En Marte puede haber agua líquida durante la noche

77122 El robot Curiosity ha descubierto que durante la noche marciana en el cráter Gale se dan las condiciones necesarias para que haya agua salada líquida (salmuera) al menos en los primeros cinco centímetros del suelo. «Esta es la primera vez que se constata la existencia de las condiciones para que haya agua líquida», afirmó uno de los coautores del hallazgo, el científico español Javier Martín-Torres, del Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra (CSIC y la Universidad de Granada) y de la Universidad de Lulea de Tecnología (Suecia). Martín-Torres, autor principal del descubrimiento, aclaró también que dichas condiciones se cumplen por la noche. Los resultados del estudio se publicaron en la revista ‘Nature Geoscience’. El Curiosity ha recorrido 9 kilómetros durante un año marciano y ha podido recoger datos sobre la humedad relativa, la presión y la temperatura. Al analizar posteriormente estos datos, los científicos se percataron de las pistas que indican la posible existencia de salmuera. Según sus observaciones, las sales de Marte pueden absorber el agua de la atmósfera durante la noche, especialmente en invierno, y dejar que se evapore durante en el día. El agua líquida es el elemento principal para el mantenimiento de la vida. No obstante, otras condiciones de Marte son aún demasiado hostiles para que el planeta albergue cualquier tipo de vida. Así, las temperaturas extremadamente bajas del cráter Gale hacen que, al contrario de lo que ocurre en la Tierra no sean posibles ni el metabolismo y la reproducción celular. – See more at:  
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El País

Pág. 24: Salud abre su oferta de prácticas a alumnos de otras titulaciones

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Des scientifiques développent un nouvel algorithme qui permettra d’obtenir des images en HDR en moins de temps

Des chercheurs du département d’Optique de l’Université de Grenade dessinent un nouvel algorithme de capture d’images à grande gamme dynamique, ou HDR (High Dynamic Range) adaptable à n’importe quelle caméra, n’importe quelle scène et n’importe quelle application de façon optimale et simple.

 

 Cette avancée scientifique a non seulement des applications dans le domaine de la photographie, mais aussi dans les systèmes de vision artificielle, images médicales, systèmes de surveillance ou systèmes de conduite assistée de véhicules.

Des chercheurs du département d’Optique del’Université de Grenade dessinent unnouvel algorithme de capture d’images à grande gamme dynamique, ou HDR (HighDynamic Range) qui permet de réduire le temps de capture ou bien le niveau debruit de l’image résultante.

Cette avancée scientifique dans les imagesen HDR a non seulement des applications dans le domaine de la photographie,mais aussi dans les systèmes de vision artificielle, images médicales, systèmesde surveillance, systèmes de contrôle de qualité de chaînes de montage, imagespar satellite, systèmes de conduite assistée ou automatique de véhicules, etc.

La recherche, publiée dans la revue Applied Optics, a permis de générer unalgorithme qui, se basant sur la façon dont chaque caméra répond à la lumière,adapte les temps de capture des différentes images de façon automatique etinstantanée pour réduire le temps total de capture en fonction des besoins dechaque scène capturée.

Même si l’application la plus voyante detechniques HDR est la photographie, ces techniques sont très importantes dansles systèmes de vision robotique. « De même que le système visuel humainpossède une grande gamme dynamique, les systèmes de vision artificiellerequièrent ce genre de techniques afin de se comporter de façon similaire oumême supérieure à notre système visuel », explique l’auteur principal dece travail, Miguel Ángel Martínez Domingo, du département d’Optique de l’Universitéde Grenade.

Le temps d’exposition est celui auquel le capteurd’une caméra est exposé à la lumière pendant la capture d’une image. Dans uneexposition courte, les zones obscures de la scène apparaissent sous-exposées(noires) sur l’image finale. Dans une exposition longue, au contraire, leszones les plus lumineuses de la scène apparaissent saturées ou brûlées(blanches).

Zones sous-exposées ou saturées

« En général, dans n’importequelle scène capturée dans notre jour à jour, même si notre caméra ajusteautomatiquement le temps d’exposition, il y aura toujours des zonessous-exposées ou saturées. Ceci se doit à ce que la gamme de luminosités (ougamme dynamique) que le capteur d’une caméra conventionnelle peut retenircorrectement dans chaque photo est moindre que la gamme dynamique présente surla scène. C’est là où les techniques de capture HDR prennent leur sens »,explique Martínez Domingo.

L’important n’est plus seulement quel’image finale soit jolie ou réaliste pour un observateur humain ; il peutégalement être important, par exemple, de détacher avec un très bas niveau debruit les détails entre un composant très brillant et un autre très obscur dansun circuit intégré. Par conséquent, les niveaux de bruit de l’image résultantene sont pas conformes au temps total de capture des différentes imagesnécessaires.

L’algorithme développé par lesscientifiques de l’UGR permet à l’usager d’optimiser le bilan entre un tempsréduit de capture et un niveau moindre de bruit sur l’image résultante. Leniveau de bruit est moindre plus on capture d’expositions pour former l’imageHDR, mais utiliser de nombreuses expositions différentes augmenterait trop letemps de capture. « De cette façon, le nouvel algorithme ne s’adapte passeulement à la caméra que nous utilisons et à la scène que nous capturons, maisaussi aux besoins de l’application que nous sommes en train dedévelopper », signale le chercheur.

Ainsi, « pour la première fois unalgorithme de capture d’image HDR s’adapte à n’importe quelle caméra, àn’importe quelle scène et à n’importe quelle application de façon optimale etsimple, sans avoir besoin d’utiliser des systèmes optiques complexes ou desarchitectures de capteurs non conventionnelles. »

Sur les coins supérieurs de gauche et de droite, des photographies capturées avec un temps d’exposition long (gauche) et un temps d’exposition court (droite). La grande image est l’image HDR résultant de la fusion des deux.

Référence bibliographique :
Adaptive exposureestimation for high dynamic range imaging applied to natural scenes anddaylight skies. Miguel A.Martínez, Eva M. Valero, and Javier Hernández-Andrés. 1 February 2015 / Vol. 54, No. 4 / APPLIEDOPTICS

Contact :
Miguel Ángel Martínez Domingo.
Département d’Optique de l’Université de Grenade.
Portable: 0034 615457947
Courriel: martinezm@ugr.es


UGR scientists develop a new algorithm which will speed up the process to obtain HDR images

Researchers from the Optics Department at the U. of Granada have designed a new algorithm for high dynamic range (HDR) image capture which can be adapted to any sort of camera, any sort of scene and application, in an easy and optimal way.

 

Beyond the field of photography, this new development can also be applied to artificial vision systems, medical imaging, vigilance systems and assisted driving systems for vehicles

Researchers from the Optics Department at the U. of Granada have developed a new algorithm for the capture of high dynamic range (HDR) images which reduces the time of capture or the level of noise in the resulting image.

Beyond the field of photography, this new development can also be applied to artificial vision systems, medical imaging, control quality systems in assembly lines, satellite images, vigilance systems and assisted or automatic driving systems for vehicles, etc.

This research has been published in the journal Applied Optics, and it has facilitated the generation of an algorithm which, based on the way in which each camera responds to light, adapts the times of capture of different images in an automatic and instantaneous fashion, in order to reduce the total capture time, thus adapting to the conditions and needs of each captured scene.

Although the most striking and visually attractive application of HDR techniques is in the field of photography, these techniques are particularly relevant in robotic vision systems. «In the same way in which the human visual system has a high dynamic range, artificial vision systems also need this sort of techniques to behave in a similar, or even more sophisticated, way vis à vis our human visual system», according to the author of this research, Miguel ÁngelMartínez Domingo, from the Optics Department, U. of Granada.

The exposure time is the time in which the camera sensor is exposed to light during image capture. In a short exposure, the dark zones of the scene appear overexposed (black) in the final image. In a long exposure, by contrast, the most luminous zones in the scene appear saturated or burnt out (black)

Subexposed or saturated zones
«In general, in any scene captured nowadays, and even though our camera automatically adjusts the time of exposure, there will always be subexposed or saturated zones. This happens due to the fact that the range of luminosities (or dynamic range) which the sensor in any conventional camera can capture correctly in a single shot is smaller than the actual dynamic range of the scene itself. This is where HDR capture techniques make sense», according to Martínez Domingo.

What really matters is not just that the final image turn out to be nice or realistic for a human eye: it can be important, for instance, to highlight with a low degree of noise the details of a very bright component and another dark one in an integrated circuit. Consequently, the levels of noise in the resulting image are incompatible with the total time of capture for the different images required.

This algorithm developed by U. of Granada scientists allows for the optimization of the balance between a reduced time of capture and a lower level of noise in the resulting image. The level of noise becomes lower the more exposures are captured to make up the HDR image, but the use of many different exposures would excessively increase the time of capture. «The new algorithm does not just adapt itself to the camera we are using and the scene we are capturing, but also to the specific needs of the application we are developing,» according to Martínez Domingo.

Consequently, «for the first time an HDR image capture algorithm adapts itself to any camera, any scene, and any application, in an easy and optimal way, without having to use complex optic systems or non-conventional sensors architectures».

Higher left hand and right hand corners, photos captured with a long exposure time (left) and with a short exposure time(right). The large image is the HDR image that results from the fusion of the two others.

Bibliography:
Adaptive exposure estimation for highdynamic range imaging applied to natural scenes and daylight skies
Miguel A. Martínez, Eva M.Valero, and Javier Hernández-Andrés
1 February 2015 / Vol. 54, No. 4 / APPLIED OPTICS

Contact:
Miguel  Ángel Martínez Domingo
OpticsDepartment, U. of Granada
Email: martinezm@ugr.es
Cell phone: 0034 615457947


El Faro de Melilla

Pág. 16: La Editorial UGR la más citada por el buscador Google Scholar 

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Chemical pollutant linked to risk of cancer in males

75426 According to new findings published in the journal Science of the Total Environment, researchers from the University of Granada in Granada, Spain, have found that exposure to a chemical pollutant known as PCB-153 is positively linked to the risk of cancer in males. This agent can still be found in some fat-rich foods, particularly large, fat-rich fish.
For the study, researchers analyzed the accumulated levels of various pollutants in the body fat of 268 adults and identified those who developed cancer over a 9-year period.
Results showed that the accumulated exposure of PCB-153 was positively associated with the risk of cancer among men.
PCB-153 is part of a group of chemicals widely used in various types of industrial equipment. Because of its high resistance to degradation, the researchers suggest that fat food is the main source of exposure to the chemical pollutant. A fat-rich diet may be the cause of high PCB levels.
The researchers also hypothesize that the pollutant could interact with hormone receptors, produce free radicals, or alter DNA, thus causing cancer.
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Curiosity halla evidencias de agua líquida en Marte, con instrumento diseñado en España

77122 Los Investigadores han sabido desde hace mucho tiempo que hay agua en forma de hielo en Marte. Ahora, una investigación llevada a cabo por el rover Curiosity de la NASA ha demostrado que es posible que haya, además, agua líquida cerca de la superficie del planeta rojo.

 

Más concretamente, el agua estaría en los cinco primeros centímetros de suelo del cráter Gale, un lugar donde las condiciones ambientales permitirían la existencia de agua líquida salada o salmuera, durante la noche. Y, aunque al llegar el día y subir la temperatura, esas salmueras se secan; al anochecer las sales presentes en el suelo (percloratos) vuelven a absorber el vapor de agua de la atmósfera, por lo que el agua salada reaparece.

Estas son algunas de las conclusiones a las que ha llegado un estudio internacional liderado por investigadores del Consejo Superior de Investigaciones Científicas (CSIC).

El hallazgo, por otra parte, ha sido posible gracias a una herramienta española: el instrumento REMS (Rover Environmental Monitoring Station), que está integrado en el rover. Diseñado por investigadores del CSIC, este instrumento se encarga de monitorizar las condiciones ambientales sobre la superficie de Marte.

La información analizada ha sido recopilada durante un año marciano, que equivale a más de dos años terrestres, a lo largo del cual el vehículo ha recorrido más de nueve kilómetros, informa el CSIC en un comunicado.

«La presencia de agua líquida (en Marte) es un hecho extremadamente relevante (…) tiene implicaciones enormes para la habitabilidad de todo el planeta, para su futura exploración, así como para todos los procesos geológicos que estén relacionados con el agua», explica el investigador del CSIC Javier Martín-Torres, del Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra, centro mixto del CSIC y la Universidad de Granada.

El cráter Gale, situado en el ecuador de Marte, es la zona más caliente y seca del planeta rojo. Por ello, los autores de este estudio creen que si se ha encontrado salmuera en una zona donde las temperaturas favorecen la sequedad, podría existir en el resto de la superficie también.

Por otra parte, el trabajo ofrecería una posible explicación a los desprendimientos de material que se han observado por todo el planeta. Estos desprendimientos suceden de forma estacional, en los períodos más cálidos, en las laderas de Marte. Según los autores, estos derrumbes podrían estar causados por los cambios de estado de las salmueras presentes en los materiales del suelo.

Más agua en Marte

Sobre el agua que hubo o hay en el planeta rojo, en los últimos tiempos se han hecho diversos descubrimientos. Los últimos, los realizados por geólogos italianos (estos hallaron nuevas pruebas de la existencia de agua subterránea en Marte, al observar un ciclo hidrológico en una zona del planeta); y la constatación de que Marte albergó un océano primitivo con más agua que el océano Ártico de la Tierra.

En 2013, además, Curiosity encontró agua en el planeta rojo; y en 2012 halló evidencias de que, en algún momento, una corriente recorrió con fuerza la región de Marte que analizaba, situada entre el borde norte del cráter Gale y la base del Monte Sharp, una montaña situada en el interior de dicho cráter.

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Curiosity encontró agua salada en Marte

77122 Saber si Marte pudo haber contado o cuenta con un ambiente habitable es uno de los objetivos del robot Curiosity, que ha hallado ahora indicios de agua salada líquida (salmuera) en el planeta rojo, al menos en los primeros cinco centímetros del suelo del cráter Gale y durante la noche.

 

Desde que el Curiosity (NASA) se posó en la superficie de Marte en agosto de 2012 ha ido enviando una batería de datos que han demostrado, entre otros, la presencia de fluctuaciones de metano en la atmósfera de este planeta o de nitrógeno fijado en sedimentos.

Estos hallazgos podrían estar vinculados a una posible actividad biológica. Y es que del nitrógeno, por ejemplo, se sabe que es un elemento fundamental para la vida, también el agua.

Ahora, gracias al instrumento español REMS y al ruso DAN, el Curiosity ha constatado que en el cráter Gale de Marte se cumplen las condiciones para que exista salmuera, agua cargada de sal.

Los resultados de este nuevo hallazgo se publican en la revista Nature Geoscience, en un artículo liderado por Javier Martín-Torres, del Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra (CSIC y la Universidad de Granada) y de la Universidad Lulea de Tecnología (Suecia).

«Esta es la primera vez que se constata una evidencia de que existen condiciones en Marte para que haya agua líquida», sostuvo el investigador, quien no obstante ha precisado que estas condiciones ambientales se dan por la noche y no de día.

Esto se debe a que en Marte las diferencias entre el día y la noche son radicales: hasta 90 grados de diferencia en las temperaturas y una humedad relativa en el ambiente que puede variar entre el 100 por ciento de la noche y casi un 0 por ciento durante el día.

¿Y qué condiciones son las que ha encontrado el Curiosity para que los investigadores deduzcan que hay salmuera por la noche? Según ha explicado Martín-Torres, el robot ha recopilado durante un año marciano -que equivale a casi dos años terrestres-, y en nueve kilómetros, datos de humedad relativa, temperatura y presión.

El análisis posterior de estos parámetros es lo que ha dado a los investigadores las pistas sobre la posible existencia de salmuera.

Las sales de la superficie de Marte tendrían la capacidad de absorber el vapor de agua de la atmósfera durante la noche y especialmente en invierno, agua que se evaporaría después de la salida del sol, ha afirmado el investigador español.

El agua líquida es un requisito para la vida tal y como la conocemos.

Aunque ahora existen indicios de la existencia de agua líquida en Marte, las condiciones ambientales de ese planeta impiden la vida, «al menos como la conocemos»: las temperaturas en el cráter Gale son demasiado bajas para el metabolismo y la reproducción celular, tal y como se dan actualmente en la Tierra, ha subrayado Martín-Torres.

«No obstante, la posibilidad de que exista agua líquida en Marte tiene implicaciones enormes para la habitabilidad de todo el planeta, para su futura exploración y para los procesos geológicos que estén relacionados con el agua», ha aclarado este científico.

El cráter Gale es uno de los lugares «menos probables» en Marte para que exista salmuera, debido a que es la zona más caliente y seca: «si la hay aquí, la puede haber en otros muchos lugares del planeta», confirmó Alfred McEwen, de la Universidad de Arizona (USA) y co-autor de este estudio, según una nota de la NASA.

«Los modelos y las medidas tomadas bajo la superficie predicen que por debajo de 15 centímetros de profundidad las sales permanecen hidratadas durante el día y a lo largo de todo el año, pero no en fase líquida», ha añadido Martín-Torres en una nota del CSIC.

Este trabajo también ofrece una posible explicación a los desprendimientos de material que se han observado por todo el planeta y que suceden en los períodos más cálidos: según los autores, estos derrumbes podrían estar causados por los cambios de estado de las salmueras presentes en los materiales del suelo.

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El «Curiosity» detectó indicios de agua salada en Marte

77122 Saber si Marte pudo haber contado o cuenta con un ambiente habitable es uno de los objetivos del robot Curiosity, que ha hallado ahora indicios de agua salada líquida (salmuera) en el planeta rojo, al menos en los primeros cinco centímetros del suelo del cráter Gale y durante la noche.

 

Desde que el Curiosity (NASA) se posó en la superficie de Marte en agosto de 2012 ha ido enviando una batería de datos que han demostrado, entre otros, la presencia de fluctuaciones de metano en la atmósfera de este planeta o de nitrógeno fijado en sedimentos.

Estos hallazgos podrían estar vinculados a una posible actividad biológica. Y es que del nitrógeno, por ejemplo, se sabe que es un elemento fundamental para la vida, también el agua.

Ahora, gracias al instrumento español REMS y al ruso DAN, el Curiosity ha constatado que en el cráter Gale de Marte se cumplen las condiciones para que exista salmuera, agua cargada de sal.

Los resultados de este nuevo hallazgo se publican en la revista Nature Geoscience, en un artículo liderado por Javier Martín-Torres, del Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra (CSIC y la Universidad de Granada) y de la Universidad Lulea de Tecnología (Suecia).

«Esta es la primera vez que se constata una evidencia de que existen condiciones en Marte para que haya agua líquida», ha detallado a Efe este investigador, quien no obstante ha precisado que estas condiciones ambientales se dan por la noche y no de día.

«Esta es la primera vez que se constata una evidencia de que existen condiciones en Marte para que haya agua líquida»
Esto se debe a que en Marte las diferencias entre el día y la noche son radicales: hasta 90 grados de diferencia en las temperaturas y una humedad relativa en el ambiente que puede variar entre el 100 % de la noche y casi un 0 % durante el día.

¿Y qué condiciones son las que ha encontrado el Curiosity para que los investigadores deduzcan que hay salmuera por la noche?

Según ha explicado Martín-Torres, el robot ha recopilado durante un año marciano -que equivale a casi dos años terrestres-, y en nueve kilómetros, datos de humedad relativa, temperatura y presión.

El análisis posterior de estos parámetros es lo que ha dado a los investigadores las pistas sobre la posible existencia de salmuera.

Las sales de la superficie de Marte tendrían la capacidad de absorber el vapor de agua de la atmósfera durante la noche y especialmente en invierno, agua que se evaporaría después de la salida del sol, ha afirmado el investigador español.

Aunque ahora existen indicios de la existencia de agua líquida en Marte, las condiciones ambientales de ese planeta impiden la vida, «al menos como la conocemos»: las temperaturas en el cráter Gale son demasiado bajas para el metabolismo y la reproducción celular, tal y como se dan actualmente en la Tierra, ha subrayado Martín-Torres.

«No obstante, la posibilidad de que exista agua líquida en Marte tiene implicaciones enormes para la habitabilidad de todo el planeta, para su futura exploración y para los procesos geológicos que estén relacionados con el agua», ha aclarado este científico.

El cráter Gale es uno de los lugares «menos probables» en Marte para que exista salmuera, debido a que es la zona más caliente y seca: «si la hay aquí, la puede haber en otros muchos lugares del planeta», ha confirmado Alfred McEwen, de la Universidad de Arizona (EEUU) y co-autor de este estudio, según una nota de la NASA.

«Los modelos y las medidas tomadas bajo la superficie predicen que por debajo de 15 centímetros de profundidad las sales permanecen hidratadas durante el día y a lo largo de todo el año, pero no en fase líquida», ha añadido Martín-Torres en una nota del CSIC.

Este trabajo también ofrece una posible explicación a los desprendimientos de material que se han observado por todo el planeta y que suceden en los períodos más cálidos: según los autores, estos derrumbes podrían estar causados por los cambios de estado de las salmueras presentes en los materiales del suelo.

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Pág. 2: UNIVERSIDAD. Prácticas académicas

Pág. 13: Publicidad: Pruebas y exámenes que ofrece el Centro de Lenguas Modernas de la UGR para acreditar el nivel B1/B2

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Robot de la NASA encuentra indicios de agua salada líquida en Marte

77122 Saber si Marte pudo haber contado o cuenta con un ambiente habitable es uno de los objetivos del robot Curiosity, que ha hallado ahora indicios de agua salada líquida (salmuera) en el planeta rojo, al menos en los primeros cinco centímetros del suelo del cráter Gale y durante la noche.

 

Desde que el Curiosity (NASA) se posó en la superficie de Marte en agosto de 2012 ha ido enviando una batería de datos que han demostrado, entre otros, la presencia de fluctuaciones de metano en la atmósfera de este planeta o de nitrógeno fijado en sedimentos.

Estos hallazgos podrían estar vinculados a una posible actividad biológica. Y es que del nitrógeno, por ejemplo, se sabe que es un elemento fundamental para la vida, también el agua.

Ahora, gracias al instrumento español REMS y al ruso DAN, el Curiosity ha constatado que en el cráter Gale de Marte se cumplen las condiciones para que exista salmuera, agua cargada de sal.

Los resultados de este nuevo hallazgo se publican en la revista Nature Geoscience, en un artículo liderado por Javier Martín-Torres, del Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra (CSIC y la Universidad de Granada) y de la Universidad Lulea de Tecnología (Suecia).

«Esta es la primera vez que se constata una evidencia de que existen condiciones en Marte para que haya agua líquida», ha detallado a Efe este investigador, quien no obstante ha precisado que estas condiciones ambientales se dan por la noche y no de día.

Esto se debe a que en Marte las diferencias entre el día y la noche son radicales: hasta 90 grados de diferencia en las temperaturas y una humedad relativa en el ambiente que puede variar entre el 100 % de la noche y casi un 0 % durante el día.

¿Y qué condiciones son las que ha encontrado el Curiosity para que los investigadores deduzcan que hay salmuera por la noche?

Según ha explicado Martín-Torres, el robot ha recopilado durante un año marciano -que equivale a casi dos años terrestres-, y en nueve kilómetros, datos de humedad relativa, temperatura y presión.

El análisis posterior de estos parámetros es lo que ha dado a los investigadores las pistas sobre la posible existencia de salmuera.

Las sales de la superficie de Marte tendrían la capacidad de absorber el vapor de agua de la atmósfera durante la noche y especialmente en invierno, agua que se evaporaría después de la salida del sol, ha afirmado el investigador español.

El agua líquida es un requisito para la vida tal y como la conocemos.

Aunque ahora existen indicios de la existencia de agua líquida en Marte, las condiciones ambientales de ese planeta impiden la vida, «al menos como la conocemos»: las temperaturas en el cráter Gale son demasiado bajas para el metabolismo y la reproducción celular, tal y como se dan actualmente en la Tierra, ha subrayado Martín-Torres.

«No obstante, la posibilidad de que exista agua líquida en Marte tiene implicaciones enormes para la habitabilidad de todo el planeta, para su futura exploración y para los procesos geológicos que estén relacionados con el agua», ha aclarado este científico.

El cráter Gale es uno de los lugares «menos probables» en Marte para que exista salmuera, debido a que es la zona más caliente y seca: «si la hay aquí, la puede haber en otros muchos lugares del planeta», ha confirmado Alfred McEwen, de la Universidad de Arizona (EEUU) y co-autor de este estudio, según una nota de la NASA.

«Los modelos y las medidas tomadas bajo la superficie predicen que por debajo de 15 centímetros de profundidad las sales permanecen hidratadas durante el día y a lo largo de todo el año, pero no en fase líquida», ha añadido Martín-Torres en una nota del CSIC.

Este trabajo también ofrece una posible explicación a los desprendimientos de material que se han observado por todo el planeta y que suceden en los períodos más cálidos: según los autores, estos derrumbes podrían estar causados por los cambios de estado de las salmueras presentes en los materiales del suelo. EFE

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El Economista

Pág. 29: La deuda de las Universidades andaluzas es aún de 583 millones

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