Ideal

Pág. 12 – Pubicidad: Centro de Lenguas Modernas. Universidad de Granada. Cursos de lenguas extranjeras. Segundo cuatrimestre 2012/2013

Pág. 13: La UGR estudia ayudar con fondos sociales a los ‘erasmus’ con más dificultades

La Universidad granadina blinda sus sistemas de datos

Diseñan un moderador virtual que ayuda a tomar decisiones

Pág. 57: Del pañal de Jesús a la joroba del padre de Isabel la Católica

Pág. 62: Medicina organiza un ciclo que relaciona cine y enfermedad

Pág. 73: Agenda

– Cine: ‘La gran ilusión’

– Conferencia: Charla de Sánchez Trigueros

– Exposiciones: ‘Vivir en Granada’ / ‘Pasteles de la Sierra’

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Ideal

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Granada Hoy

Pág. 16: Bichitos, Bichos y Personas

Pág. 21: Un moderador virtual ayudará a tomar decisiones de grupo

Pág. 22 y 23: El día por delante

– ‘La Casa de Bernarda Alba’, por Sánchez Trigueros

– ‘La gran ilusión’, en el ciclo de cine de la UGR

– El ilustrador Gusti, en la Facultad de Bellas Artes

Pág. 44: ‘Arte gira dream’ inicia su andadura en Bellas Artes

Antonio Sánchez Trigueros habla sobre García Lorca

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Antonio Sánchez Trigueros habla sobre García Lorca

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Pág. 21: Un moderador virtual ayudará a tomar decisiones de grupo

Pág. 22 y 23: El día por delante

– ‘La Casa de Bernarda Alba’, por Sánchez Trigueros

– ‘La gran ilusión’, en el ciclo de cine de la UGR

– El ilustrador Gusti, en la Facultad de Bellas Artes

Pág. 44: ‘Arte gira dream’ inicia su andadura en Bellas Artes

Antonio Sánchez Trigueros habla sobre García Lorca

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L’exposition à des pesticides que nous avalons avec la nourriture ou l’eau augmente le risque du diabète type 2

  • Une étude dirigée par l’Université de Grenade affirme qu’il existe un rapport direct entre la présence de composés organiques persistants dans l’organisme et l’apparition de cette maladie, indépendamment du sexe, de l’âge ou de la masse corporelle du sujet.

Une étude dirigée par l’Université de Grenade affirme qu’il existe un rapport direct entre l’exposition à des pesticides (composés organiques persistants, COPs) que nous avalons avec la nourriture, l’eau ou l’air et la prévalence du diabète type 2 chez les personnes adultes, indépendamment du sexe, de l’âge ou de la masse corporelle du sujet. Ces substances tendent à s’accumuler dans la graisse du corps humain et pourraient être une des raisons pour lesquelles les personnes obèses ont plus de possibilités de développer un diabète, vu qu’elles en accumulent une quantité majeure. 

Dans un article publié dans le dernier numéro de la revue Environmental Research, les scientifiques ont démontré que les personnes présentant une plus forte concentration du composé DDE, principal métabolite du pesticide DDT, ont quatre fois plus de risques de développer un diabète type 2 que ceux qui en présentent des niveaux plus bas. De plus, un autre des pesticides présents dans le tissu adipeux chez les participants à l’étude, β-HCH (béta-hexachlorocyclohexane), présent dans les formulations du pesticide Lindane, est également en rapport avec l’augmentation du risque de la maladie.

Étude avec 386 personnes

Pour mener à bien cette recherche, les scientifiques ont analysé un groupe choisi de COPs dans le tissu adipeux de 386 personnes adultes soignées dans les hôpitaux San Cecilio de Grenade et Santa Ana de Motril. Tel que l’explique Juan Pedro Arrebola, chercheur de l’Université de Grenade et à l’hôpital San Cecilio de Grenade, et un des auteurs du travail, « le tissu adipeux humain (communément appelé ‘graisse’) agit comme réservoir énergétique et a une grande importance métabolique dans l’organisme tout en ayant la capacité d’emmagasiner des substances potentiellement toxiques, parmi lesquelles se trouvent les dénommés Composés Organiques Persistants (COPs). »

Ceci rend la mesure de ces résidus dans la graisse un excellent indicateur de l’exposition historique d’une personne aux COPs. Les COPs comprennent des substances chimiques aux caractéristiques très diverses, présentes dans des mélanges de pesticides, des résidus d’activités industrielles ou dans les matériaux de bâtiment, entre autres, et pénètrent dans l’organisme surtout par l’alimentation, mais aussi par inhalation ou à travers la peau.

M. Arrebola avertit que le mécanisme d’action par lequel les COPs augmenteraient le risque de souffrir un diabète « n’est pas encore connu, mais certains chercheurs ont suggéré que ces composés pourraient provoquer une réponse immunitaire après leur union aux récepteurs d’estrogènes dans des tissus reliés au métabolisme des sucres. »

La prévalence du diabète dans le monde a augmenté fortement ces dernières décennies et l’on estime que 4,4% de la population mondiale souffrira ce trouble métabolique en 2030. Ce fait aura de graves conséquences dans les programmes de santé publique vu qu’il occupera une partie importante des ressources. Les facteurs qui déterminent cette rapide augmentation du diabète ne sont pas encore bien connus.

Ont participé à cette recherche des chercheurs de l’Hôpital Universitaire San Cecilio de Grenade, l’École Andalouse de Santé Publique, l’Hôpital Santa Ana de Motril et l’Institut Hôpital de la Mer de Recherches Médicales de Barcelone. D’après ses auteurs, il s’agit d’un bon exemple de recherche clinique actuelle centrée sur des maladies fréquentes à fort impact sur la santé. »

Référence bibliographique:
Arrebola JP, Pumarega J, Gasull M, Fernandez MF, Martin-Olmedo P, Molina-Molina JM, Fernández-Rodríguez M, Porta M, Olea N. Adipose tissue concentrations of persistent organic pollutants and prevalence of type 2 diabetes in adults from Southern Spain. Environ Res. 2013. doi:pii: S0013-9351(12)00321-0. 10.1016/j.envres.2012.12.001

 

Sur la photo, de gauche à droite, une partie de l’équipe de recherche dans le laboratoire de l’UGR : Juan Pedro Arrebola, Francisco Artacho et María Fernández.

Contact: Juan Pedro Arrebola. Département de Radiologie et de Médecine Physique de l’Université de Grenade ; tél. : 958 240758 ; courriel : jparrebola@ugr.es


L’exposition à des pesticides que nous avalons avec la nourriture ou l’eau augmente le risque du diabète type 2

  • Une étude dirigée par l’Université de Grenade affirme qu’il existe un rapport direct entre la présence de composés organiques persistants dans l’organisme et l’apparition de cette maladie, indépendamment du sexe, de l’âge ou de la masse corporelle du sujet.

Une étude dirigée par l’Université de Grenade affirme qu’il existe un rapport direct entre l’exposition à des pesticides (composés organiques persistants, COPs) que nous avalons avec la nourriture, l’eau ou l’air et la prévalence du diabète type 2 chez les personnes adultes, indépendamment du sexe, de l’âge ou de la masse corporelle du sujet. Ces substances tendent à s’accumuler dans la graisse du corps humain et pourraient être une des raisons pour lesquelles les personnes obèses ont plus de possibilités de développer un diabète, vu qu’elles en accumulent une quantité majeure. 

Dans un article publié dans le dernier numéro de la revue Environmental Research, les scientifiques ont démontré que les personnes présentant une plus forte concentration du composé DDE, principal métabolite du pesticide DDT, ont quatre fois plus de risques de développer un diabète type 2 que ceux qui en présentent des niveaux plus bas. De plus, un autre des pesticides présents dans le tissu adipeux chez les participants à l’étude, β-HCH (béta-hexachlorocyclohexane), présent dans les formulations du pesticide Lindane, est également en rapport avec l’augmentation du risque de la maladie.

Étude avec 386 personnes

Pour mener à bien cette recherche, les scientifiques ont analysé un groupe choisi de COPs dans le tissu adipeux de 386 personnes adultes soignées dans les hôpitaux San Cecilio de Grenade et Santa Ana de Motril. Tel que l’explique Juan Pedro Arrebola, chercheur de l’Université de Grenade et à l’hôpital San Cecilio de Grenade, et un des auteurs du travail, « le tissu adipeux humain (communément appelé ‘graisse’) agit comme réservoir énergétique et a une grande importance métabolique dans l’organisme tout en ayant la capacité d’emmagasiner des substances potentiellement toxiques, parmi lesquelles se trouvent les dénommés Composés Organiques Persistants (COPs). »

Ceci rend la mesure de ces résidus dans la graisse un excellent indicateur de l’exposition historique d’une personne aux COPs. Les COPs comprennent des substances chimiques aux caractéristiques très diverses, présentes dans des mélanges de pesticides, des résidus d’activités industrielles ou dans les matériaux de bâtiment, entre autres, et pénètrent dans l’organisme surtout par l’alimentation, mais aussi par inhalation ou à travers la peau.

M. Arrebola avertit que le mécanisme d’action par lequel les COPs augmenteraient le risque de souffrir un diabète « n’est pas encore connu, mais certains chercheurs ont suggéré que ces composés pourraient provoquer une réponse immunitaire après leur union aux récepteurs d’estrogènes dans des tissus reliés au métabolisme des sucres. »

La prévalence du diabète dans le monde a augmenté fortement ces dernières décennies et l’on estime que 4,4% de la population mondiale souffrira ce trouble métabolique en 2030. Ce fait aura de graves conséquences dans les programmes de santé publique vu qu’il occupera une partie importante des ressources. Les facteurs qui déterminent cette rapide augmentation du diabète ne sont pas encore bien connus.

Ont participé à cette recherche des chercheurs de l’Hôpital Universitaire San Cecilio de Grenade, l’École Andalouse de Santé Publique, l’Hôpital Santa Ana de Motril et l’Institut Hôpital de la Mer de Recherches Médicales de Barcelone. D’après ses auteurs, il s’agit d’un bon exemple de recherche clinique actuelle centrée sur des maladies fréquentes à fort impact sur la santé. »

Référence bibliographique:
Arrebola JP, Pumarega J, Gasull M, Fernandez MF, Martin-Olmedo P, Molina-Molina JM, Fernández-Rodríguez M, Porta M, Olea N. Adipose tissue concentrations of persistent organic pollutants and prevalence of type 2 diabetes in adults from Southern Spain. Environ Res. 2013. doi:pii: S0013-9351(12)00321-0. 10.1016/j.envres.2012.12.001

 

Sur la photo, de gauche à droite, une partie de l’équipe de recherche dans le laboratoire de l’UGR : Juan Pedro Arrebola, Francisco Artacho et María Fernández.

Contact: Juan Pedro Arrebola. Département de Radiologie et de Médecine Physique de l’Université de Grenade ; tél. : 958 240758 ; courriel : jparrebola@ugr.es


L’exposition à des pesticides que nous avalons avec la nourriture ou l’eau augmente le risque du diabète type 2

  • Une étude dirigée par l’Université de Grenade affirme qu’il existe un rapport direct entre la présence de composés organiques persistants dans l’organisme et l’apparition de cette maladie, indépendamment du sexe, de l’âge ou de la masse corporelle du sujet.

Une étude dirigée par l’Université de Grenade affirme qu’il existe un rapport direct entre l’exposition à des pesticides (composés organiques persistants, COPs) que nous avalons avec la nourriture, l’eau ou l’air et la prévalence du diabète type 2 chez les personnes adultes, indépendamment du sexe, de l’âge ou de la masse corporelle du sujet. Ces substances tendent à s’accumuler dans la graisse du corps humain et pourraient être une des raisons pour lesquelles les personnes obèses ont plus de possibilités de développer un diabète, vu qu’elles en accumulent une quantité majeure. 

Dans un article publié dans le dernier numéro de la revue Environmental Research, les scientifiques ont démontré que les personnes présentant une plus forte concentration du composé DDE, principal métabolite du pesticide DDT, ont quatre fois plus de risques de développer un diabète type 2 que ceux qui en présentent des niveaux plus bas. De plus, un autre des pesticides présents dans le tissu adipeux chez les participants à l’étude, β-HCH (béta-hexachlorocyclohexane), présent dans les formulations du pesticide Lindane, est également en rapport avec l’augmentation du risque de la maladie.

Étude avec 386 personnes

Pour mener à bien cette recherche, les scientifiques ont analysé un groupe choisi de COPs dans le tissu adipeux de 386 personnes adultes soignées dans les hôpitaux San Cecilio de Grenade et Santa Ana de Motril. Tel que l’explique Juan Pedro Arrebola, chercheur de l’Université de Grenade et à l’hôpital San Cecilio de Grenade, et un des auteurs du travail, « le tissu adipeux humain (communément appelé ‘graisse’) agit comme réservoir énergétique et a une grande importance métabolique dans l’organisme tout en ayant la capacité d’emmagasiner des substances potentiellement toxiques, parmi lesquelles se trouvent les dénommés Composés Organiques Persistants (COPs). »

Ceci rend la mesure de ces résidus dans la graisse un excellent indicateur de l’exposition historique d’une personne aux COPs. Les COPs comprennent des substances chimiques aux caractéristiques très diverses, présentes dans des mélanges de pesticides, des résidus d’activités industrielles ou dans les matériaux de bâtiment, entre autres, et pénètrent dans l’organisme surtout par l’alimentation, mais aussi par inhalation ou à travers la peau.

M. Arrebola avertit que le mécanisme d’action par lequel les COPs augmenteraient le risque de souffrir un diabète « n’est pas encore connu, mais certains chercheurs ont suggéré que ces composés pourraient provoquer une réponse immunitaire après leur union aux récepteurs d’estrogènes dans des tissus reliés au métabolisme des sucres. »

La prévalence du diabète dans le monde a augmenté fortement ces dernières décennies et l’on estime que 4,4% de la population mondiale souffrira ce trouble métabolique en 2030. Ce fait aura de graves conséquences dans les programmes de santé publique vu qu’il occupera une partie importante des ressources. Les facteurs qui déterminent cette rapide augmentation du diabète ne sont pas encore bien connus.

Ont participé à cette recherche des chercheurs de l’Hôpital Universitaire San Cecilio de Grenade, l’École Andalouse de Santé Publique, l’Hôpital Santa Ana de Motril et l’Institut Hôpital de la Mer de Recherches Médicales de Barcelone. D’après ses auteurs, il s’agit d’un bon exemple de recherche clinique actuelle centrée sur des maladies fréquentes à fort impact sur la santé. »

Référence bibliographique:
Arrebola JP, Pumarega J, Gasull M, Fernandez MF, Martin-Olmedo P, Molina-Molina JM, Fernández-Rodríguez M, Porta M, Olea N. Adipose tissue concentrations of persistent organic pollutants and prevalence of type 2 diabetes in adults from Southern Spain. Environ Res. 2013. doi:pii: S0013-9351(12)00321-0. 10.1016/j.envres.2012.12.001

 

Sur la photo, de gauche à droite, une partie de l’équipe de recherche dans le laboratoire de l’UGR : Juan Pedro Arrebola, Francisco Artacho et María Fernández.

Contact: Juan Pedro Arrebola. Département de Radiologie et de Médecine Physique de l’Université de Grenade ; tél. : 958 240758 ; courriel : jparrebola@ugr.es


Exposure to pesticides in food, air and water increases risk of type 2 diabetes

  • A study led by the University of Granada reveals that there is a direct relationship between the presence of Persistent Organic Pollutants in the body and the development of type 2 diabetes, regardless of the patient’s age, gender or body mass index.

A study conducted at the University of Granada has revealed that there is a direct relationship between exposure to pesticides «Persistent Organic Pollutants (POP´s)  in food, air and water and prevalence of type 2 diabetes in adults, regardless of age, gender and body mass index. These substances tend to concentrate in body fat, and they might be one of the reasons why obese people are more likely to develop diabetes, since the more fat the higher the POP concentrations in the body.

In a paper recently published in the journal Environmental Research, researchers demonstrate that people with higher concentrations of DDE –the main metabolite in the pesticide DDT– are four times more likely to develop type 2 diabetes than other people. In addition, the risk of type 2 diabetes is also associated with exposure to β-HCH (beta-Hexachlorocyclohexane), which is present in the formula of the pesticide Lindano.

A Study with 386 Subjects

To carry out this study, the researchers analyzed the concentrations of a specific group of POPs in the adipose tissue of 386 adult subjects assisted at San Cecilio hospital, Granada, and Santa Ana hospital, Motril, Spain. According to the University of Granada and San Cecilio researcher, Juan Pedro Arrebola, “human adipose tissue (commonly known as “fat”) acts as an energy reservoir and has an important metabolic function. However, adipose tissue can store potentially harmful substances, such as persistent organic pollutants (POPs)”.

This makes POPs concentrations a useful marker of a subject’s exposure to POPs. POPs are a group of chemicals with diverse characteristics which are present in pesticides, industrial waste and building materials. These compounds penetrate the body mainly through food, but also through air or the skin.

According to professor Arrebola, “the mechanism of action by which POPs increases the risk of diabetes is still unknown. However, some researchers have suggested that POPs might cause an immunological response when they penetrate estrogen receptors in tissues associated with the metabolism of sugars.”

The prevalence of diabetes in the world has significantly increased in the last decades. It is estimated that by 2030, 4.4% of the world population have this metabolic disorder. This will have a severe impact on public health programs, since it is highly resource-consuming. The factors causing such increase in the prevalence of diabetes are not still clearly understood.

This research study was conducted by researchers at San Cecilio University Hospital, Granada, the University of Granada and the Andalusian School of Public Health, Santa Ana hospital, Motril, and the Hospital del Mar d’Investigacions Mèdiques, Barcelona. According to the authors of the study “we are an example of clinical research focused on common diseases with a high impact on health”.

Bibliography:

Arrebola JP, Pumarega J, Gasull M, Fernandez MF, Martin-Olmedo P, Molina-Molina JM, Fernández-Rodríguez M, Porta M, Olea N. Adipose tissue concentrations of persistent organic pollutants and prevalence of type 2 diabetes in adults from Southern Spain. Environ Res. 2013.doi:pii: S0013-9351(12)00321-0. 10.1016/j.envres.2012.12.001

 

From left to right, some of the researchers at the University of Granada laboratory: Juan Pedro Arrebola, Francisco Artacho and María Fernández

Contacting person:
Juan Pedro Arrebola
Department of Radiology and Physic Medicine, University of Granada
Phone number:+34 958 240 758
E-mail address: jparrebola@ugr.es


Exposure to pesticides in food, air and water increases risk of type 2 diabetes

  • A study led by the University of Granada reveals that there is a direct relationship between the presence of Persistent Organic Pollutants in the body and the development of type 2 diabetes, regardless of the patient’s age, gender or body mass index.

A study conducted at the University of Granada has revealed that there is a direct relationship between exposure to pesticides «Persistent Organic Pollutants (POP´s)  in food, air and water and prevalence of type 2 diabetes in adults, regardless of age, gender and body mass index. These substances tend to concentrate in body fat, and they might be one of the reasons why obese people are more likely to develop diabetes, since the more fat the higher the POP concentrations in the body.

In a paper recently published in the journal Environmental Research, researchers demonstrate that people with higher concentrations of DDE –the main metabolite in the pesticide DDT– are four times more likely to develop type 2 diabetes than other people. In addition, the risk of type 2 diabetes is also associated with exposure to β-HCH (beta-Hexachlorocyclohexane), which is present in the formula of the pesticide Lindano.

A Study with 386 Subjects

To carry out this study, the researchers analyzed the concentrations of a specific group of POPs in the adipose tissue of 386 adult subjects assisted at San Cecilio hospital, Granada, and Santa Ana hospital, Motril, Spain. According to the University of Granada and San Cecilio researcher, Juan Pedro Arrebola, “human adipose tissue (commonly known as “fat”) acts as an energy reservoir and has an important metabolic function. However, adipose tissue can store potentially harmful substances, such as persistent organic pollutants (POPs)”.

This makes POPs concentrations a useful marker of a subject’s exposure to POPs. POPs are a group of chemicals with diverse characteristics which are present in pesticides, industrial waste and building materials. These compounds penetrate the body mainly through food, but also through air or the skin.

According to professor Arrebola, “the mechanism of action by which POPs increases the risk of diabetes is still unknown. However, some researchers have suggested that POPs might cause an immunological response when they penetrate estrogen receptors in tissues associated with the metabolism of sugars.”

The prevalence of diabetes in the world has significantly increased in the last decades. It is estimated that by 2030, 4.4% of the world population have this metabolic disorder. This will have a severe impact on public health programs, since it is highly resource-consuming. The factors causing such increase in the prevalence of diabetes are not still clearly understood.

This research study was conducted by researchers at San Cecilio University Hospital, Granada, the University of Granada and the Andalusian School of Public Health, Santa Ana hospital, Motril, and the Hospital del Mar d’Investigacions Mèdiques, Barcelona. According to the authors of the study “we are an example of clinical research focused on common diseases with a high impact on health”.

Bibliography:

Arrebola JP, Pumarega J, Gasull M, Fernandez MF, Martin-Olmedo P, Molina-Molina JM, Fernández-Rodríguez M, Porta M, Olea N. Adipose tissue concentrations of persistent organic pollutants and prevalence of type 2 diabetes in adults from Southern Spain. Environ Res. 2013.doi:pii: S0013-9351(12)00321-0. 10.1016/j.envres.2012.12.001

 

From left to right, some of the researchers at the University of Granada laboratory: Juan Pedro Arrebola, Francisco Artacho and María Fernández

Contacting person:
Juan Pedro Arrebola
Department of Radiology and Physic Medicine, University of Granada
Phone number:+34 958 240 758
E-mail address: jparrebola@ugr.es


Exposure to pesticides in food, air and water increases risk of type 2 diabetes

  • A study led by the University of Granada reveals that there is a direct relationship between the presence of Persistent Organic Pollutants in the body and the development of type 2 diabetes, regardless of the patient’s age, gender or body mass index.

A study conducted at the University of Granada has revealed that there is a direct relationship between exposure to pesticides «Persistent Organic Pollutants (POP´s)  in food, air and water and prevalence of type 2 diabetes in adults, regardless of age, gender and body mass index. These substances tend to concentrate in body fat, and they might be one of the reasons why obese people are more likely to develop diabetes, since the more fat the higher the POP concentrations in the body.

In a paper recently published in the journal Environmental Research, researchers demonstrate that people with higher concentrations of DDE –the main metabolite in the pesticide DDT– are four times more likely to develop type 2 diabetes than other people. In addition, the risk of type 2 diabetes is also associated with exposure to β-HCH (beta-Hexachlorocyclohexane), which is present in the formula of the pesticide Lindano.

A Study with 386 Subjects

To carry out this study, the researchers analyzed the concentrations of a specific group of POPs in the adipose tissue of 386 adult subjects assisted at San Cecilio hospital, Granada, and Santa Ana hospital, Motril, Spain. According to the University of Granada and San Cecilio researcher, Juan Pedro Arrebola, “human adipose tissue (commonly known as “fat”) acts as an energy reservoir and has an important metabolic function. However, adipose tissue can store potentially harmful substances, such as persistent organic pollutants (POPs)”.

This makes POPs concentrations a useful marker of a subject’s exposure to POPs. POPs are a group of chemicals with diverse characteristics which are present in pesticides, industrial waste and building materials. These compounds penetrate the body mainly through food, but also through air or the skin.

According to professor Arrebola, “the mechanism of action by which POPs increases the risk of diabetes is still unknown. However, some researchers have suggested that POPs might cause an immunological response when they penetrate estrogen receptors in tissues associated with the metabolism of sugars.”

The prevalence of diabetes in the world has significantly increased in the last decades. It is estimated that by 2030, 4.4% of the world population have this metabolic disorder. This will have a severe impact on public health programs, since it is highly resource-consuming. The factors causing such increase in the prevalence of diabetes are not still clearly understood.

This research study was conducted by researchers at San Cecilio University Hospital, Granada, the University of Granada and the Andalusian School of Public Health, Santa Ana hospital, Motril, and the Hospital del Mar d’Investigacions Mèdiques, Barcelona. According to the authors of the study “we are an example of clinical research focused on common diseases with a high impact on health”.

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Arrebola JP, Pumarega J, Gasull M, Fernandez MF, Martin-Olmedo P, Molina-Molina JM, Fernández-Rodríguez M, Porta M, Olea N. Adipose tissue concentrations of persistent organic pollutants and prevalence of type 2 diabetes in adults from Southern Spain. Environ Res. 2013.doi:pii: S0013-9351(12)00321-0. 10.1016/j.envres.2012.12.001

 

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