El País

Pág. 34: Recortes en los campus

Educación eliminará las becas Séneca de movilidad entre campus

Pág. 35: Mil millones de la UE para estudiar el grafeno y el cerebro

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Ideal

Pág. 9: EL FIN DE LOS ESTORNINOS (Buenos días)

Pág. 10: Europa financia con mil millones un proyecto en el que participa la UGR

La exposición a pesticidas aumenta el riesgo de sufrir diabetes

Pág. 11 – Publicidad: Centro de Lenguas Modernas. Universidad de Granada. Cursos de preparación específica de destrezas enfocadas a la realización del examen de acreditación B1/B2

Pág. 18: Municipios de Granada y Almería piden la Universiada para La Ragua

Pág. 57 – Deportes: Descenso a los infiernos del Universidad de Granada

Pág. 60: El Festival de Música recorta su presupuesto en 500.000 euros

Los Cursos Manuel de Falla crecen en cantidad y calidad

Pág. 63: Bruselas financia con mil millones la investigación del grafeno

El Gobierno se plantea suspender las becas Séneca

Pág. 73: Agenda

– Cine: ‘El crimen del señor Lange’

– Conferencia: ‘Libros plúmbeos y mucho más: el ciclo falsario de Granada’

– Exposiciones: ‘Tikis Mikis: variaciones sobre el arte maorí’ / ‘Pulso enamorado de las horas. Antonio Carvajal desde la poesía y el arte’ / ‘Los plomos del Sacromonte: el mito de la historia, la historia del mito’ / ‘Cartografía secreta’ / ‘La más elegante del invernadero IV. Pepe Lomas: el maestro y sus alumnos’

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Los Cursos Manuel de Falla crecen en cantidad y calidad

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El Gobierno se plantea suspender las becas Séneca

Pág. 73: Agenda

– Cine: ‘El crimen del señor Lange’

– Conferencia: ‘Libros plúmbeos y mucho más: el ciclo falsario de Granada’

– Exposiciones: ‘Tikis Mikis: variaciones sobre el arte maorí’ / ‘Pulso enamorado de las horas. Antonio Carvajal desde la poesía y el arte’ / ‘Los plomos del Sacromonte: el mito de la historia, la historia del mito’ / ‘Cartografía secreta’ / ‘La más elegante del invernadero IV. Pepe Lomas: el maestro y sus alumnos’

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Granada Hoy

Portada: 500 millones para un proyecto sobre el cerebro en el que participa la UGR

Pág. 11: 500 millones para un proyecto sobre el cerebro en el que participa la UGR

El grafeno, un nuevo material para electrónica

La exposición a pesticidas por ingestión aumenta el riesgo de sufrir diabetes tipo 2

Pág. 18: Manuel Barrios analiza los libros plúmbeos (Pistas para hoy)

Pág. 21: Tarde de cine clásico de la mano de Jean Renoir (El día por delante)

Pág. 40: Los Cursos Manuel de Falla se suman al modelo europeo con una oferta más amplia

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El grafeno, un nuevo material para electrónica

La exposición a pesticidas por ingestión aumenta el riesgo de sufrir diabetes tipo 2

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Obtention d’une souris mutée génétiquement qui pourrait aider à soigner des maladies neuromusculaires

  • Des chercheurs de l’Université de Grenade sont arrivés à générer, pour la première fois au monde et après plus de trois ans de travail, des souris présentant une déficience de coenzyme Q10, une maladie mitochondriale qualifiée de rare qui se présente surtout chez les enfants.
  • Grâce à cette altération génétique, similaire à celle que subissent les humains avec ces maladies, au bout d’entre trois et six mois cette souris souffre une dégénération rapide avec paralysie des extrémités et mort par arrêt cardiorespiratoire.

Des chercheurs du Centre de Recherche Biomédicale de l’Université de Grenade sont arrivés à générer, pour la première fois au monde, des souris présentant une mutation génétique qui leur provoque une déficience de coenzyme Q10, une maladie mitochondriale qualifiée de rare qui se présente surtout chez les enfants. Ces souris mutantes, au gène CoQ9 déficient, supposent, d’après les chercheurs, « un outil très valable pour l’étude et le traitement des encéphalopathies métaboliques et des maladies neuromusculaires. »

La coenzyme Q10 (CoQ10) est une molécule synthétisée dans les cellules de l’organisme, et réalise des fonctions essentielles dans le métabolisme cellulaire. Parmi les plus connues se trouve son rôle dans la production d’énergie que nécessite la cellule et sa capacité antioxydante. Chez les humains, on a décrit des cas de déficience en CoQ10 dû à des défauts du processus biosynthétique, ce qui cause un syndrome avec des signes cliniques très hétérogènes.

Pour comprendre les mécanismes pathologiques de cette maladie et mieux connaître le processus biosynthétique de la CoQ, les chercheurs de l’Université de Grenade sont parvenus à générer, après plus de trois ans de travail, des souris présentant une mutation, similaire à celle décrite chez un patient, dans un gène (CoQ9) qui codifie une protéine participant à son tour à la biosynthèse de la CoQ.

Paralysie des extrémités

Tel que l’explique Luis Carlos López García, principal chercheur de ce travail, les souris mutantes en CoQ9 « développent une encéphalopathie sévère qui provoque mort neuronale, astrogliose et vacuolisation du cerveau. Entre trois et six mois après, ils subissent une dégénération rapide avec paralysie des extrémités et mort par arrêt cardiorespiratoire. Du point de vue moléculaire, la déficience en CoQ chez ces souris cause une déstructuration de la machine bioénergétique mitochondriale dans le cerveau, provoquant ainsi un déficit bioénergétique sévère et une légère augmentation du dégât oxydatif. » La souris mutante en CoQ9 générée à l’Université de Grenade « représente le premier modèle de souris déficiente en CoQ avec encéphalopathie mitochondriale obtenu au monde, et pourrait nous aider dans la recherche d’une thérapie adéquate pour des maladies neuromusculaires en rapport avec la déficience en CoQ10, actuellement sans traitement. De plus, étant donné que la CoQ10 s’utilise aussi comme supplément nutritionnel et dans l’industrie cosmétique, « le modèle de souris déficiente en CoQ est idéal pour étudier l’utilité réelle de ces applications. »

Les résultats de cette recherche, financée par le CEI BioTic Grenade, le Ministère de l’Économie et de la Compétitivité, la Junte andalouse et le programme Marie Curie, ont été publiés dans le dernier numéro de la prestigieuse revue « Human Molecular Genetics ». Ont également collaboré à ce travail des chercheurs du Centre National de Recherches Cardiovasculaires (CNIC).

Figure 1 : Photo où l’on peut apprécier la paralysie des pattes arrière des souris déficientes en Coenzyme Q.

Figure 2 : Image des membres du groupe de recherche CTS-101 de l’Université de Grenade à l’entrée du Centre de Recherche Biomédicale. Laura García Corzo (première à gauche, rang inférieur), Luis Carlos López (premier à gauche, rang supérieur) et Marta Luna Sánchez (seconde à gauche, rang supérieur).

Figure 2 : Image des membres du groupe de recherche CTS-101 de l’Université de Grenade à l’entrée du Centre de Recherche Biomédicale. Laura García Corzo (première à gauche, rang inférieur), Luis Carlos López (premier à gauche, rang supérieur) et Marta Luna Sánchez (seconde à gauche, rang supérieur).

 

Video

Référence bibliographique : García-Corzo L, Luna-Sánchez M, Doerrier C, García JA, Guarás A, Acín-Pérez R, Bullejos-Peregrín J, López A, Escames G, Enríquez JA, Acuña-Castroviejo D and López LC. Dysfunctional Coq9 Protein Causes Predominant Encephalomyopathy Associated to CoQ Deficiency. Human Molecular Genetics, in press. DOI: 10.1093/hmg/dds530

Accès online :

http://hmg.oxfordjournals.org/content/early/2012/12/18/hmg.dds530.full.pdf+html

 

Contact: Luis Carlos López García. Centre de Recherche Biomédicale, Université de Grenade. Tél.: 958241000 – ext. 20198; courriel : luisca@ugr.es; web: http://melatonin.ugr.es


Obtention d’une souris mutée génétiquement qui pourrait aider à soigner des maladies neuromusculaires

  • Des chercheurs de l’Université de Grenade sont arrivés à générer, pour la première fois au monde et après plus de trois ans de travail, des souris présentant une déficience de coenzyme Q10, une maladie mitochondriale qualifiée de rare qui se présente surtout chez les enfants.
  • Grâce à cette altération génétique, similaire à celle que subissent les humains avec ces maladies, au bout d’entre trois et six mois cette souris souffre une dégénération rapide avec paralysie des extrémités et mort par arrêt cardiorespiratoire.

Des chercheurs du Centre de Recherche Biomédicale de l’Université de Grenade sont arrivés à générer, pour la première fois au monde, des souris présentant une mutation génétique qui leur provoque une déficience de coenzyme Q10, une maladie mitochondriale qualifiée de rare qui se présente surtout chez les enfants. Ces souris mutantes, au gène CoQ9 déficient, supposent, d’après les chercheurs, « un outil très valable pour l’étude et le traitement des encéphalopathies métaboliques et des maladies neuromusculaires. »

La coenzyme Q10 (CoQ10) est une molécule synthétisée dans les cellules de l’organisme, et réalise des fonctions essentielles dans le métabolisme cellulaire. Parmi les plus connues se trouve son rôle dans la production d’énergie que nécessite la cellule et sa capacité antioxydante. Chez les humains, on a décrit des cas de déficience en CoQ10 dû à des défauts du processus biosynthétique, ce qui cause un syndrome avec des signes cliniques très hétérogènes.

Pour comprendre les mécanismes pathologiques de cette maladie et mieux connaître le processus biosynthétique de la CoQ, les chercheurs de l’Université de Grenade sont parvenus à générer, après plus de trois ans de travail, des souris présentant une mutation, similaire à celle décrite chez un patient, dans un gène (CoQ9) qui codifie une protéine participant à son tour à la biosynthèse de la CoQ.

Paralysie des extrémités

Tel que l’explique Luis Carlos López García, principal chercheur de ce travail, les souris mutantes en CoQ9 « développent une encéphalopathie sévère qui provoque mort neuronale, astrogliose et vacuolisation du cerveau. Entre trois et six mois après, ils subissent une dégénération rapide avec paralysie des extrémités et mort par arrêt cardiorespiratoire. Du point de vue moléculaire, la déficience en CoQ chez ces souris cause une déstructuration de la machine bioénergétique mitochondriale dans le cerveau, provoquant ainsi un déficit bioénergétique sévère et une légère augmentation du dégât oxydatif. » La souris mutante en CoQ9 générée à l’Université de Grenade « représente le premier modèle de souris déficiente en CoQ avec encéphalopathie mitochondriale obtenu au monde, et pourrait nous aider dans la recherche d’une thérapie adéquate pour des maladies neuromusculaires en rapport avec la déficience en CoQ10, actuellement sans traitement. De plus, étant donné que la CoQ10 s’utilise aussi comme supplément nutritionnel et dans l’industrie cosmétique, « le modèle de souris déficiente en CoQ est idéal pour étudier l’utilité réelle de ces applications. »

Les résultats de cette recherche, financée par le CEI BioTic Grenade, le Ministère de l’Économie et de la Compétitivité, la Junte andalouse et le programme Marie Curie, ont été publiés dans le dernier numéro de la prestigieuse revue « Human Molecular Genetics ». Ont également collaboré à ce travail des chercheurs du Centre National de Recherches Cardiovasculaires (CNIC).

Figure 1 : Photo où l’on peut apprécier la paralysie des pattes arrière des souris déficientes en Coenzyme Q.

Figure 2 : Image des membres du groupe de recherche CTS-101 de l’Université de Grenade à l’entrée du Centre de Recherche Biomédicale. Laura García Corzo (première à gauche, rang inférieur), Luis Carlos López (premier à gauche, rang supérieur) et Marta Luna Sánchez (seconde à gauche, rang supérieur).

Figure 2 : Image des membres du groupe de recherche CTS-101 de l’Université de Grenade à l’entrée du Centre de Recherche Biomédicale. Laura García Corzo (première à gauche, rang inférieur), Luis Carlos López (premier à gauche, rang supérieur) et Marta Luna Sánchez (seconde à gauche, rang supérieur).

 

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Référence bibliographique : García-Corzo L, Luna-Sánchez M, Doerrier C, García JA, Guarás A, Acín-Pérez R, Bullejos-Peregrín J, López A, Escames G, Enríquez JA, Acuña-Castroviejo D and López LC. Dysfunctional Coq9 Protein Causes Predominant Encephalomyopathy Associated to CoQ Deficiency. Human Molecular Genetics, in press. DOI: 10.1093/hmg/dds530

Accès online :

http://hmg.oxfordjournals.org/content/early/2012/12/18/hmg.dds530.full.pdf+html

 

Contact: Luis Carlos López García. Centre de Recherche Biomédicale, Université de Grenade. Tél.: 958241000 – ext. 20198; courriel : luisca@ugr.es; web: http://melatonin.ugr.es


Researchers generate a mutant mouse model useful in the treatment of neuromuscular diseases

  • Researchers at the University of Granada have produced for the first time in the world mice lacking the coenzyme Q10, a rare mitochondrial disease prevailingly affecting children. The researchers needed three years to complete the study.

At three to six months of life, this genetic alteration in mice –similar to that occurred in human– causes a rapid degeneration in the lower limbs to death for cardiac arrest.

For the first time in the world, researchers at the Center for Biomedical Research of the University of Granada have created mice with a genetic mutation inducing a deficiency in the coenzyme Q10, a rare mitochondrial disease prevailingly affecting children. These mutant mice –which lack the Coq9 gene– will be “a valuable tool for the study and treatment of metabolic encephalopathies and neuromuscular diseases”, the researchers state.

Coenzyme Q10 (CoQ10) is a molecule produced in body cells, which functions are crucial to cell metabolism. Their best-known function is their generating energy used by cells and their antioxidant activity. In human, defects in the biosynthetic route cause CoQ10 deficiency, resulting in a syndrome with very heterogeneous symptoms.

To better understand the pathological mechanisms of this disease and learn about the biosynthetic pathway of CoQ, the University of Granada researchers conducted a three-year study to generate mice with a mutation in a gene (Coq9) similar to that found in humans. This gene codifies a protein involved in CoQ biosynthesis.

Lower Limb Paralysis

Accordikng to professor Luis Carlos López García –the principal investigator of this study– states, “mice with a Coq9 mutation develop a severe encephalomyopathy inducing neural death, astrogliosis and vacuolation of the brain. At three to six months, these mice undergo a rapid degeneration causing lower limp paralysis and death for cardiac arrest. In molecular terms, CoQ deficiency in mice impairs the mitochondrial mechanisms of bioenergy production in the brain, causing a severe bioenergetic deficiency and a slight increase in oxidative damage”.

The CoQ9-deficient mutant mouse model generated at the University of Granada “is the first model of CoQ9-deficient mutant mice with mitochondrial encephalomyopathy created worldwide. Currently, there is not any therapy for neuromuscular diseases associated with CoQ10 deficiency, and this mutant model might be useful in the development of an effective therapy for such diseases. In addition, as CoQ10 is also used as a nutritional supplement and in the cosmetics industry, “the CoQ9-deficient mutant mouse model is very useful in the assessment of the effectiveness of nutritional supplements and cosmetics”.

The results of this research study –which received financial support from CEI BioTic Granad, the Spanish Ministry of Economy and Competitiveness, the Andalusian Regional Government and the Marie Curie program– have been recently published in the prestigious journal Human Molecular Genetics. Researchers from the National Cardiovascular Research Center (CNIC) also participated in the study.

Figure 1: Picture showing hind lower limb paralysis in CoQ10 coenzyme-deficient mice.

Figure 2: Members of the research group CTS-101 of the University of Granada at the Biomedical Research Center. Laura García Corzo (first from the left, lower row), Luis Carlos López (first from the left, upper row), and Marta Luna Sánchez (second from the left, upper row).

Figure 2: Members of the research group CTS-101 of the University of Granada at the Biomedical Research Center. Laura García Corzo (first from the left, lower row), Luis Carlos López (first from the left, upper row), and Marta Luna Sánchez (second from the left, upper row).

Vídeo

References:

García-Corzo L, Luna-Sánchez M, Doerrier C, García JA, Guarás A, Acín-Pérez R, Bullejos-Peregrín J, López A, Escames G, Enríquez JA, Acuña-Castroviejo D and López LC. Dysfunctional Coq9 Protein Causes Predominant Encephalomyopathy Associated to CoQ Deficiency. Human Molecular Genetics, in press.DOI: 10.1093/hmg/dds530

Online Access: http://hmg.oxfordjournals.org/content/early/2012/12/18/hmg.dds530.full.pdf+html

Contacting person: Luis Carlos López García
Centro de Investigación Biomédica
Universidad de Granada
Tel.: +34 958 241 000 – ext. 20198
E-mail address: luisca@ugr.es
Web: http://melatonin.ugr.es


Researchers generate a mutant mouse model useful in the treatment of neuromuscular diseases

  • Researchers at the University of Granada have produced for the first time in the world mice lacking the coenzyme Q10, a rare mitochondrial disease prevailingly affecting children. The researchers needed three years to complete the study.

At three to six months of life, this genetic alteration in mice –similar to that occurred in human– causes a rapid degeneration in the lower limbs to death for cardiac arrest.

For the first time in the world, researchers at the Center for Biomedical Research of the University of Granada have created mice with a genetic mutation inducing a deficiency in the coenzyme Q10, a rare mitochondrial disease prevailingly affecting children. These mutant mice –which lack the Coq9 gene– will be “a valuable tool for the study and treatment of metabolic encephalopathies and neuromuscular diseases”, the researchers state.

Coenzyme Q10 (CoQ10) is a molecule produced in body cells, which functions are crucial to cell metabolism. Their best-known function is their generating energy used by cells and their antioxidant activity. In human, defects in the biosynthetic route cause CoQ10 deficiency, resulting in a syndrome with very heterogeneous symptoms.

To better understand the pathological mechanisms of this disease and learn about the biosynthetic pathway of CoQ, the University of Granada researchers conducted a three-year study to generate mice with a mutation in a gene (Coq9) similar to that found in humans. This gene codifies a protein involved in CoQ biosynthesis.

Lower Limb Paralysis

Accordikng to professor Luis Carlos López García –the principal investigator of this study– states, “mice with a Coq9 mutation develop a severe encephalomyopathy inducing neural death, astrogliosis and vacuolation of the brain. At three to six months, these mice undergo a rapid degeneration causing lower limp paralysis and death for cardiac arrest. In molecular terms, CoQ deficiency in mice impairs the mitochondrial mechanisms of bioenergy production in the brain, causing a severe bioenergetic deficiency and a slight increase in oxidative damage”.

The CoQ9-deficient mutant mouse model generated at the University of Granada “is the first model of CoQ9-deficient mutant mice with mitochondrial encephalomyopathy created worldwide. Currently, there is not any therapy for neuromuscular diseases associated with CoQ10 deficiency, and this mutant model might be useful in the development of an effective therapy for such diseases. In addition, as CoQ10 is also used as a nutritional supplement and in the cosmetics industry, “the CoQ9-deficient mutant mouse model is very useful in the assessment of the effectiveness of nutritional supplements and cosmetics”.

The results of this research study –which received financial support from CEI BioTic Granad, the Spanish Ministry of Economy and Competitiveness, the Andalusian Regional Government and the Marie Curie program– have been recently published in the prestigious journal Human Molecular Genetics. Researchers from the National Cardiovascular Research Center (CNIC) also participated in the study.

Figure 1: Picture showing hind lower limb paralysis in CoQ10 coenzyme-deficient mice.

Figure 2: Members of the research group CTS-101 of the University of Granada at the Biomedical Research Center. Laura García Corzo (first from the left, lower row), Luis Carlos López (first from the left, upper row), and Marta Luna Sánchez (second from the left, upper row).

Figure 2: Members of the research group CTS-101 of the University of Granada at the Biomedical Research Center. Laura García Corzo (first from the left, lower row), Luis Carlos López (first from the left, upper row), and Marta Luna Sánchez (second from the left, upper row).

Vídeo

References:

García-Corzo L, Luna-Sánchez M, Doerrier C, García JA, Guarás A, Acín-Pérez R, Bullejos-Peregrín J, López A, Escames G, Enríquez JA, Acuña-Castroviejo D and López LC. Dysfunctional Coq9 Protein Causes Predominant Encephalomyopathy Associated to CoQ Deficiency. Human Molecular Genetics, in press.DOI: 10.1093/hmg/dds530

Online Access: http://hmg.oxfordjournals.org/content/early/2012/12/18/hmg.dds530.full.pdf+html

Contacting person: Luis Carlos López García
Centro de Investigación Biomédica
Universidad de Granada
Tel.: +34 958 241 000 – ext. 20198
E-mail address: luisca@ugr.es
Web: http://melatonin.ugr.es


La Comisión Europea financiará con mil millones de euros un proyecto en el que participa la Universidad de Granada

  • Cerebro Humano, reconocido hoy como una de los dos mejores proyectos europeos de Tecnologías Futuras y Emergentes (FET), tratará de emular el funcionamiento del cerebro humano y servirá para desarrollar tratamientos personalizados de las enfermedades neurológicas y afines.
  • En esta iniciativa participan científicos de 87 instituciones de todo el mundo, entre las que se encuentra la UGR.

La Universidad de Granada participa en uno de los dos proyectos de investigación que han sido concedidos por la Comisión Europea al considerarlos como las mejores propuestas dentro del programa Tecnologías Futuras y Emergentes (FET), según se ha anunciado por la Oficina de Prensa de la UE (28 de enero de 2013).

El proyecto, en que participa la Universidad de Granada, se denomina Cerebro Humano (“Human Brain Project”, HBP), se incardina dentro de los ámbitos de la neurociencia y de la neurocomputación, y recibirá mil millones de euros a distribuir entre todas las instituciones participantes para realizar durante diez años investigaciones de primer nivel mundial, y servirá para crear la instalación experimental más grande del mundo para elaborar el modelo más detallado del cerebro.

Como explica el profesor Eduardo Ros Vidal, del departamento de Arquitectura y Tecnología de Computadores, investigador del CITIC-UGR y responsable del proyecto en la UGR, “el HBP estudiará y tratará de emular el funcionamiento del cerebro humano” y, en último término, servirá para desarrollar un tratamiento personalizado de las enfermedades neurológicas y afines. “Esta investigación sienta las bases científicas y técnicas de un progreso médico que podría cambiar radicalmente la calidad de vida de millones de europeos”, afirma la Comisión Europea en la nota de prensa difundida hoy.

En el HBP participan científicos de 87 instituciones de todo el mundo, entre las que se encuentra la UGR, y 15 Estados miembros de la UE. La iniciativa estará dirigida por el profesor Henry Markram de la École Polytechnique Fédérale de Lausana (Suiza).

El proyecto desarrollará una nueva estrategia global para la comprensión del cerebro humano y una plataforma de investigación novedosa que integrará todos los datos y el conocimiento que podemos adquirir acerca de la estructura y funcionamiento del cerebro y usarla para construir modelos unificados que puedan ser validados por simulaciones en supercomputadores. También impulsará el desarrollo de las aplicaciones de la supercomputación para las ciencias de la vida, la generación de nuevos datos neuro-científicos como referencia para modelar y comparar resultados, el desarrollo de herramientas radicalmente nuevas para la informática, el modelado y simulación, y construcción de laboratorios virtuales para estudios básicos y clínicos colaborativos, la simulación de medicinas, y el prototipado virtual de dispositivos neuroprotésicos, neuromórficos, y robóticos.

Uno de los pilares del proyecto es la disponibilidad de supercomputadores “Peta-escala” (es decir, que realizan más de mil billones de operaciones con números reales por segundo); que permiten realizar simulaciones en distintos niveles de abstracción, incluyendo el nivel celular de circuitos neuronales e incluso el nivel molecular de neuronas individuales.

El proyecto también contempla el desarrollo de técnicas digitales de aceleración (basadas ​​en FPGAs o ASICs) y aceleradores neuromórficos que mejoran aún más las capacidades de computación de altas prestaciones (HPC) de los supercomputadores. El diseño y la configuración del hardware y el software necesarios se llevarán a cabo en estrecha colaboración con la industria.

En el CITIC-UGR, durante la primera fase del proyecto, el equipo que dirige Eduardo Ros Vidal participará en el marco del pilar “Neurobotics” cuyo principal objetivo es construir los medios necesarios para hacer experimentos con modelos de cerebro conectados a agentes (tales como robots o simuladores de robots). Esto hará posible realizar experimentos de percepción-acción en ciclo cerrado. Así se dotará al modelo de cerebro que se construya de diferentes sentidos (como vista mediante prototipos o modelos de retina) y actuadores (para que tenga capacidad de acción, a través de brazos articulados, etc.). De esta forma, será posible estudiar cómo el cerebro adquiere y estructura el conocimiento a través de experiencias sensoriales durante procesos de experimentación (mediante juegos, o simples interacciones con el entorno físico). Durante los dos primeros años en el CITIC-UGR se construirá una interfaz entre modelos de la retina con la corteza cerebral. En definitiva, se trata de dotar de la capacidad de visión (con modelos biológicamente plausibles) a los modelos de cerebro que se creen en el marco del proyecto. Un sistema tan complejo como el cerebro se puede estudiar en distintos niveles de abstracción. Es importante evaluar el impacto que tienen ciertas propiedades de las células o de los circuitos neuronales en capacidades concretas del sistema. No tiene sentido estudiar el cerebro como un elemento aislado del mundo (al que se inyectan datos artificiales), tiene más lógica crear un modelo de cerebro y dotarlo de sentidos (vista, tacto, etc.) y capacidad para realizar acciones. Con ello se dispondrá de un modelo de cerebro “empotrado” en un cuerpo (“embodiment”)  o agente y realizar estudios de “comportamiento” y analizar cómo se modifica el comportamiento de este agente (durante procesos pre-cognitivos y cognitivos). El desarrollo del proyecto hará posible evaluar cómo se adquiere conocimiento, cómo se estructura, cómo se realizan procesos de percepción activa (en los que se efectúan acciones para explorar mejor algo como un objeto), etc.

El HBP habilitará para las universidades y la industria un nuevo camino hacia la comprensión del cerebro humano. En este camino se unificarán los conocimientos biológicos existentes, se generarán nuevos enfoques y métodos para las ciencias del cerebro y el desarrollo de nuevas tecnologías inteligentes. Por último, el proyecto proporcionará una nueva herramienta para la investigación de las enfermedades del cerebro y para el desarrollo más fácil, más rápido y más barato de nuevos tratamientos. El potencial impacto social y económico es enorme. Necesariamente el proyecto dedicará un esfuerzo importante en la formación de los jóvenes científicos en este nuevo enfoque integrado de la ciencia, la medicina y la tecnología, y para dialogar con la sociedad sobre las relevantes cuestiones éticas, legales y sociales que se plantearán.

La Comisión Europea apoyará el Proyecto Cerebro Humano, junto con el de Grafeno, como una iniciativa emblemática de la acción Tecnologías Futuras y Emergentes durante diez años a través de sus programas de financiación de la investigación y la innovación. La financiación continua para toda la duración del proyecto procederá de los programas marco de investigación de la UE, principalmente del programa Horizonte 2000 (2014-2020), que se está negociando actualmente en el Parlamento Europeo y el Consejo.

 

Contacto:
Eduardo Ros Vidal
Departamento de Arquitectura y Tecnología de Computadores de la Universidad de Granada
Teléfono: 958 246 128 y 671 803 544.
Correo electrónico: eros@atc.ugr.es / eros@ugr.es