Granada Hoy

Pág. 2: Cartal al Director: Propaganda ilegal en nuestras universidades

Pág. 3: Lapidario: MOVIMIENTO EN LA UGR

Pág. 13: La UGR, líder en movilidad con países no comunitarios

Pág. 14: El aceite de oliva, el mejor aliado para reducir el riesgo de enfermedades crónicas

Pág. 41: Telefónica ofrece 250 becas para jóvenes andaluces en empresas tecnológicas

Descarga por URL: http://sl.ugr.es/08fG

Descargar


Il est démontré que l’application d’une technique d’acuponcture à des femmes enceintes réduit le nombre de césariennes

Des scientifiques espagnols démontrent que l’application de la moxibustion, une technique millénaire d’acuponcture chinoise à des femmes enceintes dont le fœtus se trouve dans une position non-céphalique, contribue à ce que celui-ci se place en position céphalique, évitant ainsi le recours à la césarienne.

La moxibustion, déclarée par l’UNESCO Patrimoine Culturel Immatériel de l’Humanité, se réalise avec une plante connue comme armoise qui s’applique avec de la chaleur dans le corps du patient.

Les chercheurs affirment que si l’on incorporait cette technique dans le Système Sanitaire Public d’Andalousie (SSPA), on éviterait environ 581 césariennes par an, ce qui supposerait une épargne de 2,3 millions d’euros pour le trésor public.

Des scientifiques espagnols ont vérifié que l’application de moxibustion, une technique millénaire d’acuponcture chinoise, à des femmes enceintes entre 33 et 35 semaines de grossesse peut aider à réduire jusqu’à 25% le nombre de césariennes. Cette recherche, pionnière au niveau mondial, a démontré que le recours à cette technique chez des femmes dont le fœtus se trouve dans une position non-céphalique contribue à ce que celui-ci se place en position céphalique, évitant ainsi le recours à la césarienne.

La moxibustion, une technique thérapeutique déclarée en 2010 par l’UNESCO Patrimoine Culturel Immatériel de l’Humanité, se réalise avec une plante connue comme armoise (Artemisa Vulgaris), ou herbe de Saint-Jean, à laquelle on donne la forme d’un cigare dénommé moxa et qui s’applique avec de la chaleur dans le corps du patient.

Cette recherche a été publiée dans la revue Acupuncture Medicine, de la British Medical Acupuncture Society (BMAS), éditée par le prestigieux groupe d’édition  British Medical Journal (BMJ). Son auteure principale est la chercheuse du Département d’Économie Appliquée de l’Université de Grenade, Leticia García Mochón, et ont également collaboré l’École Andalouse de Santé Publique, les centres sanitaires San Andrés Torcal (Malaga) et Doña Mercedes (Dos Hermanas, Séville), l’Institut de Santé Carlos III et l’Agence Sanitaire Costa del Sol (Marbella, Malaga).

 

Sur le point d’acuponcture Vessie 67

L’objectif de cette étude était d’analyser le rapport coût-effectivité de l’utilisation de la technique de moxibustion afin de corriger la position foetale podalique, et de diminuer ainsi le nombre de césariennes réalisées en fin de grossesse. Pour cela, les auteurs ont élaboré un modèle déterministe d’analyse de décision qui compare le pourcentage d’accouchements avec fœtus en position céphalique et le coût du traitement d’application de chaleur moyennant la combustion d’Armoise Vulgaris (moxibustion) sur le point d’acuponcture Vessie 67 (BL67) à des femmes enceintes avec fœtus en position non-céphalique entre 33 et 35 semaines de grossesse.

Les résultats montrent que la moxibustion évite 8,92% d’accouchements avec fœtus en position non-céphalique en comparaison au traitement conventionnel, ce qui suppose une épargne de 107 euros par accouchement, dû principalement au coût des césariennes évitées. La métanalyse réalisée montre un RR de version de présentation fœtale non céphalique au terme de l’accouchement de 0,35 IC95% (0,16-0,76).

D’autre part, les différentes analyses de sensibilité montrent que la moxibustion peut éviter entre 8% et 25% des césariennes. « Recueillant des données de l’Ensemble Minimal Basique de Données d’Hospitalisation (CMBD) de 2013, si l’on incorpore cette technique au Système Sanitaire Public d’Andalousie (SSPA), on pourrait éviter quelque 581 césariennes par an, ce qui supposerait une épargne de 2,3 millions d’euros par an », signale Leticia García Mochón.

Par ailleurs, un résultat inattendu de cette étude a été l’incidence majeure de césariennes en présentation céphalique chez le groupe moxibustion (19%) que chez celui de contrôle (13,3%). « Nous n’avons aucune explication à ce fait, mais cela peut être un exemple de ‘cécité induite par la théorie’, étant donné la difficulté d’intégrer des techniques d’acuponcture dans le paradigme standard de la médecine occidentale », remarque la chercheuse.

Photo 2
 

 

Référence bibliographique :
Cost effectiveness of using moxibustion to correct non-vertex presentation
Leticia García-Mochón, José J. Martín Martín, José Manuel Aranda-Regules, Francisco Rivas-Ruiz & Jorge Vas
Acupunct Med. 2015; 0:1–6. doi:10.1136/acupmed-2014-010696

Contact :
-José J. Martín Martín: Maître de Conférences du Département d’Économie Appliquée de l’Université de Grenade.
Courriel: jmartin@ugr.es 
Portable: 0034 677842143


Ideal

Pág. 11: El ‘efecto Pinocho’ llega al párkinson

Pág. 14: La UGR, la primera universidad en movilidad en países no comunitarios

Buscan nuevas leyes de la física analizando la partícula más pesadaBuscan nuevas leyes de la física analizando la partícula más pesada

Pág. 52: En marcha la tercera edición del curso de monitor del Centro Mediterráneo

Pág. 73: Exposiciones:

Agenda:

‘La sátira no está reñida con la ética’

‘Elegía sin verso’

‘Hijos de la tierra’

Descarga por URL: http://sl.ugr.es/08fF

Descargar


Entrega de premios del IV Certamen del Sur “Incubadora de Sondeos y Experimentos”

Sábado 20 de junio, a las 12 horas, en el Aula Magna de la Facultad de Ciencias

El sábado 20 de junio a las 12 horas, en el Aula Magna de la Facultad de Ciencias tendrá lugar el acto de entrega de premios del IV Certamen del Sur “Incubadora de Sondeos y Experimentos”, organizado por el Departamento de Estadística e Investigación Operativa de la Universidad de Granada.

Dicho certamen corresponde a la fase local (en Andalucía, Ceuta y Melilla) del concurso “Incubadora de Sondeos y Experimentos”, (Fase Nacional) organizado por la Sociedad de Estadística e Investigación Operativa SEIO, para trabajos de Estadística presentados por grupos de estudiantes de ESO, Bachillerato y Ciclos Formativos.

Con esta iniciativa se pretende fomentar la enseñanza y el aprendizaje de la Estadística en los niveles no universitarios.

El fallo del Jurado, así como toda la información relativa al Certamen, puede consultarse en la página web:www.incubadoradesondeos.es.

CONVOCATORIA:

  • ASUNTO: Entrega de premios del IV Certamen del Sur “Incubadora de Sondeos y Experimentos”.
  • DÍA: sábado 20 de junio.
  • HORA: 12 horas.
  • LUGAR: Aula Magna de la Facultad de Ciencias.


Síganos en Facebook:

image image

Síganos en Twitter:

image


Apport de nouvelles données sur l’alimentation humaine à l’Âge du Bronze et sur l’arrivée de nouvelles cultures à la Péninsule Ibérique

Des chercheurs des universités de Grenade, Saint-Jacques-de-Compostelle et Reading (Royaume-Uni) étudient les restes osseux humains de la nécropole de Cova do Santo, située dans la vallée de la rivière Sil, dans la province d’Ourense.

Les restes trouvés révèlent que les individus avaient une alimentation à base de végétaux avec peu de présence de viande et de poisson.

Une recherche menée à bien par les universités de Grenade, Saint-Jacques-de-Compostelle et Reading (Royaume-Uni) a apporté de nouvelles données sur l’alimentation humaine à l’Âge du Bronze et sur l’arrivée de nouvelles cultures à la Péninsule Ibérique pendant cette période.

Ce travail, publié dans la revue Journal of Archaeological Science, a étudié les restes osseux humains de la nécropole de Cova do Santo, située dans la vallée de la rivière Sil, dans la province d’Ourense.

Il s’agit d’une grotte dans laquelle furent retrouvés 14 individus des deux sexes et des enfants. Étant donné l’instabilité de la cavité, les chercheurs ne purent passer que quelques heures dans son intérieur, raison pour laquelle ils recueillirent les restes qu’il y avait à la superficie.

L’analyse d’isotopes stables dans le collagène osseux des restes trouvés révèle que les individus de Cova do Santo avaient une alimentation à base de végétaux avec peu de présence de viande et de poisson, bien que le site se trouve près de la rivière Sil.

« Il n’existe pas de différences importantes entre les individus quant à l’alimentation, ce qui indique que l’accès à celle-ci put être similaire indépendamment du sexe et de l’âge », explique la chercheuse Olalla López Costas, auteure principale de ce travail.

Les chercheurs n’ont pas trouvé dans cette nécropole de signes de consommation de millet ou de maïs, de sorte que l’on ne peut pas confirmer la présence desdites cultures dans la diète, du moins dans le Nord-Ouest de la Péninsule. « Nous avons réalisé une comparaison avec d’autres sites étudiés, et nous croyons qu’il y a suffisamment d’indices pour penser que les cultures d’été ont pu effectivement être utilisées dans le centre de la Péninsule avant qu’on ne croyait », souligne López Costas.

Cultures d’été

Ces cultures, appelées d’été ou de printemps, dont les meilleurs représentants sont le millet et le maïs, « ont un meilleur rendement en peu de temps, ce qui a probablement aidé les gens à être plus sédentaires et à ce que l’excès de production influe dans la hiérarchisation de la société. »

Cependant, on ne sait pas avec certitude quand elles furent introduites dans la diète péninsulaire. Jusqu’à il y a peu de temps, on considérait que cela se produisit à la fin de l’Âge du Bronze, mais de récentes trouvailles de graines dans des sites archéologiques paraissent indiquer que cela put arriver avant.

Les enterrements préhistoriques en grotte sont relativement fréquents dans le Nord et dans l’Ouest de la Péninsule, bien que peu de sites aient fait l’objet de travaux d’anthropologie physique comme celui-ci. Ce site semble être le plus grand de la préhistoire du Nord-Ouest péninsulaire quant au nombre d’enterrements, et les restes ont été datés entre 1800 et 1600 av. J.-C.

  1. Une des fissures de la grotte où on observe l’accumulation de plusieurs restes humains, dont le crâne d’un enfant.

 

Photo 2

  1. Vision du sol de la grotte avec deux fémurs humains.

 

Référence bibliographique :
Diet and lifestyle in Bronze Age Northwest Spain: the collective burial of Cova do Santo
Olalla López-Costas, Gundula Müldner, Antonio Martínez Cortizas
Journal of Archaeological Science 55 (2015) 209-218
http://dx.doi.org/10.1016/j.jas.2015.01.009

Contact :
Olalla López Costas : Laboratoire d’Anthropologie Physique du Département de Médecine Légale, de Toxicologie et d’Anthropologie Physique, Faculté de Médecine de l’Université de Grenade.
Groupe Earth System Sciences, Département de Géographie, Université de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Courriel : olallalc@gmail.com


En busca de nuevas leyes de la física analizando la partícula elemental más pesada

78404 Científicos de la Universidad de Granada han realizado un análisis pormenorizado de las propiedades del ‘quark top’, la partícula elemental más pesada conocida hasta la fecha, así como de las posibles modificaciones de las teorías físicas vigentes que pudieran explicar los resultados experimentales sobre ella.

 

Este estudio será de gran utilidad en la interpretación de las medidas realizadas en el Gran Colisionador de Hadrones (LHC, por sus siglas en inglés), cuya segunda fase de operación ha comenzado recientemente.

La revista Reviews of Modern Physics (RMP), donde los científicos de la UGR han publicado estos resultados, recoge unos 50 artículos al año que compendian el conocimiento sobre algún tema. Por ello, sus artículos tienen una cierta extensión y son usados como referencias para el estudio durante un largo tiempo. El parámetro de impacto de esta publicación (42.86 en 2013) es superior al de Nature (42.35), Science (31.47) y otras revistas más especializadas de física como Physical Review Letters (7.72).

En la actualidad, existe una teoría que describe perfectamente casi todas las medidas realizadas en física de partículas, el llamado Modelo Estándar. A pesar de este éxito, se piensa que no es ésta la teoría definitiva de la Naturaleza. Entre otras razones, porque no incorpora gravedad cuántica ni incluye ninguna partícula que pueda constituir la materia oscura.

Por ello, la comunidad científica busca indicios de una teoría más completa en colisionadores como el LHC, cerca de Ginebra (Suiza), y otros de menor energía, como el Tevatron cerca de Chicago (Estados Unidos). La búsqueda se realiza tanto de forma directa -tratando de identificar nuevas partículas- como de forma indirecta -estudiando con precisión el comportamiento de las partículas conocidas. Especialmente sensibles a nueva física más allá del Modelo Estándar son las medidas de asimetrías.

En enero de 2011, el colisionador Tevatron encontró un valor anómalo de cierta asimetría llamada ‘forward-backward’ en la producción de parejas de quarks top–antitop (el ‘quark top’ y su antipartícula, el ‘antitop’, son las partículas conocidas más pesadas). Se observaban bastantes más ‘quarks top’ producidos en la dirección del protón (‘forward’) de lo esperado. Esa observación no era compatible con el Modelo y motivó cientos de estudios sobre el tema, especialmente investigando si la «asimetría anómala» podía explicarse por el efecto indirecto de nuevas partículas aún por descubrir.

Los investigadores Manuel Pérez-Victoria y Juan Antonio Aguilar Saavedra, del departamento de Física Teórica y del Cosmos de la UGR, comenzaron a trabajar sobre este tema, y en 2011 publicaron 5 artículos sobre esta asimetría y sus posibles consecuencias en el LHC.

Con posterioridad, el profesor Aguilar Saavedra trabajó junto con otros autores, entre ellos Aurelio Juste, y también en solitario, en otros 6 artículos. Todo ello motivó que la revista RMP les encargara elaborar este artículo de revisión, también en colaboración con Dan Amidei (que participó en la medida de la asimetría ‘forward-backward’ en Tevatron).

En la actualidad, la anomalía inicial de 2011 se ha suavizado y las medidas más recientes están más cerca de las predicciones teóricas del Modelo Estándar, aunque el tema no está completamente resuelto ya que aún existen ciertas discrepancias con las predicciones teóricas.

Así, el artículo firmado por los científicos de la UGR revisa la asimetría ‘forward-backward’ en Tevatronya mencionada más otra asimetría análoga que se ha medido en el LHC, tanto en el Modelo Estándar como en diversos modelos de nueva física propuestos.

Los investigadores han analizado las posibles interrelaciones entre estas asimetrías y otras medidas, que se realizan tanto en Tevatron como en LHC, buscando una posible explicación en caso de que las discrepancias observadas se deban a física no estándar, incluyendo nuevas partículas aún por descubrir, y proponiendo algunas medidas para la segunda fase del LHC que ha comenzado recientemente.

Referencia bibliográfica

http://journals.aps.org/rmp/abstract/10.1103/RevModPhys.87.421

Descargar


Científicos de la UGR buscan nuevas leyes de la física analizando las propiedades del ‘quark top’

78404 Científicos de la Universidad de Granada han realizado un análisis pormenorizado de las propiedades del ‘quark top’, la partícula elemental más pesada conocida hasta la fecha, así como de las posibles modificaciones de las teorías físicas vigentes que pudieran explicar los resultados experimentales sobre ella.

 

Este estudio será de gran utilidad en la interpretación de las medidas realizadas en el Gran Colisionador de Hadrones (LHC, por sus siglas en inglés), cuya segunda fase de operación ha comenzado recientemente.

La revista Reviews of Modern Physics (RMP), donde los científicos de la UGR han publicado estos resultados, recoge unos 50 artículos al año que compendian el conocimiento sobre algún tema. Por ello, sus artículos tienen una cierta extensión y son usados como referencias para el estudio durante un largo tiempo. El parámetro de impacto de esta publicación (42.86 en 2013) es superior al de Nature (42.35), Science (31.47) y otras revistas más especializadas de física como Physical Review Letters (7.72).

En la actualidad, existe una teoría que describe perfectamente casi todas las medidas realizadas en física de partículas, el llamado Modelo Estándar. A pesar de este éxito, se piensa que no es ésta la teoría definitiva de la Naturaleza. Entre otras razones, porque no incorpora gravedad cuántica ni incluye ninguna partícula que pueda constituir la materia oscura.

Por ello, la comunidad científica busca indicios de una teoría más completa en colisionadores como el LHC, cerca de Ginebra (Suiza), y otros de menor energía, como el Tevatron cerca de Chicago (Estados Unidos). La búsqueda se realiza tanto de forma directa -tratando de identificar nuevas partículas- como de forma indirecta -estudiando con precisión el comportamiento de las partículas conocidas. Especialmente sensibles a nueva física más allá del Modelo Estándar son las medidas de asimetrías.

En enero de 2011, el colisionador Tevatron encontró un valor anómalo de cierta asimetría llamada ‘forward-backward’ en la producción de parejas de quarks top–antitop (el ‘quark top’ y su antipartícula, el ‘antitop’, son las partículas conocidas más pesadas). Se observaban bastantes más ‘quarks top’ producidos en la dirección del protón (‘forward’) de lo esperado. Esa observación no era compatible con el Modelo y motivó cientos de estudios sobre el tema, especialmente investigando si la «asimetría anómala» podía explicarse por el efecto indirecto de nuevas partículas aún por descubrir.

Los investigadores Manuel Pérez-Victoria y Juan Antonio Aguilar Saavedra, del departamento de Física Teórica y del Cosmos de la UGR, comenzaron a trabajar sobre este tema, y en 2011 publicaron 5 artículos sobre esta asimetría y sus posibles consecuencias en el LHC.

Con posterioridad, el profesor Aguilar Saavedra trabajó junto con otros autores, entre ellos Aurelio Juste, y también en solitario, en otros 6 artículos. Todo ello motivó que la revista RMP les encargara elaborar este artículo de revisión, también en colaboración con Dan Amidei (que participó en la medida de la asimetría ‘forward-backward’ en Tevatron).

En la actualidad, la anomalía inicial de 2011 se ha suavizado y las medidas más recientes están más cerca de las predicciones teóricas del Modelo Estándar, aunque el tema no está completamente resuelto ya que aún existen ciertas discrepancias con las predicciones teóricas.

Así, el artículo firmado por los científicos de la UGR revisa la asimetría ‘forward-backward’ en Tevatronya mencionada más otra asimetría análoga que se ha medido en el LHC, tanto en el Modelo Estándar como en diversos modelos de nueva física propuestos.

Los investigadores han analizado las posibles interrelaciones entre estas asimetrías y otras medidas, que se realizan tanto en Tevatron como en LHC, buscando una posible explicación en caso de que las discrepancias observadas se deban a física no estándar, incluyendo nuevas partículas aún por descubrir, y proponiendo algunas medidas para la segunda fase del LHC que ha comenzado recientemente.

Descargar


Científicos de la UGR buscan nuevas leyes de la física analizando las propiedades del ‘quark top’

78404 Científicos de la Universidad de Granada han realizado un análisis pormenorizado de las propiedades del ‘quark top’, la partícula elemental más pesada conocida hasta la fecha, así como de las posibles modificaciones de las teorías físicas vigentes que pudieran explicar los resultados experimentales sobre ella.

 

Este estudio será de gran utilidad en la interpretación de las medidas realizadas en el Gran Colisionador de Hadrones (LHC, por sus siglas en inglés), cuya segunda fase de operación ha comenzado recientemente.

La revista Reviews of Modern Physics (RMP), donde los científicos de la UGR han publicado estos resultados, recoge unos 50 artículos al año que compendian el conocimiento sobre algún tema. Por ello, sus artículos tienen una cierta extensión y son usados como referencias para el estudio durante un largo tiempo. El parámetro de impacto de esta publicación (42.86 en 2013) es superior al de Nature (42.35), Science (31.47) y otras revistas más especializadas de física como Physical Review Letters (7.72).

En la actualidad, existe una teoría que describe perfectamente casi todas las medidas realizadas en física de partículas, el llamado Modelo Estándar. A pesar de este éxito, se piensa que no es ésta la teoría definitiva de la Naturaleza. Entre otras razones, porque no incorpora gravedad cuántica ni incluye ninguna partícula que pueda constituir la materia oscura.

Por ello, la comunidad científica busca indicios de una teoría más completa en colisionadores como el LHC, cerca de Ginebra (Suiza), y otros de menor energía, como el Tevatron cerca de Chicago (Estados Unidos). La búsqueda se realiza tanto de forma directa -tratando de identificar nuevas partículas- como de forma indirecta -estudiando con precisión el comportamiento de las partículas conocidas. Especialmente sensibles a nueva física más allá del Modelo Estándar son las medidas de asimetrías.

En enero de 2011, el colisionador Tevatron encontró un valor anómalo de cierta asimetría llamada ‘forward-backward’ en la producción de parejas de quarks top–antitop (el ‘quark top’ y su antipartícula, el ‘antitop’, son las partículas conocidas más pesadas). Se observaban bastantes más ‘quarks top’ producidos en la dirección del protón (‘forward’) de lo esperado. Esa observación no era compatible con el Modelo y motivó cientos de estudios sobre el tema, especialmente investigando si la «asimetría anómala» podía explicarse por el efecto indirecto de nuevas partículas aún por descubrir.

Los investigadores Manuel Pérez-Victoria y Juan Antonio Aguilar Saavedra, del departamento de Física Teórica y del Cosmos de la UGR, comenzaron a trabajar sobre este tema, y en 2011 publicaron 5 artículos sobre esta asimetría y sus posibles consecuencias en el LHC.

Con posterioridad, el profesor Aguilar Saavedra trabajó junto con otros autores, entre ellos Aurelio Juste, y también en solitario, en otros 6 artículos. Todo ello motivó que la revista RMP les encargara elaborar este artículo de revisión, también en colaboración con Dan Amidei (que participó en la medida de la asimetría ‘forward-backward’ en Tevatron).

En la actualidad, la anomalía inicial de 2011 se ha suavizado y las medidas más recientes están más cerca de las predicciones teóricas del Modelo Estándar, aunque el tema no está completamente resuelto ya que aún existen ciertas discrepancias con las predicciones teóricas.

Así, el artículo firmado por los científicos de la UGR revisa la asimetría ‘forward-backward’ en Tevatronya mencionada más otra asimetría análoga que se ha medido en el LHC, tanto en el Modelo Estándar como en diversos modelos de nueva física propuestos.

Los investigadores han analizado las posibles interrelaciones entre estas asimetrías y otras medidas, que se realizan tanto en Tevatron como en LHC, buscando una posible explicación en caso de que las discrepancias observadas se deban a física no estándar, incluyendo nuevas partículas aún por descubrir, y proponiendo algunas medidas para la segunda fase del LHC que ha comenzado recientemente.

Descargar


UN ESTUDIO DESMONTA LA IDEA DE QUE LOS COCHES ROJOS SON MÁS PELIGROSOS

78369 Investigadores de la Universidad de Granada han comprobado que, en contra de la creencia popular, los coches de color rojo no son percibidos por las personas como más peligrosas que los demás, ni los conductores los asocian con un riesgo mayor que el resto. Lo han confirmado analizando la reacción de un centenar de conductores viendo aproximarse a coches de diferentes colores.

 

En un artículo publicado en la prestigiosa revista Perception, científicos del Centro de Investigación Mente, Cerebro y Comportamiento (CIMCYC) de la Universidad de Granada, han estudiado la reacción de cien conductores españoles ante la aproximación de una serie de coches de distintos colores (rojo, verde, amarillo, negro, gris y blanco) en diferentes situaciones de peligro en la carretera.

Para ello, analizaron el riesgo que los participantes percibían ante estos vehículos, así como su comportamiento (el tiempo de respuesta y la probabilidad de frenado al ver el peligro), en el que supone el estudio más completo realizado hasta la fecha sobre este tema.

En los resultados del experimento se muestra que el comportamiento del conductor no está directamente influenciado por el color rojo, ya que la respuesta fue similar al de otros colores empleados en la prueba, lo que sugiere, a juicio de los científicos, que el rojo no tiene un impacto específico en la seguridad vial, porque no provoca respuestas más rápidas o mayores niveles percibidos de riesgo.

Como explica el autor principal de este trabajo, el investigador de la UGR Leandro Luigi Di Stasi, «dada la creencia general que vincula accidentes en carretera y el color rojo de los coches, el estudio del comportamiento del conductor ante coches rojos, así como su percepción de riesgo ante este tipo de coches, puede servir para mejorar la seguridad vial».

El rojo se asocia con peligro, dolor y agresividad

Las asociaciones que las personas hacen con el color rojo están muy determinadas por la cultura. Por ejemplo, en España, en investigaciones previas se muestra como el color rojo se ha asociado tradicionalmente con el peligro, el dolor y la agresividad. Sin embargo, los resultados de este nuevo trabajo apoyan la hipótesis de que la influencia del rojo en los comportamientos humanos depende, en realidad, del medio, esto es, del entorno y las circunstancias en las que se encuentre el observador.

En la actualidad, el rojo es considerado como uno de los colores más populares entre los compradores de coches. Aunque el mercado automovilístico está dominado por el blanco, el negro y el gris, el rojo es el color del 8% de los vehículos que se venden en el mercado mundial.

Los investigadores del CIMCYC señalan que, a la luz de los resultados de este trabajo, «la vieja creencia de que las compañías de seguros cobran más por asegurar un coche rojo, por considerar a sus conductores más agresivos al volante, no tiene ningún rigor científico, si bien esta práctica ha sido desmentida en muchas ocasiones por las propias aseguradoras».

Además, destacan la necesidad de no sobregeneralizar los efectos perceptivos que se han encontrado con poblaciones y tareas específicas, ya que, en este caso, el «efecto del rojo» no se ha podido comprobar en conductas viales.

Descargar


Adiós al mito sobre el coche rojo

78369 Investigadores de la Universidad de Granada han confirmado que, en contra de la creencia popular, los coches de color rojo no son percibidos por las personas como más peligrosos que los demás, ni los conductores los asocian con un riesgo mayor que el resto.

 

Los científicos pertenecientes al Centro de Investigación Mente, Cerebro y Comportamiento (Cimcyc) han estudiado la reacción de conductores españoles ante la aproximación de una serie de coches de distintos colores (rojo, verde, amarillo, negro, gris y blanco) en diferentes situaciones de peligro en la carretera.

Para ello, analizaron el riesgo que los participantes percibían ante estos vehículos, así como su comportamiento, el tiempo de respuesta y la probabilidad de frenado al ver el peligro, en el que supone el estudio más completo realizado hasta la fecha sobre este tema.

En los resultados del experimento se muestra que el comportamiento del conductor no está directamente influenciado por el color rojo, ya que la respuesta fue similar al de otros colores empleados en la prueba, lo que sugiere, a juicio de los científicos, que no tiene un impacto específico en la seguridad vial, porque no provoca respuestas más rápidas o mayores niveles percibidos de riesgo.

El autor principal de este trabajo, Leandro Luigi Di Stasi, ha explicado que, dada la creencia general que vincula accidentes en carretera y el color rojo de los coches, el estudio del comportamiento del conductor ante coches rojos, así como su percepción de riesgo ante este tipo de coches, puede servir para mejorar la seguridad vial.

Las asociaciones que las personas hacen con el color rojo están muy determinadas por la cultura y, por ejemplo, en España en investigaciones previas se había mostrado cómo el color rojo se ha asociado tradicionalmente con el peligro, el dolor y la agresividad.

Sin embargo, los resultados de este nuevo trabajo apoyan la hipótesis de que la influencia del rojo en los comportamientos humanos depende, en realidad, del medio, del entorno y las circunstancias en las que se encuentre el observador.

Aunque el mercado automovilístico está dominado por el blanco, el negro y el gris, el rojo es el color del 8 % de los vehículos que se venden en el mercado mundial.

Descargar


Buscan nuevas leyes de la física con el análisis de propiedades del ‘quark top’

78404 Un estudio de investigadores de la Universidad de Granada (España), que han revisado las propiedades de la partícula ‘quark top’, será de gran utilidad en la interpretación de las medidas realizadas en el Gran Colisionador de Hadrones (LHC, por sus siglas en inglés), cuya segunda fase de operación ha comenzado recientemente. El trabajo se publica en la revista Reviews of Modern Physics (RMP).

 

Quark top es la partícula elemental más pesada conocida hasta ahora, y conocer los detalles de sus propiedades ayudará, según los científicos, a plantear posibles modificaciones en las teorías físicas actuales que pudieran explicar los resultados experimentales conseguidos en este ámbito.

En la actualidad, existe una teoría que describe perfectamente casi todas las medidas realizadas en física de partículas, el llamado modelo estándar. A pesar de este éxito, se piensa que no es ésta la teoría definitiva de la Naturaleza. Entre otras razones, porque no incorpora gravedad cuántica ni incluye ninguna partícula que pueda constituir la materia oscura.

Por ello, la comunidad científica busca indicios de una teoría más completa en colisionadores como el LHC, cerca de Ginebra (Suiza), y otros de menor energía, como el Tevatron cerca de Chicago (Estados Unidos). La búsqueda se realiza tanto de forma directa -tratando de identificar nuevas partículas- como de forma indirecta -estudiando con precisión el comportamiento de las partículas conocidas. Especialmente sensibles a nueva física más allá del Modelo Estándar son las medidas de asimetrías.

En enero de 2011, el colisionador Tevatron (EE UU) encontró un valor anómalo de cierta asimetría llamada ‘forward-backward’ en la producción de parejas de quarks top–antitop (el ‘quark top’ y su antipartícula, el ‘antitop’, son las partículas conocidas más pesadas). Se observaban bastantes más ‘quarks top’ producidos en la dirección del protón (‘forward’) de lo esperado.

 

Esa observación no era compatible con el modelo y motivó cientos de estudios sobre el tema, especialmente investigando si la «asimetría anómala» podía explicarse por el efecto indirecto de nuevas partículas aún por descubrir.

 

Los investigadores Manuel Pérez-Victoria y Juan Antonio Aguilar Saavedra, del departamento de Física Teórica y del Cosmos de la UGR, comenzaron a trabajar sobre este tema, y en 2011 publicaron cinco artículos sobre esta asimetría y sus posibles consecuencias en el LHC.

Con posterioridad, el profesor Aguilar Saavedra trabajó junto con otros autores, entre ellos Aurelio Juste, y también en solitario, en otros seis artículos. Todo ello motivó que la revista RMP les encargara elaborar este artículo de revisión, también en colaboración con Dan Amidei (que participó en la medida de la asimetría ‘forward-backward’ en Tevatron).

En la actualidad, la anomalía inicial de 2011 se ha suavizado y las medidas más recientes están más cerca de las predicciones teóricas del modelo estándar, aunque el tema no está completamente resuelto ya que aún existen ciertas discrepancias con las predicciones teóricas.

Así, el artículo firmado por los científicos de la UGR revisa la asimetría ‘forward-backward’ del Tevatron más otra asimetría análoga que se ha medido en el LHC, tanto en el modelo estándar como en diversos modelos de nueva física propuestos.

Los investigadores han analizado las posibles interrelaciones entre estas asimetrías y otras medidas, que se realizan tanto en Tevatron como en LHC, buscando una posible explicación en caso de que las discrepancias observadas se deban a física no estándar, incluyendo nuevas partículas aún por descubrir, y proponiendo algunas medidas para la segunda fase del LHC que ha comenzado recientemente. (Fuente: UGRdivulga)

Descargar


Inaugurada la exposición bibliográfica “La Escuela, el Colegio y el Cuerpo de Ingenieros de Caminos, Canales y Puertos” en la Biblioteca Politécnica

La exposición permanecerá abierta del 18 de junio al 30 de noviembre, días laborables, en horario de 8.30 horas a 20.30 horas, con excepción del mes de agosto que estará cerrada

La Biblioteca Politécnica de la Escuela Técnica Superior de Ingeniería de Caminos, Canales y Puertos de laUniversidad de Granada reúne por primera vez en una muestra joyas bibliográficas únicas de la historia de la Ingeniería, un recorrido por la vida y obras de 13 grandes ingenieros de los dos últimos siglos y curiosos instrumentos en la exposición bibliográfica “La Escuela, el Colegio y el Cuerpo de Ingenieros de Caminos, Canales y Puertos”.

La exposición bibliográfica tiene como objetivo dar a conocer la importante donación realizada por la Demarcación de Andalucía, Ceuta y Melilla del Colegio de Ingenieros de Caminos, Canales y Puertos a la Escuela de libros del fondo antiguo del Colegio, de un incalculable valor histórico y bibliográfico, de los que ya se han catalogado cerca de 5.600 ejemplares y documentos del total donado.

En ella se recoge una pequeña muestra de los ejemplares donados, joyas únicas de la Ingeniería; y se completa con un recorrido por la vida y las obras de trece de los grandes ingenieros españoles del s. XVIII al s.XX, una decena de curiosos instrumentos antiguos usados en la Ingeniería, así como carteles, fotografías, grabados e ilustraciones de esta época. En total se expondrán 198 volúmenes.

En la inauguración de “La Escuela, el Colegio y el Cuerpo de Ingenieros de Caminos, Canales y Puertos”, se ha contado con la participación del decano de la Demarcación de Andalucía, Ceuta y Melilla del Colegio de Ingenieros de Caminos, Canales y Puertos, José Abraham Carrascosa Martínez, quien ha señalado que esta exposición es fruto del compromiso y la fidelidad de todos los ingenieros y sus familiares que han donado parte de sus bibliotecas particulares y que de este modo pasarán a ser utilizados por otros ingenieros. Además ha destacado que esta donación servirá además para estrechar lazos entre la Escuela Técnica Superior de Ingeniería de Caminos, Canales y Puertos de la Universidad de Granada y la Demarcación.

“La motivación de la Demarcación para esta donación ha sido, precisamente, favorecer el acercamiento de nuestros colegiados y de los futuros ingenieros a estas piezas. Con este fin, la Biblioteca Politécnica está realizando un impecable trabajo de catalogación y digitalización de sus reseñas clave, que permitirán la búsqueda por título, autor, temática y época en las que se circunscriben estas joyas de la Ingeniería”, ha destacado su decano.

Tanto la directora de la Escuela, Montserrat Zamorano Toro; como la directora de la Biblioteca de laUniversidad de Granada, María José Ariza han agradecido esta importante donación, y la directora de la Biblioteca Politécnica, Carmen Zea ha detallado el contenido de la misma.

Tras la inauguración, se entregó una placa conmemorativa de agradecimiento por la donación de libros y una visita guiada a la exposición.

La exposición permanecerá abierta en la Biblioteca Politécnica, en la 3ª planta de la Escuela Técnica Superior de Ingeniería de Caminos, Canales y Puertos, del 18 de junio al 30 de noviembre, días laborables, en horario de 08.30 horas a 20.30 horas, con excepción del mes de agosto que estará cerrada.

caminos02

caminos03

caminos04


Síganos en Facebook:

image image

Síganos en Twitter:

image