El Mundo

Supl. G/ U/ Campus. Portada: Un agujero de mil millones de euros; Los presupuestos universitarios caen en picado por la crisis

Págs. 2-3: Más tasas y menos despilfarro; La asfixia económica obliga a las universidades españolas a reinventarse

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Ideal

Pág. 12: Las novatadas «están prohibidas», Antonio Almendros, coordinador de los colegios mayores y residencias universitarias de la UGR

Las jornadas de recepción de estudiantes vuelven a los paseillos

Pág. 16: Desde ayer y para siempre

Pág. 26: Granada, en el primer nivel de las artes

Pág. 16 Supl. Innovación y Talento: La Universidad, ante los retos

Pág. 51: Rodríguez Acosta, en abstracto

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Granada Hoy

Pág. 13: Las novatadas de San Lucas se trasladan al botellódromo

Pág. 17: Pedro Cerezo, Honoris Causa por la Universidad de Córdoba

La contaminación ambiental determina el peso de los fetos

Pág. 19: Recepción de estudiantes

Pág. 20: ‘Flamenco en Letras’, en la Facultad de Filosofía

Celia del Moral habla sobre la Madraza de Yusuf I

Antonio Carvajal presenta su libro ‘Un girasol flotante’

Pág. 9 Deportes: La Diputación de Granada convoca un curso de Rugby Educativo para noviembre

Pág. 43: La UGR dedica una exposición al «gran embajador del arte granadino»

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L’OBÉSITÉ, facteur de risque de cancer du sein précoce

Ces chercheurs de l’Université de Grenade démontrent que les femmes en surpoids ou atteintes d’obésité morbide ont plus de risque de développer un cancer du sein, à un âge précoce. C’est la  principale conclusion de cette étude publiée dans la revue Nutrición Hospitalaria qui associe également puberté précoce à risque de cancer précoce.

Cette étude a porté sur 524 femmes atteintes de cancer du sein, suivies à l’hôpital universitaire de de Grenade de janvier 2009 à septembre 2010. Les chercheurs ont évalué l’état nutritionnel de ces patientes (poids normal, obésité et obésité morbide) et leur âge au moment du diagnostic de cancer. Les femmes ayant des antécédents familiaux de cancer du sein ont été suivies dans un groupe séparé de l’étude.

Obésité et cancer: Les chercheurs constatent que l’obésité chez les femmes est associée à un diagnostic de cancer du sein à un âge plus jeune. Ce résultat contraste avec les résultats obtenus dans les études précédentes qui démontraient, pour certaines, que les femmes avec IMC plus élevé avaient moins de risques de développer un cancer du sein.

Puberté précoce et cancer précoce: Ils constatent aussi que les femmes qui ont eu leur menstruation à un âge très précoce, soit à l’âge de 9 à 10 ans, développent un cancer du sein à un âge plus jeune. Le cancer du sein à un âge précoce est donc associé à des règles précoces. Et ce facteur vient s’ajouter à l’obésité morbide dans le risque de cancer précoce.

Bien que antécédents familiaux soient également des facteurs très pertinents (jusqu’à 18% des cancers du sein chez les femmes obèses présentaient un facteur génétique), cette étude montre que l’obésité en particulier morbide, est un des facteurs les plus pertinents dans le développement précoce du cancer du sein.

Une étude de fin 2010, publiée dans la revue Nature Genetics avait déjà montré que l’apparition des premières règles chez les filles, un marqueur largement utilisé de maturation pubertaire, dépend fortement de l’état nutritionnel et est prédicteur de nombreux risques plus tard dans la vie, dont le risque de cancer du sein, cancer de l’endomètre, obésité, diabète de type 2 et de maladies cardiovasculaires.

Source: Spanish journal Nutrición Hospitalaria et University of Granada (2011, October 17). Obese women have higher risk of suffering breast cancer, Spanish study finds
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Les femmes obèses risquent plus de souffrir d’un cancer du sein

Des scientifiques de l’Université de Grenade ont démontré que les femmes avec surpoids, surtout celles qui souffrent d’obésité morbide, développent cette maladie prématurément. À cette étude ont participé 524 femmes avec cancer du sein. Le travail a démontré que les femmes avec un cancer diagnostiqué avant l’âge habituel eurent leur première menstruation très précocement, entre 9-10 ans.Les femmes obèses ont plus de probabilités de souffrir un cancer du sein, et développent cette maladie prématurément. De plus, la possibilité de souffrir un cancer du sein est beaucoup plus élevée s’il s’agit de patientes présentant une obésité morbide.

C’est une des principales conclusions d’un article récemment publié dans la revue Nutrición Hospitalaria par des scientifiques du groupe de recherche CTS 367 de l’Université de Grenade, dirigé par la professeure du département d’Infirmerie, Mme María José Aguilar Cordero. Pour mener à bien ce travail, les chercheurs ont utilisé un échantillon de 524 patientes diagnostiquées et traitées d’un cancer du sein à l’hôpital San Cecilio de Grenade entre janvier 2009 et septembre 2010. Ils ont analysé le rapport entre l’état nutritionnel des femmes (poids normal, obésité et obésité morbide) et l’âge où leur fut diagnostiqué le cancer du sein, tout en tenant compte des antécédents familiaux de cette maladie.

Leur analyse a démontré que l’obésité chez les femmes s’associe à un plus jeune âge dans le diagnostic du cancer du sein, ce qui contredit ceux obtenus dans d’autres études antérieures, qui signalaient que les personnes présentant une masse corporelle élevée couraient moins de risques de souffrir un cancer du sein.

L’âge de la première menstruation

Les scientifiques de l’UGR affirment que, d’après ces résultats, les femmes présentant un cancer précoce furent également précoces dans leur première menstruation (ménarche), entre 9-10 ans. Ainsi, l’âge de la ménarche constitue un facteur déterminant dans celui de l’apparition et du diagnostic du cancer du sein, d’autant plus chez les femmes présentant une obésité morbide.

Par conséquent, malgré l’indubitable importance des antécédents familiaux avec cancer (18% des femmes obèses en avaient) et donc du composant génétique de cette néoplasie, l’étude de l’UGR démontre que l’obésité et, chez celle-ci, ses états les plus sévères ou morbides, est le facteur le plus impliqué dans le développement prématuré de ce genre de tumeurs.
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Les adolescents dormeurs sont meilleurs en mathématiques

C’est ce que confirme un article récemment publié dans la revue International Journal of Clinical and Health Psychology par des chercheurs de l’Université de Grenade et la Junte andalouse. Ce travail a démontré que la moyenne académique est meilleure chez les jeunes présentant un bon niveau de sommeil (entre 6 et 9 heures par nuit), spécialement en ce qui concerne l’Éducation physique. Ses auteurs ont analysé un échantillonnage de 592 étudiants adolescents entre 12 et 19 ans.Les adolescents qui dorment mieux obtiennent de meilleures notes en Mathématiques, et ceux qui dorment entre 6 et 9 heures (c’est-à-dire présentant une bonne moyenne de sommeil) obtiennent significativement de meilleures qualifications que ceux qui dorment moins (moins de 6 heures par nuit). Cette différence s’accentue en ce qui concerne l’Éducation physique.

C’est ce qui s’ensuit d’un article publié dans le numéro 1/2011 de la revue International Journal of Clinical and Health Psychology par M. Raúl Quevedo-Blasco, professeur du département de Personnalité, Évaluation et Traitement psychologique de l’Université de Grenade, et M. Víctor J. Quevedo-Blasco, professeur d’enseignement secondaire de l’IES Flavio Irnitano de la Junte andalouse (Séville).

L’objectif de ce travail a été de vérifier comment diverses variables en rapport avec le sommeil peuvent influer sur le rendement académique établi à partir de la moyenne des notes (par matières communes et au niveau global) d’un groupe d’étudiants de l’enseignement secondaire. Pour ce faire, les auteurs ont analysé un échantillonnage de 592 étudiants adolescents entre 12 et 19 ans d’un centre situé dans une zone rurale de la Sierra Sur, dans la province de Séville, dont 231 garçons (39%) et 361 filles (61%) provenant dans leur ensemble d’un niveau socio-économique moyen.

Deux questionnaires différents

Les chercheurs ont appliqué aux adolescents deux questionnaires différents afin d’établir la qualité du sommeil et le niveau de somnolence ou de tendance à s’endormir dans diverses situations. Ils ont vérifié que les adolescents qui dorment plus d’heures obtiennent de meilleures qualifications en Mathématiques et que, en ce qui concerne la moyenne de sommeil, les différences sont plus significatives en Éducation physique que pour le reste des matières. Ceci est probablement dû, d’après les chercheurs, aux caractéristiques intrinsèques de ces matières.

Les scientifiques ont observé que les heures de coucher et de lever n’influent pas significativement sur les résultats académiques. L’information obtenue sur la latence du sommeil est également intéressante (le temps écoulé depuis que le sujet est alité dans l’intention de s’endormir jusqu’à la conciliation du sommeil). Les scientifiques ont démontré qu’il existe une différence significative chez les élèves présentant une très bonne latence de sommeil (moins de 15 minutes), vu qu’ils obtiennent également de meilleurs résultats académiques.

Comme conclusion, les chercheurs constatent dans l’échantillon étudié l’influence du sommeil dans la variable «rendement académique», vu que les adolescents présentant un niveau plus élevé de somnolence obtiennent des résultats académiques moins satisfaisants.
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Los adolescentes que duermen más sacan mejores notas en matemáticas

  • Así lo confirma un artículo recientemente publicado en la revista “International Journal of Clinical and Health Psychology” por investigadores de la Universidad de Granada y la Junta de Andalucía
  • Este trabajo ha demostrado que la media académica es mejor en aquellos jóvenes que tienen un patrón de sueño medio (esto es, que duermen entre 6 y 9 horas), especialmente en la asignatura de Educación Física
  • Sus autores analizaron una muestra formada por 592 estudiantes adolescentes de Enseñanza Secundaria de entre 12 y 19 años.

Los adolescentes que duermen más obtienen mejores calificaciones en la asignatura de “Matemáticas”, mientras que aquellos que duermen entre 6 y 9 horas (esto es, presentan un patrón de sueño medio) obtienen significativamente mejores calificaciones en comparación con los que presentan un patrón de sueño corto (6 horas o menos por noche) o largo (más de 9 horas por noche). Además, esta diferencia es más destacada en la asignatura de “Educación Física”.

Así se desprende de un artículo publicado en el número 1/2011 de la revista “International Journal of Clinical and Health Psychology” por Raúl Quevedo-Blasco, profesor del Departamento de Personalidad, Evaluación y Tratamiento Psicológico de la Universidad de Granada y Víctor J. Quevedo-Blasco, profesor de Enseñanza Secundaria del I.E.S. Flavio Irnitano de la Junta de Andalucía (Sevilla).

El objetivo de este trabajo fue verificar cómo diversas variables relacionadas con el sueño pueden influir sobre el rendimiento académico medido a través de la nota media (por asignaturas comunes y a nivel global) de un grupo de estudiantes de Educación Secundaria. Para ello, sus autores analizaron una muestra formada por 592 estudiantes adolescentes de entre 12 y 19 años de un centro de Enseñanza Secundaria ubicado en una zona rural de la comarca de la Sierra Sur de la provincia de Sevilla. De ellos, 231 (el 39%) eran hombres y 361 (61%) mujeres. Todos ellos pertenecen a un nivel socio-económico medio.

Dos cuestionarios distintos

Los investigadores aplicaron a los adolescentes dos cuestionarios distintos, para medir la calidad del sueño y el nivel de somnolencia o tendencia a quedarse dormido en diversas situaciones. Comprobaron que los adolescentes que duermen más horas obtienen mejores calificaciones en la asignatura de “Matemáticas” y que, dentro de los patrones de sueño medio, las diferencias son más significativas en “Educación Física” en comparación con el resto de asignaturas. Esto puede deberse a las características intrínsecas de estas materias, ya que las dos poseen una serie de rasgos que las hacen más susceptibles a la influencia de los patrones del sueño, según especifican los autores del estudio.

Los científicos observaron que las horas de acostarse y de levantarse no influyen significativamente sobre los resultados académicos, a excepción de aquellos sujetos que se acuestan más temprano y se levantan más tarde, que muestran un empeoramiento significativo sobre los resultados académicos en relación al resto.

También es interesante la información obtenida en relación a la latencia de sueño (el tiempo que transcurre desde que el sujeto está en la cama acostado con intención de dormirse hasta que concilia el sueño). Los científicos comprobaron que existe una diferencia significativa en aquellos alumnos que tienen una latencia de sueño muy buena (menor a 15 minutos), ya que también obtienen mejores resultados académicos.

Para concluir de forma general, los autores constatan en la muestra objeto de estudio la influencia del sueño en la variable “rendimiento académico”, ya que los adolescentes con mayor grado de somnolencia diurna obtienen peores puntuaciones.

Contacto: Raúl Quevedo-Blasco. Departamento de Personalidad, Evaluación y Tratamiento Psicológico de la Universidad de Granada. Teléfono: 958 249 559. Correo electrónico: rquevedo@ugr.es


El arquitecto holandés Kees Kaan en la inauguración del curso de la E. T. S. de Arquitectura

  • Presidida por el rector, se celebra el miércoles, día 19 de octubre, a las 10 h. en el Parque de las Ciencias

El próximo miércoles día 19 de octubre a las 10 h, se celebrará la inauguración del curso de la Escuela Técnica Superior de Arquitectura de la Universidad de Granada, con un acto presidido por el rector Francisco González Lodeiro, que se celebrará en el Parque de las Ciencias.

La Lección Inaugural del presente curso académico será impartida por el arquitecto holandés Kees Kaan.

CONVOCATORIA:

  • DÍA: miércoles 19 de octubre.
  • HORA: 10 h.
  • LUGAR: Parque de las Ciencias.

Jornadas de Sanidad Militar en la Facultad de Medicina

  • Con el título “La sanidad en las operaciones militares: telemedicina y evacuación sanitaria”

Los días 19 y 20 de octubre a partir de las 16,00 h se celebrarán en el Aula Magna las II Jornadas de Sanidad Militar que están organizadas por la Real Academia de Medicina y Cirugía de Andalucía Oriental, MADOC y Facultad de Medicina.

En estas jornadas se tratarán aquellos temas relacionados con la sanidad en el ámbito de las Fuerzas Armadas en todos sus niveles, desde la primera línea de acción de nuestros soldados hasta el último nivel hospitalario, así como el papel que están jugando los avances técnicos en telemedicina para ayudar en la función como médicos y enfermeros al soldado en el momento de su caída en primera línea de combate hasta que se organiza y ejecuta su traslado bien a un hospital en el propio terreno o a territorio nacional.

Intervienen ponentes de la Dirección General del Ejército de Tierra así como médicos y enfermeros militares que han actuado recientemente en aquellos conflictos en los que está presente el Ejército Español.

A las 16:00 del día 19 tendrá lugar la inauguración de las jornadas con la presentación de una exposición fotográfica con el título “la sanidad de las Fuerzas Armadas”.

Contacto: Carlos J. Ruiz Cosano. Vicedecano de Extensión Universitaria y P.T.S. Facultad de Medicina. Universidad de Granada. 958243504. Correo elec: cruiz@ugr.es


La UGR organiza un curso de iniciación al flamenco, con créditos para grados, licenciaturas y diplomaturas

  • La segunda edición de “Los Grandes Temas del Flamenco (Iniciación al arte andaluz más universal)”, se desarrollará los días 4, 11 y 18 de noviembre de 2011, de 17 a 21 horas

La Universidad de Granada propone un curso de iniciación al flamenco, con créditos para grados, licenciaturas y diplomaturas. Se trata de la segunda edición de “Los Grandes Temas del Flamenco (Iniciación al arte andaluz más universal)”, que se desarrollará los días 4, 11 y 18 de noviembre de 2011, de 17 a 21 horas.

Los créditos se concederán a todos los grados de la UGR (0,5 ECTS), así como a las licenciaturas y diplomaturas de Facultades de Farmacia y Filosofía y Letras (1,5 LRU).

Con un coste de matrícula de 30 euros, el curso contará con nueve conferencias y tres recitales-espectáculos (cante, baile y toque), y será impartido por profesionales de la docencia del flamenco y artistas consagrados.

Organizado por el Grupo de Estudios Flamencos de la Universidad de Granada, Vicedecanato de Actividades Culturales de la Facultad de Farmacia, y Fundación General Empresa Universidad de Granada, con la colaboración de la Facultad de Filosofía y Letras, Flamenco y Universidad (Junta de Andalucía), e Instituto Andaluz de Flamenco (Junta de Andalucía), la matrícula puede formalizarse en la Fundación General Empresa Universidad de Granada (Plaza de San Isidro, 5, frente a Facultad de Medicina). Telf: 958246120. Web: http://www.fundacionugrempresa.es

Correo electrónico: cursos@fundacionugrempresa.es


Les adolescents qui dorment obtiennent de meilleures notes en mathématiques

  • C’est ce que confirme un article récemment publié dans la revue « International Journal of Clinical and Health Psychology » par des chercheurs de l’Université de Grenade et la Junte andalouse. Ce travail a démontré que la moyenne académique est meilleure chez les jeunes présentant un bon niveau de sommeil (entre 6 et neuf heures par nuit), spécialement en ce qui concerne l’Éducation physique. Ses auteurs ont analysé un échantillonnage de 592 étudiants adolescents entre 12 et 19 ans.

Les adolescents qui dorment mieux obtiennent de meilleures notes en Mathématiques, et ceux qui dorment entre 6 et 9 heures (c’est-à-dire présentant une bonne moyenne de sommeil) obtiennent significativement de meilleures qualifications que ceux qui dorment moins (moins de six heures par nuit). Cette différence s’accentue en ce qui concerne l’Éducation physique.

C’est ce qui s’ensuit d’un article publié dans le numéro 1/2011 de la revue « International Journal of Clinical and Health Psychology » par M. Raúl Quevedo-Blasco, professeur du département de Personnalité, Évaluation et Traitement psychologique de l’Université de Grenade, et M. Víctor J. Quevedo-Blasco, professeur d’enseignement secondaire de l’IES Flavio Irnitano de la Junte andalouse (Séville).

L’objectif de ce travail a été de vérifier comment diverses variables en rapport avec le sommeil peuvent influer sur le rendement académique établi à partir de la moyenne des notes (par matières communes et au niveau global) d’un groupe d’étudiants de l’enseignement secondaire. Pour ce faire, les auteurs ont analysé un échantillonnage de 592 étudiants adolescents entre 12 et 19 ans d’un centre situé dans une zone rurale de la Sierra Sur, dans la province de Séville, dont 231 garçons (39%) et 361 filles (61%) provenant dans leur ensemble d’un niveau socio-économique moyen.

Deux questionnaires différents

Les chercheurs ont appliqué aux adolescents deux questionnaires différents afin d’établir la qualité du sommeil et le niveau de somnolence ou de tendance à s’endormir dans diverses situations. Ils ont vérifié que les adolescents qui dorment plus d’heures obtiennent de meilleures qualifications en Mathématiques et que, en ce qui concerne la moyenne de sommeil, les différences sont plus significatives en Éducation physique que pour le reste des matières. Ceci est probablement dû, d’après les chercheurs, aux caractéristiques intrinsèques de ces matières, vu que les deux en possèdent une série qui les rend plus susceptibles à l’influence des patrons de sommeil.

Les scientifiques ont observé que les heures de coucher et de lever n’influent pas significativement sur les résultats académiques, à l’exception des sujets qui se couchent plus tôt et se lèvent plus tard, dont les résultats académiques montrent un empirement significatif para rapport au reste.

L’information obtenue sur la latence du sommeil est également intéressante (le temps écoulé depuis que le sujet est alité dans l’intention de s’endormir jusqu’à la conciliation du sommeil). Les scientifiques ont démontré qu’il existe une différence significative chez les élèves présentant une très bonne latence de sommeil (moins de 15 minutes), vu qu’ils obtiennent également de meilleurs résultats académiques.

Comme conclusion, les chercheurs constatent dans l’échantillon étudié l’influence du sommeil dans la variable « rendement académique », vu que les adolescents présentant un niveau plus élevé de somnolence obtiennent des résultats académiques moins satisfaisants.

Contact : Raúl Quevedo-Blasco. Département de Personnalité, Évaluation et Traitement Psychologique de l’Université de Grenade. Tél. : +34 958 249559 ; courriel : rquevedo@ugr.es


Adolescents Sleeping More Hours Score Higher in Maths

  • Such is the conclusion recently drawn in a study published in the journal International Journal of Clinical and Health Psychology by University of Granada and Junta de Andalucia researchers. This study proved that teenagers having an average sleep pattern –six to nine hours of slee– score higher, specially in physical education

  • The authors analyzed a sample of 592 students at secondary school aged 12 to 19

Adolescents sleeping more hours score higher on mathematics, while those who sleep between six and ten hours (ie. an average sleep pattern) got significantly better scores, as compared to those with a short (6 hours or less per night) or long (more than 9 hours per night) pattern sleep. Moreover, this difference is more prominent in physical education.

This was the conclusion drawn in a study published in the January 2001 issue of the journal International Journal of Clinical and Health Psychology by Raúl Quevedo-Blasco, a professor at the Department of Personality Evaluation and Psychological Treatment, at the University of Granada, and by Víctor J. Quevedo-Blasco, a secondary school teacher at the I.E.S Flavio Irnitano in Seville, Spain.

The aim of this study was to analyze how sleep patterns can affect students’ academic performance. Their academic performance was measured in terms of mean grade –in common subjects and at global level– of a group of Secondary School students. To such purpose, the authors analyzed a sample of 592 students aged 12 to 19 years from a Secondary School center in a rural region in Seville. From these middle-class 592 students, 231 (39%) were men and 361 (61%) were women.

Two Different Questionnaires

The students answered two different questionnaires aimed at measuring the quality of sleep, level of sleepiness or tendency to get asleep of students in different situations. Authors found that adolescents sleeping more hours get higher marks in mathematics and that –within average sleep patterns- differences are more significative in physical education, as compared with the rest of subjects. This can be due to the inherent characteristics of these subjects, as these two subjects involve skills that are more influenced by sleep patterns, as the study authors explain.

The researchers observed that bedtime and wake time do not significantly influence academic outcomes, except for those individuals who go to bed earlier and get up later, which showed a significant worsening on academic achievement, as compared with their classmates.

The researchers also found significant information in connection with sleep latency (the time elapsed since the subject is lying in bed intending to sleep until they fall asleep). Scientists found that those who have a good sleep latency (less than 15 minutes) get significantly better marks than the rest.

As a general conclusion, the authors found that sleep patterns influence academic performance, as those adolescents with less day sleepiness were found to get lower marks than their classmates.

Contact: Raúl Quevedo-Blasco. Department of Personality and Psychological Evaluation and Treatment, University of Granada. Phone: +34 958 249 559. E-mail address: rquevedo@ugr.es