Scientists prove that the brains of patients with schizophrenia vary depending on the type of schizophrenia

An international team, made up of researchers from the University of Granada, Washington University in St. Louis, and the University of South Florida, has linked the symptoms of schizophrenia with the anatomical characteristics of the brain, by employing magnetic resonance imaging (MRI). Their research, published in the academic journal NeuroImage, could herald a significant step forward in the diagnosis and treatment of schizophrenia. In a major breakthrough, scientists have successfully linked the symptoms of the illness with the brain’s anatomical features, using sophisticated brain-imaging techniques.

 

By analyzing the brain’s anatomy, the scientists have demonstrated the existence of distinctive subgroups among patients diagnosed with schizophrenia, who suffer from different symptoms.

In order to carry out the study, the researchers employed a magnetic resonance imaging (MRI) technique called «diffusion tensor imaging» on 36 healthy subjects and 47 schizophrenic subjects.

The testsconducted on the schizophrenic subjects revealed that they had variousabnormalities in certain parts of their corpus callosum, a bundle of neuralfibers that connects the right and left cerebral hemispheres and is consideredessential for effective interhemispheric communication.


Anomalies in the corpus callosum

When theresearchers detected anomalies in the brain’s entire corpus callosum, theydiscovered that certain characteristic features revealed in the brain scanscoincided with specific schizophrenic symptoms. For instance, patients withspecific features in a particular part of the corpus callosum exhibited strangeand disorganized behaviour.

In othersubjects, the irregularities observed in a different part of this brainstructure were associated with disorganized thought and speech, and negativesymptoms such as a lack of emotion. Other anomalies in the brain’s corpuscallosum were associated with hallucinations.

In 2014,the same research group proved that schizophrenia is not a single illness.Rather, they demonstrated the existence of eight genetically distinctdisorders, each of which has its own set of symptoms. Javier Arnedo and IgorZwir, researchers from the University of Granada’s Department of ComputerTechnology and Artificial Intelligence, discovered that different sets of geneswere strongly linked with different clinical symptoms.

Schizophrenia is not a single illness

As Igor Zwir points out: «The current study provides further evidence that schizophrenia is a heterogeneous group of disorders, as opposed to a single illness, as was previously thought to be case.»

The researchers believe that, in the future, analyzing how specific gene networks are linked to specific brain features and individual symptoms, will be of fundamental importance and will help to ensure that treatments are adapted effectively to each patient’s specific disorder. Currently, treatments for schizophrenia tend to be generic, regardless of the symptoms exhibited by each individual patient.

In order to conduct the analysis of both the gene groups and brain scans, the researchers developed a new, complex analysis of the relationships between different types of data and recommendations concerning new data. The system is similar to that used by companies such as Netflix in order to determine the films they wish to broadcast.

Professor Zwir explains: «To conduct the research, we did not begin by studying individuals who had certain schizophrenic symptoms in order to determine whether they had the corresponding brain anomalies. Instead, we first analyzed the data, and that’s how we discovered these patterns. This type of information, combined with data on the genetics of schizophrenia, will someday be of vital importance in helping doctors treat the disorders in a more precise and effective way.»

 

Bibliography:

Decomposition of brain diffusion imagingdata uncovers latent schizophrenias with distinct patterns of white matteranisotropy

JavierArnedo, Daniel Mamah, David A. Baranger, Michael P. Harms, Deanna M. Barch,Dragan M. Svrakic, Gabriel A. de Erausquin, C. Robert Cloninger , Igor Zwir

NeuroImage120 (2015) 43-54

http://dx.doi.org/10.1016/j.neuroimage.2015.06.083

 

When researchers detected anomalies in the corpus callosum they discovered that certain features revealed in the brain scans coincided with specific symptoms of schizophrenia.

3. The UGR researchers who participated in the study – Javier Arnedo (second on the left) and Igor Zwir (beside him) with other fellow researchers from the interdisciplinary group “Soft Computing and Intelligent Information Systems”.

 

Contact:

IgorZwir

Departmentof Computer Technology and Artificial Intelligence

Universityof Granada

Phone:+34 958 240 468

WashingtonUniversity in St. Louis

Phone:+1 314 362 7014

Email:igor@decsai.ugr.es


Une étude démontre que les piétons se sentent plus sûrs dans les rues éclairées avec de la lumière blanche

Cette recherche de l’Université de Grenade, publiée dans la revue Safety Science, a analysé la perception de sécurité et de bienêtre qu’ont les piétons lorsqu’ils circulent dans des rues avec des types et des niveaux déterminés d’éclairage. 275 piétons de Grenade ont participé à celle-ci.

Le travail démontre que les piétons manifestent une réactivité très supérieure face à des questions déterminées d’un test quand les niveaux d’éclairage sont plus élevés et/ou la lumière est de couleur « jaune-sodium », malgré que la sécurité perçue soit majeure quand la lumière est blanche.

 

Les piétons se sentent plus sûrs dans les rues qui sont éclairées avec des lumières blanches que dans celles où l’on utilise des lumières jaunâtres, techniquement dénommées « jaune-sodium », même si les premières sont plus polluantes dans certains aspects. Une des possibles raisons est que cette lumière permet d’identifier plus facilement les visages des personnes.

C’est ce qui s’ensuit d’une étude multidisciplinaire réalisée par des scientifiques de l’Université de Grenade, membres des départements d’Ingénierie Civile et de Psychologie Sociale, qui ont analysé, entre autres variantes, la perception de sécurité et de bienêtre que ressentent les piétons lorsqu’ils circulent dans des rues avec des types et des niveaux déterminés d’illumination.

À ce travail ont participé 275 piétons de Grenade, auxquels on a appliqué un questionnaire après avoir parcouru les rues pendant un horaire où l’allumage public fonctionnait pour que leurs réponses ne se voient pas conditionnées par des souvenirs ou autres impressions étrangères à l’objet de l’étude.

Ce travail suggère de plus que les lumières à contenu élevé en longueurs d’onde bleues (comme certaines employées dans l’éclairage public avec lumière blanche) produisent une inhibition majeure de mélatonine, « l’hormone du sommeil », ce qui avait déjà été vérifié dans des études de laboratoire par des groupes du monde entier et que, pour la première fois, les chercheurs ont ratifié pour l’éclairage public dans des conditions réelles de circulation, à partir des réponses subjectives des piétons.

Cependant, les auteurs du travail avertissent que la quantification de paramètres physiologiques comme l’inhibition de mélatonine ou la sécrétion de cortisol, tous deux très en rapport avec l’éclairage, « est un sujet qui doit être abordé par d’autres types de spécialistes et qu’il ne s’agit en aucun cas de l’objectif de ce travail, qui se centre sur les perceptions des piétons et leur corrélation avec des paramètres quantitatifs des installations d’éclairage ».

Étude dans des conditions réelles

Les résultats de ces enquêtes ont été croisés avec des mesures quantitatives des principaux paramètres concernés dans l’éclairage public. L’analyse de l’ensemble des données et leurs interactions ont démontré quelques hypothèses qui, à cette date, avaient seulement pu être vérifiées en laboratoire sous de strictes conditions expérimentales, tandis que cette étude s’est réalisée dans des conditions réelles.

Entre autres résultats, les chercheurs ont vérifié que la réactivité des piétons face à des questions subjectives de toutes sortes est, dans tous les cas, majeure lorsque les niveaux d’éclairage sont plus élevés.

« Ce résultat, s’il est évident avec quelques-unes des questions du questionnaire, s’avère avec d’autres du moins paradoxal et suppose un appel à la réflexion au moment d’élaborer de nouvelles normes sur l’éclairage public », explique Antonio Manuel Peña García, professeur du Département d’Ingénierie Civile de l’Université de Grenade et principal auteur du travail.

Éclairage et délinquance

Jusqu’à la date, la plupart des travaux sur éclairage public, aussi bien de recherche que professionnels, se sont centrés sur des aspects objectifs et quantitatifs, c’est-à-dire, dessins d’installations plus économiques et efficaces, accomplissement de la norme applicable, nouvelles technologies, etc.

D’une autre perspective moins technique, on a également travaillé à l’évaluation des effets de l’éclairage sur la sécurité des personnes et des biens, objectif principal de l’éclairagisme.

« En ce sens, la controverse entre différents auteurs et philosophies de l’éclairage urbain a été telle que, à ce jour, il n’existe pas d’accord unanime sur si les niveaux d’éclairage plus élevés augment la sécurité de nos rues ou si, au contraire, ils la réduisent car même les délinquants potentiels semblent avoir besoin de niveaux d’éclairage minimums au moment de choisir leurs victimes », souligne Peña.

Entre partisans et détracteurs de niveaux d’éclairage plus élevés afin d’augmenter la sécurité urbaine, « on a à peine prêté attention à un concept très important : la sécurité perçue par les propres usagers des installations d’éclairage public ».

Outre le professeur Peña García, ont également participé à cette recherche Mª Del Carmen Aguilar Luzón, professeure du Département de Psychologie Sociale de l’UGR et experte en Psychologie Environnementale, et Antonio Hurtado González, ingénieur industriel de la Mairie de Grenade et membre du groupe de recherche « Éclairagisme pour la Sécurité et la Durabilité », que dirige Antonio Peña.

Référence bibliographique :

Impact of public lighting on pedestrians’ perception of safety and well-being. A. Peña-García, A. Hurtado, M.C. Aguilar-Luzón. Safety Science. Volume 78, October 2015, Pages 142-148

Les chercheurs de l’UGR Antonio Peña, Mª Carmen Aguilar et Antonio Hurtado dans leur laboratoire.

 

Contact :

 Antonio Manuel Peña García. Département d’Ingénierie Civile de l’UGR. Groupe de Recherche « Éclairagisme pour la Sécurité et la Durabilité » (RNM-913). Tél. : 958 249 435 ; courriel : pgarcia@ugr.es


El Rectorado de la UGR acoge la reunión de la Comisión Institucional “Granada Capital Europea de la Cultura 2031”

Jueves 11 de febrero, a las 10 horas, en el Salón de Rectores del Hospital Real, atención a los medios de comunicación

El jueves 11 de febrero, se reúne en la sede del Rectorado de la Universidad de Granada la Comisión Institucional “Granada Capital Europea de la Cultura 2031”. Al finalizar dicha reunión (10 horas) se atenderá a los medios de comunicación por parte de las autoridades asistentes.

CONVOCATORIA:

  • ASUNTO: Rueda de prensa, Comisión Institucional “Granada Capital Europea de la Cultura 2031”.
  • DÍA: jueves, 11 de febrero.
  • HORA: 10 horas.
  • LUGAR: Salón de Rectores. Hospital Real.


Una nueva técnica no invasiva permite detectar si un niño es celíaco con una simple punción en el dedo

Científicos de la Universidad de Granada desarrollan un nuevo sistema, económico y rápido, que permite averiguar si un niño de entre 2 y 4 años sufre celiaquía silente (aquella que pasa desapercibida a ojos del médico por tener síntomas menores, imperceptibles hasta por el propio paciente)

Científicos de la Universidad de Granada han desarrollado una nueva técnica sencilla y no invasiva que permite detectar si un niño de entre 2 y 4 años es celíaco sin necesidad de realizar una extracción de sangre.

Además, este sistema no precisa personal experimentado (aunque la interpretación sí debe ser realizada por personal sanitario), es rápida (se realiza en 10 minutos) y económica (10-12 euros por dispositivo) y lo más importante, en caso de población infantil, es que se trata de un método menos invasivo que la extracción sanguínea.

Este trabajo ha sido desarrollado por Mª Vega Almazán Fernández de Bobadilla, investigadora del departamento de Pediatría de la Universidad de Granada, y dirigido por José Maldonado Lozano. Parte de sus resultados han sido publicados en la revista Pediatric Research.

Como explica la autora, pediatra del Centro de Salud de Maracena (Granada), “la idea de realizar este trabajo surgió para tratar de responder a la pregunta clínica surgida de mi asistencia clínica diaria: ¿qué prevalencia oculta o silente existe de la enfermedad celiaca en nuestro medio?”.

Enfermedad celiaca silente

La enfermedad celiaca silente es aquella que pasa desapercibida a ojos del médico por tener síntomas menores imperceptibles hasta por el propio paciente. La celiaquía es una enfermedad sistémica causada por una intolerancia permanente al gluten de la dieta (contenido en el trigo, cebada y centeno) y afecta a personas con susceptibilidad genética. Se manifiesta mediante síntomas intestinales (malabsorción intestinal, distensión abdominal, diarrea, dolor abdominal) y con síntomas extradigestivos (cutáneos, dolores articulares, cefalea, etc.

Actualmente, para diagnosticar la enfermedad celíaca es necesaria la combinación de una sintomatología clínica, un estudio en sangre de anticuerpos de enfermedad celiaca positivos y un estudio histológico compatible mediante biopsia intestinal.

Los objetivos del estudio realizado en la Universidad de Granada fueron estudiar la prevalencia silente de la celiaquía entre los 2 y 4 años de edad, para lo que utilizaron unos dispositivos novedosos que permiten detectar los marcadores de la enfermedad (autoanticuerpos) en la sangre capilar del paciente.

“Basta con una punción en el pulpejo del dedo del niño para extraer una gotita de sangre que se depositará en el dispositivo y, en caso, de que el sujeto padezca la enfermedad, aparecerá una línea color rosada, similar a la de los tests de embarazo, lo que significará que en su sangre existen esos autoanticuerpos característicos de la enfermedad”, explica Mª Vega Almazán.

Estudio con 198 niños

Un resultado positivo del dispositivo precisará confirmación con analítica de sangre y medición de los anticuerpos de la enfermedad por otros métodos, pero un resultado negativo permitirá descartar la enfermedad de un modo bastante seguro. “Como hemos visto en nuestro estudio, un resultado negativo de la tira reducía la probabilidad de ser celiaco a cero, dado su elevado valor predictivo negativo”.

Este estudio de la UGR permitió detectar a 6 niños celiacos de 198 estudiados (lo que supone una prevalencia muy elevada de un 3%, superior a la media europea), cuando todos ellos eran asintomáticos o con síntomas menores imperceptibles que no habían llevado a consultar con su pediatra por este motivo.

La confirmación de ese diagnóstico se hizo en la unidad de Gastroenterología Infantil del Hospital Virgen de las Nieves de Granada, donde se procedía a la realización de endoscopia y toma de biopsia en esos 6 casos confirmados.

“Se trata de un estudio novedoso, pues a nivel español y europeo son pocos los trabajos publicados con estos dispositivos en población aparentemente sana -afirma Mª Vega Almazán-. Disponer de este tipo de métodos diagnósticos en la consulta del médico de cabecera o del pediatra permitiría encontrar los casos de enfermedad celiaca que no se diagnostican debido a su sintomatología atípica y evitar procedimientos y derivaciones innecesarias, ya que un resultado negativo evitaría la necesidad de extracción sanguínea o de derivación a consulta especializada”.

Referencia bibliográfica:

Pediatr Res. 2015 Sep;78(3):280-5. doi: 10.1038/pr.2015.98. Epub 2015 May 21.

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Campo de trigo, uno de los cereales que provoca celiaquía (FOTO: Valentina Estay Reyes. FLICKR).

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La investigadora de la UGR Mª Vega Almazán Fernández de Bobadilla, durante la lectura de su tesis doctoral.

Contacto:

Mª Vega Almazán Fernández de Bobadilla

Departamento de Pediatría de la Universidad de Granada. Centro de Salud de Maracena. (Distrito Granada-Metropolitano)

Correo electrónico: vegalmazanfdb@gmail.com


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“Artistas latinoamericanos: la visión cinematográfica”, ciclo en la Madraza

La proyección de las películas “Artigas: La Redota”, “El mural de Siqueiros” y “Frida” tendrá lugar en el Gabinete de Teatro del Palacio de la Madraza los jueves 11, 18 y 25, respectivamente, de febrero de 2016, a las 19 h

El ciclo “Artistas latinoamericanos: la visión cinematográfica”, organizado por el Seminario de Estudios Latinoamericanos de la UGR, que dirige Rafael López Guzmán, en el Centro de Cultura Contemporánea del Vicerrectorado de Extensión Universitaria de la UGR, contará con la proyección de tres películas: “Artigas: La Redota” (2011), dirigida por César Charlone; “El mural de Siqueiros” (2010), de Héctor Olivera; y “Frida” (2002), dirigida por Julie Taymor.

Todas las proyecciones, con entrada libre hasta completar el aforo, tendrán lugar en el Gabinete de Teatro del Palacio de la Madraza, a las 19 horas.

Programa

Jueves, 11 de febrero

“Artigas: La Redota” (2011. Uruguaya-española), de César Charlone.

Presenta: Francisco Montes González.

http://sl.ugr.es/08T0

Jueves, 18 de febrero

“El mural de Siqueiros” (2010. Argentina), de Héctor Olivera.

Presenta: Yolanda Guasch Marí.

http://sl.ugr.es/08U9

Jueves, 25 de febrero

“Frida” (2002. Estadounidense), de Julie Taymor.

Presenta: Guadalupe Romero Sánchez.

http://sl.ugr.es/08Ua


Agenda cultural de la UGR para el JUEVES, 11 de FEBRERO de 2016

DESTACADOS:

Ciclo de cine «Artistas Latinoamericanos»: «Artigas: La Redota» 

Proyección de la película Artigas: La Redota (2011), del director César Charlone, que da inicio al Ciclo “Artistas Latinoamericanos: La visión cinematográfica”. 

«Memoria y patrimonio intangible en los museos de sociedad», de José Antonio González Alcantud
Conferencia impartida por José Antonio González Alcantud, catedrático de Antropología Social. 
Lugar: Palacio de la Madraza – Salón de Caballeros XXIV 
20:00 h 

AGENDA COMPLETAhttp://sl.ugr.es/08Ut


Primer encuentro internacional «Las huellas emocionales de nuestras guerras» organizado por el Instituto de la Paz y los Conflictos de la Universidad de Granada

Se contará con testimonios reales, documentos e investigaciones, así como métodos para trabajar lo emocional en el ámbito de los traumas personales en zonas de guerra o conflicto armado.

El 11 y 12 de febrero tienen lugar en Granada las Jornadas internacionales “Las huellas emocionales de nuestras guerras”. Se busca incentivar el intercambio de conocimientos en torno a las consecuencias transgeneracionales y sociales de los conflictos bélicos y de las experiencias traumáticas entre el profesorado, el personal investigador, profesionales del ámbito de la memoria histórica y de la salud, y toda persona interesada en el tema.

El programa está organizado por el Instituto de la Paz y los Conflictos de la Universidad de Granada y la Federación Europea de Psicodrama y Organizaciones (FEPTO), con la colaboración de la Fundación Euroárabe, y coordinado por expertos investigadores europeos de prestigio.

Investigadores de distintos puntos del mundo, dedicados al trabajo directo con las consecuencias personales, familiares, emocionales, biológicos e históricas de la guerra, participan en estas jornadas en las que se atenderán tanto el largo conflicto armado en Colombia como las secuelas de la atroz guerra de Yugoslavia. Según señalan los organizadores: “Se tratará desde la difícil construcción de la identidad del pueblo palestino hasta el mandado de silencio que continúa amordazando a la memoria de la guerra y la posguerra civil española”. La neurobiología y la justicia restaurativa también contarán con espacios propios en el apartado de ponencias.

El programa de estas jornadas se estructura en ponencias, mesas redondas y talleres vivenciales, donde el objetivo es compartir experiencias y crear al mismo tiempo la posibilidad de generar nuevas perspectivas desde el trabajo cooperativo, la sinergia entre distintas áreas y el diálogo entre teoría y experiencia.

jornadashuellasyguerras@gmail.com

Información e inscripciones: 958 20 65 08 – 958 208354

actividades


“Memoria y patrimonio intangible en los museos de sociedad”, conferencia de José Antonio González Alcantud

Tendrá lugar en el Salón de Caballeros XXIV del Palacio de la Madraza el jueves, 11 de febrero de 2016, a las 20 h

El catedrático de la UGR José Antonio González Alcantud ofrecerá una conferencia titulada “Memoria y patrimonio intangible en los museos de sociedad”, en el Salón de Caballeros XXIV del Palacio de la Madraza el jueves, 11 de febrero de 2016, a las 20 horas.

El acto ha sido organizado por la Cátedra de Patrimonio, que dirige la profesora M.ª Luisa Bellido en el Centro de Cultura Contemporánea de la UGR.

El concepto museo de sociedad tiene una gran aceptación en Francia. “Con él nos referimos –dicen los responsables del acto– a un tipo de museo enraizado localmente y que tiene un formato muy flexible. No se trata de un `ecomuseo´ ni tampoco de un museo de identidad local. No contiene obras de arte pero tampoco las rechaza. Es un museo `comprometido´ con las transformaciones del tiempo presente”.

No está hecho para la eternidad sino para el disfrute de los ciudadanos. En él inciden dos conceptos circulantes en nuestro tiempo `patrimonio inmaterial´, fletado por la Unesco para vender “identidades étnicas” sobre todo, y “memoria social”, redescubierta a raíz del declive de otras modalidades de apreciación de la identidad colectiva. “Estos tres conceptos `problematizados´ y `problematizantes´ determinan el debate aquí y ahora sobre el tipo de museos adecuados para la sociedad de nuestro tiempo”.

José Antonio González Alcantud

Catedrático de Universidad (Antropología Social), es académico correspondiente de la Real Academia de Ciencias Morales y Políticas de España, doctor en Filosofía y Letras (1987), licenciado en Historia Antigua (1978) e Historia del Arte (1981), y fundador y director desde su fundación en 1990 del Centro de Investigaciones Etnológicas “Ángel Ganivet” (Diputación Provincial de Granada) hasta su desaparición en 2003. Entre otros cargos fue presidente de la Comisión Andaluza de Etnología (Junta de Andalucía), desde 1997 hasta 2005, y vocal de la misma desde 2005 hasta el 2008. Responsable de distintos proyectos de investigación en numerosas universidades de todo el mundo, es autor, entre otros muchos, de los libros “El exotismo en las vanguardias artístico-literarias” (Barcelona, Anthropos, 1989), “Tractatus ludorum. Una antropología del juego” (Barcelona, Anthropos, 1993), “La extraña seducción. Variaciones sobre el imaginario exótico de Occidente” (Universidad de Granada, 1993), “El clientelismo político. Perspectiva socioantropológica” (Barcelona, Anthropos, 1997), “Políticas del sentido. Los combates por la significación en la postmodernidad” (Barcelona, Anthropos, 2000), “El rapto del arte. Antropología cultural de deseo estético” (Universidad de Granada, 2002), “Deseo y negación de Andalucía. El peso de lo local y la contraposición Oriente / Occidente en la realidad andaluza” (Universidad de Granada, 2004), “La fábrica de los estereotipos. Francia, nosotros y la europeidad” (Abada editores, 2006), “Los combates de la ironía. Risas premodernas frente a excesos modernos” (Anthropos, 2006), “Le maure d’Andalousie” (Montpellier, L’Archange Minotaure, 2007), “Heroínas” (Universidad de Granada, 2009), “Racismo elegante. De la teorías de las razas culturales a la invisibilidad del racismo cotidiano” (Bellaterra, 2011), “El Mito de al Ándalus. Orígenes y actualidad de un ideal cultural” (Almuzara, 2014), además de numerosísimos trabajos como compilador, director o coordinador de obras colectivas.

http://sl.ugr.es/08T1

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I Jornadas de Investigadores en Formación: fomentando la Interdisciplinariedad (JIFFI)

Abierto el plazo para presentación de resúmenes hasta el 26 de febrero

El Consejo de Representantes de Doctorandos y la Escuela Internacional de Posgrado de la Universidad de Granada organizan las I Jornadas de Investigadores en Formación, que se celebrarán en la antigua Facultad de Medicina de la Universidad de Granada durante los días 18, 19 y 20 de mayo de 2016.

Dicho evento surge con el propósito de promover la interdisciplinariedad entre los estudiantes de las tres Escuelas de Doctorado de la Universidad de Granada (Ciencias de la Salud; Humanidades, Ciencias Sociales y Jurídicas; Ciencias, Tecnologías e Ingenierías), así como de los Programas de Doctorado que éstas incluyen y de las líneas de investigación existentes en cada uno de ellos. Para satisfacer este objetivo, los miembros del Consejo de Representantes de Doctorandos de la Universidad de Granada han organizado este evento con la intención de ofrecer una oportunidad de presentar trabajos en forma de comunicación oral o póster con los que poder dar a conocer las diferentes técnicas y herramientas que emplean en el desarrollo de sus investigaciones, así como los resultados que se derivan de sus proyectos para distintos campos del conocimiento.

Desde el comité organizador del evento se espera que doctorandos, directores, tutores y toda la comunidad universitaria disfrute de esta experiencia, basada en el aprendizaje recíproco en un ambiente distendido y divulgativo, teniendo el firme convencimiento de que de esta iniciativa resultarán colaboraciones, publicaciones y proyectos conjuntos.

Si eres estudiante de Doctorado en la Universidad de Granada, ¡anímate! Manda tu resumen antes del 26 de febrero. Podrás encontrar toda la información en: http://jornadas.ugr.es/jiffi/

Contacto: puedes contactar con la organización de JIFFI 2016 enviando un correo electrónico a jiffiugr@gmail.com

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El Gabinete Psicopedagógico organiza el taller gratuito “Estrategias para mejorar la habilidad de hablar en público”

Periodo de inscripción: del 9 al 12 de febrero

El Gabinete Psicopedagógico del Vicerrectorado de Estudiantes de la Universidad de Granada ha organizado el taller gratuito “Estrategias para mejorar la habilidad de hablar en público”, siguiendo con la implementación del “Programa para el desarrollo de competencias transversales”.

Finalidad: mejorar la habilidad de los estudiantes universitarios a la hora de hablar en público.

Objetivos: clarificar en qué consiste la ansiedad y el miedo a hablar en público; revisar maneras erróneas de enfrentarse a expresarse oralmente, y entrenar en estrategias para hablar en público.

Contenidos:

  • Objetivo y preparación de la intervención.
  • El lenguaje verbal y gestual.
  • Seguridad y confianza.
  • Vencer el miedo a exponer.
  • Técnicas de relajación y respiración.

Destinatarios: estudiantes de cualquier titulación de Grado y Posgrado.

Modalidad: el taller se desarrollará bajo la modalidad presencial.

Periodo de inscripción: del 9 al 12 de febrero. Para inscribirse es necesario pasarse personalmente por el Gabinete Psicopedagógico, entrada por el aparcamiento del Hospital Real, calle Ancha de Capuchinos (de 9 a 14 horas).

Duración del taller: el taller se realizará los días 16, 19 y 23 de febrero; 1, 8, y 15 de marzo de 2016, en horario de 10.00 – 12.30 horas.

Certificado: los estudiantes que finalicen el taller adecuadamente recibirán un certificado que acredite su duración: 15 horas.

El taller es gratuito, las plazas son limitadas y no se otorgan créditos ECTS.

Juan Luis Benítez Muñoz, director del Gabinete Psicopedagógico. Hospital Real s/n. Tf: – 958248501 958246388// Correo elec: gpp2@ugr.es


La UGR publica “Epistolario del conde de Tendilla (1504-1506)”

El estudio, a cargo de José Szmolka Clares, se completa con edición y transcripción de Amparo Moreno Trujillo y M.ª José Osorio Pérez

“Epistolario del conde de Tendilla (1504-1506)” es un estudio de José Szmolka Clares, con edición y transcripción de Amparo Moreno Trujillo y M.ª José Osorio Pérez, que acaba de publicar la Editorial Universidad de Granada en su colección “Monumenta Regni Granatensis Histórica. Diplomata”.

Esta edición -segunda de aquella otra que se publicó en 1996 por el entonces Servicio de Publicaciones de laUniversidad de Granada— recoge la edición crítica, transcripción y unos extensos y completos índices de las profesoras Moreno Trujillo y Osorio Pérez, de casi dos mil cartas del periodo comprendido entre 1504-1506, periodo de una intensidad histórica importante, como señalaba en el prólogo Antonio Domínguez Ortiz, y sintetiza de forma clarificadora en la introducción el profesor Szmolka Clares, perfecto conocedor de la época y del personaje.

“A mi parecer –señalaba Antonio Domínguez Ortiz en el prólogo del libro–, no se concede a la Epistolografía la importancia que tiene en los tratados de metodología histórica. Siempre se ha considerado al género epistolar incluido, en su mayor y mejor parte, en el ámbito literario. También ha tenido mucha vigencia el tópico de que la producción epistolar española, como la autobiográfica, es pobre. Por supuesto, no podemos comparar la moderada amplitud que estos géneros han tenido entre nosotros con la irrestañable facundia de nuestros vecinos de ultrapuertos. Contemplamos hoy un panorama mucho más rico, y apenas hay ya personaje o personajillo que no quiera dejar constancia de sus experiencias vitales, con harta frecuencia de nada subido interés. No podemos decir lo mismo del género epistolar, prácticamente desaparecido, porque lo más que consienten nuestras celebridades políticas o literarias es rubricar unas líneas dictadas a la secretaria”.

Amplísima correspondencia

La correspondencia que en este volumen se sacó por primera vez a la luz, “estudiada con el esmero y el rigor científico propio de las profesoras Osorio Pérez y Moreno Trujillo –escribía Domínguez Ortiz– cubre un vacío de más de dos años (mayo de 1504 a septiembre de 1506) y completa las cartas que, emitidas antes y después de esas fechas, habían sido dirigidas a diversas autoridades por la secretaría de D. Íñigo López de Mendoza, primer marqués de Mondéjar, primer alcaide de la Alhambra y segundo conde de Tendilla”.

Las casi dos mil cartas aquí recogidas son sólo una parte de las infinitas que dictó aquel infatigable gobernante, tienen especial interés por referirse a una época de grandísima importancia histórica.

Los registros de la correspondencia de Íñigo López de Mendoza, II conde de Tendilla y I marqués de Mondéjar, capitán general del Reino de Granada y I alcaide de la Alhambra, constituyen, pues, una fuente excepcional para la historia de la naciente España Moderna.

El volumen se acompaña de un CD.

http://sl.ugr.es/08TOepistolario-del-conde-de-tendilla


Researchers develop new method that allows to find if breast milk contains parabens and/or bisphenol A

Researchers from the University of Granada develop a new bioanalytic method that allows to detect their presence in milk 
80% of lactating mothers participating in this research had bisphenol A, and 70% had parabens

The presence of these substances could be due to the daily use of personal care products

 

Scientists from the University of Granada (UGR) belonging to the department of Analytical Chemistry have developed a new bioanalytic method that, through a simple test, allows to assess without a doubt if a mother’s breast milk contains parabens and bisphenol A.

The research, published in Journal of Chromatography B magazine, was carried out within a sample of 10 women from the province of Granada who breasted their babies and voluntarily participated in the study.

The researchers analysed the presence of five important emerging contaminants in these mothers’ milk: metilparabens, etilparabens, propilparabens, butilparabens, and bisphenol A. All of them are dangerous chemicals.

The researchers’ proposed methodology, that was applied to the milk samples from the above mentioned mothers, allows to assess the concentration of the analysed contaminant from 0.1 to 0.7 nanograms per millilitre of milk.

«Although the number of samples analysed in for work is small from a statistical point of view, it’s worth stressing that almost all of the samples were contaminated with one or some of the studied chemicals. The tool we have developed opens the door to general, wider researches with a greater number of participants», lead authors of this work and researchers from the UGR department of Analytical Chemistry, Rocío Rodríguez Gómez and Alberto Zafra Gómez, explain.

Synthetic chemical compounds
In the last decades, industrial development has greatly contributed to human exposure to numerous xenobiotic compounds that can cause adverse effects in our health. This is particularly important in the case of various synthetic chemical compounds called Endocrine Disrupting Chemicals (EDCs), which interfere with the hormones’ normal functions.

«There is a wide range of chemical compounds that can be found in the food we eat, the air we breath and the water we consume. Among these synthetic chemical products, bisphenol A (BPA) and the parabens (PBs) are the most important», says Alberto Zafra.

BPA is widely used in the manufacture of polycarbonate plastics and epoxi resins, and it’s found in common, widely consumed products: canned food, packaging of food and water, drinking water piping, vehicles and planes, feeding bottles, and even human health-related products such as prosthesis and dental composites.

Meanwhile, PBs are chemical compounds widely used as bactericides and antimicrobian preservatives, specially against moulds and yeasts, in cosmetic and pharmaceutical products, foods and drinks. Be it individually or combined with other products, PBs are used in more than 13 200 formulations of all kind of cosmetic products.

«In the last years, the capability of this chemical substances to interfere with important, physiological functions has been proven. Moreover, it has also been proven that PBs are not metabolised in mammary cancer tissue, so it has drawn attention on its possible toxic and carcinogenic nature», stresses the UGR researcher.

Personal care products
The main ways of human exposure to this compounds are via skin contact, direct ingestion, or inhalation. «The study of the exposure to EDCs is specially important in the case of breastfed babies fed with their mothers’ milk, because they are in the first stages of their development and, for that, are more vulnerable and susceptible to changes in their endocrine systems», lead author of this work says.

The research carried out at the UGR found BPA in 8 of the 10 analysed samples. In 5 of them, concentrations ranging from 0.6 to 2.1 ng/mL were observed.

Regarding to parabens, similar levels were observed in 70% of the samples (between 1 and 2 ng/mL), except in two of them. The first one showed slightly greater concentrations (1.3 to 5.4 ng/mL). The second one showed concentrations approximately ten times greater than the other samples.

Alberto Zafra says that «in general, our results confirm that these substances are ubiquitous, which could be due to massive, daily use of personal care products by the mothers».

A valuable, biological fluid
The UGR researcher affirms that breast milk «is a valuable biological product that may serve as an indicator to the mother’s exposure to different kinds of chemical compounds, specifically EDCs, as well as to the baby’s exposure to them, as milk may be an important way of exposure to exogenous contaminants in the case of babies fed with it».

«The control of these substances -he continues- may inform us about the incidence and occurrence of diseases and other adverse effects related to these kind of molecules, such as various kinds of cancer, changes in brain structure and function, behavioural changes, reproductive system disorders, metabolism and even immune system disorders, in the mother as well as in the child, in the medium and long term».

 

Bibliographic references:

New method for the determination of parabens and bisphenol A in human milk samples using ultrasound-assisted extraction and clean-up with dispersive sorbents prior to UHPLC–MS/MS analysis
R. Rodríguez-Gómez, N. Dorival-García, A. Zafra-Gómez, F.J. Camino-Sánchez, O. Ballesteros, A. Navalón
Journal of Chromatography B
Volume 992, 15 June 2015, Pages 47–55

 

Link to complete article:

http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1570023215002251

 

Figure 2. A mother breastfeeding her baby (source: Creative Commons).

 

Contact:

AlbertoZafra Gómez

Departamento de Química Analíticade la Universidad de Granada

Telephone: (+34) 958 248 409

E-mail: azafra@ugr.es