Recherche de volontaires pour participer à une expérimentation ‘on line’ qui étudiera l’expression des émotions moyennant un « catalogue de visages »

Recherche de volontaires pour participer à une expérimentation ‘on line’ qui étudiera l’expression des émotions moyennant un « catalogue de visages »
• Des chercheurs de l’Université de Grenade participent au projet « Émeus-toi », qui analyse l’expression des émotions moyennant un « catalogue de visages ».
• L’étude analysera dans quelle mesure les individus sont capables d’identifier ces émotions, en fonction du genre et du groupe ethnique.
Des chercheurs de l’Université de Grenade ont créé un catalogue dans lequel apparaissent des photographies d’individus exprimant des émotions concrètes, telles que la joie, la tristesse, la colère, le dégoût, la surprise ou la peur. Actuellement, ils cherchent la collaboration de personnes désirant les aider dans ce projet dénommé « Émeus-toi » afin d’apprécier dans quelle mesure les personnes sont capables d’identifier ces émotions, en fonction du genre et du groupe ethnique, dans les photos et chez l’évaluateur.
À travers le site http://wdb.ugr.es/~elecanadas/index.html, les personnes intéressées à participer à cette curieuse « expérimentation on line » pourront démontrer leur capacité de reconnaître les émotions que d’autres sujets ressentent, en évaluant une série de visages en fonction du sexe, de l’ethnie, de l’émotion, de l’attrait et de la fiabilité. Les scientifiques de l’Université de Grenade ont dessiné, de plus, une version anglaise et une autre française afin que puisse participer un plus grand nombre d’individus.
Par groupes ethniques
Pour créer ce catalogue de « visages émotionnels », ses auteurs ont compilé un échantillonnage d’expressions faciales et corporelles d’émotions des trois groupes ethniques les plus présents à Grenade : espagnols, gitans et marocains. Pour cela, ils ont induit chez les participants, moyennant la projection de vidéos, certaines parmi les émotions de base : la joie, la tristesse, la colère, le dégoût, la surprise ou la peur.
Par la suite, dans des conditions contrôlées d’éclairage, les chercheurs de l’Université de Grenade les ont photographiés lors de l’expression desdites émotions. De plus, on leur a demandé de reproduire spontanément le mouvement gestuel (ou la position statique) de différentes expressions, comme « je suis fatigué », « je vais me coucher », « quelque chose va mal », « ok », etc.
L’objectif final de ce projet est de mettre en rapport toutes les personnes intéressées à l’étude des émotions et des relations interculturelles. Ainsi, ce « catalogue de visages » pourra s’employer dans de futures études sur les émotions au niveau mondial, et dans des études avec des patients présentant des problèmes dans la reconnaissance de visages (prosopagnosie), ou dans certaines pathologies impliquant un déficit dans la reconnaissance émotionnelle, comme la schizophrénie. De plus, ce travail pourra s’employer dans le domaine éducatif quant à l’intervention sur intelligence émotionnelle.
Ainsi que l’explique la chercheuse de l’Université de Grenade, Elena Cañadas, il n’existe pas encore de consensus au niveau mondial sur le caractère universel des émotions. « Certains auteurs défendent qu’il existe des expressions communes à toutes les cultures et sociétés, tandis que d’autres croient que l’expression des émotions est fortement déterminée par la culture de l’individu. »
Messages non verbaux
Les expressions émotionnelles constituent des messages non verbaux de communication. « Par le biais de celles-ci, souligne Mme Cañadas, nous sommes capables d’informer les autres sur nos émotions en provoquant des réactions spécifiques chez ces personnes, ce qui, en définitive, pourrait en faire des comportements qui facilitent les rapports interpersonnels. » Ont participé au projet « Émeus-toi » des chercheurs des départements de Psychologie Expérimentale et de Psychologie Sociale de l’Université de Grenade : Juan Lupiáñez, Rosa Rodríguez-Bailón, Alberto Acosta, Carolina Pérez Dueñas et Gloria Jiménez-Moya, ainsi que l’informaticien David Calmaestra, qui a mis en place le site web.
Sur l’image, quelques « visages émotionnels » compilés dans le projet « Émeus-toi »
Contact:
Elena Cañadas. Département de Psychologie Expérimentale de l’Université de Grenade. Tél. : 958 2406 67; courriel : elecanadas@ugr.es
Alberto Acosta. Département de Psychologie Expérimentale de l’Université de Grenade. Tél. : 958 243772; courriel: acosta@ugr.es
  • Des chercheurs de l’Université de Grenade participent au projet « Émeus-toi », qui analyse l’expression des émotions moyennant un « catalogue de visages ».
  • L’étude analysera dans quelle mesure les individus sont capables d’identifier ces émotions, en fonction du genre et du groupe ethnique.

Des chercheurs de l’Université de Grenade ont créé un catalogue dans lequel apparaissent des photographies d’individus exprimant des émotions concrètes, telles que la joie, la tristesse, la colère, le dégoût, la surprise ou la peur. Actuellement, ils cherchent la collaboration de personnes désirant les aider dans ce projet dénommé « Émeus-toi » afin d’apprécier dans quelle mesure les personnes sont capables d’identifier ces émotions, en fonction du genre et du groupe ethnique, dans les photos et chez l’évaluateur. 

À travers le site http://wdb.ugr.es/~elecanadas/index.html, les personnes intéressées à participer à cette curieuse « expérimentation on line » pourront démontrer leur capacité de reconnaître les émotions que d’autres sujets ressentent, en évaluant une série de visages en fonction du sexe, de l’ethnie, de l’émotion, de l’attrait et de la fiabilité. Les scientifiques de l’Université de Grenade ont dessiné, de plus, une version anglaise et une autre française afin que puisse participer un plus grand nombre d’individus.

Par groupes ethniques

Pour créer ce catalogue de « visages émotionnels », ses auteurs ont compilé un échantillonnage d’expressions faciales et corporelles d’émotions des trois groupes ethniques les plus présents à Grenade : espagnols, gitans et marocains. Pour cela, ils ont induit chez les participants, moyennant la projection de vidéos, certaines parmi les émotions de base : la joie, la tristesse, la colère, le dégoût, la surprise ou la peur.

Par la suite, dans des conditions contrôlées d’éclairage, les chercheurs de l’Université de Grenade les ont photographiés lors de l’expression desdites émotions. De plus, on leur a demandé de reproduire spontanément le mouvement gestuel (ou la position statique) de différentes expressions, comme « je suis fatigué », « je vais me coucher », « quelque chose va mal », « ok », etc.

L’objectif final de ce projet est de mettre en rapport toutes les personnes intéressées à l’étude des émotions et des relations interculturelles. Ainsi, ce « catalogue de visages » pourra s’employer dans de futures études sur les émotions au niveau mondial, et dans des études avec des patients présentant des problèmes dans la reconnaissance de visages (prosopagnosie), ou dans certaines pathologies impliquant un déficit dans la reconnaissance émotionnelle, comme la schizophrénie. De plus, ce travail pourra s’employer dans le domaine éducatif quant à l’intervention sur intelligence émotionnelle.

Ainsi que l’explique la chercheuse de l’Université de Grenade, Elena Cañadas, il n’existe pas encore de consensus au niveau mondial sur le caractère universel des émotions. « Certains auteurs défendent qu’il existe des expressions communes à toutes les cultures et sociétés, tandis que d’autres croient que l’expression des émotions est fortement déterminée par la culture de l’individu. »

Messages non verbaux

Les expressions émotionnelles constituent des messages non verbaux de communication. « Par le biais de celles-ci, souligne Mme Cañadas, nous sommes capables d’informer les autres sur nos émotions en provoquant des réactions spécifiques chez ces personnes, ce qui, en définitive, pourrait en faire des comportements qui facilitent les rapports interpersonnels. » Ont participé au projet « Émeus-toi » des chercheurs des départements de Psychologie Expérimentale et de Psychologie Sociale de l’Université de Grenade : Juan Lupiáñez, Rosa Rodríguez-Bailón, Alberto Acosta, Carolina Pérez Dueñas et Gloria Jiménez-Moya, ainsi que l’informaticien David Calmaestra, qui a mis en place le site web.

Sur l’image, quelques « visages émotionnels » compilés dans le projet « Émeus-toi »

Contact: 

  • Elena Cañadas. Département de Psychologie Expérimentale de l’Université de Grenade. Tél. : 958 2406 67; courriel : elecanadas@ugr.es
  • Alberto Acosta. Département de Psychologie Expérimentale de l’Université de Grenade. Tél. : 958 243772; courriel: acosta@ugr.es

Informe de la Rural augura crisis empeorará en Andalucía varios trimestres

El Boletín de Coyuntura Económica de la Caja Rural de Granada, presentado hoy, pronostica un «empeoramiento» de la crisis en Andalucía para los próximos trimestres y señala que los recortes en las administraciones golpearán especialmente a la economía andaluza.
El presidente de Caja Rural de Granada, Antonio León, ha presentado este estudio realizado sobre la coyuntura económica del 2011 para conocer el comportamiento de los parámetros de los próximos meses y augurar el impacto de la crisis en Andalucía.
El responsable de elaborar el boletín ha sido el catedrático de Economía Aplica de la Universidad de Granada Miguel González, que ha avanzado un «empeoramiento de la crisis granadina y andaluza» para los próximos trimestres.
González ha recalcado que los continuos cambios en los factores de la economía nacional e internacional dificultan las previsiones económicas, aunque ha recalcado que todas las tendencias indican que Andalucía sufrirá un «nuevo año de recesión».
El catedrático ha repasado el comportamiento de la economía nacional e internacional, con un reflejo en la crisis andaluza, y ha subrayado que el impacto negativo ha sido peor en Andalucía porque se basa más en tres factores perjudicados por la crisis.
«Andalucía está muy sujeta a tres factores muy afectados por la crisis: la construcción, el peso del sector público que se enfrenta a numerosos ajustes, y el comercio y el turismo, por lo que la crisis afectará más a Andalucía que a otras regiones españolas menos dependientes de estos sectores», ha subrayado González.
El autor del boletín, que ha calificado la situación actual de «suma gravedad», ha pronosticado que Andalucía entrará en recesión durante este año, como ya lo ha hecho la economía nacional, aunque ha mantenido que «nadie» sabe hasta qué punto se recrudecerá la situación actual.
Además, González ha explicado que la dificultad del país para captar financiación deja una única opción, la de ajustar los gastos al nivel de ingresos actual, lo que provocará nuevos recortes que tendrán especiales consecuencias para Andalucía.
«Como en la economía de cualquier casa, si no hay ingresos hay que ajustar los gastos y eso supondrá recortes en pensiones, educación, sanidad y lo necesario para que el desajuste no tenga que financiarse», ha recalcado.
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Informe de la Rural augura crisis empeorará en Andalucía varios trimestres

El Boletín de Coyuntura Económica de la Caja Rural de Granada, presentado hoy, pronostica un «empeoramiento» de la crisis en Andalucía para los próximos trimestres y señala que los recortes en las administraciones golpearán especialmente a la economía andaluza.
El presidente de Caja Rural de Granada, Antonio León, ha presentado este estudio realizado sobre la coyuntura económica del 2011 para conocer el comportamiento de los parámetros de los próximos meses y augurar el impacto de la crisis en Andalucía.
El responsable de elaborar el boletín ha sido el catedrático de Economía Aplica de la Universidad de Granada Miguel González, que ha avanzado un «empeoramiento de la crisis granadina y andaluza» para los próximos trimestres.
González ha recalcado que los continuos cambios en los factores de la economía nacional e internacional dificultan las previsiones económicas, aunque ha recalcado que todas las tendencias indican que Andalucía sufrirá un «nuevo año de recesión».
El catedrático ha repasado el comportamiento de la economía nacional e internacional, con un reflejo en la crisis andaluza, y ha subrayado que el impacto negativo ha sido peor en Andalucía porque se basa más en tres factores perjudicados por la crisis.
«Andalucía está muy sujeta a tres factores muy afectados por la crisis: la construcción, el peso del sector público que se enfrenta a numerosos ajustes, y el comercio y el turismo, por lo que la crisis afectará más a Andalucía que a otras regiones españolas menos dependientes de estos sectores», ha subrayado González.
El autor del boletín, que ha calificado la situación actual de «suma gravedad», ha pronosticado que Andalucía entrará en recesión durante este año, como ya lo ha hecho la economía nacional, aunque ha mantenido que «nadie» sabe hasta qué punto se recrudecerá la situación actual.
Además, González ha explicado que la dificultad del país para captar financiación deja una única opción, la de ajustar los gastos al nivel de ingresos actual, lo que provocará nuevos recortes que tendrán especiales consecuencias para Andalucía.
«Como en la economía de cualquier casa, si no hay ingresos hay que ajustar los gastos y eso supondrá recortes en pensiones, educación, sanidad y lo necesario para que el desajuste no tenga que financiarse», ha recalcado.
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Volunteers are Sought for an Online Experiment on Emotional Expressions

Volunteers are Sought for an Online Experiment on Emotional Expressions
University of Granada researchers are conducting a Project called “Emociónate”, which analyses the expression of emotions as joy, sadness, anger, disgust, surprise or fear.
The study will determine to what extent individuals can identify the expression of emotions by subjects of different genders and ethnic groups.
University of Granada researchers have designed a catalogue of pictures of individuals expressing specific emotions as joy, sadness, anger, disgust, surprise or fear. At present, the researchers are looking for volunteers for this project called “Emociónate” to assess to what extend individuals of different genders and ethnic groups can identify the expression of emotions by subjects of different gender and ethnic groups.
Those who are interested in participating in this interesting online study can visit the web site http://wdb.ugr.es/~elecanadas/index.html to test their ability to identify emotions as expressed by other individuals. The observer will have to evaluate a series of face expressions in terms of gender, ethnic group, emotion, sex-appeal and reliability. In addition, University of Granada researchers have designed a version in English and French to allow people from other countries participate in the study.
By Ethnic Group
To design this catalogue of “emotional faces”, the authors collected a wide sample of facial and body expressions of the three major ethnic groups in Granada: Spanish, Gypsies and Moroccan. To induce facial expressions, the models were asked to watch a series of videos that caused basic emotions; joy, sadness, anger, disgust, surprise or fear.
Then, under controlled light conditions, the researchers made pictures of the model’s expression. Additionally, they asked the models to spontaneously adopt different expressions as “I’m tired”, “I’m going to bed”, “something went wrong”, “OK”, etc.
The final purpose of this Project is to serve as a meeting point to those interested in the study of emotions and intercultural relationships. Thus, this “catalogue of faces” can be used in future studies on emotions in any part of the world. In addition, this catalogue is available for studies on patients showing difficulty in identifying faces (prosopagnosia), and to study patients with inability to recognize others’ emotions (as schizophrenia). Finally, this catalogue can be used in the education sector in the field of emotional intelligence.
The University of Granada researcher, Elena Cañadas, states that there is no international consensus on the universality of emotions. “Some authors state that there are shared expressions among all cultures and societies, while other researchers think that the expression of emotions is strongly influenced by the culture of the subject”.
Non-Verbal Messages
Emotional expressions are part of non-verbal communication. “Using these expressions we can express our emotions to others to cause specific reactions in them. Emotional expressions can induce behaviors in others, which can facilitate interpersonal relationships”, Pfr. Cañadas states.
The Project “Emociónate” is being conducted by researchers at the University of Granada Departments of Experimental Psychology and Social Psychology Juan Lupiáñez, Rosa Rodríguez-Bailón, Alberto Acosta, Carolina Pérez Dueñas and Gloria Jiménez-Moya, and the web designer David Calmaestra.
In the picture, some “emotional faces” collected in the project “Emociónate”.
Contact:
Elena Cañadas. Department of Experimental Psychology. University of Granada. Phone number:+34 958 2406 67. E-mail address: elecanadas@ugr.es
Alberto Acosta. Social Psychology. University of Granada. Phone Number: +34 958 243772. E-mail address: acosta@ugr.es
  • University of Granada researchers are conducting a Project called “Emociónate”, which analyses the expression of emotions as joy, sadness, anger, disgust, surprise or fear.
  • The study will determine to what extent individuals can identify the expression of emotions by subjects of different genders and ethnic groups.

University of Granada researchers have designed a catalogue of pictures of individuals expressing specific emotions as joy, sadness, anger, disgust, surprise or fear. At present, the researchers are looking for volunteers for this project called “Emociónate” to assess to what extend individuals of different genders and ethnic groups can identify the expression of emotions by subjects of different gender and ethnic groups.

Those who are interested in participating in this interesting online study can visit the web site http://wdb.ugr.es/~elecanadas/index.html to test their ability to identify emotions as expressed by other individuals. The observer will have to evaluate a series of face expressions in terms of gender, ethnic group, emotion, sex-appeal and reliability. In addition, University of Granada researchers have designed a version in English and French to allow people from other countries participate in the study.

By Ethnic Group

To design this catalogue of “emotional faces”, the authors collected a wide sample of facial and body expressions of the three major ethnic groups in Granada: Spanish, Gypsies and Moroccan. To induce facial expressions, the models were asked to watch a series of videos that caused basic emotions; joy, sadness, anger, disgust, surprise or fear.

Then, under controlled light conditions, the researchers made pictures of the model’s expression. Additionally, they asked the models to spontaneously adopt different expressions as “I’m tired”, “I’m going to bed”, “something went wrong”, “OK”, etc.The final purpose of this Project is to serve as a meeting point to those interested in the study of emotions and intercultural relationships. Thus, this “catalogue of faces” can be used in future studies on emotions in any part of the world. In addition, this catalogue is available for studies on patients showing difficulty in identifying faces (prosopagnosia), and to study patients with inability to recognize others’ emotions (as schizophrenia). Finally, this catalogue can be used in the education sector in the field of emotional intelligence.

The University of Granada researcher, Elena Cañadas, states that there is no international consensus on the universality of emotions. “Some authors state that there are shared expressions among all cultures and societies, while other researchers think that the expression of emotions is strongly influenced by the culture of the subject”.

Non-Verbal Messages

Emotional expressions are part of non-verbal communication. “Using these expressions we can express our emotions to others to cause specific reactions in them. Emotional expressions can induce behaviors in others, which can facilitate interpersonal relationships”, Pfr. Cañadas states.
The Project “Emociónate” is being conducted by researchers at the University of Granada Departments of Experimental Psychology and Social Psychology Juan Lupiáñez, Rosa Rodríguez-Bailón, Alberto Acosta, Carolina Pérez Dueñas and Gloria Jiménez-Moya, and the web designer David Calmaestra.  

In the picture, some “emotional faces” collected in the project “Emociónate”. 

Contact: 

  • Elena Cañadas. Department of Experimental Psychology. University of Granada. Phone number:+34 958 2406 67. E-mail address: elecanadas@ugr.es
  • Alberto Acosta. Social Psychology. University of Granada. Phone Number: +34 958 243772. E-mail address: acosta@ugr.es

Volunteers are Sought for an Online Experiment on Emotional Expressions

Volunteers are Sought for an Online Experiment on Emotional Expressions
University of Granada researchers are conducting a Project called “Emociónate”, which analyses the expression of emotions as joy, sadness, anger, disgust, surprise or fear.
The study will determine to what extent individuals can identify the expression of emotions by subjects of different genders and ethnic groups.
University of Granada researchers have designed a catalogue of pictures of individuals expressing specific emotions as joy, sadness, anger, disgust, surprise or fear. At present, the researchers are looking for volunteers for this project called “Emociónate” to assess to what extend individuals of different genders and ethnic groups can identify the expression of emotions by subjects of different gender and ethnic groups.
Those who are interested in participating in this interesting online study can visit the web site http://wdb.ugr.es/~elecanadas/index.html to test their ability to identify emotions as expressed by other individuals. The observer will have to evaluate a series of face expressions in terms of gender, ethnic group, emotion, sex-appeal and reliability. In addition, University of Granada researchers have designed a version in English and French to allow people from other countries participate in the study.
By Ethnic Group
To design this catalogue of “emotional faces”, the authors collected a wide sample of facial and body expressions of the three major ethnic groups in Granada: Spanish, Gypsies and Moroccan. To induce facial expressions, the models were asked to watch a series of videos that caused basic emotions; joy, sadness, anger, disgust, surprise or fear.
Then, under controlled light conditions, the researchers made pictures of the model’s expression. Additionally, they asked the models to spontaneously adopt different expressions as “I’m tired”, “I’m going to bed”, “something went wrong”, “OK”, etc.
The final purpose of this Project is to serve as a meeting point to those interested in the study of emotions and intercultural relationships. Thus, this “catalogue of faces” can be used in future studies on emotions in any part of the world. In addition, this catalogue is available for studies on patients showing difficulty in identifying faces (prosopagnosia), and to study patients with inability to recognize others’ emotions (as schizophrenia). Finally, this catalogue can be used in the education sector in the field of emotional intelligence.
The University of Granada researcher, Elena Cañadas, states that there is no international consensus on the universality of emotions. “Some authors state that there are shared expressions among all cultures and societies, while other researchers think that the expression of emotions is strongly influenced by the culture of the subject”.
Non-Verbal Messages
Emotional expressions are part of non-verbal communication. “Using these expressions we can express our emotions to others to cause specific reactions in them. Emotional expressions can induce behaviors in others, which can facilitate interpersonal relationships”, Pfr. Cañadas states.
The Project “Emociónate” is being conducted by researchers at the University of Granada Departments of Experimental Psychology and Social Psychology Juan Lupiáñez, Rosa Rodríguez-Bailón, Alberto Acosta, Carolina Pérez Dueñas and Gloria Jiménez-Moya, and the web designer David Calmaestra.
In the picture, some “emotional faces” collected in the project “Emociónate”.
Contact:
Elena Cañadas. Department of Experimental Psychology. University of Granada. Phone number:+34 958 2406 67. E-mail address: elecanadas@ugr.es
Alberto Acosta. Social Psychology. University of Granada. Phone Number: +34 958 243772. E-mail address: acosta@ugr.es
  • University of Granada researchers are conducting a Project called “Emociónate”, which analyses the expression of emotions as joy, sadness, anger, disgust, surprise or fear.
  • The study will determine to what extent individuals can identify the expression of emotions by subjects of different genders and ethnic groups.

University of Granada researchers have designed a catalogue of pictures of individuals expressing specific emotions as joy, sadness, anger, disgust, surprise or fear. At present, the researchers are looking for volunteers for this project called “Emociónate” to assess to what extend individuals of different genders and ethnic groups can identify the expression of emotions by subjects of different gender and ethnic groups.

Those who are interested in participating in this interesting online study can visit the web site http://wdb.ugr.es/~elecanadas/index.html to test their ability to identify emotions as expressed by other individuals. The observer will have to evaluate a series of face expressions in terms of gender, ethnic group, emotion, sex-appeal and reliability. In addition, University of Granada researchers have designed a version in English and French to allow people from other countries participate in the study.

By Ethnic Group

To design this catalogue of “emotional faces”, the authors collected a wide sample of facial and body expressions of the three major ethnic groups in Granada: Spanish, Gypsies and Moroccan. To induce facial expressions, the models were asked to watch a series of videos that caused basic emotions; joy, sadness, anger, disgust, surprise or fear.

Then, under controlled light conditions, the researchers made pictures of the model’s expression. Additionally, they asked the models to spontaneously adopt different expressions as “I’m tired”, “I’m going to bed”, “something went wrong”, “OK”, etc.The final purpose of this Project is to serve as a meeting point to those interested in the study of emotions and intercultural relationships. Thus, this “catalogue of faces” can be used in future studies on emotions in any part of the world. In addition, this catalogue is available for studies on patients showing difficulty in identifying faces (prosopagnosia), and to study patients with inability to recognize others’ emotions (as schizophrenia). Finally, this catalogue can be used in the education sector in the field of emotional intelligence.

The University of Granada researcher, Elena Cañadas, states that there is no international consensus on the universality of emotions. “Some authors state that there are shared expressions among all cultures and societies, while other researchers think that the expression of emotions is strongly influenced by the culture of the subject”.

Non-Verbal Messages

Emotional expressions are part of non-verbal communication. “Using these expressions we can express our emotions to others to cause specific reactions in them. Emotional expressions can induce behaviors in others, which can facilitate interpersonal relationships”, Pfr. Cañadas states.
The Project “Emociónate” is being conducted by researchers at the University of Granada Departments of Experimental Psychology and Social Psychology Juan Lupiáñez, Rosa Rodríguez-Bailón, Alberto Acosta, Carolina Pérez Dueñas and Gloria Jiménez-Moya, and the web designer David Calmaestra.  

In the picture, some “emotional faces” collected in the project “Emociónate”. 

Contact: 

  • Elena Cañadas. Department of Experimental Psychology. University of Granada. Phone number:+34 958 2406 67. E-mail address: elecanadas@ugr.es
  • Alberto Acosta. Social Psychology. University of Granada. Phone Number: +34 958 243772. E-mail address: acosta@ugr.es

Un informe de la Rural de Granada augura que la crisis empeorará durante varios trimestres

El Boletín de Coyuntura Económica de la Caja Rural de Granada, presentado hoy, pronostica un «empeoramiento» de la crisis en nuestra provincia y Andalucía para los próximos trimestres y señala que los recortes en las administraciones golpearán especialmente a la economía andaluza.

El presidente de Caja Rural de Granada, Antonio León, ha presentado este estudio realizado sobre la coyuntura económica del 2011 para conocer el comportamiento de los parámetros de los próximos meses y augurar el impacto de la crisis en Andalucía.

El responsable de elaborar el boletín ha sido el catedrático de Economía Aplica de la Universidad de Granada Miguel González, que ha avanzado un «empeoramiento de la crisis granadina y andaluza» para los próximos trimestres.

González ha recalcado que los continuos cambios en los factores de la economía nacional e internacional dificultan las previsiones económicas, aunque ha recalcado que todas las tendencias indican que Andalucía sufrirá un «nuevo año de recesión».

El catedrático ha repasado el comportamiento de la economía nacional e internacional, con un reflejo en la crisis andaluza, y ha subrayado que el impacto negativo ha sido peor en Andalucía porque se basa más en tres factores perjudicados por la crisis.

«Andalucía está muy sujeta a tres factores muy afectados por la crisis: la construcción, el peso del sector público que se enfrenta a numerosos ajustes, y el comercio y el turismo, por lo que la crisis afectará más a Andalucía que a otras regiones españolas menos dependientes de estos sectores», ha subrayado González.

El autor del boletín, que ha calificado la situación actual de «suma gravedad», ha pronosticado que Andalucía entrará en recesión durante este año, como ya lo ha hecho la economía nacional, aunque ha mantenido que «nadie» sabe hasta qué punto se recrudecerá la situación actual.

Además, González ha explicado que la dificultad del país para captar financiación deja una única opción, la de ajustar los gastos al nivel de ingresos actual, lo que provocará nuevos recortes que tendrán especiales consecuencias para Andalucía.

«Como en la economía de cualquier casa, si no hay ingresos hay que ajustar los gastos y eso supondrá recortes en pensiones, educación, sanidad y lo necesario para que el desajuste no tenga que financiarse», ha recalcado.

El informe de Caja Rural de Granada destaca la caída del consumo, que hace que se produzca menos, se invierta menos y se perjudique al mercado de trabajo, con tasas de desempleo que afectan en Andalucía al 33,1% de la población activa.

Por otra parte, el presidente de Caja Rural de Granada ha recalcado que el «rescate» no les afecta, y que la entidad supera con creces el nivel de solvencia exigido por el Banco de España, aunque ha reconocido un descenso en la concesión de créditos por la falta de demanda.

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El Boletín de Coyuntura Económica de la Caja Rural de Granada, presentado hoy, pronostica un «empeoramiento» de la crisis en nuestra provincia y Andalucía para los próximos trimestres y señala que los recortes en las administraciones golpearán especialmente a la economía andaluza.

El presidente de Caja Rural de Granada, Antonio León, ha presentado este estudio realizado sobre la coyuntura económica del 2011 para conocer el comportamiento de los parámetros de los próximos meses y augurar el impacto de la crisis en Andalucía.

El responsable de elaborar el boletín ha sido el catedrático de Economía Aplica de la Universidad de Granada Miguel González, que ha avanzado un «empeoramiento de la crisis granadina y andaluza» para los próximos trimestres.

González ha recalcado que los continuos cambios en los factores de la economía nacional e internacional dificultan las previsiones económicas, aunque ha recalcado que todas las tendencias indican que Andalucía sufrirá un «nuevo año de recesión».

El catedrático ha repasado el comportamiento de la economía nacional e internacional, con un reflejo en la crisis andaluza, y ha subrayado que el impacto negativo ha sido peor en Andalucía porque se basa más en tres factores perjudicados por la crisis.

«Andalucía está muy sujeta a tres factores muy afectados por la crisis: la construcción, el peso del sector público que se enfrenta a numerosos ajustes, y el comercio y el turismo, por lo que la crisis afectará más a Andalucía que a otras regiones españolas menos dependientes de estos sectores», ha subrayado González.

El autor del boletín, que ha calificado la situación actual de «suma gravedad», ha pronosticado que Andalucía entrará en recesión durante este año, como ya lo ha hecho la economía nacional, aunque ha mantenido que «nadie» sabe hasta qué punto se recrudecerá la situación actual.

Además, González ha explicado que la dificultad del país para captar financiación deja una única opción, la de ajustar los gastos al nivel de ingresos actual, lo que provocará nuevos recortes que tendrán especiales consecuencias para Andalucía.

«Como en la economía de cualquier casa, si no hay ingresos hay que ajustar los gastos y eso supondrá recortes en pensiones, educación, sanidad y lo necesario para que el desajuste no tenga que financiarse», ha recalcado.

El informe de Caja Rural de Granada destaca la caída del consumo, que hace que se produzca menos, se invierta menos y se perjudique al mercado de trabajo, con tasas de desempleo que afectan en Andalucía al 33,1% de la población activa.

Por otra parte, el presidente de Caja Rural de Granada ha recalcado que el «rescate» no les afecta, y que la entidad supera con creces el nivel de solvencia exigido por el Banco de España, aunque ha reconocido un descenso en la concesión de créditos por la falta de demanda.

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El Boletín de Coyuntura Económica de la Caja Rural de Granada, presentado hoy, pronostica un «empeoramiento» de la crisis en nuestra provincia y Andalucía para los próximos trimestres y señala que los recortes en las administraciones golpearán especialmente a la economía andaluza.

El presidente de Caja Rural de Granada, Antonio León, ha presentado este estudio realizado sobre la coyuntura económica del 2011 para conocer el comportamiento de los parámetros de los próximos meses y augurar el impacto de la crisis en Andalucía.

El responsable de elaborar el boletín ha sido el catedrático de Economía Aplica de la Universidad de Granada Miguel González, que ha avanzado un «empeoramiento de la crisis granadina y andaluza» para los próximos trimestres.

González ha recalcado que los continuos cambios en los factores de la economía nacional e internacional dificultan las previsiones económicas, aunque ha recalcado que todas las tendencias indican que Andalucía sufrirá un «nuevo año de recesión».

El catedrático ha repasado el comportamiento de la economía nacional e internacional, con un reflejo en la crisis andaluza, y ha subrayado que el impacto negativo ha sido peor en Andalucía porque se basa más en tres factores perjudicados por la crisis.

«Andalucía está muy sujeta a tres factores muy afectados por la crisis: la construcción, el peso del sector público que se enfrenta a numerosos ajustes, y el comercio y el turismo, por lo que la crisis afectará más a Andalucía que a otras regiones españolas menos dependientes de estos sectores», ha subrayado González.

El autor del boletín, que ha calificado la situación actual de «suma gravedad», ha pronosticado que Andalucía entrará en recesión durante este año, como ya lo ha hecho la economía nacional, aunque ha mantenido que «nadie» sabe hasta qué punto se recrudecerá la situación actual.

Además, González ha explicado que la dificultad del país para captar financiación deja una única opción, la de ajustar los gastos al nivel de ingresos actual, lo que provocará nuevos recortes que tendrán especiales consecuencias para Andalucía.

«Como en la economía de cualquier casa, si no hay ingresos hay que ajustar los gastos y eso supondrá recortes en pensiones, educación, sanidad y lo necesario para que el desajuste no tenga que financiarse», ha recalcado.

El informe de Caja Rural de Granada destaca la caída del consumo, que hace que se produzca menos, se invierta menos y se perjudique al mercado de trabajo, con tasas de desempleo que afectan en Andalucía al 33,1% de la población activa.

Por otra parte, el presidente de Caja Rural de Granada ha recalcado que el «rescate» no les afecta, y que la entidad supera con creces el nivel de solvencia exigido por el Banco de España, aunque ha reconocido un descenso en la concesión de créditos por la falta de demanda.

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‘Emociónate’ y participa

Investigadores de la Universidad de Granada (UGR) han creado un catálogo en el que aparecen fotografías de individuos que expresan emociones concretas, tales como alegría, tristeza, ira, asco, sorpresa o miedo. Actualmente, buscan la colaboración de personas que deseen ayudarles en este proyecto, denominado ‘Emociónate’, para valorar en qué medida las personas son capaces de identificar dichas emociones, según el género y el grupo étnico, tanto del modelo fotografiado como del evaluador.

Aquellas personas interesadas en participar en este curioso «experimento on line» podrán demostrar su capacidad para reconocer las emociones que otros sujetos están experimentando, evaluando una serie de caras en función de su género, etnia, emoción, atractivo y fiabilidad. Los científicos de la UGR han diseñado, además, una versión en inglés y otra en francés, para que puedan participar individuos de todo el mundo.

Para crear este catálogo de «caras emocionales», sus autores recopilaron una amplia muestra de expresiones faciales y corporales de emociones de los tres grupos étnicos con más presencia en la ciudad de Granada: españoles, gitanos y marroquíes. Para ello, indujeron a los participantes, mediante la proyección de vídeos, algunas de las emociones básicas: alegría, tristeza, ira, asco, sorpresa y miedo.

A continuación, en condiciones controladas de iluminación, los investigadores de la UGR los fotografiaron mientras expresaban dichas emociones. De forma adicional, les pidieron que reprodujeran espontáneamente el movimiento gestual (o la postura, en el caso de ser estática) de diferentes expresiones, como «estoy cansado», «me voy a dormir», «algo ha ido mal», «OK», etcétera.

El objetivo final de este proyecto es ser un enlace para todas aquellas personas que estén interesadas en el estudio de las emociones y de las relaciones interculturales. Así, este «catálogo de caras» podrá emplearse en futuros estudios sobre emociones a nivel mundial, así como en estudios con pacientes con problemas en el reconocimiento de caras (prosopagnosia), o en aquellas patologías que implican algún déficit en el reconocimiento emocional (tales como la esquizofrenia). Además, este trabajo podrá emplease también en el área educativa en la intervención sobre inteligencia emocional.

Como explica la investigadora de la UGR Elena Cañadas, no existe aún un consenso a nivel mundial sobre el carácter universal de las emociones. «Algunos autores defienden que existen expresiones comunes a todas las culturas y sociedades, mientras que otros creen que la expresión de las emociones está fuertemente determinada por la cultura del individuo».

Comunicación no verbal

Las expresiones emocionales constituyen mensajes no verbales de comunicación. «Mediante ellas, destaca Cañadas. somos capaces de informar de nuestras emociones a los demás, provocando reacciones específicas en estas personas, lo que en definitiva las puede convertir en comportamientos que facilitan las relaciones interpersonales».

En el proyecto ‘Emociónate’ participan investigadores de los departamentos de Psicología Experimental y Psicología Social de la Universidad de Granada (Juan Lupiáñez, Rosa Rodríguez-Bailón, Alberto Acosta, Carolina Pérez Dueñas y Gloria Jiménez-Moya), y el informático David Calmaestra, que desarrolló la página web.

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‘Emociónate’ y participa

Investigadores de la Universidad de Granada (UGR) han creado un catálogo en el que aparecen fotografías de individuos que expresan emociones concretas, tales como alegría, tristeza, ira, asco, sorpresa o miedo. Actualmente, buscan la colaboración de personas que deseen ayudarles en este proyecto, denominado ‘Emociónate’, para valorar en qué medida las personas son capaces de identificar dichas emociones, según el género y el grupo étnico, tanto del modelo fotografiado como del evaluador.

Aquellas personas interesadas en participar en este curioso «experimento on line» podrán demostrar su capacidad para reconocer las emociones que otros sujetos están experimentando, evaluando una serie de caras en función de su género, etnia, emoción, atractivo y fiabilidad. Los científicos de la UGR han diseñado, además, una versión en inglés y otra en francés, para que puedan participar individuos de todo el mundo.

Para crear este catálogo de «caras emocionales», sus autores recopilaron una amplia muestra de expresiones faciales y corporales de emociones de los tres grupos étnicos con más presencia en la ciudad de Granada: españoles, gitanos y marroquíes. Para ello, indujeron a los participantes, mediante la proyección de vídeos, algunas de las emociones básicas: alegría, tristeza, ira, asco, sorpresa y miedo.

A continuación, en condiciones controladas de iluminación, los investigadores de la UGR los fotografiaron mientras expresaban dichas emociones. De forma adicional, les pidieron que reprodujeran espontáneamente el movimiento gestual (o la postura, en el caso de ser estática) de diferentes expresiones, como «estoy cansado», «me voy a dormir», «algo ha ido mal», «OK», etcétera.

El objetivo final de este proyecto es ser un enlace para todas aquellas personas que estén interesadas en el estudio de las emociones y de las relaciones interculturales. Así, este «catálogo de caras» podrá emplearse en futuros estudios sobre emociones a nivel mundial, así como en estudios con pacientes con problemas en el reconocimiento de caras (prosopagnosia), o en aquellas patologías que implican algún déficit en el reconocimiento emocional (tales como la esquizofrenia). Además, este trabajo podrá emplease también en el área educativa en la intervención sobre inteligencia emocional.

Como explica la investigadora de la UGR Elena Cañadas, no existe aún un consenso a nivel mundial sobre el carácter universal de las emociones. «Algunos autores defienden que existen expresiones comunes a todas las culturas y sociedades, mientras que otros creen que la expresión de las emociones está fuertemente determinada por la cultura del individuo».

Comunicación no verbal

Las expresiones emocionales constituyen mensajes no verbales de comunicación. «Mediante ellas, destaca Cañadas. somos capaces de informar de nuestras emociones a los demás, provocando reacciones específicas en estas personas, lo que en definitiva las puede convertir en comportamientos que facilitan las relaciones interpersonales».

En el proyecto ‘Emociónate’ participan investigadores de los departamentos de Psicología Experimental y Psicología Social de la Universidad de Granada (Juan Lupiáñez, Rosa Rodríguez-Bailón, Alberto Acosta, Carolina Pérez Dueñas y Gloria Jiménez-Moya), y el informático David Calmaestra, que desarrolló la página web.

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Investigadores de la Universidad de Granada (UGR) han creado un catálogo en el que aparecen fotografías de individuos que expresan emociones concretas, tales como alegría, tristeza, ira, asco, sorpresa o miedo. Actualmente, buscan la colaboración de personas que deseen ayudarles en este proyecto, denominado ‘Emociónate’, para valorar en qué medida las personas son capaces de identificar dichas emociones, según el género y el grupo étnico, tanto del modelo fotografiado como del evaluador.

Aquellas personas interesadas en participar en este curioso «experimento on line» podrán demostrar su capacidad para reconocer las emociones que otros sujetos están experimentando, evaluando una serie de caras en función de su género, etnia, emoción, atractivo y fiabilidad. Los científicos de la UGR han diseñado, además, una versión en inglés y otra en francés, para que puedan participar individuos de todo el mundo.

Para crear este catálogo de «caras emocionales», sus autores recopilaron una amplia muestra de expresiones faciales y corporales de emociones de los tres grupos étnicos con más presencia en la ciudad de Granada: españoles, gitanos y marroquíes. Para ello, indujeron a los participantes, mediante la proyección de vídeos, algunas de las emociones básicas: alegría, tristeza, ira, asco, sorpresa y miedo.

A continuación, en condiciones controladas de iluminación, los investigadores de la UGR los fotografiaron mientras expresaban dichas emociones. De forma adicional, les pidieron que reprodujeran espontáneamente el movimiento gestual (o la postura, en el caso de ser estática) de diferentes expresiones, como «estoy cansado», «me voy a dormir», «algo ha ido mal», «OK», etcétera.

El objetivo final de este proyecto es ser un enlace para todas aquellas personas que estén interesadas en el estudio de las emociones y de las relaciones interculturales. Así, este «catálogo de caras» podrá emplearse en futuros estudios sobre emociones a nivel mundial, así como en estudios con pacientes con problemas en el reconocimiento de caras (prosopagnosia), o en aquellas patologías que implican algún déficit en el reconocimiento emocional (tales como la esquizofrenia). Además, este trabajo podrá emplease también en el área educativa en la intervención sobre inteligencia emocional.

Como explica la investigadora de la UGR Elena Cañadas, no existe aún un consenso a nivel mundial sobre el carácter universal de las emociones. «Algunos autores defienden que existen expresiones comunes a todas las culturas y sociedades, mientras que otros creen que la expresión de las emociones está fuertemente determinada por la cultura del individuo».

Comunicación no verbal

Las expresiones emocionales constituyen mensajes no verbales de comunicación. «Mediante ellas, destaca Cañadas. somos capaces de informar de nuestras emociones a los demás, provocando reacciones específicas en estas personas, lo que en definitiva las puede convertir en comportamientos que facilitan las relaciones interpersonales».

En el proyecto ‘Emociónate’ participan investigadores de los departamentos de Psicología Experimental y Psicología Social de la Universidad de Granada (Juan Lupiáñez, Rosa Rodríguez-Bailón, Alberto Acosta, Carolina Pérez Dueñas y Gloria Jiménez-Moya), y el informático David Calmaestra, que desarrolló la página web.

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La UGR organiza el examen oficial de nivel de Lengua China, en el que se han matriculado 244 personas

  • Sábado 16 de junio, desde las 9 h. en la Facultad de Traducción e Interpretación

Mañana, sábado 16 de junio desde las 9 h. y hasta las 14,30 h., en la Facultad de Traducción e Interpretación, la Universidad de Granada organiza el examen de nivel de Lengua China, la única prueba oficial que existe en el mundo para certificar el conocimiento de dicha lengua.

Un año más el Instituto Confucio de la Universidad de Granada organiza el examen oficial de lengua china HSK (Hanyu Shuiping Kaoshi). Tras el éxito obtenido el curso pasado, en el que se contó con 199 matrículas, a lo largo de este año 2012 se han organizado tres convocatorias oficiales en mayo (oral), junio (escrito) y octubre (escrito), que han sido complementadas con un nuevo curso intensivo de preparación que se imparte antes de cada examen.

En mayo se alcanzaron 41 matrículas en el examen HSK oral y en esta convocatoria, que se celebrará mañana sábado 16 de junio, se cuenta con 244 personas matriculadas, a las que se espera sumar muchas más en la próxima convocatoria de octubre.

De esta forma, el Instituto Confucio de la Universidad de Granada sigue apostando por la promoción de la lengua y la cultura chinas, preparando a sus estudiantes para la obtención de un certificado oficial con validez a nivel internacional. “Gracias a toda la información proporcionada a través de nuestra página web, hemos conseguido que muchos estudiantes provenientes de todas partes de España confíen en nosotros y se presenten al examen oficial HSK en Granada”, explican desde el Instituto Confucio de la UGR.

El HSK es una de las actividades importantes dentro del proceso de aprendizaje de la lengua china, y se pretende que cada vez más alumnos y estudiantes de chino se interesen y matriculen en este examen. Es el único examen oficial existente, similar al TOEFLE para el inglés o el DELE para el español. El HSK (Hanyu Shuiping Kaoshi o Examen de Nivel de Lengua China) es un examen estandarizado de nivel nacional diseñado con el objetivo de evaluar el nivel de competencia en lengua china de hablantes no nativos (extranjeros, chinos de ultramar y estudiantes de minorías nacionales de China).

El Instituto Confucio de la UGR es el único centro en Granada oficialmente reconocido para llevar a cabo estos exámenes y para tramitar la expedición de los correspondientes certificados de lengua, una vez que los exámenes se envían y corrigen en Beijing.

Contacto: Instituto Confucio de la Universidad de Granada Huerta de los Ángeles. Telef. 958 22 97 29. Correo elec: iconfucio@ugr.eshttp://institutoconfucio.ugr.es

CONVOCATORIA:

  • ASUNTO: Examen oficial de nivel de Lengua China en la UGR.
  • DÍA: sábado 16 de junio.
  • HORA: de 9 a 14 h.
  • LUGAR: Facultad de Traducción e Interpretación. C/ Puentezuelas.

Gabinete de Comunicación – Secretaría General
UNIVERSIDAD DE GRANADA
Acera de San Ildefonso, s/n. 18071. Granada (España)
Tel. 958 243063 – 958 244278
Correo e. gabcomunicacion@ugr.es
Web: http://canal.ugr.es