75% of hospital patients suffer from malnutrition regardless of their pathology

– 75% of hospital patients suffer from malnutrition regardless of their pathology.

A study of 817 patients conducted in the Department of Nutrition and Bromatology at the University of Granada (UGR), in collaboration with the Unit of Nutrition and Dietetics at the hospital Virgen de las Nieves (Granada, Spain) of 817 patients, showed that 75% of hospitalised patients suffer from malnutrition regardless of their pathology.

The study, which was carried out in patients older than 18 in all the departments of the hospital except Psychiatry and Ophthalmology, showed that, although hospitals have enough resources to prevent malnutrition, it is caused due to the poor administration of resources and the lack of importance given to nutrition.

The study, which was carried out by Gabriela Lobo Támer and led by researchers Dolores Ruiz L? and Antonio Pérez de la Cruz, analysed a series of biochemical parameters defining the nutritional status, such as albumin – a protein found in blood plasma that synthesizes in the liver. Thus, 75% of patients analysed had less than 3.5 grams of this protein per volume of blood (milliliter) – the minimum to consider that patients are well nourished.

Lobo Támer highlighted that her study showed that 75% of patients are already undernourished when admitted, although 40-50% of analysed subjects condition worsened while staying at the hospital, depending on the department they were admitted to.

This study also revealed, for the first time, how much it costs to the Public Administration both hospital stay and treatment for each patient. The average is between 3,500 Euro and 6,000 Euro (only for food and medication). Hospital staff, diagnoses, fungibles, etc. are not taken into account). Oncology and Hematology being the most resource-consuming services. Patients who undergo heart surgery and those who have a bone marrow transplant cost the most to the health system, as sometimes these operations cost more than 35,000 Euro.

The study concluded that the times at which food is served in Spanish hospitals are not the most appropriate, and contribute to malnutrition. It would be advisable to adapt eating hours to better suit the Spanish lifestyle. In Spain lunch and dinner is later than in the rest of Europe and patients have to change their eating habits during their hospital stay.
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Alumnos de Enfermería no pagarán cuotas por no estar integrados en Granada

– Alumnos de Enfermería no pagarán cuotas por no estar integrados en Granada

Los 120 estudiantes que están matriculados en la Escuela Universitaria de Enfermería de Ceuta han decidido no pagar las cuotas de su matrícula en señal de protesta por la no integración de la escuela en la Universidad de Granada, de la que depende administrativamente.

En un comunicado, los estudiantes que están en el tercer curso han informado de que no abonarán las cuotas como una medida de presión por los continuos retrasos en la integración, al contrario de lo que ha sucedido en Melilla, que sí ha sido integrada en el centro andaluz.

Los estudiantes culpan a la Universidad de Granada al indicar que el Gobierno de Ceuta y la Delegación del Gobierno han dado los pasos adecuados, pero que el organismo universitario andaluz no hace ni hará nada.

El 80 por ciento de los estudiantes que están en Ceuta son alumnos de Andalucía pero la escuela ceutí está sólo adscrita a la Universidad de Granada, de ahí las diferencias en cuanto al pago de cuotas y otra serie de asuntos educativos.

Los alumnos han advertido que tampoco abonarán el recargo que puede llegar con el impago de las cuotas.
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LE MAURE D’ANDALOUSIE DE JOSÉ ANTONIO GONZÁLEZ ALCANTUD

– LE MAURE D’ANDALOUSIE DE JOSÉ ANTONIO GONZÁLEZ ALCANTUD

Le masque du Maure ramené aux Andalousies continue de hanter et de séduire.

Avec son ouvrage Le Maure d’Andalousie(*) (traduit de l’espagnol vers le français par Jean-Pierre Auguin), José Antonio González Alcantud vient essayer, à son tour, d’apporter quelque clarté sur la problématique si importante et si gênante à la fois d’un mythe pur produit de l’histoire humaine, – et non pas seulement sur l’interpénétration de l’Islâm et de la Chrétienté dans la péninsule Ibérique. Ce mythe a tout le caractère de l’être exclu: le Maure d’Andalousie. Connaître cet être, souvent cet Autre soi-même, si l’on n’est tout de passion consciente, conduit à nier une sûre et certaine identité de l’être, laquelle pourtant fixe, fût-ce par le seul langage, ce que l’auteur irréductiblement engagé appelle «notre matérialité la plus immatérielle». Or le langage est essentiel: il nous dit et nous distingue de notre semblable avec lequel nous partageons une terre de vie commune, une patrie, mais aussi il nous définit bien au-delà de l’histoire des pays méditerranéens. Le Maure a-t-il droit à sa part indivisible dans la vie quotidienne en Espagne?
En effet, autrement posée, la question du Maure ne serait qu’une boutade ancrée dans la mémoire courte d’un philosophe, d’un historien, d’un politicien, d’un général d’armée et qui, emballant sèchement histoire, civilisation, culture dans une outre ordinaire, sombre et inhumaine, prescrit «La peur de l’orientalité», comme choc de civilisations entre ce qui n’est pas occidental et l’occidentalité.» Cette conception pousse au refus de l’Autre, allume et rallume des foyers de conflits…
José Antonio Gonzalez Alcantud, professeur d’anthropologie à l’Université de Grenade, se propose dans son livre Le Maure d’Andalousie d’examiner, en les analysant et en les commentant à l’aide d’articles pertinents déjà publiés et inédits, «Les raisons d’une exclusion et la formation d’un stéréotype» à partir d’un cas toujours essentiel, toujours exemplaire, toujours actuel, celui des Maures et précise l’apport musulman, à travers eux et par eux, à l’Andalousie, notamment «dans la constitution de l’entité espagnole et dans celle de l’Europe».
Le livre prétend s’adresser au public français, ce qui est une intention très réductrice eu égard à l’importance du sujet et à l’engagement de l’auteur. Ce livre pourrait, il devrait aussi intéresser, les peuples méditerranéens et, en premier chef, les Maghrébins dont les ancêtres immigrés se sont mélangés aux habitants de la péninsule Ibérique au viiie s., provoquant l’effondrement du royaume wisigothique xénophobe de Tolède (711) et faisant spécialement de l’Andalousie une terre de civilisation. On peut se demander avec Lévi-Provençal «pourquoi, et sans aller plus loin, l’école historique actuelle n’insiste pas avec davantage de force sur cette circonstance indéniable: qu’en devenant un lac musulman, la Méditerranée ne devint pas du même coup un lac barbare, une mer obscure et brumeuse, dont nul phare n’éclairait désormais les contours (La Civilisation arabe en Espagne, p.105).»
Mais nous avons une vraie explication chez González Alcantud: «Habitués durant trois siècles à créer des stéréotypes les uns des autres, nous les peuples européens, nous trouvons prisonniers d’une stéréotypisation qu’elle soit amicale ou phobique, ce qui revient au même, des images d’autrui. […] Mais dans le discours historique, un travail déconstructif doté du même niveau d’efficacité n’a pas encore été mené à terme.» Dans la préface au livre, on lit aussi: «Le Maure d’Andalousie est un «phantasme» culturel qui circule en plusieurs directions de par son caractère polyédrique et polymorphe, comme les mythes classiques, mais possède également une historicité qui ne le fait pas égal à lui-même. […] Le Maure d’Andalousie comme phantasme en arrive même à bloquer des problèmes tels que l’immigration récente, générant une compassion «aprioristique» qui empêche de voir le fond épistémique de celle-ci, c’est-à-dire l’homme réel. Ce qui entraîne de graves répercussions. En effet, par exemple, le Maure, le fait Maure, est perçu et décrit constamment dans la réalité et la fiction du quotidien de l’Espagne ancienne et de l’Espagne moderne où la pensée des uns et des autres frise le délit de race. Le sujet est traité en quatre parties: 1-Les raisons anthropologiques d’un échec: la révolte des Morisques. 2-Le legs andalou, réalité et fiction. 3-Émergence rituelle et imaginaire du fait Maure. 4-Problèmes contemporains et immédiats de l’altérité irrédimée. Une conclusion théorique porte sur le terme «Maure» et ses significations sous le titre L’identité Maure: fantasmatique et ipséité. Peut-être un glossaire et un index ajoutés auraient été aussi d’une grande utilité.
Quoi qu’il en soit la terre d’al-Andalus ne cesse de revendiquer à bon droit une place de tout premier plan dans l’évolution de l’Espagne, même après 1492 et garde encore de nos jours beaucoup de sa splendeur de souveraine de l’esprit, -ce qui laisse certains méditer sur le drame moral de l’Espagne moderne et d’autres discourir sur les valeurs portées par le Maure d’Andalousie. Mais quand la mémoire est lourde, il est vrai que les mots qui l’expriment sont parfois trop légers, et quand cela est, la pensée court le danger d’historicité.
José Antonio González Alcantud nous aura tous avertis. Le débat reste ouvert,- mais a-t-il jamais cessé de l’être? L’actualité sociale espagnole bat le rappel: tout est sujet à polémique. «La difficulté, pour les mentalités espagnoles d’assimiler l’altérité, se reflète dans la réaction des gens du cru face aux convertis de l’Albaicín, à qui ils adressent la parole en ces termes: Pour un Arabe, vous parlez très bien l’Espagnol. L’extranéité castriste installée au coeur de la vie sociale durant plusieurs siècles empêche d’assumer l’élément maure comme quelque chose qui vous appartient en propre, comme faisant partie de l’espagnolité.» Assurément, cela rappelle quelque chose aux peuples qui ont connu la totale colonisation dans ses «oeuvres historiques de pacification et d’émancipation».
Le Maure d’Andalousie, écrit avec le soin indispensable en anthropologie historique, est une oeuvre dense, puissante, instructive; elle nous concerne, nous les Maghrébins qui avons l’expérience salutaire de l’émergence et payé chèrement notre droit à la liberté d’être nous-mêmes chez nous. Cette oeuvre gagnerait beaucoup à être traduite en arabe.
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Night Vision for Your Car

– Night Vision for Your Car

Dipped (traditional) headlights only illuminate about 56 meters when the breaking distance at 100 km/h is about 80 meters, says Professor Ros Vidal of the University of Granada.

And with about 42% of fatal car accidents happen at night, it is becoming more apparent that something needs to be done. Even though 42% seems relatively low, one must consider that there is just over 60% less traffic during the night time hours. Many of these accidents are due to reduced visibility and a smaller field of view from the lack of illumination from traditional headlights.

The Department of Computer Architecture at the University of Granada is currently working to solve this problem. They have created an electronics system that when installed on a vehicle significantly improves driving capability during the hours of decreased visibility. The system uses night visors and Infrared (IR) cameras that feed a central computer which in turn informs the drives via a Heads-Up Display (HUD), acoustics or other means.

The IR cameras can see farther than the illumination of current headlights. The cameras constantly scan, allowing the microchip to analyze and update the information. The system can detect things such as bends or turns in the road, debris, pedestrians, other cars and animals. It also gives a read out of how far away the object in question is. It does this by using the depth of the scene interpreted in an array of colors. Red means closer and potentially more dangerous, blue means further away and not as much of a threat. All of this information is fed to the driver in real-time.

With and increasing number of dangers associated with driving, it is becoming more important for us to pay closer attention and use every available resource to reduce our risk. As our Advanced Driving Assistant Systems improve, they will be more readily available to the general public. With the help of researchers like Professor Vidal and more driving discipline on the part of the consumer the road will be at least a little bit safer.
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La Universidad rechaza ser juez sin opositar

– La Universidad rechaza ser juez sin opositar.

La reforma del sistema de acceso a la Judicatura y la Fiscalía planteada por el Ministro de Justicia si el PSOE gana las elecciones levanta ampollas entre jueces, profesores y estudiantes de Derecho.

Atraer a los estudiantes de las universidades públicas con mejores notas y «pescar allí donde están pescando los grandes despachos de abogados». Traducción: cómo ser juez sin tener que opositar. He aquí la última y controvertida propuesta lanzada por Mariano Fernández Bermejo, desde su puesto al frente del Ministerio de Justicia.

Envuelto en polémica desde que accedió al cargo, Bermejo se ha sacado un nuevo as de la manga al anunciar que, si el PSOE vence en las elecciones de marzo, impulsará la reforma del sistema de acceso a la judicatura. ¿Su objetivo? Permitir que los estudiantes con mejor expediente se conviertan en jueces sin tener que opositar y paliar, asimismo, el descenso del número de personas que se preparan para ser jueces o fiscales, que el propio Bermejo califica como «alarmante».

Los primeros en pararle los pies al titular de Justicia han sido sus propios compañeros de partido. Si el secretario de organización del PSOE, José Blanco, aseguró que «es una propuesta», la vicepresidenta primera del Gobierno, María Teresa Fernández de la Vega, no le fue a la zaga y señaló que «no está decidido que entre en el programa electoral».

La cautela de los políticos socialistas contrasta con las críticas que el plan ha desatado en la comunidad universitaria. «Las oposiciones garantizan que la gente está preparada y la imparcialidad. Son el mal menor, el método menos malo», aduce José María Suárez, director del Departamento de Derecho Moral y Política I de la Complutense.

Teresa Freixes, catedrática de Derecho Constitucional de la Universidad Autónoma de Barcelona, no cree que «el sistema español garantice que el acceso a la profesión se haga de la mejor forma sólo con el título de licenciado». Freixes cita el ejemplo de Alemania, «sin oposición, pero con siete años de estudio y dos exámenes del Estado».

Pablo Sánchez-Ostiz, decano de Derecho de la Universidad de Navarra lanza un interrogante: «¿No sería más oportuno empeñarse en en fomentar estudios, en grado y posgrado, de gran calidad?».

Según Bermejo, el número de licenciados que se presentaron a las oposiciones pasaron de 6.000 en el año 2000 a menos de 4.000 en 2006. De las 150 plazas ofertadas en 2005, 15 quedaron desiertas, mientras que la cifra rebasó la treintena el pasado año.

El nuevo juez concebido por Bermejo debe ser un experto en Derecho y una persona «impregnada de vida, no alejada de la realidad». Una idea que se desmarca del actual modelo de oposición, que incluye la memorización de un extenso temario -el tiempo medio de preparación rebasa los 5,5 años- y un periodo de prácticas.

Para algunos, el aspecto a mejorar es precisamente ese último eslabón de la cadena. Según Marta Gisbert, docente de Derecho de la Universidad Pontificia de Comillas, «quizás los cambios deben producirse entonces, alargando su estancia en la Escuela Jurídica e incorporando una preparación más cercana a la realidad».

Las voces críticas se alzan también entre los magistrados. Defienden que la titulación en Derecho es insuficiente, ya que existen temas específicos que sólo se preparan durante la oposición. Víctor Blanco, juez en Tenerife, califica de «injusta» la medida y asegura que «la oposición es el sistema que te asegura la igualdad, una garantía de que sabes todo y de que aprueba el más preparado».

La medida tampoco ha cosechado apoyos entre los jueces del futuro, hoy estudiantes. «Tener un buen expediente no significa que seas el más apto. La oposición es muy dura, pero eliminarla es excesivo y poco útil para mejorar la calidad de los jueces», recalca Pablo Fernández, alumno de Derecho en la Universidad de Granada.
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Los avances más recientes en la investigación biomédica a estudio en un curso de la Universidad de Granada

El VI Curso sobre Investigaciones Biomédicas se celebra entre el 25 y 26 de octubre, en el Aula Magna de la Facultad de Farmacia y cuenta con la participación de expertos de varias universidades, complejos hospitalarios y centros de investigación españoles. Está dirigido a doctores, licenciados y estudiantes de licenciaturas afines con la Biomedicina.

Los objetivos del curso se centran en la búsqueda de los modos de control de las enfermedades, a través del uso de las actuales técnicas moleculares destinadas al diagnóstico e identificación de los agentes causantes de las mismas, y en el estudio de la efectividad y seguridad en la aplicación de los medicamentos para la prevención y curación por parte de los equipos de salud.

Organizado por el Instituto de Parasitología y Biomedicina López Neyra, el Consejo Superior de Investigaciones Científicas, la Facultad de Farmacia de la Universidad de Granada y la Academia Iberoamericana de Farmacia este curso se enmarca en el contexto de especialización que sobre diferentes áreas de la investigación biomédica y atención farmacéutica se vienen realizando en Granada desde hace diez años.

Referencia: Ana Moreno, Secretaría del Curso. Departamento de Bioquímica y Biología Molecular. Facultad de Farmacia. Universidad de Granada. Teléfono: 958 24 19 31. Correo e: prografa@ugr.es


Torres Hurtado pide esfuerzo a la Policía Local en el «trato correcto» a los ciudadanos

– Torres Hurtado pide esfuerzo a la Policía Local en el trato correcto a los ciudadanos

El alcalde de Granada, José Torres Hurtado (PP), ha pedido a la Policía Local un mayor esfuerzo para atender de forma correcta y con mayor educación a la ciudadanía para ganarse el crédito de nuestra sociedad, ante las últimas denuncias que se han presentado contra el cuerpo armado.

Torres Hurtado, que ha hecho estas declaraciones durante la apertura del curso de la Academia de Policía Local, ha dicho ser consciente de la complejidad del trabajo que desempeña este cuerpo armado, por ser la Policía que mayor contacto tiene con la ciudadanía.

En este sentido, ha indicado que aunque siempre defenderé a la Policía en todas sus actuaciones, ha considerado que este cuerpo armado debe actuar de forma mas correcta y con más educación, algo que yo sé que no es fácil, por las situaciones difíciles que se pueden presentar, con ciudadanos que se pueden tensar.

Por ello, ha emplazado a la Policía Local a actuar de forma correcta a la vez que firmes, algo que, a su juicio, se puede conseguir a través de una correcta formación como la que imparte la Policía Local a través de su Academia. A este respecto, el portavoz de la Policía Local, Antonio Bezares, en declaraciones posteriores a los periodistas, ha explicado que los cursos que imparte la Academia incluyen formación psicológica para dotar a los agentes de habilidades sociales en el trato a los ciudadanos.

Igualmente, ha señalado que durante el presente curso académico, la Academia de la Policía Local hará especial hincapié en la formación de los agentes en idiomas, especialmente en inglés y árabe, en atención a la gran cantidad de turistas y ciudadanos árabes que hay en la ciudad.

Bezares ha anunciado que el Ayuntamiento proyecta firmar en breve un convenio con la Universidad de Granada para impartir un curso universitario de 600 horas en formación de inglés en tres niveles dirigido a agentes de la Policía Local.

Para el portavoz policial, antes que crear una dotación de policía turística dentro del cuerpo, como se ha barajado, es más razonable que el mayor número de agentes cuente con formación, como los idiomas, que les capacite para atender a los turistas.

El alcalde, que ha anunciado que la Junta Local de Seguridad se reunirá el próximo día 31, se ha referido, por último, a las críticas de IU por la compra de pelotas de gas pimienta para la Policía Local.

Torres Hurtado ha asegurado que estas técnicas disuasorias están homologadas por los organismos pertinentes y ha reprochado a la coalición de izquierdas que no pierda ocasión para criticar a la Policía Local.
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LE MAURE D’ANDALOUSIE DE JOSÉ ANTONIO GONZÁLEZ ALCANTUD

– LE MAURE D’ANDALOUSIE DE JOSÉ ANTONIO GONZÁLEZ ALCANTUD

Le masque du Maure ramené aux Andalousies continue de hanter et de séduire.

Avec son ouvrage Le Maure d’Andalousie(*) (traduit de l’espagnol vers le français par Jean-Pierre Auguin), José Antonio González Alcantud vient essayer, à son tour, d’apporter quelque clarté sur la problématique si importante et si gênante à la fois d’un mythe pur produit de l’histoire humaine, – et non pas seulement sur l’interpénétration de l’Islâm et de la Chrétienté dans la péninsule Ibérique. Ce mythe a tout le caractère de l’être exclu: le Maure d’Andalousie. Connaître cet être, souvent cet Autre soi-même, si l’on n’est tout de passion consciente, conduit à nier une sûre et certaine identité de l’être, laquelle pourtant fixe, fût-ce par le seul langage, ce que l’auteur irréductiblement engagé appelle «notre matérialité la plus immatérielle». Or le langage est essentiel: il nous dit et nous distingue de notre semblable avec lequel nous partageons une terre de vie commune, une patrie, mais aussi il nous définit bien au-delà de l’histoire des pays méditerranéens. Le Maure a-t-il droit à sa part indivisible dans la vie quotidienne en Espagne?
En effet, autrement posée, la question du Maure ne serait qu’une boutade ancrée dans la mémoire courte d’un philosophe, d’un historien, d’un politicien, d’un général d’armée et qui, emballant sèchement histoire, civilisation, culture dans une outre ordinaire, sombre et inhumaine, prescrit «La peur de l’orientalité», comme choc de civilisations entre ce qui n’est pas occidental et l’occidentalité.» Cette conception pousse au refus de l’Autre, allume et rallume des foyers de conflits…
José Antonio Gonzalez Alcantud, professeur d’anthropologie à l’Université de Grenade, se propose dans son livre Le Maure d’Andalousie d’examiner, en les analysant et en les commentant à l’aide d’articles pertinents déjà publiés et inédits, «Les raisons d’une exclusion et la formation d’un stéréotype» à partir d’un cas toujours essentiel, toujours exemplaire, toujours actuel, celui des Maures et précise l’apport musulman, à travers eux et par eux, à l’Andalousie, notamment «dans la constitution de l’entité espagnole et dans celle de l’Europe».
Le livre prétend s’adresser au public français, ce qui est une intention très réductrice eu égard à l’importance du sujet et à l’engagement de l’auteur. Ce livre pourrait, il devrait aussi intéresser, les peuples méditerranéens et, en premier chef, les Maghrébins dont les ancêtres immigrés se sont mélangés aux habitants de la péninsule Ibérique au viiie s., provoquant l’effondrement du royaume wisigothique xénophobe de Tolède (711) et faisant spécialement de l’Andalousie une terre de civilisation. On peut se demander avec Lévi-Provençal «pourquoi, et sans aller plus loin, l’école historique actuelle n’insiste pas avec davantage de force sur cette circonstance indéniable: qu’en devenant un lac musulman, la Méditerranée ne devint pas du même coup un lac barbare, une mer obscure et brumeuse, dont nul phare n’éclairait désormais les contours (La Civilisation arabe en Espagne, p.105).»
Mais nous avons une vraie explication chez González Alcantud: «Habitués durant trois siècles à créer des stéréotypes les uns des autres, nous les peuples européens, nous trouvons prisonniers d’une stéréotypisation qu’elle soit amicale ou phobique, ce qui revient au même, des images d’autrui. […] Mais dans le discours historique, un travail déconstructif doté du même niveau d’efficacité n’a pas encore été mené à terme.» Dans la préface au livre, on lit aussi: «Le Maure d’Andalousie est un «phantasme» culturel qui circule en plusieurs directions de par son caractère polyédrique et polymorphe, comme les mythes classiques, mais possède également une historicité qui ne le fait pas égal à lui-même. […] Le Maure d’Andalousie comme phantasme en arrive même à bloquer des problèmes tels que l’immigration récente, générant une compassion «aprioristique» qui empêche de voir le fond épistémique de celle-ci, c’est-à-dire l’homme réel. Ce qui entraîne de graves répercussions. En effet, par exemple, le Maure, le fait Maure, est perçu et décrit constamment dans la réalité et la fiction du quotidien de l’Espagne ancienne et de l’Espagne moderne où la pensée des uns et des autres frise le délit de race. Le sujet est traité en quatre parties: 1-Les raisons anthropologiques d’un échec: la révolte des Morisques. 2-Le legs andalou, réalité et fiction. 3-Émergence rituelle et imaginaire du fait Maure. 4-Problèmes contemporains et immédiats de l’altérité irrédimée. Une conclusion théorique porte sur le terme «Maure» et ses significations sous le titre L’identité Maure: fantasmatique et ipséité. Peut-être un glossaire et un index ajoutés auraient été aussi d’une grande utilité.
Quoi qu’il en soit la terre d’al-Andalus ne cesse de revendiquer à bon droit une place de tout premier plan dans l’évolution de l’Espagne, même après 1492 et garde encore de nos jours beaucoup de sa splendeur de souveraine de l’esprit, -ce qui laisse certains méditer sur le drame moral de l’Espagne moderne et d’autres discourir sur les valeurs portées par le Maure d’Andalousie. Mais quand la mémoire est lourde, il est vrai que les mots qui l’expriment sont parfois trop légers, et quand cela est, la pensée court le danger d’historicité.
José Antonio González Alcantud nous aura tous avertis. Le débat reste ouvert,- mais a-t-il jamais cessé de l’être? L’actualité sociale espagnole bat le rappel: tout est sujet à polémique. «La difficulté, pour les mentalités espagnoles d’assimiler l’altérité, se reflète dans la réaction des gens du cru face aux convertis de l’Albaicín, à qui ils adressent la parole en ces termes: Pour un Arabe, vous parlez très bien l’Espagnol. L’extranéité castriste installée au coeur de la vie sociale durant plusieurs siècles empêche d’assumer l’élément maure comme quelque chose qui vous appartient en propre, comme faisant partie de l’espagnolité.» Assurément, cela rappelle quelque chose aux peuples qui ont connu la totale colonisation dans ses «oeuvres historiques de pacification et d’émancipation».
Le Maure d’Andalousie, écrit avec le soin indispensable en anthropologie historique, est une oeuvre dense, puissante, instructive; elle nous concerne, nous les Maghrébins qui avons l’expérience salutaire de l’émergence et payé chèrement notre droit à la liberté d’être nous-mêmes chez nous. Cette oeuvre gagnerait beaucoup à être traduite en arabe.

(*) LE MAURE D’ANDALOUSIE
de José Antonio González Alcantud
Éditions L’Archange Minotaure,
Apt, France, 2007, 302 pages.
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La UGR edita un estudio sobre la canción folk Norteamericana

Partiendo de las aproximaciones léxicas del término “folk”, el profesor Antonio Fernández Ferrer, del Departamento de Didáctica de la Lengua y la Literatura de la Universidad de Granada, construye un ensayo sobre la canción folk norteamericana, después de un largo proceso de recopilación y documentación de material referido a los orígenes de la música folk en estados Unidos.

Fue así, en realidad, como surgió este libro de cerca de 500 páginas que lleva por título “La canción folk norteamericana. Cantautores y textos” y acaba de publicar la Editorial UGR con cubierta diseñada por José María Medina.
Según explica el autor del libro, Antonio Fernández Ferrer: “En el proceso de recogida de datos fui haciendo inmersiones (en algunos casos más profundas de lo que, en principio, pensaba) en los distintos acontecimientos sociales, económicos y políticos que rodeaban a aquellos ´protocantautores´ y sus particulares implicaciones en ellos, que comenzaron a abrirme otras expectativas…”

El ensayo, dividido en 5 capítulos, supone un amplio estudio sobre la canción folk norteamericana, pero también sobre el movimiento antibelicista y el Vietnam, así como un detallado trabajo sobre los cantautores de folk, fok-rock y folk-country.
En palabras del profesor Antonio Fernández Ferrer, autor de este libro, las diferentes formas de expresión de la música folk tradicional “se deben a su origen británico, incluyendo las canciones y las baladas. Una gran variedad de canciones folk relatab, simplemente, las vidas de gente normal desde hace siglos; otras describen famosas historias de amor o rinden tributo a la naturaleza. Las estrofas las pueden interpretar solistas, con coros o estribillos cantados por los acompañantes a la fiesta, celebración recital o concierto”.

———————————

Referencia
Prof. Antonio Fernández Ferrer. Departamento de Didáctica de la Lengua y la Literatura de la Universidad de Granada
Telfs: 958 249643 y 958 243965
Correo e.: afferrer@ugr.es


Riprogrammarsi la vista

– Riprogrammarsi la vista.

Un dispositivo universale in grado di adattarsi ai diversi disturbi e ai vari gradi di inabilità. È Serba, il Fpga messo a punto da due università spagnole.

Un team di ricercatori delle università di Granada e di Murcia (Spagna) ha messo a punto un dispositivo universale per le persone ipovedenti, in particolare per quelle caratterizzate da forme di cecità lenta e progressiva. Serba (Sistema Electro-óptico Reconfigurable de ayuda para Baja Visión), questo il nome del sistema, è la prima piattaforma optoelettronica portatile in grado di rende possibile la maggior pate delle attività – anche guidare unautomobile – e di adattarsi al grado di inabilità. Finora, invece, era necessaria una serie di dispositivi per venire incontro alle varie necessità e permettere le diverse attività da svolgere.

La piattaforma è basata su un sistema video capace di acquisire in tempo reale un grande numero di immagini e di proiettarle su uno micro-schermo posto vicino allocchio del paziente (una sorta di “mirino” simile a quelli già utilizzati dallesercito). Le immagini riprese vengono elaborate per essere adattate, di volta in volta, ai vari livelli di ipovisione e ai diversi problemi di vista. Il sistema è economico, dal momento che ladattamento dellelaboratore di immagini può essere scaricato gratuitamente via Internet (open source) e non richiede quindi lacquisto di software.

La ricerca è stata condotta da Fernando Vargas Martãn e da Eduardo Ros Vidal, entrambi dellUniversità di Granada, che, per costruire la loro piattaforma, si sono basati sui dispositivi digitali Fpga (Field Programmable Gate Array), le cui funzionalità specifiche non vengono impostate dal produttore ma direttamente dal fruitore, altro fattore che ne abbassa notevolmente il prezzo sul mercato. È proprio la caratteristica di essere facilmente riprogrammabili che rende questi dispositivi adattabili alle diverse esigenze. Il sistema è stato testato su otto pazienti con retinite pigmentosa (una malattia che causa la riduzione del campo visivo) e su altri sei pazienti con differenti patologie. I ricercatori hanno sviluppato tre diversi programmi per testare la piattaforma: per migliorare la definizione dei margini del campo visivo, per simulare tre differenti tipi di lenti zoom e per aumentare la visuale. (l.s.)
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Three out of four hospital patients suffer from malnutrition regardless of their pathology

– Three out of four hospital patients suffer from malnutrition regardless of their pathology

A study of 817 patients conducted in the Department of Nutrition and Bromatology at the University of Granada (UGR), in collaboration with the Unit of Nutrition and Dietetics at the hospital Virgen de las Nieves (Granada, Spain) of 817 patients, showed that 75% of hospitalised patients suffer from malnutrition regardless of their pathology.
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The study, which was carried out in patients older than 18 in all the departments of the hospital except Psychiatry and Ophthalmology, showed that, although hospitals have enough resources to prevent malnutrition, it is caused due to the poor administration of resources and the lack of importance given to nutrition.

The study, which was carried out by Gabriela Lobo Támer and led by researchers Mª Dolores Ruiz López and Antonio Pérez de la Cruz, analysed a series of biochemical parameters defining the nutritional status, such as albumin — a protein found in blood plasma that synthesizes in the liver. Thus, 75% of patients analysed had less than 3.5 grams of this protein per volume of blood (milliliter) — the minimum to consider that patients are well nourished.

Lobo Támer highlighted that her study showed that 75% of patients “are already undernourished when admitted,” although 40-50% of analysed subjects’ condition worsened while staying at the hospital, depending on the department they were admitted to.

Hospital stay and treatment costs

This study also revealed, for the first time, how much it costs to the Public Administration both hospital stay and treatment for each patient. The average is “between 3,500 € and 6,000 €” (only for food and medication). Hospital staff, diagnoses, fungibles, etc. are not taken into account). Oncology and Hematology being the most resource-consuming services. “Patients who undergo heart surgery and those who have a bone marrow transplant cost the most to the health system, as sometimes these operations cost more than 35,000 €.”

The study concluded that the times at which food is served in Spanish hospitals “are not the most appropriate”, and contribute to malnutrition. “It would be advisable to adapt eating hours to better suit the Spanish lifestyle. In Spain lunch and dinner is later than in the rest of Europe and patients have to change their eating habits during their hospital stay.”

Antonio Marín Ruiz | Quelle: alphagalileo
Weitere Informationen: www.ugr.es/~mdruiz/
prensa.ugr.es/prensa/research/index.php
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Jornadas sobre la situación actual de la prevención de la violencia de género

El Proyecto de Investigación “La aplicación de la Ley de Medidas de Protección Integral contra la Violencia de Género: Un análisis multidisciplinar” y el Departamento de Derecho Penal de la Universidad de Granada han organizado unas Jornadas sobre la “Situación actual de la prevención de la violencia de género: luces y sombras en la aplicación de la LO 1/2004, de 28 de diciembre”, que se celebrarán en Granada los días 25 y 26 de octubre en el Salón de Actos de la Facultad de Ciencias del Trabajo.

El objetivo de las jornadas es promover un estudio multidisciplinar sobre la aplicación de dicha Ley en sus distintos campos de actuación: progresión de los derechos de las mujeres víctimas de esta vilenciolenica, desarrollo de la tutela institucional, resultados de las novedades introducidas en materia penal, funcionamiento de las nuevas mediadas procesales, con especial referencia al funcionamiento de los Juzgados de Violencia sobre las Mujer, entre otras muchas cuestiones. En las Jornadas intervendrán destacados especialistas que ofrecerán una visión actualizada de las ventajas, problemas y dificultades que en la praxis suscita la citada Ley Integral.

Las jornadas comenzarán el jueves, 25 de octubre, a las 17 h. con la mesa redonda: “Valoración general de la eficacia preventiva de la Ley de Medidas de Protección Integral contra la Violencia de Género”, en la que intervendrán Montserrat Comas D´Argemir, vocal del Consejo General del Poder Judicial y presidenta del Observatorio contra la Violencia Doméstica y de Género; Soledad Ruiz Seguín, directora del Instituto Andaluz de la Mujer; Pilar Fernández Pantoja, jefa de la Unidad de violencia sobre la Mujer de la Subdelegación del gobierno en Jaén, y profesora de Derecho Penal de la Universidad de Jaén; y María José Jiménez Díaz, directora de las Jornadas, profesora de Derecho Penal de la Universidad de Granada, que actuará como moderadora.

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Referencia
Prof. María José Jiménez Díaz, directora de las Jornadas, profesora de Derecho Penal de la Universidad de Granada,
Telf. 958 243442
Correo e.: mjjdiaz@ugr.es