El rector presenta los proyectos Campus de seis nuevas empresas de base tecnológica

  • Campus es un programa diseñado por la Junta de Andalucía para aplicar los resultados de la investigación de las universidades andaluzas, creando empresas de base tecnológica

El rector, Francisco González Lodeiro, presentará mañana, miércoles, 1 de diciembre, a las 11 h. en el Salón Rojo del Hospital Real, los seis nuevos proyectos Campus que permitirán la creación de seis nuevas empresas de base tecnológica surgidas de la Universidad de Granada. En el acto se contará con la participación del delegado de Economía, Innovación y Ciencia, Francisco Cuenca; el director financiero de Invercaria, Antonio Nieto Garrido; la gerente de la Agencia de Innovación en Granada, Rosa Mª Cortés Cortés, y representantes de las distintas empresas.

Campus es un programa de la Junta de Andalucía que incentiva proyectos empresariales surgidos desde grupos de investigación. El objetivo del programa es crear sociedades participadas principalmente por los propios investigadores y universidades, que desarrollen proyectos que supongan un avance tecnológico en la obtención de nuevos y mejores productos o procesos. De esta forma, Campus logra que los resultados de la investigación se transformen en una realidad empresarial, creando empresas de base tecnológica.

Las seis nuevas empresas de base tecnológica surgidas de la Universidad de Granada son: Soluciones Ergonómicas Integrales, S.L.; Naturascope, S.L.; Vitalis Salud Granada, S.L.; Egestia Sistemas Inteligentes de Gestión Online S.L.; Micelios del Sur, S.L.; y Virtual Solutions & Artificial Intelligence, S.L.

CONVOCATORIA:

  • Día: miércoles, 1 de diciembre.
  • Hora: 11 h.
  • Lugar: Salón Rojo, Hospital Real.

Les licenciés et diplômés craignent moins la mort que les personnes possédant un niveau d’études plus bas

Une recherche réalisée à l’UGR révèle aussi que les femmes craignent plus la mort que les hommes, et que la perception qu’ont les parents de la mort influe directement sur celle de leurs enfants. Il est nécessaire qu’un changement de mentalité se produise chez les parents et les professeurs en ce qui concerne ce sujet, crucial pour la santé des enfants et la configuration de leur personnalité

Les personnes ayant une formation universitaire (licenciés et diplômés) ont moins peur de la mort que celles possédant un niveau moindre d’études. En outre, les femmes craignent plus la mort que les hommes, ce qui influe directement sur la perception de celle-ci de la part de leurs enfants, car 76% des enfants qui manifestent avoir peur de la mort l’ont parce que leur mère évite d’en parler, craignent plus une mort prématurée et présentent de pires stratégies d’affrontement de la mort.

Ce sont quelques-unes parmi les conclusions d’une recherche intitulée « Éducation pour la mort : Étude sur la construction du concept de mort chez les enfants entre 8 et 12 ans dans le domaine scolaire », réalisé au Département de Personnalité, Évaluation et Traitement psychologique de l’Université de Grenade par Mme Claudia Fabiana Siracusa, et dirigé par les professeurs Francisco Cruz Quintana et Mª Nieves Pérez Marfil.

Pour mener à bien cette recherche, ses auteurs ont travaillé avec un échantillon de 288 enfants scolarisés entre 8 et 12 ans, avec leurs pères, mères et/ou tuteurs et professeurs. Les professeurs de l’UGR ont analysé l’influence, dans la compréhension de l’idée de la mort que se font les enfants, des attitudes, craintes, croyances et stratégies d’affrontement envers elle de leurs parents ou des adultes les plus proches.

Changement de mentalité

Ce travail a mis en évidence la nécessité d’un changement de mentalité chez les familles et les professeurs par rapport au sujet de la mort et du processus de fin de vie, vu qu’il est crucial pour la santé des enfants et la configuration de leur personnalité. De cette étude découle également beaucoup d’autres données intéressantes, comme le fait que tous les garçons et filles ont eu (à des niveaux différents) des expériences personnelles en rapport avec la mort, croient en la vie après la mort et en font un sujet de préoccupation. Il s’avère que les filles croient plus que les garçons en la vie post-mortem.

Quant aux professeurs, 80% affirment que le sujet de la mort n’est pas prévu dans leur curriculum scolaire. 60% reconnaissent en avoir parlé, à un moment donné de leur activité académique, avec leurs élèves, dans la plupart des cas à l’occasion de la mort d’un parent de l’élève.

En vue de ces résultats, les scientifiques de l’UGR considèrent « fondamental » de mener à bien une éducation pour la mort « comme une façon de valoriser la vie, pour en finir avec l’idée fausse, irréelle, que transmettent de la mort les médias, et qui fournisse à l’enfant des stratégies et des ressources pour affronter avec maturité les pertes qui vont inévitablement se présenter dans sa vie sans qu’elles s’accompagnent de conséquences légères ou graves pour sa santé psychologique ou physique ».

Ce travail démontre que le niveau d’éducation est un facteur de protection face aux attitudes négatives comme la peur ou l’évitement d’en parler. D’après les professeurs ayant participé au travail, « actuellement, la mort n’est pas abordée dans l’éducation de façon formelle et systématisée ». Les résultats obtenus par ce travail indiquent que « ce serait une façon de pourvoir les enfants d’une appréhension plus sûre et intense de la vie, et cela éviterait nombre des difficultés qui se présentent dans le résolution des processus de deuil qu’ils devront affronter un fois adultes. »

Une partie des résultats de ce travail sera publiée prochainement sous format de livre.

Contact:

Claudia Fabiana Siracusa. Département de Personnalité, Évaluation y Traitement Psychologique de l’Université de Grenade. Mobile: 661 76 68 00. Courriel: fabianasiracusa@gmail.com

Mª Nieves Pérez Marfil. Département de Personnalité, Évaluation y Traitement Psychologique de l’Université de Grenade. Tél.: 958 24 37 39. Courriel: nperez@ugr.es


People with a university degree fear death less than those at a lower literacy level

A research -conducted at the University of Granada- revealed that fear of death is most common among women than men. Additionally,  it concluded that parents’ fear of death affects their children’s perception of death. A change of mentality regarding this topic is necessary among families and teachers, since it is key to children’s mental health and psychological development

People with a university degree fear death less than those at a lower literacy level. In addition, fear of death is most common among women than men, which affects their children’s perception of death. In fact, 76% of children that report fear of death is due to their mothers avoiding the topic. Additionally, more of these children fear early death and adopt unsuitable approaches when it comes to deal with death.

These are some of the conclusions drawn from a research entitled Educación para la muerte: Estudio sobre la construcción del concepto de muerte en niños de entre 8 y 12 años de edad en el ámbito escolar, [Education On Death: A Study On The Building Of The Concept Of Death In Children Aged Between 8 And 12 At School] conducted at the Department of Personality, Assessment and Psychological Treatment at the University of Granada by Claudia Fabiana Siracusa, and led by professors Francisco Cruz Quintana y Mª Nieves Pérez Marfil.

For the purpose of this study, researchers took a sample of 288 children, aged between 8 and 12, including their parents, tutors and teachers. The professors at the University of Granada analysed how adults’ understanding of the concept of death affects children’s attitudes, fears, beliefs and approaches to death.

A change In Mentality

This study revealed the need for a change in mentality within families and at school, regarding death and the end of life. The reason is that an appropriate approach to death is key to children’s health and personality. Other conclusions were that all children –to a higher or lower degree- have had experiences related to death, that they believe in life after death, and that they are concerned about it. Additionally, it is more common among girls to believe in life after death than among boys.

As regards teachers, 80% of them reported that death was not included in the curriculum. Six out of ten recognised that they have occasionally talked about death with their students, mostly due to the death of a students’ relative.

In the light of the results obtained, University of Granada researchers consider that it is essential to provide death education “as a way to value life, and an instrument to end with the misguided and unreal idea transmitted by the media. Such education would provide children with the appropriate strategies and resources to approach death during their lives, avoiding any slight or severe negative impact on their physical or psychological health.”

Another finding was that a high educational level prevents negative attitudes, as fear of death and avoiding the topic. In accordance with the teachers that participated in the study, “at present, the education system does not have any formal and systematic method to deal with death in class. If death were introduced in the education system, children would have a more real and intense approach to life, and many of the problems derived from the mourning process in the adulthood would be prevented.”

The results obtained will be partly published in a book that will be released soon.

Contact:

Claudia Fabiana Siracusa. Department of Personality, Psychological Assessment and Treatment, University of Granada. Cell pone: fabianasiracusa@gmail.com

Mª Nieves Pérez Marfil. epartment of Personality, Psychological Assessment and Treatment, University of Granada. Office Phone: +34 958 24 37 39. E-mail: nperez@ugr.es


La melatonina ayuda a regular el aumento de peso

Científicos de la Universidad de Granada (UGR) «han demostrado» que la melatonina, una hormona natural que segrega el propio cuerpo humano, sirve para controlar el aumento de peso, incluso sin reducir la ingesta de alimentos, y mejora el perfil lipídico en sangre, al reducir los triglicéridos, aumentar el colesterol-HDL y disminuir el colesterol-LDL.

La melatonina se encuentra en pequeñas cantidades en algunas frutas y verduras como la mostaza, las Bayas del Goji, las almendras y pipas de girasol, el cardamomo, el hinojo, el cilantro y las cerezas, por lo que su consumo podría ayudar a controlar el peso y a prevenir las enfermedades cardiovasculares asociadas a la obesidad y la dislipidemia.

Los investigadores han analizado los efectos de la melatonina sobre la obesidad, la dislipidemia y la hipertensión asociada a la obesidad en ratas Zucker jóvenes obesas diabéticas, un modelo experimental del síndrome metabólico, informa en un comunicado la UGR.

Dado que los beneficios derivados de la administración de la melatonina se produjeron en ratas jóvenes, antes de desarrollar complicaciones metabólicas y vasculares, los científicos creen que la melatonina podría ayudar a prevenir las enfermedades cardiovasculares asociadas a la obesidad y la dislipidemia.

Los autores del estudio destacan que, si estos hallazgos se confirman en humanos, la administración de melatonina y la ingesta de alimentos que la contienen podrían ser una herramienta que ayudase a combatir la obesidad y los factores de riesgo asociados a la misma.

PROGRAMA ERASMUS

Este estudio fue financiado y apoyado parcialmente por el Plan Propio de la Universidad de Granada, el grupo de investigación CTS-109 (Junta de Andalucía) España, y la movilidad de los investigadores por el programa Erasmus Mundus (Comisión Europea).

Los científicos de la UGR, pertenecientes al Instituto de Neurociencias y al Departamento de Farmacología de la Facultad de Medicina, han realizado este trabajo en colaboración con el Servicio de Análisis Clínicos del Hospital Universitario San Cecilio de Granada; el Departamento de Fisiología y Farmacología de la Universidad de Salamanca; el departamento de Farmacología de la Universidad de Jordania y el Servicio de Endocrinología del Hospital Carlos III de Madrid.

Los autores de este trabajo son los profesores Ahmad Agil, Miguel Navarro, Rosario Ruiz, Sausan Abuamada, Yehia El-Mir y Gumersindo Fernández. Creen que, a la luz de sus resultados, es previsible conseguir un descenso de la incidencia de enfermedades relacionadas con la obesidad y diabetes (cardiovasculares, entre las principales) que disminuyen la calidad y esperanza de vida de los obesos.

Parte de los resultados de esta investigación acaban de ser publicados en la prestigiosa revista científica ‘Journal of Pineal Research’.

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Junta y UGR pilotan un modelo de formación para estudiantes de Medicina a través de la simulación

La Consejería de Salud y la Universidad de Granada (UGR) han llevado a cabo el pilotaje de un innovador modelo de formación para los estudiantes de quinto curso de Medicina a través de la simulación. Se trata del primer modelo docente de estas características, basado en el entrenamiento práctico de los futuros facultativos.

Para ello, la Consejería de Salud y la Universidad de Granada firmaron un convenio por el cual se establecían las características de este acuerdo, que se ha materializado en diez talleres de entrenamiento, realizados durante el curso 2009-2010, y dirigidos a los alumnos de quinto curso de la Facultad de Medicina de Granada con el objetivo de que adquieran determinadas competencias prácticas antes de iniciar la especialización.

Esta es la primera vez que en la Facultad de Medicina de la Universidad de Granada, en colaboración con la Consejería de Salud, a través de la Fundación Iavante, se diseña y se ofertan créditos de libre configuración de estas características.

El desarrollo de esta iniciativa es el primer paso hacia el Espacio Europeo de Educación Superior en el que el desarrollo de competencias pasa, del alumno que toma apuntes en sus clases, a una formación integral que asegura una preparación completa del futuro médico en todos los entornos educativos y en situaciones similares a la realidad. Se trata, por tanto, de una nueva concepción de la educación universitaria que lleva asociado un cambio que pasa, de los actuales sistemas de evaluación, a un proceso eminentemente práctico.

PROGRAMA DOCENTE

El circuito de entrenamiento y evaluación de competencias básicas para alumnos de quinto curso del grado de medicina se ha impartido entre marzo y abril de 2010, a través de metodologías de simulación, recreando con el mayor realismo posible, las situaciones habituales con las que los futuros médicos se encontrarán cuando se incorporen a trabajar en los hospitales y centros de salud.

Para conseguir que el alumno entrenase determinadas competencias técnicas el, se han realizado mediante el uso de maniquíes y robots que actúan y reaccionan como seres humanos según el caso predefinido por el docente. Otra de las metodologías de simulación ha empleado actores que representan el papel de pacientes con los que los alumnos deben relacionarse para realizar la entrevista clínica y conseguir un correcto diagnostico, partiendo de la información y la observación del propio paciente.

Entre las características del equipamiento que el CMAT, dependiente de la Consejería de Salud, pone a disposición de profesionales sanitarios y de estudiantes de medicina destacan el alto nivel de realismo de los espacios, entre los que se encuentran consultas médicas, quirófanos, una calle y un domicilio de difícil acceso, así como de las tecnologías de simulación robótica que ponen a disposición de quienes participan en sus cursos formativos.

Los talleres se han desarrollado en la Facultad de Medicina y en el Complejo Multifucional Avanzado de Simulación e Innovación Tecnológica (CMAT) de Granada, único centro en Europa por sus características, por su dotación tecnológica y sus escenarios con un alto nivel de realismo.

En total, han sido 60 los alumnos que han participado en la evaluación, donde han tenido que demostrar sus habilidades en diversas áreas de conocimiento a través de diversas pruebas con casos prácticos: oftalmología, ginecología, heridas, patología del oído, canalización venosa, comunicación con el paciente, monitorización, movilización e inmovilización, pediatría y auscultación cardiorrespiratoria.

Este modelo de evaluación ha sido el elegido por los organizadores para medir el grado de aptitud y capacidades de los alumnos tras el circuito de entrenamiento de competencias básicas adquiridas en la primera fase del programa y comprobar, por ende, que determinadas habilidades médicas se adquieren con más facilidad y rapidez cuando se entrenan con simuladores de forma paralela a los métodos tradicionales.

Este modelo de entrenamiento y evaluación persigue varios objetivos: dar conocer las habilidades y destrezas básicas que cada alumno ha adquirido con finalidad formativa, prepararlos de cara a las futuras pruebas de capacitación que van a tener que superar en el examen MIR previo a la obtención de una plaza como especialista en formación, y permitir al profesorado testar si el entrenamiento que están realizando en las diferentes áreas de conocimiento consigue las metas perseguidas.

RESULTADO DE LA EVALUACIÓN

Los resultados obtenidos tras el pilotaje del programa de innovación docente han demostrado su efectividad, ya que al calcular las medias entre el grupo de alumnos que participó en el circuito de entrenamiento previo (7,95) y el grupo que carece de esta formación (6,71), se pone de manifiesto una diferencia de 1,24 puntos entre unos y otros, lo que indica que las competencias propias de estos futuros profesionales se adquieren mejor cuando la formación teórica se acompaña de una parte eminentemente práctica.

Por otra parte, los 39 alumnos que participaron en los talleres formativos recomendarían hacer el circuito de entrenamiento, así como la prueba de evaluación de este formato.

Los alumnos participantes en la evaluación han recibido hoy un diploma acreditativo durante el acto que ha estado presidido por la consejera de Salud, María Jesús Montero, y en el que también han estado presentes el delegado de Economía, Innovación y Ciencia, Francisco Cuenca; la delegada provincial de Salud, Elvira Ramón; el gerente del Servicio Andaluz de Salud, José Luis Gutiérrez; el decano de la Facultad de Medicina, Indalecio Sánchez-Montesinos; y el gerente de la Fundación Iavante, José Ángel Villén.

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Demuestran que la melatonina ayuda a controlar el aumento de peso

Científicos de la Universidad de Granada (UGR) han demostrado que la melatonina, hormona natural segregada por el cuerpo humano, sirve para controlar el aumento de peso sin necesidad de reducir la ingesta de alimentos y mejora el perfil lipídico en sangre.

Esta hormona se encuentra además en pequeñas cantidades en algunas frutas y verduras como la mostaza, las Bayas del Goji, las almendras y pipas de girasol, el cardamomo, el hinojo, el cilantro y las cerezas, por lo que su consumo podría ayudar a controlar el peso y a prevenir las enfermedades cardiovasculares asociadas.

Los investigadores, según han informado fuentes de la Universidad, han analizado los efectos de la melatonina sobre la obesidad, la dislipidemia y la hipertensión asociada a la obesidad en ratas Zucker jóvenes obesas diabéticas, un modelo experimental del síndrome metabólico.

Dado que los beneficios derivados de la administración de la melatonina se produjeron en ratas jóvenes, antes de desarrollar complicaciones metabólicas y vasculares, los científicos creen que la melatonina podría ayudar a prevenir las enfermedades cardiovasculares asociadas a la obesidad y la dislipidemia.

Los autores del estudio destacan que, si estos hallazgos se confirman en humanos, la administración de melatonina y la ingesta de alimentos que la contienen podrían ser una herramienta que ayudase a combatir la obesidad y los factores de riesgo asociados a la misma.

Parte de los resultados de esta investigación acaban de ser publicados en la revista científica Journal of Pineal Research.

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La melatonina ayuda a regular el aumento de peso y previene enfermedades asociadas a la obesidad, según UGR

Científicos de la Universidad de Granada (UGR) «han demostrado» que la melatonina, una hormona natural que segrega el propio cuerpo humano, sirve para controlar el aumento de peso, incluso sin reducir la ingesta de alimentos, y mejora el perfil lipídico en sangre, al reducir los triglicéridos, aumentar el colesterol-HDL y disminuir el colesterol-LDL.

La melatonina se encuentra en pequeñas cantidades en algunas frutas y verduras como la mostaza, las Bayas del Goji, las almendras y pipas de girasol, el cardamomo, el hinojo, el cilantro y las cerezas, por lo que su consumo podría ayudar a controlar el peso y a prevenir las enfermedades cardiovasculares asociadas a la obesidad y la dislipidemia.

Los investigadores han analizado los efectos de la melatonina sobre la obesidad, la dislipidemia y la hipertensión asociada a la obesidad en ratas Zucker jóvenes obesas diabéticas, un modelo experimental del síndrome metabólico, informa en un comunicado la UGR.

Dado que los beneficios derivados de la administración de la melatonina se produjeron en ratas jóvenes, antes de desarrollar complicaciones metabólicas y vasculares, los científicos creen que la melatonina podría ayudar a prevenir las enfermedades cardiovasculares asociadas a la obesidad y la dislipidemia.

Los autores del estudio destacan que, si estos hallazgos se confirman en humanos, la administración de melatonina y la ingesta de alimentos que la contienen podrían ser una herramienta que ayudase a combatir la obesidad y los factores de riesgo asociados a la misma.

PROGRAMA ERASMUS

Este estudio fue financiado y apoyado parcialmente por el Plan Propio de la Universidad de Granada, el grupo de investigación CTS-109 (Junta de Andalucía) España, y la movilidad de los investigadores por el programa Erasmus Mundus (Comisión Europea).

Los científicos de la UGR, pertenecientes al Instituto de Neurociencias y al Departamento de Farmacología de la Facultad de Medicina, han realizado este trabajo en colaboración con el Servicio de Análisis Clínicos del Hospital Universitario San Cecilio de Granada; el Departamento de Fisiología y Farmacología de la Universidad de Salamanca; el departamento de Farmacología de la Universidad de Jordania y el Servicio de Endocrinología del Hospital Carlos III de Madrid.

Los autores de este trabajo son los profesores Ahmad Agil, Miguel Navarro, Rosario Ruiz, Sausan Abuamada, Yehia El-Mir y Gumersindo Fernández. Creen que, a la luz de sus resultados, es previsible conseguir un descenso de la incidencia de enfermedades relacionadas con la obesidad y diabetes (cardiovasculares, entre las principales) que disminuyen la calidad y esperanza de vida de los obesos.

Parte de los resultados de esta investigación acaban de ser publicados en la prestigiosa revista científica «Journal of Pineal Research».

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Demuestran que la melatonina ayuda a controlar el aumento de peso

Científicos de la Universidad de Granada (UGR) han demostrado que la melatonina, hormona natural segregada por el cuerpo humano, sirve para controlar el aumento de peso sin necesidad de reducir la ingesta de alimentos y mejora el perfil lipídico en sangre.

Esta hormona se encuentra además en pequeñas cantidades en algunas frutas y verduras como la mostaza, las Bayas del Goji, las almendras y pipas de girasol, el cardamomo, el hinojo, el cilantro y las cerezas, por lo que su consumo podría ayudar a controlar el peso y a prevenir las enfermedades cardiovasculares asociadas.

Los investigadores, según han informado fuentes de la Universidad, han analizado los efectos de la melatonina sobre la obesidad, la dislipidemia y la hipertensión asociada a la obesidad en ratas Zucker jóvenes obesas diabéticas, un modelo experimental del síndrome metabólico.

Dado que los beneficios derivados de la administración de la melatonina se produjeron en ratas jóvenes, antes de desarrollar complicaciones metabólicas y vasculares, los científicos creen que la melatonina podría ayudar a prevenir las enfermedades cardiovasculares asociadas a la obesidad y la dislipidemia.

Los autores del estudio destacan que, si estos hallazgos se confirman en humanos, la administración de melatonina y la ingesta de alimentos que la contienen podrían ser una herramienta que ayudase a combatir la obesidad y los factores de riesgo asociados a la misma.

Parte de los resultados de esta investigación acaban de ser publicados en la revista científica «Journal of Pineal Research».

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Presentación en el museo de Finlandia Central del proyecto de investigación ‘Kalevala granaína’

Su objetivo es ofrecer una visión de la epopeya desde Andalucía, a través del trabajo de pintores, diseñadores, artistas gráficos, pintores digitales y fotógrafos, que utilizan diferentes técnicas y estilos en la realización de sus obras.

En el museo de Finlandia Central en Jyväskylä (Finlandia) se presenta el resultado del proyecto de investigación «Kalevala granaína», coordinado por el profesor Manuel Vélez Cea del Departamento de Dibujo de la Universidad de Granada, y Annika Waenerberg, de la Universidad Jyväskylä de Finlandia.

La exposición itinerante «Kalevala granaína» se inaugura el viernes, 26 de noviembre, en el 175 Aniversario de la Kalevala, en el Museo de Finlandia Central, Jyväskylä, y recorrerá durante el año 2011 los museos de arte de Lappeenranta y de Kajaani, el Centro Cultural de Turku, el Museo de Gallen-Kallela en Tarvaspää (Espoo) y el centro cultural de Kouvola.

En el proyecto participan trece artistas españoles, varios investigadores internacionales e instituciones y museos finlandeses de arte y cultura. El profesor Manuel Vélez Cea, del Departamento de Dibujo de la Universidad de Granada, y Annika Waenerberg, de la Universidad Jyväskylä de Finlandia son los coordinadores del proyecto de investigación entre las Universidades de Granada y Jyväskylä en Finlandia.

Según explica Manuel Vélez Cea, en la inauguración se presentará la publicación «Mito, imagen, idea. Kalevala granaína» (288 pág.) donde se recoge el análisis y resultados de la investigación, en el artículo de Manuel Vélez Cea y Annika Waenerberg: «Mitos, imágenes e interpretaciones».

El pasado mes de septiembre se presentó en la Corrala de Santiago, en Granada, la exposición «Cuentos, leyendas y mitos. Visión artística de Sampo», en el marco del mismo proyecto de investigación.

Kalevala granaína

El proyecto Kalevala granaína surge en los bosques finlandeses, donde se cantaban los poemas épicos que ensalzaban el campo. Su objetivo es ofrecer una visión de la epopeya desde Andalucía (España), a través del trabajo de pintores, diseñadores, artistas gráficos, pintores digitales y fotógrafos, que utilizan diferentes técnicas y estilos en la realización de sus obras. Esta variedad técnica artística tiene como fin plasmar desde diferentes ángulos la memoria, imágenes e ideas del universo representado en la Kalevala.

«Con ¨Mito, imagen, idea. Kalevala granaína¨ se ha profundizado en un contexto más amplio del mito, en su visualización, su ilustración y su poder para generar ideas visuales, desde la investigación, la enseñanza académica, la pedagogía museística, la publicación y la exposición de arte. Ha sido creado a partir de la cooperación entre las Universidades de Granada y Jyväskylä, junto con la Asociación Kalevala», explica Manuel Vélez.

Este proyecto cuenta con el apoyo del Vicerrectorado de Extensión Universitaria y Cooperación al Desarrollo, la Facultad de Bellas Artes y el Departamento de Dibujo de la Universidad de Granada, así como el Departamento de la Investigación de Arte y Cultura de la Universidad de Jyväskylä, la Embajada Española en Helsinki, la Asociación de Kalevala, y la Fundación Kone.

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Concluyen que la melatonina puede ayudar a combatir la obesidad y sus enfermedades asociadas

Científicos de la Universidad de Granada han demostrado que la melatonina, una hormona natural que segrega el propio cuerpo humano, sirve para controlar el aumento de peso, incluso sin reducir la ingesta de alimentos, y mejora el perfil lipídico en sangre, al reducir los triglicéridos, aumentar el colesterol-HDL y disminuir el colesterol-LDL.

La melatonina se encuentra en pequeñas cantidades en algunas frutas y verduras como la mostaza, las Bayas del Goji, las almendras y pipas de girasol, el cardamomo, el hinojo, el cilantro y las cerezas, por lo que su consumo podría ayudar a controlar el peso y a prevenir las enfermedades cardiovasculares asociadas a la obesidad y la dislipidemia.

Investigación en ratas

Los investigadores han analizado los efectos de la melatonina sobre la obesidad, la dislipidemia y la hipertensión asociada a la obesidad en ratas Zucker jóvenes obesas diabéticas, un modelo experimental del síndrome metabólico. Dado que los beneficios derivados de la administración de la melatonina se produjeron en ratas jóvenes, antes de desarrollar complicaciones metabólicas y vasculares, los científicos creen que la melatonina podría ayudar a prevenir las enfermedades cardiovasculares asociadas a la obesidad y la dislipidemia.

Los autores del estudio destacan que, si estos hallazgos se confirman en humanos, la administración de melatonina y la ingesta de alimentos que la contienen podrían ser una herramienta que ayudase a combatir la obesidad y los factores de riesgo asociados a la misma.

Trabajo en colaboración

Este estudio fue financiado y apoyado parcialmente por el Plan Propio de la Universidad de Granada, el grupo de investigación CTS-109 (Junta de Andalucía) España, y la movilidad de los investigadores por el programa Erasmus Mundus (Comisión Europea). Los científicos de la UGR, pertenecientes al Instituto de Neurociencias y al Departamento de Farmacología de la Facultad de Medicina, han realizado este trabajo en colaboración con el Servicio de Análisis Clínicos del Hospital Universitario San Cecilio de Granada; el Departamento de Fisiología y Farmacología de la Universidad de Salamanca; el departamento de Farmacología de la Universidad de Jordania y el Servicio de Endocrinología del Hospital Carlos III de Madrid.

Los autores de este trabajo son los profesores Ahmad Agil, Miguel Navarro, Rosario Ruiz, Sausan Abuamada, Yehia El-Mir y Gumersindo Fernández. Creen que, a la luz de sus resultados, es previsible conseguir un descenso de la incidencia de enfermedades relacionadas con la obesidad y diabetes (cardiovasculares, entre las principales) que disminuyen la calidad y esperanza de vida de los obesos.

Parte de los resultados de esta investigación acaban de ser publicados en la prestigiosa revista científica Journal of Pineal Research.

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La melatonina ayuda a controlar el aumento de peso

Científicos de la Universidad de Granada (UGR) han demostrado que la melatonina, hormona natural segregada por el cuerpo humano, sirve para controlar el aumento de peso sin necesidad de reducir la ingesta de alimentos y mejora el perfil lipídico en sangre.

    Esta hormona se encuentra además en pequeñas cantidades en algunas frutas y verduras como la mostaza, las Bayas del Goji, las almendras y pipas de girasol, el cardamomo, el hinojo, el cilantro y las cerezas, por lo que su consumo podría ayudar a controlar el peso y a prevenir las enfermedades cardiovasculares asociadas.

    Los investigadores, según han informado fuentes de la Universidad, han analizado los efectos de la melatonina sobre la obesidad, la dislipidemia y la hipertensión asociada a la obesidad en ratas Zucker jóvenes obesas diabéticas, un modelo experimental del síndrome metabólico.

    Dado que los beneficios derivados de la administración de la melatonina se produjeron en ratas jóvenes, antes de desarrollar complicaciones metabólicas y vasculares, los científicos creen que la melatonina podría ayudar a prevenir las enfermedades cardiovasculares asociadas a la obesidad y la dislipidemia.

    Los autores del estudio destacan que, si estos hallazgos se confirman en humanos, la administración de melatonina y la ingesta de alimentos que la contienen podrían ser una herramienta que ayudase a combatir la obesidad y los factores de riesgo asociados a la misma.

    Parte de los resultados de esta investigación acaban de ser publicados en la revista científica «Journal of Pineal Research».

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Conferencia en la UGR sobre: Qué hace bien el cerebro humano y qué podría hacer mejor

El investigador y profesor del departamento de Fisiología Médica y Biofísica de la Universidad de Sevilla, Guillermo Álvarez de Toledo Naranjo, hablará de “Qué hace bien el cerebro humano y qué podría hacer mejor”, el martes, 30 de noviembre, a las 19.30 horas en la sala Gutemberg del Parque de las Ciencias.

Entender cómo funciona el cerebro humano ha sido uno de los objetivos de la filosofía y de la investigación científica durante siglos. En esta conferencia se tratará de hacer una comparación entre el funcionamiento del cerebro humano y de la inteligencia artificial. Atendiendo a los números, el poder de análisis del cerebro humano es hoy día muchos órdenes de magnitud superior a lo que puede hacer un ordenador. Sin embargo, hay aspectos de funcionamiento en los que las máquinas ya han superado a la mente humana.

Debatir, comparar y hacer predicciones sobre las proyecciones al futuro en este sentido, así como de las consecuencias que esto puede tener para la sociedad actual, es una incógnita.

El acto ha sido organizado por el Aula de Ciencia y Tecnología del Secretariado de Extensión Universitaria de la Universidad de Granada.

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