Acto oficial de bienvenida en el Parque de las Ciencias a los más de 2000 estudiantes internacionales de la UGR

  • Las Jornadas de Recepción organizadas por el Vicerrectorado de Relaciones Internacionales y Cooperación al Desarrollo se celebran hasta el 22 de septiembre

El acto oficial de bienvenida a los más de 2000 estudiantes internacionales de la UGR se celebrará en el Parque de las Ciencias el miércoles 19 de septiembre, a las 11 de la mañana, y contará con la presencia de la vicerrectora de Relaciones Internacionales y Cooperación al Desarrollo, Dorothy Kelly.

La Universidad de Granada organiza, por quinto curso consecutivo, las Jornadas de Recepción para los más de 2000 estudiantes internacionales que acogerá nuestra universidad durante el primer semestre del curso académico 2012/2013.

El Vicerrectorado de Relaciones Internacionales y Cooperación al Desarrollo ha diseñado un programa variado de actividades para esta semana de bienvenida, lo que convertirá a estas jornadas en una experiencia inolvidable para los estudiantes internacionales. Las charlas informativas se completan con actividades deportivas, culturales y de ocio que incluyen una actuación del Coro de la Facultad de Ciencias, una actuación de magia en el Centro de Lenguas Modernas, visitas guiadas a los distintos campus universitarios, competiciones deportivas, dos proyecciones de cine, una visita guiada al Parque de las Ciencias, una actuación de teatro, una visita guiada por el Albaycín, un encuentro lingüístico entre los estudiantes, una gymkana…

El broche final a las jornadas consistirá en la recepción en el Ayuntamiento de Granada a los estudiantes “embajadores” de cada país en un acto que se celebrará el sábado 22 de septiembre en el Ayuntamiento de Granada y que contará también con la presencia del rector de la Universidad de Granada.

Más información: Javier Hernández Andrés. Director del Secretariado de Internacionalización y Promoción. Vicerrectorado de Relaciones Internacionales y Cooperación al Desarrollo. Universidad de Granada. Tlf: 958 249 338 Correo elec: internationalization@ugr.es

CONVOCATORIA:

  • ASUNTO: Acto oficial de bienvenida a los estudiantes internacionales de la UGR.
  • DÍA: miércoles 19 de septiembre.
  • HORA: 11 h.
  • LUGAR: Parque de las Ciencias.

Gabinete de Comunicación – Secretaría General
UNIVERSIDAD DE GRANADA
Acera de San Ildefonso, s/n. 18071. Granada (España)
Tel. 958 243063 – 958 244278
Correo e. gabcomunicacion@ugr.es
Web: http://canal.ugr.es


Une équipe de physiciens à laquelle participe l’Université de Grenade avance dans la localisation exacte de l’« Île de Stabilité » d’éléments super lourds

  • La prestigieuse revue Science a publié les résultats de la recherche.
  • Y participe Daniel Rodríguez, du département de Physique Atomique, Moléculaire et Nucléaire de l’UGR et membre du Centre National de Physique des Particules, des Astroparticules et Nucléaire (CPAN).
  • Actuellement, on est en train de fabriquer à l’UGR un senseur quantique, qui est un dispositif unique au monde pour mesurer des masses de noyaux atomiques avec exactitude et précision.

Une équipe internationale de chercheurs à laquelle participe l’Université de Grenade (UGR) a pu mesurer directement l’intensité des effets de couches dans les éléments très lourds, ce qui fournit une information précieuse sur la structure nucléaire de ce genre d’éléments inconnus dans la Nature. Ces résultats sont prometteurs pour la localisation de la dénommée « Île de Stabilité », une théorie qui établit l’existence d’éléments superlourds très stables et dont la moyenne de vie serait très élevée. Ces mesures ont été menées à bien dans des isotopes de nobélium et de lawrencium en utilisant l’accélérateur de particules du laboratoire de physique nucléaire GSI de Darmstadt (Allemagne). Les résultats ont été publiés en août 2012 par la revue Science.

À cette collaboration internationale participent des scientifiques du GSI, de l’Institut Helmholtz de Mainz (HIM) et les universités de Giessen, Grenade, Greifswald, Heidelberg, Mainz, Munich et Padoue, l’institut Max-Planck de physique nucléaire de Heildelberg et l’institut PNPI de Saint-Pétersbourg.

Les dénommés éléments super lourds sont ceux dont le nombre atomique (quantité de protons dans le noyau) est plus élevé que celui du lawrencium (Z=103). Ces éléments n’existent pas dans la nature et sont créés dans des laboratoires de physique nucléaire comme GSI moyennant des collisions d’ions mais à un très bas taux de production. Ce sont pour la plupart des éléments instables, de sorte qu’ils se désintègrent peu après leur création. Cependant, il y a des prédictions théoriques qui établissent l’existence d’un groupe d’éléments superlourds extraordinairement stable autour de ce qu’on a appelé « Île de Stabilité ».

La stabilité se doit exclusivement aux dénommés « effets de couches » dans le noyau atomique. Les constituants du noyau, protons et neutrons, s’organisent par couches. Dans certaines configurations dénommées « magiques » où les couches sont tout à fait pleines, les protons et neutrons sont fortement unis, ce qui est à l’origine de ces éléments super lourds stables. Sans cet effet, les éléments super lourds se désintègreraient immédiatement dû à la répulsion de Coulomb entre les protons.

Actuellement, on est en train de fabriquer à l’UGR un senseur quantique, qui est un dispositif unique au monde pour mesurer avec exactitude et précision des masses de noyaux atomiques d’éléments super lourds. Une fois construit, ce dispositif s’accouplera à l’accélérateur du GSI en Allemagne, dans l’installation SHIPTRAP.

La construction de ce dispositif (en marche depuis novembre 2011) est possible grâce à une subvention de 1,5 millions d’euros, une des plus élevées que l’UGR a reçu pour un projet concret, concédé en 2011 au professeur Daniel Rodríguez par le Conseil européen de Recherche dans le contexte de la thématique définie comme « Constituants fondamentaux de la matière »

Pour plus d’information : http://sl.ugr.es/02oV

Photo : image de l’installation SHIPTRAP

Contact : Daniel Rodríguez, maître de conférences à l’Université de Grenade, Département de Physique Atomique, Moléculaire et Nucléaire. Tél. : 958240029, 958248841 ; courriel : danielrodriguez@ugr.es


Une équipe de physiciens à laquelle participe l’Université de Grenade avance dans la localisation exacte de l’« Île de Stabilité » d’éléments super lourds

  • La prestigieuse revue Science a publié les résultats de la recherche.
  • Y participe Daniel Rodríguez, du département de Physique Atomique, Moléculaire et Nucléaire de l’UGR et membre du Centre National de Physique des Particules, des Astroparticules et Nucléaire (CPAN).
  • Actuellement, on est en train de fabriquer à l’UGR un senseur quantique, qui est un dispositif unique au monde pour mesurer des masses de noyaux atomiques avec exactitude et précision.

Une équipe internationale de chercheurs à laquelle participe l’Université de Grenade (UGR) a pu mesurer directement l’intensité des effets de couches dans les éléments très lourds, ce qui fournit une information précieuse sur la structure nucléaire de ce genre d’éléments inconnus dans la Nature. Ces résultats sont prometteurs pour la localisation de la dénommée « Île de Stabilité », une théorie qui établit l’existence d’éléments superlourds très stables et dont la moyenne de vie serait très élevée. Ces mesures ont été menées à bien dans des isotopes de nobélium et de lawrencium en utilisant l’accélérateur de particules du laboratoire de physique nucléaire GSI de Darmstadt (Allemagne). Les résultats ont été publiés en août 2012 par la revue Science.

À cette collaboration internationale participent des scientifiques du GSI, de l’Institut Helmholtz de Mainz (HIM) et les universités de Giessen, Grenade, Greifswald, Heidelberg, Mainz, Munich et Padoue, l’institut Max-Planck de physique nucléaire de Heildelberg et l’institut PNPI de Saint-Pétersbourg.

Les dénommés éléments super lourds sont ceux dont le nombre atomique (quantité de protons dans le noyau) est plus élevé que celui du lawrencium (Z=103). Ces éléments n’existent pas dans la nature et sont créés dans des laboratoires de physique nucléaire comme GSI moyennant des collisions d’ions mais à un très bas taux de production. Ce sont pour la plupart des éléments instables, de sorte qu’ils se désintègrent peu après leur création. Cependant, il y a des prédictions théoriques qui établissent l’existence d’un groupe d’éléments superlourds extraordinairement stable autour de ce qu’on a appelé « Île de Stabilité ».

La stabilité se doit exclusivement aux dénommés « effets de couches » dans le noyau atomique. Les constituants du noyau, protons et neutrons, s’organisent par couches. Dans certaines configurations dénommées « magiques » où les couches sont tout à fait pleines, les protons et neutrons sont fortement unis, ce qui est à l’origine de ces éléments super lourds stables. Sans cet effet, les éléments super lourds se désintègreraient immédiatement dû à la répulsion de Coulomb entre les protons.

Actuellement, on est en train de fabriquer à l’UGR un senseur quantique, qui est un dispositif unique au monde pour mesurer avec exactitude et précision des masses de noyaux atomiques d’éléments super lourds. Une fois construit, ce dispositif s’accouplera à l’accélérateur du GSI en Allemagne, dans l’installation SHIPTRAP.

La construction de ce dispositif (en marche depuis novembre 2011) est possible grâce à une subvention de 1,5 millions d’euros, une des plus élevées que l’UGR a reçu pour un projet concret, concédé en 2011 au professeur Daniel Rodríguez par le Conseil européen de Recherche dans le contexte de la thématique définie comme « Constituants fondamentaux de la matière »

Pour plus d’information : http://sl.ugr.es/02oV

Photo : image de l’installation SHIPTRAP

Contact : Daniel Rodríguez, maître de conférences à l’Université de Grenade, Département de Physique Atomique, Moléculaire et Nucléaire. Tél. : 958240029, 958248841 ; courriel : danielrodriguez@ugr.es


The University of Granada takes part in a research study on the location of the Island of Stability of Super-Heavy Elements

  • The prestigious journal Science has published the results of this research study.
  • Daniel Rodríguez, a professor at the University of Granada Department of Atomic, Molecular and Nuclear Physics, and a member of the Spanish National Center for Particle, Astroparticle and Nuclear Physics (CPAN, for its acronym in Spanish) has participated in the study.
  • The University of Granada is developing a quantum sensor, a unique device for measuring the mass of nuclei with precision and accuracy.

An international research group –with the participation of the University of Granada– has achieved to measure the effects of layers on super-heavy elements, which provides useful data on the nuclear structure of these as-yet undiscovered elements in Nature. These results might be useful to locate the so-called «Island of Stability» introduced by a theory that states the existence of highly stable super-heavy elements with very long average lives. The researchers measured the isotopes of nobelium and lawrence using a particle accelerator at the Center of for Heavy Ion Research (GSI), Darmstadt (Germany).

The research group included members of the GSI, the Helmholtz Institute (Mainz, HIM), the universities of Giessen, Granada, Greifswald, Heidelberg, Mainz, Munich and Padua, the Max-Planck Institute of Nuclear Phyisics (Heidelberg) and the PNPI Institute (St. Petersburg).

Super-heavy elements are elements with an atomic number (number of protons in the nucleus) greater than that of Lawrence (Z=103). These elements are not found in Nature, and they are created in nuclear physics labs –as GSI– through the bombardment of elements in a particle accelerator. –Super-heavy elements are created in quantities on the atomic scale and no method of mass creation has been found. However, there are predictive theories that state that a group of extremely stable super-heavy elements exist in the so-called Island of Stability

The stability of super-heavy elements is caused by the «layer effects» in the atomic nucleus. The components of the nucleus –protons and neutrons- are arranged in layers. There are layers full of protons or neutrons –referred as «magic layers»- that are strongly bound, which results in extremely stable elements. Without this bonding, super-heavy elements would immediately disintegrate due to Coulomb’s repulsion among protons.
The University of Granada is developing a quantum sensor, a unique device for measuring the greatest mass of nuclei ever measured (because of technical limitations), which will be published in Science. This device will be integrated into the GSI’s accelerator in Germany, in the SHIPTRAP facilities.

The development of this measuring device (which started in November 2011) has been enabled by a grant of 1.5 million euros, one of the highest grants ever awarded to the University of Granada for a specific project. This grant was awarded to Professor Daniel Rodríguez by the European Research Council in 2011 within the topic framework «Fundamental Constituents of Matter»

Further information: http://sl.ugr.es/02oV

SHIPTRAP facilities

Contacting Person: Daniel Rodríguez. Professor at the University of Granada Department of Atomic, Molecular and Nuclear Physics. Telf.:+34 958240029, +34 958248841 E-mail: danielrodriguez@ugr.es


The University of Granada takes part in a research study on the location of the Island of Stability of Super-Heavy Elements

  • The prestigious journal Science has published the results of this research study.
  • Daniel Rodríguez, a professor at the University of Granada Department of Atomic, Molecular and Nuclear Physics, and a member of the Spanish National Center for Particle, Astroparticle and Nuclear Physics (CPAN, for its acronym in Spanish) has participated in the study.
  • The University of Granada is developing a quantum sensor, a unique device for measuring the mass of nuclei with precision and accuracy.

An international research group –with the participation of the University of Granada– has achieved to measure the effects of layers on super-heavy elements, which provides useful data on the nuclear structure of these as-yet undiscovered elements in Nature. These results might be useful to locate the so-called «Island of Stability» introduced by a theory that states the existence of highly stable super-heavy elements with very long average lives. The researchers measured the isotopes of nobelium and lawrence using a particle accelerator at the Center of for Heavy Ion Research (GSI), Darmstadt (Germany).

The research group included members of the GSI, the Helmholtz Institute (Mainz, HIM), the universities of Giessen, Granada, Greifswald, Heidelberg, Mainz, Munich and Padua, the Max-Planck Institute of Nuclear Phyisics (Heidelberg) and the PNPI Institute (St. Petersburg).

Super-heavy elements are elements with an atomic number (number of protons in the nucleus) greater than that of Lawrence (Z=103). These elements are not found in Nature, and they are created in nuclear physics labs –as GSI– through the bombardment of elements in a particle accelerator. –Super-heavy elements are created in quantities on the atomic scale and no method of mass creation has been found. However, there are predictive theories that state that a group of extremely stable super-heavy elements exist in the so-called Island of Stability

The stability of super-heavy elements is caused by the «layer effects» in the atomic nucleus. The components of the nucleus –protons and neutrons- are arranged in layers. There are layers full of protons or neutrons –referred as «magic layers»- that are strongly bound, which results in extremely stable elements. Without this bonding, super-heavy elements would immediately disintegrate due to Coulomb’s repulsion among protons.
The University of Granada is developing a quantum sensor, a unique device for measuring the greatest mass of nuclei ever measured (because of technical limitations), which will be published in Science. This device will be integrated into the GSI’s accelerator in Germany, in the SHIPTRAP facilities.

The development of this measuring device (which started in November 2011) has been enabled by a grant of 1.5 million euros, one of the highest grants ever awarded to the University of Granada for a specific project. This grant was awarded to Professor Daniel Rodríguez by the European Research Council in 2011 within the topic framework «Fundamental Constituents of Matter»

Further information: http://sl.ugr.es/02oV

SHIPTRAP facilities

Contacting Person: Daniel Rodríguez. Professor at the University of Granada Department of Atomic, Molecular and Nuclear Physics. Telf.:+34 958240029, +34 958248841 E-mail: danielrodriguez@ugr.es


La Alhambra desvelará nuevos detalles sobre la intervención del Patio de los Leones

n el curso, organizado por el Patronato de la Alhambra y Generalife y el Centro Mediterráneo, que se prolongará hasta el viernes

 

Conocer más detalles sobre la intervención en el Patio de los Leones, es el objetivo del curso que, desde hoy y hasta el próximo viernes, día 21, se celebra en el Palacio de Carlos V de la Alhambra, organizado por el Patronato de la Alhambra y Generalife en colaboración con el Centro Mediterráneo de la Universidad de Granada. Un centenar de alumnos, entre historiadores del arte, estudiantes universitarios, arquitectos, etc, tendrán la oportunidad de conocer las claves que han guiado la intervención en el «corazón de la Alhambra».

Dirigido por la responsable del Monumento, María del Mar Villafranca, y por el arquitecto Pedro Salmerón, responsable de la restauración del circuito hidráulico del Patio de los Leones, el curso La restauración de la Fuente de los Leones de la Alhambra: criterios, procesos y metodologías supone «una oportunidad única para profundizar en el conocimiento de este espacio y conocer in-situ en qué ha consistido esta intervención».

En opinión de Villafranca, aunque el proceso ha concluido, ahora empieza otro trabajo «no menos importante que el anterior: el mantenimiento es clave para completar el trabajo que durante estos años se ha llevado a cabo en el Patio». Además, ha explicado que la intervención ha tenido tres fases claramente diferenciadas: «la restauración de los 11 leones al mismo tiempo y la fuente, que tuvo que ser intervenida en el mismo Patio y la renovación del circuito hidráu-lico» y que el momento de más tensión lo vivió cuando «se intervino en las esculturas nazaríes, ya que era de «máximo riesgo».

En su intervención, Pedro Salmerón, que ha encabezado la dirección técnica de los trabajos de renovación del circuito hidráulico, ha confesado que ha pasado los diez últimos años de su vida en el Patio y que ha sido una experiencia «gratificante y apasionante». Además, ha explicado que los alumnos inscritos tendrán la oportunidad de conocer los trabajos realizados, la metodología utilizada en la restauración de uno de los iconos más importantes del Conjunto Monumental.

En la jornada de mañana está prevista la intervención del Catedrático de Historia Medieval de la Universidad de Granada, Antonio Malpica, que explicará el importante papel de la Arqueología en la intervención en el Patio de los Leones y del físico del Instituto Centrale per el Restauro, Carlo Cacace, que explicará su estudio sobre el microclima de la Sala de los Reyes y el Patio de los Leones.

Por la tarde, le tocará el turno a Irene Arroyo, del Instituto del Patrimonio Histórico Español, que hablará sobre la Prevención y control del biodeterioro de la Fuente de los Leones de la Alhambra; Rosario Villegas, asesora del Instituto Andaluz de Patrimonio Histórico, que explicará las técnicas experimentales aplicadas a la conservación, y Pedro Cano, del departamento de Lenguajes y Sistemas Informáticos de la Universidad de Granada, que detallará las investigaciones resultantes del escáner láser como apoyo a los procesos de restauración y documentación de la Fuente de los Leones.
Además, está prevista la presencia de José María Gallardo, del departamento de ingeniería metalúrgica de la Universidad de Sevilla, y de la restauradora Concha Cirujano, que detallará los objetivos y metodologías de la conservación preventiva.

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La Alhambra desvelará nuevos detalles sobre la intervención del Patio de los Leones

n el curso, organizado por el Patronato de la Alhambra y Generalife y el Centro Mediterráneo, que se prolongará hasta el viernes

 

Conocer más detalles sobre la intervención en el Patio de los Leones, es el objetivo del curso que, desde hoy y hasta el próximo viernes, día 21, se celebra en el Palacio de Carlos V de la Alhambra, organizado por el Patronato de la Alhambra y Generalife en colaboración con el Centro Mediterráneo de la Universidad de Granada. Un centenar de alumnos, entre historiadores del arte, estudiantes universitarios, arquitectos, etc, tendrán la oportunidad de conocer las claves que han guiado la intervención en el «corazón de la Alhambra».

Dirigido por la responsable del Monumento, María del Mar Villafranca, y por el arquitecto Pedro Salmerón, responsable de la restauración del circuito hidráulico del Patio de los Leones, el curso La restauración de la Fuente de los Leones de la Alhambra: criterios, procesos y metodologías supone «una oportunidad única para profundizar en el conocimiento de este espacio y conocer in-situ en qué ha consistido esta intervención».

En opinión de Villafranca, aunque el proceso ha concluido, ahora empieza otro trabajo «no menos importante que el anterior: el mantenimiento es clave para completar el trabajo que durante estos años se ha llevado a cabo en el Patio». Además, ha explicado que la intervención ha tenido tres fases claramente diferenciadas: «la restauración de los 11 leones al mismo tiempo y la fuente, que tuvo que ser intervenida en el mismo Patio y la renovación del circuito hidráu-lico» y que el momento de más tensión lo vivió cuando «se intervino en las esculturas nazaríes, ya que era de «máximo riesgo».

En su intervención, Pedro Salmerón, que ha encabezado la dirección técnica de los trabajos de renovación del circuito hidráulico, ha confesado que ha pasado los diez últimos años de su vida en el Patio y que ha sido una experiencia «gratificante y apasionante». Además, ha explicado que los alumnos inscritos tendrán la oportunidad de conocer los trabajos realizados, la metodología utilizada en la restauración de uno de los iconos más importantes del Conjunto Monumental.

En la jornada de mañana está prevista la intervención del Catedrático de Historia Medieval de la Universidad de Granada, Antonio Malpica, que explicará el importante papel de la Arqueología en la intervención en el Patio de los Leones y del físico del Instituto Centrale per el Restauro, Carlo Cacace, que explicará su estudio sobre el microclima de la Sala de los Reyes y el Patio de los Leones.

Por la tarde, le tocará el turno a Irene Arroyo, del Instituto del Patrimonio Histórico Español, que hablará sobre la Prevención y control del biodeterioro de la Fuente de los Leones de la Alhambra; Rosario Villegas, asesora del Instituto Andaluz de Patrimonio Histórico, que explicará las técnicas experimentales aplicadas a la conservación, y Pedro Cano, del departamento de Lenguajes y Sistemas Informáticos de la Universidad de Granada, que detallará las investigaciones resultantes del escáner láser como apoyo a los procesos de restauración y documentación de la Fuente de los Leones.
Además, está prevista la presencia de José María Gallardo, del departamento de ingeniería metalúrgica de la Universidad de Sevilla, y de la restauradora Concha Cirujano, que detallará los objetivos y metodologías de la conservación preventiva.

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Nueva actualización del asistente virtual Elvira, de la UGR: más funcionalidades, más real

La Universidad de Granada presenta la nueva actualización de su asistente virtual. Gracias a las últimas mejoras integradas, Elvira permite optimizar la usabilidad y acceso a sus contenidos mediante móvil y Facebook. Una nueva interfaz gráfica y un avatar dotado de tecnología 3D completan la actualización.

Gracias a su presencia en Facebook, alumnos y usuarios tendrán una nueva forma de acceso a toda la información de la universidad. Búscala en Facebook, «Elvira Universidad de Granada», y obtén tu respuesta de forma inmediata.

Ahora puedes descubrir una nueva app en Android Market. Descarga «Elvira Universidad de Granada» en tu dispositivo móvil y visualiza todos los contenidos a través de él. Podrás también realizar tus consultas a través de voz.

Más real y fácil de usar. Una nueva interfaz intuitiva y elegante con nuevas prestaciones. Destacan la tecnología 3D aplicada en el avatar y la impresión con opción arrastre sobre la web.

Más potente y rápida que nunca. Detrás de una cara amable, el renovado motor semántico incluye nuevas prestaciones como memoria y capacidad de contextualizar.

VIRTUAL SOLUTIONS. Empresa creadora de Elvira con sede en Granada, nacida como spin off del Departamento de Ciencias de la Computación e Inteligencia Artificial de la Universidad de Granada. Virtual Solutions se sitúa como un claro referente en el campo de la inteligencia artificial aplicada en asistentes virtuales y más formatos de nueva generación.

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Nueva actualización del asistente virtual Elvira, de la UGR: más funcionalidades, más real

La Universidad de Granada presenta la nueva actualización de su asistente virtual. Gracias a las últimas mejoras integradas, Elvira permite optimizar la usabilidad y acceso a sus contenidos mediante móvil y Facebook. Una nueva interfaz gráfica y un avatar dotado de tecnología 3D completan la actualización.

Gracias a su presencia en Facebook, alumnos y usuarios tendrán una nueva forma de acceso a toda la información de la universidad. Búscala en Facebook, «Elvira Universidad de Granada», y obtén tu respuesta de forma inmediata.

Ahora puedes descubrir una nueva app en Android Market. Descarga «Elvira Universidad de Granada» en tu dispositivo móvil y visualiza todos los contenidos a través de él. Podrás también realizar tus consultas a través de voz.

Más real y fácil de usar. Una nueva interfaz intuitiva y elegante con nuevas prestaciones. Destacan la tecnología 3D aplicada en el avatar y la impresión con opción arrastre sobre la web.

Más potente y rápida que nunca. Detrás de una cara amable, el renovado motor semántico incluye nuevas prestaciones como memoria y capacidad de contextualizar.

VIRTUAL SOLUTIONS. Empresa creadora de Elvira con sede en Granada, nacida como spin off del Departamento de Ciencias de la Computación e Inteligencia Artificial de la Universidad de Granada. Virtual Solutions se sitúa como un claro referente en el campo de la inteligencia artificial aplicada en asistentes virtuales y más formatos de nueva generación.

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La Alhambra desvelará en un curso nuevos detalles sobre la intervención del Patio de los Leones

Conocer más detalles sobre la intervención en el Patio de los Leones de la Alhambra es el objetivo del curso que acogerá durante esta semana el monumento nazarí con la asistencia de un centenar de personas entre estudiantes universitarios, historiadores de arte, arquitectos y otros colectivos interesados en conocer las claves que han guiado la intervención en el corazón del recinto nazarí.
Conocer más detalles sobre la intervención en el Patio de los Leones de la Alhambra es el objetivo del curso que acogerá durante esta semana el monumento nazarí con la asistencia de un centenar de personas entre estudiantes universitarios, historiadores de arte, arquitectos y otros colectivos interesados en conocer las claves que han guiado la intervención en el corazón del recinto nazarí.

El curso está dirigido por el arquitecto responsable de la restauración del circuito hidráulico del Patio de los Leones, Pedro Salmerón, y por la directora del Patronato de la Alhambra y el Generalife, María del Mar Villafranca, quien ha confesado que el momento de mayor tensión en este proceso lo vivió cuando se intervino en los leones, ya que era una actuación de «máximo riesgo».

Villafranca ha explicado que, aunque el proceso de intervención ha concluido, ahora empieza otro trabajo «no menos importante» dirigido al mantenimiento, que es clave para completar la labor que durante estos años se ha llevado a cabo en el Patio».

Según ha precisado, la intervención ha tenido tres fases claramente diferenciadas: «la restauración de los 11 leones al mismo tiempo y la fuente, que tuvo que ser intervenida en el mismo Patio y la renovación del circuito hidráulico».

En su intervención, Pedro Salmerón, que ha encabezado la dirección técnica de los trabajos de renovación del circuito hidráulico, ha confesado que ha pasado los diez últimos años de su vida en este patio y que ha sido una experiencia «gratificante y apasionante».

Ha avanzado que los alumnos inscritos en este curso, llamado ‘La restauración de la Fuente de los Leones de la Alhambra: criterios, procesos y metodologías’, tendrán la oportunidad de conocer los trabajos realizados y la metodología utilizada en la restauración de uno de los iconos más importantes del conjunto monumental.

EL Patio de los Leones y su fuente, núcleo central del conjunto de los Palacios Nazaríes, es el lugar donde se concentra con mayor esplendor la refinada sensibilidad de sus creadores y al mismo tiempo la imagen más conocida y simbólica de la Alhambra y de la ciudad de Granada.

El transcurso del tiempo, los agentes atmosféricos, las reformas realizadas e incluso la acción humana han deteriorado de forma notable este conjunto escultórico e hidráulico caracterizado también por su fragilidad. La fuente ha sufrido, además, diversos deterioros derivados de su propia funcionalidad como consecuencia del permanente fluir del agua.

En la jornada del martes está prevista la intervención del catedrático de Historia Medieval de la Universidad de Granada, Antonio Malpica, que explicará el importante papel de la Arqueología en la intervención en el Patio de los Leones y del físico del Instituto Centrale per el Restauro, Carlo Cacace, que explicará su estudio sobre el microclima de la Sala de los Reyes y el Patio de los Leones.

Por la tarde, le tocará el turno a Irene Arroyo, del Instituto del Patrimonio Histórico Español, que hablará sobre la Prevención y control del biodeterioro de la Fuente de los Leones de la Alhambra; Rosario Villegas, asesora del Instituto Andaluz de Patrimonio Histórico, que explicará las técnicas experimentales aplicadas a la conservación, y Pedro Cano, del departamento de Lenguajes y Sistemas Informáticos de la Universidad de Granada, que detallará las investigaciones resultantes del escáner láser como apoyo a los procesos de restauración y documentación de la Fuente de los Leones.

Además, está prevista la presencia de José María Gallardo, del departamento de ingeniería metalúrgica de la Universidad de Sevilla, y de la restauradora Concha Cirujano, que detallará los objetivos y metodologías de la conservación preventiva.

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La Alhambra desvelará en un curso nuevos detalles sobre la intervención del Patio de los Leones

Conocer más detalles sobre la intervención en el Patio de los Leones de la Alhambra es el objetivo del curso que acogerá durante esta semana el monumento nazarí con la asistencia de un centenar de personas entre estudiantes universitarios, historiadores de arte, arquitectos y otros colectivos interesados en conocer las claves que han guiado la intervención en el corazón del recinto nazarí.
Conocer más detalles sobre la intervención en el Patio de los Leones de la Alhambra es el objetivo del curso que acogerá durante esta semana el monumento nazarí con la asistencia de un centenar de personas entre estudiantes universitarios, historiadores de arte, arquitectos y otros colectivos interesados en conocer las claves que han guiado la intervención en el corazón del recinto nazarí.

El curso está dirigido por el arquitecto responsable de la restauración del circuito hidráulico del Patio de los Leones, Pedro Salmerón, y por la directora del Patronato de la Alhambra y el Generalife, María del Mar Villafranca, quien ha confesado que el momento de mayor tensión en este proceso lo vivió cuando se intervino en los leones, ya que era una actuación de «máximo riesgo».

Villafranca ha explicado que, aunque el proceso de intervención ha concluido, ahora empieza otro trabajo «no menos importante» dirigido al mantenimiento, que es clave para completar la labor que durante estos años se ha llevado a cabo en el Patio».

Según ha precisado, la intervención ha tenido tres fases claramente diferenciadas: «la restauración de los 11 leones al mismo tiempo y la fuente, que tuvo que ser intervenida en el mismo Patio y la renovación del circuito hidráulico».

En su intervención, Pedro Salmerón, que ha encabezado la dirección técnica de los trabajos de renovación del circuito hidráulico, ha confesado que ha pasado los diez últimos años de su vida en este patio y que ha sido una experiencia «gratificante y apasionante».

Ha avanzado que los alumnos inscritos en este curso, llamado ‘La restauración de la Fuente de los Leones de la Alhambra: criterios, procesos y metodologías’, tendrán la oportunidad de conocer los trabajos realizados y la metodología utilizada en la restauración de uno de los iconos más importantes del conjunto monumental.

EL Patio de los Leones y su fuente, núcleo central del conjunto de los Palacios Nazaríes, es el lugar donde se concentra con mayor esplendor la refinada sensibilidad de sus creadores y al mismo tiempo la imagen más conocida y simbólica de la Alhambra y de la ciudad de Granada.

El transcurso del tiempo, los agentes atmosféricos, las reformas realizadas e incluso la acción humana han deteriorado de forma notable este conjunto escultórico e hidráulico caracterizado también por su fragilidad. La fuente ha sufrido, además, diversos deterioros derivados de su propia funcionalidad como consecuencia del permanente fluir del agua.

En la jornada del martes está prevista la intervención del catedrático de Historia Medieval de la Universidad de Granada, Antonio Malpica, que explicará el importante papel de la Arqueología en la intervención en el Patio de los Leones y del físico del Instituto Centrale per el Restauro, Carlo Cacace, que explicará su estudio sobre el microclima de la Sala de los Reyes y el Patio de los Leones.

Por la tarde, le tocará el turno a Irene Arroyo, del Instituto del Patrimonio Histórico Español, que hablará sobre la Prevención y control del biodeterioro de la Fuente de los Leones de la Alhambra; Rosario Villegas, asesora del Instituto Andaluz de Patrimonio Histórico, que explicará las técnicas experimentales aplicadas a la conservación, y Pedro Cano, del departamento de Lenguajes y Sistemas Informáticos de la Universidad de Granada, que detallará las investigaciones resultantes del escáner láser como apoyo a los procesos de restauración y documentación de la Fuente de los Leones.

Además, está prevista la presencia de José María Gallardo, del departamento de ingeniería metalúrgica de la Universidad de Sevilla, y de la restauradora Concha Cirujano, que detallará los objetivos y metodologías de la conservación preventiva.

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La separación de los leones para su sellado, la fase más delicada de la restauración

Los leones de la fuente que da nombre al patio más famoso de la Alhambra tuvieron que ser desmembrados para su posterior sellado durante el proceso de restauración al que fueron sometidos durante seis años, en lo que constituyó una de las fases de mayor dificultad de esta intervención integral.

Así lo ha dado hoy a conocer la directora del Patronato de la Alhambra y Generalife, María del Mar Villafranca, durante la inauguración de un curso que analizará el proceso de restauración del que fueron objeto el patio de los Leones y su fuente, que una vez concluido, el pasado mes de julio, devolvió a este espacio el aspecto con el que fue concebido en el siglo XIV.

Aunque durante todo el proceso de intervención, que se desarrolló desde 2006, hubo momentos de especial dificultad, Villafranca ha resaltado éste por la «delicada labor» que supuso separar las piezas para volver a sellarlas, con garantías de conservación futura, por medio de una resina compatible con el mármol.
Este delicado proceso fue llevado a cabo por expertos de la Universidad de Sevilla, ha explicado Villafranca.

El curso, enmarcado en los que ofrece el Centro Mediterráneo de la Universidad de Granada durante la temporada estival, aproximará al público desde distintos enfoques y metodologías al proceso de intervención en este emblemático símbolo del arte hispanomusulmán.

Denominado «La restauración de la Fuente de los Leones de la Alhambra: Criterios, procesos y metodologías», el curso oferta 90 plazas para alumnos universitarios relacionados fundamentalmente con el ámbito del arte y la arquitectura, que recibirán hasta el próximo viernes las explicaciones de profesionales en la materia, entre los que figuran la mayoría de los que participaron en la restauración.

Se trata de dar a conocer las innovaciones en el conocimiento aplicadas en este arduo proceso de restauración, considerado una de las intervenciones «históricas» de las llevadas a cabo en el conjunto monumental, según Villafranca.

Para el director del Centro Mediterráneo de la Universidad de Granada, Juan Francisco García Casanova, este curso es la única forma de conocer en profundidad el proceso de restauración al que fue sometido el patio más famoso de la Alhambra y su fuente.

Con el tiempo, los agentes atmosféricos, las reformas realizadas y la acción humana deterioraron considerablemente este conjunto escultórico e hidráulico caracterizado por su fragilidad.

La fuente sufrió además deterioros derivados de su propia funcionalidad como consecuencia del continuo fluir del agua.
Por ello, desde 2006 se llevó a cabo un riguroso proceso de intervención integral de las figuras y la taza, así como los elementos restantes que componen el sistema hidráulico del patio de los Leones.

El pasado 27 de julio el patio de los Leones volvió a ser accesible al público, después de una década de restauración gracias a la cual ha recuperado su sistema hidráulico y el pavimento de mármol blanco con el que fue concebido en la segunda mitad del siglo XIV.

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