Ideal

Pág. 8: Alhambra Venture diseña el futuro

Pág. 9: Emilio Herrera Cardenete: «Utilizo la prensa para la elaboración de algún artículo y trabajo»

Pág. 10: Informática coloca a Granada como cuarta provincia en impacto científico de España

Pág. 36: Necrológicas: D.ª Jenifer Paredes Cáceres (ALUMNA DE LA FACULTAD DE TRABAJO SOCIAL DE LA UNIVERSIDAD DE GRANADA)

Pág. 46: Las chicas del ‘Uni’ arrancan su fin de semana más trepidante

Pág. 47: Último encuentro asequible para un Universidad aún en zona de peligro

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Pourquoi de nombreuses espèces coexistent dans un système complexe

75244 Des scientifiques de l’Université de Grenade et de l’Université de Warwick (Royaume-Uni) ont publié un article dans la revue PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences, USA) dans lequel ils proposent une possible solution à l’énigme de la stabilité des écosystèmes complexes, comme les jungles amazoniennes ou les récifs de coraux, dans lesquels coexistent de nombreuses espèces similaires entre elles au lieu que quelques-unes déplacent les autres.

 

De gauche à droite, les chercheurs de l’UGR Luca Donetti, Virginia Domínguez et Miguel Ángel Muñoz.

Les chercheurs ont déterminé que les dénommés réseaux trophiques, qui représentent de façon concise qui s’alimente de qui dans un écosystème, possèdent une propriété simple ignorée à cette date, la «cohérence trophique», qui peut aider à résoudre le mystère qu’étudient depuis des années les théoriciens de l’écologie.

Depuis des années, les scientifiques se sentent fascinés par la quantité et variété de formes de vie qui habitent dans des écosystèmes très complexes, comme les jungles amazoniennes ou les récifs de coraux. Comment est-il possible qu’une aussi énorme biodiversité soit apparue spontanément et se maintienne ? Comment est-il possible que de nombreuses espèces coexistent au lieu que quelques-unes d’entre elles déplacent les autres ?

Vue d’une forêt amazonienne

Un des auteurs de cet article, le professeur de Physique Théorique de l’Université de Grenade, Miguel Ángel Muñoz, affirme que l’intérêt pour ces questions a remarquablement augmenté ces derniers temps, «étant donné le rythme sans précédents dans l’histoire de l’humanité auquel s’éteignent des espèces dû à l’impact des activités humaines. Pour cette raison, il est d’une importance vitale de comprendre quels sont les facteurs et mécanismes qui déterminent la stabilité des écosystèmes et les protègent en agissant de la façon la plus efficace possible.»

Lorsqu’une espèce prospère pour une raison quelconque, cela peut être au détriment d’autres, par exemple de leurs proies ou de leurs concurrents, ce qui peut à son tour affecter d’autres espèces. Dans un écosystème, ceci peut donner lieu à de grands changements qui aboutissent à des cascades ou avalanches d’extinctions.

Jusqu’aux années 70 on pensait que, plus grand et complexe est un écosystème, dans le sens de compter avec un grand nombre d’interactions entre espèces, plus ces fluctuations s’atténueraient, ce qui expliquerait pourquoi les écosystèmes les plus stables que nous voyons sont ceux qui présentent une grande biodiversité.

Cependant, en 1972, un éminent physicien et écologue, Sir Robert May, démontra mathématiquement -en utilisant des modèles très simples- que cela devrait être le contraire: la grandeur et la complexité devraient tendre à déstabiliser n’importe quel système dynamique, comme un écosystème ou un réseau financier. Ce résultat, connu depuis lors comme «paradoxe de May», initia un débat enflammé sur les effets de la diversité sur la stabilité.

Organisation par niveaux

Dans le travail publié par la revue PNAS, les scientifiques des universités de Grenade et de Warwick ont analysé un ensemble de réseaux trophiques provenant de très divers types d’écosystèmes. Ces réseaux ont été patiemment compilés par des groupes de recherche partout dans le monde.

Les auteurs de cet article ont mesuré à quel point les espèces s’organisent habituellement par niveaux, de sorte que la majorité des proies de tout déprédateur se trouvent à un niveau inférieur au sien. Par exemple, dans un réseau parfaitement cohérent, les herbivores au premier niveau trophique s’alimentent de plantes (au niveau zéro), les carnivores primaires au second niveau ne mangent que des herbivores, et ainsi de suite.

Bien que cette organisation des réseaux en strates (ou ‘cohérence trophique’) ne soit pas parfaite dans les réseaux naturels (par exemple, il existe des omnivores qui s’alimentent de plusieurs niveaux), elle est sans doute bien plus grande dans les réseaux réels de ce que considèrent ou prédisent les modèles mathématiques actuellement utilisés en écologie.

Cohérence et stabilité

Qui plus est, tel qu’il est démontré dans ce travail, «cette cohérence est fortement reliée à la stabilité des réseaux: à majeure cohérence majeure stabilité», remarque Muñoz. Dans leur article, les chercheurs proposent, de plus, un nouveau modèle mathématique pour générer des réseaux artificiels ou synthétiques (par ordinateur) qui non seulement reproduit de façon plus fiable que les modèles existants à cette date plusieurs propriétés des réseaux trophiques, mais qui en plus démontre sans équivoque que la stabilité peut augmenter avec la grandeur et la complexité.

«Ce n’est pas que May se soit trompé: tel que lui-même l’a signalé dans son travail originel, les écosystèmes doivent avoir une quelconque propriété structurale telle qu’ils ne se comportent pas comme le prédit leur simple théorie basée sur des structures trophiques aléatoires. De fait, May lui-même suggéra que la réponse à l’énigme devait se trouver dans le dessin particulier, ou architecture, des réseaux trophiques», affirme le professeur de l’UGR.

Bien que le débat ne soit pas nécessairement clos, puisque la stabilité mesurée est une condition obligatoire mais pas suffisante pour qu’un écosystème perdure, «ce résultat promet de changer notre vision des écosystèmes, et peut-être d’autres systèmes avec certaines propriétés similaires, comme les réseaux neuronaux, génétiques, commerciaux ou financiers». De plus, tel que l’avertissent les chercheurs, il est indispensable de savoir si un système deviendra plus ou moins stable avec la perte de certains de ses éléments (extinction d’espèces, faillites de banques) si nous voulons empêcher son effondrement.

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Pourquoi de nombreuses espèces coexistent dans un système complexe

75244 Des scientifiques de l’Université de Grenade et de l’Université de Warwick (Royaume-Uni) ont publié un article dans la revue PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences, USA) dans lequel ils proposent une possible solution à l’énigme de la stabilité des écosystèmes complexes, comme les jungles amazoniennes ou les récifs de coraux, dans lesquels coexistent de nombreuses espèces similaires entre elles au lieu que quelques-unes déplacent les autres.

 

De gauche à droite, les chercheurs de l’UGR Luca Donetti, Virginia Domínguez et Miguel Ángel Muñoz.

Les chercheurs ont déterminé que les dénommés réseaux trophiques, qui représentent de façon concise qui s’alimente de qui dans un écosystème, possèdent une propriété simple ignorée à cette date, la «cohérence trophique», qui peut aider à résoudre le mystère qu’étudient depuis des années les théoriciens de l’écologie.

Depuis des années, les scientifiques se sentent fascinés par la quantité et variété de formes de vie qui habitent dans des écosystèmes très complexes, comme les jungles amazoniennes ou les récifs de coraux. Comment est-il possible qu’une aussi énorme biodiversité soit apparue spontanément et se maintienne ? Comment est-il possible que de nombreuses espèces coexistent au lieu que quelques-unes d’entre elles déplacent les autres ?

Vue d’une forêt amazonienne

Un des auteurs de cet article, le professeur de Physique Théorique de l’Université de Grenade, Miguel Ángel Muñoz, affirme que l’intérêt pour ces questions a remarquablement augmenté ces derniers temps, «étant donné le rythme sans précédents dans l’histoire de l’humanité auquel s’éteignent des espèces dû à l’impact des activités humaines. Pour cette raison, il est d’une importance vitale de comprendre quels sont les facteurs et mécanismes qui déterminent la stabilité des écosystèmes et les protègent en agissant de la façon la plus efficace possible.»

Lorsqu’une espèce prospère pour une raison quelconque, cela peut être au détriment d’autres, par exemple de leurs proies ou de leurs concurrents, ce qui peut à son tour affecter d’autres espèces. Dans un écosystème, ceci peut donner lieu à de grands changements qui aboutissent à des cascades ou avalanches d’extinctions.

Jusqu’aux années 70 on pensait que, plus grand et complexe est un écosystème, dans le sens de compter avec un grand nombre d’interactions entre espèces, plus ces fluctuations s’atténueraient, ce qui expliquerait pourquoi les écosystèmes les plus stables que nous voyons sont ceux qui présentent une grande biodiversité.

Cependant, en 1972, un éminent physicien et écologue, Sir Robert May, démontra mathématiquement -en utilisant des modèles très simples- que cela devrait être le contraire: la grandeur et la complexité devraient tendre à déstabiliser n’importe quel système dynamique, comme un écosystème ou un réseau financier. Ce résultat, connu depuis lors comme «paradoxe de May», initia un débat enflammé sur les effets de la diversité sur la stabilité.

Organisation par niveaux

Dans le travail publié par la revue PNAS, les scientifiques des universités de Grenade et de Warwick ont analysé un ensemble de réseaux trophiques provenant de très divers types d’écosystèmes. Ces réseaux ont été patiemment compilés par des groupes de recherche partout dans le monde.

Les auteurs de cet article ont mesuré à quel point les espèces s’organisent habituellement par niveaux, de sorte que la majorité des proies de tout déprédateur se trouvent à un niveau inférieur au sien. Par exemple, dans un réseau parfaitement cohérent, les herbivores au premier niveau trophique s’alimentent de plantes (au niveau zéro), les carnivores primaires au second niveau ne mangent que des herbivores, et ainsi de suite.

Bien que cette organisation des réseaux en strates (ou ‘cohérence trophique’) ne soit pas parfaite dans les réseaux naturels (par exemple, il existe des omnivores qui s’alimentent de plusieurs niveaux), elle est sans doute bien plus grande dans les réseaux réels de ce que considèrent ou prédisent les modèles mathématiques actuellement utilisés en écologie.

Cohérence et stabilité

Qui plus est, tel qu’il est démontré dans ce travail, «cette cohérence est fortement reliée à la stabilité des réseaux: à majeure cohérence majeure stabilité», remarque Muñoz. Dans leur article, les chercheurs proposent, de plus, un nouveau modèle mathématique pour générer des réseaux artificiels ou synthétiques (par ordinateur) qui non seulement reproduit de façon plus fiable que les modèles existants à cette date plusieurs propriétés des réseaux trophiques, mais qui en plus démontre sans équivoque que la stabilité peut augmenter avec la grandeur et la complexité.

«Ce n’est pas que May se soit trompé: tel que lui-même l’a signalé dans son travail originel, les écosystèmes doivent avoir une quelconque propriété structurale telle qu’ils ne se comportent pas comme le prédit leur simple théorie basée sur des structures trophiques aléatoires. De fait, May lui-même suggéra que la réponse à l’énigme devait se trouver dans le dessin particulier, ou architecture, des réseaux trophiques», affirme le professeur de l’UGR.

Bien que le débat ne soit pas nécessairement clos, puisque la stabilité mesurée est une condition obligatoire mais pas suffisante pour qu’un écosystème perdure, «ce résultat promet de changer notre vision des écosystèmes, et peut-être d’autres systèmes avec certaines propriétés similaires, comme les réseaux neuronaux, génétiques, commerciaux ou financiers». De plus, tel que l’avertissent les chercheurs, il est indispensable de savoir si un système deviendra plus ou moins stable avec la perte de certains de ses éléments (extinction d’espèces, faillites de banques) si nous voulons empêcher son effondrement.

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La UGR publica “Los últimos moriscos. Pervivencias de la población de origen islámico en el Reino de Granada (siglos XVII-XVIII)”

El autor, Enrique Soria Mesa, demuestra en este libro que a pesar de las órdenes regias miles de moriscos lograron permanecer ocultos en España, y especialmente en el reino de Granada

“Los últimos moriscos. Pervivencias de la población de origen islámico en el Reino de Granada (siglos XVII-XVIII)” es el título del libro que acaban de publicar conjuntamente las universidades de Granada, Valencia y Zaragoza. El historiador Enrique Soria Mesa (catedrático de Historia Moderna en la Universidad de Córdoba) demuestra en este volumen que a pesar de las órdenes regias miles de moriscos lograron permanecer ocultos en España, y especialmente en el reino de Granada.

El proceso de expulsión de los moriscos decretado por Felipe III (1609-1614) parecía haber acabado con la presencia secular del Islam en España; de esta manera lo ha dejado establecido toda la historiografía especializada. Este libro demuestra, sin embargo, que no fue así, y que a pesar de todo muchos moriscos continuaron ocultos en la península.

Gran capacidad de recuperación

El autor se muestra sorprendido por la enorme capacidad de recuperación económica y social de este colectivo morisco. Parte del grupo se integró perfectamente, disolviéndose en la masa cristiana y un buen número de ellos conservó actitudes religiosas y culturales que se pueden calificar de heterodoxas, y fue reprimido por la Inquisición en 1727. El colectivo mantuvo parte de su identidad hasta finales del siglo XVIII.

Enrique Soria Mesa trata, en distintos capítulos de este volumen, aspectos, entre otros, como “Los moriscos que se quedaron, vistos por la historiografía”, “La nueva élite”, “Estrategias familiares”, “Actividades económicas y niveles de fortuna”, “La posesión de oficios públicos”, “Nobles y ¿limpios? La invención del pasado”, “Una red protectora”, “El desastre. La persecución de los islamizantes”, “Tras la tempestad. Exilio, reconstrucción y olvido”.

El autor

Enrique Soria Mesa (Granada, 1967) es doctor en Historia por la Universidad de Granada (1994) y catedrático de Historia Moderna en la Universidad de Córdoba desde 2011; investiga acerca del poder local en la España Moderna, en especial en lo relativo al régimen señorial, las oligarquías municipales, los judeoconversos, los moriscos, la genealogía y el ascenso social.

Entre sus múltiples publicaciones, destacan los siguientes libros: La venta de señoríos en el reino de Granada bajo los AustriasUniversidad de Granada, 1995 (prólogo de Antonio Domínguez Ortiz); La biblioteca genealógica de don Luis de Salazar y Castro, Córdoba, Universidad de Córdoba, 1997; Señores y oligarcas. Los señoríos del reino de Granada en la Edad ModernaUniversidad de Granada, 1997; El cambio inmóvil. Transformaciones y permanencias en una elite de poder (Córdoba, siglos XVI-XIX), Exmo. Ayuntamiento de Córdoba, 2001, que obtuvo el XIV Premio de Investigación Histórica Ciudad de Córdoba “Díaz del Moral” (2000) y el I Premio de Investigación “Leocadio Martín Mingorance” de la Universidad de Córdoba (2003).

En Editorial UGRhttp://sl.ugr.es/07vG


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La UGR publica “Los últimos moriscos. Pervivencias de la población de origen islámico en el Reino de Granada (siglos XVII-XVIII)”

El autor, Enrique Soria Mesa, demuestra en este libro que a pesar de las órdenes regias miles de moriscos lograron permanecer ocultos en España, y especialmente en el reino de Granada

“Los últimos moriscos. Pervivencias de la población de origen islámico en el Reino de Granada (siglos XVII-XVIII)” es el título del libro que acaban de publicar conjuntamente las universidades de Granada, Valencia y Zaragoza. El historiador Enrique Soria Mesa (catedrático de Historia Moderna en la Universidad de Córdoba) demuestra en este volumen que a pesar de las órdenes regias miles de moriscos lograron permanecer ocultos en España, y especialmente en el reino de Granada.

El proceso de expulsión de los moriscos decretado por Felipe III (1609-1614) parecía haber acabado con la presencia secular del Islam en España; de esta manera lo ha dejado establecido toda la historiografía especializada. Este libro demuestra, sin embargo, que no fue así, y que a pesar de todo muchos moriscos continuaron ocultos en la península.

Gran capacidad de recuperación

El autor se muestra sorprendido por la enorme capacidad de recuperación económica y social de este colectivo morisco. Parte del grupo se integró perfectamente, disolviéndose en la masa cristiana y un buen número de ellos conservó actitudes religiosas y culturales que se pueden calificar de heterodoxas, y fue reprimido por la Inquisición en 1727. El colectivo mantuvo parte de su identidad hasta finales del siglo XVIII.

Enrique Soria Mesa trata, en distintos capítulos de este volumen, aspectos, entre otros, como “Los moriscos que se quedaron, vistos por la historiografía”, “La nueva élite”, “Estrategias familiares”, “Actividades económicas y niveles de fortuna”, “La posesión de oficios públicos”, “Nobles y ¿limpios? La invención del pasado”, “Una red protectora”, “El desastre. La persecución de los islamizantes”, “Tras la tempestad. Exilio, reconstrucción y olvido”.

El autor

Enrique Soria Mesa (Granada, 1967) es doctor en Historia por la Universidad de Granada (1994) y catedrático de Historia Moderna en la Universidad de Córdoba desde 2011; investiga acerca del poder local en la España Moderna, en especial en lo relativo al régimen señorial, las oligarquías municipales, los judeoconversos, los moriscos, la genealogía y el ascenso social.

Entre sus múltiples publicaciones, destacan los siguientes libros: La venta de señoríos en el reino de Granada bajo los AustriasUniversidad de Granada, 1995 (prólogo de Antonio Domínguez Ortiz); La biblioteca genealógica de don Luis de Salazar y Castro, Córdoba, Universidad de Córdoba, 1997; Señores y oligarcas. Los señoríos del reino de Granada en la Edad ModernaUniversidad de Granada, 1997; El cambio inmóvil. Transformaciones y permanencias en una elite de poder (Córdoba, siglos XVI-XIX), Exmo. Ayuntamiento de Córdoba, 2001, que obtuvo el XIV Premio de Investigación Histórica Ciudad de Córdoba “Díaz del Moral” (2000) y el I Premio de Investigación “Leocadio Martín Mingorance” de la Universidad de Córdoba (2003).

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El científico Carlos Duarte inaugura el ciclo de conferencias “Expedición Malaspina 2010”

El domingo, 22 de febrero, a las 18 horas en el Palacio de Exposiciones y Congresos de Granada

El ciclo ha sido organizado por la Academia de Ciencias Matemáticas, Físico-Químicas y Naturales de Granada y el CEI Mar de la Universidad de Granada

El coordinador de la Expedición Malaspina Carlos M. Duarte (Red Sea Research Center, King Abdullah University of Science and Technology de Arabia Saudí) inaugurará el próximo domingo, 22 de febrero, el ciclo de conferencias “Expedición Malaspina 2010”, que organizan la Academia de Ciencias Matemáticas, Físico-Químicas y Naturales de Granada y el CEI Mar de la Universidad de Granada.

La Expedición Malaspina 2010 es un importante proyecto de investigación Consolider que fue financiado por el Ministerio Español de Ciencia e Innovación, con tres objetivos básicos: proporcionar una evaluación actual del estado de los océanos, explorar la diversidad biológica en el océano, particularmente la microbiana, y fomentar la cooperación entre los grupos de investigación marinos españoles para construir una masa crítica suficiente con capacidad de liderazgo a escala internacional.

Es un proyecto de alcance global, tanto en objetivos como en participación, en el que colaboran 35 grupos de investigación españoles y un total de 25 socios internacionales, con más de 400 científicos y 700 personas implicadas.

Se han realizado 10 meses de navegación; 7 de ellos a bordo del buque oceanográfico Hespérides, que circunnavegó el océano, y tres meses en el buque Sarmiento de Gamboa que sirvió, además, como un buque escuela en su regreso a España.

Una pequeña muestra de los resultados científicos que se están obteniendo se recogerá en este ciclo de conferencias y en la exposición que, durante su desarrollo, se podrá visitar en la Facultad de Ciencias de la UGR.

PROGRAMACIÓN

  • Domingo, 22 de febrero – Palacio de Exposiciones y Congresos de Granada, Auditorio García Lorca. 18:00 h “Malaspina Expedition: Seafaring on a New Quest”. Carlos M. Duarte Red Sea Research Center, King Abdullah University of Science and Technology. Arabia Saudí
  • Martes, 03 de marzo – Salón de Grados. Facultad de Ciencias. 18:00 h “La materia orgánica del océano oscuro: la bomba microbiana”. Isabel Reche Departamento de Ecología. Universidad de Granada
  • Martes, 10 de marzo – Salón de Grados. Facultad de Ciencias. 12:00 h “El papel de los migradores verticales micronectónicos en la bomba biológica oceánica”. Santiago Hernández León Instituto de Oceanografía y Cambio Global. Universidad de las Palmas de Gran Canaria
  • Martes, 17 de marzo – Salón de Grados. Facultad de Ciencias. 18:00 h “La acumulación de plástico en el océano global”. Andrés Cózar Departamento de Biología – Área de Ecología. Universidad de Cádiz
  • Martes, 24 de marzo – Salón de Grados. Facultad de Ciencias. 18:00 h “El aliento del mar: una visión global sin perder detalle”. RafelSimó Institut de Ciències del Mar, CSIC, Barcelona

Contacto: Campus de Excelencia Internacional del Mar (CEIMar) de la Universidad de Granada. Correo electrónico: ceimargranada@ugr.es


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El científico Carlos Duarte inaugura el ciclo de conferencias “Expedición Malaspina 2010”

El domingo, 22 de febrero, a las 18 horas en el Palacio de Exposiciones y Congresos de Granada

El ciclo ha sido organizado por la Academia de Ciencias Matemáticas, Físico-Químicas y Naturales de Granada y el CEI Mar de la Universidad de Granada

El coordinador de la Expedición Malaspina Carlos M. Duarte (Red Sea Research Center, King Abdullah University of Science and Technology de Arabia Saudí) inaugurará el próximo domingo, 22 de febrero, el ciclo de conferencias “Expedición Malaspina 2010”, que organizan la Academia de Ciencias Matemáticas, Físico-Químicas y Naturales de Granada y el CEI Mar de la Universidad de Granada.

La Expedición Malaspina 2010 es un importante proyecto de investigación Consolider que fue financiado por el Ministerio Español de Ciencia e Innovación, con tres objetivos básicos: proporcionar una evaluación actual del estado de los océanos, explorar la diversidad biológica en el océano, particularmente la microbiana, y fomentar la cooperación entre los grupos de investigación marinos españoles para construir una masa crítica suficiente con capacidad de liderazgo a escala internacional.

Es un proyecto de alcance global, tanto en objetivos como en participación, en el que colaboran 35 grupos de investigación españoles y un total de 25 socios internacionales, con más de 400 científicos y 700 personas implicadas.

Se han realizado 10 meses de navegación; 7 de ellos a bordo del buque oceanográfico Hespérides, que circunnavegó el océano, y tres meses en el buque Sarmiento de Gamboa que sirvió, además, como un buque escuela en su regreso a España.

Una pequeña muestra de los resultados científicos que se están obteniendo se recogerá en este ciclo de conferencias y en la exposición que, durante su desarrollo, se podrá visitar en la Facultad de Ciencias de la UGR.

PROGRAMACIÓN

  • Domingo, 22 de febrero – Palacio de Exposiciones y Congresos de Granada, Auditorio García Lorca. 18:00 h “Malaspina Expedition: Seafaring on a New Quest”. Carlos M. Duarte Red Sea Research Center, King Abdullah University of Science and Technology. Arabia Saudí
  • Martes, 03 de marzo – Salón de Grados. Facultad de Ciencias. 18:00 h “La materia orgánica del océano oscuro: la bomba microbiana”. Isabel Reche Departamento de Ecología. Universidad de Granada
  • Martes, 10 de marzo – Salón de Grados. Facultad de Ciencias. 12:00 h “El papel de los migradores verticales micronectónicos en la bomba biológica oceánica”. Santiago Hernández León Instituto de Oceanografía y Cambio Global. Universidad de las Palmas de Gran Canaria
  • Martes, 17 de marzo – Salón de Grados. Facultad de Ciencias. 18:00 h “La acumulación de plástico en el océano global”. Andrés Cózar Departamento de Biología – Área de Ecología. Universidad de Cádiz
  • Martes, 24 de marzo – Salón de Grados. Facultad de Ciencias. 18:00 h “El aliento del mar: una visión global sin perder detalle”. RafelSimó Institut de Ciències del Mar, CSIC, Barcelona

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“El papel del suelo en el reciclaje: tecnosoles”, conferencia de Felipe Macías Vázquez

El acto tendrá lugar en el Salón de Caballeros XXIV del Palacio de la Madraza, el lunes, 23 de febrero de 2015, a las 19.30 h

“El papel del suelo en el reciclaje: tecnosoles” es el título de la conferencia que impartirá Felipe Macías Vázquez en el Salón de Caballeros XXIV del Palacio de la Madraza, el lunes, 23 de febrero de 2015, a las 19.30 horas, dentro del ciclo “2015. Año Internacional de los suelos”, que organiza el Aula “Emilio Herrera Linares” de Ciencia y Tecnología, del Secretariado de Extensión Universitaria de la UGR, que dirige la profesora Elvira Martín Suárez, con la colaboración del Departamento de Edafología y Química Agrícola.

Todas las conferencias, con entrada libre, hasta completar el aforo, tendrán lugar en el Salón de Caballeros XXIV del Palacio de la Madraza, a las 19.30 horas.

Programa febrero-marzo

Ciclo de Conferencias. “2015. Año Internacional de los suelos”

Lunes, 23 de febrero
Conferencia: “El papel del suelo en el reciclaje: Tecnosoles”. 
A cargo de: Felipe Macías Vázquez. 
http://sl.ugr.es/07vx

Lunes, 2 de marzo
Conferencia: “La agricultura en el siglo XXI”. 
A cargo de: Carlos Dorronsoro Fernández. 
http://sl.ugr.es/07vz

Lunes, 9 de marzo
Conferencia: “Plantas que curan el suelo”. 
A cargo de: Manuela Abreu. 
http://sl.ugr.es/07vA

Lunes, 16 de marzo
Conferencia: “Actuar en protección de los suelos”. 
A cargo de: Jaume Porta Casanellas. 
http://sl.ugr.es/07vB

Lunes, 23 de marzo
Conferencia: “Los suelos y el olivar”. 
A cargo de: José Aguilar Ruiz. 
http://sl.ugr.es/07vD


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“El papel del suelo en el reciclaje: tecnosoles”, conferencia de Felipe Macías Vázquez

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“El papel del suelo en el reciclaje: tecnosoles” es el título de la conferencia que impartirá Felipe Macías Vázquez en el Salón de Caballeros XXIV del Palacio de la Madraza, el lunes, 23 de febrero de 2015, a las 19.30 horas, dentro del ciclo “2015. Año Internacional de los suelos”, que organiza el Aula “Emilio Herrera Linares” de Ciencia y Tecnología, del Secretariado de Extensión Universitaria de la UGR, que dirige la profesora Elvira Martín Suárez, con la colaboración del Departamento de Edafología y Química Agrícola.

Todas las conferencias, con entrada libre, hasta completar el aforo, tendrán lugar en el Salón de Caballeros XXIV del Palacio de la Madraza, a las 19.30 horas.

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Lunes, 23 de febrero
Conferencia: “El papel del suelo en el reciclaje: Tecnosoles”. 
A cargo de: Felipe Macías Vázquez. 
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Lunes, 2 de marzo
Conferencia: “La agricultura en el siglo XXI”. 
A cargo de: Carlos Dorronsoro Fernández. 
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Lunes, 9 de marzo
Conferencia: “Plantas que curan el suelo”. 
A cargo de: Manuela Abreu. 
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Conferencia: “Actuar en protección de los suelos”. 
A cargo de: Jaume Porta Casanellas. 
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A cargo de: José Aguilar Ruiz. 
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Frédéric Saumade, catedrático de Antropología Social de la Universidad Aix-Marseille, participa en el ciclo “De la naturaleza como cultura”, seminarios libres de Antropología Social

Lunes, 23 de febrero, de 16 a 19 horas, en la Facultad de Filosofía y Letras

Dentro del ciclo “De la naturaleza como cultura” de los seminarios libres de Antropología Social, el lunes, 23 de febrero, de 16 a 19 horas, se presenta “El nao naturalismo contemporáneo desde la antropología”, en el Aula “José Palaco” de la Facultad de Filosofía y Letras de la UGR, impartido por Frédéric Saumade, catedrático de Antropología Social de la Universidad Aix-Marseille.

Las investigaciones de Frédéric Saumade están orientadas por el eje temático de las “culturas de lo salvaje” en los espectáculos, la política y la literatura modernas, la confrontación ritualizada del hombre y del animal en la tauromaquia y, a partir de esta vía epistemológica, la confrontación de las culturas europea y mesoamericana en el contexto mestizo de México.

Esta actividad está organizada por el Observatorio de Prospectiva Cultural HUM-584, con la colaboración del Departamento de Antropología Social.

Contacto: José Antonio González Alcantud. Catedrático de Antropología Social. Departamento de Antropología Social. UGR. Tlf. 958243623. Correo elec: jgonzal@ugr.es


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Frédéric Saumade, catedrático de Antropología Social de la Universidad Aix-Marseille, participa en el ciclo “De la naturaleza como cultura”, seminarios libres de Antropología Social

Lunes, 23 de febrero, de 16 a 19 horas, en la Facultad de Filosofía y Letras

Dentro del ciclo “De la naturaleza como cultura” de los seminarios libres de Antropología Social, el lunes, 23 de febrero, de 16 a 19 horas, se presenta “El nao naturalismo contemporáneo desde la antropología”, en el Aula “José Palaco” de la Facultad de Filosofía y Letras de la UGR, impartido por Frédéric Saumade, catedrático de Antropología Social de la Universidad Aix-Marseille.

Las investigaciones de Frédéric Saumade están orientadas por el eje temático de las “culturas de lo salvaje” en los espectáculos, la política y la literatura modernas, la confrontación ritualizada del hombre y del animal en la tauromaquia y, a partir de esta vía epistemológica, la confrontación de las culturas europea y mesoamericana en el contexto mestizo de México.

Esta actividad está organizada por el Observatorio de Prospectiva Cultural HUM-584, con la colaboración del Departamento de Antropología Social.

Contacto: José Antonio González Alcantud. Catedrático de Antropología Social. Departamento de Antropología Social. UGR. Tlf. 958243623. Correo elec: jgonzal@ugr.es


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