La Turquie et les Européens, une relation complexe

La Turquie et les Européens, une relation complexe

Les Européens sont partagés sur le principe d\’une adhésion de la Turquie à l\’Union européenne, mais une nette majorité se dégagerait pour le non si la question était posée dans un référendum, selon un sondage effectué dans cinq pays européens et présenté samedi 23 janvier à l\’Institut français d\’études anatoliennes à Istanbul.

Interrogés sur une adhésion de la Turquie à l\’UE, 47 % des sondés s\’y montrent favorables, contre 47 % qui ne le sont pas (6 % ne se prononcent pas), selon l\’étude coordonnée par l\’Université autonome de Madrid, l\’Université de Grenade, et l\’université du Bosphore à Istanbul. En revanche, à la même question posée dans le cadre d\’un référendum, 52 % répondent non, contre 41 % de oui et 7 % qui ne répondent pas.

NON À 64 % EN FRANCE, OUI À 54 % EN POLOGNE

Cette contradiction apparente s\’explique par le fait que «si vous forcez les gens à se déterminer dans un référendum, ils hésitent à changer les choses, ils penchent pour le statu quo, alors qu\’ils ont plus d\’audace lorsqu\’on leur demande un simple avis, avec des nuances telles que \’êtes-vous favorable\’ ou \’plutôt favorable\'», explique Hakan Yilmaz, professeur à l\’université du Bosphore, en présentant l\’étude.

L\’étude a été menée dans cinq pays de l\’UE – Allemagne, Espagne, France, Pologne et Royaume Uni –, un choix représentatif de l\’ensemble des pays de l\’UE, selon les estimations des responsables du sondage, a expliqué M. Yilmaz. Concernant le référendum, le non l\’emporte en France (64,4 %), en Allemagne (62 %) et au Royaume-Uni (46,3 %), et le oui en Pologne (54,1 %) et en Espagne (53,2 %). Le sondage, intitulé «Perceptions européennes sur la Turquie comme futur Etat membre», a été réalisé en août-septembre 2009 auprès de plus de 5 000 personnes, avec l\’aide de l\’UE et de l\’association Dialogue avec l\’Europe.

«UN PAYS MUSULMAN INCOMPATIBLE AVEC LES RACINES CHRÉTIENNES»

Interrogés sur les arguments contre une adhésion turque, 38,9 % choisissent celui selon lequel la Turquie est «un pays musulman (…), incompatible avec les racines chrétiennes communes» de l\’Europe, loin devant l\’argument selon lequel «la Turquie n\’est pas située sur le continent européen» (14,6 %). A la question de savoir s\’il serait «malhonnête de rompre le contrat [avec la Turquie] et de rompre maintenant les négociations d\’adhésion», 58 % répondent oui, contre 38 % qui pensent que cela ne serait pas malhonnête.

L\’Union européenne a ouvert en 2005 des négociations en vue de l\’adhésion de la Turquie, mais le processus piétine du fait notamment de l\’opposition de plusieurs pays, dont la France et l\’Allemagne, qui redoutent l\’arrivée dans le club européen d\’un pays de 71 millions d\’habitants, dont 95 % se définissent comme musulmans, selon une enquête en 2004 du Wall Street Journal Europe. Interrogés sur les «critères les plus importants pour de nouvelles admissions dans l\’UE», les sondés mettent en tête le respect par le candidat des principes démocratiques et des droits de l\’homme (60,6 %), et le fait qu\’il pourrait contribuer au développement économique de l\’Europe (59,1 %).
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Sondage : les Européens partagés sur l’entrée de la Turquie dans l’UE, voteraient non

Sondage : les Européens partagés sur l\’entrée de la Turquie dans l\’UE, voteraient non

Les Européens sont partagés sur le principe d\’une adhésion de la Turquie à l\’Union européenne, mais une nette majorité se dégage pour le non si la question est posée dans un referendum, selon un sondage effectué dans cinq pays européens et présenté ce week-end à Istanbul.
Interrogés sur une adhésion de la Turquie à l\’UE, 47 % des sondés s\’y montrent favorables, contre 47 % qui ne le sont pas (6% ne se prononcent pas), selon l\’étude coordonnée par l\’Université autonome de Madrid, l\’Université de Grenade (Espagne), et Bogazici University (Istanbul).
En revanche, à la même question posée dans le cadre d\’un référendum, 52 % répondent non, contre 41 % de oui et 7 % qui ne répondent pas.
Cette contradiction apparente s\’explique par le fait que «si vous forcez les gens à se déterminer dans un referendum, ils hésitent à changer les choses, ils penchent pour le statu quo, alors qu\’ils ont plus d\’audace lorsqu\’on leur demande un simple avis, avec des nuances telles que \’êtes-vous favorable\’ ou \’plutôt favorable\’», a expliqué Hakan Yilmaz, professeur à l\’Université Bogazici, en présentant samedi soir cette étude à l\’IFEA (Institut français d\’études anatoliennes, Istanbul).
L\’étude a été réalisée dans cinq pays de l\’UE – Allemagne, Espagne, France, Pologne et Royaume Uni – un choix représentatif de l\’ensemble des pays de l\’UE, selon les estimations des responsables du sondage, a expliqué M. Yilmaz.
Concernant le referendum, le non l\’emporte dans trois pays, France (64,4%), Allemagne (62) et Royaume uni (46,3), et le oui en Pologne (54,1) et en Espagne (53,2).
Le sondage, intitulé «Perceptions européennes sur la Turquie comme futur Etat membre» a été réalisé en août-septembre 2009 sur plus de 5.000 personnes, avec l\’aide de l\’Union européenne et l\’Association dialogue avec l\’Europe (Istanbul).
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Turquie/UE: Les Européens contre

Turquie/UE: Les Européens contre

Les Européens sont partagés sur le principe d\’une adhésion de la Turquie à l\’Union européenne, mais une nette majorité se dégage pour le non si la question est posée dans un referendum, selon un sondage effectué dans cinq pays européens et présenté ce week-end à Istanbul. Interrogés sur une adhésion de la Turquie à l\’UE, 47 % des sondés s\’y montrent favorables, contre 47 % qui ne le sont pas (6% ne se prononcent pas), selon l\’étude coordonnée par l\’Université autonome de Madrid, l\’Université de Grenade (Espagne), et Bogazici University (Istanbul).

En revanche, à la même question posée dans le cadre d\’un référendum, 52 % répondent non, contre 41 % de oui et 7 % qui ne répondent pas. Cette contradiction apparente s\’explique par le fait que «si vous forcez les gens à se déterminer dans un referendum, ils hésitent à changer les choses, ils penchent pour le statu quo, alors qu\’ils ont plus d\’audace lorsqu\’on leur demande un simple avis, avec des nuances telles que \’êtes-vous favorable\’ ou \’plutôt favorable\'», a expliqué Hakan Yilmaz, professeur à l\’Université Bogazici, en présentant samedi soir cette étude à l\’IFEA (Institut français d\’études anatoliennes, Istanbul).

L\’étude a été réalisée dans cinq pays de l\’UE – Allemagne, Espagne, France, Pologne et Royaume Uni – un choix représentatif de l\’ensemble des pays de l\’UE, selon les estimations des responsables du sondage, a expliqué M. Yilmaz.
Concernant le referendum, le non l\’emporte dans trois pays, France (64,4%), Allemagne (62) et Royaume uni (46,3), et le oui en Pologne (54,1) et en Espagne (53,2).
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El Universidad de Granada ve un claro de luz tras su tercera victoria

El Universidad de Granada ve un claro de luz tras su tercera victoria

El Universidad de Granada se impone al Guadalcacín (2-0) y suma su tercer triunfo de la temporada en la División de Plata femenina de fútbol sala.

El equipo dirigido por Fernando Pérez volvió a ser fiel a su estilo de juego e impuso un ritmo constante desde el inicio. Las gaditanas se cargaron de faltas para luchar contra el empuje de las universitarias. Con cuatro cada equipo, no hubo más historia durante el desarrollo del primer periodo.

Tras el descanso, las locales crearon diversas oportunidades sobre la meta de Laura, pero respondió de forma espléndida.

El Guadalcacín se puso con cinco faltas y propició dos dobles penaltis a favor del Universidad, que fueron transformados ambos por la goleadora Estefi. Al final, las de Jerez de la Frontera utilizaron una portera-jugadora, aunque ya no tuvieron tiempo para la remontada.
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Una nueva base de datos registra los nutrientes de 500 alimentos

Una nueva base de datos registra los nutrientes de 500 alimentos

¿Cuántas kilocalorías hay en 100 gramos de naranja? ¿Y proteínas? ¿Qué vitaminas aporta esa fruta? La respuesta a estas cuestiones está ahora a un golpe de clic. El Instituto de Nutrición y Tecnología de los Alimentos (Inyta), perteneciente a la Universidad de Granada (UGR), ha diseñado una base de datos en la que los usuarios pueden consultar desde Internet los nutrientes de los 500 productos más consumidos por los españoles.

La plataforma, según explicó Andalucía Innova en una nota, unifica las distintas tablas de composición de alimentos que existían hasta ahora en España y se incluye en la Red de Excelencia EuroFIR, que ha establecido los estándares europeos para la elaboración de este tipo de bases de datos y su interconexión.
Los investigadores, que ya han finalizado la primera fase de la web (www.bedca.net), explicaron que además de unificar los criterios de composición, esta nueva herramienta añade la procedencia de cada uno de los datos, lo que aporta un valor de calidad a los mismos. En este sentido, el director del Instituto, Emilio Martínez de la Victoria, señaló que dependiendo de la forma de obtención de la información sobre cada uno de los nutrientes que componen el alimento, a este se le dará un mayor grado de fiabilidad.
A través de www.bedca.net, previo registro, cualquier internauta puede consultar los nutrientes de cada alimento, su contenido calórico o la fuente de obtención de los datos. Los investigadores reunieron las referencias que aparecían en cada una de las tablas anteriores que se usaban en España y con esta información confeccionaron la base definitiva, que otorga a cada alimento un código (\’Langual\’) que lo identifica de forma inequívoca. De esta manera, se evita que, como ocurría antes, se produzcan confusiones entre varios productos.
Código de barras
Pero su objetivo es ir a más. Los expertos están trabajando para que las referencias contenidas en esta base de datos sirvan para complementar la información ofrecida en los códigos de barras de los alimentos. «Se trata de que el usuario, tomando una fotografía del código con su móvil, adquiriera la información de la composición, conectando directamente con nuestra base de datos», indicó el director del Instituto.
La aplicación puede resultar de utilidad para dietistas y empresas. También la industria alimentaria puede utilizar estos datos para el etiquetado nutricional de sus productos y la formulación de otros nuevos que quieran desarrollar. En este sentido, se pretende crear una herramienta para que la información de composición generada por la propia industria pueda incorporarse a este registro para una mejor información final al consumidor.
La nueva herramienta de consulta, que hasta ahora cuenta con unos 500 alimentos, seleccionados entre los más consumidos por los ciudadanos españoles, pretende llegar al millar durante el próximo año. No obstante, la base de datos seguirá actualizándose continuamente y añadiendo nuevos productos y sus respectivas composiciones.
Participantes
En este proyecto, la UGR ha colaborado con instituciones como la Universidad de Córdoba (UCO); el Instituto de la Grasa, perteneciente al Consejo Superior de Investigaciones Científicas (CSIC); la Agencia Española de Seguridad Alimentaria y Nutrición; el Centre d\’Ensenyament de Nutrició Humana i Dietética de Cataluña (Cesnid); la Federación de Industrias de Alimentación y Bebidas (FIAB); el Hospital Puerta de Hierro; la Universidad Autónoma de Madrid; el Instituto del Frío, perteneciente al CSIC; y las Universidades Complutense de Madrid, de Barcelona o de Murcia.
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La exposición de viñetas de Luis Bagaría repasa la historia española de inicios del XX

La exposición de viñetas de Luis Bagaría repasa la historia española de inicios del XX

Una exposición de la Universidad de Granada (UGR) muestra los grandes hitos de los inicios del siglo XX en España a través del repaso de la obra de Luis Bagaría (Barcelona, 1882-La Habana, 1940), ilustrador del diario \’El Sol\’ y maestro de humoristas gráficos.

La exposición, que fue inaugurada en el Hospital Real el martes pasado y permanecerá abierta hasta el próximo 17 de marzo, está organizada por el Centro de Cultura Contemporánea de la UGR y la Fundación Mapfre, que custodia cerca de quinientos dibujos de Luis Bagaría que, pertenecientes al periodo 1917-1926, se ubican en el cenit de su producción y su colaboración en \’El Sol\’.

Formado en el modernismo catalán, la eclosión de este caricaturista coincide con su traslado en 1912 a Madrid, donde pone su lápiz al servicio del proyecto de renovación nacional auspiciado por José Ortega y Gasset, primero desde la revista \’España\’ y, a partir de 1917, desde \’El Sol\’.

La muestra se divide en dos grandes secciones: la crisis de la Restauración, que se corresponde con su despegue como dibujante de marcado corte intelectual y político, y la dictadura de Primo de Rivera, años en los que tuvo que trazar distintas estrategias contra la censura que finalmente le llevaron a una \’emigración temporal\’ a Argentina en 1926, y al abandono de \’El Sol\’ junto con Ortega en 1931.

Durante el periodo de la Restauración, Bagaría evoluciona desde una posición conservadora a otra más liberal y social, al contrario que otros colegas de \’El Sol\’, lo cual provoca la \’admiración de sus contemporáneos\’, según queda recogido en la muestra de la UGR.

El caricaturista, quien consideraba las corridas de toro un \’símbolo de la pasividad política de los españoles\’, dibuja en estos años sobre temas como el caciquismo, la etapa posterior a la Primera Guerra Mundial en España, y la agonía del régimen de la Restauración así como retratos de personajes de la época como Alfonso XIII y el Conde de Romanones.

En un dibujo de 1920 titulado \’Elecciones\’, un burro le pregunta a otro: \’Y a ti, amigo mío, ¿cuánto te pagan por el voto?\’.

El mayor peso de la exposición está en los dibujos realizados durante la dictadura de Primo de Rivera, en algunos de los cuales se pueden observar el carácter precursor que supuso la obra de Bagaría para ilustradores actuales como Antonio Mingote.

Por sus problemas con la censura, el dibujante confeccionó una serie de dibujos sobre el militarismo y la vida en Marte en los que retrataba un régimen dictatorial pero en el \’planeta rojo\’, a la vez que comenzó a dibujar elementos para almohadón \’bajo cuyos elementos decorativos logra introducir la crítica y, a veces, el sarcasmo\’.

Debajo de una viñeta publicada el 4 de marzo de 1926 con un jarrón con flores alusivo a la Constitución de Cádiz de 1812, \’La Pepa\’, el pie de Bagaría apunta: \’Señor censor: esta flor es una modesta flor sin intención ninguna\’.

Esta iniciativa cuenta con la colaboración de la Fundación Archivo Manuel de Falla, compositor granadino que también fue caricaturizado en 1914 por Luis Bagaría en un retrato que preside la muestra.
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La exposición de viñetas de Luis Bagaría repasa la historia española de inicios del XX

La exposición de viñetas de Luis Bagaría repasa la historia española de inicios del XX

Una exposición de la Universidad de Granada (UGR) muestra los grandes hitos de los inicios del siglo XX en España a través del repaso de la obra de Luis Bagaría (Barcelona, 1882-La Habana, 1940), ilustrador del diario «El Sol» y maestro de humoristas gráficos.

La exposición, que fue inaugurada en el Hospital Real el martes pasado y permanecerá abierta hasta el próximo 17 de marzo, está organizada por el Centro de Cultura Contemporánea de la UGR y la Fundación Mapfre, que custodia cerca de quinientos dibujos de Luis Bagaría que, pertenecientes al periodo 1917-1926, se ubican en el cenit de su producción y su colaboración en «El Sol».
Formado en el modernismo catalán, la eclosión de este caricaturista coincide con su traslado en 1912 a Madrid, donde pone su lápiz al servicio del proyecto de renovación nacional auspiciado por José Ortega y Gasset, primero desde la revista «España» y, a partir de 1917, desde «El Sol».
La muestra se divide en dos grandes secciones: la crisis de la Restauración, que se corresponde con su despegue como dibujante de marcado corte intelectual y político, y la dictadura de Primo de Rivera, años en los que tuvo que trazar distintas estrategias contra la censura que finalmente le llevaron a una «emigración temporal» a Argentina en 1926, y al abandono de «El Sol» junto con Ortega en 1931.
Durante el periodo de la Restauración, Bagaría evoluciona desde una posición conservadora a otra más liberal y social, al contrario que otros colegas de «El Sol», lo cual provoca la «admiración de sus contemporáneos», según queda recogido en la muestra de la UGR.
El caricaturista, quien consideraba las corridas de toro un «símbolo de la pasividad política de los españoles», dibuja en estos años sobre temas como el caciquismo, la etapa posterior a la Primera Guerra Mundial en España, y la agonía del régimen de la Restauración así como retratos de personajes de la época como Alfonso XIII y el Conde de Romanones.
En un dibujo de 1920 titulado «Elecciones», un burro le pregunta a otro: «Y a ti, amigo mío, ¿cuánto te pagan por el voto?».
El mayor peso de la exposición está en los dibujos realizados durante la dictadura de Primo de Rivera, en algunos de los cuales se pueden observar el carácter precursor que supuso la obra de Bagaría para ilustradores actuales como Antonio Mingote.
Por sus problemas con la censura, el dibujante confeccionó una serie de dibujos sobre el militarismo y la vida en Marte en los que retrataba un régimen dictatorial pero en el «planeta rojo», a la vez que comenzó a dibujar elementos para almohadón «bajo cuyos elementos decorativos logra introducir la crítica y, a veces, el sarcasmo».
Debajo de una viñeta publicada el 4 de marzo de 1926 con un jarrón con flores alusivo a la Constitución de Cádiz de 1812, «La Pepa», el pie de Bagaría apunta: «Señor censor: esta flor es una modesta flor sin intención ninguna».
Esta iniciativa cuenta con la colaboración de la Fundación Archivo Manuel de Falla, compositor granadino que también fue caricaturizado en 1914 por Luis Bagaría en un retrato que preside la muestra.
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La exposición de viñetas de Luis Bagaría repasa la historia española de inicios del XX

La exposición de viñetas de Luis Bagaría repasa la historia española de inicios del XX

Una exposición de la Universidad de Granada (UGR) muestra los grandes hitos de los inicios del siglo XX en España a través del repaso de la obra de Luis Bagaría (Barcelona, 1882-La Habana, 1940), ilustrador del diario «El Sol» y maestro de humoristas gráficos.

La exposición, que fue inaugurada en el Hospital Real el martes pasado y permanecerá abierta hasta el próximo 17 de marzo, está organizada por el Centro de Cultura Contemporánea de la UGR y la Fundación Mapfre, que custodia cerca de quinientos dibujos de Luis Bagaría que, pertenecientes al periodo 1917-1926, se ubican en el cenit de su producción y su colaboración en «El Sol».

Formado en el modernismo catalán, la eclosión de este caricaturista coincide con su traslado en 1912 a Madrid, donde pone su lápiz al servicio del proyecto de renovación nacional auspiciado por José Ortega y Gasset, primero desde la revista «España» y, a partir de 1917, desde «El Sol».

La muestra se divide en dos grandes secciones: la crisis de la Restauración, que se corresponde con su despegue como dibujante de marcado corte intelectual y político, y la dictadura de Primo de Rivera, años en los que tuvo que trazar distintas estrategias contra la censura que finalmente le llevaron a una «emigración temporal» a Argentina en 1926, y al abandono de «El Sol» junto con Ortega en 1931.

Durante el periodo de la Restauración, Bagaría evoluciona desde una posición conservadora a otra más liberal y social, al contrario que otros colegas de «El Sol», lo cual provoca la «admiración de sus contemporáneos», según queda recogido en la muestra de la UGR.

El caricaturista, quien consideraba las corridas de toro un «símbolo de la pasividad política de los españoles», dibuja en estos años sobre temas como el caciquismo, la etapa posterior a la Primera Guerra Mundial en España, y la agonía del régimen de la Restauración así como retratos de personajes de la época como Alfonso XIII y el Conde de Romanones.

En un dibujo de 1920 titulado «Elecciones», un burro le pregunta a otro: «Y a ti, amigo mío, ¿cuánto te pagan por el voto?».

El mayor peso de la exposición está en los dibujos realizados durante la dictadura de Primo de Rivera, en algunos de los cuales se pueden observar el carácter precursor que supuso la obra de Bagaría para ilustradores actuales como Antonio Mingote.

Por sus problemas con la censura, el dibujante confeccionó una serie de dibujos sobre el militarismo y la vida en Marte en los que retrataba un régimen dictatorial pero en el «planeta rojo», a la vez que comenzó a dibujar elementos para almohadón «bajo cuyos elementos decorativos logra introducir la crítica y, a veces, el sarcasmo».

Debajo de una viñeta publicada el 4 de marzo de 1926 con un jarrón con flores alusivo a la Constitución de Cádiz de 1812, «La Pepa», el pie de Bagaría apunta: «Señor censor: esta flor es una modesta flor sin intención ninguna».

Esta iniciativa cuenta con la colaboración de la Fundación Archivo Manuel de Falla, compositor granadino que también fue caricaturizado en 1914 por Luis Bagaría en un retrato que preside la muestra.
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La exposición de viñetas de Luis Bagaría repasa la historia española de inicios del XX

La exposición de viñetas de Luis Bagaría repasa la historia española de inicios del XX

Una exposición de la Universidad de Granada (UGR) muestra los grandes hitos de los inicios del siglo XX en España a través del repaso de la obra de Luis Bagaría (Barcelona, 1882-La Habana, 1940), ilustrador del diario \’El Sol\’ y maestro de humoristas gráficos.

La exposición, que fue inaugurada en el Hospital Real el martes pasado y permanecerá abierta hasta el próximo 17 de marzo, está organizada por el Centro de Cultura Contemporánea de la UGR y la Fundación Mapfre, que custodia cerca de quinientos dibujos de Luis Bagaría que, pertenecientes al periodo 1917-1926, se ubican en el cenit de su producción y su colaboración en \’El Sol\’.

Formado en el modernismo catalán, la eclosión de este caricaturista coincide con su traslado en 1912 a Madrid, donde pone su lápiz al servicio del proyecto de renovación nacional auspiciado por José Ortega y Gasset, primero desde la revista \’España\’ y, a partir de 1917, desde \’El Sol\’.

La muestra se divide en dos grandes secciones: la crisis de la Restauración, que se corresponde con su despegue como dibujante de marcado corte intelectual y político, y la dictadura de Primo de Rivera, años en los que tuvo que trazar distintas estrategias contra la censura que finalmente le llevaron a una \’emigración temporal\’ a Argentina en 1926, y al abandono de \’El Sol\’ junto con Ortega en 1931.

Durante el periodo de la Restauración, Bagaría evoluciona desde una posición conservadora a otra más liberal y social, al contrario que otros colegas de \’El Sol\’, lo cual provoca la \’admiración de sus contemporáneos\’, según queda recogido en la muestra de la UGR.

El caricaturista, quien consideraba las corridas de toro un \’símbolo de la pasividad política de los españoles\’, dibuja en estos años sobre temas como el caciquismo, la etapa posterior a la Primera Guerra Mundial en España, y la agonía del régimen de la Restauración así como retratos de personajes de la época como Alfonso XIII y el Conde de Romanones.

En un dibujo de 1920 titulado \’Elecciones\’, un burro le pregunta a otro: \’Y a ti, amigo mío, ¿cuánto te pagan por el voto?\’.

El mayor peso de la exposición está en los dibujos realizados durante la dictadura de Primo de Rivera, en algunos de los cuales se pueden observar el carácter precursor que supuso la obra de Bagaría para ilustradores actuales como Antonio Mingote.

Por sus problemas con la censura, el dibujante confeccionó una serie de dibujos sobre el militarismo y la vida en Marte en los que retrataba un régimen dictatorial pero en el \’planeta rojo\’, a la vez que comenzó a dibujar elementos para almohadón \’bajo cuyos elementos decorativos logra introducir la crítica y, a veces, el sarcasmo\’.

Debajo de una viñeta publicada el 4 de marzo de 1926 con un jarrón con flores alusivo a la Constitución de Cádiz de 1812, \’La Pepa\’, el pie de Bagaría apunta: \’Señor censor: esta flor es una modesta flor sin intención ninguna\’.

Esta iniciativa cuenta con la colaboración de la Fundación Archivo Manuel de Falla, compositor granadino que también fue caricaturizado en 1914 por Luis Bagaría en un retrato que preside la muestra.
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La exposición de viñetas de Luis Bagaría repasa la historia española de inicios del XX

La exposición de viñetas de Luis Bagaría repasa la historia española de inicios del XX

Una exposición de la Universidad de Granada (UGR) muestra los grandes hitos de los inicios del siglo XX en España a través del repaso de la obra de Luis Bagaría (Barcelona, 1882-La Habana, 1940), ilustrador del diario «El Sol» y maestro de humoristas gráficos.

La exposición, que fue inaugurada en el Hospital Real el martes pasado y permanecerá abierta hasta el próximo 17 de marzo, está organizada por el Centro de Cultura Contemporánea de la UGR y la Fundación Mapfre, que custodia cerca de quinientos dibujos de Luis Bagaría que, pertenecientes al periodo 1917-1926, se ubican en el cenit de su producción y su colaboración en «El Sol».

Formado en el modernismo catalán, la eclosión de este caricaturista coincide con su traslado en 1912 a Madrid, donde pone su lápiz al servicio del proyecto de renovación nacional auspiciado por José Ortega y Gasset, primero desde la revista «España» y, a partir de 1917, desde «El Sol».

La muestra se divide en dos grandes secciones: la crisis de la Restauración, que se corresponde con su despegue como dibujante de marcado corte intelectual y político, y la dictadura de Primo de Rivera, años en los que tuvo que trazar distintas estrategias contra la censura que finalmente le llevaron a una «emigración temporal» a Argentina en 1926, y al abandono de «El Sol» junto con Ortega en 1931.

Durante el periodo de la Restauración, Bagaría evoluciona desde una posición conservadora a otra más liberal y social, al contrario que otros colegas de «El Sol», lo cual provoca la «admiración de sus contemporáneos», según queda recogido en la muestra de la UGR.

El caricaturista, quien consideraba las corridas de toro un «símbolo de la pasividad política de los españoles», dibuja en estos años sobre temas como el caciquismo, la etapa posterior a la Primera Guerra Mundial en España, y la agonía del régimen de la Restauración así como retratos de personajes de la época como Alfonso XIII y el Conde de Romanones.

En un dibujo de 1920 titulado «Elecciones», un burro le pregunta a otro: «Y a ti, amigo mío, ¿cuánto te pagan por el voto?».

El mayor peso de la exposición está en los dibujos realizados durante la dictadura de Primo de Rivera, en algunos de los cuales se pueden observar el carácter precursor que supuso la obra de Bagaría para ilustradores actuales como Antonio Mingote.

Por sus problemas con la censura, el dibujante confeccionó una serie de dibujos sobre el militarismo y la vida en Marte en los que retrataba un régimen dictatorial pero en el «planeta rojo», a la vez que comenzó a dibujar elementos para almohadón «bajo cuyos elementos decorativos logra introducir la crítica y, a veces, el sarcasmo».

Debajo de una viñeta publicada el 4 de marzo de 1926 con un jarrón con flores alusivo a la Constitución de Cádiz de 1812, «La Pepa», el pie de Bagaría apunta: «Señor censor: esta flor es una modesta flor sin intención ninguna».

Esta iniciativa cuenta con la colaboración de la Fundación Archivo Manuel de Falla, compositor granadino que también fue caricaturizado en 1914 por Luis Bagaría en un retrato que preside la muestra.
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La exposición de viñetas de Luis Bagaría repasa la historia española de inicios del XX

La exposición de viñetas de Luis Bagaría repasa la historia española de inicios del XX

Una exposición de la Universidad de Granada (UGR) muestra los grandes hitos de los inicios del siglo XX en España a través del repaso de la obra de Luis Bagaría (Barcelona, 1882-La Habana, 1940), ilustrador del diario «El Sol» y maestro de humoristas gráficos.

La exposición, que fue inaugurada en el Hospital Real el martes pasado y permanecerá abierta hasta el próximo 17 de marzo, está organizada por el Centro de Cultura Contemporánea de la UGR y la Fundación Mapfre, que custodia cerca de quinientos dibujos de Luis Bagaría que, pertenecientes al periodo 1917-1926, se ubican en el cenit de su producción y su colaboración en «El Sol».

Formado en el modernismo catalán, la eclosión de este caricaturista coincide con su traslado en 1912 a Madrid, donde pone su lápiz al servicio del proyecto de renovación nacional auspiciado por José Ortega y Gasset, primero desde la revista «España» y, a partir de 1917, desde «El Sol».

La muestra se divide en dos grandes secciones: la crisis de la Restauración, que se corresponde con su despegue como dibujante de marcado corte intelectual y político, y la dictadura de Primo de Rivera, años en los que tuvo que trazar distintas estrategias contra la censura que finalmente le llevaron a una «emigración temporal» a Argentina en 1926, y al abandono de «El Sol» junto con Ortega en 1931.

Durante el periodo de la Restauración, Bagaría evoluciona desde una posición conservadora a otra más liberal y social, al contrario que otros colegas de «El Sol», lo cual provoca la «admiración de sus contemporáneos», según queda recogido en la muestra de la UGR.

El caricaturista, quien consideraba las corridas de toro un «símbolo de la pasividad política de los españoles», dibuja en estos años sobre temas como el caciquismo, la etapa posterior a la Primera Guerra Mundial en España, y la agonía del régimen de la Restauración así como retratos de personajes de la época como Alfonso XIII y el Conde de Romanones.

En un dibujo de 1920 titulado «Elecciones», un burro le pregunta a otro: «Y a ti, amigo mío, ¿cuánto te pagan por el voto?».

El mayor peso de la exposición está en los dibujos realizados durante la dictadura de Primo de Rivera, en algunos de los cuales se pueden observar el carácter precursor que supuso la obra de Bagaría para ilustradores actuales como Antonio Mingote.

Por sus problemas con la censura, el dibujante confeccionó una serie de dibujos sobre el militarismo y la vida en Marte en los que retrataba un régimen dictatorial pero en el «planeta rojo», a la vez que comenzó a dibujar elementos para almohadón «bajo cuyos elementos decorativos logra introducir la crítica y, a veces, el sarcasmo».

Debajo de una viñeta publicada el 4 de marzo de 1926 con un jarrón con flores alusivo a la Constitución de Cádiz de 1812, «La Pepa», el pie de Bagaría apunta: «Señor censor: esta flor es una modesta flor sin intención ninguna».

Esta iniciativa cuenta con la colaboración de la Fundación Archivo Manuel de Falla, compositor granadino que también fue caricaturizado en 1914 por Luis Bagaría en un retrato que preside la muestra.
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Más de 20 empresas Spin-off y Start-up compiten por el Premio Joven Empresa innovadora que se falla el jueves

Más de 20 empresas Spin-off y Start-up compiten por el Premio Joven Empresa innovadora que se falla el jueves

Un total de 21 empresas Spin-Off y Start-up compiten por el Premio Joven Empresa Innovadora que, organizado por la Fundación \’Zaragoza Ciudad del Conocimiento\’, se fallará el jueves 28 de enero en el Museo del Teatro Romano de la capital aragonesa.Las empresas Spin-off son iniciativas empresariales con base tecnológica de origen universitario, mientras que las Start-up tecnológicas son las empresas tecnológicas de nueva creación.Del total, siete son aragonesas y el resto proceden de otras Comunidades autónomas. Así, de Madrid participan dos empresas de Villalba y Alcalá de Henares; otras dos proceden de San Sebastián; también desde Salamanca compiten otras dos, al igual que desde Granada. El resto son de Sevilla, La Coruña, Santander, Barcelona, Valencia y Cáceres.Convocado por la Fundación \’Zaragoza Ciudad del Conocimiento\’, el Premio Joven Empresa Innovadora pretende apoyar y difundir la creación de este tipo de empresas en las universidades españolas, además de aumentar y consolidar la base empresarial de carácter innovador basado en el conocimiento en España.Esta convocatoria premiará a dos categorías, un primer premio nacional y un primer premio local con una dotación económica de 6.000 euros cada uno. En la elección se valorará la innovación e iniciativa en las empresas de reciente creación. El director de la Fundación \’Zaragoza Ciudad del Conocimiento\’, Ricardo Pedrol, explicó que uno de los objetivos de esta iniciativa es que la comunidad empresarial tecnológica disponga de un foro donde intercambiar experiencias y difundir la actividad de este tipo de empresas innovadoras.En declaraciones a Europa Press, Pedrol destacó que esta convocatoria de Zaragoza es una referencia nacional donde mostrar este «semillero de empresas tecnológicas», muchas de ellas surgidas en las universidades españolas a las que «se quiere reconocer su esfuerzo e innovación».En esta segunda edición, se han incluido las Start-up, para «completar la participación de este tipo de empresas y abarcar un mayor espectro» subrayó Pedrol al estimar que se trata de un sector que «hay que potenciar porque puede cambiar el tejido empresarial español y ayudar a mejorar el sistema productivo».Empresas jóvenesLas destinatarias del Premio Joven Empresa Innovadora son empresas jóvenes (menos de seis años), pequeñas (no más de cincuenta empleados) y con una intensidad investigadora elevada. Más del 35 por ciento de su personal debe estar adscrito a actividades de I+D; y deben realizar gastos por este concepto equivalentes, como mínimo, al 15 por ciento de sus gastos totales.Entre las siete empresas aragonesas figura Riafive Solutions SL que intenta aunar todas las necesidades que tienen los novios. Con WedTool ponen a disposición de los contrayentes un mismo lugar desde una única aplicación web, que además permite crear la web de la boda a los novios. Esta empresa comenzó su andadura con 3 personas y en la actualidad el equipo lo integran 5 trabajadores más 3 personas freelances.El Grupo Agrogenera Europa es un proyecto innovador global que incluye desarrollo genético de cultivos energéticos tradicionales, junto a la gestión de la producción agrícola, con híbridos mejorados para la generación de biomasa mediante una planta que cogenera (electricidad y calor) a partir de la combustión de biomasa energética. Una tercera empresa aragonesa es Innotec Servicios Energéticos, nacida en enero de 2009 han pasado de 3 socios a 11 personas involucradas. Ofrece servicios enfocados a optimizar los costes energéticos y minimizar el impacto medioambiental. Lo más innovador de sus servicios es que mejoran las instalaciones de sus clientes a coste cero. Los ahorros generados con las nuevas tecnologías son los que van pagando la inversión realizada durante un periodo de tiempo determinado.Smmart se utiliza por instituciones, personas y marcas, para hacer análisis de la información que sobre ellos hay en internet. Los clientes suelen ser departamentos y agencias de dircom y marketing, principalmente.Bit&Brain Technologies surge como spin-off de la Universidad de Zaragoza a partir del grupo de investigación en tecnologías de interfaces cerebro-ordenador. Ofrecen software de diagnóstico y tratamiento del déficit de atención con tecnología BCI.La empresa Onegolive Services surgió en febrero de 2008 tras un apoyo por parte de Oracle y la inquietud de los miembros de la empresa de comenzar una nueva etapa y desarrollar negocio de la mano de Oracle en Aragón. Ofrece servicios de implantación y soporte de sistemas ERP, CRM y BI de Oracle. Su principal objetivo es ofrecer software de primer nivel para la gestión empresarial, totalmente adaptado a las necesidades del cliente.Ebox Technologies comenzó en el 2004 para desarrollar un servidor de código abierto para Pymes. Tras cuatro años de I+D dentro de Warp Networks, se decidió crear una empresa propia en torno a eBox con un modelo de negocio sostenible. Emplea a 11 profesionales y tiene altas expectativas de crecimiento internacional puesto que dispone de clientes en varios países y 11 partners en tres continentes.Otras comunidadesEntre el resto de las 21 empresas participantes figura Nem Solutions (San Sebastián) dedicada a la arquitectura inteligente que ha creado un lenguaje de comunicación entre máquinas y personal de mantenimiento, de forma que se habilita la comunicación desde una máquina a una persona. También de Guipúzcoa es la empresa Auralia que utiliza el sonido 3D sobre auriculares para entrenar niños invidentes y ayudarles a enfrentarse a situaciones de la vida real. De Madrid participan las empresas Undead Code Studios (Villalba) dedicada a los videojuegos y Mobiground Sostwate & Tecnology S.L. (Alcalá de Henares) dedicada a mercado del mobile ecommerce.La sevillana Energía Solar Peninsular es la creadora del primer prototipo de lámpara LED montada en farola fotovoltaíca. La empresa Jobsket S.L. (La Coruña) se sitúa en el sector del empleo online y del análisis semántico de datos. La empresa cántabra Visengi desarrolla diseños electrónicos de hardware de compresión de imágenes de alta velocidad. Además competirá Sentinel Spain S.L. (Salamanca) formada por un equipo de físicos, ópticos, electrónicos, químicos e ingenieros que desarrollan un escáner en tres dimensiones capaz de detectar sustancias peligrosas y material de contrabando, de forma automática, rápida y segura. También desde Salamanca asistirá Unkasoft Advergaming dedicada a la publicidad dentro de aplicaciones móviles y videojuegos móviles.La empresa Techideas (Barcelona), surgió como spin-off del equipo de I+D de Sun Microsystems en Europa y han creado una herramienta colaborativa para interactuar de manera eficiente con clientes y partners distribuidos por toda Europa.IActive Intelligent Solutions S.L (Granada) surge del grupo de investigación de Sistemas Inteligentes TIC-175 del departamento de Ciencias de la Computación e Inteligencia Artificial de la Universidad de Granada, que desarrolla tecnología aplicable a la gestión de emergencias, el e-turismo o e-learning.La otra empresa granadina Forware Spain se dedica a las tecnologías de la información que opera en los sectores de Seguridad Electrónica, Diseño Asistido por Computador (CAD) e Ingeniería de Sistemas Electrónicos (ESL). DAS Photonics S.L. (Valencia) es una empresa spin-off del Centro de Tecnología Nanofotónica (NTC), Instituto Universitario de Investigación (IUI) de la Universidad Politécnica de Valencia. En la actualidad se cuentan con varios doctores y la tercera parte de la plantilla está formada por mujeres.Finalmente, concursará Mobbeel (Cáceres) creada con la intención de cubrir el vacío existente de proteger de forma efectiva la información almacenada en los móviles y el acceso a los servicios desde ellos. Ha obtenido numerosos reconocimientos mundiales.
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