Une étude démontre que l’ibuprofène favorise la réparation de l’os après une fracture ou une chirurgie

  • Des scientifiques de l’Université de Grenade démontrent à partir d’études in vitro que cet anti-inflammatoire non stéroïde (AINS) favorise à doses thérapeutiques la régénération de l’os en réparation.
  • L’article a été publié récemment dans la prestigieuse revue Journal if bone and mineral metabolism

Une étude réalisée à l’Université de Grenade démontre que l’ibuprofène, un anti-inflammatoire non stéroïde (AINS), possède des propriétés bénéfiques par rapport à d’autres AINS lors du traitement de l’os après une fracture ou une chirurgie osseuse.

Les scientifiques ont vérifié à partir d’études in vitro que ce produit, administré à doses thérapeutiques, n’a pas d’effets adverses sur la capacité proliférative ni sur la synthèse de l’ostéocalcine de l’ostéoblaste, une cellule directement impliquée dans le processus de formation et de régénération du tissu osseux, à la différence d’autres AINS.

Les ostéoblastes sont les cellules de l’os qui font la synthèse de la matrice osseuse, jouant ainsi un rôle fondamental aussi bien dans le développement que dans la croissance de l’os, et s’occupant de l’entretien, de la croissance et de la réparation.

Évaluation positive

Dans un article publié récemment dans la prestigieuse revue Journal if bone and mineral metabolism, les scientifiques de l’Université de Grenade ont évalué très positivement les effets de l’ibuprofène sur les thérapies en rapport avec le tissu osseux. Tous sont membres du Groupe de Recherche BIO0277, qui étudie l’effet de différents traitements pharmacologiques et non pharmacologiques sur l’ostéoblate.

Tel que l’a expliqué la professeure du département d’Infirmerie de l’Université de Grenade, Concepción Ruiz Rodríguez, principale auteure de l’étude, « il n’existait à cette date presque pas d’information sur l’effet de l’ibuprofène sur les ostéoblates ». Le travail réalisé à l’Université de Grenade a démontré que les doses thérapeutiques d’ibuprofène (5 et 25 μm) n’inhibent pas la prolifération cellulaire ni la synthèse de l’ostéocalcine dans la ligne cellulaire MG-63, alors que, si elles sont administrées à une dose plus élevée (25 μm), il peut se produire une activation des cellules qui pourrait expliquer l’augmentation dans l’expression de marqueurs de membrane et la diminution de la capacité phagocytaire.

L’article est disponible sur http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22543821

Concepción Ruiz Rodríguez. Département d’Infirmerie de l’Université de Grenade. Tél.: 958 243 497; courriel: crr@ugr.es


Une étude démontre que l’ibuprofène favorise la réparation de l’os après une fracture ou une chirurgie

  • Des scientifiques de l’Université de Grenade démontrent à partir d’études in vitro que cet anti-inflammatoire non stéroïde (AINS) favorise à doses thérapeutiques la régénération de l’os en réparation.
  • L’article a été publié récemment dans la prestigieuse revue Journal if bone and mineral metabolism

Une étude réalisée à l’Université de Grenade démontre que l’ibuprofène, un anti-inflammatoire non stéroïde (AINS), possède des propriétés bénéfiques par rapport à d’autres AINS lors du traitement de l’os après une fracture ou une chirurgie osseuse.

Les scientifiques ont vérifié à partir d’études in vitro que ce produit, administré à doses thérapeutiques, n’a pas d’effets adverses sur la capacité proliférative ni sur la synthèse de l’ostéocalcine de l’ostéoblaste, une cellule directement impliquée dans le processus de formation et de régénération du tissu osseux, à la différence d’autres AINS.

Les ostéoblastes sont les cellules de l’os qui font la synthèse de la matrice osseuse, jouant ainsi un rôle fondamental aussi bien dans le développement que dans la croissance de l’os, et s’occupant de l’entretien, de la croissance et de la réparation.

Évaluation positive

Dans un article publié récemment dans la prestigieuse revue Journal if bone and mineral metabolism, les scientifiques de l’Université de Grenade ont évalué très positivement les effets de l’ibuprofène sur les thérapies en rapport avec le tissu osseux. Tous sont membres du Groupe de Recherche BIO0277, qui étudie l’effet de différents traitements pharmacologiques et non pharmacologiques sur l’ostéoblate.

Tel que l’a expliqué la professeure du département d’Infirmerie de l’Université de Grenade, Concepción Ruiz Rodríguez, principale auteure de l’étude, « il n’existait à cette date presque pas d’information sur l’effet de l’ibuprofène sur les ostéoblates ». Le travail réalisé à l’Université de Grenade a démontré que les doses thérapeutiques d’ibuprofène (5 et 25 μm) n’inhibent pas la prolifération cellulaire ni la synthèse de l’ostéocalcine dans la ligne cellulaire MG-63, alors que, si elles sont administrées à une dose plus élevée (25 μm), il peut se produire une activation des cellules qui pourrait expliquer l’augmentation dans l’expression de marqueurs de membrane et la diminution de la capacité phagocytaire.

L’article est disponible sur http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22543821

Concepción Ruiz Rodríguez. Département d’Infirmerie de l’Université de Grenade. Tél.: 958 243 497; courriel: crr@ugr.es


A Study Demonstrates that Ibuprofen Improves Bone Repair after Surgery or a Fracture

  • An in vitro study conducted at the University of Granada has demonstrated that a therapeutic dose of this non-steroidal anti-inflammatory drug (NSAID) improves bone repair.
  • The article has been recently published in the prestigious Journal of bone and mineral metabolism.
A study conducted at the University of Granada has demonstrated that ibuprofen ­–a non-steroidal anti-inflammatory drug (NSAID)­– has beneficial effects on bone repair after a fracture or following bone surgery.
In vitro tests demonstrated that –unlike other NSAIDs– when a therapeutic dose of ibuprofen is administered, it has no negative effects on the proliferation and synthesis of obsteoblast osteocalcin, a cell which is directly involved in the formation and regeneration of bones.
Osteoblast cells are bone cells that synthesize the bone matrix. Consequently, osteoblasts play a major role in bone development, growth, maintenance and repair.
Positive Results
In an article recently published in the prestigious Journal of bone and mineral metabolism, the University of Granada researchers report the positive effects of ibuprofen on bone repair. The researchers are members of the research group BIO277, which studies the effects of different pharmacological and non-pharmacological therapies on obsteoblast cells.
The primary author of this article, Concepción Ruiz Rodríguez, a professor at the University of Granada Nursing Department states that “up to date, we had little information on the effects of ibuprofen on osteoblast cells”. The University of Granada study demonstrates that a therapeutic dose of ibuprofen (5-25 µm.) does not inhibit the proliferation and synthesis of osteocalcin in the MG-63 cell line. However, when higher doses are administered (>25 µm.) they may activate other cells, which might explain the expression of membrane markers and the decrease in the phagocytic capacity.
Reference:
This article is available at: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22543821
Contact:
Concepción Ruiz Rodríguez
University of Granada Department of Nursing
Phone Number: +34 958 243 497
E-mail: crr@ugr.es

A study conducted at the University of Granada has demonstrated that ibuprofen ­–a non-steroidal anti-inflammatory drug (NSAID)­– has beneficial effects on bone repair after a fracture or following bone surgery.In vitro tests demonstrated that –unlike other NSAIDs– when a therapeutic dose of ibuprofen is administered, it has no negative effects on the proliferation and synthesis of obsteoblast osteocalcin, a cell which is directly involved in the formation and regeneration of bones.Osteoblast cells are bone cells that synthesize the bone matrix. Consequently, osteoblasts play a major role in bone development, growth, maintenance and repair.

Positive Results

In an article recently published in the prestigious Journal of bone and mineral metabolism, the University of Granada researchers report the positive effects of ibuprofen on bone repair. The researchers are members of the research group BIO277, which studies the effects of different pharmacological and non-pharmacological therapies on obsteoblast cells.

The primary author of this article, Concepción Ruiz Rodríguez, a professor at the University of Granada Nursing Department states that “up to date, we had little information on the effects of ibuprofen on osteoblast cells”. The University of Granada study demonstrates that a therapeutic dose of ibuprofen (5-25 µm.) does not inhibit the proliferation and synthesis of osteocalcin in the MG-63 cell line. However, when higher doses are administered (>25 µm.) they may activate other cells, which might explain the expression of membrane markers and the decrease in the phagocytic capacity.

Reference: This article is available at: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22543821

Contact: Concepción Ruiz Rodríguez University of Granada Department of Nursing. Phone Number: +34 958 243 497 E-mail: crr@ugr.es

 


A Study Demonstrates that Ibuprofen Improves Bone Repair after Surgery or a Fracture

  • An in vitro study conducted at the University of Granada has demonstrated that a therapeutic dose of this non-steroidal anti-inflammatory drug (NSAID) improves bone repair.
  • The article has been recently published in the prestigious Journal of bone and mineral metabolism.
A study conducted at the University of Granada has demonstrated that ibuprofen ­–a non-steroidal anti-inflammatory drug (NSAID)­– has beneficial effects on bone repair after a fracture or following bone surgery.
In vitro tests demonstrated that –unlike other NSAIDs– when a therapeutic dose of ibuprofen is administered, it has no negative effects on the proliferation and synthesis of obsteoblast osteocalcin, a cell which is directly involved in the formation and regeneration of bones.
Osteoblast cells are bone cells that synthesize the bone matrix. Consequently, osteoblasts play a major role in bone development, growth, maintenance and repair.
Positive Results
In an article recently published in the prestigious Journal of bone and mineral metabolism, the University of Granada researchers report the positive effects of ibuprofen on bone repair. The researchers are members of the research group BIO277, which studies the effects of different pharmacological and non-pharmacological therapies on obsteoblast cells.
The primary author of this article, Concepción Ruiz Rodríguez, a professor at the University of Granada Nursing Department states that “up to date, we had little information on the effects of ibuprofen on osteoblast cells”. The University of Granada study demonstrates that a therapeutic dose of ibuprofen (5-25 µm.) does not inhibit the proliferation and synthesis of osteocalcin in the MG-63 cell line. However, when higher doses are administered (>25 µm.) they may activate other cells, which might explain the expression of membrane markers and the decrease in the phagocytic capacity.
Reference:
This article is available at: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22543821
Contact:
Concepción Ruiz Rodríguez
University of Granada Department of Nursing
Phone Number: +34 958 243 497
E-mail: crr@ugr.es

A study conducted at the University of Granada has demonstrated that ibuprofen ­–a non-steroidal anti-inflammatory drug (NSAID)­– has beneficial effects on bone repair after a fracture or following bone surgery.In vitro tests demonstrated that –unlike other NSAIDs– when a therapeutic dose of ibuprofen is administered, it has no negative effects on the proliferation and synthesis of obsteoblast osteocalcin, a cell which is directly involved in the formation and regeneration of bones.Osteoblast cells are bone cells that synthesize the bone matrix. Consequently, osteoblasts play a major role in bone development, growth, maintenance and repair.

Positive Results

In an article recently published in the prestigious Journal of bone and mineral metabolism, the University of Granada researchers report the positive effects of ibuprofen on bone repair. The researchers are members of the research group BIO277, which studies the effects of different pharmacological and non-pharmacological therapies on obsteoblast cells.

The primary author of this article, Concepción Ruiz Rodríguez, a professor at the University of Granada Nursing Department states that “up to date, we had little information on the effects of ibuprofen on osteoblast cells”. The University of Granada study demonstrates that a therapeutic dose of ibuprofen (5-25 µm.) does not inhibit the proliferation and synthesis of osteocalcin in the MG-63 cell line. However, when higher doses are administered (>25 µm.) they may activate other cells, which might explain the expression of membrane markers and the decrease in the phagocytic capacity.

Reference: This article is available at: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22543821

Contact: Concepción Ruiz Rodríguez University of Granada Department of Nursing. Phone Number: +34 958 243 497 E-mail: crr@ugr.es

 


La viuda de Borges participa este martes en una charla sobre la relación del escritor con la Alhambra

La viuda de Jorge Luis Borges, la escritora y traductora María Kodama, participará este martes en una charla con el artista argentino Sergio Vega sobre la relación entre el autor de ‘El Aleph’ y la Alhambra, que visitó en 1976 con la que entonces era su secretaria y después sería su mujer.

Será en el Palacio de los Condes de Gabia de Granada a las 20,00 horas, en un acto organizado por el Centro José Guerrero de la Diputación de Granada y el Departamento de Historia del Arte de la Universidad de Granada enmarcado en el ciclo ‘Lecciones de cultura visual’, que engloba seminarios, conferencias y encuentros de debate con algunos de los más destacados historiadores del arte, especialistas en estética, artistas o comisarios de la escena nacional e internacional para contribuir a mejorar la formación del alumnado y enriquecer el conocimiento y la experiencia de los interesados en la cultura actual en general. La entrada en esta conferencia que dará comienzo a las 20.00 horas es libre hasta completar aforo.

En 1976 Jorge Luis Borges visitó la Alhambra con quien era entonces su secretaria y después sería su mujer, María Kodama. El escritor ya había visitado con su familia el monumento cuando tenía veinte años, antes de perder la vista, y deseaba compartir con su compañera aquel lugar, que aún mantenía vivo en la memoria. En una de las murallas de la entrada al conjunto hay una placa que recoge una frase célebre extraída de un soneto de Francisco de Icaza, que dice: ‘Dale limosna mujer,/ que no hay en la vida nada/ como la pena de ser/ ciego en Granada’.

Kodama le estaba describiendo a Borges el lugar donde se encontraban y leyó el texto sin pensarlo. Apenas pronunciado se sintió muy mal, y el escritor trató de consolarla diciéndole que ella sería sus ojos ese día. Borges recurrió a la Historia y a las sensaciones olfativas, táctiles y auditivas para evocar sus recuerdos de los palacios mientras Kodama le detallaba los lugares que ella estaba viendo por primera vez. Y fruto de esa experiencia nació el poema ‘Alhambra’, que actualmente está también inscrito en uno de los muros de entrada al monumento.

Tocando las columnas como si fuera posible extraer las historias qué oculta la piedra, Borges se refiere al murmullo de las fuentes y al dulce aroma del jazmín en flor para evocar la tristeza que el Sultán Boabdil sintió en su último día en la Alhambra, reflejo de su propia tristeza.

Ambos supieron que no volverían a verla. Partiendo de esta historia, el artista Sergio Vega (Buenos Aires, 1959) está realizando un vídeo que explora la relación entre percepción visual y lenguaje, y la representación del espacio por medio del sonido, el tacto, el olfato y la memoria.

En el marco de las ‘Lecciones de cultura visual’, Sergio Vega conversará con María Kodama sobre este emotivo capítulo de su biografía en común con Jorge Luis Borges y desgranará las líneas de trabajo de su próximo proyecto.

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La viuda de Borges participa este martes en una charla sobre la relación del escritor con la Alhambra

La viuda de Jorge Luis Borges, la escritora y traductora María Kodama, participará este martes en una charla con el artista argentino Sergio Vega sobre la relación entre el autor de ‘El Aleph’ y la Alhambra, que visitó en 1976 con la que entonces era su secretaria y después sería su mujer.

Será en el Palacio de los Condes de Gabia de Granada a las 20,00 horas, en un acto organizado por el Centro José Guerrero de la Diputación de Granada y el Departamento de Historia del Arte de la Universidad de Granada enmarcado en el ciclo ‘Lecciones de cultura visual’, que engloba seminarios, conferencias y encuentros de debate con algunos de los más destacados historiadores del arte, especialistas en estética, artistas o comisarios de la escena nacional e internacional para contribuir a mejorar la formación del alumnado y enriquecer el conocimiento y la experiencia de los interesados en la cultura actual en general. La entrada en esta conferencia que dará comienzo a las 20.00 horas es libre hasta completar aforo.

En 1976 Jorge Luis Borges visitó la Alhambra con quien era entonces su secretaria y después sería su mujer, María Kodama. El escritor ya había visitado con su familia el monumento cuando tenía veinte años, antes de perder la vista, y deseaba compartir con su compañera aquel lugar, que aún mantenía vivo en la memoria. En una de las murallas de la entrada al conjunto hay una placa que recoge una frase célebre extraída de un soneto de Francisco de Icaza, que dice: ‘Dale limosna mujer,/ que no hay en la vida nada/ como la pena de ser/ ciego en Granada’.

Kodama le estaba describiendo a Borges el lugar donde se encontraban y leyó el texto sin pensarlo. Apenas pronunciado se sintió muy mal, y el escritor trató de consolarla diciéndole que ella sería sus ojos ese día. Borges recurrió a la Historia y a las sensaciones olfativas, táctiles y auditivas para evocar sus recuerdos de los palacios mientras Kodama le detallaba los lugares que ella estaba viendo por primera vez. Y fruto de esa experiencia nació el poema ‘Alhambra’, que actualmente está también inscrito en uno de los muros de entrada al monumento.

Tocando las columnas como si fuera posible extraer las historias qué oculta la piedra, Borges se refiere al murmullo de las fuentes y al dulce aroma del jazmín en flor para evocar la tristeza que el Sultán Boabdil sintió en su último día en la Alhambra, reflejo de su propia tristeza.

Ambos supieron que no volverían a verla. Partiendo de esta historia, el artista Sergio Vega (Buenos Aires, 1959) está realizando un vídeo que explora la relación entre percepción visual y lenguaje, y la representación del espacio por medio del sonido, el tacto, el olfato y la memoria.

En el marco de las ‘Lecciones de cultura visual’, Sergio Vega conversará con María Kodama sobre este emotivo capítulo de su biografía en común con Jorge Luis Borges y desgranará las líneas de trabajo de su próximo proyecto.

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Los residuos del aceite de oliva, abono para las setas

La spin off de la Universidad de Granada, Micelios del Sur (Misur), ha patentado un sustrato para cultivar hongos comestibles a partir del alperujo, uno de los residuos resultantes de los procesos de extracción del aceite de oliva.

La institución académica informó que el novedoso sustrato supone la reutilización de 300 toneladas anuales de este tipo de desechos, procedentes de la industria olivarera. Las ventajas del abono van desde beneficios ambientales, una mayor producción, y el aumento de la resistencia de los hongos frente a posibles infecciones.

El director de Misur, Alberto Lamenca, precisó que el orujo obtenido aporta nitrógeno, un nutriente que aumenta la productividad de las setas. Asimismo señaló que este residuo contiene polifenoles, unos compuestos antioxidantes que actúan como fungicidas naturales, evitando posibles agresiones de patógenos.

El director de Misur especificó que la Universidad ya está comercializando las tradicionales alpacas de setas. Estas bolsas de plástico contienen diversos desechos agrícolas, así como la semilla del hongo, el micelio. La novedad estriba en añadir orujillo, un subproducto de las almazaras procedente del proceso de molturación de la aceituna.

Lamenca explicó que el proceso es posible gracias al crecimiento de los micelios, individuos adultos del hongo que se introducen en la mezcla de cultivo.

Misur se ha centrado en las dos especies de hongos más demandadas, la seta común y la shiitake o «deliciosa», originaria de Asia.

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Los residuos del aceite de oliva, abono para las setas

La spin off de la Universidad de Granada, Micelios del Sur (Misur), ha patentado un sustrato para cultivar hongos comestibles a partir del alperujo, uno de los residuos resultantes de los procesos de extracción del aceite de oliva.

La institución académica informó que el novedoso sustrato supone la reutilización de 300 toneladas anuales de este tipo de desechos, procedentes de la industria olivarera. Las ventajas del abono van desde beneficios ambientales, una mayor producción, y el aumento de la resistencia de los hongos frente a posibles infecciones.

El director de Misur, Alberto Lamenca, precisó que el orujo obtenido aporta nitrógeno, un nutriente que aumenta la productividad de las setas. Asimismo señaló que este residuo contiene polifenoles, unos compuestos antioxidantes que actúan como fungicidas naturales, evitando posibles agresiones de patógenos.

El director de Misur especificó que la Universidad ya está comercializando las tradicionales alpacas de setas. Estas bolsas de plástico contienen diversos desechos agrícolas, así como la semilla del hongo, el micelio. La novedad estriba en añadir orujillo, un subproducto de las almazaras procedente del proceso de molturación de la aceituna.

Lamenca explicó que el proceso es posible gracias al crecimiento de los micelios, individuos adultos del hongo que se introducen en la mezcla de cultivo.

Misur se ha centrado en las dos especies de hongos más demandadas, la seta común y la shiitake o «deliciosa», originaria de Asia.

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Un cervelet artificiel permet à des robots de manipuler des objets avec une précision humaine

  • Des scientifiques de l’Université de Grenade collaborent avec d’autres institutions européennes afin que les robots puissent interagir avec des êtres humains.
  • Leur objectif est de les rendre capables de prédire l’action et le mouvement concret qu’ils doivent réaliser à chaque moment pendant les tâches de manipulation d’objets.

Des scientifiques de l’Université de Grenade ont dessiné un cervelet artificiel (un microcircuit adaptatif bio-inspiré) adapté à un robot pour lui permettre de manipuler des objets avec une grande précision, similaire à celle des humains. Le cervelet est une partie du cerveau humain qui joue un rôle très important dans la coordination des mouvements et du système moteur.

À cette date, les mouvements obtenus par la science chez les robots, bien que très précis, se réalisaient à très grande vitesse, avec beaucoup de force et une consommation d’énergie élevée. Ce contexte industriel ne pouvait pas s’utiliser dans celui des applications de robots qui interagissent avec des humains en raison de la dangerosité potentielle en cas de disfonctionnement.

Pour résoudre ce problème, les scientifiques de l’Université de Grenade ont mis au point un nouveau modèle de cervelet artificiel capable d’adapter ses corrections et de stocker les conséquences sensorielles ou les commandes motrices afin de prédire quelle action et mouvement concret doit réaliser le robot à chaque moment lors des activités de manipulation. Ce cervelet permet d’articuler un bras robot d’une nouvelle génération qui obtient un niveau de mobilité jamais atteint auparavant.

Apprentissage automatique

Les chercheurs ont obtenu que le robot réalise un apprentissage automatique, en abstrayant la fonctionnalité de la couche d’entrée du cortex. De plus, ils ont construit deux systèmes de contrôle d’un bras robotique qui permet un contrôle précis et stable pendant la manipulation d’objets.

La synergie d’apprentissage entre cortex et contrôle automatique rend le robot adaptable à des conditions changeantes, c’est-à-dire, capable d’interagir avec des humains. Les architectures bio-inspirées employées combinent le point de vue de l’apprentissage de l’erreur de rétro-alimentation et le contrôle adaptatif prédictif.

Les responsables de cette nouvelle avancée sont les chercheurs Silvia Tolu, Jesús Garrido et Eduardo Ros Vidal, du département d’Architecture et de Technologie des Ordinateurs de l’Université de Grenade, ainsi que Richard Carrillo, travaillant actuellement à l’Université d’Almeria.

Référence bibliographique:

  • N. R. Luque, J. A. Garrido, R. R. Carrillo, S. Tolu, E. Ros, Adaptive Cerebellar Spiking Model embedded in the control loop: Context switching and robustness against noise, International Journal of Neural Systems 21 (5) (2011) 385-401

Sur l’image, les intégrants du groupe de recherche de l’Université de Grenade.

Contact:

  • Niceto Luque Sola. Département d’Architecture et de Technologie des Ordinateurs de l’Université de Grenade. Courriel : nluque@atc.ugr.es
  • Richard Carrillo. Département d’Architecture et de Technologie des Ordinateurs de l’Université de Grenade. Courriel : rcarrillo@atc.ugr.es
  • Silvia Tolu. Département d’Architecture et de Technologie des Ordinateurs de l’Université de Grenade (actuellement en Italie). Courriel : stolu@atc.ugr.es

Un cervelet artificiel permet à des robots de manipuler des objets avec une précision humaine

  • Des scientifiques de l’Université de Grenade collaborent avec d’autres institutions européennes afin que les robots puissent interagir avec des êtres humains.
  • Leur objectif est de les rendre capables de prédire l’action et le mouvement concret qu’ils doivent réaliser à chaque moment pendant les tâches de manipulation d’objets.

Des scientifiques de l’Université de Grenade ont dessiné un cervelet artificiel (un microcircuit adaptatif bio-inspiré) adapté à un robot pour lui permettre de manipuler des objets avec une grande précision, similaire à celle des humains. Le cervelet est une partie du cerveau humain qui joue un rôle très important dans la coordination des mouvements et du système moteur.

À cette date, les mouvements obtenus par la science chez les robots, bien que très précis, se réalisaient à très grande vitesse, avec beaucoup de force et une consommation d’énergie élevée. Ce contexte industriel ne pouvait pas s’utiliser dans celui des applications de robots qui interagissent avec des humains en raison de la dangerosité potentielle en cas de disfonctionnement.

Pour résoudre ce problème, les scientifiques de l’Université de Grenade ont mis au point un nouveau modèle de cervelet artificiel capable d’adapter ses corrections et de stocker les conséquences sensorielles ou les commandes motrices afin de prédire quelle action et mouvement concret doit réaliser le robot à chaque moment lors des activités de manipulation. Ce cervelet permet d’articuler un bras robot d’une nouvelle génération qui obtient un niveau de mobilité jamais atteint auparavant.

Apprentissage automatique

Les chercheurs ont obtenu que le robot réalise un apprentissage automatique, en abstrayant la fonctionnalité de la couche d’entrée du cortex. De plus, ils ont construit deux systèmes de contrôle d’un bras robotique qui permet un contrôle précis et stable pendant la manipulation d’objets.

La synergie d’apprentissage entre cortex et contrôle automatique rend le robot adaptable à des conditions changeantes, c’est-à-dire, capable d’interagir avec des humains. Les architectures bio-inspirées employées combinent le point de vue de l’apprentissage de l’erreur de rétro-alimentation et le contrôle adaptatif prédictif.

Les responsables de cette nouvelle avancée sont les chercheurs Silvia Tolu, Jesús Garrido et Eduardo Ros Vidal, du département d’Architecture et de Technologie des Ordinateurs de l’Université de Grenade, ainsi que Richard Carrillo, travaillant actuellement à l’Université d’Almeria.

Référence bibliographique:

  • N. R. Luque, J. A. Garrido, R. R. Carrillo, S. Tolu, E. Ros, Adaptive Cerebellar Spiking Model embedded in the control loop: Context switching and robustness against noise, International Journal of Neural Systems 21 (5) (2011) 385-401

Sur l’image, les intégrants du groupe de recherche de l’Université de Grenade.

Contact:

  • Niceto Luque Sola. Département d’Architecture et de Technologie des Ordinateurs de l’Université de Grenade. Courriel : nluque@atc.ugr.es
  • Richard Carrillo. Département d’Architecture et de Technologie des Ordinateurs de l’Université de Grenade. Courriel : rcarrillo@atc.ugr.es
  • Silvia Tolu. Département d’Architecture et de Technologie des Ordinateurs de l’Université de Grenade (actuellement en Italie). Courriel : stolu@atc.ugr.es

Researchers Develop an Artificial Cerebellum than Enables Robotic Human-like Object Handling

  • University of Granada researchers ­­–in collaboration with other European institutions– are developing a system with ability to interact with humans.
  • Researchers are developing a robotic system with ability to predict the specific action or movement that they should perform when handling an object.

University of Granada researchers have developed an artificial cerebellum (a biologically-inspired adaptive microcircuit) that controls a robotic arm with human-like precision. The cerebellum is the part of the human brain that controls the locomotor system and coordinates body movements.

To date, although robot designers have achieved very precise movements, such movements are performed at very high speed, require strong forces and are power consuming. This approach cannot be applied to robots that interact with humans, as a malfunction might be potentially dangerous.

To solve this challenge, University of Granada researchers have implemented a new cerebellar spiking model that adapts to corrections and stores their sensorial effects; in addition, it records motor commands to predict the action or movement to be performed by the robotic arm. This cerebellar model allows the user to articulate a state-of-the-art robotic arm with extraordinary mobility.

Automatic Learning

The developers of the new cerebellar model have obtained a robot that performs automatic learning by extracting the input layer functionalities of the brain cortex. Furthermore, they have developed two control systems that enable accurate and robust control of the robotic arm during object handling.

The synergy between the cerebellum and the automatic control system enables robot’s adaptability to changing conditions i.e. the robot can interact with humans. The biologically-inspired architectures used in this model combine the error training approach with predictive adaptive control.

The designers of this model are Silvia Tolu, Jesús Garrido and Eduardo Ros Vidal, at the University of Granada Department of Computer Architecture and Technology, and the University of Almería researcher Richard Carrillo.

Reference:

  • N. R. Luque, J. A. Garrido, R. R. Carrillo, S. Tolu, E. Ros, Adaptive Cerebellar Spiking Model embedded in the control loop: Context switching and robustness against noise, International Journal of Neural Systems 21 (5) (2011) 385-401

Picture: The members of the University of Granada research group

Contact:


Researchers Develop an Artificial Cerebellum than Enables Robotic Human-like Object Handling

  • University of Granada researchers ­­–in collaboration with other European institutions– are developing a system with ability to interact with humans.
  • Researchers are developing a robotic system with ability to predict the specific action or movement that they should perform when handling an object.

University of Granada researchers have developed an artificial cerebellum (a biologically-inspired adaptive microcircuit) that controls a robotic arm with human-like precision. The cerebellum is the part of the human brain that controls the locomotor system and coordinates body movements.

To date, although robot designers have achieved very precise movements, such movements are performed at very high speed, require strong forces and are power consuming. This approach cannot be applied to robots that interact with humans, as a malfunction might be potentially dangerous.

To solve this challenge, University of Granada researchers have implemented a new cerebellar spiking model that adapts to corrections and stores their sensorial effects; in addition, it records motor commands to predict the action or movement to be performed by the robotic arm. This cerebellar model allows the user to articulate a state-of-the-art robotic arm with extraordinary mobility.

Automatic Learning

The developers of the new cerebellar model have obtained a robot that performs automatic learning by extracting the input layer functionalities of the brain cortex. Furthermore, they have developed two control systems that enable accurate and robust control of the robotic arm during object handling.

The synergy between the cerebellum and the automatic control system enables robot’s adaptability to changing conditions i.e. the robot can interact with humans. The biologically-inspired architectures used in this model combine the error training approach with predictive adaptive control.

The designers of this model are Silvia Tolu, Jesús Garrido and Eduardo Ros Vidal, at the University of Granada Department of Computer Architecture and Technology, and the University of Almería researcher Richard Carrillo.

Reference:

  • N. R. Luque, J. A. Garrido, R. R. Carrillo, S. Tolu, E. Ros, Adaptive Cerebellar Spiking Model embedded in the control loop: Context switching and robustness against noise, International Journal of Neural Systems 21 (5) (2011) 385-401

Picture: The members of the University of Granada research group

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