Des scientifiques démontrent que le cerveau des patients avec schizophrénie est différent en fonction du type dont ils sont atteints

Une équipe internationale à laquelle participe l’Université de Grenade met en rapport pour la première fois les symptômes de cette maladie avec les caractéristiques de l’anatomie du cerveau en employant pour cela des images par résonnance magnétique.

Leur travail, que publie cette semaine la revue NeuroImage, pourrait supposer une importante avancée pour améliorer le diagnostic et le traitement de la schizophrénie.

 

Une équipe internationale de scientifiques à laquelle participe l’Université de Grenade a démontré pour la première fois que l’anatomie du cerveau des patients avec schizophrénie est différente en fonction du type dont ils sont atteints.

Ce travail, que publie cette semaine la revue NeuroImage, pourrait supposer une importante avancée pour améliorer le diagnostic et le traitement de la schizophrénie, vu que pour la première fois les scientifiques sont arrivés à mettre en rapport les symptômes de cette maladie avec les caractéristiques de l’anatomie du cerveau en employant pour cela des images cérébrales avancées.

Ont participé à cette recherche les universités de Washington à Saint-Louis et de la Floride du Sud (États-Unis), et l’Université de Grenade (Espagne).

Les scientifiques ont démontré, en observant l’anatomie des cerveaux, qu’il existe divers sous-groupes diagnostiqués de schizophrénie avec des symptômes différents.

Pour mener à bien ce travail, les chercheurs ont réalisé une résonnance magnétique (MRI) moyennant une technique dénommée « images de tenseur de diffusion » chez 36 volontaires sains et 47 personnes schizophréniques.

Les explorations réalisées chez les patients avec schizophrénie ont révélé qu’ils présentent plusieurs anomalies dans des parties déterminées du corps calleux, un faisceau de fibres qui connectent les hémisphères gauche et droit du cerveau et qui se considère critique pour la communication neurale.

Anomalies dans le corps calleux

Quand les chercheurs ont observé des anomalies dans tout le corps calleux du cerveau, ils ont trouvé que certaines caractéristiques révélées par les scanners cérébraux coïncidaient avec des symptômes spécifiques de la schizophrénie. Par exemple, les patients avec des caractéristiques spécifiques dans une partie du corps calleux ont manifesté un comportement étrange et désorganisé.

Chez d’autres patients, les irrégularités observées dans une partie différente de cette structure cérébrale ont été associées à une désorganisation de la pensée et de la parole, et à des symptômes négatifs comme le manque d’émotions. D’autres anomalies cérébrales dans le corps calleux ont été associées à des hallucinations.

En 2014, cette même équipe de chercheurs avait démontré que la schizophrénie n’est pas une seule maladie mais qu’il existe un groupe de huit troubles génétiquement différents, chacun desquels présente son propre ensemble de symptômes.

Dans cette étude, les chercheurs du Département des Sciences de l’Informatique et de l’Intelligence Artificielle de l’Université de Grenade, Javier Arnedo et Igor Zwir, ont découvert que différents ensembles de gènes étaient fortement associés à des symptômes cliniques distincts.

La schizophrénie n’est pas une seule maladie

Tel que l’explique Igor Zwir, « la présente étude fournit une preuve de plus que la schizophrénie est un groupe hétérogène de troubles et non pas un seul, comme on le pensait jusqu’à cette date ».

Les chercheurs considèrent qu’à l’avenir il sera important d’analyser comment les réseaux de gènes précis sont liés aux caractéristiques spécifiques du cerveau et aux symptômes individuels, afin que les traitements puissent s’adapter aux patients. Actuellement, les traitements pour la schizophrénie tendent à être très généraux, indépendamment des symptômes que présente chaque patient.

Aussi bien pour l’analyse des groupes de gènes que celle des scanners cérébraux, les chercheurs ont développé une nouvelle méthode complexe d’analyse de rapports entre données de différents types et de recommandations sur de nouvelles données, similaire à celle qu’emploient des compagnies comme Netflix pour prédire les films qu’ils veulent transmettre.

« Pour mener à bien ce travail, nous n’avons pas analysé d’abord les personnes qui présentaient certains symptômes de schizophrénie pour voir après si elles avaient des anomalies correspondantes dans le cerveau, signale Zwir. Nous avons analysé les données et c’est ainsi que nous avons trouvé ces patrons. Ce genre d’information, combiné avec des données sur le génétique de la schizophrénie, sera un jour d’une importance vitale pour aider les médecins à traiter le trouble d’une façon plus précise ».

Référence bibliographique :

Decomposition of brain diffusion imaging data uncovers latent schizophrenias with distinct patterns of white matter anisotropy. Javier Arnedo, Daniel Mamah, David A. Baranger, Michael P. Harms, Deanna M. Barch, Dragan M. Svrakic, Gabriel A. de Erausquin, C. Robert Cloninger , Igor Zwir. NeuroImage 120 (2015) 43-54

http://dx.doi.org/10.1016/j.neuroimage.2015.06.083

 

Quand les chercheurs ont observé des anomalies dans tout le corps calleux du cerveau, ils ont trouvé que certaines caractéristiques révélées dans les scanners cérébraux coïncidaient avec des symptômes spécifiques de la schizophrénie.

Les chercheurs de l’Université de Grenade ayant participé à ce travail, Javier Arnedo (second à gauche) et Igor Zwir (à côté de lui), avec deux autres compagnes du groupe de recherche interdisciplinaire « Soft Computing and Intelligent Information Systems ».

 

Contact :

 

Igor Zwir. Département des Sciences de l’Informatique et de l’Intelligence Artificielle de l’Université de Grenade. Tél. : 958 240 468. Université Washington à Saint-Louis (États-Unis). Tél. : +1 314 362 7014 ; courriel : igor@decsai.ugr.es


“Art in progress”, en la Madraza

El artista, José Miguel Chico López, estará a disposición de los periodistas en la Madraza, el miércoles, 10 de febrero de 2016, a las 12 h

La inauguración de la exposición tendrá lugar en la Sala de Exposiciones del Palacio de la Madraza, el mismo miércoles, 10 de febrero de 2016, a las 20 h

“Art in progress” es el título de la exposición de José Miguel Chico López que se inaugura el miércoles, 10 de febrero de 2016, a las 20 horas en la Madraza.

El artista, José Miguel Chico López, estará a disposición de los periodistas en la sala de exposiciones de la Madraza, el mismo miércoles, 10 de febrero de 2016, a las 12 horas, acompañado por la directora del Área de Artes Visuales, Centro de Cultura Contemporánea de la UGR, y comisaria de la exposición, Belén Mazuecos.

Según los organizadores, “si una constante es clara en el trabajo que viene realizando el artista en estos últimos años, es la investigación que desarrolla en torno a la continua re-interpretación a la que está sometido el mundo del arte y los roles artísticos que asume la sociedad actual”.

Chico López reflexiona en esta exposición acerca del consumo y la utilidad que tiene el arte en una cultura construida, mayoritariamente, sobre clichés que nacen del desconocimiento y de la inmediatez imperante. El artista nos habla de la no sincronización de las ideas con el objeto artístico y se pregunta si puede ser un problema forjar nuestras individualidades con lo que damos por hecho que sabemos, conocemos, vemos, oímos, etc., y no con lo que no somos capaces de ver o conocer. “A través de sus dibujos y videos podemos conocer su concepto de arte. Asistimos a un escenario en el que la resolución que adopta el producto artístico termina siendo ajena a su esencia, consecuencia de su ambigüedad, preso del lenguaje formal que representa por carecer de una estructura sintáctica clara. La idea de arte contemporáneo ha fracasado en nuestra cultura. En “Art in progress”, el artista acomete diferentes proyectos que nos hablan sobre su experiencia e indagación en torno al proceso creativo; de cómo cada uno de los interrogantes que se acuerdan en el mismo determinan el producto final. Busca mantener un diálogo con nuestro conocimiento, nos lanza mensajes y espera que los recojamos desde nuestro rol como espectadores”.

José Miguel Chico López

Licenciado por la Facultad de Bellas Artes “Alonso Cano” de la Universidad de Granada en 1991, el trabajo artístico de José Miguel Chico López está vinculado a su obsesión por la separación arte-sociedad. Ha realizado más de veinte exposiciones individuales en sus veinte años de trayectoria profesional en diversas galerías y salas institucionales. Ha expuesto sus trabajos en algunas ferias de arte internacionales como ARCO (03, 07,10) Madrid, SCOPELondon 08, BALELATINA, Basilea 08, ARTEFIRA10 Bolonia.

Tiene obra en colecciones públicas y privadas como: En el CAC Málaga, Colección de Arte emergente. Iniciarte, Junta de Andalucía, Diputación Provincial de Alicante y Jaén, Fundación Coca-Cola España, Instituto de estudios Jienenses, Universidad de Granada y de Juan Carlos I. Madrid.

Desde 2013 Chico López ha utilizado su alter ego USTED para desarrollar aspectos sonoros y videográficos dentro de su obra artística. A principios de año grabó su primer LP “Dios” con la productora granadina Grupo de Fe. Basándose en un desarrollo geométrico aleatorio produce su obra gráfica y sonora, edita videos animados que presenta junto a sus performance sonoras. Las ha presentado dentro del programa Openstudio 2014 en Madrid o en la celebración del centenario del nacimiento de José Guerrero “Apertura en Negro” para el centro que lleva su nombre en la ciudad de Granada. En estos últimos, años al margen de la propuesta de USTED, ha participado en exposiciones como: En 2013-14,“Neighbour, artistas de proximidad en la colección permanente” CAC MÁLAGA. “La Bolsa o la vida”, Sala DBT Gibraleón y la Casa de Velázquez. Madrid. En 2013, en el IV Certamen de dibujo contemporáneo Pilar y Andrés Centenera Jaraba, Madrid. En 2012, “Última pintura en las colecciones del DA2 y Fundación Coca-Cola”, Centro de arte la Regenta. Las Palmas de Gran Canaria y en DA2 de Salamanca.

Convocatoria

Atención a los medios: 12 horas del miércoles, 10 de febrero, en la sala de exposiciones del Palacio de la Madraza.

Inauguración: “Art in progress”.

Lugar: Sala de Exposiciones Palacio de la Madraza.

                                                                            

Artista: José Miguel Chico López.

Comisaria: Belén Mazuecos.

Día: miércoles, 10 de febrero de 2016.

Hora: 20 horas.

Organiza y produce: Área de Artes Visuales del Centro de Cultura Contemporánea, Universidad de Granada.

Fechas: del 10 febrero de 2016 al 29 de abril de 2016.

Horario: de lunes a sábado, de 11 a 14 horas y de 17.30 a 20.30 horas. Domingos, de 11.00 a 14.00 horas. (Semana Santa: Cerrado).

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La UGR impulsa programas educativos para toda la ciudadanía

Organizados por el Vicerrectorado de Extensión Universitaria de laUGR en colaboración con la Delegación Provincial de la Consejería de Educación de la Junta de Andalucía

Nuevo espacio web: http://lamadraza.ugr.es/

El programa de Visitas y Talleres organizado por el Vicerrectorado de Extensión Universitaria de la UGR en colaboración con la Delegación Provincial de la Consejería de Educación de la Junta de Andalucía se ha presentado, en rueda de prensa, en el Palacio de la Madraza, el martes, 9 de febrero, con la participación de Víctor Medina, vicerrector de Extensión Universitaria; Germán González Pérez, delegado provincial de Educación de la Junta Andalucía; Pilar Núñez Delgado, coordinadora del Área de Recursos Didácticos, y Ana Isabel García López, directora de la Unidad de Cultura Científica.

La apuesta de la Universidad de Granada por poner a disposición de toda la ciudadanía su patrimonio y los proyectos culturales que impulsa para potenciar con ello su proyección social se plasma en este programa de visitas y actividades de divulgación y educativas. Se dirige preferentemente a público escolar y a profesorado de todas las etapas y niveles, aunque está abierto a todas aquellas personas interesadas en conocer el rico patrimonio de la Universidad o en participar de las manifestaciones culturales contemporáneas que forman parte de la programación de la UGR.

En el marco de esta programación, el martes 9 de enero, de 11 a 13 horas, alumnado de 3º y 4º de ESO del C.P. “Mariana Pineda” de Huétor Vega, acompañado de su profesorado, ha visitado La Madraza.

El programa está organizado por el Vicerrectorado de Extensión Universitaria y es fruto de la cooperación entre las distintas unidades de este: La Madraza, Centro de Cultura Contemporánea, el Secretariado de Bienes Culturales, el Secretariado de Conservación y Restauración, la Unidad de Cultura Científica, las áreas de Artes Visuales, de Recursos Gráficos y Edición, de Recursos Expositivos y de Recursos Didácticos. El desarrollo de este programa se ha hecho en el marco de la colaboración con la Delegación Provincial de la Consejería de Educación de la Junta de Andalucía, con cuyo apoyo se cuenta tanto para ajustarlo a las necesidades de los centros como para darle difusión en ellos, de modo que forme parte del catálogo de actividades culturales y complementarias que estos realizan cada curso académico.

Visitas y talleres

Se han programado visitas-taller a exposiciones para escolares que están destinadas a alumnado de Educación Infantil, Primaria, Secundaria y Bachillerato. Esta actividad consiste en visitas explicadas a las exposiciones temporales que en cada momento haya en los espacios de la UGR, acompañadas de talleres de educación artística relacionados con las propuestas conceptuales de cada exposición. El objetivo es fomentar la participación de los escolares de todos los niveles en actividades de creación realizadas in situ. Para ello se elaboran materiales didácticos, pensados tanto para profesorado como para el alumnado, donde se recogen las actividades que se desarrollarán en los talleres, así como los elementos del currículum de cada etapa a cuyo logro se está contribuyendo con esta intervención.

Además el programa incluye visitas guiadas al patrimonio de la UGR para escolares también de Educación Infantil, Primaria, Secundaria y Bachillerato. Se trata de visitas guiadas a edificios patrimoniales y a colecciones de la UGR a cargo de personal especializado que mostrará los aspectos históricos y artísticos más relevantes de estas. Su finalidad es dar a conocer el patrimonio de la UGR a los escolares de la ciudad y de la provincia, para que así lo valoren y lo disfruten.

Las actividades anteriores pueden realizarse combinadas en una misma visita. Por ejemplo: visita guiada al Hospital Real + visita a la exposición que en ese momento haya en él y taller de educación artística.

Además se han programado actividades para mayores dirigidas a alumnado de Educación Secundaria de Adultos (ESA), Educación de Personas Adultas (EPA) y Aulas de Mayores, con visitas que pretenden mostrar a este colectivo y a su profesorado los edificios patrimoniales, las colecciones y las exposiciones de la UGR de modo que los conozcan y los disfruten, al tiempo que dinamizan su participación en la vida cultural de la Universidad.

Por supuesto el público en general también tiene acceso al programa tanto de visitas guiadas al patrimonio de la UGR como al de visitas comentadas a las exposiciones temporales

Nueva web: http://lamadraza.ugr.es

El nuevo espacio web (http://lamadraza.ugr.es/) ordena y presenta de manera eficaz el conjunto de actividades que a lo largo de cada curso académico ofrece este espacio cultural universitario. La intensa programación de exposiciones, ciclos de cine, conferencias, seminarios, conciertos, etc., organizada desde el conjunto de áreas y cátedras que ampara el proyecto de La Madraza cuenta desde ahora con un espacio virtual ideado para facilitar su difusión entre la comunidad universitaria y la sociedad en general. De este modo, la nueva página web quiere contribuir al objetivo de extender y divulgar la producción científica y cultural que desde laUniversidad de Granada se impulsa.

En la nueva web destacan las secciones de Agenda, diseñada para facilitar la consulta de la programación de La Madraza y la información detallada de cada actividad, y el archivo de Exposiciones y Actividades con el que se podrá acceder a un histórico de todas las acciones impulsadas desde el Centro de Cultura Contemporánea. La web dispone además de un repositorio multimedia con vídeos y galerías de imágenes que amplían la información de las actividades y una amplia sección de descargas donde los usuarios podrán acceder a materiales didácticos, catálogos, publicaciones y otros recursos digitales que vayan produciéndose.

El proyecto ha sido impulsado por el Área de Recursos Gráficos y Edición del Vicerrectorado de Extensión Universitaria, la Oficina de Gestión de la Comunicación y la Oficina Web de la Universidad de Granada. Se enmarca en un proceso de renovación y mejora de los recursos de comunicación online de la universidad en los que se viene trabajando intensamente desde el inicio del presente curso desde la Oficina Web. Esta estrecha colaboración entre distintas áreas de la UGR más la garantía y solvencia del trabajo de las empresas granadinas SI2 Pequeñas y Grandes Soluciones Tecnológicas S.L., quienes han asesorado y desarrollado toda la arquitectura de programación web, y “aminúscula”, que firma la nueva identidad corporativa de La Madraza y el diseño gráfico de la web, han permitido poner en marcha esta herramienta online en un tiempo reducido para poder dar servicio inmediato a la nueva etapa del Centro de Cultura Contemporáneo de la Universidad de Granada.

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Toda la información sobre el programa de visitas y talleres está disponible en la nueva web de La Madraza. Centro de Cultura Contemporánea de la Universidad de Granada: http://lamadraza.ugr.es/

Ficheros adjuntos


La Euroárabe firma en Marruecos la creación de la Biblioteca ‘Doctora Leila Mezian’

La Fundación Euroárabe pondrá en marcha en su sede de Granada la Biblioteca ‘Doctora Leila Mezian’, especializada en las culturas y las sociedades de las regiones del norte de África y Oriente Medio

La Fundación Euroárabe y la Fundación “Doctora Leila Mezian” han suscrito un convenio para la creación de la Biblioteca ‘Doctora Leila Mezian’. Esta biblioteca multilingüe estará especializada en las culturas y las sociedades de la región del Norte de África y Oriente Medio (región MENA), con una atención especial a la cultura Amazigh.

La principal misión de esta biblioteca que se ubicará en Granada, en la sede de la Fundación Euroárabe, será difundir los conocimientos y los saberes de las culturas de la zona MENA, poniendo a disposición del público documentación científica, promoviendo la investigación y organizando encuentros científicos-académicos que favorezcan el debate y la difusión de los resultados de la investigaciones realizadas.

Como destinatarios principales, la biblioteca está pensada para la comunidad universitaria y científica (estudiantes, profesores e investigadores), profesionales de la cooperación internacional y del periodismo y la comunicación, artistas y público en general interesado en la región MENA y en la cultura Amazigh.

El acuerdo suscrito en el día de ayer en la sede de la Fundación “Doctora Leila Mezian” en Casablanca (Marruecos, se enmarca en las actuaciones desarrolladas por la Cátedra Internacional de la Cultura Amazigh.

La Cátedra, creada en diciembre de 2014 por las fundaciones Euroárabe y “Doctora Leila Mezian” de Marruecos, tiene como misión servir como instrumento de diplomacia cultural no gubernamental para la promoción de todas las dimensiones de la cultura Amazigh en Europa y el Norte de África, propiciando la cooperación Euro-Amazigh y el fomento, promoción e investigación de esta cultura.

La puesta en marcha de la Cátedra se entiende como un paso importante en la promoción de la cultura Amazigh, en la construcción de un partenariado Euro-Amazigh sostenible y en la creación de redes de expertos e investigadores de renombre mundial procedentes de diferentes universidades y países.

Las distintas actividades desarrolladas en el marco de la Cátedra a lo largo de 2015 así lo demuestran, con la celebración de foros internacionales de expertos, exposiciones, talleres, concierto o ciclos de cine, a lo que se suma ahora la creación de la Biblioteca ‘Doctora Leila Mezian’.

La firma del convenio para la creación de la Biblioteca ‘Doctora Leila Mezian’ se ha desarrollado en el marco de la reunión de la Comisión Mixta de la Cátedra Internacional de la Cultura Amazigh, celebrada en Casablanca. En esta reunión se presentó la memoria de las actividades realizadas durante el año 2015 y la programación de actividades científicas y culturales para 2016.

imageMomento de la firma del Convenio en Casablanca, entre las representantes de las fundaciones Euroárabe y Doctora Leila Mezian, Inmaculada Marrero Rocha y Leila Mezian Benjelloun.

Fundación Euroárabe de Altos Estudios 
c/ San Jerónimo, 27. Granada- España
Tlf/ +34 958206508
Fax/ +34 958208354
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Agenda cultural de la UGR para el MIÉRCOLES, 10 de FEBRERO de 2016 Enviar esta página por e-mail

DESTACADO

«Miradas al mundo»: «Balance del ciclo político reciente. Del 15-M a las Elecciones Generales del 20-D». Sesión de los Seminarios “Miradas al mundo» .

Ponente: Fernando Fernández-Llébrez González. Dpto. de Ciencia Política y de la Administración. Universidad de Granada. Acto público, abiertos a cualquier persona interesada. 

Salón de Actos “Francisco A. Muñoz” del Centro de Documentación Científica de la Universidad de Granada a las 19:00. 



AGENDA COMPLETAhttp://sl.ugr.es/08Uj


Acto de apertura oficial del máster Erasmus+ “COlor in Science and Industry (COSI)” en la Universidad de Granada

COSI es el único máster internacional especializado en la Ciencia del Color y sus Aplicaciones con la etiqueta de excelencia Erasmus+ de la Comisión Europea, dentro de la acción denominada “Joint Master Degrees”

La inauguración del Máster Erasmus+ COlor in Science and Industry se celebrará el miércoles 10 de febrero, a las 9:30 horas, en el Salón de Grados de la Facultad de Ciencias, con la participación de la vicerrectora de Internacionalización, Dorothy Kelly, y el director de la Escuela Internacional de Posgrado, Manuel Garrido Ramos. Tras la apertura se ofrecerá la conferencia inaugural a cargo del profesor Jussi Parkinnen, de la University of Eastern Finland (Finlandia), titulada “Color, light and mobile technology”.

COSI es el acrónimo del máster internacional Erasmus+ sobre Ciencia y Tecnología del Color ofertado conjuntamente por la Universidad de Granada (UGR) en España, la Universidad Jean Monnet (UJM) en Saint-Etienne (Francia), la University of Eastern Finland (UEF) en Joensuu (Finlandia) y el Gjovik University College (GUC) en Gjovik (Noruega). Los estudiantes de esta primera promoción 2015-17 están finalizando su Semestre 1 en la institución francesa y en febrero se incorporan a la UGR para cursar el segundo de los cuatro semestres que tienen que cursar.

COSI es un máster de 2 años de duración (con enseñanza enteramente en inglés) que está especializado en la Ciencia del Color, la Visión Computacional y el Procesado de Imágenes digitales y espectrales, para formar a estudiantes que quieran tanto enfocar su carrera hacia un perfil investigador previo al Doctorado como a los que busquen un perfil altamente especializado en línea con lo que las empresas del sector demandan.

El máster acaba de abrir el periodo de solicitudes de acceso para la 2ª promoción del curso 2016-18, y cuenta además con la participación de 4 universidades socias: Monash University (Malasia), Chulalongkorn University (Tailandia), Toyohashi University of Technology (Japón) e Institut Teknologi Bandung (Indonesia), y 5 socios industriales: Olympus Corporation (Japón), Specim y Softcolor (Finlandia), Tecnalia (España) y Chromasens (Alemania).

El consorcio del máster ofrece becas Erasmus+ JMD de 2 años de hasta 49.000 Euros en función de la excelencia académica de los candidatos/as y de su país de procedencia (se pueden consultar todos los detalles en http://master-colourscience.eu/programme/scholarships/).

Requisitos de admisión: los estudiantes que quieran acceder al programa COSI deberán estar en posesión de un título de Grado o equivalente (180 ECTS) en Física, Matemáticas, Ingeniería o Ciencias de la Computación y áreas relacionadas con el campo de la Óptica, la Fotónica y las Ciencias de la Imagen. Para ser admitido en el programa se requiere un nivel de inglés fluido y nota media de expediente de C (de acuerdo al sistema de calificación ECTS).

Formalización de solicitudes: online a través de la dirección web http://master-colourscience.eu/application-process/ antes del 28 de FEBRERO de 2016.

Contacto Académico:

Contacto General/Administrativo: pueden ponerse en contacto directamente con la secretaría de COSI a través del formulario online: http://master-colourscience.eu/contact/

Estructura del máster: http://master-colourscience.eu/course-catalogue/


Le fait de subir des expériences traumatisantes pendant l’enfance et l’adolescence multiplie par sept le risque de souffrir de psychose à l’âge adulte

Une étude à laquelle participe l’Université de Grenade démontre que, de plus, le fait d’avoir été un grand consommateur de cannabis multiplie par six cette possibilité de souffrir de psychose.

À cette recherche, publiée dans la revue Journal of Psychiatric Research, ont participé 50 paires de frères dont un souffrait cette maladie mentale et l’autre pas.

 

Une étude à laquelle participe l’Université de Grenade démontre que, de plus, le fait d’avoir été un grand consommateur de cannabis multiplie par six cette possibilité de souffrir de psychose à l’âge adulte.

De même, le fait d’avoir été un grand consommateur de cannabis pendant l’enfance ou l’adolescence (c’est-à-dire cinq ou six fois par semaine) multiplie par six cette possibilité de souffrir de psychose. Et, pour chaque point en ajout, un trait de personnalité appelé neuroticisme ou instabilité émotionnelle (instabilité et insécurité émotionnelle, taux élevés d’anxiété, état permanent de préoccupation et de tension, etc.) augmente de 30% cette possibilité.

Ces trois associations sont indépendantes entre elles et ne dépendent pas du sexe, ni de l’âge ni de l’extraversion du patient, un autre trait de la personnalité inclus dans le dénommé Questionnaire de Personnalité d’Eysenck que les chercheurs ont employé pour cette étude.

Revue à facteur d’impact

À cette recherche, publiée récemment dans la revue Journal of Psychiatric Research, à facteur d’impact dans le domaine de la psychiatrie, ont participé des chercheurs de la Fondation Jiménez Díaz et de l’Université Autonome de Madrid, de l’Université de Kansas (États-Unis), de l’Institut de Psychiatrie de Londres (Royaume-Uni), de l’Université de Southampton (Royaume-Uni), de l’Université de Grenade et de l’Institut de Biomédecine de Séville (IBIS), ainsi que de l’Hôpital Universitaire Virgen del Rocío/CSIC/Université de Séville.

Le travail, mené à bien grâce à une méthodologie statistique sophistiquée, a comparé les caractéristiques de 50 patients des provinces de Grenade ou Jaén avec début de psychose récente, et celles d’un frère sans psychose.

S’il est vrai que d’autres études ont été réalisées sur cette question avec des échantillons de population générale, « ce travail a en outre la valeur d’avoir été mené à bien pour la première fois avec un échantillon clinique formé par des frères avec et sans psychose, et met en évidence la nécessité que les cliniques recherchent les antécédents de ce genre au moment d’évaluer les patients », expliquent les professeurs de Psychiatrie de l’UGR Manuel Gurpegui y Jorge Cervilla, coauteurs du travail.

Référence bibliographique :

Barrigón ML, Diaz FJ, Gurpegui M, Ferrin M, Salcedo MD, Moreno-Granados J, Cervilla JA, Ruiz-Veguilla M. Childhood trauma as a risk factor for psychosis: A sib-pair study. Journal of Psychiatric Research 2015; 70: 130-136. http://dx.doi.org/10.1016/j.jpsychires.2015.08.017

L’article complet est disponible sur le site suivant :

http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0022395615002599

Contact :

Manuel Gurpegui Fernández de Legaria. Professeur du Département de Psychiatrie de l’UGR. Tél. : 958241000 ext. 20331 ; courriel : gurpegui@ugr.es

 Jorge Cervilla Ballesteros. Professeur de Département de Psychiatrie de l’UGR. Tél. :

958241000 ext. 20340 ; courriel : jcervilla@ugr.es


Research shows that pedestrians feel safer in streets illuminated with white light

This research, carried out by the University of Granada and published in Safety Science magazine, has analysed the pedestrians’ perceived safety and well-being when walking by streets with particular illuminance types and levels

This work has proven that pedestrians show much higher reactivity to certain test questions when there’s a higher level of illuminance and/or when the light is ‘sodium-yellow’, although perceived safety is higher with white light

 

Pedestrians feel safer in streets illuminated with white light than in those illuminated with yellowish lights (technically called ‘sodium-yellow’), even when the former are more polluting in certain aspects. One of the possible reasons is that this kind of light allows a better identification of human faces.

Those are the conclusions of multidisciplinary research carried out by scientists from the University of Granada (UGR) belonging to the departments of Civil Engineering and Social Psychology. The researchers analysed, among other variables, the pedestrians’ perceived safety and well-being when walking by streets with particular illuminance types and levels.

275 pedestrians from Granada participated in this research. They were given a test just after walking by the streets when public lighting was on, so that their answers were not conditioned by their memories or by other perceptions not related with the study.

In addition, this work suggests that lights with high content of blue wavelengths (such as some of the white lights in public lighting) a greater inhibition of melatonin, the so called ‘sleep hormone’, something already observed in laboratory studies by teams of researchers all over the world. For the first time, this has been proven for public lighting in real transit conditions, based in the subjective answers given by the pedestrians.

However, the authors of this work warn us that the quantification of physiological parameters such as melatonin inhibition or cortisol secretion, both greatly related to illuminance, «is a subject that should be studied by other type of specialists, and in any case is the aim of this research, which is centred on the pedestrians’ perception and its correlation with the lighting installations quantitative parameters».

Real conditions study
The results of the inquiry were crossed with quantitative measurements of the main parameters involved in public lighting. The analysis of the group of data and their interactions has proven some of the hypothesis that, to this day, had only been proven in laboratories and under strict experimental conditions, while this research has been centred in real conditions.

Among other results, the researchers have assessed that the pedestrians’ reactivity to all kinds of subjective matters, in each and every case, increases with the increase in illumninance levels.

«The results, although obvious in some of the questions of the inquiry, in others were more paradoxical and should call our attention about the elaboration of new regulations on public lighting», Antonio Manuel Peña García, professor at the department of Civil Engineering at the UGR and lead author of this work, explains.

Illuminance and crime
To this day, most studies about public lighting, both academic and professional, have been centred on objective and quantitative aspects, that is to say, the design of more economic and efficient installations, compliance with applicable regulations, new technologies, etc.

From another, less technical perspective, the effects of the illuminance on personal and material safety have been assessed, too. That’s the main aim of lighting technology.

«In this regard, controversy between different authors and philosophies about urban lighting has been such that, to this day, there’s no unanimous agreement on if higher illuminance levels increase street safety or, on the contrary, decrease it, given that even possible criminals seem to need a minimum level of illuminance in order to properly select their victims», Peña stresses.

Neither the supporters nor the detractors of higher illuminance levels in order to increase citizen safety «have paid attention to an extremely important concept: public lighting installations users’ perceived safety».

In addition to professor Peña García, this research counted with the participation of Mª del Carmen Aguilar Luzón, professor at the department of Social Psychology at the UGR and an expert in Environmental Psychology; and Antonio Hurtado González, industrial engineer at Granada City Council and member of Luminotecnia para la Seguridad y la Sostenibilidad (lighting technology for safety and sustainability) research group, under professor Antonio Peña’s management.

Bibliographic references:

Impact of public lighting on pedestrians’ perception of safety and well-being
A. Peña-García, A. Hurtado, M.C. Aguilar-Luzón
Safety Science
Volume 78, October 2015, Pages 142–148

 Figure 2. The UGR researchers Antonio Peña, Mª Carmen Aguilar and Antonio Hurtado in the laboratory.

Contact:

AntonioManuel Peña García

Departamento de Ingeniería Civil dela UGR

Grupo de Investigación»Luminotecnia para la Seguridad y la Sostenibilidad» (RNM-913)

Telephone: (+34) 958 249 435

E-mail: pgarcia@ugr.es

 


Presentación de los programas educativos y culturales de la UGR, y nuevo espacio web La Madraza

Martes 9 de febrero, a las 11:30 horas, en la Sala Mural del Palacio de La Madraza

El martes 9 de febrero, a las 11:30 horas, se presentan, en rueda de prensa, en la Sala Mural del Palacio de La Madraza, los programas educativos del Vicerrectorado de Extensión Universitaria que comprenden Visitas guiadas a las exposiciones, Talleres, actividades de Divulgación Científica y producción de materiales didácticos.

Se trata de la apuesta por acercar a la sociedad en general el patrimonio y los proyectos culturales que impulsa la Universidad de Granada. Precisamente, el martes 9 de febrero, de 11 a 13 horas, alumnado de 3º y 4º de ESO del C.P. “Mariana Pineda” de Huétor Vega, visita La Madraza acompañado de profesorado.

El programa está organizado por el Vicerrectorado de Extensión Universitaria de la UGR en colaboración con la Delegación Provincial de la Consejería de Educación de la Junta de Andalucía.

En la presentación intervienen:

  • Víctor Medina, vicerrector de Extensión Universitaria.
  • Germán González Pérez, delegado provincial de Educación de la Junta Andalucía.
  • Pilar Núñez Delgado, coordinadora del Área de Recursos Didácticos.
  • Ana Isabel García López, directora de la Unidad de Cultura Científica.

Además se presenta el nuevo espacio web La Madraza que muestra de manera eficaz el conjunto de actividades que a lo largo de cada curso académico ofrece este espacio cultural universitario, referente en el ámbito cultural de Granada.

CONVOCATORIA:

  • ASUNTO: Presentación de los programas educativos y culturales de la UGR.
  • DÍA: Martes, 9 de febrero.
  • HORA: 11,30 horas.
  • LUGAR: Sala Mural del Palacio de La Madraza.

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LOS MEDIOS GRÁFICOS PUEDEN CUBRIR LA VISITA DE ALUMNADO DEL COLEGIO DEL C.P. MARIANA PINEDA DE HUÉTOR VEGA, EL MARTES, 9 DE FEBRERO, DE 11 A 13 HORAS, EN LA MADRAZA.


Un estudio advierte de la necesidad de tener en cuenta la opinión de los jóvenes para solucionar los excesos del ‘botellón’

Una investigación de la Universidad de Granada y la Consejería de Salud de la Junta de Andalucía señala que los jóvenes que acuden a estas concentraciones están motivados por la necesidad de estar juntos, siendo el beber algo accesorio

En su trabajo analizan la historia del botellón en Granada, concluyendo que, desde tiempo inmemorial, en la ciudad no ha habido fiesta sin alcohol, incluyendo Al-Ándalus o el Romanticismo, cuando beber era elemento identitario del ser granadino-andaluz

Los resultados de esta investigación se recogen en el libro “Botellón, riesgo consentido. Claves para comprender el consumo colectivo de alcohol entre los jóvenes”, que se presenta mañana jueves, 9 de febrero, a las 18 horas en el Salón de Actos de la Facultad de Ciencias del Trabajo de la UGR

Las administraciones han ninguneado tradicionalmente la opinión de los jóvenes a la hora de dar una solución al problema del ‘botellón’. Además, las concentraciones de jóvenes que utilizan el beber como forma de ocio constituyen un fenómeno emergente íntimamente relacionado con las culturas digitales y las redes sociales: los jóvenes quieren estar juntos y configuran sus propios espacios utilizando las redes sociales. Para ellos, el beber es accesorio, aunque sea lo que más alarma social produce.

Así se desprende de una investigación realizada por Manuel Amezcua Martínez, profesor del departamento de Enfermería de la Universidad de Granada (UGR), y José Palacios Ramírez, del departamento de Ciencias de la Salud de la Universidad Católica San Antonio de Murcia (UCAM-Murcia).

Los resultados se recogen en el libro “Botellón, riesgo consentido. Claves para comprender el consumo colectivo de alcohol entre los jóvenes”, editado por la Fundación Index, en colaboración con la Consejería de Salud de la Junta de Andalucía y la Facultad de Ciencias de la Salud de la Universidad de Granada.

Para llevar a cabo esta investigación, sus autores realizaron un trabajo de campo etnográfico asistiendo a los botellones de Granada, y entrevistaron a más de 50 jóvenes en profundidad, así como a grupos focales. Los investigadores también han realizado un análisis documental de la prensa granadina y de documentación histórica.

Al-Ándalus o el Romanticismo

Los autores han documentado que, desde tiempo inmemorial, en la ciudad de Granada no hay fiesta sin alcohol. “El beber colectivamente es una costumbre que se ha dado en todas las épocas y desde que existen fuentes documentales (incluida Al-Ándalus), habiendo sido la producción de bebidas alcohólicas una de las principales industrias agrícolas y comerciales, y convirtiéndose el beber en algunas épocas (el Romanticismo) en elemento identitario del ser granadino-andaluz”, señala el profesor Amezcua.

Con algunos precedentes institucionales, el fenómeno del botellón arrancó con el siglo XXI, generando en pocos años un gran conflicto social que tiene como consecuencia la instauración del botellódromo en la periferia de la ciudad de Granada.

“En el conflicto participan los principales actores sociales, incluidas las diferentes instituciones de la ciudad, pero tradicionalmente se ha silenciado la voz de los jóvenes, que es utilizada como materia de confrontación política –continúa el profesor de la UGR-. La prensa granadina jugó un papel muy importante en la emergencia de una imagen degradada de la juventud, fomentándose la idea de que estamos ante una generación perdida, a la vez que ha consolidado en el calendario festivo una de las acepciones del botellón: la Fiesta de la Primavera”.

A juicio de los autores, los jóvenes, mayoritariamente estudiantes, conocen los riesgos del consumo de alcohol, pero consienten en él, dado que le otorgan un sentido lúdico y de plenitud muy acorde con sus expectativas de ocio, aunque en algunos casos tienen dificultades para controlar los límites.

Riesgo consentido

Es lo que los investigadores han denominado teoría del riesgo consentido, que les ha permitido desarrollar en la actualidad intervenciones muy creativas en varios centros de enseñanza secundaria de Granada. En ellas participan jóvenes muy sensibilizados y comprometidos con la idea de un consumo responsable, que están siendo capacitados en liderazgo y habilidades sociales para que actúen como agentes educativos con los estudiantes más jóvenes.

Manuel Amezcua defiende que los jóvenes de nuestro tiempo no están predestinados a beber, sino que aprenden a hacerlo en un mundo donde el alcohol es parte de su quehacer cotidiano, bajo una fuerte presión de la industria alcoholera y con las contradicciones propias de un modelo de gobernar el ocio sustentado en la economía de mercado.

“Los jóvenes opinan que las bebidas alcohólicas no deben ser tan malas cuando son tan asequibles. Por regla general, son escépticos ante las campañas de publicidad, dejándose llevar por la opinión del grupo al que pertenecen”.

A la luz de los resultados de esta investigación, los mayores riesgos derivados de un uso abusivo de las bebidas alcohólicas, en la opinión de los propios jóvenes, se concentran en el sector de menor edad (13 a 16 años), que adoptan la conducta de “bebida en atracón”, mostrándose incapaces de controlar los propios límites.

En conclusión, para los jóvenes, el botellón no es una opción, sino un escenario de exploración. “Ellos son la clave del modelo de ocio del futuro, por tanto se imponen modelos más creativos de acercarse a sus expectativas: despatologizando su conducta, pasando de vigilar y prevenir a politizar el consumo de alcohol, abandonando la prescripción de la abstinencia para incidir en la educación para el consumo, y democratizando los diseños de intervención, que han de considerar necesariamente la opinión y las expectativas de los propios jóvenes”.

Los resultados de esta investigación se recogen en el libro “Botellón, riesgo consentido. Claves para comprender el consumo colectivo de alcohol entre los jóvenes”, que será presentado mañana jueves, 9 de febrero, a las 18 horas en el Salón de Actos de la Facultad de Ciencias del Trabajo (C/ Rector López Argüeta, s/n) de la Universidad de Granada.

En el acto participarán Esteban Romero Frías, director de Medialab UGR – Laboratorio de Investigación en Cultura y Sociedad Digital del Vicerrectorado de Investigación y Transferencia de la Universidad de Granada; Rafael Briones, profesor del Departamento de Antropología de la Universidad de Granada, y Manuel Amezcua, co-autor de la obra.

portadaPortada del libro que se presenta mañana.

Contacto:
Manuel Amezcua Martínez 
Departamento de Enfermería de la Universidad de Granada
Teléfono: 958248760 – 95824349 
Correo electrónico: mamezcuam@ugr.es


Abierto el plazo para participar en el Laboratorio de Emprendimiento Social y el programa Talento Emprendedor de la UGR

Organizado por UGR emprendedora, ambos programas pretenden que los participantes puedan generar ideas de negocio emprendedoras

Se abre la convocatoria para el Laboratorio de Emprendimiento Social dirigido a miembros de la comunidad universitaria, de ONGs y empresas sociales de Granada. El plazo de inscripción finaliza el día 17 de febrero, con matrícula gratuita y un reconocimiento de 2 créditos ECTS.

Las inscripciones se realizarán en la web http://ugremprendedora.ugr.es/ donde además se deberá incluir una carta de motivación o video explicando por qué se quiere participar en este Laboratorio junto con el currículum. Las sesiones se desarrollarán los miércoles y jueves desde el 24 de febrero hasta el 31 de marzo (exceptuando la semana del 21 de marzo).

Los contenidos del programa se estructuran en cuatro grandes bloques:

  • 1- Concepto de emprendimiento social
  • 2- Modelos de negocio en el emprendimiento social
  • 3- Sostenibilidad financiera
  • 4- Medición del impacto social

Los participantes de este programa pueden además inscribirse de forma complementaria en el “Programa de Mentoring y Networking emprendedor de la UGR”.

Fecha: 24 de febrero hasta el 31 de marzo de 2016

  • Organiza: Coordinación General de Emprendimiento Vicerrectorado de Estudiantes y Empleabilidad. UGRemprendedora
  • Información e inscripciones: 958 24 83 84 – 958 24 40 56

Programa Talento Emprendedor

Este programa tiene como objetivo que los participantes puedan generar ideas de negocio innovadoras que sean susceptibles de desarrollarse a través de la creación de una empresa o en el seno de una ya existente.

El plazo de inscripción finaliza el día 17 de febrero, con matrícula gratuita y un reconocimiento de 3 créditos ECTS. Las inscripciones se realizarán a través del correo electrónico ugremprendedora@ugr.es incluyendo datos personales, currículum vitae y carta de motivación. Las sesiones se desarrollarán del 24 de febrero hasta el 31 de marzo (exceptuando la semana del 21 de marzo) y del 6 de abril al 12 de mayo. Los contenidos del programa se estructuran en dos grandes bloques:

Bloque I: Concurso de Ideas Talento emprendedor UGR

  • Destapa tu creatividad
  • Genera ideas innovadoras
  • Diseño tu modelo de negocio
  • Presenta tu idea ante expertos

Bloque II: Elabora tu Plan de Negocio

  • Analiza tu mercado
  • Define tu estrategia y operaciones
  • Diseña tu plan de marketing
  • Evalúa la viabilidad del proyecto

Fecha: del 24 de febrero al el 31 de marzo de 2016 (primera etapa); del 6 de abril al 12 de mayo (segunda etapa)

  • Número de plazas: 25
  • Organiza: Coordinación General de Emprendimiento Vicerrectorado de Estudiantes y Empleabilidad. UGRemprendedora
  • Información e inscripciones: 958 24 83 84 – 958 24 40 56