivement celui que son créateur avait proposé : les animaux de taille supérieure présentent vraiment des taux de refroidissement plus lents, ce qui suppose un avantage dans les climats froids en leur permettant de retenir la chaleur, difficile à acquérir, pendant plus longtemps.

 

 

Référence bibliographique :

 Bergmann’s Rule rules body size in an ectotherm: heatconservation in a lizard along a 2200-metre elevational gradient. F. J. Zamora-Camacho, S. Reguera & G. Moreno-Rueda 

J . EVOL. BIOL . 27 (2014) 2820–2828

 

Contact :

Francisco Javier Zamora Camacho. Département de Zoologie de l’Université de Grenade.

Tél. : 0034 958 249854;
Courriel : zamcam@ugr.es

 


Lizards are larger and retain heat longer in high-altitude habitats

Universityof Granada scientists confirm that ectotherms–like reptiles and amphibians–dofollow «Bergmann’s rule». The 19th-century naturalist posited thatanimals inhabiting colder climates have a larger body size

The study has been published in the prestigious Journalof Evolutionary Biology

Scientists at the University of Granada (UGR) have found that the long-tailed lizard, Psammodromus algirus, is larger when living at high altitude–with a cold climate–than at a lower, and therefore warmer, altitude. In addition, lizards living at over 2000 meters retain heat longer because they are larger.

The study, published in the prestigious Journal of Evolutionary Biology, confirms for the first time since the so-called «Bergmann’s rule» was put forward in the nineteenth century, that it can also be applied to ectotherms. Bergmann’s rule states that animals inhabiting colder climates have a larger body size. University of Granada researchers’ have found that the underlying mechanism really is that proposed by Bergmann himself, namely the greater thermal inertia of large animals in cold habitats.

Together with Allen’s rule,Gloger’s rule, and others, Bergmann’s is one of the great, classical,macroecological rules. It was established by the German naturalist Carl Bergmann in 1847. He postulated that endotherms like birds and mammals, which generate heat by using metabolically-costly, internal physiological mechanisms,are larger in cold habitats so their surface/body volume ratio decreases and, therefore, the rate of heat loss decreases too.

 

Ectotherms 

This tendency, called the «Bergmann cline», has been found in many endotherms. However, until now the situation with ectotherms–like reptiles and amphibians, among others–was not so clear because they depend on external sources of heat, often solar heat, to control body temperature.

Studies prior to that conducted at the UGR found cases of ectotherms that follow the Bergmann cline but there are also many cases with no relationship between body size and environmental temperature. There are even cases where the opposite prevails: representatives of some ectotherm groups in cold habitats are actually smaller.

The generally accepted explanation is that larger ectotherms take longer to lose heat in cold habitats, which would benefit them, but would also raise their temperature more slowly, which would be disadvantageous. Moreover, the mechanism that Bergmann proposed as an explanation for the clines–the greater heat-conservation capacity of larger animals–has never been demonstrated.

In their article, Francisco Javier Zamora-Camacho, Senda Reguera and Gregory Moreno-Rueda, researchers from the UGR’s Department of Zoology, have shown that an ectotherm, the long-tailed lizard Psammodromusalgirus, reaches larger sizes at higher altitudes in the Sierra Nevada mountainsof southern Spain, which correspond to the Bergmann clines.

 

Under debate since the 19th century 

«Our work, therefore, resolves two controversial issues that have been widely studied since the nineteenth century, yet remain very much alive. First, we’ve found that in ectotherms Bergmann’s rule can be followed if there are mechanisms that permit the heating rate to remain stable despite larger body size. In this case, that mechanism is the lizard’s darker colour, «said the principal author of this work, Francisco Javier Zamora-Camacho, of the UGR’s Department of Zoology. 

In addition, for the first time in nearly 200 years, the researchers have shown that the mechanism underlying the Bergmann clines is effectively that proposed by Bergmann himself: larger animals really do have slower cooling rates. This is an advantage in cold climates as it enables them to retain heat–which they find difficult to aqcuire–for longer periods.

 

Reference:
Bergmann’s Rule rules body size in an ectotherm: heat conservation in a lizard along a 2200-metre elevational gradient
F. J. Zamora-Camacho, S. Reguera & G. Moreno-Rueda
J . EVOL. BIOL . 27 (2014) 2820–2828

Reference:
Bergmann’s Rule rules body size in an ectotherm: heat conservation in a lizard along a 2200-metre elevational gradient

F. J. Zamora-Camacho, S. Reguera & G. Moreno-Rueda

J . EVOL. BIOL . 27 (2014) 2820–2828

Contact: 
Francisco Javier Zamora-Camacho Department of Zoology. University of Granada
Phone: +34 958 249854
E-mail address: zamcam@ugr.es

 


¿Cómo cambian de color los camaleones?

Uno de los placeres que nos permitimos los científicos es recrearnos con la lectura de un trabajo bien hecho por un colega. El último que acabo de disfrutar ha sido publicado en la revista Nature Communications por Michel Milinkovitch y un equipo interdisciplinar suizo y trata de los camaleones, esos extraños animales a los que, de niños, admirábamos absortos durante horas en las tardes del verano andaluz: sus globosos ojos que se mueven independientemente, su larguísima, rápida y certera lengua bífida y sobre todo esa asombrosa habilidad para cambiar el color de su piel. De eso trata el trabajo del que les hablo, de cómo cambian el color de su piel los camaleones. Les va a sorprender el mecanismo.

 

Hemos aprendido en el colegio y en la vida que el color de las cosas depende de los materiales de los que están hechas. Aprendimos que el cobre daba una llama azul, el sodio un amarillo intenso, y el estroncio un escarlata inconfundible. Y sabemos que para teñir fibras, colorear alimentos o fabricar pinturas utilizamos pigmentos minerales u orgánicos: los ocres rojos y amarillos de los óxidos de hierro, la púrpura de las mucosas de las caracolas del género Murex o de la anilina, el azul ultramar del lapislázuli, el carmín del ácido carmínico de las cochinillas, el amarillo cúrcuma o el rojizo de la henna, por poner algunos ejemplos.

Instalación de la exposición «Cristales: un mundo por descubrir»
Todo eso que nos enseñaron es cierto. Efectivamente, las moléculas de los pigmentos absorben determinadas longitudes de ondas del arco iris de colores de la luz visible y reflejan otras, es decir, reflejan su color. Pero lo nuevo que debemos aprender es que hay colores que no se deben a los materiales que los componen sino a cómo están distribuidos los materiales que los componen. Resulta que en la piel del camaleón pantera y de otros camaleones existe una capa superficial con células que contienen unas bolitas de guanina de una décima de milímetro. Lo sorprendente es que esas bolitas se ordenan al tresbolillo formando un cristal en el que la distancia entre las bolitas de guanina es similar a la longitud de onda de la luz visible, es decir formando un cristal fotónico, un cristal que difracta la luz visible. Cuando la luz incide sobre ese cristal se producen interferencias que intensifican ciertas longitudes de onda, ciertos colores. ¿De que depende el color intensificado? Pues de la periodicidad del cristal fotónico, de la distancia entre las bolitas de guanina.

Los camaleones no cambian de color para camuflarse sino para ligar y para pelearse»
Cuando el camaleón está en calma, las bolitas de guanina forman una malla cerrada y la luz que se refleja es azul. Cuando el camaleón macho quiere atraer a una hembra o plantarle cara a un contrincante, estira la piel y las bolitas de guanina se separan por lo que la luz reflejada es de color rojo. Los colegas suizos lo han comprobado de una forma elegante. Han practicado una biopsia en la piel de un camaleón cabreado (de piel roja) y la han metido en una disolución salina: la sal provocó que las bolitas de guanina se acercaran y la piel tornó a color verde. Este mecanismo es extraordinariamente eficaz para cambiar el color pero no sirve para proteger al animal de la insolación extrema en los desiertos donde vive. Para redondear el trabajo, los colegas suizos han descubierto que por debajo de esa capa de cristales fotónicos existe otra capa de células que también tienen bolitas de guanina de mayor tamaño y más desordenadas que absorbe en el infrarrojo cercano y que, por tanto, es un eficaz termorregulador.

Hay colores que no se deben a los materiales que los componen sino a cómo están distribuidos los materiales»
Sepan que los camaleones no cambian de color para camuflarse sino para ligar y para pelearse, para lo de siempre. ¿Y a nosotros, para qué nos sirve esto? Para aprender de la vida a fabricar cristales fotónicos, trajes de camuflaje, tejidos inteligentes, etc… Los brillantes azules y verdes de las alas de las mariposas tampoco se deben a pigmentos sino a la interferencia de la luz visible con las microestructuras de las escamas de quitina que las forman. Lo mismo ocurre con el color de las plumas de las aves, o con la iridiscencia del nácar y del ópalo. Son los llamados colores estructurales, una forma de colorear que la vida encontró hace millones de años y que hoy tratamos de imitar en nuestras fábricas y laboratorios. Lo que ahora nos han descubierto los colegas suizos es cómo los colores estructurales pueden ser activamente controlados por un organismo vivo ¿Lo podremos hacer nosotros?

Puesto a buscar aplicaciones quizás esto también sirva para que cuando usted vea a un niño absorto ante un camaleón una tarde de verano le pueda explicar de qué va la ciencia y cómo funciona la vida. No todo son milagros de primavera.

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Granada Hoy

Pág. 3: Lo más visto en la web: Universidad. La campaña 

Pág. 17: La UGR condena la masacre en kenia y pide más seguridad

Pág. 22: ‘El paisaje y el lugar’, de Carmen Laffón

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WORLD’S OLDEST-KNOWN CASE OF CANCER DISCOVERED IN ANCIENT EGYPTIAN SKELETON

EgiptoCancer Amid a surge of archaeological discoveries taking place in Egypt recently, the Egyptian Ministry of Antiquities announced the discovery of what is believed to be the world’s oldest-known case of breast cancer in the 4,200-year-old skeleton of an adult woman.

 

The bones of the woman, believed to be an aristocrat from the 6th Pharaonic Dynasty dating back to 2200 BC, showed «extraordinary deterioration,» Antiquities Minister Mamdouh El Damaty said in a statement on Tuesday.

«The study of her remains shows the typical destructive damage provoked by the extension of a breast cancer as a metastasis.»

4,200-year-old bones discovered in Upper Egypt that carry evidence of cancer. Credit: Egyptian Ministry of Antiquities4,200-year-old bones discovered in Upper Egypt that carry evidence of cancer.
Credit: Egyptian Ministry of Antiquities
Unearthed by a Spanish research team based at the University of Jaen and led by the University of Granada headed by Miguel Botella, the remains of the skeleton were discovered in the necropolis of Qubbet El-Hawa, west of the city of Aswan in southern Egypt.

A year ago, a similar discovery was made by a team of British researchers who found traces of metastatic cancer in a 3,000-year-old skeleton unearthed from a tomb in modern day Sudan.

Credit: Egyptian Ministry of AntiquitiesCredit: Egyptian Ministry of Antiquities
Together, the two discoveries show strong evidence that suggests an occurrence of cancer around the Nile Valley. This also weakens the prevailing assumption that cancer is a modern disease which rose as the average life expectancy increased.

Meanwhile, researchers at the Durham University have been running extensive scans on fully kept skeletons, and not just skulls, in an attempt to follow the history of cancer.

«Very little is known about the antiquity, epidemiology and evolution of cancer in past human populations,» the Durham University researchers wrote. «Nevertheless, ancient medical documents indicate pathological conditions, tentatively identified as cancer, were known both to the Ancient Egyptians and Greeks.»

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Ideal

Pág. 11: Publicidad. Pruebas y exámenes que ofrece el Centro de Lenguas Modernas de la UGR para acreditar el nivel B1/B2 – PRIMAVERA/verano 2015

Pág. 12: La Universidad de Granada frena la caída de usuarios de sus comedores

48 días para pagar a los proveedores

La institución universitaria condena los asesinatos en Kenia

El Centro de Empleo organiza un congreso sobre orientación profesional

Pág. 17: Arqueólogos buscan voluntarios para recuperar dos acequias medievales en Lugros

Pág. 25: Opinión: Francisco Cuenca: Granada, ciudad universitaria y Ayuntamiento

Pág. 65: Agenda:

– Exposiciones:

Vida y obra de Leon Tolstói’

La geología de los parques naturales

Trasfondos

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Exposición fotográfica “Vida y obra de Leon Tolstói”, en la Facultad de Filosofía y Letras

Compuesta por fotografías y reproducciones de los lugares y personas que influyeron vivamente en la vida del gran escritor ruso

Hasta el próximo 17 de abril se puede visitar en el vestíbulo de la Facultad de Filosofía y Letras de laUniversidad de Granada la exposición fotográfica “Vida y obra de Leon Tolstói”, donde pueden contemplarse fotografías y reproducciones de los lugares y personas que influyeron vivamente en la vida del gran escritor ruso.

La exposición se celebra en el marco del Año Dual de la Lengua Rusa y la Literatura en Ruso en España y de la Lengua Española y la Literatura en Español en Rusia (2015-2016).

La exposición está organizada por el Grupo de Investigación (HUM 827) “Eslavística, caucasología y tipología lingüística”, el Centro Ruso de Ciencia y Cultura de Madrid y la Facultad de Traducción e Interpretación de la Universidad de Granada.

L. N. Tolstói (1828–1910)

Hace ya más de cien años que el mundo sigue viviendo sin Tolstói, pero el interés hacia sus obras no disminuye. Los problemas que él plantea en sus obras son imperecederos, son todavía muy importantes y palpitantes para la gente de hoy: la fe y la amistad, el sentido de la vida y la búsqueda de la verdad, del amor y de la comprensión, del perdón y del arrepentimiento, de la iniquidad y la absurdidad de la guerra, el problema de la opción moral cotidiana…

Algunos de los objetos recogidos en las fotografías de la exposición se guardan en la casa memorial de L. N. Tolstói en Yásnaia Poliana. Aquí él nació, vivió la mayor parte de su vida, creó cerca de doscientas obras y allí está enterrado. La casa de Tolstói en Yásnaia Poliana guarda los secretos de continuos perfeccionamientos y transformaciones del escritor. Los objetos de la casa, así como los paisajes de Yásnaia Poliana, son testimonios y detalles de su vida que nos permiten entender mejor tanto a Tolstói como a sus obras. En la exposición se pueden ver imágenes de objetos únicos: el reloj inglés que sigue dando el tiempo en Yásnaia Poliana desde hace más de doscientos años; los retratos de los abuelos del escritor que llegaron a ser los prototipos de los personajes de sus obras; el escritorio y el juego de escribir; el famoso sofá de cuero (en el cual nació el escritor, sus hermanos, sus once hijos y dos nietos), así como la biblioteca del escritor.

La exposición incluye retratos de Tolstói pintados por Ilyá Repin, Nikolái Ge, y Mikhaíl Nésterov, los manuscritos del autor, incluidas las

novelas “Guerra y Paz” y “Anna Karénina”, los autógrafos de documentos y cartas de Tolstói, las ilustraciones de sus libros hechas por los conocidos pintores, así como fotografías de Tolstói y su familia.

  • EXPOSICIÓN FOTOGRÁFICA: “Vida y obra de Leon Tolstói”.
  • LUGAR: Vestíbulo de la Facultad de Filosofía y Letras.
  • FECHAS: Del 6 al 17 de abril de 2015.
  • HORARIO: el de apertura del centro.


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“Martirios y mentalidad martirial en las Alpujarras”, libro del mes de marzo

La Editorial Universidad de Granada (eug) ha seleccionado como libro del mes de abril de 2015 la obra de los profesores Manuel Barrios Aguilera y Valeriano Sánchez Ramos, que se ha puesto a la venta al precio de 8 euros

Cada mes, la eug selecciona una obra relevante de su catálogo de publicaciones y la ofrece al público en condiciones muy ventajosas durante todo el año

Manuel Barrios Aguilera y Valeriano Sánchez Ramos son los autores del libro “Martirios y mentalidad martirial en las Alpujarras”, que la Editorial Universidad de Granada (eug) ha seleccionado como libro del mes de abril de 2015 y ha puesto a la venta al precio de 8 euros.

Con esta campaña, la eug selecciona cada mes una obra relevante de su catálogo de publicaciones y la ofrece al público, en condiciones muy ventajosas, durante todo el año.

El gran empeño del arzobispo don Pedro de Castro (1534-1623) fue crear un paradigma católico que, además de borrar los siglos de dominación musulmana, legitimara la primacía hispana de la “Iglesia restaurada”. Para el cumplimiento de ese objetivo no dudó en atribuir un importante papel a las invenciones sacromontanas, los libros plúmbeos, las reliquias y cuantos elementos le fueran útiles en el fortalecimiento de esa idea. Uno de esos elementos fue los “martirios” –tal como se conceptuaron inmediatamente– de cientos de cristianos viejos que en la nochebuena de 1568 y en días siguientes encontraron la muerte como consecuencia inmediata de la primera explosión de los moriscos alpujarrreños. Nació de esa manera una “mentalidad martirial” en la Alpujarra que marcó de manera indeleble la religiosidad de la comarca, sus creencias, ritos y advocaciones, hasta el punto de constituirse en uno de los pilares de su identidad, reforzando la tradicional pugna entre realidad histórica y mitología que aprisiona a esta singular comarca.

Libro del mes de abril de 2015 de la eug

  • Título: “Martirios y mentalidad martirial en las Alpujarras”.
  • Autores: Manuel Barrios Aguilera y Valeriano Sánchez Ramos.
  • Editorial: Universidad de Granada (eug).
  • Primera edición: 2001.
  • Precio especial de promoción: 8 euros.


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Abierto el plazo de inscripción para las actividades del Programa ECOCAMPUS GRANADA 2015

Programa de Educación y Voluntariado Ambiental para laUniversidad de Granada

Está abierto el plazo de inscripción para las actividades de ECOCAMPUS GRANADA 2015, Programa de Educación y Voluntariado Ambiental para la Universidad de Granada impulsado por la Universidad de Granada y la Consejería de Medio Ambiente y Ordenación del Territorio:

Las actividades son totalmente gratuitas y están dirigidas a toda la comunidad universitaria.

11 abril: Visita al Parque Natural Sierra de Huétor: bienvenida e introducción a la gestión del espacio natural protegido (Director Conservador).

Iniciaremos la visita en el precioso manantial de Fuente Grande, lugar de nacimiento de la Acequia de Aynadamar construcción de época musulmana que acercaba el agua al barrio del Albayzín. En su recorrido pasaremos por conocidos lugares lorquianos y tendremos la oportunidad de conocer una playa fosilizada.

Posteriormente visitaremos el Centro de Visitantes Puerto Lobo (para hacer una introducción sobre los valores del P. N. Sª Huétor). E inmediatamente comenzaremos el paseo hacia la Cruz de Víznar, donde conoceremos el bosque mediterráneo y descubriremos algunos extraños habitantes, los pinsapos.

Una vez pasada la Cueva del Agua llegaremos al Arboretum Alfaguara, declarado Arboleda Singular y donde realizaremos una visita guiada. Será nuestro lugar del almuerzo.

Después, realizaremos el itinerario guiado desde Alfaguara-Puerto Lobo, pasando por diferentes hitos como el nacimiento del Río Darro, trincheras de la Guerra Civil, etc.

12 abril: Voluntariado Humedales de Granada: en coordinación con los responsables de la conservación de la Reserva de la Charca Suárez, junto con los responsables de las actuaciones de voluntariado en dicho espacio, la asociación Buxus, se ha planteado una completa actividad de voluntariado que nos permitirá mejorar las condiciones de este riquísimo humedal de la costa.

Lo primero que haremos será una recepción de los participantes, entrega de material didáctico y formación básica para la actuación de voluntariado. Nos dividiremos en grupos-equipos que realizarán diversas tareas:

  • Limpieza de la Charca Suárez.
  • Acondicionamiento del Jardín Botánico de la Charca Suárez, principalmente trasladando y trasplantando plantas del mismo para la mejora de la instalación y conservación de las especies.
  • Creación y acondicionamiento de un muro de piedra para los reptiles.
  • Reforestación de alguna zona.

Tendremos que tener cuidado, pues la rica variedad de anátidas de la zona se encuentra en periodo de reproducción.

Pero además, todos los participantes podrán disfrutar de una interesantísima visita guiada por la Reserva Natural de la Charca Suárez, en la que nos sensibilizaremos sobre la importancia de los humedales en nuestra zona y podremos conocer diversas especies de anátidas y la vegetación de este rico entorno.

Para acabar, y ya de vuelta a Granada, realizaremos una visita guiada a las Turberas del Padul (E.N. Sª Nevada), apoyándonos en el Aula de la Naturaleza y usando el Sendero del Mamut y los observatorios asociados. Durante esta visita se aprovechará para hacer una limpieza del sendero, zonas de descanso, observatorios ornitológicos, etc.

18 abril: Visita al Espacio Natural Sierra Nevada: bienvenida e introducción a la gestión del espacio natural protegido (Director Espacio). Desde la Zona de Cumbres Verdes nos desplazaremos por la pista forestal que nos lleva al Jardín Botánico de la Cortijuela. Este se visitará de forma guiada, conociendo algunas de las joyas botánicas que existen en su interior, plantas en peligro de extinción, endémicas y muchas de ellas adaptadas a las especiales condiciones de los suelos formados por dolomías.

Posteriormente rodearemos el mítico pico del Trevenque, emblema de la media montaña granadina, que posee un gran valor botánico y geológico. Pasaremos por el Cortijo Rosales y llegaremos a la toma de agua del Canal de la Espartera, en el Río Dílar. Volveremos al punto de inicio siguiendo el Canal de la Espartera.

19 abril: Voluntariado Uso Público Sostenible de las Cumbres de Sierra Nevada: en coordinación con la red de voluntarios de Sierra Nevada y el servicio de Uso Público del Espacio Natural, realizaremos una completa actividad de voluntariado en el Puerto de la Ragua, en la que dividiremos el grupo en varios equipos que realizarán diversas tareas:

  • Una campaña de sensibilización con los visitantes del entorno para promover un uso público sostenible.
  • Una limpieza del entorno.
  • Una revisión de las cajas nido y control de la nidificación.

Restauración y mejora de elementos de uso público, principalmente un tramo asociado al sendero de gran recorrido Sulayr.

Si después de estas múltiples tareas todavía nos queda algo de fuerza, a la vuelta pararemos un rato para ver el castillo de la Calahorra.

Más información e inscripción en:


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Granada Hoy

Pág. 3: Lo más leído en la web. Entrevista. Un problema para la humanidad

Pág. 14: La campaña electoral para el Rectorado comienza en internet

La Universidad de Granada lidera la producción regional de tesis doctorales

Pág. 38: La Casa Molino Ganivet se estrena como centro de documentación

Pág. 41: Necrológicas D. José Francisco Robles Garzón. (PROFESOR TITULAR DEL DEPARTAMENTO DE CIRUGÍA Y SUS ESPECIALIDADES (OFTALMOLOGÍA), FACULTAD DE MEDICINA)

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