La UGR publica “El legado musical griego en España

El libro, de Paraskevi Gatsioufa, recoge 14 manuscritos griegos de música bizantina de la Biblioteca Nacional de España

Con el título “El legado musical griego en España”, el investigador Paraskevi Gatsioufa, publica en la EditorialUniversidad de Granada (eug), en colaboración con el Centro de Documentación Musical de Andalucía, un volumen en el que recoge los manuscritos griegos de música bizantina de la Biblioteca Nacional de España.

Se trata de un total de catorce manuscritos griegos de la Biblioteca Nacional de España con símbolos ecfonéticos o prosódicos, o que incluyen indicaciones sobre los modos de la realización musical (ἦχοι). “Todos ellos –señala el autor del libro– constituyen el contenido del presente volumen. Los códices objeto de este estudio abarcan un periodo que va desde el siglo XII hasta el siglo XVIII, y su naturaleza es muy variada: hay, entre otros tipos, menologios, eucologios, octáecos, misales, etc. La presentación conjunta y la descripción detallada de todo este fondo manuscrito griego musical era una labor hasta ahora no realizada, pero siempre requerida, no solo por los estudiosos del ámbito de la filología griega, sino también por investigadores de otros campos del saber, como la musicología, la teología, la historia cultural y de la religión”.

Así, el trabajo que aquí se muestra abre nuevos horizontes para los musicólogos, puesto que, una vez identificados los códices greco-bizantinos, será más fácil afrontar el análisis de la simbología musical empleada en ellos y emprender un estudio comparativo.

La investigación que ahora culmina con la publicación de este libro forma parte del proyecto titulado “Música bizantina: repertorio e investigación paleográfica de manuscritos musicales”. El autor indica en el prólogo que otros manuscritos que se hallan en la Biblioteca del Monasterio de El Escorial quedarán para un posterior volumen de próxima aparición.

El libro, de 275 páginas, con ilustraciones de los manuscritos a todo color, se estructura en 14 apartados, correspondientes a los manuscritos de que se trata, así como prólogo, introducción, glosario y bibliografía.

http://sl.ugr.es/08Qcel-legado-musical-griego-en-espaa


Il est confirmé que l’extrait de myrtille aide à combattre les infections urinaires chez les bébés allaités de moins d’un an

Des scientifiques des universités de Grenade et de Kvopio (Finlande) démontrent que ce composé naturel évite la prescription d’antibiotiques dans la prophylaxie de l’infection urinaire récurrente chez des enfants avec reflux vésico-urétéral (RVU), évitant ainsi le risque d’augmenter les résistances bactériennes aux antibiotiques.

Les chercheurs avertissent que les extraits de myrtille disponibles sur le marché sont très hétérogènes quant à leur composition, et que pas toutes les fractions polyphénoliques contenues dans les mêmes s’avèrent également utiles.

Des scientifiques des universités de Grenade et de Kvopio (Finlande) ont confirmé que l’extrait de myrtille aide à combattre les infections urinaires chez les bébés allaités de moins d’un an. Leur travail a démontré que ce composé naturel évite la prescription d’antibiotiques dans la prophylaxie de l’infection urinaire récurrente chez des enfants avec reflux vésico-urétéral (RVU), évitant ainsi le risque d’augmenter les résistances bactériennes aux antibiotiques.

Cette recherche, publiée dans la revue Anales de Pediatría, a été financée par l’Institut de Santé Carlos III, et y ont collaboré le département de Chimie Analytique de l’Université de Grenade et le Centre de Recherche d’Aliments Fonctionnels (CIDAF), à travers le professeur Antonio Segura Carretero, et l’Université de Kvopio (Finlande), à travers la professeure Tarja Nurmi.

Ont participé à ce travail 85 enfants de moins d’un an, et 107 âgés de plus d’un an, tous présentant une infection urinaire infantile récurrente. 75 parmi eux ont reçu de l’extrait de myrtille, tandis qu’aux 117 autres on a administré du trimétoprime, un antibiotique bactériostatique dérivé du triméthoxybenzylpyrimidine, qui s’utilise presque exclusivement pour traiter des infections urinaires.

Effectif chez adultes et enfants

L’auteur principal de ce travail, le professeur du département de Pédiatrie de l’UGR, José Uberos Fernández, signale que, d’après les analyses réalisées au CIDAF, les extraits de myrtille disponibles sur le marché sont très hétérogènes quant à leur composition, et que pas toutes les fractions polyphénoliques contenues dans les mêmes s’avèrent également utiles.

À la lumière des résultats obtenus, « l’extrait de myrtille, qui avait déjà démontré dans des études antérieures son effectivité dans la prévention des infections urinaires de l’adulte, est également efficace et sûr chez des bébés allaités pour la même indication. »

L’effet de l’extrait de myrtille est lié classiquement, après de multiples essais « in vitro », au contenu en proanthocyanidines de l’extrait. « Cette molécule se métabolise rapidement dans l’intestin et nos recherches ont pu démontrer que les concentrations détectées dans l’urine sont franchement petites », signale le professeur Uberos.

« Les métabolites intermédiaires des proanthocyanidines, et de quelques autres molécules polyphénoliques contenues dans l’extrait de myrtille, paraissent exercer l’effet antiadhésif « in vivo », c’est-à-dire, chez des humains. En ce sens, quelques acides phénoliques dérivés du métabolisme de myrtille paraissent exercer des propriétés antiadhésives très intéressantes, ce sur quoi notre groupe de recherche travaille actuellement », souligne le scientifique de l’UGR.

De plus, les chercheurs prétendent élucider si les propriétés anti-inflammatoires de la myrtille, qui ont également été décrites par d’autres auteurs, amélioreraient les situations de néphropathie post-pyélonéphrite et post-reflux de certains patients.

Référence bibliographique :
Efficacy and safety profile of cranberry in infants and children with recurrent urinary tract infection. V. Fernández-Puentes, J. Uberos, R. Rodríguez-Belmonte, M. Nogueras-Ocaña, E. Blanca-Jover, E. Narbona-López. Anales de Pediatría, Volume 82, Issue 6, June 2015, Pages 397-403
http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2341287915001003

Photo de myrtille (PHOTO: WIKIMEDIA)

Contact :
José Uberos Fernández.
Départament de Pédiatrie de l’Université de Grenade.
Tél. : 958 023 411;
courriel : juberos@ugr.es


Cranberry extract confirmed to help fighting urinary tract infections in breastfed babies under age one

Researchers from the universities of Granada (Spain) and Kvopio (Finland) have proven that this natural compound prevents the prescription of antibiotics in the prophylaxis for recurrent urinary tract infections in babies with vesicoureteral reflux, so preventing the risk of increasing the bacterial antibiotic resistance

Researchers caution that cranberry extracts available on the market are very heterogeneous in their composition and that not all the polyphenolic fractions in them are equally useful

Researchers from the universities of Granada (Spain) and Kvopio (Finland) have confirmed that cranberry extract helps fighting urinary tract infections (UTIs) in breastfed babies under one year of age. Their work has proven that this compound prevents the prescription of antibiotics in the prophylaxis for recurrent urinary tract infections in infants with vesicoureteral reflux (VUR), so preventing the risk of increasing the bacterial antibiotic resistance.

This research, published in Anales de Pediatría (Annals of Pediatrics) magazine, has been funded by the Instituto de Salud Carlos III institute. It has counted with the collaboration of the university’s Department of Analytical Chemistry and the Research and Development of Functional Food Centre (CIDAF, for its initials in Spanish), through professor Antonio Segura Carretero, and that of the University of Kvopio, Finland, through professor Tarja Nurmi.

The research involved the participation of 85 children under one year of age and 107 over that age, all of them affected by a recurrent urinary infection. 75 children were administered cranberry extract, while the other 117 were administered trimethoprim, a bacteriostatic antibiotic derived from trimethoxybenzyl pyrimidine, used almost exclusively to treat urinary infections.

Effective in adults and children

 The lead author of this work, professor José Uberos Fernández from the Department of Pediatrics (UGR), notes that, according to analysis done at CIDAF, the composition of cranberry extracts available at the market is heterogeneous, and not all the polyphenolic fractions in them are equally useful.

Given the results, «cranberry extract, which in previous researches had already shown effectiveness in preventing urinary infections in adults, is also effective and safe for breastfed infants with this condition».

Cranberry extract effects have been, after numerous in-vitro tests, classically linked to the amount of proanthocyanidins present in the extract. «This molecule is quickly metabolized in the intestine, and our researches have proven that the concentration of proanthocyanidins detected in urine is very little», professor Uberos says.

The researcher from UGR emphasizes: «the in-vivo (that is, in humans) anti-adhesive effect, seems to be due to the proanthocyanidins intermediate metabolites and to other polyphenolic molecules present in cranberry extract. In this regard, some phenolic acids derived from metabolized cranberries seem to have some very interesting anti-adhesive properties, and that’s something my team of researchers is working on».

Moreover, the researchers intend to clarify if its anti-inflammatory properties (also noted by other authors) can improve nephropathies following pyelonephritis and reflux, present in other patients.

Bibliographic references:
Efficacy and safety profile of cranberry in infants and children with recurrent urinary tract infection
V. Fernández-Puentes, J. Uberos, R. Rodríguez-Belmonte, M. Nogueras-Ocaña, E. Blanca-Jover, E. Narbona-López
Anales de Pediatría, Volume 82, Issue 6, June 2015, Pages 397-403
http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2341287915001003

 

Cranberries (source: Wikimedia)

Contact:
José Uberos Fernández
Departamento de Pediatría de la Universidad de Granada
Telephone: (+34) 958 023 411
E-mail: juberos@ugr.es


La UGR es la tercera universidad pública española con más producción científica, y la primera en becas FPU

Así se desprende del “Ranking 2013 de investigación de las universidades públicas españolas”, publicado recientemente y elaborado por investigadores de la Universidad de Granada

La UGR es, además, la quinta del país que más artículos publica en revistas indexadas en el Journal Citation Reports (JCR) y la tercera con más proyectos de I+D

La Universidad de Granada (UGR) es la tercera universidad pública española con más producción científica en términos generales, y solo es superada por la de Barcelona y la Complutense de Madrid. Además, la UGR es la primera del país en Ayudas para contratos del Programa Nacional de Formación de Profesorado Universitario (FPU), la quinta que más artículos publica en revistas indexadas en el Journal Citation Reports (JCR) y la tercera con más proyectos de I+D.

Todos estos datos se desprenden del Ranking 2013 de investigación de las universidades públicas españolas, elaborado por investigadores de la Universidad de Granada, que ha analizado los siguientes criterios: artículos publicados en revistas indexadas en JCR, tramos de investigación, proyectos I+D, tesis doctorales, becas FPU, doctorados con Mención hacia la Excelencia y patentes (tanto registradas como explotadas), con datos del año 2013 (o los más próximos disponibles).

Para la elaboración de los rankings de cada indicador y los globales, tanto en producción como en productividad, se asignó a la universidad con la puntuación más elevada el valor de 100. A partir de este valor, se calcula la proporción del resto de universidades, obteniendo una escala que oscila entre 0 (valor mínimo) y 100 (valor máximo). Este procedimiento ha sido utilizado por el famoso Ranking de Shangai, así como en las cinco ediciones anteriores de los rankings en investigación de las universidades públicas españolas publicados por estos investigadores de la UGR.

Hay que destacar también que uno de los puntos fuertes del estudio es que a cada uno de los siete indicadores analizados para obtener los datos globales se le otorgó un peso, obtenido de una muestra representativa de profesores españoles con experiencia investigadora avalada en los criterios analizados, tal y como se detalla en el artículo.

Las 10 universidades que más investigación producen

Las primeras diez universidades en el ranking global de producción son Barcelona, Complutense de Madrid, Granada, Autónoma de Barcelona, Valencia, Sevilla, Autónoma de Madrid, País Vasco, Politécnica de Cataluña y la Politécnica de Valencia. En el caso de la productividad, las diez universidades destacadas son Pompeu Fabra, Pablo de Olavide, Autónoma de Barcelona, Carlos III, Politécnica de Cataluña, Rovira i Virgili, Barcelona, Autónoma de Madrid, Politécnica de Valencia y Miguel Hernández.

Como explican los autores del ranking, Gualberto Buela Casal, Raúl Quevedo Blasco y Alejandro Guillén Riquelme, “las primeras universidades en producción y productividad a nivel global, se mantienen más o menos constantes en comparación con las ediciones anteriores, por lo que cabe pensar que los planes estratégicos de las mismas están dando resultados positivos a lo largo del tiempo”.

El ranking elaborado en la UGR permite comparar los resultados obtenidos con los de otros rankings internacionales. “Si bien es cierto que este tipo de rankings emplean criterios poco relacionados con la realidad sociocultural de España, es interesante el análisis de la posición (en el global de producción), en el presente ranking, de las universidades destacadas en las principales clasificaciones internacionales”, advierten los autores.

Así, en primer lugar, en el ranking de Shangai de 2014 aparecen las siguientes universidades (todas ellas a partir de la posición 201): Barcelona (posición 1), Autónoma de Barcelona (en la posición 4), Autónoma de Madrid (posición 7), Valencia (posición 5), Complutense de Madrid (posición 2), Politécnica de Valencia (posición 10), Granada (posición 3), Pompeu Fabra (posición 22), Politécnica de Cataluña (posición 9), Santiago de Compostela (posición 11), País Vasco (posición 8) y Zaragoza (posición 13).

Es decir, de las 12 universidades españolas en el ranking de Shangai, 11 de ellas están en las primeras 13 posiciones del presente ranking en el global de producción.

RANKING2013

Referencia bibliográfica:
Ranking 2013 de investigación de las universidades públicas españolas
Gualberto Buela-Casal, Raúl Quevedo-Blasco y Alejandro Guillén-Riquelme 
Psicothema 2015, Vol. 27, No. 4, 317-326 
doi: 10.7334/psicothema2015.140 

Contacto:
Raúl Quevedo Blasco 
Universidad de Granada
Teléfono: 958 249 559 
Correo electrónico: rquevedo@ugr.es 


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Un estudio demuestra que el olivo regula la cantidad de luz que entra en su copa

Para adaptarse a períodos de más o menos luz, el olivo es capaz de regular la cantidad de radiación solar que reciben sus hojas. Mediante la disposición de las ramas y las hojas, este árbol puede controlar la luz que llega al interior de su copa, asegurando unas condiciones lumínicas homogéneas a lo largo del día y de las estaciones

Esta cualidad, desconocida hasta ahora, se ha registrado en dos poblaciones de olivos de Madrid y Menorca, tal y como revela un estudio en el que participa la Universidad de Granada

Los olivos (Olea europea) tienen la capacidad de modificar la cantidad y calidad de luz que entra en las capas más internas de la copa, tal y como revela un estudio dirigido por la Universidad Complutense de Madrid y en el que participa la Universidad de Granada (UGR). Además, estos árboles tienen cierto control sobre la variación de luz diaria y estacional, un control que ejercen a través la distribución de las ramas y las hojas de la copa.

“Que un árbol sea capaz de modular una parte de esa luz, en concreto, la que afecta a las hojas de sombra en el interior de la copa, quiere decir que tiene cierto control sobre la cantidad y distribución de este recurso energético”, explica Agustina Ventre-Lespiaucq, investigadora del departamento de Biología Vegetal I de la Complutense y autora principal del estudio, que se publica en la revista Trees.

Esto significa que el árbol “no está completamente a merced del ambiente, sino que puede adecuarlo en cierta manera a sus necesidades, dentro de unos límites”, puntualiza la ecóloga.

Para llegar a esta conclusión, los investigadores han analizado dos poblaciones de olivos situadas en dos áreas de la misma latitud pero con diferentes condiciones climáticas: Aldea del Fresno (Madrid) y San Luis (Menorca).

En cinco árboles de tamaño similar de cada zona, los expertos midieron el espectro de ondas de la radiación solar que las plantas usan para hacer la fotosíntesis. Los registros se tomaron en tres partes de la copa: externa, media e interior.

Luz estable todo el año

El estudio se realizó en el mes de julio de 2011 y en febrero de 2012, para estudiar los contrastes de luz entre invierno y verano. Además, se midieron los valores registrados una hora después del amanecer y a mediodía.

“Hasta ahora se pensaba que la luz dentro de las copas era bastante constante a lo largo del día y del año, pero hemos descubierto que esta luz varía a lo largo del día (hay más a mediodía que por la mañana) y hemos confirmado que es regular a lo largo del año”, afirma Ventre-Lespiaucq.

El hecho de que la variación diaria se mantenga durante todo el año indica que es el propio árbol el que está modificando la luz con un patrón regular, tal y como revela el estudio.

“Mediante la disposición de las ramas y las hojas, el olivo puede regular la luz que llega al interior de su copa y así asegura unas condiciones lumínicas predecibles a lo largo del día y de las estaciones”, indica Rafael Rubio de Casas, investigador del departamento de Ecología de la Universidad de Granada y otro de los autores del trabajo.

Hojas con ‘turnos de trabajo’

La distancia geográfica entre las dos poblaciones arbóreas analizadas no influyó en el comportamiento de los árboles ni en cómo afectó la luz a las copas. Según los expertos, la similitud entre los olivos de Menorca y Madrid se debe a que ambas áreas se encuentran en la misma latitud, con las mismas horas de luz.

En cuanto a las estaciones, aunque haya mayor radiación en verano que en invierno, los olivos consiguieron distribuir sus hojas de tal forma que lograron que la luz que llegaba al interior de las copas fuera estable durante todo el año.

Algo parecido ocurre a lo largo del día. Las horas de mediodía son muy luminosas y calurosas, lo que puede dañar a la planta. “Las hojas capturan menos luz al mediodía para no quemarse y aprovechan a recoger más en las horas de la mañana”, comenta la ecóloga.

A diferencia de otras plantas como los girasoles, que mueven sus hojas, las del olivo están fijas, dividiéndose en hojas de sol y sombra, en función de la luz que les llega.

Es el árbol el que decide cuánta luz atrapan sus hojas y cuánta deja que penetre al interior de la copa, es decir, a las hojas de sombra.

“A mediodía entra más luz hacia el interior de las copas que por la mañana, porque las hojas de sol atrapan menos luz para que esta llegue a las hojas de sombra. En otras palabras, las hojas de sol “descansan” a mediodía para que “trabajen” las de sombra”, subraya Ventre-Lespiaucq.

olivo-silvestre---menorca

Referencia bibliográfica:

Agustina B. Ventre-Lespiaucq, Adrián G. Escribano-Rocafort, Juan Antonio Delgado, María Dolores Jiménez, Rafael Rubio de Casas, Carlos Granado-Yela y Luis Balaguer. “Field patterns of temporal variations in the light environment within the crowns of a Mediterranean evergreen tree (Olea europaea)”, Trees, diciembre 2015. DOI: 10.1007/s00468-015-1328-7.

Contacto:

Rafael Rubio de Casas

Departamento de Ecología de la Universidad de Granada

Teléfono: 958 241000

Correo electrónico: rubiodecasas@ugr.es


Estudiantes de Trabajo Social elaboran un collage sobre los Derechos Humanos

Con el rostro y testimonios de 5000 personas entrevistadas

Un collage con el rostro y las respuestas de 5000 personas que han sido entrevistadas por estudiantes de Trabajo Social ha sido elaborado como actividad coordinada por el profesor José Luis Cabezas Casado, de la asignatura de Psicología 1, quien explica que “en un mundo en el que la falta de Derechos Humanos se hace patente cada día en los medios, el estudiantado ha querido a través de una actividad que he coordinado con ellos, profundizar en dicha cuestión”.

La actividad ha consistido en una entrevista a 5000 personas sobre el conocimiento de los Derechos Humanos a la vez que una acción de sensibilización social sobre los mismos. En este sentido, con el rostro de las 5000 personas entrevistadas se ha construido un “collage” gigante con sus rostros y sus respuestas como “metáfora que indica que juntos construimos los Derechos Humanos en la Universidad de Granada”.

Para José Luis Cabezas “en una sociedad donde a menudo priman las noticias negativas y la falta de derechos fundamentales frente a otras (crisis de Refugiados, guerras, hambre, etc.) es muy destacable el esfuerzo y la sensibilidad de nuestros estudiantes”.

Tras la realización de las 5000 entrevistas y la confección del collage los estudiantes han iniciado la fase de análisis de las respuestas obtenidas, y de momento se deduce que un alto porcentaje de las personas entrevistadas no conocen los Derechos Humanos (aproximadamente un 80 por ciento). Muchas de las personas entrevistadas han propuesto respuestas imaginativas para su consecución que pasan por el fomento de una cultura de la Paz en el contexto de la Educación (también Superior) de un modo transversal, además de la necesidad de tener en cuenta a las personas más desfavorecidas en las políticas internacionales de los países como prioridad, y una gran labor de difusión de los Derechos Humanos en todos los ámbitos sociales.

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Contacto: José Luis Cabezas Casado, Departamento de Psicología Evolutiva y de la Educación. Correo elec:jcabezas@ugr.es



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Abierto el plazo de inscripción a las clases de Pádel del Centro de Actividades Deportivas (CAD) de la Universidad de Granada

Las clases de pádel para adultos comenzarán el 15 de febrero

Arranca la segunda fase de las clases de pádel del curso 2015/2016, del Centro de Actividades Deportivas (CAD) de la Universidad de Granada con un equipo técnico formado por Jerónimo Cañas como coordinador y entrenador, campeón del mundo sub 21 y drector de PadelScience; Eduardo Espona, entrenador y ex nº 15 del ranking nacional, y la monitora de pádel Carmen García.

Las clases de pádel para adultos comenzarán el 15 de febrero y finalizarán el 20 de mayo. Se continúa con el mismo formato, el alumnado puede elegir uno, dos, tres o cuatro días de clase por semana durante el cuatrimestre, y como máximo 4 personas por pista. Un cuatrimestre cuesta 50 € para miembros de la comunidad universitaria, y 60 para externos a la Universidad de Granada.

A estas clases se pueden apuntar no sólo personal de la UGR, sino también personas que no pertenezcan a la comunidad universitaria.

Reconocimiento de créditos E.C.T.S. por la participación en actividades dirigidas y organizadas por el CAD.

En este enlace se puede realizar la inscripción:

Escuela Deportiva de Menores

La Escuela Deportiva de Menores ha comenzado el sábado 9 de enero y finaliza el 3 de abril, aunque hasta el 29 de enero están abiertas las inscripciones. El primer turno será de 10 a 11 horas para niños entre 12 y 15 años, y el segundo turno es de 11 a 12 horas, para niños entre 8 y 11 años los sábados. El precio del trimestre es de 70 € para la comunidad universitaria y de 85 para los no pertenecientes a la comunidad universitaria.

En este enlace se puede realizar la inscripción:

padelmenoresPie de foto: equipo técnico formado por Jerónimo Cañas; Eduardo Espon, y Carmen García.



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Jorge Contreras Ubric elegido nuevo coordinador general de Estudiantes de la UGR

La Delegación General de Estudiantes de la Universidad de Granada, ha elegido el jueves, 15 de enero de 2016, a Jorge Contreras Ubric como coordinador general de Estudiantes. Tras no conseguir quorum por parte del pleno en la primera vuelta, 32 votos apoyaron su candidatura en la segunda vuelta, quedando así elegido por el Pleno como coordinador.

Jorge Contreras, estudiante de Arquitectura, ha planteado como uno de sus compromisos principales dar peso a las Delegaciones de Centro como base de la representación estudiantil.

Antes de la elección del nuevo coordinador, Gorka Martín, finalizaba su mandato, manifestó su satisfacción por todo lo que se ha conseguido para la comunidad universitaria y se comprometió ‘‘a apoyar en todo lo posible al nuevo coordinador’’.

Tras la elección Jorge Contreras Ubric como nuevo coordinador, tuvo lugar la elección de los miembros que compondrán su equipo. María Ángeles Arenas fue proclamada como tesorera sin la necesidad de votación debido que fue la única candidatura presentada para dicho cargo.

Tras la felicitación del antiguo coordinador Gorka Martín, Jorge Contreras comienza un nuevo ciclo en la Delegación General de Estudiantes, con ganas de trabajar para y por los estudiantes.

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Firmado un convenio de colaboración entre la UGR y los hospitales ‘Inmaculada Concepción’, ‘Vithas. Nuestra Señora de la Salud’ y ‘San Rafael’

Para la realización de prácticas académicas curriculares y extracurriculares de estudiantes de la Facultad de Medicina de laUGR

Estudiantes de la Facultad de Medicina de la UGR podrán realizar prácticas académicas curriculares y extracurriculares en los hospitales “Inmaculada Concepción”, “Vithas. Nuestra Señora de la Salud” y “San Rafael” en virtud del convenio de colaboración firmado por la rectora de la UGR, Pilar Aranda Ramírez, y los responsables de los mismos el jueves, 14 de enero de 2016. Además el vicerrector de Estudiantes y Empleabilidad, José Antonio Naranjo, junto con el decano de la Facultad de Medicina, Indalecio Sánchez-Montesinos, suscribieron con los gerentes de los centros médicos citados una adenda al convenio específica para las prácticas curriculares de los estudiantes de Medicina.

Los firmantes del convenio en representación de los Hospitales han sido:

  • Hospital “Inmaculada Concepción”: Francisco Ivorra Miralles, presidente del Consejo de Administración y Francisco Marti Jiménez. médico del Hospital “Inmaculada Concepción”.
  • Hospital “Vithas. Nuestra Señora de la Salud”: Emilio Fajardo.
  • Orden Hospitalaria de San Juan de Dios, Hospital “San Rafael”: Fray José Luis Muñoz Martínez. Superior de la Orden Hospitalaria de San Juan de Dios.

El convenio presenta como objetivo permitir al alumnado de la Universidad de Granada aplicar y complementar los conocimientos adquiridos en su formación académica, favoreciendo la adquisición de competencias que les preparen para el ejercicio de actividades profesionales, faciliten su empleabilidad y fomenten su capacidad de emprendimiento.

El convenio será de aplicación para la realización de prácticas académicas externas, curriculares y extracurriculares, en las entidades citadas anteriormente, de los estudiantes matriculados en cualquier enseñanza impartida por la Universidad o por los Centros adscritos a la misma, en los términos recogidos en el reglamento interno de prácticas de la Universidad de Granada y los planes de estudio de la titulación correspondiente.

Se ha suscrito además una adenda al convenio que recoge las condiciones para la realización de prácticas de estudiantes de la Facultad de Medicina. La Universidad de Granada supervisará el funcionamiento y desarrollo de las prácticas a través del Vicerrectorado de Estudiantes y Empleabilidad.

La duración de las prácticas será la siguiente:

  • a) Las prácticas externas curriculares tendrán la duración que establezca el plan de estudios correspondiente en los términos establecidos por el artículo 12.6 del Real Decreto 1393/2007, de 29 de octubre.
  • b) Las prácticas externas extracurriculares tendrán una duración máxima de 6 meses o 600 horas en cómputo global. Sólo en casos excepcionales y siempre en aras de un mejor aprovechamiento por parte del estudiante, se podrá hacer una prórroga de tres meses como máximo, previa petición razonada de la empresa, en la que se exprese el compromiso de contratación a la finalización de dicha práctica.

Los horarios de realización de las prácticas se establecerán de acuerdo con las características de las mismas y las disponibilidades de la entidad colaboradora, y quedarán reflejados en los documentos correspondientes. Los horarios, en todo caso, serán compatibles con la actividad académica, formativa y de representación y participación desarrollada por el estudiante en la universidad.

conveniohsopitales

Contacto: José Antonio Naranjo, vicerrector de Estudiantes y Empleabilidad de la UGR. Telef. 958244319. Correo electrónico: viceestudiantes@ugr.es.


Comienza en Melilla el curso “Actualización sobre cuidados básicos del suelo pélvico”

Las inscripciones han de formalizarse en el Decanato de la Facultad de Enfermería del Campus de la UGR en Melilla, hasta cubrir las plazas

El curso tendrá lugar en la Sala de Grados del Campus de Melilla, los días 15 y 22 de enero de 2016

Con el título “Actualización sobre cuidados básicos del suelo pélvico”, se celebrará en la Sala de Grados del Campus de Melilla un curso para fomentar el cuidado del suelo pélvico. Tendrá lugar los días 15 (mañana y tarde) y 22 de enero de 2016 (mañana) y la asistencia será contabilizada, ya que será necesario haber cumplido el 85% de presencia para su reconocimiento. Las inscripciones han de formalizarse en el Decanato de la Facultad de Enfermería del Campus de la UGR en Melilla, hasta cubrir las plazas. Está coordinado por Silvia Navarro Prado, del Vicedecanato de Movilidad, Prácticas y Estudiantes.

El curso, organizado por la Facultad de Enfermería del Campus de la UGR en Melilla, ha sido patrocinado por “Mujer Melilla”, con la colaboración de la Ciudad Autónoma de Melilla, el Centro Mediterráneo de la UGR, y la Clínica PhysioPersonal.

http://sl.ugr.es/08Pn

http://enfermeriamelilla.ugr.es/imagen-curso-melilla (1)


El Proyecto MEMOLA 1 de los 5 mejores proyectos innovadores en Humanidades

El proyecto MEMOLA, coordinado por José María Martín Civantos profesor del Dpto. Historia Medieval de la Universidad de Granada, ha sido seleccionado por el Comité Científico Europeo como uno de los cinco proyectos más innovadores en el área de la investigación en Humanidades.

En el artículo “Radical Innovation: Humanities Research Crossing Knowledge Boundaries and Fostering Deep Change”, publicado en diciembre 2015, por el Comité Científico Europeo, el mismo destaca aquellas contribuciones que sitúan a las Artes y Humanidades en el centro de la innovación en investigación. Así, señala las claves de innovación radical que el Proyecto MEMOLA desarrolla:

  • Colaboración Interdisciplinar entre las Artes y Humanidades, y las Ciencias Naturales de la Vida, incluyendo la Agronomía, Arqueología, Historia, Botánica, Hidrología, Geología, Etnografía y Pedagogía.
  • Contribución a las Humanidades.
  • Fórmulas innovadoras en el desarrollo y organización de los métodos de trabajo, destacando el Desarrollo Local, Educación, Rutas Culturales, Documentales y Exposiciones.

Puede descargar el artículo completo aquí: http://scieur.org/radical

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