Más puestos evitarían supletorias y altas aceleradas

Más puestos evitarían supletorias y altas aceleradas
S. V.
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granada. Entre las consecuencias que se derivan de un déficit de camas hospitalarias están, según explicó el presidente del Sindicato de Enfermería Satse, José Flores, la colocación de camas supletorias, sobre todo en invierno, cuando hay que ingresar más pacientes y no se tienen camas disponibles.

Según Flores, la instalación de supletorias ya hace que no se puedan dar los cuidados mínimos al paciente y que este no tenga el espacio suficiente para su confort, sumado a la incomodidad de familiares y usuarios por tener, por ejemplo, cuatro camas en habitaciones de tres.

El Sindicato Médico de Granada añade como consecuencia de esta carencia la presión continua que sufren los profesionales de forma diaria por esta situación. Además, su presidente confirmó que por esta falta de camas, se aceleran las altas para poder ingresar a nuevos pacientes, por lo que la rehabilitación de los enfermos las asumen las familias. De ahí que solicitó la creación de centros donde los pacientes crónicos pudieran seguir con la rehabilitación tras una intervención bien resuelta.

No obstante, en comparación con el resto de provincias andaluzas, Granada es la cuarta en número de camas tras Sevilla, Málaga y Cádiz. Respecto al número de hospitales, la provincia con siete es la quinta en número de centros sanitarios tras Málaga (28 centros), Sevilla (18), Cádiz (16) y Córdoba (8).

Pero el número de camas aumentará considerablemente con la apertura del nuevo Hospital Clínico en el Parque Tecnológico de Ciencias de la Salud, el que será el más grande de Andalucía. Además, las unidades sanitarias del resto de centro aumentan sus dotaciones, pero a un ritmo más lento del requerido para la demanda asistencial de la provincia.
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L’Espagne entre bombes et liberté

LEspagne entre bombes et liberté
192 morts et 1 000 blessés. Cest le bilan des attentats qui ont frappé Madrid le 11 mars 2004. Ce jour-là, lEspagne sest à son tour engagée dans la lutte contre le terrorisme islamiste.
Lhsytérie sempare aussi des bus (Eduardo S. Garcés) Lhsytérie sempare aussi des bus (Eduardo S. Garcés)
18 août 2006, Séville. Un conducteur dautobus, visiblement paniqué, se met hurler. Un sac gît, abandonné sous un siège de son bus. Alors que la sonnette de lalarme retentit, stridente, les passagers sont évacués afin que les forces de lordre puissent intervenir. Puis le calme revient. En fait de bombe, le sac contenait dinoffensives babioles, du type que vendent les marchands ambulants. Il y deux ans, personne naurait attaché la moindre importance à un paquet oublié dans un bus. Mais aujourdhui, les Espagnols ont pris conscience de la nécessité de rester sur leurs gardes.

Contre reconquête islamique

Malgré laveuglement dont a fait preuve le gouvernement de Madrid pendant des années, lEspagne a toujours été la cible des islamistes. Leur objectif ? Faire payer au vieux pays dal-Andalûs [la partie de la péninsule ibérique soumise au Coran] sa trahison de l’islam après huit siècles de domination musulmane. « Que les Espagnols n’aient pas suivi l’exemple de ceux qu’ils considéraient comme les pères fondateurs de leur mouvement, à savoir les anciennes dynasties des Almoravides et Almohades du Moyen-Age, semble inacceptable pour les islamistes », explique Gustavo de Aristegui, porte-parole des Affaires étrangères du Parti populaire espagnol (PP) au Congrès, diplomate et fin connaisseur de la question arabe.

La chute du royaume de Grenade [dernière terre mauresque en Espagne]- en 1492 a été ressentie comme un traumatisme collectif par les musulmans, tout en marquant le début de leur décadence. La majorité des musulmans estiment que l’Espagne ayant un jour appartenu à l’« Oumma » -la communauté des croyants- elle devrait en toute logique la rejoindre à nouveau. Les hérétiques doivent être châtiés, telle est la philosophie prônée par les extrémistes.

Un pays trop confiant

Mais ce n’est qu’à partir des années 80 que le danger se fait réellement sentir. Le 12 avril 1985, le Jihad islamique libanais tue 18 personnes dans un bar de Madrid El Descanso. Toujours plus sanglants, les attentats perpétrés ensuite par le Hezbollah et le GIA algérien mettent en lumière le problème de l’islamisme et la menace grandissante qu’il représente sur le territoire européen.

L’Espagne reste toutefois focalisée sur la lutte contre l’organisation séparatiste basque ETA. Ce n’est qu’en 1998 qu’Oussama Ben Laden devient pour la première fois la priorité du gouvernement de Madrid. Jusque-là, les présumés terroristes espagnols n’avaient financé que des attaques menées à l’étranger.

De Aristegui dénonce l’attitude inexplicable des services de sécurité qui, malgré les indices, «ont paru se désintéresser du problème ». Le motif dune telle négligence ? La menace semblait trop irréelle. Ce sont les événements du 11 septembre 2001 qui ont servi de catalyseur, entrainant la mobilisation tant attendue. Signe de lurgence : le pilote du premier avion ayant percuté le World Trade Center, Mohamed Atta, avait, avant l’attaque de New York, rejoint un réseau implanté à Tarragone qui lui versait l’argent nécessaire à la réalisation de son projet terroriste.

Concentration de foyers terroristes

Le Centre national des renseignements espagnol confirme aujourd’hui que près d’un millier d’islamistes se cacheraient sur le sol espagnol, parmi lesquels une minorité prête à sacrifier sa vie dans des attentats suicides ou en s’immolant par le feu. Des extrémistes que les experts ont divisé en six groupes principaux : le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), le GIA (dont sont issus les salafistes), les Soldats d’Allah, Ansar Al Islam, le Groupe islamique de combat marocain et Al Qaïda, lequel entretient des relations étroites avec les cinq premiers et les inspire largement.

Chacun de ces réseaux possède des cellules dormantes qui recrutent des volontaires et financent les missions diverses : vol d’objets de très grande valeur, falsification de cartes de crédit et de papiers d’identité. Des commerces apparemment légaux leur permettent également de gagner de l’argent tout en leur fournissant une couverture opportune.

Bien que l’islam condamne toute forme de vice, ces groupes donnent souvent dans le trafic de drogue, notamment de haschisch. « C’est une façon de corrompre davantage la jeunesse occidentale », analyse Javier Jordan, professeur au Département de sciences politiques de l’Université de Grenade.

C’est sur la côte méditerranéenne qu’est concentré ce type de réseaux, et plus particulièrement en Andalousie, en Aragon, à Madrid et à Barcelone. De fait, l’Espagne représente une cible de choix pour les terroristes en raison de plusieurs facteurs : sa situation géostratégique en fait un Etat frontière avec les pays du monde arabe ; l’immigration massive à laquelle elle est confrontée permet aux terroristes de se fondre parmi les nouveaux arrivants ; en outre, le gouvernement ne parvient toujours pas à contrôler l’économie souterraine. Mais le motif principal selon Fernando Reinares, conseiller du Premier ministre Zapatero et membre de la branche de prévention du terrorisme de l’ONU, « cest que les Espagnols sont des gens naturellement confiants, inconscients de la menace terroriste ».

Exercer une surveillance mesurée

Loin des mesures de sécurité anti-terroristes draconiennes instaurées au États-Unis et au Royaume-Uni, où tous les moyens sont bons pour combattre la menace -de l’utilisation d’informations personnelles à la tenue de fichiers à tendance xénophobe destinés au contrôle dans les aéroports-, les autorités espagnoles ont opté pour un niveau d’alerte modéré.

Ce sont les services de renseignements de la péninsule ibérique qui se sont avérés les plus efficaces mais aussi les plus organisés grâce à une politique de partage des informations, essentielle dans un pays doté de deux polices nationales et de deux polices autonomes.

Sur le plan international, Zapatero a mis en avant la fameuse mais néanmoins mystérieuse initiative d’Alliance des civilisations, une initiative diplomatique visant à renforcer le dialogue entre monde islamique et Occident, parrainée par le Secrétaire général des Nations unies Kofi Annan et lancien Président iranien Mohammad Khatami.
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Granada-Based Scientists Prove That The Inhibition Of The Parp-1 Gene Slows Down The Growth Of Tumors

ranada-Based Scientists Prove That The Inhibition Of The Parp-1 Gene Slows Down The Growth Of Tumors
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11.09.2006
Researchers from IBIMER, a University of Granada’s institute for the research of biopathology and regenerative medicine, in collaboration with scientists of the Lopez Neyra institute of parasitology and biomedicine, have studied the functions of a gene, parp-1, in the processes of initiation and progression of tumours in experimental models.

They have found out that the lack or inhibition of the protein it represents decreases the speed at which neoplasias occur, as it prevents the inflammation that contributes to the proliferation of cancer cells. Part of the conclusions of this research work are published in the June edition of the journal Cancer Research.

Experts have used a model of experimental carcinogenesis, that is, have caused cancer in normal experimental mice and also in mice knocked out in that specific gene. After many experiments, they have found out that apart from collaborating to the DNA repair, the parp-1 gene has an influence on the growth of the carcinoma. Moreover, the gene’s lack of expression obstructs the angiogenesis process, which causes the creation of new blood vessels that allow sick cells to survive by receiving nourishment from the host organism.

The novelty of this finding is the possibility of designing new strategies that inhibit protein parp-1 activity in order to stop the progression of cancer. The next step consists of checking in experimentation models the efficacy of inhibitors in the treatment of cancer processes. So far, experts have used molecular medicines to carry out this delay process.

Researchers are trying to find more efficient therapeutical strategies that reinforce the action of antitumoral agents and decrease the administered radiation or chemotherapy doses. This way, the side effects will also decrease.

USA-based scientists have recently proven that this enzyme which repairs sick cells and keeps cell energy could be useful for the treatment of Huntington’s disease and other pathologies characterised by a low level of energy in cells. This is what an article published in the Chemistry & Biologyen’s August edition reveals, written by researchers of the Institute for Neurodegenerative Disease of Massachusetts General Hospital. These experts describe a new inhibitor of polymerase Parp1 which protects the cells affected by the Huntington’s disease in a lab.

Ismael Gaona | Quelle: alphagalileo
Weitere Informationen: www.andaluciainvestiga.com
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La UGR acoge un congreso internacional sobre los últimos avances en redes neuronales

La UGR acoge un congreso internacional sobre los últimos avances en redes neuronales

Noticias Radio Granada

Los últimos avances en el estudio de redes neuronales, particularmente los estudios referidos a la sistematización de las propiedades del cerebro, a la imitación de sus funciones mediante modelos matemáticos y a la simulación de su comportamiento en computadoras, son la base de los debates del congreso Granada Seminar, que se celebrará en la Facultad de Ciencias de la Universidad de Granada (UGR) desde hoy hasta el próximo viernes.

Según informó la UGR en una nota de prensa remitida a Europa Press, el congreso, que se celebra bajo la dirección del profesor Joaquín Marro Borau, está patrocinado por el Ministerio de Educación y Ciencia, por la Sociedad Europea de Física (EPS) y por la Fundación SNN de Redes Neuronales.

Con las jornadas, la UGR celebra el centenario de la concesión del Premio Nóbel a Santiago Ramón y Cajal por sus observaciones relacionadas con medios neuronales, que siguen siendo de referencia obligada en neurociencia.

Según la organización, durante esta semana se espera la asistencia al encuentro de más de 100 investigadores provenientes de 30 países, destacando la participación española, pues el tema está muy desarrollado en España. La Universidad de Granada, que cuenta con grupos de peso en estas investigaciones, también está representada entre los ponentes.

En el congreso se describirán resultados experimentales y se debatirán teorías en relación con la dinámica de los mecanismos cognitivo y de toma de decisiones, en relación con el almacenamiento de información, las memorias temporal y permanente, los procesos de reconocimiento y los fenómenos de depresión y facilitación neuronal, entre otros.

Publicada el Lunes, 11 de Septiembre de 2006 por Redaccion

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Gómez Oliver, catedrático de Historia Contemporánea: “No se está haciendo el esfuerzo por separar el mundo musulmán del terrorismo islamista”

quinto aniversario de los atentados del 11-S en Nueva York
Gómez Oliver, catedrático de Historia Contemporánea: “No se está haciendo el esfuerzo por separar el mundo musulmán del terrorismo islamista”
11/09/2006 – 18:47
F. Gordillo

La mañana del 11 de septiembre de 2001 la tragedia acabó con la vida de más de 3.000 personas pero, cinco años después, las consecuencias de los atentados se están cobrando su saldo en vidas en una serie de “acciones preventivas” que no están logrando más que incrementar la tensión internacional. GD estuvo hablando sobre las consecuencias de los atentados con Miguel Gómez Oliver, catedrático de Historia Contemporánea de la Universidad de Granada.

¿Cómo afectó y está aún afectando el 11-S a la estructura del mundo?

Primero hay que recordar algunas cosas. EL 11-S es el primer atentado que, históricamente, se realiza en territorio norteamericano desde Peral Harbour, y estaba en Hawai. Eso nunca había ocurrido y el pueblo norteamericano no se lo podía esperar y creó una gran conmoción, tanto en EE. UU. como en el resto del mundo. La reacción entonces fue de reforzar la seguridad, pensar: “estamos en peligro y todo lo que huela a fundamentalismo islámico es peligroso”. Han sido políticas movidas a defenderse por una reacción de miedo y de carácter unilateral.

EE.UU. es el centro del imperio desde la caída del muro de Berlín y sus decisiones influyen en el resto del mundo. Al Qaeda representa una menaza terrorista difusa en que los terroristas están dispuestos a inmolarse. Esto es rechazado por los occidentales. Es otra racionalidad, lo más peligroso y para lo que menos preparados estamos que es el fanatismo religioso. Es como cuando íbamos a las cruzadas, pero ocho siglos después.

EL OTRO SE HA CONVERTIDO EN SOSPECHOSO

Desde una forma teorizada hay una mayor tendencia a ver el mundo musulmán como “el otro, el sospechoso” como aquel con el que hay que tener cuidado. Esto lleva, desde mi punto de vista, a no hacer el esfuerzo por separar el mundo musulmán del terrorismo islamista. Al ser difuso tendemos a pensar que todos son enemigos y eso hace que el mundo musulmán “se sienta agredido”. Lleva a unas enormes dificultades de entendimiento.

Este paso que se está dando, lo inició ya la Yihad, donde el mundo occidental es el enemigo, pero no es desde el conjunto del mundo musulmán. Nosotros entendemos entonces que todos son terroristas y ellos que todos nosotros somos agresores. Las políticas europeas en ese sentido están subordinadas a EE.UU. Hay poca iniciativa europea para llevar a cabo una política propia eficaz, aunque lo ha intentado.

Hay que tener en cuenta que el proceso de globalización no es único. Nosotros tenemos la CNN y ellos Al Yazira, esa es también su forma de globalizar e de ver el conflicto.

Ha mencionado antes Las Cruzadas. ¿Estamos ante una repetición de la historia?

Para los cristianos anteriores era una Guerra Santa argumentada teológicamente. Jerusalén era un territorio sagrado y por ello se acabó con los derechos individuales. Nosotros los francos, el mundo cristiano se sentía obligado a recuperar los santos lugares, con lo cual “teníamos derecho” por ser un pueblo elegido. Igual que después ha hecho el pueblo judío con la reivindicación de Israel y, desde este punto de vista no hay racionalidad posible. Aquel mundo de Las Cruzadas no es el siglo XXI, pero es un antecedente de comportamiento colectivo. La diferencia fundamental es que en estos ocho siglos se produjo la Revolución francesa, donde se instituyeron los derechos fundamentales de hombres y mujeres, de la ciudadanía individual democrática.

Esto en el mundo árabe no se ha producido por tres razones fundamentales. Primero porque todos los pueblos árabes y los países islámicos han sido colonias europeas, por lo que los europeos han sido amos, no iguales. Por otra parte, cuando han accedido a la independencia, no han creado finalmente gobiernos democráticos en su mayoría. Por último, desde el punto de vista económico, buena parte de los países árabes son grandes suministradores de petróleo y, por primera vez Europa es energéticamente dependiente de unos países que pueden darle la espalda y considerarlos enemigos.

¿Cómo prevé el futuro según el panorama que ha dibujado?

No soy profeta pero creo que el futuro sólo es gestionable con decisiones políticas colectivas, hay que desarrollar decisiones. Para pensar en un futuro más pacífico y seguro hay que entender que los conflictos existen y que se resuelven no con actos terroristas y acciones bélicas, sino por la cooperación, por ponernos en lugar del otro, por la política y la diplomacia.

Luego hay que hacer una segunda cuestión, si es que nos lo creemos, que es otorgar a la ONU la capacidad real de resolver los conflictos para que no haya decisiones unilaterales desde ningún país. La Alianza de Civilizaciones no me parece ninguna tontería si se asume que los países son distintos pero iguales en dignidad y capaces de entenderse de igual a igual y se respetan todas las culturas y valores. El mundo no es ni blanco ni negro, hay una amplia zona de grises. Los árabes islámicos en Europa ni pueden hacer cosas como ejercer violencia contra las mujeres. Realmente ni aquí ni allí. Pero sobre todo que ni ellos son un país de conquista por sus recursos petrolíferos ni nosotros somos el pueblo a reconquistar desde la antigua al-Ándalus

Esto, o se resuelve desde la fuerza de la razón en lugar de la razón de la fuerza, o este será un siglo de desastres.

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Los Reyes entregarán hoy los Premios Nacionales 2005

Los Reyes entregarán hoy los Premios Nacionales 2005

Entre los galardonados figuran el piloto Fernando Alonso, el futbolista Ronaldinho y la nadadora Gemma Mengual

Estrella Diiiiiigital

Madrid
Los Reyes de España entregarán hoy en un acto que se celebrará en el Palacio de El Pardo, los Premios Nacionales del Deporte 2005, galardones que han recaído, entre otros, en el piloto Fernando Alonso, el futbolista Ronaldo de Assís Moreira Ronaldinho y la nadadora Gemma Mengual.

Las distinciones, cuyo fallo se dio a conocer el pasado 3 de abril, sirven para premiar a los deportistas, asociaciones y entidades deportivas que más se han destacado en la competición o en el apoyo del deporte a lo largo del año.

Mercedes Cabrera, ministra de Educación y Ciencia, y Jaime Lissavetzky, secretario de Estado para el Deporte, acompañarán a Don Juan Carlos y Doña Sofía en un acto ya tradicional en la agenda anual de la Familia Real.

Fernando Alonso, campeón del mundo de Fórmula Uno 2005, recibirá el Premio Don Felipe de Borbón al mejor deportista español.

Gemma Mengual, a su vez, recogerá el Premio Doña Sofía, a la mejor de deportista española. A sus 29 años, Mengual ha ganado siete medallas en competiciones mundialistas y europeas, y está considerada como una de las grandes estrellas de la natación sincronizada.

El Trofeo Comunidad Iberoamericana recayó en el brasileño Ronaldinho. Será el tercer galardón relevante del delantero del Barcelona en 2005, tras su elección como mejor jugador mundial (premio FIFA) y designado Balón de Oro por la revista France Football.

La relación completa de premiados, que son elegidos por un jurado convocado anualmente por el Consejo Superior de Deportes, es la siguiente:

Premio Reina Sofía a la mejor deportista española: Gemma Mengual (Natación).

Premio Don Felipe de Borbón al mejor deportista español: Fernando Alonso (Automovilismo).

Premio Infanta de España Doña Elena a la persona o entidad que más se haya destacado por un gesto especialmente relevante de nobleza o juego limpio, o que haya prestado una contribución especial a la erradicación de la violencia en el deporte: Agencia Mundial Antidopaje (AMA).

Premio Infanta de España Doña Cristina al deportista masculino o femenino que por resultados haya supuesto la revelación más significativa del panorama deportivo: Blanca Manchón (Vela).

Trofeo Comunidad Iberoamericana al mejor deportista iberoamericano: Ronaldo de Assís Moreira Ronaldinho (Fútbol).

Copa Barón de Güell al mejor equipo o selección nacional: Selección masculina de balonmano.

Premio Olimpia al fomento del deporte entre los disminuidos físicos, psíquicos o sensoriales: Comisión Plan ADO Paralímpico.

Copa Stadium a la persona o entidad que se haya destacado por su especial contribución en tareas de promoción y fomento del deporte: Tomás Pascual.

Premio Consejo Superior de Deportes a la Entidad Local Española que más se haya destacado por sus iniciativas para el fomento del deporte: Ayuntamiento de Alcobendas y Ayuntamiento de Almería (Ex-aequo).

Trofeo Joaquín Blume a la Universidad que se haya distinguido por su labor de promoción y fomento del deporte: Universidad de Granada.

Premio Nacional a las Artes y las Ciencias aplicadas al Deporte, al profesional que en el ejercicio de su actividad se haya destacado por una obra o haya contribuido a impulsar o difundir la actividad físico-deportiva de forma singular: Sebastián Alvaro (Director DEL programa Al filo de lo imposible).
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La dimensión universal y la importancia de la justicia, a debate en Granada

La dimensión universal y la importancia de la justicia, a debate en Granada [11/09/06]

Granada.- La dimensión universal de la justicia, la importancia del derecho internacional y la extraterritorialidad de la ley penal, serán los temas sobre los que se centrará el XXIV Congreso del Instituto Hispano-Luso-Americano y Filipino de Derecho Internacional (IHLADI), que se celebra por primera vez en Granada.

Unos 70 expertos, procedentes de diferentes países europeos y americanos, se darán cita en la Facultad de Derecho de la Universidad de Granada (UGR) hasta el próximo viernes, para debatir las diversas aplicaciones del derecho penal que facilitarán la adopción de resoluciones internacionales en todos los ámbitos del derecho.

Durante la inauguración del encuentro, la consejera de Justicia, María José López, destacó la importancia de este tipo de eventos, en los que se formulan resoluciones y recomendaciones que colaboran en construir el derecho internacional que necesita el siglo XXI para la convivencia pacífica y el imperio de la justicia entre los pueblos.

En este sentido, López señaló que son las naciones quienes deben adoptar medidas con las que se despliegue toda la eficacia del ordenamiento jurídico internacional, y manifestó que, en su opinión, son estos foros donde se demuestra la dimensión universal de comunicación, intercambio y propuestas de la justicia.

La base del derecho es la justicia, cuyo carácter es la universalidad, por lo que ésta se extiende a todas las naciones, superando su constitución política y sus particularidades sociológicas y culturales, dijo la consejera, quien subrayó la necesidad de aunar los criterios legales de todos los países en favor de los derechos humanos.

Por su parte, el catedrático de Derecho Internacional de la Universidad Complutense de Madrid y presidente del congreso, José Carlos Fernández, explicó que este encuentro se celebra cada dos años en una ciudad diferente, donde asisten representantes de todos los países, normalmente ex ministros de Asuntos Exteriores y expertos universitarios, que abordan temas de actualidad que afectan a la comunidad ciberamericana de naciones.

Este año tratamos un tema de máxima actualidad como es la extraterritorialidad de la ley penal, que forma el principio básico del derecho, ya que esta ley que antes se detenía en las fronteras de los Estados ha desaparecido y hoy hay un sistema internacional de cooperación para la detención de personas que han cometido un delito, que afectan a todos los territorios, apuntó Fernández.

Se trata de un tema muy delicado, en opinión de este experto, quien consideró que en España se ha dado un paso adelante con la adopción de la corte penal internacional, una de las aportaciones más importantes de nuestro tiempo, ya que ofrece la posibilidad de juzgar internacionalmente por determinados delitos como el cometido contra los derechos humanos o el de genocidio.

Al acto inaugural asistieron además el vicerrector de Relaciones Internacionales e Institucionales de la UGR, Manuel Díaz; el decano de la Facultad de Derecho, Juan López, y el presidente del IHLADI, Rodolfo Ceprián, y otros representantes de los organismos organizadores.

El IHLADI, que ha celebrado 23 congresos desde su creación en 1951 en diferentes países y ciudades del mundo, es asesora de la Organización de las Naciones Unidas (ONU), de la Organización de los Estados Americanos y del Consejo de Europa. Informó EFE

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El rector propone cambios mínimos para adaptarse a la reforma de la LOU

GRANADA
El rector propone cambios mínimos para adaptarse a la reforma de la LOU
Aguilar valora que se han olvidado temas como la financiación Recoge los criterios para la selección de los profesores, el nuevo estatuto de estudiantes y el de docentes e investigadores
ANDREA G. PARRA/GRANADA
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La Universidad de Granada (UGR), como las del resto del país, tienen más deberes para este curso. Deberán adaptarse a la reforma de la LOU (Ley Orgánica de Universidades). El Consejo de Ministros ha aprobado el proyecto de ley que modifica la LOU y el Parlamento le dará luz verde sino hay contratiempos. Entre tanto las universidades deben ir perfilando su adaptación a esta reforma. El rector de la Universidad granadina, David Aguilar, tiene clara la hoja de ruta, pero serán los órganos de gobierno los que deberán decidirlo. Propone que se hagan los ajustes «imprescindibles» para adaptarnos «porque en este momento la norma estatutaria está funcionando bien».

El máximo mandatario de la UGR y vicepresidente de la CRUE -Conferencia de Rectores- no es partidario de «reabrir otra vez debates estatutarios. Hay que modificar lo estrictamente imprescindible en función de la ley para ajustarnos a ella, pero no elaborar unos nuevos estatutos. Un proceso constituyente paralizaría la universidad».

Algunas de las reformas que tendrá que asumir la UGR están relacionadas como la elección de rector -cada universidad podrá elegir su sistema-; el estatuto del personal docente e investigador; el del estudiante; la nueva selección del profesorado; o el nuevo título de deportes. El proyecto de ley que reforma la LOU se resume en unas treinta páginas que olvidan además muchas de las propuestas que hizo la CRUE al Ministerio de Educación.

David Aguilar explica que la valoración global que «hemos hecho es positiva, aunque hemos querido dejar claro que de las últimas propuestas que hicimos los rectores al conocer el documento final elaborado por el MEC se han tenido en cuenta muy pocas cosas, vamos a decir que se hayan tenido en cuenta el 10%». Asimismo, insiste en que esta ley «no es la de la Conferencia de Rectores como alguien ha querido ver, es obviamente del MEC».

No obstante, la reforma tiene el informe favorable de la Conferencia de Rectores y del Consejo de Coordinación Universitaria en términos generales. Según Aguilar porque «se intentan modificar los principales problemas que se habían detectado». Así las cosas, están contentos, «pero no completamente satisfechos».

Se quedó en el tintero

Entre el amplio elenco de propuestas que el MEC no ha tenido en cuenta, el rector de la UGR destaca el tema de la financiación, «que sigue sin estar presente», o cuestiones importantes con respecto al patrimonio universitario y a circunstancias impositivas y de pago de impuestos por valor patrimonial así como elementos relacionados con los procesos de adaptación de las figuras contractuales de profesorado.

Una de las principales cuestiones que le hubiera gustado que se solucionaran es el régimen fiscal de las universidades y patrimonial «y no se han producido los avances que pedíamos».
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Una academia internacional para militares y policías se ubicará en el Campus de la Salud

RANADA
Una academia internacional para militares y policías se ubicará en el Campus de la Salud
El primer curso será para formación de personas de apoyo a fuerzas militares y a grupos civiles
R. I./GRANADA
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El Parque Tecnológico de Ciencias de la Salud de Granada será la sede de la Academia Europea de Entrenamiento Internacional (EAIT), la primera de este tipo en España dirigida tanto a militares como a civiles, que comenzará su actividad el próximo octubre. Una academia dedicada a la formación especializada para personas que quieran prestar su apoyo a ejércitos o fuerzas civiles en territorios de conflicto, informa Efe.

Las primeras actividades de este centro comenzará el 16 de octubre con un curso con 26 plazas que durará 12 días, y en él podrán matricularse desde militares y policías cuya labor será de apoyo a ejércitos y fuerzas militares, o civiles que podrán colaborar con ONG, en iniciativas de apoyo legal, de reconstrucción de infraestructuras o desarrollo económico, entre otras muchas actividades.

Los requisitos para entrar en la academia son el dominio del inglés, encontrarse en buen estado de salud y estar dispuesto a trabajar en el extranjero, informó a Efe el encargado del proyecto, Álvaro Ballesteros. El perfil del alumno que se inscribe en este tipo de jornadas son personas con edades comprendidas entre 25 y 33 años, de ambos sexos, y que vienen de campos muy diversos, como el Derecho, la Medicina o las Relaciones Internacionales, entre otros, además de los militares o policías.

Estos cursos abiertos a gente de toda Europa contribuirán a que Granada se convierta en un lugar de referencia internacional en su ámbito, gracias a la llegada de expertos internacionales procedentes de distintos puntos.

El EAIT eligió Granada por su fuerte tradición universitaria, además de una interesante vertiente histórica, por la relación entre las orillas europeas y norteafricanas, ya que uno de los aspectos que la academia pretende desarrollar es el entendimiento entre culturas, señaló Ballesteros.

La academia, además del primer curso sobre misiones internacionales que comenzará en octubre, tiene programados algunos más para el próximo año, señaló Ballesteros, que recuerda que se trata de un sector con grandes necesidades de especialistas.

Entre ellos destaca el de especialización sobre la Organización de Seguridad y Cooperación Europea (OSCE), que coincidirá con la presidencia española de esta asociación, lo que implica que España tendrá que aumentar el número de nacionales en estas misiones. También se prepara otro para colaboradores con ONG que realizarán su trabajo en el sur de Sudán y un tercer curso de cooperación transatlántica, que contará con personal europeo, estadounidense y canadiense, especializado.
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Un libro analiza la repercusión de la Guerra Civil a través del cine

Un libro analiza la repercusión de la Guerra Civil a través del cine
EUROPA PRESS
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sevilla. El escritor y licenciado en Filología Hispánica y en Filología Inglesa en la Universidad de Granada, Antonio Gómez López-Quiñones, ha publicado La guerra persistente. Memoria, violencia y utopía: representaciones contemporáneas de la Guerra Civil española (Editorial Iberoamericana), una obra que analiza la repercusión que ha tenido esta contienda en el cine y la literatura españolas a partir de la década de los 90.

A partir de los conceptos de memoria, violencia y utopía, el autor pretende mostrar de qué modo la Segunda República y la Guerra Civil se han convertido en escenarios tan evocadores y productivos para la imaginación histórica, cinematográfica y literaria de la España democrática, para lo que ha estudiado novelas y filmes con una visión idealizada.
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Una muestra de escultura reflexiona sobre la geometría

Una muestra de escultura reflexiona sobre la geometría
EFE
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granada. La Facultad de Ciencias de la Universidad de Granada recoge las esculturas metálicas del artista jiennense Baltasar Pradas bajo el título Formas: Geometría de metal, obras que se fundamentan en el estudio de las matemáticas y la geometría. La exposición, que coincide con el International Seminar on Applied Geometry in Andalucía 2006 (ISAGA), es una contribución desinteresada del autor, que compagina su actividad escultórica con la creación de joyas.

Pradas, que había elegido hasta ahora para sus exposiciones ambientes amplios y abiertos, ha seleccionado esta vez un espacio cerrado para que los que acudan al edificio puedan contemplar su obra. El escultor pretende, así, conseguir que las formas que hasta ahora eran planas tuviesen volumen, aunque según el profesor de Matemáticas del Colegio El Carmelo, Rafael Ramírez Uclés, estas obras podrían tener muchas aplicaciones, ya que su gran consistencia y solidez permitirían que fueran utilizadas para la construcción.

La exposición Formas: Geometría de metal podrá ser visitada hasta el próximo 15 de septiembre con entrada libre y se podrá acceder a ella durante el horario lectivo del centro.
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La Universidad de Granada pone en marcha el primer Máster Europeo en Neurociencias

El Instituto de Neurociencias Federico Olóriz y la Facultad de Medicina de la Universidad de Granada organizan el Máster Oficial Europeo «Neurociencias y Dolor» en el que se integran las ciencias básicas y las clínicas. Se trata del primer máster oficial de Neurociencias en Andalucía adaptado al Espacio Europeo.

El programa está diseñado con dos itinerarios, uno de neurociencias, dirigido a la formación en investigación en cualquier rama de las neurociencias, y otro de estudio del dolor, dirigido a la formación en investigación en dolor y a la capacitación en esta área de profesionales sanitarios. Estos itinerarios están configurados con rotaciones en laboratorios de Investigación del Instituto de Neurociencias y rotaciones clínicas en Unidades de Dolor, según el alumno desee seguir la línea de Neurociencias o la línea de Dolor.

Para la obtención del título, el alumno necesita cursar 60 créditos, que podrán ser seleccionados entre los que ofrece el programa y, con la autorización de la coordinadora, hasta un máximo de 6 de otros programas.

Dado el interés actual de la comunidad científica en las Neurociencias, tanto desde una perspectiva de conocimiento básico, como aplicado, y la demanda real de investigación en campos relacionados con las Neurociencias, el programa ofrece a los estudiantes de postgrado un visión integrada, completa y actualizada de los procesos que se desarrollan en el Sistema Nervioso, de sus patologías, especialmente del dolor y de la manera de abordarlas.

El Máster de Neurociencias y Dolor se propone capacitar a los alumnos para el desarrollo de investigación básica o clínica en los campos de las neurociencias y del dolor. Por ello, estos estudios se ofertan para titulados en medicina, psicología, biología, farmacia, odontología, química y bioquímica que estén interesados en el estudio de las neurociencias y del dolor, y que deseen realizar su actividad profesional en el campo de la investigación básica o aplicada.

Futuro profesional
El programa persigue formar a los profesionales de la salud para el manejo clínico (valoración y tratamiento) de los pacientes con dolor en cualquier nivel asistencial, y en las diferentes circunstancias mórbidas incluyendo el tratamiento paliativo. Por ello, a estos estudios podrán acceder todos los profesionales sanitarios que puedan estar implicados en el manejo del dolor: médicos, psicólogos, odontólogos, enfermeros y fisioterapeutas, tanto si están integrados en unidades especializadas de tratamiento del dolor, como si su actividad asistencial se realiza en otros ámbitos sanitarios.
De esta forma, el máster contribuirá a la actualización de los conocimientos mediante el necesario abordaje teórico y el desarrollo de líneas de investigación en el campo de las neurociencias y del dolor. Además, fomentará la formación continua y la especialización de profesionales que trabajen en el área de neurociencias, para enriquecer las competencias profesionales.

Junto al Instituto de Neurociencias de la Universidad de Granada, las instituciones que participan en el máster son la Unidad del Dolor del Hospital Universitario Virgen de las Nieves de Granada y la Sociedad Andaluza de Medicina Familiar y Comunitaria. Además, para los estudios de Doctorado, existe un convenio de colaboración con la Universidad Pablo de Olavide de Sevilla.
El máster, que dará comienzo el próximo 2 de octubre, contará con el profesor invitado José de León Molina, de la Universidad de Kentucky, EE.UU.

Referencia:
Dra. Esperanza del Pozo Gavilán. Coordinadora del Máster de Neurociencias y Dolor. Tlf.: 958 244 033 / 958 24 35 29. Correo e. edpozo@ugr.es / Web: http://www.ugr.es/~insneuro