Des scientifiques espagnols génèrent avec succès, moyennant l’ingénierie tissulaire, une peau humaine artificielle possédant des propriétés biomécaniques optimales

Pour obtenir des niveaux optimaux de développement, de maturation et de fonctionnalité, on a employé deux biomatériaux de fibrine et d’agarose, postérieurement intégrés dans des souris athymiques. Cette découverte pourrait être utile au traitement de différentes pathologies affectant la normalité de la peau

Des scientifiques de l’UGR sont arrivés à générer de la peau humaine artificielle moyennant l’ingénierie tissulaire, avec deux biomatériaux de fibrine et d’agarose postérieurement intégrés dans des souris athymiques, obtenant ainsi des niveaux optimaux de développement, de maturation et de fonctionnalité. Cette découverte, pionnière dans le monde entier, rendra plus facile l’usage de la peau humaine dans le domaine clinique, et pourra également être employée dans multitude d’épreuves de laboratoire sur des tissus biologiques sans avoir besoin d’utiliser des animaux de laboratoire. Elle pourrait être également utile pour le traitement de différentes pathologies affectant la normalité de la peau.

Ce travail a été mené à bien par José María Jiménez Rodríguez, du groupe de recherche d’Ingénierie tissulaire du Département d’Histologie de l’Université de Grenade, et dirigé par les professeurs Miguel Alaminos Mingorance, Antonio Campos Muñoz et José Miguel Labrador Molina.

Le travail des scientifiques de l’UGR a cerné aussi bien le choix des cellules utilisées pour la fabrication de la peau artificielle et pour l’analyse de son comportement in vitro, que le contrôle de qualité des tissus implantés à des souris athymiques. Pour ce, il a été nécessaire de développer diverses techniques microscopiques et d’immunofluorescence pour permettre que les scientifiques évaluent des facteurs aussi importants que la prolifération cellulaire, l’existence de patrons morphologiques de différenciation, l’expression de cytokératines, d’involucrines et de filagrines, l’angiogenèse et l’intégration avec des tissus de l’organisme récepteur.

Échantillons de peau humaine
Pour mener à bien cette recherche, les scientifiques ont obtenu des échantillons de peau humaine à partir de petites biopsies provenant de patients soumis à des interventions dans le Service de Chirurgie plastique de l’Hôpital universitaire Virgen de las Nieves de Grenade. Tous les patients inclus dans l’étude ont donné leur consentement préalable à leur participation.

Pour le développement des différentes constructions de peau humaine artificielle, on a utilisé de la fibrine humaine provenant de plasma sanguin de donneurs sains, auxquelles on a ajouté de l’acide tranexamique (comme antifibrinolytique), du chlorure calcique pour précipiter la réaction de coagulation de la fibrine et de l’agarose à 0,1%. Ses substituts en peau artificielle ont été greffés dans le dos des souris athymiques pour qu’ils évoluent in vivo, et les équivalents cutanés greffés ont été analysés par microscopie optique et électronique de transmission et par balayage et immunofluorescence.

La peau générée en laboratoire a donné des niveaux adéquats de biocompatibilité avec le récepteur et une totale absence de rejet, de déhiscence ou infection. De plus, dans tous les animaux ayant participé à l’étude est apparu du tissu de granulation six jours après la greffe, ce qui a donné lieu à une cicatrisation totale à partir du vingtième jour.

Avec ce travail mené à bien à l’UGR, c’est la première fois que l’on élabore de la peau humaine artificielle avec une derme basée sur des biomatériaux de fibrine et d’agarose, étant donné qu’à cette date les substituts en peau artificielle avaient été élaborés avec d’autres biomatériaux comme le collagène, l’acide polyglicolique, le quitosan, etc.

Le fait d’utiliser ces biomatériaux dans cette recherche « a apporté de la résistance, de la fermeté et de la souplesse à la peau » -ajoute Jiménez Rodríguez-. En définitive, nous avons créé une peau plus stable qui présente, de plus, une fonctionnalité similaire à la peau humaine normale. »

Référence : José María Jiménez Rodríguez. Département d’Histologie de l’UGR, portable : 665 242152, courriel : josemaria755@gmail.com


Spanish scientists create artificial human skin with optimised biomechanical properties by tissular engineering

A biomaterial fibrin-agarose complexe was used to generate the artificial skin that was later grafted on to athymic nude mice. Optimal skin development, maturation and functionality results were obtained. This finding could be useful in developing new treatment approaches for dermatological pathologies.

Scientists from the University of Granada, Spain, have generated artificial human skin by tissular engineering basing on agarose-fibrin biomaterial. The artificial skin was grafted onto mice, and optimal development, maturation and functionality results were obtained. This pioneering finding will allow the clinical use of human skin and its use in many laboratory tests on biological tissues –which, additionally, would avoid the use of laboratory animals. Further, this finding could be useful in developing new treatment approaches for dermatological pathologies.

This research was conducted by José María Jiménez Rodríguez, from the Tissular Engineering Research group of the Department of Histology of the University of Granada, and coordinated by professors Miguel Alaminos Mingorance, Antonio Campos Muñoz and José Miguel Labrador Molina.

Researchers from the University of Granada firstly selected the cells that would be employed in generating artificial skin. Then, they analysed the evolution of the in-vitro culture and, finally, they performed a quality control of the tissues grafted onto nude mice. To this purpose, several inmunofluorescence microscopy techniques had to be developed. These techniques allowed researchers to evaluate such factors as cell proliferation, the presence of differentiating morphological markers, the expression of cytokeratin, involucrine and filaggrin, angiogenesis and artificial skin development into the recipient organism. 

Human Skin Samples
To make this assay, researchers obtained human skin from small biopsies belonging to patients following surgery at the Plastic Surgery Service of the University Hospital Virgen de las Nieves in Granada. All  patients gave their consent to take part in this research study.

To create artificial human skin, human fibrin from plasma of healthy donors was used. Researchers then added tranexamic acid –to prevent fibrinolysis–, and calcium chloride to precipitate fibrin coagulation, and 0.1% aragose. These artificial-skin substitutes were grafted on the back of the nude mice, with the purpose of observing its evolution in vivo. The equivalent skin substitutes were analysed by transmission and scanning light and electron microscopy and inmunofluorescence.

The skin created in the laboratory showed adequate biocompatibility rates with the recipient and no rejection, dehiscence or infection was registered. Additionally, the skin of all animals used in the study started to show granulation after six days from implantation. Within the following twenty days, cicatrization was complete.
 
The experiment conducted by the University of Granada is the first to create artificial human skin with a dermis made of fibrin-agarose biomaterial. To this date, artificial skin substitutes were elaborated with other biomaterials as collagen, fibrin, polyglycolic acid, chitosan, etc.

These biomaterials “added resistance, firmness and elasticity to the skin” –according to Prof. Jiménez Rodríguez. “Definitively, we have created a more stable skin with similar functionality to normal human skin.”

Contact: José María Jiménez Rodríguez. Department of Histology of the University of Granada. Mobile phone: +34 665 242 152
e-mail: josemaria755@gmail.com


Una guía para preparar material docente

Una guía para preparar material docente

Maribel Tercedor, del departamento de Interpretación y Traducción de la UGR, coordina los proyectos

Los proyectos de innovación docente «Análisis y desarrollo de la interfaz imagen-texto en traducción científica y técnica» y «El texto multimedia desde la inclusión digital» han sido un punto de encuentro de profesores, profesionales y alumnos de traducción e interpretación para desarrollar ideas sobre cómo relacionar texto e imagen, con el fin de presentar materiales multimedia desde el paradigma del diseño para todos.

Los proyectos, en los que han participado profesores de la Universidad de Granada, Rutgers University y el ISIT de México DF, están disponibles en http://www.ugr.es/local/imagenytexto y han dado como resultado el desarrollo de actividades de colaboración innovadoras sobre formatos multimodales, publicadas en la web de los proyectos, y la creación de una guía sobre accesibilidad en los materiales multimedia, que será distribuida por la editorial Tragacanto.

Estos materiales, la metodología y los resultados de los proyectos han sido presentados en numerosos foros nacionales e internacionales. Y en la web de los proyectos se puede acceder a una lista de las publicaciones derivadas. «Con este proyecto –asegura la responsable, Maribel Tercedor– nos planteamos ampliar la experiencia ganada en los proyectos de innovación docente de la Universidad de Granada «Análisis y desarrollo de la interfaz imagen-texto en traducción científica y técnica» y «Aula de investigación del texto multimedia I y II» para dar respuesta a las necesidades profesionales del marco multimedia accesible para traductores profesionales en el sentido de: en primer lugar detectar e inventariar los tipos de contenidos susceptibles de mejora en cuanto a accesibilidad en asignaturas virtuales; para ello los alumnos se implicarán en el análisis crítico y las propuestas de mejora; en segundo lugar extraer vocabulario descriptivo a través de pruebas en sujetos con materiales en soporte táctil, textos e imágenes; en tercer lugar estudiar formas de potenciar el uso de material multimedia y de herramientas de autoaprendizaje accesibles, en el marco del crédito ECTS; y por último, asegurar bases metodológicas para la creación de materiales accesibles a todos, utilizando los materiales generados en el proyecto «Análisis y desarrollo de la interfaz imagen-texto en traducción científica y técnica», disponibles en la página: http://www.ugr.es/local/imagenytexto».

En el proyecto, coordinado por la profesora Maribel Tercedor, han participado: Esperanza Alarcón, Isabel Bolívar, Laura Carlucci, Catalina Jiménez, Linus Jung, Clara Inés López, Juan Antonio Prieto, Claudia Seibel, Pedro Magaña, Antonio San Martín. De fuera de la UGR, Isabel Olalla (UAB), Aitor Medrano, Miguel Ángel Jiménez (Rutgers University), Ester Jansenson (ISIT, México).
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Se clausura el Ciclo de Encuentros de Innovación Universidad-Empresa 2009

Se clausura el Ciclo de Encuentros de Innovación Universidad-Empresa 2009

El viernes, 4 de diciembre de 2009, a partir de las 10 horas, se celebrará en la sede de la Asociación de Empresarios Parque Empresarial Juncaril el último de los Encuentros de Innovación Universidad-Empresa previstos en el proyecto “Fomento de las Relaciones Universidad Empresa”.

El acto contará con la presencia del rector de la Universidad de Granada, Francisco González Lodeiro; el presidente de la Comisión de Relaciones con la Sociedad del Consejo Social de la UGR, Jerónimo Páez López; el delegado provincial de la Consejería de Innovación, Ciencia y Empresa de la Junta de Andalucía, Francisco Cuenca Rodríguez, y el presidente de la Confederación Granadina de Empresarios (CGE), Gerardo Cuerva Valdivia, entre otras personalidades de los ámbitos sociales y económicos de la provincia.

Este Encuentro supone una gran oportunidad para todos los empresarios del Parque Empresarial de conocer de primera mano las ventajas que aporta la innovación a su competitividad y las diversas posibilidades de apoyo y colaboración que brindan los distintos agentes socioeconómicos de la provincia. Así, en el programa del evento se incluye una ponencia de un reconocido consultor en materia de I+D+i y una mesa redonda que girará en torno a una serie de cuestiones relacionadas con la innovación para que cada participante en la misma aporte su visión desde la posición que ocupa (administración, generador de conocimiento, empresa,…), dando lugar a un interesante debate que puede aportar muchas claves para plantear y desarrollar iniciativas y proyectos innovadores dentro de las empresas granadinas.

Con ello se clausura la segunda edición del proyecto “Fomento de las Relaciones Universidad-Empresa”. Con este último, en total se han celebrado nueve en toda la provincia a lo largo de 2009, obteniendo un balance muy positivo en cuanto a número de empresarios que han asistido a los mismos, (aproximadamente 180), y a las posibilidades de proyectos de colaboración con investigadores de la UGR que han surgido y que se espera se materialicen en los próximos meses.

Por tanto, se puede concluir que se ha alcanzado la consecución del principal objetivo del proyecto, es decir, fortalecer las relaciones entre las asociaciones empresariales de la provincia y la Universidad de Granada, y modificar la percepción de lejanía de la UGR con respecto a la labor cotidiana de las empresas granadinas.

Este proyecto ha sido ejecutado por el Comisionado para la Fundación General de la UGR, a través de la Fundación Empresa Universidad de Granada (FEUGR), contando con el apoyo del Consejo Social de la UGR y la colaboración de la CGE.
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La UGR abre la primera sala en horario nocturno para los exámenes

La UGR abre la primera sala en horario nocturno para los exámenes

El Vicerrectorado de Estudiantes de la Universidad de Granada (UGR) envió ayer un comunicado en el que informa que, con motivo del periodo de exámenes que se inicia este mes de diciembre, la institución va a abrir la sala de estudio de la Biblioteca Biosanitaria en horario nocturno.

Así, desde hoy hasta el 18 de diciembre de 2009, ambos inclusive, los estudiantes de la Universidad podrán acceder a esta sala cualquier día de la semana, incluidos los sábados y domingos, de 8.00 de la mañana a 6.00 de la mañana del día siguiente, con dos horas de intervalo que se cierra para cubrir el servicio de limpieza.
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Las cenizas de Ayala reposan ya bajo un limonero plantado en los jardines de su Fundación

Las cenizas de Ayala reposan ya bajo un limonero plantado en los jardines de su Fundación

Las cenizas del escritor Francisco Ayala, fallecido a los 103 años hace hoy 30 días, reposan ya bajo un limonero plantado en los jardines de la Fundación que lleva su nombre, en el palacete Alcázar del Genil, en su ciudad natal, Granada.

«Habíamos dicho que las cenizas de Ayala volverían a Granada. Mi marido está aquí, entre nosotros. El martes plantamos entre los naranjos un limonero y debajo hay una urna biodegradable. Yo estoy muy contenta de eso. Gracias», anunció hoy su viuda, Carolyn Richmond, quien, seguida por los integrantes de la Fundación Ayala, se ha dirigido hasta el lugar concreto en el que los restos del escritor se mezclan ya con la tierra.

La confirmación ha llegado después de la primera reunión del Patronato de la Fundación tras la muerte de Ayala, a la que ha seguido un homenaje \’in memoriam\’ al autor de \’El jardín de las delicias\’, en el que la hispanista ha leído un texto con el título \’ Francisco, mi marido. Ayala, el escritor\’. Richmond ha hecho un emotivo repaso a su vida juntos a lo largo de 33 años, primero como «colegas» y después como compañera sentimental. «Nuestra relación llegó a gozar de una compenetración y fina complicidad que en este momento de profundo duelo echo terriblemente de menos», dijo.

En un primer momento, recordó, le conocía como «profesor Ayala» pero tras el «memorable» verano de 1976 se fue convirtiendo en «un Francisco» a quien empezó a aprender a dirigirse como «tú». En su intimidad, en su «secreta existencia», el nombre de Francisco derivó en el «osito de peluche, Teddy» que, «se prestaba a infinitas variaciones» rimadas e incluso cantadas, en su «afán», sostuvo, de «entretener» al que ha sido el hombre de su vida.

En cuanto a su faceta de escritor, «era, es y será» Ayala el nombre de esa figura pública «respetada y hasta temida» cuya firma aparecía en artículos de prensa y diversos títulos. A lo largo de los años, «se iría borrando para él la frontera entre vida y escritura, realidad e invención, porosidad ésta concienzudamente cultivada por el Ayala escritor». «Y yo, tanto en mi papel de estudiosa de su obra como compañera sentimental, me deleitaba en ir descubriendo en persona o por escrito, esos secretos que, según él, sólo había alcanzado a descifrar yo».

Para concluir, la viuda de Francisco Ayala expresó un deseo: «Ojalá en un futuro no demasiado lejano y mediante la magia de la palabra escrita llegaré a recrear –la relación que ambos mantuvieron– de una vez y para siempre mi propio Francisco con mi Ayala personal».

REUNIÓN DEL PATRONATO, PRESUPUESTO Y PROGRAMACIÓN

Por otra parte, la consejera de Cultura, Rosa Torres, ha presidido hoy la reunión de los patronos de la Fundación, entre los que se encuentra el presidente de la Diputación, Antonio Martínez Caler, el alcalde de Granada, José Torres Hurtado, o el rector de la Universidad de Granada, Francisco González Lodeiro, que han acordado, entre otras cuestiones, conceder la Presidencia de Honor a Richmond, cargó que ocupó Ayala hasta su muerte, el pasado 3 de noviembre.

El Patronato ha aprobado además su presupuesto para 2010, que asciende a 265.100 euros, y la programación de la Fundación para el próximo año, entre la que se incluye el mantenimiento de la web ffayala.es, cada vez más visitada; la formación de una bibloteca especializada, que formará parte de la Red de Centros de Documentación y Bibliotecas Especializadas de Andalucía; la ordenación, descripción, copia y guarda del archivo de Francisco Ayala; así como las actividades de difusión que pretendan facilitar el acceso a su obra.

En 2010 aparecerán además los primeros títulos de una colección de publicaciones de la Fundación coeditada por la Universidad de Granada y se exhibirán los tres primeros documentales producidos por la Fundación con la colaboración del Ministerio de Cultura, en los que amigos del escritor dan testimonio de su figura.

El Patronato ha acordado poner los medios de la Fundación a disposición de las instituciones que en los próximos meses promuevan actos de recuerdo y homenaje a Ayala. Por iniciativa propia, la Fundación organizará asimismo en torno al 16 de marzo, fecha en la que el escritor habría cumplido 104 años, una fiesta con niños, como viene haciendo en los últimos años. En torno al 3 de noviembre, coincidiendo con el primer aniversario de su muerte, se ha previsto la celebración de un encuentro de nuevos investigadores sobre su obra.

Los miembros del Patronato han dado sus muestras de condolencia a Richmond, que ha expresado, ya como presidenta de honor, su agradecimiento por las «incontables» muestras de apoyo y dolor recibidas desde todo el mundo.

En el homenaje de hoy, conducido por el secretario de la Fundación, Rafael Juárez, y que ha iniciado la consejera de Cultura, el actor Constantino Renedo ha leído los textos \’El turista dormido\’, de \’La niña de oro y otros relatos\’ y el final del \’diálogo de los muertos\’, de \’Los usurpadores\’. Entre uno y otro la violonchelista María del Carmen Coronado ha interpretado la \’Suite número 1 en sol mayor\’ de J.S.Bach. En todo momento, Richmond se ha mostrado muy afectada y ha llegado en varias ocasiones a tener que enjugarse las lágrimas con un pañuelo blanco.
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La biblioteca de Biosanitarias abrirá en horario nocturno

La biblioteca de Biosanitarias abrirá en horario nocturno

Con motivo de los exámenes de diciembre, la Universidad de Granada prolongará su horario de apertura hasta las seis de la mañana

Con motivo de la cercanía de los exámenes de diciembre, la Universidad de Granada ha decidido facilitar el estudio a los estudiantes ampliando el horario de la sala de estudio de la Biblioteca Biosanitaria hasta las seis de la mañana.

El horario, de esta forma, será de ocho de la mañana a seis de la mañana, con un intervalo de dos horas para limpieza, desde el 3 de diciembre hasta el día 18, ambos inclusive, y permanecerá abierta también sábados y domingos.
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Las cenizas de Ayala reposan ya bajo un limonero plantado en los jardines de su Fundación

Las cenizas de Ayala reposan ya bajo un limonero plantado en los jardines de su Fundación

«Habíamos dicho que las cenizas de Ayala volverían a Granada. Mi marido está aquí, entre nosotros. El martes plantamos entre los naranjos un limonero y debajo hay una urna biodegradable. Yo estoy muy contenta de eso. Gracias», anunció hoy su viuda, Carolyn Richmond, quien, seguida por los integrantes de la Fundación Ayala, se ha dirigido hasta el lugar concreto en el que los restos del escritor se mezclan ya con la tierra.

La confirmación ha llegado después de la primera reunión del Patronato de la Fundación tras la muerte de Ayala, a la que ha seguido un homenaje \’in memoriam\’ al autor de \’El jardín de las delicias\’, en el que la hispanista ha leído un texto con el título \’ Francisco, mi marido. Ayala, el escritor\’. Richmond ha hecho un emotivo repaso a su vida juntos a lo largo de 33 años, primero como «colegas» y después como compañera sentimental. «Nuestra relación llegó a gozar de una compenetración y fina complicidad que en este momento de profundo duelo echo terriblemente de menos», dijo.

En un primer momento, recordó, le conocía como «profesor Ayala» pero tras el «memorable» verano de 1976 se fue convirtiendo en «un Francisco» a quien empezó a aprender a dirigirse como «tú». En su intimidad, en su «secreta existencia», el nombre de Francisco derivó en el «osito de peluche, Teddy» que, «se prestaba a infinitas variaciones» rimadas e incluso cantadas, en su «afán», sostuvo, de «entretener» al que ha sido el hombre de su vida.

En cuanto a su faceta de escritor, «era, es y será» Ayala el nombre de esa figura pública «respetada y hasta temida» cuya firma aparecía en artículos de prensa y diversos títulos. A lo largo de los años, «se iría borrando para él la frontera entre vida y escritura, realidad e invención, porosidad ésta concienzudamente cultivada por el Ayala escritor». «Y yo, tanto en mi papel de estudiosa de su obra como compañera sentimental, me deleitaba en ir descubriendo en persona o por escrito, esos secretos que, según él, sólo había alcanzado a descifrar yo».

Para concluir, la viuda de Francisco Ayala expresó un deseo: «Ojalá en un futuro no demasiado lejano y mediante la magia de la palabra escrita llegaré a recrear –la relación que ambos mantuvieron– de una vez y para siempre mi propio Francisco con mi Ayala personal».

REUNIÓN DEL PATRONATO, PRESUPUESTO Y PROGRAMACIÓN

Por otra parte, la consejera de Cultura, Rosa Torres, ha presidido hoy la reunión de los patronos de la Fundación, entre los que se encuentra el presidente de la Diputación, Antonio Martínez Caler, el alcalde de Granada, José Torres Hurtado, o el rector de la Universidad de Granada, Francisco González Lodeiro, que han acordado, entre otras cuestiones, conceder la Presidencia de Honor a Richmond, cargó que ocupó Ayala hasta su muerte, el pasado 3 de noviembre.

El Patronato ha aprobado además su presupuesto para 2010, que asciende a 265.100 euros, y la programación de la Fundación para el próximo año, entre la que se incluye el mantenimiento de la web ffayala.es, cada vez más visitada; la formación de una bibloteca especializada, que formará parte de la Red de Centros de Documentación y Bibliotecas Especializadas de Andalucía; la ordenación, descripción, copia y guarda del archivo de Francisco Ayala; así como las actividades de difusión que pretendan facilitar el acceso a su obra.

En 2010 aparecerán además los primeros títulos de una colección de publicaciones de la Fundación coeditada por la Universidad de Granada y se exhibirán los tres primeros documentales producidos por la Fundación con la colaboración del Ministerio de Cultura, en los que amigos del escritor dan testimonio de su figura.

El Patronato ha acordado poner los medios de la Fundación a disposición de las instituciones que en los próximos meses promuevan actos de recuerdo y homenaje a Ayala. Por iniciativa propia, la Fundación organizará asimismo en torno al 16 de marzo, fecha en la que el escritor habría cumplido 104 años, una fiesta con niños, como viene haciendo en los últimos años. En torno al 3 de noviembre, coincidiendo con el primer aniversario de su muerte, se ha previsto la celebración de un encuentro de nuevos investigadores sobre su obra.

Los miembros del Patronato han dado sus muestras de condolencia a Richmond, que ha expresado, ya como presidenta de honor, su agradecimiento por las «incontables» muestras de apoyo y dolor recibidas desde todo el mundo.

En el homenaje de hoy, conducido por el secretario de la Fundación, Rafael Juárez, y que ha iniciado la consejera de Cultura, el actor Constantino Renedo ha leído los textos \’El turista dormido\’, de \’La niña de oro y otros relatos\’ y el final del \’diálogo de los muertos\’, de \’Los usurpadores\’. Entre uno y otro la violonchelista María del Carmen Coronado ha interpretado la \’Suite número 1 en sol mayor\’ de J.S.Bach. En todo momento, Richmond se ha mostrado muy afectada y ha llegado en varias ocasiones a tener que enjugarse las lágrimas con un pañuelo blanco.
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Las cenizas de Ayala reposan ya bajo un limonero plantado en los jardines de su Fundación

Las cenizas de Ayala reposan ya bajo un limonero plantado en los jardines de su Fundación

Las cenizas del escritor Francisco Ayala, fallecido a los 103 años hace hoy 30 días, reposan ya bajo un limonero plantado en los jardines de la Fundación que lleva su nombre, en el palacete Alcázar del Genil, en su ciudad natal, Granada.

«Habíamos dicho que las cenizas de Ayala volverían a Granada. Mi marido está aquí, entre nosotros. El martes plantamos entre los naranjos un limonero y debajo hay una urna biodegradable. Yo estoy muy contenta de eso. Gracias», anunció hoy su viuda, Carolyn Richmond, quien, seguida por los integrantes de la Fundación Ayala, se ha dirigido hasta el lugar concreto en el que los restos del escritor se mezclan ya con la tierra.

La confirmación ha llegado después de la primera reunión del Patronato de la Fundación tras la muerte de Ayala, a la que ha seguido un homenaje \’in memoriam\’ al autor de \’El jardín de las delicias\’, en el que la hispanista ha leído un texto con el título \’ Francisco, mi marido. Ayala, el escritor\’. Richmond ha hecho un emotivo repaso a su vida juntos a lo largo de 33 años, primero como «colegas» y después como compañera sentimental. «Nuestra relación llegó a gozar de una compenetración y fina complicidad que en este momento de profundo duelo echo terriblemente de menos», dijo.

En un primer momento, recordó, le conocía como «profesor Ayala» pero tras el «memorable» verano de 1976 se fue convirtiendo en «un Francisco» a quien empezó a aprender a dirigirse como «tú». En su intimidad, en su «secreta existencia», el nombre de Francisco derivó en el «osito de peluche, Teddy» que, «se prestaba a infinitas variaciones» rimadas e incluso cantadas, en su «afán», sostuvo, de «entretener» al que ha sido el hombre de su vida.

En cuanto a su faceta de escritor, «era, es y será» Ayala el nombre de esa figura pública «respetada y hasta temida» cuya firma aparecía en artículos de prensa y diversos títulos. A lo largo de los años, «se iría borrando para él la frontera entre vida y escritura, realidad e invención, porosidad ésta concienzudamente cultivada por el Ayala escritor». «Y yo, tanto en mi papel de estudiosa de su obra como compañera sentimental, me deleitaba en ir descubriendo en persona o por escrito, esos secretos que, según él, sólo había alcanzado a descifrar yo».

Para concluir, la viuda de Francisco Ayala expresó un deseo: «Ojalá en un futuro no demasiado lejano y mediante la magia de la palabra escrita llegaré a recrear –la relación que ambos mantuvieron– de una vez y para siempre mi propio Francisco con mi Ayala personal».

REUNIÓN DEL PATRONATO, PRESUPUESTO Y PROGRAMACIÓN

Por otra parte, la consejera de Cultura, Rosa Torres, ha presidido hoy la reunión de los patronos de la Fundación, entre los que se encuentra el presidente de la Diputación, Antonio Martínez Caler, el alcalde de Granada, José Torres Hurtado, o el rector de la Universidad de Granada, Francisco González Lodeiro, que han acordado, entre otras cuestiones, conceder la Presidencia de Honor a Richmond, cargó que ocupó Ayala hasta su muerte, el pasado 3 de noviembre.

El Patronato ha aprobado además su presupuesto para 2010, que asciende a 265.100 euros, y la programación de la Fundación para el próximo año, entre la que se incluye el mantenimiento de la web ffayala.es, cada vez más visitada; la formación de una bibloteca especializada, que formará parte de la Red de Centros de Documentación y Bibliotecas Especializadas de Andalucía; la ordenación, descripción, copia y guarda del archivo de Francisco Ayala; así como las actividades de difusión que pretendan facilitar el acceso a su obra.

En 2010 aparecerán además los primeros títulos de una colección de publicaciones de la Fundación coeditada por la Universidad de Granada y se exhibirán los tres primeros documentales producidos por la Fundación con la colaboración del Ministerio de Cultura, en los que amigos del escritor dan testimonio de su figura.

El Patronato ha acordado poner los medios de la Fundación a disposición de las instituciones que en los próximos meses promuevan actos de recuerdo y homenaje a Ayala. Por iniciativa propia, la Fundación organizará asimismo en torno al 16 de marzo, fecha en la que el escritor habría cumplido 104 años, una fiesta con niños, como viene haciendo en los últimos años. En torno al 3 de noviembre, coincidiendo con el primer aniversario de su muerte, se ha previsto la celebración de un encuentro de nuevos investigadores sobre su obra.

Los miembros del Patronato han dado sus muestras de condolencia a Richmond, que ha expresado, ya como presidenta de honor, su agradecimiento por las «incontables» muestras de apoyo y dolor recibidas desde todo el mundo.

En el homenaje de hoy, conducido por el secretario de la Fundación, Rafael Juárez, y que ha iniciado la consejera de Cultura, el actor Constantino Renedo ha leído los textos \’El turista dormido\’, de \’La niña de oro y otros relatos\’ y el final del \’diálogo de los muertos\’, de \’Los usurpadores\’. Entre uno y otro la violonchelista María del Carmen Coronado ha interpretado la \’Suite número 1 en sol mayor\’ de J.S.Bach. En todo momento, Richmond se ha mostrado muy afectada y ha llegado en varias ocasiones a tener que enjugarse las lágrimas con un pañuelo blanco.
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Granada Hoy

Portada: La Junta pide a la UGR que \»mejore y rectifique\» si quiere la Excelencia
Pág. 8: Más de treinta años vinculado a la entidad financiera granadina
Pág. 11: La Sierra inaugura la temporada con un fosfait especial para parados
Pág. 12: Soler pide a la UGR y a la US que \»rectifiquen\» para alcanzar la Excelencia
Pág. 43: Soler apuesta por acercar la empresa a la Universidad
Pág. 58: La viuda de Ayala, nueva presidenta de la Fundación
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Público

pág. 28 y 29: Lorca no aparece donde señaló su enterrador|La atención se centra ahora en la fosa Z-6
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El País

Andalucía – Pág. 5: Soler apuesta por proyectos conjuntos de las universidades
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