Au matin du deuxième jour, un joyeux brassage réveille le festival

C’est le seul instant solennel du festival. La cérémonie officielle d’accueil des musiciens du Fimu a eu lieu hier matin, avant l’arrivée de la foule, place d’Armes.

Sitôt arrivé, le maire pose pour une photo-souvenir avec les membres de l’orchestre de l’université de Shangaï. Pour une partie des étudiants, c’est le premier voyage à l’étranger. « Ils sont heureux de participer à ce grand festival du monde », confie Su Jun, leur pilote. Li Wei, l’adjoint du président de l’université, est ravi aussi : « Nous sommes très bien reçus, se réjouit-il. Le maire a assisté à notre premier concert du début à la fin. » Pas d’incident diplomatique à l’horizon, au contraire.

Sous le kiosque à musique, la fanfare Elefanf’U, de Dijon, donne le coup d’envoi des festivités. Une partie des fidèles qui sort de la messe à la cathédrale Saint-Christophe se mêle au public. Des passants s’arrêtent, comme cette maman qui esquisse un pas de danse avec sa fille. Les représentants de l’Université de Grenade, eux, font sensation dans leur habit traditionnel vieux de 1600 ans. La majesté de l’habit contraste avec l’odeur de moules-frites qui s’échappe d’un chapiteau tout proche.

Un honneur
Dans ce joyeux brassage, une parenthèse s’ouvre le temps des discours. Quand la musique d’Elefanf’U reprend ses droits, les adolescents d’Amadeus se regroupent devant la scène. Ces musiciens de Pasto, en Colombie, ne ratent pas une miette du spectacle. « Ils profitent de chaque moment à Belfort, car tout est nouveau pour eux », raconte Carlos Calvache, un de leurs accompagnateurs. Oscar Javier Coral Delgado, lui, dirige cet « orchestre juvénile », spécialisé dans les musiques traditionnelles d’Amérique du Sud. « C’est notre première participation au Fimu et l’accueil du public a été incroyable, confie le directeur. C’est un honneur d’être ici. »

D’autant que venir à Belfort a demandé beaucoup d’efforts. Le groupe a dû multiplier les concerts pour s’offrir le voyage. Il lui a ensuite fallu trois jours pour rejoindre Belfort depuis Pasto : en bus, en avion avec deux correspondances puis en train. La semaine prochaine, avant d’entamer le retour, Amadeus se produira à Paris, au Jardin du Luxembourg. Après Belfort, une récompense de plus pour les jeunes musiciens.

C’est inévitable dans un festival qui accueille des groupes du monde entier : il y a chaque année des défections de dernière minute. Hier, quatre formations manquaient à l’appel par rapport au programme initial.

Les « Messagers de Boulbinet », qui devaient venir de Conakri, en Guinée, étaient attendus jeudi mais ne sont jamais arrivés à Belfort. « Ils n’ont pas pu sortir de leur pays », explique-t-on sous la tente consacrée à l’accueil des groupes. Même chose pour les Maliens de Djatta Vsa, qui n’ont pas obtenu leur visa.

Les Mexicains d’Entretango, qui devaient jouer hier à la salle des fêtes, n’ont pas pu venir non plus. Là, ce sont plutôt des raisons financières qui seraient en cause : les prix des billets d’avion fluctuent et peuvent empêcher des groupes au budget serré de se déplacer. À noter : comme ils n’ont pas de cachet, les musiciens n’ont pas non plus de contrat professionnel qui les lie au festival. Depuis la sélection, une dizaine de défections ont ainsi été enregistrées.

Reste que 130 groupes sont présents à Belfort, soit 2800 musiciens. Les Strasbourgeois de Lolomis, qui devaient se produire trois fois durant le week-end, n’en font pas partie. Pour eux, l’explication se trouve plutôt du côté des cordes vocales de la chanteuse, qui l’ont trahie au mauvais moment.

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Au matin du deuxième jour, un joyeux brassage réveille le festival

C’est le seul instant solennel du festival. La cérémonie officielle d’accueil des musiciens du Fimu a eu lieu hier matin, avant l’arrivée de la foule, place d’Armes.

Sitôt arrivé, le maire pose pour une photo-souvenir avec les membres de l’orchestre de l’université de Shangaï. Pour une partie des étudiants, c’est le premier voyage à l’étranger. « Ils sont heureux de participer à ce grand festival du monde », confie Su Jun, leur pilote. Li Wei, l’adjoint du président de l’université, est ravi aussi : « Nous sommes très bien reçus, se réjouit-il. Le maire a assisté à notre premier concert du début à la fin. » Pas d’incident diplomatique à l’horizon, au contraire.

Sous le kiosque à musique, la fanfare Elefanf’U, de Dijon, donne le coup d’envoi des festivités. Une partie des fidèles qui sort de la messe à la cathédrale Saint-Christophe se mêle au public. Des passants s’arrêtent, comme cette maman qui esquisse un pas de danse avec sa fille. Les représentants de l’Université de Grenade, eux, font sensation dans leur habit traditionnel vieux de 1600 ans. La majesté de l’habit contraste avec l’odeur de moules-frites qui s’échappe d’un chapiteau tout proche.

Un honneur
Dans ce joyeux brassage, une parenthèse s’ouvre le temps des discours. Quand la musique d’Elefanf’U reprend ses droits, les adolescents d’Amadeus se regroupent devant la scène. Ces musiciens de Pasto, en Colombie, ne ratent pas une miette du spectacle. « Ils profitent de chaque moment à Belfort, car tout est nouveau pour eux », raconte Carlos Calvache, un de leurs accompagnateurs. Oscar Javier Coral Delgado, lui, dirige cet « orchestre juvénile », spécialisé dans les musiques traditionnelles d’Amérique du Sud. « C’est notre première participation au Fimu et l’accueil du public a été incroyable, confie le directeur. C’est un honneur d’être ici. »

D’autant que venir à Belfort a demandé beaucoup d’efforts. Le groupe a dû multiplier les concerts pour s’offrir le voyage. Il lui a ensuite fallu trois jours pour rejoindre Belfort depuis Pasto : en bus, en avion avec deux correspondances puis en train. La semaine prochaine, avant d’entamer le retour, Amadeus se produira à Paris, au Jardin du Luxembourg. Après Belfort, une récompense de plus pour les jeunes musiciens.

C’est inévitable dans un festival qui accueille des groupes du monde entier : il y a chaque année des défections de dernière minute. Hier, quatre formations manquaient à l’appel par rapport au programme initial.

Les « Messagers de Boulbinet », qui devaient venir de Conakri, en Guinée, étaient attendus jeudi mais ne sont jamais arrivés à Belfort. « Ils n’ont pas pu sortir de leur pays », explique-t-on sous la tente consacrée à l’accueil des groupes. Même chose pour les Maliens de Djatta Vsa, qui n’ont pas obtenu leur visa.

Les Mexicains d’Entretango, qui devaient jouer hier à la salle des fêtes, n’ont pas pu venir non plus. Là, ce sont plutôt des raisons financières qui seraient en cause : les prix des billets d’avion fluctuent et peuvent empêcher des groupes au budget serré de se déplacer. À noter : comme ils n’ont pas de cachet, les musiciens n’ont pas non plus de contrat professionnel qui les lie au festival. Depuis la sélection, une dizaine de défections ont ainsi été enregistrées.

Reste que 130 groupes sont présents à Belfort, soit 2800 musiciens. Les Strasbourgeois de Lolomis, qui devaient se produire trois fois durant le week-end, n’en font pas partie. Pour eux, l’explication se trouve plutôt du côté des cordes vocales de la chanteuse, qui l’ont trahie au mauvais moment.

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Au matin du deuxième jour, un joyeux brassage réveille le festival

C’est le seul instant solennel du festival. La cérémonie officielle d’accueil des musiciens du Fimu a eu lieu hier matin, avant l’arrivée de la foule, place d’Armes.

Sitôt arrivé, le maire pose pour une photo-souvenir avec les membres de l’orchestre de l’université de Shangaï. Pour une partie des étudiants, c’est le premier voyage à l’étranger. « Ils sont heureux de participer à ce grand festival du monde », confie Su Jun, leur pilote. Li Wei, l’adjoint du président de l’université, est ravi aussi : « Nous sommes très bien reçus, se réjouit-il. Le maire a assisté à notre premier concert du début à la fin. » Pas d’incident diplomatique à l’horizon, au contraire.

Sous le kiosque à musique, la fanfare Elefanf’U, de Dijon, donne le coup d’envoi des festivités. Une partie des fidèles qui sort de la messe à la cathédrale Saint-Christophe se mêle au public. Des passants s’arrêtent, comme cette maman qui esquisse un pas de danse avec sa fille. Les représentants de l’Université de Grenade, eux, font sensation dans leur habit traditionnel vieux de 1600 ans. La majesté de l’habit contraste avec l’odeur de moules-frites qui s’échappe d’un chapiteau tout proche.

Un honneur
Dans ce joyeux brassage, une parenthèse s’ouvre le temps des discours. Quand la musique d’Elefanf’U reprend ses droits, les adolescents d’Amadeus se regroupent devant la scène. Ces musiciens de Pasto, en Colombie, ne ratent pas une miette du spectacle. « Ils profitent de chaque moment à Belfort, car tout est nouveau pour eux », raconte Carlos Calvache, un de leurs accompagnateurs. Oscar Javier Coral Delgado, lui, dirige cet « orchestre juvénile », spécialisé dans les musiques traditionnelles d’Amérique du Sud. « C’est notre première participation au Fimu et l’accueil du public a été incroyable, confie le directeur. C’est un honneur d’être ici. »

D’autant que venir à Belfort a demandé beaucoup d’efforts. Le groupe a dû multiplier les concerts pour s’offrir le voyage. Il lui a ensuite fallu trois jours pour rejoindre Belfort depuis Pasto : en bus, en avion avec deux correspondances puis en train. La semaine prochaine, avant d’entamer le retour, Amadeus se produira à Paris, au Jardin du Luxembourg. Après Belfort, une récompense de plus pour les jeunes musiciens.

C’est inévitable dans un festival qui accueille des groupes du monde entier : il y a chaque année des défections de dernière minute. Hier, quatre formations manquaient à l’appel par rapport au programme initial.

Les « Messagers de Boulbinet », qui devaient venir de Conakri, en Guinée, étaient attendus jeudi mais ne sont jamais arrivés à Belfort. « Ils n’ont pas pu sortir de leur pays », explique-t-on sous la tente consacrée à l’accueil des groupes. Même chose pour les Maliens de Djatta Vsa, qui n’ont pas obtenu leur visa.

Les Mexicains d’Entretango, qui devaient jouer hier à la salle des fêtes, n’ont pas pu venir non plus. Là, ce sont plutôt des raisons financières qui seraient en cause : les prix des billets d’avion fluctuent et peuvent empêcher des groupes au budget serré de se déplacer. À noter : comme ils n’ont pas de cachet, les musiciens n’ont pas non plus de contrat professionnel qui les lie au festival. Depuis la sélection, une dizaine de défections ont ainsi été enregistrées.

Reste que 130 groupes sont présents à Belfort, soit 2800 musiciens. Les Strasbourgeois de Lolomis, qui devaient se produire trois fois durant le week-end, n’en font pas partie. Pour eux, l’explication se trouve plutôt du côté des cordes vocales de la chanteuse, qui l’ont trahie au mauvais moment.

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Joaquín Fernández Valdivia toma posesión como director de la E.T.S. de Ingenierías Informática y de Telecomunicación de la Universidad de Granada

  • El próximo martes, 29 de mayo, a las 13 horas, en el Salón de Rectores del Hospital Real

El próximo martes, 29 de mayo, a las 13 horas, se va a celebrar, en el Salón de Rectores del Hospital Real, el acto de toma de posesión del director de la E.T.S. de Ingenierías Informática y de Telecomunicación, Joaquín Fernández Valdivia.

El acto estará presidido por el rector Francisco González Lodeiro y contará con la intervención de Rossana González, secretaria general; Buenaventura Clares Rodríguez, director saliente de la E.T.S. de Ingenierías Informática y de Telecomunicación, y de Joaquín Fernández Valdivia, nuevo director.

Joaquín Fernández Valdivia fue elegido el 8 de mayo en Junta de Centro como nuevo director de la E.T.S. de Ingenierías Informática y de Telecomunicación, con mayoría absoluta y siendo candidato único.

Joaquín Fernández Valdivia es catedrático de la Universidad de Granada desde 2009. Ha desempeñado diversos cargos en la Universidad de Granada entre los que destacan haber sido, durante 8 años, director del grupo de investigación de “Visión por computador”; durante 5 años fue secretario del Departamento de Ciencias de la Computación e Inteligencia Artificial; durante 4 años coordinador de Programas de Doctorado de dicho departamento y durante 4 años, coordinador del Consejo de Titulación de Informática.

Fue distinguido por la Universidad con el Premio de Excelencia Docente en el área de enseñanzas técnicas en su primera edición. Ha actuado como investigador principal en diversos proyectos de investigación, algunos con empresas, ha dirigido 7 tesis doctorales, es autor de 5 libros sobre temas de su especialidad y, asimismo, es autor de más de 120 artículos científicos, entre los que destacan más de 70 en revistas de máximo nivel.

CONVOCATORIA:

  • DÍA: martes, 29 de mayo.
  • HORA: 13 horas.
  • LUGAR: Salón de Rectores, Hospital Real.

Gabinete de Comunicación – Secretaría General
UNIVERSIDAD DE GRANADA
Acera de San Ildefonso, s/n. 18071. Granada (España)
Tel. 958 243063 – 958 244278
Correo e. gabcomunicacion@ugr.es
Web: http://canal.ugr.es


Joaquín Fernández Valdivia toma posesión como director de la E.T.S. de Ingenierías Informática y de Telecomunicación de la Universidad de Granada

  • El próximo martes, 29 de mayo, a las 13 horas, en el Salón de Rectores del Hospital Real

El próximo martes, 29 de mayo, a las 13 horas, se va a celebrar, en el Salón de Rectores del Hospital Real, el acto de toma de posesión del director de la E.T.S. de Ingenierías Informática y de Telecomunicación, Joaquín Fernández Valdivia.

El acto estará presidido por el rector Francisco González Lodeiro y contará con la intervención de Rossana González, secretaria general; Buenaventura Clares Rodríguez, director saliente de la E.T.S. de Ingenierías Informática y de Telecomunicación, y de Joaquín Fernández Valdivia, nuevo director.

Joaquín Fernández Valdivia fue elegido el 8 de mayo en Junta de Centro como nuevo director de la E.T.S. de Ingenierías Informática y de Telecomunicación, con mayoría absoluta y siendo candidato único.

Joaquín Fernández Valdivia es catedrático de la Universidad de Granada desde 2009. Ha desempeñado diversos cargos en la Universidad de Granada entre los que destacan haber sido, durante 8 años, director del grupo de investigación de “Visión por computador”; durante 5 años fue secretario del Departamento de Ciencias de la Computación e Inteligencia Artificial; durante 4 años coordinador de Programas de Doctorado de dicho departamento y durante 4 años, coordinador del Consejo de Titulación de Informática.

Fue distinguido por la Universidad con el Premio de Excelencia Docente en el área de enseñanzas técnicas en su primera edición. Ha actuado como investigador principal en diversos proyectos de investigación, algunos con empresas, ha dirigido 7 tesis doctorales, es autor de 5 libros sobre temas de su especialidad y, asimismo, es autor de más de 120 artículos científicos, entre los que destacan más de 70 en revistas de máximo nivel.

CONVOCATORIA:

  • DÍA: martes, 29 de mayo.
  • HORA: 13 horas.
  • LUGAR: Salón de Rectores, Hospital Real.

Gabinete de Comunicación – Secretaría General
UNIVERSIDAD DE GRANADA
Acera de San Ildefonso, s/n. 18071. Granada (España)
Tel. 958 243063 – 958 244278
Correo e. gabcomunicacion@ugr.es
Web: http://canal.ugr.es


Especialistas nacionales e internacionales ofrecen la mirada de Occidente a través de viajeros judíos, cristianos y musulmanes en Siria y Palestina

  • En las III Jornadas sobre Interculturalidad: “Oriente desde Occidente: los escritos de viajes judíos, cristianos y musulmanes sobre Siria-Palestina (Siglos XII-XVII)”
  • Se inaugura el próximo martes, 29 de mayo, a las 9.,30 horas, en el Instituto de la Paz y los Conflictos de la UGR

El próximo martes, 29 de mayo, a las 9.,30 horas, se va a celebrar en el Instituto de la Paz y los Conflictos de la Universidad de Granada, la inauguración de las III Jornadas sobre Interculturalidad: “Oriente desde Occidente: los escritos de viajes judíos, cristianos y musulmanes sobre Siria-Palestina (Siglos XII-XVII)”.

La literatura de viajes ha sido siempre objeto de estudio y análisis —libros, epístolas, crónicas— constituyendo un generoso género, fuente de inestimable valor para el estudio de la historia, cultura, pensamiento, idiosincrasia y prácticas de los pueblos que habitaron la cuenca mediterránea, en general, y de Tierra Santa (Siria-Palestina), en particular.

En estas jornadas se pretende ofrecer la mirada de Occidente a través de viajeros judíos, cristianos y musulmanes que visitaron el área sirio-palestina constituyendo ésta un documento de incalculable valor en términos de alteridad. Para tal fin, se cuenta con especialistas a nivel nacional como internacional que desarrollarán en sus ponencias resultados de sus más recientes investigaciones.

MARTES 29 DE MAYO

  • 9:30 h. Inauguración. Participantes:
    • María Dolores Suárez Ortega. Vicerrectora de Política Científica e Investigación de la Universidad de Granada.
    • Pilar Aranda. Secretaria Ejecutiva de la Fundación Euroárabe de Altos Estudios.
    • Mercedes Gallardo. Delegada en Andalucía. Centro Sefarad-Israel.
    • Beatriz Molina. Directora del Instituto de la Paz y los Conflictos de la Universidad de Granada.
  • 10h. Conferencia inaugural
    • Fatima Tahta. Universidad de Rabat: “Los aspectos de tolerancia en la rihla de Ben Yamin, la versión árabe”.

Organizadores/colaboradores/patrocinadores: Ministerio de Economía y Competitividad; Fundación Euroárabe de Altos Estudios; Instituto de la Paz y los Conflictos de la Universidad de Granada; Consorcio Sefarad-Israel.

Información contacto: Tania María García Arévalo (Secretaria de las Jornadas). Correo elec: taniagarcia@ugr.es (especificando en el asunto Jornadas Oriente desde Occidente).Instituto Universitario de la Paz y los Conflictos. Teléfono: 958 24 4142.

Descargue el programa completo de las jornadas

CONVOCATORIA:

  • ASUNTO: Inauguración. III Jornadas sobre Interculturalidad: “Oriente desde Occidente: los escritos de viajes judíos, cristianos y musulmanes sobre Siria-Palestina (Siglos XII-XVII)”.
  • DÍA: martes, 29 de mayo.
  • HORA: 9.30 horas.
  • LUGAR: Salón de actos del Instituto de la Paz y los Conflictos de la Universidad de Granada (C/ Rector López Argüeta s/n).

Gabinete de Comunicación – Secretaría General
UNIVERSIDAD DE GRANADA
Acera de San Ildefonso, s/n. 18071. Granada (España)
Tel. 958 243063 – 958 244278
Correo e. gabcomunicacion@ugr.es
Web: http://canal.ugr.es


Especialistas nacionales e internacionales ofrecen la mirada de Occidente a través de viajeros judíos, cristianos y musulmanes en Siria y Palestina

  • En las III Jornadas sobre Interculturalidad: “Oriente desde Occidente: los escritos de viajes judíos, cristianos y musulmanes sobre Siria-Palestina (Siglos XII-XVII)”
  • Se inaugura el próximo martes, 29 de mayo, a las 9.,30 horas, en el Instituto de la Paz y los Conflictos de la UGR

El próximo martes, 29 de mayo, a las 9.,30 horas, se va a celebrar en el Instituto de la Paz y los Conflictos de la Universidad de Granada, la inauguración de las III Jornadas sobre Interculturalidad: “Oriente desde Occidente: los escritos de viajes judíos, cristianos y musulmanes sobre Siria-Palestina (Siglos XII-XVII)”.

La literatura de viajes ha sido siempre objeto de estudio y análisis —libros, epístolas, crónicas— constituyendo un generoso género, fuente de inestimable valor para el estudio de la historia, cultura, pensamiento, idiosincrasia y prácticas de los pueblos que habitaron la cuenca mediterránea, en general, y de Tierra Santa (Siria-Palestina), en particular.

En estas jornadas se pretende ofrecer la mirada de Occidente a través de viajeros judíos, cristianos y musulmanes que visitaron el área sirio-palestina constituyendo ésta un documento de incalculable valor en términos de alteridad. Para tal fin, se cuenta con especialistas a nivel nacional como internacional que desarrollarán en sus ponencias resultados de sus más recientes investigaciones.

MARTES 29 DE MAYO

  • 9:30 h. Inauguración. Participantes:
    • María Dolores Suárez Ortega. Vicerrectora de Política Científica e Investigación de la Universidad de Granada.
    • Pilar Aranda. Secretaria Ejecutiva de la Fundación Euroárabe de Altos Estudios.
    • Mercedes Gallardo. Delegada en Andalucía. Centro Sefarad-Israel.
    • Beatriz Molina. Directora del Instituto de la Paz y los Conflictos de la Universidad de Granada.
  • 10h. Conferencia inaugural
    • Fatima Tahta. Universidad de Rabat: “Los aspectos de tolerancia en la rihla de Ben Yamin, la versión árabe”.

Organizadores/colaboradores/patrocinadores: Ministerio de Economía y Competitividad; Fundación Euroárabe de Altos Estudios; Instituto de la Paz y los Conflictos de la Universidad de Granada; Consorcio Sefarad-Israel.

Información contacto: Tania María García Arévalo (Secretaria de las Jornadas). Correo elec: taniagarcia@ugr.es (especificando en el asunto Jornadas Oriente desde Occidente).Instituto Universitario de la Paz y los Conflictos. Teléfono: 958 24 4142.

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CONVOCATORIA:

  • ASUNTO: Inauguración. III Jornadas sobre Interculturalidad: “Oriente desde Occidente: los escritos de viajes judíos, cristianos y musulmanes sobre Siria-Palestina (Siglos XII-XVII)”.
  • DÍA: martes, 29 de mayo.
  • HORA: 9.30 horas.
  • LUGAR: Salón de actos del Instituto de la Paz y los Conflictos de la Universidad de Granada (C/ Rector López Argüeta s/n).

Gabinete de Comunicación – Secretaría General
UNIVERSIDAD DE GRANADA
Acera de San Ildefonso, s/n. 18071. Granada (España)
Tel. 958 243063 – 958 244278
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Web: http://canal.ugr.es


El Pueblo de Ceuta

Pág. 6 y 7: Entrevista a Francisco González Lodeiro. Rector de la Universidad de Granada. ‘En España no sobran universidades’

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El Pueblo de Ceuta

Pág. 6 y 7: Entrevista a Francisco González Lodeiro. Rector de la Universidad de Granada. ‘En España no sobran universidades’

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El País

Pág. 2 – Andalucía: La reinvención de la excelencia

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Pág. 2 – Andalucía: La reinvención de la excelencia

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El Mundo

Pág. 16: Las carreras de Letras perderán más becarios

Pág. 18 – Opinión: Magníficos rectores

Pág. 19 – Opinión: En busca de otra universidad

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