La Universidad de Granada tendrá en 2009 un animalario referente en génetica

La Universidad de Granada tendrá en 2009 un animalario referente en génetica

La UGR acomete las obras del futuro animalario del PTS. Contará con 800 metros cuadrados de superficie y albergará a especies de una elevada similitud genética con los humanos.

El centro de investigación Biomédica del Parque Tecnológico de Ciencias de la Salud (PTS) albergará desde finales de este curso uno de los animalarios más ambiciosos del panorama científico actual. Las obras de construcción comenzaron hace unas semanas en el sótano del centro y está previsto que las primeras especies animales comiencen a llegar dentro de cuatro meses.

El espacio, de 800 metros cuadrados de superficie, servirá a todos los laboratorios dependientes de la Universidad de Granada. «Además del tamaño del centro, el animalario es todo un logro debido a las especies animales que albergará», declara Ignacio Molina, vicerrector del PTS, que explica que la mayoría de los animales serán roedores con «interesantes alteraciones genéticas».

Así, el centro tendrá capacidad para ratones transgénicos, inmunodeprimidos o series ´blackout´, a los que se les ha eliminado algún receptor, de tal forma que su similitud con enfermedades humanas los haga realmente fiables en el campo de la investigación.

Una de las novedades del centro será la introducción de una especie cada vez más utilizada en la experimentación científica: el pez cebra. Se trata de uno de los animales más resistentes, al tiempo que casi un 80% de sus genes son similares a los del ser humano, lo que hace que sea un modelo especialmente adecuado para analizar los procesos biológicos de relevancia médica.

Actualmente, el pez cebra se utiliza en los laboratorios Neuron Biopharma, también dentro del PTS.
Seis millones de euros. El proyecto de construcción del animalario supone una inversión de seis millones de euros. Según fuentes del Parque Tecnológico de la Salud, se prevé que las obras finalicen dentro de cuatro meses, como uno de los proyectos de ampliación del PTS.

El complejo biosaniario cuenta ya con más de cien empleados y proyecta su ampliación en suelo de Ogíjares, Armilla, La Zubia y Granada
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D’après une étude, les patients souffrant d’anxiété croient avoir plus de problèmes physiologiques qu’ils en ont vraiment

Une thèse de doctorat réalisée à l’Université de Grenade a démontré que les patients souffrant une pathologie d’anxiété grave (trouble de panique avec ou sans agoraphobie, anxiété sociale ou anxiété généralisée) croient avoir plus d’altérations physiologiques (palpitations, sueur, respiration irrégulière, tremblements de mains, tension musculaire, etc.) qu’ils n’en présentent vraiment. Autrement dit, beaucoup de patients souffrant d’anxiété et qui signalent verbalement par entrevue ou questionnaire des symptômes physiologiques très intenses, sont hyporéactifs lorsque ces symptômes sont réellement testés moyennant des épreuves psychophysiologiques.

Cette recherche a été réalisée par la Docteur Mme María Isabel Viedma del Jesús, et dirigée par les professeurs M. Jaime Vila Castellar et Mme María del Carmen Fernández-Santaella, du Département de Personnalité, Évaluation et Traitement Psychologique. Pour mener à bien ce travail, ont été choisis 83 patients présentant comme diagnostique un des troubles d’anxiété suivants : trouble de panique avec ou sans agoraphobie, anxiété sociale, anxiété généralisée et phobies spécifiques. Tous ont fait l’objet d’un suivi par le programme d’« Évaluation et de Traitement des Troubles d’Anxiété » de l’Unité de Psychologie Clinique de la Faculté de Psychologie.

Patients moins graves
Ce travail a également révélé que les patients qui souffrent une pathologie anxieuse moins grave, tels que les diagnostiquées comme phobie spécifique (crainte excessive et irrationnelle envers un objet ou une situation concrète, tels que certains animaux, sang ou blessures ouvertes, hauteur, orages, espaces clos, etc.), manifestent une haute réactivité aux épreuves psychophysiologiques. Mme Viedma a signalé un rapport entre la capacité de réagir physiologiquement et le pronostique du succès thérapeutique, vu que ce sont précisément les patients de phobies spécifiques qui bénéficient le plus du traitement cognitif conductuel réalisé. Il est donc possible de dire que la présence de symptômes physiologiques est un bon système pour prédire l’amélioration des patients présentant des troubles d’anxiété.

Prévalence dans la société
La chercheuse a souligné que les troubles d’anxiété représentent le problème psychopathologique le plus présent dans les pays environnants. D’après des statistiques américaines, la prévalence des phobies spécifiques oscille entre 8,8 et 12% de la population générale. Bien que peu de personnes manifestant des craintes spécifiques passent à la catégorie de phobiques, pour presque 11% de ces personnes leurs craintes sont suffisamment graves pour affecter significativement leur vie.

La chercheuse a également signalé qu’en vue des résultats de sa recherche, il est démontré que, dans l’évaluation clinique de l’anxiété pathologique, on ne doit pas seulement réaliser des épreuves cognitives verbales et conductuelles (composées traditionnellement d’entrevues et de questionnaires), mais aussi des épreuves psychophysiologiques. « Notre recherche, a souligné Mme Isabel Viedma, a d’importantes implications cliniques en ce qui concerne le diagnostique et le pronostique du succès thérapeutique, ainsi que le dessin de stratégies d’intervention plus efficaces dans le domaine des troubles d’anxiété ».

Une partie des conclusions de cette recherche a été présentée récemment dans des congrès nationaux et internationaux, comme ceux organisés par la Société Espagnole de Psychophysiologie (SEPF) et la Society for Psychophysiological Research (SPR), entre autres.

Référence : Mme María Isabel Viedma del Jesús. Département de Personnalité, Évaluation et Traitement Psychologique de l’Université de Grenade. Tél. : 34 958 243753. Courriel : iviedma@ugr.es


Patients with anxiety disorders think they have more physiological problems than they really have, according to a study

A doctoral thesis carried out at the University of Granada has proved that patients with serious anxiety disorders (panic disorder with and without agoraphobia, social anxiety disorder or generalized anxiety disorder) think they suffer more physiological (palpitations, sweating, irregular breathing, shaking of the hands and muscular tension …) than they really have. In other words, although many patients with anxiety disorders have orally reported very intense physiological symptoms in surveys and questionaires, they are hyporeactive when real measures of such symptoms are taken through physiological tests.

This research work has been carried out by Professor Mª Isabel Viedma del Jesus and supervised by dirigida Professors Jaime Vila Castellar and Mª Carmen Fernández- Santaella, of the department of Personality, Evaluation and Physiological Treatment. It was carried out with 83 patients who had been diagnosed any of the following anxiety disorders: panic disorder with and without agoraphobia, social anxiety, generalized anxiety and specific phobias. They all were looked after in the of “Evaluation and Treatment of Anxiety Disorders” of the Clinical Psychology Unit of the Faculty of Psychology.

Less serious patients
This work has also revealed that those patients who suffer a less serious anxiety disorder, such as those who have been diagnosed specific phbias (excessive and irrational fear irracional of a certain object or situation, such as certain animals, blood or open wounds, heights, storms, closed spaces…) show a high reactivity in the physiological tests. Viedma stresses the existence of relationship between the capacity to ract physiologically and the prognosis of therapeutic success, as it is patients with specific phobias who benefit most of the cognitive- behavioural treatment. Therefore, we can state that the presence of physiological symptoms is a good improvement predictor in anxiety disorder patients.

Prevalencie in society
In accordance with the researcher, anxiety disorders are the most prevalent psycho-pathological problem in European countries. According to US statistics, the prevalence of specific phobias ranges between 8.8 and 12.5% of the general population. Although few of the persons who show specific fears come into the category of phobic, nearly 11% of such people have fears serious enough to affect their lives significantly.

The researcher emphasizes that, in the light of the results of her research work, it has been proved that, in the clinical evaluation of pathological anxiety should not only undergo cognitive-behavioural tests (traditionally consisting of surveys and questionnaires), but also psycho-physiological tests. “Our research work –Mª Isabel Viedma says- has important clinical implications with regard to the diagnose and prognosis of therapeutic success, as well as in the design of more effective intervention strategies in the field of anxiety disorders”.

Part of the conclusions of this research work have been recently presented in national and international conferences such as those organized by the Spanish Society of Psychophysiology (SEPF) and the Society for Psychophysiological Research (SPR), among others.

Reference:
Mª Isabel Viedma del Jesús.
Department of Personality, Evaluation and Psychological Treatment of the University of Granada (UGR).

Phone number: 958243753.
E-mail iviedma@ugr.es


Los pacientes con ansiedad creen tener más problemas fisiológicos de los que realmente padecen, según un estudio

Una tesis doctoral realizada en la Universidad de Granada ha demostrado que los pacientes que sufren una patología de ansiedad grave (trastorno de pánico con y sin agorafobia, ansiedad social o ansiedad generalizada) creen tener más alteraciones fisiológicas (palpitaciones, sudoración, respiración irregular, temblor de manos, tensión muscular…) de las que realmente presentan. Dicho de otro modo, muchos pacientes con ansiedad, a pesar de informar verbalmente de síntomas fisiológicos de gran intensidad en entrevistas y cuestionarios, son hiporreactivos cuando se toman medidas reales de estos síntomas a través de pruebas psicofisiológicas.

Esta investigación ha sido realizada por la doctora Mª Isabel Viedma del Jesus y dirigida por los profesores Jaime Vila Castellar y Mª Carmen Fernández- Santaella, del departamento de Personalidad, Evaluación y Tratamiento Psicológico. Para llevarla a cabo, se trabajó con 83 pacientes diagnosticados de alguno de los siguientes trastornos de ansiedad: trastorno de pánico con y sin agorafobia, ansiedad social, ansiedad generalizada y fobias específicas. Todos ellos fueron atendidos en el programa de “Evaluación y Tratamiento de los Trastornos de Ansiedad” de la Unidad de Psicología Clínica de la Facultad de Psicología.

Pacientes menos graves
Este trabajo ha revelado, asimismo, que los pacientes que sufren una patología de ansiedad menos grave, como son los diagnosticados de fobias específicas (temor excesivo e irracional a un objeto o a una situación en concreto, tales como ciertos animales, sangre o heridas abiertas, alturas, tormentas, espacios cerrados…) sí muestran una alta reactividad en las pruebas psicofisiológicas. Viedma destaca la existencia de una relación entre la capacidad para reaccionar fisiológicamente y el pronóstico del éxito terapéutico, ya que son precisamente los pacientes con fobias específicas los que más se benefician del tratamiento cognitivo-conductual llevado a cabo. Por lo tanto, puede decirse que la presencia de síntomas fisiológicos es un buen predictor de mejora en pacientes con trastornos de ansiedad.

Prevalencia en la sociedad
Como apunta la investigadora, los trastornos de ansiedad son el problema psicopatológico de mayor prevalencia en los países de nuestro entorno. Según estadísticas estadounidenses, la prevalencia de las fobias específicas oscila entre el 8,8 y el 12,5% de la población general. Aunque pocas personas que manifiestan temores específicos entran en la categoría de fóbicos, para casi el 11% de estas personas, sus temores son lo bastante graves como para afectar a sus vidas de una forma significativa.

La investigadora destaca que, a la luz de los resultados de su investigación, ha quedado demostrado que en la evaluación clínica de la ansiedad patológica no sólo deben realizarse pruebas cognitivo-verbales y conductuales (compuestas tradicionalmente por entrevistas y cuestionarios), sino también pruebas psicofisio-lógicas. “Nuestra investigación –destaca Mª Isabel Viedma- tiene importantes implicaciones clínicas en relación al diagnóstico y pronóstico del éxito terapéutico, así como en el diseño de estrategias de intervención más eficaces en el ámbito de los trastornos de ansiedad”.

Parte de las conclusiones de esta investigación han sido presentadas recientemente en congresos nacionales e internacionales como los organizados por la Sociedad Española de Psicofisiología (SEPF) y la Society for Psychophysiological Research (SPR), entre otros.

Referencia:
Mª Isabel Viedma del Jesús.
Departamento de Personalidad, Evaluación y Tratamiento Psicológico de la Universidad de Granada.
Tfno: 958243753.
Correo e-: iviedma@ugr.es


La E.T.S. de Arquitectura celebra el acto de apertura de curso en el nuevo auditorio del Parque de las Ciencias

Mañana, martes, 11 de noviembre, a las 12 h. se celebrará en el nuevo auditorio del Parque de las Ciencias el acto de Inauguración del Curso Académico 2008-2009 de la E.T.S. de Arquitectura de la UGR.

El acto estará presidido por Francisco González Lodeiro, rector de la Universidad de Granada, y contará con las intervenciones de Rafael Carlos Pavón Rodríguez, director general de Vivienda y Arquitectura de la Consejería de Vivienda y Ordenación del Territorio de la Junta de Andalucía; Ernesto Páramo Sureda, director del Parque de las Ciencias, y Juan Calatrava Escobar, director de la E.T.S. de Arquitectura

El arquitecto Josep Llinás, ofrecerá la conferencia ”Obra reciente”.

CONVOCATORIA:
Día: Martes, 11 de noviembre.
Hora: 12 horas.
Lugar: Nuevo auditorio del Parque de las Ciencias.


Inauguración de la VIII Semana de la Ciencia en la Facultad de Ciencias de la UGR

El decano de la Facultad de Ciencias de la Universidad de Granada, Antonio Ríos Guadix; la delegada de Educación de la Junta de Andalucía en Granada, Ana Gámez Tapias, y el vicerrector de Extensión Universitaria y Cooperación al Desarrollo de la UGR, Miguel Gómez Oliver, inaugurarán mañana martes, 11 de noviembre, a las 13,30 horas, las actividades programadas con motivo de la VIII Semana de la Ciencia en la Facultad de Ciencias de la UGR.

CONVOCATORIA
DÍA: Martes, 11 de noviembre
HORA: 13,30 h.
LUGAR: Hall de la Facultad de Ciencias

Referencia: Decanato de la Facultad de Ciencias. Tlf: 958 243379. Correo e: decacien@ugr.es

Web: http://www.semanadelaciencia.es


El coro de la Catedral de la Madeleine (USA), con más de 80 niños cantores, ofrece un concierto organizado por la UGR

El Coro de la Catedral de la Magdalena (“The Choir of The Cathedral of the Madeleine”) ofrece, el martes 11 de noviembre de 2008, en la Basílica de San Juan de Dios, un concierto dirigido por Gregory Glenn, y acompañado al órgano por Douglas O´Neil. Su repertorio abarca autores de todas las épocas y escuelas, que van desde el Renacimiento español hasta la música del siglo XX.

Se trata de uno de los coros infantiles más importantes de Estados Unidos, constituido por más de 80 niños cantores, de edades comprendidas entre los 8 y 12 años de edad. El concierto, organizado por la Cátedra Manuel de Falla del Centro de Cultura Contemporánea del Vicerrectorado de Extensión Universitaria y Cooperación al Desarrollo de la UGR, es de entrada libre, limitada al aforo del recinto.

“The Madeleine Choir”
La Escuela de Canto de Madeleine comenzó a ofrecer preparación musical y académica en el año 1996. Originalmente las clases, para estudiantes de entre cuatro y ocho años, se realizaban en los bajos de la Catedral. Actualmente la escuela ocupa su propio campus, situado junto a la Catedral. El “Madeleine Choir School” ofrece un programa coral a tiempo completo y ha ampliado su currículo para enseñar canto. Los miembros del coro cantan durante las diferentes liturgias que se celebran en la Catedral de la Magdalena, especialmente durante la Semana Santa y la Navidad cada año. En últimos años el Coro ha viajado y actuado en diferentes países de Europa, entre ellos Inglaterra, Austria y Francia. Asimismo, ha realizado cuatro grabaciones discográficas (en los años 1994, 1997, 2002 y 2005). Para esta gira de conciertos que realiza en España durante el mes de noviembre de 2008, el grupo esta formado por 85 voces, mitad niños y mitad niñas, de edades comprendidas entre 8 y 12 años.

Gregory Glenn, director
Gregory Glenn es el director de Liturgia y Música de la Catedral de la Magdalena y director de la “Madeleine Choir School”, desde hace dieciocho años. Completó su graduado en teología litúrgica en la Universidad Católica de América en Washington D.C., y realizó sus estudios como concertista de órgano en la “Seattle Pacific University”. En la catedral supervisa todos los programas litúrgicos musicales junto al coro para los servicios diarios y de los domingos, así como para los conciertos anuales, los diferentes tours, grabaciones y las series del festival de “Órgano Eccles”. En el año 1996 vio la oportunidad de abrir la Escuela de Música Coral de la Catedral, la única Escuela Catedralicia de Música Coral en los Estados Unidos, con unos 300 estudiantes. En Mayo de 2008 recibió el premio anual en Artes y Humanidades “Madeleine Arts & Humanities”.

Douglas O´Neil, organista
Primer premio del Festival de Órgano de Dublin en el año 1999, O´Neil es un activo organista, pianista y arpista. Obtuvo su titulación en la Universidad de Evansville, en la Universidad de Iowa y en la Universidad de Kansas, donde completó sus estudios en Música Sacra. Sus principales profesores han sido Douglass Reed, Delbert Disselhorst y James Higdon. Ha actuado como solista y como acompañante en conciertos por todos los Estados Unidos y Europa, incluyendo el Festival Internacional de Coros y Órgano de Dublín. También ha actuado en los encuentros regionales y nacionales de la Convención de los Organistas de America, en los encuentros de la “American Choral Directors” y en los Encuentros de trompetistas nacionales.

Como amante de la música contemporánea, ha realizado numerosos trabajos que van más allá de la música tradicional de órgano con voces y clarinete, junto al tenor Matthew O´Neil y el clarinetista Amy Simmons. Con anterioridad ha trabajado como organista en la Universidad de South Sewance de Tennessee, en la facultad de Evansville, y como organista asociado y director de órgano en la Academia de Santa Cecilia en la Catedral de Omaha.

Programa

Peter Phillips (1561-1628). Ecce vicit Leo
Alonso Lobo (1555-1617). Versa est in luctum
Giovanni Bassano (1558-1617). Dic nobis Maria
Sergei Rachmaninoff (1873-1943). Blazhén muzh ( Blessed in man). VoskreséÑiye Hristóvo vídevshe (Having Beheld Ressurection)
Francisco Guerrero (1528-1599). Ave virgo sanctissima
Anton Bruckner ( 1824-1896). Os Justi
Russell Woollen ( 1923-1995). Nativitie
Francisco Guerrero ( 1528-1599). Maria Magdalena
Benjamin Britten ( 1913-1976). Hymn to the Virgin
James MacMillan (b.1959). A Child´s Prayer
William Harris ( 1883-1973). Faire is the Heaven
Deep River (African American Spiritual). Arr.Michael Tippet ( 1905-1998)
Gustav Holst (1874-1934). Nunc dimmitis

Actividad: Concierto “The Choir of The Cathedral of the Madeleine”
Director: Gregory Glenn
Organista: Douglas O´Neil
Organiza: Cátedra Manuel de Falla de la UGR
Lugar: Basílica de San Juan de Dios
Fecha: martes, 11 de noviembre de 2008
Hora: 20.30 h.
Entrada: Libre (limitada al aforo del recinto)

Referencia:
Profesor Joaquín López González. Director de la Cátedra Manuel de Falla. Universidad de Granada.
Tlf. 958246373 y 958 243484.
Correo e.: jologon@ugr.es
http://www.ugr.es/~veu/minforquesta.htm


Granada Hoy

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ABC

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La Universidad, la acción sindical y la organización, focos centrales del día

La Universidad, la acción sindical y la organización, focos centrales del día

Las carencias en el ámbito universitario y la acción sindical y la organización de Comisiones Obreras (CC.OO.) fueron los temas centrales de las ponencias que se realizaron con motivo del V Congreso por la Dignificación de la Enseñanza que se celebró en la mañana de ayer en el Hotel Melilla Puerto.

En la primera ponencia tomó la palabra el presidente del Comité de Empresa del Profesorado de las Universidades Andaluzas, César Solano, que explicó al auditorio el trabajo y funciones de la institución, así como las carencias procedentes del Primer Convenio Colectivo para el Profesorado Docente Investigador (PDI) firmado en 2007 y que se aprecian tras un año en vigor.
Solano destacó la falta de cumplimiento de algunos artículos del convenio, sobre todo en lo que concierne a los derechos sindicales de los docentes del ámbito universitario. En primer lugar, y haciendo referencia a las cuestiones de las vacantes, señaló que no se producen, en primera instancia, la convocatoria de plazas de promoción, que permitiría al profesorado no titular poder acceder a una mejora de su puesto actual así como de sus condiciones laborales. Dentro del mismo campo, Solano denunció que no se produce una regulación docente de plazas ofertadas y demandadas, lo que provoca la incomunicación con la Universidad de Granada (a la que se encuentra adscrita el campus de la ciudad) y que se produzca escasez de profesores, con la consecuencia inmediata de que una vez comenzado el curso escolar, haya asignaturas sin docentes para impartirla.

Formación del profesorado

En relación con la formación del profesorado, Solano explicó que actualmente no se han llevado a cabo ciertos puntos del convenio, tales como la existencia de una relación de puestos laborales, que indique al docente cual es su trabajo concreto, la información del papel del profesor ante el nuevo Espacio Europeo de Educación Superior (EEES), la aplicación de las condiciones de acumulación docente, en las que el profesorado tiene derecho a varias actividades de investigación y experiencias y la formación continua y reciclaje de los profesores universitarios. Solano recalcó que muchas de estas cuestiones no están ni siquiera negociadas, a pesar de incluirse en el articulado del convenio.
En su ponencia, también subrayó las carencias en el ámbito de salud laboral, las retribuciones de los profesores, la convocatoria de asambleas y la elevación de la información a la Universidad. Para concluir, Solano comentó al auditorio que muchos de estos problemas serán resueltos con la existencia de una Mesa de Negociación, acto que la Universidad de Granada no ha planteado, ya que según Solano “supondría demasiados gastos”.
La segunda ponencia correspondió al secretario de Acción Sindical, Miguel Domínguez, que tuvo como meta fundamental presentar los objetivos de carácter general de CC.OO, así como los métodos y procedimientos más adecuados paras alcanzarlos.

Problemas educativos

Domiguez explicó los problemas del sistema educativo en la ciudad, entre los que recalcó la anómala situación administrativa que impide la existencia de un órgano específico que desarrolle y gestione la política educativa de Melilla y la inexistencia de un Consejo Escolar de la ciudad, capaz de reflexionar sobre los problemas educativos y establecer estrategias de acción. Además, entre los problemas que afronta Melilla en el terreno educativo, también identificó la insuficiencia de infraestructuras educativas y de escasez de la oferta de enseñanza complementaria, la ausencia de una política específica para resolver los problemas derivados de los desfases lingüísticos o culturales y las deficiencias de la enseñanza universitaria, determinada por la oferta y la precariedad de medios.
Domínguez afirmó que para la organización, “constituye un objetivo prioritario contribuir a la superación de estos problemas”.
Además, en la ponencia, destacó también que alguno de los objetivos marcados por CC.OO. son la mejora de la calidad de la enseñanza, promover una seria de reivindicaciones profesionales, entre las que se encuentra la adecuación de la jornada laboral para los docentes o la promoción profesional y mejorar el ámbito de negociación con el Ministerio de Educación, Política Social y Deporte (Mepsyd) y la Dirección Provincial.

Nuevos Objetivos

La última de las tres ponencias, realizada por el secretario de organización, Ricardo Jimeno, se centró en la organización que se tiene prevista para los próximos cuatro años. Jimeno explicó que para esta renovación organizativa se han tenido en cuenta tres factores básicos. En primer lugar, destacó que el trabajo de CC.OO se centrará en la negociación con el Mepsyd, intentando “disminuir las desigualdades en materia administrativa en relación al resto de Comunidades y Ciudades Autónomas”. El segundo factor hace referencia a la compleja realidad educativa de la ciudad, que requiere atención especial del sindicato y por último, el tercer factor que se ha tenido en cuenta, según Jimeno, para renovar la organización, es la experiencia sindical ya obtenida por los miembros de las diferentes asociaciones.
Tras la explicación de los factores de la organización, expuso a los asistentes los siete objetivos que se quieren obtener durante los próximos cuatro años, entre los que destacó la mejora de la prestación de los servicios básicos de formación e información a los docentes, la consolidación de la figura del delegado de centro y la optmización de los recursos humanos disponibles. El último objetivo planteado por Jimeno fue la mejora de la política afiliativa, a través de diversas campañas, un servicio de atención al afiliado e información individualizada para los mismos.
Tras la exposición de las ponencias, se propuso y se aprobó sin complicaciones, la propuesta de los miembros para la nueva Ejecutiva. En ella estarán de titulares Isabel Bonachera, Ricardo Jimeno, Miguel Domínguez, Leticia Peña, Paloma Carrillo e Inmaculada Hernández. Los suplentes son Ramón Gutierrez, Elena Pérez, Pilar González, Jesús Manuel Rodríguez, Maria del Carmen Solís y Josefa Muñoz.
Para finalizar el V Congreso por la Dignificación de la Enseñanza se ofreció un temtempié a los asistentes, en el mismo salón del Hotel Melilla Puerto.

Un homenaje a un hombre que ha dedicado su carrera profesional a la Enseñanza
El presidente de la Junta Docente no Universitaria, Miguel Ángel Gutierrez, recibió con sorpresa un homenaje organizado por CC.OO debido a su jubilación.
El homenaje se realizó antes de la inauguración del congreso y a él asistieron el consejero de Educación, Antonio Miranda y el delegado provincial del Mepsyd, Miguel Heredía. El evento consistió en un vídeo, presentado enformato multimedia, en el que se hacía un repaso por su trayectoria profesional en la enseñanza, entre los que se destacó la presencia en sus diferentes destinos, la presión a la que tuvo que resistir durante el régimen franquista y la labor realizada en algunos de los centros ‘conflictivos’ de la ciudad.
También recibió un obsequio, consistente en una reproducción de la escultura que diseño para la primera ponencia de interculturalidad que organizó él y que se encuentra expuesta frente al Hotel Melilla Puerto.
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