Eating salmon could boost health of pregnant women

Intake of salmon increases omega-3 fatty acid levels and improves antioxidant defences in pregnant women and their babies, researchers have found.

In addition, salmon does not alter oxidative stress levels, inflammatory response and vascular homeostasis.

The salmon employed in the study was only slightly contaminated and had been previously enriched with omega-3 fatty acids at a fish farm.

To carry out this study, University of Granada researchers selected a randomised sample of pregnant women with low fish intake.

The sample was divided into two groups: the control group –which continued with their regular diet– and the Salmon group –which incorporated two servings of «treated» salmon from 20 weeks of gestation until term.

The salmon had been reared in a fish farm under a controlled diet including special ingredients (vegetable oils and food as algae and zooplankton); through this diet, salmon became rich in omega-3 fatty acids and presented high concentrations of antioxidant vitamins –as Vitamins A and E– and selenium; in addition fish contained very low contaminant levels.

Blood and urine samples were taken from the two groups, who were also asked to complete a questionnaire of food habits at weeks 20 and 34 of gestation –which would provide information about food intake during the previous 12 weeks.

Subsequently, blood and urine samples were taken again at week 38 of gestation and at labour –where also cord blood samples were taken.

The researchers found that omega-3 fatty acid concentrations improved when pregnant women who did not frequently eat fish ate two servings of salmon weekly; the same results were obtained for the newborns.

Two servings of salmon per week help the mother and her child reach the minimum recommended omega-3 fatty acid intake.

Additionally, the researchers found that the biomarkers for lipid oxidation and oxidative damage to DNA were not affected by the intake of salmon.

Thus, researchers concluded that eating two servings of salmon a week during pregnancy does not increase oxidative stress.

In fact, selenium and retinol concentrations were increased in pregnant women»s plasma, and selenium concentrations increased in the newborns.

This improvement in antioxidant defences might help prevent and reduce the additional oxidative stress associated with pregnancy.

Finally, eating salmon reared at a fish farm did not negatively affect pregnant women»s antioxidant defences, carbohydrate and lipid metabolism, adipokine and cytokine concentrations and biomarkers for vascular homeostasis in the newborns.

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Salmon ‘healthy for mother and child twice a week’

Eating salmon twice a week is beneficial for maternal and newborn health, new research has revealed.

A team at the University of Granada in Spain analysed blood and urine samples from two groups of pregnant women with low fish intake, one of which continued with their normal diet while the other ate salmon from a specialist fish farm from 20 weeks’ gestation onwards.

When the food was eaten twice a week, omega-3 fatty acid levels were higher in both mothers and newborns, while the researchers concluded the diet the mums-to-be ate did not increase oxidative stress.

Biomarkers for lipid oxidation and oxidative damage to DNA were not affected by eating salmon at this frequency, it was explained, while antioxidant defences in women and their infants were improved, with higher concentrations of selenium and retinol found in their blood, which could protect against oxidative stress.

The US Environmental Protection Agency advises against eating fish high in mercury during pregnancy, such as shark, swordfish, king mackerel and tilefish.

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le Groupe Léa Nature lance une campagne d’alerte sur la toxicité des pesticides dans l’alimentation

Dans le cadre de la 7e édition de la Semaine Européenne des Alternatives aux Pesticides qui se tient du 20 au 30 mars 2012, le Groupe Léa Nature avec sa marque Jardin BiO’ lance une campagne de sensibilisation » Pesticides ? Nos enfants n’en ont pas besoin pour bien pousser ! » pour interpeller les candidats à la présidentielle et l’opinion publique.
Une campagne en faveur d’une agriculture respectueuse de l’environnement et une alimentation saine dénuées de pesticides. Léa Nature avec sa marque Jardin BiO’ milite pour le droit et le choix de respirer, boire et manger sans pesticides.

Un enfant est exposé aux pesticides bien en avant sa naissance.
Le placenta contient en moyenne 8 substances polluantes chimiques différentes*. La présence de résidus de pesticides dans l’organisme, à tous les âges de la vie, sont des facteurs de troubles de la santé**.

En dépit des recommandations du Grenelle de l’environnement (qui prévoit de réduire de 50% l’usage des pesticides, de retirer du marché les pesticides les plus dangereux, d’augmenter la Surface Agricole Utile en bio), la France est encore aujourd’hui le premier pays européen utilisateur de pesticides (selon l’association Générations Futures).
Des chiffres éloquents : chaque année, la France utilise pas moins de 65000 tonnes dont 90% concernent l’agriculture.
*» Maternal-child exposure via the placenta to environmental chemical substances with hormonal activity «, M. Lopez Espinosa, université de Grenade, Espagne, 2007.
**92 substances actives pesticides sont classées cancérigènes possibles ou probables par l’UE ou l’Agence de Protection de l’Environnement des États-Unis (US-EPA) – IEW/MDRGF 2004.

Ce n’est pas une fatalité, une alternative est possible qui passe par un engagement politique en faveur d’une agriculture respectueuse et d’une alimentation saine dénuée de pesticides. Les candidats à l’élection présidentielle doivent prendre en considération ce problème majeur de santé publique.
Il est urgent d’accentuer l’effort de promotion et de mise en oeuvre d’une agriculture de haute qualité environnementale en collaboration avec l’ensemble du monde agricole. Le Groupe Léa Nature et sa marque Jardin BiO’ soutiennent les changements nécessaires pour réconcilier l’homme et sa santé avec l’environnement.
Pour son Président Fondateur, Charrles Kloboukoff » Le naturel c’est bien, mais il faut aller au-delà. Il faut non seulement proposer une alternative à l’allopathie, en visant l’innocuité totale, sans surdosage, mais aussi dans l’alimentation et les cosmétiques pas de substances douteuses, d’où notre guerre aux pesticides ou aux OGM, au paraben ou au silicone. Plus encore, il s’agit de prendre en compte tous les aspects environnementaux sur la manière de produire, le choix de machines peu consommatrices d’énergie, la construction écologique du siège de l’entreprise, l’option du puits canadien plutôt que la climatisation dans l’entrepôt, etc «.
Cette campagne en faveur d’une alimentation dénuée de pesticides a reçu l’appui de 4 associations environnementales : Générations Futures, APPEL de la Jeunesse, ARTAC et le CRIIGEN.

A propos de Jardin BiO’
Marque phare du groupe Léa Nature, Jardin BiO’ s’implique pour une alimentation et une planète saines. La marque offre plus de 440 produits bio de qualité, vendus en grandes et moyennes surfaces. Elle représente 60% du chiffre d’affaires de Léa Nature et offre donc la plus forte contribution pour la planète en tant que membre du Club 1%. Jardin BiO’ est particulièrement investie en faveur de la biodiversité. Par trois fois, elle a consacré son budget communication à une cause environnementale (Grenelle de l’Environnement en 2007, vote loi OGM en 2008, élections présidentielles en 2012).

Spécialiste de l’épicerie bio, 100% de ses produits sont labellisés AB, 2 produits sur 3 sont transformés en interne et en France. Pour les ingrédients des pays du sud (thé, épices etc.), Jardin BiO’ s’impose le double label AB et Max Havelaar (lorsque la filière équitable existe). Le choix des fournisseurs de matières premières est fait dans une logique de solidarité et de durabilité, privilégiant les partenariats avec des producteurs locaux et des coopératives.

Jardin BiO’ a entrepris une démarche de relocalisation de ses approvisionnements en France afin de soutenir l’agriculture bio française. Elle affiche sur près d’une centaine de ses produits, le logo » Producteurs Régionaux «. Ce logo signifie que 70% à 100% des ingrédients mis en oeuvre dans la fabrication des produits sont d’origine France et que leur fabrication est réalisée en France.
Cette démarche vise à informer le consommateur sur l’origine France du produit mais aussi participe à réduire les » kilomètres alimentaires «, met en avant les richesses de nos terroirs et contribue à stimuler l’augmentation des surfaces cultivées en bio. Jardin BiO’ est la seule marque bio en GMS à proposer autant de références garanties origine France et fabriquées en France.

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Clausura de las jornadas de orientación profesional en el Campus de Melilla

  • Con la asistencia del decano de la Facultad de Educación y Humanidades, Juan Granda Vera, el acto de clausura tendrá lugar en el Aula de Grados, el 23 de marzo de 2012, a las 18:30 horas

El decano de la Facultad de Educación y Humanidades, Juan Granda Vera, clausura el viernes, 23 de marzo de 2012, a las 18:30 horas, en el Aula de Grados de dicha facultad, las II Jornadas de orientación profesional para alumnado de grado y posgrado de la Facultad de Educación y Humanidades de Melilla, que se vienen celebrando durante los días 22 y 23 de marzo de 2012, de 10 a 14 horas y de 16.30 a 20 horas, organizadas por el Gabinete de Orientación Universitaria, con la colaboración de los vicedecanatos de Investigación y de Extensión Universitaria de la Facultad de Educación y Humanidades de Melilla.

El viernes, 23, por la mañana, en la tercera mesa de especialistas, coincidirán expertos en el ámbito de la educación social, que desempeñan su ejercicio en centros de atención e intervención social en los que se atiende a colectivos de diversa índole.

En la cuarta y última mesa, celebrada en sesión de tarde del viernes, participarán los responsables de los programas de doctorado y másteres vigentes en este centro universitario, con la intención de dar cuenta de las opciones de investigación y formación posgradual con las que puede contar el alumnado, una vez adquirido su título de grado o de diplomatura o licenciatura (estudiantes residuales).

De los dos talleres coordinados que se vienen celebrando ambos días, uno se centra en las instrucciones de búsqueda de autoempleo y el otro en las indicaciones y orientaciones acerca del proceso de consulta de base de datos y fuentes bibliográficas, imprescindibles en la actividad científica del investigador.

El objetivo de esta actividad es despertar en los jóvenes la ilusión sustentada en el hallazgo de itinerarios de diversa índole, que brinden la posibilidad de una incorporación satisfactoria al mercado laboral.

Actividad:

  • Clausura de las II Jornadas de orientación profesional para alumnado de grado y posgrado de la Facultad de Educación y Humanidades de Melilla
  • Días: Viernes, 23 de marzo
  • Horas: 18:30 horas
  • Lugar: Aula de Grados de la Facultad de Educación y Humanidades de Melilla
  • Organizan: Gabinete de Orientación Universitaria, con la colaboración de los vicedecanatos de Investigación y de Extensión Universitaria de la Facultad de Educación y Humanidades de Melilla

Contacto: Profesora Carmen Robles Vílchez. Departamento de Didáctica y Organización Escolar. UGR. Campus de Melilla. Tfn.: 952698776. Correo electrónico: goumelilla@ugr.es

Gabinete de Comunicación – Secretaría General
UNIVERSIDAD DE GRANADA
Acera de San Ildefonso, s/n. 18071. Granada (España)
Tel. 958 243063 – 958 244278
Correo e. gabcomunicacion@ugr.es
Web: http://canal.ugr.es


le Groupe Léa Nature avec sa marque Jardin BiO’ lance une campagne de sensibilisation ‘Pesticides ? Nos enfants n’en ont pas besoin pour bien pousser ! ‘

Dans le cadre de la 7e édition de la Semaine Européenne des Alternatives aux Pesticides qui se tient du 20 au 30 mars 2012, le Groupe Léa Nature avec sa marque Jardin BiO’ lance une campagne de sensibilisation « Pesticides ? Nos enfants n’en ont pas besoin pour bien pousser ! » pour interpeller les candidats à la présidentielle et l’opinion publique.
Une campagne en faveur d’une agriculture respectueuse de l’environnement et une alimentation saine dénuées de pesticides. Léa Nature avec sa marque Jardin BiO’ milite pour le droit et le choix de respirer, boire et manger sans pesticides.

Un enfant est exposé aux pesticides bien en avant sa naissance.
Le placenta contient en moyenne 8 substances polluantes chimiques différentes*. La présence de résidus de pesticides dans l’organisme, à tous les âges de la vie, sont des facteurs de troubles de la santé**.

En dépit des recommandations du Grenelle de l’environnement (qui prévoit de réduire de 50% l’usage des pesticides, de retirer du marché les pesticides les plus dangereux, d’augmenter la Surface Agricole Utile en bio), la France est encore aujourd’hui le premier pays européen utilisateur de pesticides (selon l’association Générations Futures).
Des chiffres éloquents : chaque année, la France utilise pas moins de 65000 tonnes dont 90% concernent l’agriculture.

*« Maternal-child exposure via the placenta to environmental chemical substances with hormonal activity », M. Lopez Espinosa, université de Grenade, Espagne, 2007.
**92 substances actives pesticides sont classées cancérigènes possibles ou probables par l’UE ou l’Agence de Protection de l’Environnement des États-Unis (US-EPA) – IEW/MDRGF 2004.

Ce n’est pas une fatalité, une alternative est possible qui passe par un engagement politique en faveur d’une agriculture respectueuse et d’une alimentation saine dénuée de pesticides. Les candidats à l’élection présidentielle doivent prendre en considération ce problème majeur de santé publique.
Il est urgent d’accentuer l’effort de promotion et de mise en œuvre d’une agriculture de haute qualité environnementale en collaboration avec l’ensemble du monde agricole. Le Groupe Léa Nature et sa marque Jardin BiO’ soutiennent les changements nécessaires pour réconcilier l’homme et sa santé avec l’environnement.

Pour son Président Fondateur, Charles Kloboukoff « Le naturel c’est bien, mais il faut aller au-delà. Il faut non seulement proposer une alternative à l’allopathie, en visant l’innocuité totale, sans surdosage, mais aussi dans l’alimentation et les cosmétiques pas de substances douteuses, d’où notre guerre aux pesticides ou aux OGM, au paraben ou au silicone. Plus encore, il s’agit de prendre en compte tous les aspects environnementaux sur la manière de produire, le choix de machines peu consommatrices d’énergie, la construction écologique du siège de l’entreprise, l’option du puits canadien plutôt que la climatisation dans l’entrepôt, etc ».
Cette campagne en faveur d’une alimentation dénuée de pesticides a reçu l’appui de 4 associations environnementales : Générations Futures, APPEL de la Jeunesse, ARTAC et le CRIIGEN.

A propos de Jardin BiO’
Marque phare du groupe Léa Nature, Jardin BiO’ s’implique pour une alimentation et une planète saines. La marque offre plus de 440 produits bio de qualité, vendus en grandes et moyennes surfaces. Elle représente 60% du chiffre d’affaires de Léa Nature et offre donc la plus forte contribution pour la planète en tant que membre du Club 1%. Jardin BiO’ est particulièrement investie en faveur de la biodiversité. Par trois fois, elle a consacré son budget communication à une cause environnementale (Grenelle de l’Environnement en 2007, vote loi OGM en 2008, élections présidentielles en 2012).

Spécialiste de l’épicerie bio, 100% de ses produits sont labellisés AB, 2 produits sur 3 sont transformés en interne et en France. Pour les ingrédients des pays du sud (thé, épices etc.), Jardin BiO’ s’impose le double label AB et Max Havelaar (lorsque la filière équitable existe). Le choix des fournisseurs de matières premières est fait dans une logique de solidarité et de durabilité, privilégiant les partenariats avec des producteurs locaux et des coopératives.

Jardin BiO’ a entrepris une démarche de relocalisation de ses approvisionnements en France afin de soutenir l’agriculture bio française. Elle affiche sur près d’une centaine de ses produits, le logo « Producteurs Régionaux ». Ce logo signifie que 70% à 100% des ingrédients mis en œuvre dans la fabrication des produits sont d’origine France et que leur fabrication est réalisée en France.
Cette démarche vise à informer le consommateur sur l’origine France du produit mais aussi participe à réduire les « kilomètres alimentaires », met en avant les richesses de nos terroirs et contribue à stimuler l’augmentation des surfaces cultivées en bio. Jardin BiO’ est la seule marque bio en GMS à proposer autant de références garanties origine France et fabriquées en France.

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Terre Majeure

Le Groupe Léa Nature avec sa marque Jardin BiO’ lance une campagne de sensibilisation « Pesticides ? Nos enfants n’en ont pas besoin pour bien pousser ! » pour interpeller les candidats à la présidentielle
Dans le cadre de la 7e édition de la Semaine Européenne des Alternatives aux Pesticides qui se tient du 20 au 30 mars 2012, le Groupe Léa Nature avec sa marque Jardin BiO’ lance une campagne de sensibilisation « Pesticides ? Nos enfants n’en ont pas besoin pour bien pousser ! » pour interpeller les candidats à la présidentielle et l’opinion publique.

Une campagne en faveur d’une agriculture respectueuse de l’environnement et une alimentation saine dénuées de pesticides. Léa Nature avec sa marque Jardin BiO’ milite pour le droit et le choix de respirer, boire et manger sans pesticides.

Un enfant est exposé aux pesticides bien en avant sa naissance.
Le placenta contient en moyenne 8 substances polluantes chimiques différentes*. La présence de résidus de pesticides dans l’organisme, à tous les âges de la vie, sont des facteurs de troubles de la santé**.

En dépit des recommandations du Grenelle de l’environnement (qui prévoit de réduire de 50% l’usage des pesticides, de retirer du marché les pesticides les plus dangereux, d’augmenter la Surface Agricole Utile en bio), la France est encore aujourd’hui le premier pays européen utilisateur de pesticides (selon l’association Générations Futures).
Des chiffres éloquents : chaque année, la France utilise pas moins de 65000 tonnes dont 90% concernent l’agriculture.

*« Maternal-child exposure via the placenta to environmental chemical substances with hormonal activity », M. Lopez Espinosa, université de Grenade, Espagne, 2007.
**92 substances actives pesticides sont classées cancérigènes possibles ou probables par l’UE ou l’Agence de Protection de l’Environnement des États-Unis (US-EPA) – IEW/MDRGF 2004.

Ce n’est pas une fatalité, une alternative est possible qui passe par un engagement politique en faveur d’une agriculture respectueuse et d’une alimentation saine dénuée de pesticides. Les candidats à l’élection présidentielle doivent prendre en considération ce problème majeur de santé publique.

Il est urgent d’accentuer l’effort de promotion et de mise en œuvre d’une agriculture de haute qualité environnementale en collaboration avec l’ensemble du monde agricole. Le Groupe Léa Nature et sa marque Jardin BiO’ soutiennent les changements nécessaires pour réconcilier l’homme et sa santé avec l’environnement.

Pour son Président Fondateur, Charles Kloboukoff « Le naturel c’est bien, mais il faut aller au-delà. Il faut non seulement proposer une alternative à l’allopathie, en visant l’innocuité totale, sans surdosage, mais aussi dans l’alimentation et les cosmétiques pas de substances douteuses, d’où notre guerre aux pesticides ou aux OGM, au paraben ou au silicone. Plus encore, il s’agit de prendre en compte tous les aspects environnementaux sur la manière de produire, le choix de machines peu consommatrices d’énergie, la construction écologique du siège de l’entreprise, l’option du puits canadien plutôt que la climatisation dans l’entrepôt, etc ».
Cette campagne en faveur d’une alimentation dénuée de pesticides a reçu l’appui de 4 associations environnementales : Générations Futures, APPEL de la Jeunesse, ARTAC et le CRIIGEN.

A propos de Jardin BiO’

Marque phare du groupe Léa Nature, Jardin BiO’ s’implique pour une alimentation et une planète saines. La marque offre plus de 440 produits bio de qualité, vendus en grandes et moyennes surfaces. Elle représente 60% du chiffre d’affaires de Léa Nature et offre donc la plus forte contribution pour la planète en tant que membre du Club 1%. Jardin BiO’ est particulièrement investie en faveur de la biodiversité. Par trois fois, elle a consacré son budget communication à une cause environnementale (Grenelle de l’Environnement en 2007, vote loi OGM en 2008, élections présidentielles en 2012).

Spécialiste de l’épicerie bio, 100% de ses produits sont labellisés AB, 2 produits sur 3 sont transformés en interne et en France. Pour les ingrédients des pays du sud (thé, épices etc.), Jardin BiO’ s’impose le double label AB et Max Havelaar (lorsque la filière équitable existe). Le choix des fournisseurs de matières premières est fait dans une logique de solidarité et de durabilité, privilégiant les partenariats avec des producteurs locaux et des coopératives.

Jardin BiO’ a entrepris une démarche de relocalisation de ses approvisionnements en France afin de soutenir l’agriculture bio française. Elle affiche sur près d’une centaine de ses produits, le logo « Producteurs Régionaux ». Ce logo signifie que 70% à 100% des ingrédients mis en œuvre dans la fabrication des produits sont d’origine France et que leur fabrication est réalisée en France.

Cette démarche vise à informer le consommateur sur l’origine France du produit mais aussi participe à réduire les « kilomètres alimentaires », met en avant les richesses de nos terroirs et contribue à stimuler l’augmentation des surfaces cultivées en bio. Jardin BiO’ est la seule marque bio en GMS à proposer autant de références garanties origine France et fabriquées en France.

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Gravidanza, Il salmone fa bene alla mamma e al bambino

Due porzioni di salmone a settimana fanno bene sia alla mamma in gravidanza che al bebè che porta in grembo. Il salmone è un pesce ricco di acidi grassi essenziali come gli omega-3 ed è proprio questo il motivo principale per cui si ritiene che faccia bene. A dirlo sono i ricercatori spagnoli dell’Università di Granada che hanno condotto uno studio promosso nell’ambito di un progetto finanziato dal VI Programma quadro dell’UE e chiamato «The Salmon in Pregnancy Study (SiPS)». Gli scienziati hanno coinvolto un campione di donne in gravidanza, poi suddivise in due gruppi. Tutte quante erano state selezionate grazie alla loro scarsa assunzione di pesce con la dieta. Le appartenenti al primo gruppo sono state invitate a mangiare due porzioni di salmone a settimana, a partire dalla ventesima settimana di gravidanza e fino al termine. Le donne incinte del secondo gruppo, quello di controllo, hanno continuato a seguire la propria abituale dieta per lo stesso periodo di tempo delle prime. Per verificare gli effetti delle dieta integrata del salmone i ricercatori hanno prelevato a tutte le partecipanti dei campioni di sangue e urina. L’ultimo prelievo è stato eseguito alla trentottesima settimana e al parto. Le analisi hanno permesso di scoprire che la concentrazione di acidi grassi omega-3 migliorava quando le donne incinte che assumevano poco pesce passavano a una dieta che includeva le due porzioni settimanali. Non solo i livelli di omega-3 aumentavano nella donna ma anche nel bambino che raggiungeva la soglia minima consigliata. Insomma una dieta ricca di adeguati livelli di omega-3 migliora le difese antiossidanti sia nella madre che nel bambino. Apporta inoltre elementi come selenio e retinolo e non altera i livelli di stress ossidativo, la risposta infiammatoria e l’omeostasi vascolare.
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Salmone: due porzioni a settimana per la madre e per il feto

Il salmone, ricco di nutrienti, buoni aiuta la madre ed il feto che essa porta in grembo. La dose ottimale è di due porzioni a settimana.

Questo il messaggio di una ricerca dell’Università di Granada, diretta dal dottor Garcia-Rodriguez ed inserito nel programma europeo detto «The Salmon in Pregnancy Study (SiPS)».

Gli scienziati iberici hanno selezionato alcune donne in gravidanza, tutte scarse consumatrici di pesce, dividendole in due gruppi. Il primo gruppo ha consumato due porzione di salmone a settimana, dalle ventesima settimana di gravidanza fino al parto. Le donne del secondo gruppo hanno continuato con la loro dieta povera di pesce, con gli stessi tempi delle prime.

L’analisi finale di sangue ed urine ha mostrato come le donne del primo gruppo ed i loro figli avessero livelli maggiori di omega-3 nel sangue, con conseguente riduzione dell’ossidazione e del danno ossidativo nel DNA. Secondo il team di Granada, perciò, due porzioni di salmone aiutano sia la madre che il futuro bambino riducendo i danni dello stress ossidativo.

Tuttavia, è bene chiarire come il pesce dello studio provenisse da un allevamento ittico sottoposto a regime alimentare controllato, avente come risultato finale alti livelli di acidi grassi omega-3. Invece, il pesce acquistato comunemente può essere inquinato da alti livelli di mercurio, pericoloso sia per la donna che per il figlio.

FONTE:
García-Rodríguez CE, Mesa MD, Olza J, Vlachava M, Kremmyda LS, Diaper ND, Noakes PS, Miles EA, Ramirez-Tortosa MC, Liaset B, Frøyland L, Rossary A, Farges MC, Vasson MP, Aguilera CM, Helmersson-Karlqvist J, Godfrey KM, Calder PC, Basu S, Gil A. Does consumption of two portions of salmon per week enhance the antioxidant defense system in pregnant women? Antioxid Redox Signal 2012, in press.

García-Rodríguez CE, Helmersson-Karlqvist J, Mesa MD, Miles EA, Noakes PS, Vlachava M, Kremmyda LS, Diaper ND, Godfrey KM, Calder PC, Gil A, Basu S. Does increased intake of salmon increase markers of oxidative stress in pregnant women? The Salmon in Pregnancy Study. Antioxid Redox Signal 2011; 15(11): 2819-2923.

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Gravidanza: il salmone fa bene a mamma e bebé

Due porzioni a settimana di salmone per ridurre i sintomi di stress ossidativo nella futura mamma e nel bebè che porta in grembo. La conferma sulle doti inimitabili di questo tipo di pesce arriva da una ricerca dell’Università di Granada, diretta dal dottor Garcia-Rodriguez ed inserito nel programma europeo detto «The Salmon in Pregnancy Study (SiPS)».
I ricercatori hanno monitorato le gestanti rilevando, attraverso l’analisi finale di sangue ed urine, come le donne che assumevano salmone avessero livelli maggiori di omega-3 nel sangue, con conseguente riduzione dell’ossidazione e del danno ossidativo nel DNA.
Tuttavia, è fondamentale precisare che il pesce consumato dalle future mamme monitorate nello studio spagnolo provenisse da un allevamento ittico sottoposto a regime alimentare controllato, avente come risultato finale alti livelli di acidi grassi omega-3, mentre il salmone acquistato comunemente potrebbe essere inquinato da alti livelli di mercurio, pericolosi tanto per la gestante quanto per il feto.
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Melilla Hoy

Pág. 16: II Jornadas de Orientación Profesionales en la Facultad de Humanidades del Campus de Melilla

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El Telegrama de Melilla

Contraportada: II Jornadas de orientación profesional en la Facultad de Humanidades del  Campus

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El Faro de Melilla

Pág. 22: ‘Estadística y probabilidad con ayuda de Fathom’, curso en la UGR

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